Assez de mensonges, de tromperies, RIEN n’est fait contre le chomage, RIEN ! cela fait 572 000 chomeurs de cat A de + depuis mai juin 2012 Le Medef se goinfre de nos 41 milliards et licencie ! assez ! stop ! controle ferme des licenciements et de la finance !

le salaire c’est l’emploi, l’austérité c’est le chômage

 

C’est, avant tout, sur sa capacité à avoir fait ou non reculer le chômage de masse que notre parti socialiste sera jugé en 2017. A la veille du congrès de Poitiers  et du vote des militants le 21 mai, c’est donc LA question essentielle entre les deux motions A et B

 


Depuis 2012, non seulement le chômage n’a pas reculé mais il a progressé de façon redoutable : 572 000 chômeurs de plus depuis notre arrivée au pouvoir. Encore ne s’agit-il là que des chômeurs de la catégorie A, ceux qui n’ont aucun travail et sont à la recherche d’un emploi. Si la progression du chômage de masse continuait au même rythme et atteignait 1 000 000 de chômeurs de cette catégorie, le chômage finirait par augmenter autant en 5 ans sous la gauche qu’en 10 ans sous la droite.

La catégorie A, aujourd’hui, n’a plus guère de sens. C’est non seulement le chômage de la catégorie A qui s’accroît mais aussi le « halo » du chômage, la précarité de l’emploi. Ne pas tenir compte des deux catégories suivantes (B et C) revient à estimer qu’une personne qui travaille à mi-temps ou à quart-temps, 2 jours par semaine ou par mois, et qui recherche un emploi à temps plein n’est pas un chômeur.

La catégorie A permettra, peut-être, un jour, d’affirmer que la courbe du chômage a fini par « s’inverser » mais cela ne changerait rien à la vie concrète des gens, si le nombre des chômeurs des catégories B et C continuait à augmenter. Un chômeur qui ne sera plus dans la catégorie A parce qu’il aura trouvé un travail de 4 jours par mois ne considèrera pas pour autant qu’il n’est plus chômeur et qu’il occupe un véritable emploi.

Depuis l’arrivée de la gauche au pouvoir, le nombre de chômeurs des catégories A, B et C a augmenté de 1 290 000 selon l’INSEE ! Comment s’étonner après cela que les électeurs de gauche s’abstiennent en masse alors que, dans presque chaque famille, quelqu’un est touché par le chômage ?

En 2012, lorsque Nicolas Sarkozy avait voulu durcir les conditions d’indemnisation du chômage, François Hollande l’avait accusé de « s’en prendre aux plus fragiles ». Il avait raison car ce chiffre de « 350 000 emplois non pourvus » ne repose sur rien. Personne ne sait quelle est la nature des emplois proposés : s’agit-il d’emplois d’une journée, d’une semaine, d’un mois, d’un CDI ? Comme le rappelle le Collectif national des chômeurs et précaires : « Deux heures de ménage par semaine, c’est une offre d’emploi«  ! Bien souvent, ce sont les employeurs eux-mêmes qui renoncent à l’offre qu’ils avaient faite, pour des raisons d’économie ou de changement d’organisation, sans prévenir Pôle emploi pour autant. D’autres employeurs utilisent les offres d’emplois uniquement pour se faire de la publicité ou se constituer une base de CV… Manuel Valls a repris les mêmes propos que François Rebsamen, le 6 octobre 2014, à la City de Londres, promettant une remise en cause d’un système « trop généreux ». Incapable de lutter contre le chômage, Manuel Valls veut maintenant s’en prendre aux chômeurs.

 

La reprise annoncée ne permettra pas de faire reculer le chômage et la précarité

Une reprise aléatoire

Cette « reprise » n’existe encore que dans les prévisions et les prévisions, dans ce domaine, se sont souvent avérées trompeuses. Mieux vaut donc, être prudents.

Cette reprise si elle avait lieu serait très modeste : 1 % en 2015, selon les prévisions de notre gouvernement, 1,4 % selon alors l’OFCE. Pourtant, dans l’état de l’économie française, il n’est pas possible de commencer à créer d’emplois avant que la croissance atteigne 1,7 à 1,8 %. Le chômage, comme le prévoit d’ailleurs Pôle-Emploi, devrait donc, malheureusement, continuer à augmenter en 2015.

Une reprise fragile

Cette reprise, si elle avait lieu, serait non seulement modeste mais aussi fragile.

D’abord parce qu’elle resterait entravée par la politique d’austérité. Le traité Merkel-Sarkozy (le TSCG) et sa « règle d’or » ne fixent pas l’objectif d’un déficit public de 3 %. Ces 3 % ne sont qu’une étape vers un déficit de 0,5 % du PIB. Autant dire que ce traité nous enchaîne à une austérité sans fin.

Ensuite parce que l’ « alignement des astres » (baisse de la valeur de l’euro par rapport au dollar, baisse du prix du pétrole, baisse des taux d’intérêt), qui permettrait cette timide reprise est lui aussi fragile.

La baisse de l’euro dépend de la politique de la BCE (qui, nous affirme-t-on, est indépendante) et de celle la Réserve fédérale des Etats-Unis.

Le cours du baril de pétrole risque fort de retrouver son niveau antérieur, dès que la baisse du coût de l’énergie aura atteint son but et entraîné la faillite de la plupart des entreprises qui ont investi dans l’exploitation du gaz de schistes ou des sables bitumineux. Les pays producteurs de pétrole n’aiment pas la concurrence et ont les moyens de leur politique.

Les taux d’intérêt bas dont bénéficie aujourd’hui notre pays peuvent être remis en question à tout moment. Ils peuvent être remis en cause par une nouvelle crise bancaire car rien n’a été fait pour éviter le retour d’une telle crise : les activités spéculatives des banques et leurs activités de crédit aux entreprises et aux ménages n’ont été séparées que de façon infinitésimale. Ils peuvent être remis en cause par l’affolement des marchés financiers lors d’une sortie de la Grèce de la zone euro, provoquée par la volonté de l’Union européenne d’obliger Syriza à renoncer à son programme.

Une « reprise » couplée à un regain de la précarité du travail

Dans le meilleur des cas, la « reprise » ne ferait que diminuer le nombre de chômeurs de la catégorie A, tout en augmentant ceux des catégories B et C sur lesquels serait jeté un voile encore plus pudique qu’aujourd’hui.

Toutes les mesures pour « flexibilité » du travail prises par la loi Sapin de 2013 ou par le projet de loi Macron vont dans le sens de la précarisation du travail, du transfert des chômeurs de la catégorie A vers la précarité et les catégories B et C.

Les Etats-Unis et le Royaume Uni n’ont pas eu à subir les cures d’austérité de l’Union européenne mais, malgré cela, la reprise s’y est traduite par la création d’emplois précaires, saisonniers, à quart ou à mi-temps et par la sortie du marché du travail de plusieurs millions de personnes qui ont renoncé à trouver un emploi et ne figurent donc plus dans les statistiques. Au Royaume-Uni, les « contrats zéro heures » qui oblige un salarié à attendre un message lui indiquant qu’il travaillera une ou plusieurs heures dans la journée, peuvent faire baisser les statistiques du chômage mais ne changent pas grand-chose à la vie des gens.

Pour s’attaquer véritablement au chômage de masse, il ne suffit pas de croiser les doigts en espérant une « reprise » atone et chaotique.

Il n’existe que trois moyens pour faire reculer le chômage et il est nécessaire de les mettre tous en œuvre

Le premier moyen est la croissance. Pour qu’elle soit suffisante, il faut arrêter les politiques d’austérité imposée par la Commission européenne et augmenter le pouvoir d’achat, comme le propose la motion B. Notre gouvernement, s’il en a la volonté politique peut parfaitement y parvenir, le poids économique et politique de la France obligerait l’Union européenne à respecter notre pays et à réorienter la construction européenne.

Le deuxième est la réduction du temps de travail, le partage du temps de travail mis en avant par la motion B. La croissance n’a d’effet qu’à court terme et dès qu’elle s’étiole, le chômage repart. Quel serait le niveau de chômage dans notre pays si la durée du travail n’avait pas connue une diminution séculaire et si le temps de travail était toujours, comme au début du siècle dernier, de 70 heures pas semaine ?

Le troisième moyen est l’investissement public et la création d’emplois publics. C’est pourquoi la motion B propose de mettre en place un « Plan République » pour faire revenir les services publics et ne plus laisser à l’abandon les quartiers populaires, les zones périurbaines et les zones rurales.

Mettre fin aux cadeaux au Medef

Nos deux gouvernements de gauche successifs ont fait cadeau au patronat de 41 milliards d’euros d’impôt et de cotisations sociales, sans exiger d’eux la moindre contrepartie en termes d’investissement et d’emploi. Cela doit cesser. La motion B propose de limiter les « effets d’aubaine » et de faire du Crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE) la contrepartie de d’investissement productifs et de créations d’emplois.

 

JJ CHAVIGNÉ

 

12 Commentaires

  1. rêveur
    Posted 24 avril 2015 at 17:46 | Permalien

     » Nos deux gouvernements de gauche successifs ont fait cadeau au patronat de 41 milliards d’euros d’impôt et de cotisations sociales, sans exiger d’eux la moindre contrepartie en termes d’investissement et d’emploi. Cela doit cesser. La motion B propose de limiter les « effets d’aubaine » et de faire du Crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE) la contrepartie de d’investissement productifs et de créations d’emplois.  »

    Malheureusement, je n’ai pas l’impression que ce soit la direction prise par nos dirigeants…
    On verra bien si le premier mai pèse un peu dans la réorientation nécessaire …

    Mais bon, des dirigeant.e.s de droites font une politique de droite… normal. Rien de nouveau sous les tropiques.

  2. CRAYENCOUR
    Posted 25 avril 2015 at 10:27 | Permalien

    La soi-disant lutte pour l’emploi justifie tous les renoncements, tous les reniements …
    La réduction de la protection sociale, des services publics, l’aggravation des inégalités et de l’écart entre les revenus du travail et du capital, au bénéfice des seconds évidemment et bien sûr la mise au rencart de l’écologie (pas de sortie du nucléaire en vue, incitation au développement du transport par car plutôt que par train, autorisation de nouveaux OGM); pire encore, on vide la démocratie de son sens: Il n’y aurait plus qu’une politique possible; les gouvernements nationaux s’effacent derrière une technostructure européenne non élue (c’est la Commission qui vient d’autoriser la mise sur le marché de 19 nouveaux OGM, alors que la population y est majoritairement opposée …), ratification des traités donnant de plus en plus de pouvoir à cette technostructure, là encore contre l’avis des peuples, et je ne parle même pas de ce qui se passe en Grèce où un peuple entier est plongé dans la misère pour satisfaire à l’orthodoxie libérale …
    Ce n’est pas d’un gouvernement de soumission dont nous avions besoin, mais d’un gouvernement ayant le courage de résister aux pressions et au dogmes libéraux. Il aurait fallu un peu de courage et d’originalité de pensée…
    Certes la voie n’aurait pas été plus facile qu’elle ne l’est pour les Grecs, mais autant des sacrifices peuvent être consentis dans un but partagé, connu et accepté de tous, autant, ils sont inacceptables, quand il n’apparait que trop, qu’il ne s’agit que de se servir du contexte de crise pour imposer toutes les régressions sociales voulu par des dominants, jamais rassasiés. La théorie du choc!
    Non, ce n’est pas de ce gouvernement dont nous avions besoin… Et si cette politique réussit à rassembler la majorité de ceux qui pensent être de gauche, alors c’est que Valls a réussi au delà de ses espérances et que la gauche n’est plus que résiduelle.

  3. Posted 25 avril 2015 at 10:35 | Permalien

    la gauche est majoritaire en france !

    c’est le gvt qui la decoit et la pousse à l’abstention

    les abstentionnistes sont à nous !

  4. Posted 25 avril 2015 at 12:38 | Permalien

    Qu’est-ce que le décret d’Allarde ?

    Le décret d’Allarde des 2 et 17 mars 1791 a permis la suppression des corporations pour les personnes qui voulaient exercer de manière libre leur profession. Il a permis de réorganiser le travail et d’abolir le contrôle parfois illégitime des corporations qui avaient la main mise sur certains corps de métiers et sur la gouvernance de villes entières par leur influence politique et économique.

    Ce décret a aussi été à l’origine de l’interdiction des syndicats et de la grève, mais pas seulement, en effet, cette loi de 1791 laisse la liberté d’entreprendre et permet la libre concurrence dans le respect d’un certain cadre légal.

    Le décret d’Allarde est suivi le 14 juin 1791, par la loi Le Chapelier qui en est très proche, puis a été abrogée en 1864 par la loi Ollivier et en 1884, par la loi Waldeck-Rousseau qui rétablissent le droit de grève et les syndicats.

    Allarde
    Objectifs du décret d’Allarde

    L’objectif principal du décret d’Allarde est de mettre fin à l’hégémonie des corporations dans certaines villes, qui empêchaient le développement d’une économie libre. Les corporations ne permettaient pas la libre concurrence et laissait place à un système très hiérarchisé qui prenait de l’ampleur et agissait au-delà de la sphère économique. Effectivement, les corporatisme avait acquis un tel pouvoir dans certains corps de métiers qu’il s’est introduit dans la sphère politique et risquait de mener à des dérives, des politiques de favoritisme…

    Le second objectif du décret d’Allarde est de permettre l’exercice libre d’une profession pour toute personne en ayant le projet, dans l’optique de développer le commerce et l’industrie en France. L’État est tenu de ne pas porter atteinte à la concurrence à travers ses activités. De plus, toute personne exerçant une activité publique peut se lancer dans une activité économique à condition que cela serve l’intérêt commun.

  5. Posted 25 avril 2015 at 14:17 | Permalien

    Les pistes de Bercy pour trouver 14,5 milliards d’économies

    Home ECONOMIE Conjoncture
    Par lefigaro.fr Mis à jour le 24/04/2015 à 11:02 Publié le 24/04/2015 à 09:11

    De gauche à droite: Christian Eckert, secrétaire au Budget, Emmanuel Macron, ministre de l’Économie, et Michel Sapin, ministre des Finances, auditionnés mardi à l’Assemblée nationale.

    Hébergement, assurance-maladie, impôts… Bercy ciblerait une dizaine d’autres secteurs pour atteindre 14,5 milliards d’euros d’économies cette année.
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    Alors que les réunions budgétaires avec les différents ministères vont commencer le mois prochain, les pistes d’économies envisagées par le gouvernement se précisent. Universités, écoles de fonctionnaires ou aides personnelles au logement constituent autant de domaines prioritaires prévus par le programme de stabilité, présenté il y a deux semaines.

    Mais, à en croire Les Échos, une dizaine d’autres secteurs pourraient être concernés: les dispositifs médicaux remboursés par l’Assurance-maladie (attelles, chaises roulantes…), l’hébergement d’urgence, les aides à l’innovation, les grandes écoles d’ingénieurs, les frais de justice, l’organisation des élections ou encore les frais d’affranchissement des impôts. Dans ce but, Bercy aurait commandé, plusieurs rapports à des parlementaires pour cerner les coupes potentielles, explique le quotidien économique.

    Michel Sapin et Christian Eckert ont annoncé, la semaine dernière, cinq milliards d’euros d’économies supplémentaires. L’objectif est d’atteindre les 14,5 milliards d’euros programmés pour cette année sur les 50 milliards d’euros prévus sur la période 2015-2017. Tous les acteurs de la vie économique seront mis à contribution: 1,6 milliard proviendra de l’État et de ses opérateurs; 2,2 milliards de la Sécurité sociale (via notamment une progression des dépenses de santé limitée à 1,75% contre 2%); 1,2 milliard viendra enfin des collectivités locales, qui doivent déjà se serrer la ceinture compte tenu de la baisse des dotations de l’État.

  6. rêveur
    Posted 25 avril 2015 at 14:21 | Permalien

    Gérard,

    les absentionnistes sont peut-être de gauche (encore qu’il faudrait définir) … mais sûrement pas « à vous »…
    Ils et elles sont avant tout « à eux »… ils s’appartiennent et sont plus que sceptiques quant à la représentativité …

    Un bon livre sur le sujet :
    « La grève des électeurs », d’Octave Mirbeau

    http://mirbeau.asso.fr/dmirbeauaccueil/lagrevedeselecteurs.pdf

  7. rêveur
    Posted 25 avril 2015 at 14:28 | Permalien

     » Bercy ciblerait une dizaine d’autres secteurs pour atteindre 14,5 milliards d’euros d’économies cette année »

    Nan sérieusement, y’a 80 100 milliards qui échapperaient à l’impôt chaque année, + de 600 milliards seraient mis dans des paradis fiscaux (cf. le livre d’Antoine Peillon), le gouvernement n’aurait qu’à ,ouvrir l’annuaire à la page
    AVOCAT FISCALISTE
    pour obtenir des noms d’individus qui essayent de se soustraire à l’impôt …
    et là le ministre du budget est en train d’essayer de continuer de réduire le nombre de « fonctionnaires »…

    L’austérité ne marche pas, c’est de la « merde en barre »… mais les dirigeants continuent de s’entêter dans cette direction quand il faudrait mieux repartir les richesses… et taxer les plus riches. Au moins qu’ils payent leurs impôts (Google,Apple, Facebook, Amazon … )

  8. Posted 25 avril 2015 at 17:48 | Permalien

    Yannick Brunet
    Gérard Filoche… je suis sur ton dernier livre … et je me délecte. .. ton verbe est toujours rageur et ta plume effilée. .. j’aime

  9. GL34
    Posted 26 avril 2015 at 15:58 | Permalien

    Le partage du temps de travail, comment ça peut marcher concrètement ?

  10. luc
    Posted 27 avril 2015 at 18:35 | Permalien

    Encore un nouveau record historique pour Hollande.

    Après la hausse de la dette publique au dessus des 2000 milliards d’euros, le chômage pour la catégorie A vient de franchir la barre des 3,5 millions.

    A ce rythme là, il devrait y avoir 3,8 millions de chômeurs à la fin du mandat d’Hollande.

  11. Posted 27 avril 2015 at 23:29 | Permalien

    on peut encore éviter de perdre aux régionales si on change cet été, si on fait des marqueurs de gauche, vite, salaires, emploi, réforme fiscale, reforme bancaire NOW
    mais pour ça faut voter motion B, pas de dispersion, pas d’hésitation
    voter pour la grande motion unifié, B elle a les idées, les gens, la volonté, les moyens de nous sortir de là, de réorienter
    1 863 vues
    Jean-Pierre Coté avec Gérard Filoche

    Pourquoi les socialistes doivent voter pour la motion B ?
    Gérard FILOCHE en donne une raison simple !
    5 minutes pour convaincre. Faites passer !

  12. CRAYENCOUR
    Posted 27 avril 2015 at 23:43 | Permalien

    C’est simple, les socialistes doivent voter pour la motion B majoritairement puis virer Valls pour la bonne et simple raison que sinon moi qui pense être de gauche je ne voterai PS ni en 2015, ni en 2017, ni au 1er, ni au 2nd tour…

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