Air France : pourquoi l’état a t il voté un plan « qui pouvait être évité » ?

En fait Air France va bien. 85 millions de touristes, 88 % de taux de remplissage, un prix de l’essence qui n’a jamais été aussi bas, une suppression déjà de plus de 10 000 postes, un plan de 20 % d’efforts de compétitivité depuis 4 ans, les personnels au sol ont atteint 100 % des objectifs.  Avec 96 %, les hôtesses et stewards sont près du but. Les pilotes avec 67 % de mises en œuvre n’en seraient pas loin, sans la grève de 14 jours en 2014 provoquée par les intransigeances de la direction. Les navigants ont déjà réduit leur salaire de 20 % en l’espace de 20 ans : or contrairement à tout ce qui est dit c’est un métier hyper qualifié, lourd en responsabilités et terriblement usant. La « dette » de 5 milliards, sur un chiffre d’affaires global de 20 milliards, ce n’est pas énorme, car il faut toujours compter l’innovation, l’investissement. Le dernier trimestre atteint un record historique sans précédent de bénéfices !

Mais alors pourquoi tous ces cris d’orfraie de la direction ?

Parce que les dirigeants Alexandre Bezoügnes de Juniac et Fréderic Gagey sont des fanatiques financiers, méprisants du droit du travail et des personnels. Ils donnent une priorité excessive au remboursement de la dette au détriment du développement de l’entreprise, ils s’augmentent de 70 %, et comblent leurs actionnaires en mettant 150 millions de cote pour leurs retraites chapeaux. De Juniac est connu pour ses déclarations sur le travail des enfants, contre les 35h, et sur le fait que ses « amis du Qatar auraient mis tout les pilotes prison » plutôt que de négocier avec eux. En fait il veut « Ryaniser » Air France, liquider la compagnie, en la transformant par le biais de Transavia : il restera les lignes de prestige Air France, et pour le menu fretin, le « low cost » avec des pilotes surchargés et des conditions de trajet dégradées. Vous aurez droit aux sous-sols d’Orly, à porter vos valises, a une taxe en surcoût pour elles, à ne rien boire, et à payer pour aller aux toilettes, tout en étant en retard. Un peu comme ce que Macron fait contre la SNCF, le TGV pour les riches et l’autocar pour les pauvres. Comme ce qui a été fait pour la marine marchande française qui a été bradée. C’est ça, « la mode » de la gestion de la finance.

La grande provocation du 5 octobre :

Pour forcer la main aux pilotes et leur imposer de nouveaux sacrifices (les pilotes de Ryan air sont auto-entrepreneurs) de Juniac cherche à diviser les personnels. Alors il va faire sortir publiquement avant le CCE du 5 octobre, l’annonce d’un nouveau plan de 2900 suppressions de postes : 300 pilotes, 900 hôtesses et stewards, 1700 au sol. Il n’hésite pas pour cela à commettre un DELIT d’ENTRAVE (oui le premier délinquant, en droit, chronologiquement est De Juniac) en se servant de la presse : ce qui provoque l’explosion de colère des 2000 membres du personnel exaspérés qui se solidarisent entre eux. Dans une vidéo devenue culte, une jeune femme Erika se fait spontanément et à juste titre porte parole de tous les griefs des personnels contre les dirigeants. L’intersyndicale CGC, FO, UNSA, CGT est là, qui représente 70 % des salariés et quelques chemises sont déchirées – lesquelles vont donner prétexte à un déchainement d’une campagne de presse apocalyptique pendant 3 jours.

Le Premier ministre Manuel Valls en est la cause, se comportant comme un irresponsable brutal : lui qui fut si modéré face au menteur Jérôme Cahuzac ou lors des tirs meurtriers contre Rémi Fraisse, se déchaîne contre les « voyous » et exige de « lourdes sanctions ». En d’autres cas, il s’était drapé dans le fait que « ce n’était pas son rôle de déclencher des enquêtes » et dans la « présomption d’innocence ». Lui et Macron, l’état détenant 17 % d’Air France, font voter le 2 octobre les 3 représentants de l’Etat en CA d’Air France-KLM en faveur des 2900 suppressions de postes. Valls cherche à placer un de ses hommes à la tête d’Air France. Il utilise les méthodes exceptionnelles, intimidantes et vulgaires, d’une rafle policière au petit matin (procédure utilisée dans 1 % des cas, car il aurait suffi d’une convocation) contre 6 salariés d’Air France : ils sont mis « plus bas que terre » et « jugés avant d’avoir comparu », au total 11 salariés sont convoqués par la police et 2 pilotes mis à pied. Alors que le pénal tient le civil en l’état, ils sont sanctionnés arbitrairement. Macron traite ces « indignés » de « stupides ». Juniac affirme qu’il ne pouvait « faire autrement »… Tout cela alourdit le dossier et mécontente l’opinion puisque 54 % de Français disent « comprendre » les violences dans un climat tendu par l’existence de 6 millions de chômeurs et l’annonce de la suppression de 132 700 postes de fonctionnaires par les mêmes Valls et Macron.

Le choc et le recul immédiats :

Mais cela ne peut tenir. La compagnie sera déstabilisée si les évènements suivent ce cours et les dirigeants contestés risquent de ne pas avoir leurs retraites chapeaux. Les pilotes ne se sentent plus isolés : devant le front syndical solidaire, le 9 octobre, le dialogue est renoué : « Vu le contexte, qui a évolué, il nous paraît difficile qu’Air France mette en œuvre unilatéralement des décisions qui relèveraient du fait du prince », commenté Véronique Damon, porte-parole du SNPL. 12 organisations appellent à manifester le 22 octobre. Ségolène Royal fait une déclaration énorme à l’Assemblée, démentant Valls et Juniac :   “Les torts sont partagés”.

Ah bon, alors ce n’étaient pas des « voyous » ? Soit c’est le tour des dirigeants d’être réveillés au petit matin à leur tour par la police, soit les plaintes doivent cesser contre les salariés injustement provoqués puis humiliés et traqués. Et on entend alors se dire que « le plan de 2900 suppressions d’emplois peut être évité » : ce qui, quand on y réfléchit est inouï. Tout ça pour ça ! Normalement Juniac coupable d’entrave et de discours irresponsable, devrait démissionner, et Valls devrait s’excuser ! Pourquoi l’état a t il voté un plan « qui pouvait être évité » ? Les salariés poursuivis devraient être immédiatement relaxés et honorés : car finalement les fameuses « violences » auraient pu être beaucoup plus grandes et deux chemises déchirées ont fait plus pour rétablir le dialogue et sauver les emplois que des mois de palinodies.

Ce n’est pas l’histoire seulement d’Air France, c’est celle d’un gouvernement anti social, obtus et aux abois à la fois. C’est celle d’une tension en profondeur dans le pays, elle se sent partout et cela aggravera les effets électoraux hélas, le malheur étant que c’est une droite encore plus brutale qui cherche à en retirer les marrons du feu.

 

reuters : 29 octobre :

Le groupe aérien a dégagé un bénéfice d’exploitation de 898 millions d’euros au troisième trimestre. Il s’agit de la meilleure performance trimestrielle de son histoire. Une performance qui conforte les syndicats d’Air France dans leur refus du plan de restructuration lancé au sein de la compagnie française début octobre.

Ceux qui pensaient que la compagnie française était au bord du gouffre ne vont plus rien comprendre. Air France-KLM, la maison-mère d’Air France et de KLM, a publié ce jeudi bénéfice d’exploitation de 898 millions d’euros au troisième trimestre (juin-septembre) de son exercice 2015. Soit le plus gros profit opérationnel depuis la création du groupe en mai 2004.

Le record précédent (+725 millions) remontait au deuxième trimestre de l’exercice 2007-2008 (à l’époque, il était décalé), lequel s’étendait lui aussi de juillet à fin septembre, la meilleure période pour toutes les compagnies de l’hémisphère nord.

 

 

47 Commentaires

  1. Posted 18 octobre 2015 at 12:24 | Permalien

    Bonjour à tous,
    En complément de ce qu’a écrit notre camarade Gérard Filoche, je vous invite à lire l’article intitulé « Des pilotes de Ryanair obligés de créer leurs propres entreprises défiscalisées en Irlande pour pouvoir travailler », disponible à l’adresse suivante : http://www.bastamag.net/Des-pilotes-de-Ryanair-obliges-de-creer-leurs-propres-entreprises-defiscalisees
    Solidairement.

  2. gil
    Posted 18 octobre 2015 at 12:26 | Permalien

    ADP plombe de taxes Air France pour pouvoir privatiser ADP à bon prix, comme Toulouse.

    Des lignes ont été concédée à air Qatar pour vendre des Rafales et la taxe écolo Chirac est payée seulement par Air France.

  3. 1956
    Posted 18 octobre 2015 at 14:16 | Permalien

    Valls ne lâchera pas. S.Royal parle comme tous les jours mais reste solidaire et ne fait rien qui puisse réorienter la politique du gouvernement. D’ailleurs elle parle devant ses députés qui votent la confiance à Valls. Donc pas d’inquiétude pour le MEDEF et les libéraux en charge de la casse sociale à l’œuvre.
    La CGT a raison de ne pas se rendre complice d’un gouvernement auto proclamé de gauche et d’un dialogue alibi qui conduit à la casse. La situation est explosive, c’est un autre ordre du jour qu’il faut mettre sur la table de négociation.
    Les députés élus en 2012 ont la possibilité de renverser ce gouvernement pour réorienter la politique de l’exécutif. Ils ne s’en donnent pas les moyens. C’est donc leur responsabilité sur laquelle ils auront à rendre des comptes en 2017 ( ou avant …). A voir le succès rencontré par la basse manœuvre initiée par Cambadélis, ils préparent déjà les victoires de la droite et de l’extrême droite.
    Ras le bol.

  4. Gilbert Duroux
    Posted 18 octobre 2015 at 16:47 | Permalien

    Le silence des frondouilleurs est assourdissant. On m’aurait menti à leur sujet ?
    Regardez ce qu’a écrit Gérard à leur sujet sur le mode « vous allez voir ce que vous allez voir ».

  5. lionel mutzenberg
    Posted 18 octobre 2015 at 18:04 | Permalien

    Enfin, retour sur terre ! Bien évidemment qu’il s’agit d’une provocation du PDG d’Air France !
    Qui n’aurait pas réagit après de tels propos, suivit d’un plan de licenciement de 2900 personnes, pardon, de suppressions d’emplois, comme ils disent, et de plans sociaux, pour faire passer la pilule.
    La cause, il faut toujours rechercher la cause: Le refus des salariés d’Air France d’accepter des baisses de salaires, avec augmentation du temps de travail.
    Mais dites, depuis des décennies nos vaillantes, et si peu compétitives, entreprises, licencient à tour de bras.
    Et si l’on s’était trompé; si au lieu de licencier les salariés l’on avait licencié les conseils d’administrations, si bien rémunérés, si bien lotis en avantages de toutes natures, et dont les compétences ne sont jamais remises en cause ?
    Tiens oui, le déficit de compétitivité ne serait il pas dû à l’incompétence de tous ces managers qui s’auto élisent, s’auto désignent, s’auto congratulent, lors de leurs assemblées générales qui généralement, les conduit à supprimer les emplois des autres, ces emplois productifs, qui créent la plus value, et donc les dividendes, qu’ils se partagent, en provisionnant pour leurs retraites chapeaux, et/ou, primes de départ à 7 chiffres, quelques soient les résultats comptables des sociétés dont ils sont les dirigeants ?
    Sans oublier les complices de cette saloperie : François Hollande, Manuel Valls, Emmanuel Macron, aux ordres du MEDEF, bras armé de la finance !
    Quand à notre ministre du travail, et notre ministre de la justice, elles ne sont guère plus brillante, même si je ne partage pas la curée contre la dernière nommée. Ces gens là se disaient de gauche, là est le plus grave de cette affaire.
    La décrépitude de la gauche n ‘est pas à chercher ailleurs; l’unité de la gauche, oui bien sur, mais sans le parti socialiste qui, aujourd’hui, a démontré qu’il est le plus vulgaire parti de la droite.
    Vulgaire parce qu’il prétend être ce qu’il n’est pas, ce qu’il n’est plus, depuis… 1983.
    Vous êtes dirigeant de ce parti alors que vous écrivez comme un militant du Front de Gauche; dites, ce ne serait pas une nouvelle mouture de,  » Mon adversaire c’est la finance », de ce jour du Bourget ou votre souverain à enfumé la France de gauche, et d’espoir ?
    Des militants socialistes il y en a de sincères, d’honnêtes, et l’on pourrait faire un bout de route ensemble; le problème, qu’ils laissent de côté leurs sectarisme pour l’autre gauche, eux qui, si souvent, ne voient que le sectarisme chez les autres.
    Staline est mort en 1953; la SFIO en 1972.
    Aujourd’hui est un autre jour.

  6. Hervé
    Posted 18 octobre 2015 at 19:09 | Permalien

    La Poste va expérimenter la livraison de colis le dimanche !!!

    REGRESSION TOTALE !!! PIRE QUE LE GOUVERNEMENT SARKOZY !!! C’est la Bérézina !

  7. Gilbert Duroux
    Posted 18 octobre 2015 at 22:18 | Permalien

    On est heureux d’apprendre qu’Emmanuel Macron est bien un homme de gauche. En effet, suivant les recommandation de Cambadélis, il a voté au référendum pour l’union de la gauche. Pour voter à ce référendum, suivant les critères du parti dit socialiste, il faut appartenir au camp de la gauche. Gérard Filoche ne cessant de dire que l’appartenance à la gauche est uniquement déclarative, c’est un peu contradictoire avec une pétition appelant à ce qu’il dégage.

  8. Posted 18 octobre 2015 at 22:20 | Permalien

    il n’est membre d’aucun parti

  9. Laveurs Pentrot
    Posted 18 octobre 2015 at 22:30 | Permalien

    Cela n’a pas de rapport direct mais c’est une entourloupe de plus à remédier :

    « Le cout du travail »
    De : 7.50
    « Le discours qui consiste à dire que la raison de notre manque de compétitivité c’est le cout du travail. Le cout du travail est responsable de tout. Ce qui n’est absolument pas vrai, j’ai été patron d’entreprise longtemps, ce n’est pas vrai. Vous ne pouvez pas dire le contraire tous les journaux le disent. J’étais récemment à un congrès du MEDEF à Marseille. Il y avait deux milles patrons. J’ai pris la parole, j’ai dit écoutez, j’ai été patron pendant vingt ans, vous savez très bien que ce n’est pas vrai. On se regarde là, vous savez très bien que ce n’est pas vrai il y a beaucoup d’autres raisons que l’on ne peut pas dire mais vous savez très bien que ce n’est pas vrai ! Tous ont applaudit. Les deux milles. Évidemment que ce n’est pas vrai, mais vous ne pouvez pas dire que ce n’est pas vrai. C’est vraiment le cout du travail est trop élevé. C’est du politiquement correct aussi. »
    À : 8. 32
    Jean-François Kahn, journaliste, écrivain, cofondateur et ancien directeur de l’hebdomadaire Marianne
    http://www.franceculture.fr/emission-du-grain-a-moudre-le-politiquement-correct-est-il-devenu-minoritaire-2015-10-15

  10. Gilbert Duroux
    Posted 19 octobre 2015 at 1:29 | Permalien

    GF : « il n’est membre d’aucun parti ».
    Et alors ? Qu’est-ce que ça change à la notion d’appartenance déclarative au camp de la gauche ?

  11. Posted 19 octobre 2015 at 5:40 | Permalien

    substantiellement, puisque le gars ne donne aucune traduction de son « engagement » et par ailleurs se déclare « libéral » (ce qui fait que ta « logique » ne répond pas a ce cas… ses « déclarations » se contredisent dans ce cas précis)

  12. Bueno
    Posted 19 octobre 2015 at 8:10 | Permalien

    Et qui parle des manifestants qui ont défiles jeudi dans Paris contre la banalisation du travail le dimanche?pas beaucoup de responsables politiques et syndicaux dit ,alors que c,est une régression sociale et un choix de vie contestable:là consommation tout azimut…

  13. archerducher
    Posted 19 octobre 2015 at 8:49 | Permalien

    Par contre CAHUZAC n’a pas été sorti « manu military » à 6 h du matin de chez lui !

  14. Posted 19 octobre 2015 at 10:31 | Permalien

    moi, et je faisais meeting la veille avec Karl Ghazy a malakoff

  15. Gilbert Duroux
    Posted 19 octobre 2015 at 15:26 | Permalien

    GF : « substantiellement, puisque le gars ne donne aucune traduction de son « engagement » et par ailleurs se déclare « libéral » (ce qui fait que ta « logique » ne répond pas a ce cas… ses « déclarations » se contredisent dans ce cas précis) ».

    Et Valls, c’est quoi la traduction de son engagement à gauche ? Ses déclarations en faveur de nos adversaires (les patrons obscurantistes) valent bien celles de Macron. Il voulait même supprimer le mot de socialiste. Désolé, Gérard, de te mettre dans l’embarras, mais c’est toi qui est en pleine contradiction avec cette idiotie qu’est l’appartenance déclarative.
    La pétition anti-Macron nous a amusé 5 minutes, mais maintenant il faut passer aux choses sérieuses : réclamer de la cohérence aux frondouilleurs en leur demandant de voter contre le budget Valls-Gattaz.
    Faute de quoi ils seront considérés à jamais comme des godillots de la pire espèce.

  16. cyril
    Posted 19 octobre 2015 at 19:52 | Permalien

    On continue à polluer, mais c’est bon pour la croissance. Super, 82 millions de touristes! Super, l’innovation.

    Lorsque les milieux de vie de notre planète seront détruits à tout jamais, on pourra toujours gloser!

    Ce qui nous bouffe c’est l’économie, l’idéologie de la croissance, la compétition, etc..

    La COP21 sera une vaste arnaque qui permettra à tous les pollueurs de continuer à nous assassiner!

    Mais de tout cela, c’est bon pour la croissance!

    Eh bien, en ce qui me concerne, j’ai décidé de sortir de l’employabilité, de l’aliénation au travail capitaliste. Pour ce faire, j’ai adopté une vie frugale qui va à l’essentiel. Je me suis recentré sur l’humain, les liens et je rejette le plus possible les biens!

  17. Tokoto
    Posted 19 octobre 2015 at 22:06 | Permalien

    petite erreur dans l’article.
    Le 05 octobre dernier, l’appel à la grève et à manifester était lancé par 12 syndicats du sol et naviguant, sauf la CFE-CGC et la CFDT, deux syndicats qui suivent aveuglément la direction et dégainent les stylos de signature d’accord plus vite que leur ombre.
    Prochaine manif, Air France, ce jeudi 22 octobre devant l’assemblée nationale à 13h00
    Venez nombreux

  18. Posted 19 octobre 2015 at 23:59 | Permalien

    Valls est membre d’un parti de gauche pas macron

  19. CanluCat
    Posted 20 octobre 2015 at 0:22 | Permalien

    @ARCHERDUCHER, pour aller dans votre sens :
    http://bernard-gensane.over-blog.com/2015/10/apprenons-a-les-reconnaitre.html

    GF : »Valls est membre d’un parti de gauche pas macron ». Le PS, en l’occurrence. Si vous l’y gardez, c’est bien que les socialo s’y « retrouvent ». C’est bien la raison pour laquelle, et je ne suis vraiment plus le seul, je ne voterai PLUS JAMAIS pour les socialistes !

  20. Gilbert Duroux
    Posted 20 octobre 2015 at 0:57 | Permalien

    GF : « Valls est membre d’un parti de gauche pas macron ».
    Et alors ? Qu’est-ce que ça change. La notion de gauche ne se réduit pas aux partis. Heureusement, d’ailleurs, parce que quand on voit l’état de décrépitude du parti que tu considères comme le cœur de la gauche… Aucune idée, rien, nada, que dalle, réduit à faire un référendum-chantage pour rallier derrière lui le reste de la gauche. Toujours à la manœuvre, le magouilleur en chef Cambadélis.
    Et les frondouilleurs, ils sont où les frondouilleurs ? On ne les entend plus. Sont rentrés à la niche, les frondouilleurs ?

  21. André
    Posted 20 octobre 2015 at 8:06 | Permalien

    donc si demain Macron prend sa carte au PS, il devient un homme de gauche? Comment peut-on être crédible avec de telles contradictions?

  22. Posted 20 octobre 2015 at 10:08 | Permalien

    oui, cela surdetermine l’individu bien sur…

    d’ailleurs l’attitude de tout le monde changera, dans le PS comme hors du PS vis a vis de lui

  23. Posted 20 octobre 2015 at 10:09 | Permalien

    l’appartenance a un parti surdétermine l »individu bien sur

  24. Posted 20 octobre 2015 at 10:09 | Permalien

    mais macron n’est pas membre

  25. Gilbert Duroux
    Posted 20 octobre 2015 at 15:26 | Permalien

    GF : « l’appartenance a un parti surdétermine l »individu bien sur ».

    Toujours des arguments d’autorité, sans la moindre explication rationnelle. Quand on voit ce que sont devenus les partis… Tu ne te poses même pas la question de savoir pourquoi, de plus en plus, on essaie de dépasser la forme parti. Tu vis dans le monde d’hier. Ton parti est un cadavre, qui sent de plus en plus mauvais :
    http://donatien.rodriguez.free.fr/LB/draycambabarto.mp3

    Au passage, toujours pas d’explication à propos du silence des frondouilleurs ?

  26. Posted 20 octobre 2015 at 15:37 | Permalien

    Bonjour,
    Ta boite mail est pleine !
    Je ne peux t’envoyer des messages !
    Je te conseille d’y faire du « ménage ».
    Bien amicalement.

  27. Posted 20 octobre 2015 at 18:38 | Permalien

    jacques Barthelemy c’est installé dans les années 1970 à Clermont-Fd comme Conseiller social. il est devenu avocat lors de la disparition des Conseillers juridiques fin des années 80, et a bénéficié des passerelles pour devenir avocat.

    Dès son installation, il a défendu les patrons, et a acquis dans ce milieu une solide réputation. En 1973, j’ai été licencié pour faute lourde sur ces conseils (aucune indemnité chômage et pendant 6 mois avt de trouver u,n travail en expertise comptable j’étais payé par la CNAS CFDT et de fait permanent syndical de la Construction). Il a démantelé ainsi la jeune section Syndicale ’4 délégués licenciés pour le même motif) qui s’était constituée chez le principal promoteur immobilier clermontois soit 20 personnes syndiqués sur 120 personnes ( SA Centre Auvergne immobilier). Le patron de CAI philippe Belin était Président de la Fédération national des promoteurs immobiliers FNPC

    un lourd contentieux va s’engager sur six ans (les procès en première instance et appel ont été gagnés par Barthélemy) qui va aboutir en cassation et en 2ème appel à :
    - la reconnaissance à l’unicité social et économique de groupe malgré des entités juridiques différentes pour les stes mères et filiales (même direction, même DRH, standard commun…) jurisprudence de cassation
    - le droit à la critique pour tous citoyens même si la critique touche le ou les production de l’entreprise, la diffamation rejetée pour avoir critiqué le concept immobilier des années 73. (jurisprudence de chambre sociale de la cour de cassation)…

    Mais la réintégration a été refusée, cela s’est terminée après fait avancer le droit social par des indemnités conséquentes, environ un an de salaires.

    je lui doit en définitif mon embauche à EDF, banni, le medef a tout fait pour que je ne retrouve pas d’emploi dans le privé….Heureusement que l’expert comptable qui m’a embauché était un sociaux démocrate, de même pour le Chef de Centre d’EDF GDF qui a résisté à l’harcèlement…(quelques années olus tard, il devenait adjoint à la Mairie de Nantes. dans l’équipe Ayrault.

    aujourd’hui, il a noué des contacts privilégiés avec la CFDT…. il est à l’origine par exemple de la convention collective des salariés des experts comptables;;;.
    Ce Monsieur a licencier de nombreux syndicalistes… et est un serviteur zélé du patronat…. Macron doit lui faire plaisir.

    Bernard GRANGEON

  28. Posted 20 octobre 2015 at 18:39 | Permalien

    sans parti l’humanite est morte, elle n’a plus d’avenir democratique, tous les adversaires des partis sont tyranosaures

  29. Posted 20 octobre 2015 at 18:41 | Permalien

    Chères et cher amis,

    A l’issue du vote sur le budget 2016, vous trouverez ci-dessous le communiqué de presse qui explique mon vote contre.

    Je reste disponible pour échanger sur ce sujet avec tous ceux qui le souhaitent,

    Bien à vous

    Pouria

    LE BUDGET DES DÉSÉQUILIBRES

    A l’issue d’une semaine de débat parlementaire sur le budget 2016, j’ai voté contre la première partie du Projet de Loi de Finances, relative aux recettes.

    Ce budget est en contradiction avec les orientations prônées par le Parti Socialiste lui-même1 ; déséquilibré, il est, à quelques exceptions, celui des mauvais choix et confirme un entêtement dans une politique sans vision d’avenir et sans résultat en matière de lutte contre les inégalités et les injustices. La France peut être bien plus ambitieuse.

    La poursuite du pacte de responsabilité, l’ajournement de la réforme fiscale, la baisse confirmée des dotations aux collectivités et les économies sur des secteurs pourtant essentiels pour un développement durable témoignent d’une inversion de l’ordre des priorités.

    Quel débat pourrons-nous avoir sur le budget de l’Etat quand les députés vont devoir choisir entre déshabiller l’hôpital public pour tenter de protéger l’éducation, entre couper dans le budget jeunesse ou dans l’appui aux territoires délaissés … tandis qu’une minorité de grandes entreprises et de grandes fortunes, de fait, imposent leurs lois et continuent d’échapper à la solidarité nationale.

    Après avoir, pour la troisième année consécutive, fait des propositions en faveur de l’investissement, de l’écologie, de la modernisation du pays ; après avoir suggéré des compromis, je constate qu’il ne reste guère de marge de manœuvre pour une réorientation, même raisonnable.

    Ne pouvant m’y résoudre, j’ai donc en conscience voté contre.

    Note aux rédactions :

    Le 27 juillet dernier, le Bureau national du Parti socialiste votait à la quasi-unanimité un document budgétaire intitulé « Six mesures économiques et fiscales pour réussir la fin du quinquennat » en vue du PLF et du PLFSS 2016. Parmi ces mesures, le dosage des politiques d’offre et de demande, l’optimisation des aides aux entreprises, les investissements publics et la réforme fiscale. Ces mesures, défendues par des amendements par Pouria Amirshahi et plusieurs députés, ont reçu un avis négatif du gouvernement ou ont été ajournées.

  30. Posted 20 octobre 2015 at 18:45 | Permalien

    http://www2.assemblee-nationale.fr/scrutins/detail/%28legislature%29/14/%28num%29/1177

    Groupe socialiste, républicain et citoyen (287 membres)

    Pour: 252

    Contre: 1

    Pouria Amirshahi
    Abstention: 18

    Laurent Baumel
    Jean-Pierre Blazy
    Kheira Bouziane-Laroussi
    Fanélie Carrey-Conte
    Dominique Chauvel
    Pascal Cherki
    Hervé Féron
    Aurélie Filippetti
    Linda Gourjade
    Mathieu Hanotin
    Christophe Léonard
    Christian Paul
    Michel Pouzol
    Patrice Prat
    Denys Robiliard
    Barbara Romagnan
    Gérard Sebaoun
    Suzanne Tallard

  31. 1956
    Posted 20 octobre 2015 at 21:30 | Permalien

    270 chemises à déchirer…
    Ras le bol.
    Pourquoi pas de référendum auprès des électeurs de gauche sur le budget Valls 2016?

  32. Gilbert Duroux
    Posted 20 octobre 2015 at 21:42 | Permalien

    C’est bien ce que je disais, exit les frondouilleurs. Un seul, Pouria Amirshahi, a voté contre le projet de budget Valls-Gattaz.
    Les socialos sont incapables d’appliquer leurs propres textes. les députés socialos n’ont qu’un but : les plaçous et les prébendes. Une fois élus, leur obsession c’est de se faire réélire, quitte à renier toutes leurs convictions. À part ça, comme on dit dans les livres de contes pour enfants, « les partis politiques concourent à l’expression de la démocratie ».

  33. Posted 21 octobre 2015 at 0:19 | Permalien

    Dépêche AFP ce 20 oct 21h19

    Les socialistes portugais, décidés à tourner la page de l’austérité, ont assuré mardi être sur le point de former une alliance avec la gauche antilibérale pour faire obstacle à un gouvernement minoritaire de la coalition sortante de droite, pourtant arrivée en tête des élections législatives.

    Deux semaines après le scrutin du 4 octobre, le chef du gouvernement sortant, Pedro Passos Coelho, et le chef du Parti socialiste (PS), Antonio Costa, revendiquent tous deux le poste de Premier ministre.

    La balle est désormais dans le camp du président de la République, le conservateur Anibal Cavaco Silva, qui doit désigner le chef du prochain gouvernement à l’issue des dernières consultations mercredi avec l’ensemble des partis représentés au Parlement.

    « Après les contacts que nous avons eus avec le Parti communiste et le Bloc de gauche, nous pouvons dire que nous sommes en mesure de former un gouvernement disposant d’un soutien majoritaire au Parlement », a assuré mardi M. Costa à l’issue d’un entretien avec M. Cavaco Silva.

    « Les négociations, qui sont complexes, doivent être conclues dans les prochains jours, mais elles ont déjà permis de créer les conditions pour la formation d’un gouvernement stable », a déclaré Catarina Martins, porte-parole du Bloc de gauche, formation apparentée à Syriza, parti au pouvoir en Grèce.

    - Echec des négociations droite-gauche -

    Après avoir perdu la majorité absolue dont il disposait depuis 2011, M. Passos Coelho avait été chargé par le chef de l’Etat de chercher le soutien de l’opposition socialiste afin de former un gouvernement « stable et durable ».

    Ces négociations ont tourné court car, d’après le PS, la coalition sortante refuse de rompre avec sa politique de rigueur budgétaire.

    En parallèle avec les discussions menées avec la droite, les socialistes avaient entamé un dialogue avec le Parti communiste et le Bloc de gauche en vue de la formation d’un « gouvernement alternatif ».

    Avec 32,3% des voix et 86 députés sur les 230 que compte le Parlement, les socialistes ont besoin du soutien du Bloc de gauche (19 sièges) mais aussi de la coalition communistes-Verts (17 élus), dont les dirigeants seront reçus par le président mercredi.

    Aussitôt après les élections, les partis de la gauche radicale s’étaient dit prêts à soutenir la formation d’un gouvernement dirigé par les socialistes, même sans en faire partie.

    Une telle alliance serait inédite depuis l’avènement de la démocratie au Portugal, en 1974, et semblait invraisemblable il y encore quelques semaines en raison des divergences historiques entre socialistes et l’extrême gauche.

    - Respect des engagements internationaux -

    M. Costa a assuré à plusieurs reprises qu’un éventuel gouvernement dirigé par les socialistes respecterait les engagements internationaux du Portugal, les deux partis de la gauche radicale étant prêts à mettre entre parenthèses leur rejet du traité budgétaire européen et leur exigence de renégocier une dette publique qui frôle les 130% du PIB.

    Reçu lui aussi par le chef de l’Etat, M. Passos Coelho a dit s’attendre à être reconduit à son poste, faisant valoir que la coalition formée par le Parti social-démocrate (PSD, centre droit) et son partenaire conservateur (CDS) avait remporté une victoire électorale « claire » (38,6% des voix et 107 députés).

    « C’est à ces deux formations qu’il revient naturellement de former le gouvernement », a-t-il affirmé, se disant convaincu de pouvoir, malgré tout, obtenir au Parlement le soutien nécessaire pour offrir au Portugal « une période de stabilité et de confiance ».

    Paulo Portas, président du CDS et vice-Premier ministre du gouvernement sortant, a accusé M. Costa d’ »ignorer la volonté du peuple » afin d’ »assurer sa survie politique » au lendemain de sa défaite électorale.

    Selon la plupart des analystes, le président Cavaco Silva s’apprêterait tout de même à nommer M. Passos Coelho au poste de Premier ministre, ce qui obligerait la gauche à s’unir pour rejeter le programme d’un gouvernement minoritaire de droite et provoquer ainsi sa chute.

  34. Posted 21 octobre 2015 at 0:26 | Permalien

    oui, c’est moins bien que voulu mais pas si mal 19 abstentions + 1 contre et ce n’est que le premier vote

  35. Gilbert Duroux
    Posted 21 octobre 2015 at 1:09 | Permalien

    Une abstention, dans ce cas de figure, c’est de la totale lâcheté. Parce que ça n’empêche en rien le vote de passer. Tu fais rigoler tout le monde avec ton « ce n’est que le premier vote ». Tu fais le même coup à chaque fois. Faut arrêter les tartarinades. Tu sais très bien qu’ils ne s’opposeront pas. Ton rôle est d’entretenir l’illusion. Mais ça ne prend plus. Au bout d’un moment, les trucs du prestidigitateur sont éventés.

  36. Gilbert Duroux
    Posted 21 octobre 2015 at 1:11 | Permalien

    La dernière fois qu’on a entendu causer des frondouilleurs sur ce blog, c’était : « il y a des progrès, ils sont désormais 60 opposants à l’AN ». Ils sont où les 60 frondouilleurs ?

  37. 1956
    Posted 21 octobre 2015 at 3:52 | Permalien

    Applaudi au MEDEF et sifflé dans le 93, voilà le résultat.
    Tant que ce gouvernement ne sera pas mis en minorité à l’Assemblée, tout le reste ne sera que des gesticulations calculées pour finir de tromper l’électeur de gauche.
    Même pas une menace pour revenir aux textes signés cet été au BN du PS, encore moins aux engagements de 2012.
    Comment retrouver une once de crédibilité et de confiance à la veille des élections régionales?
    Comment envisager une union des forces de gauche et un rassemblement contre l’extrême droite et la droite assumée?
    Comment combattre l’abstention à gauche quand des élus en font le pire usage pour se déguiser jusqu’en 2017?
    Ce président, son gouvernement et ses parlementaires installent le désespoir démocratique. Ils fragilisent notre république et ce ne sont pas les annonces de fermeté de Valls qui vont rétablir la confiance.
    Les responsables sont les élus qui cautionnent et qui s’abstiennent. Macron n’est pas passé par le suffrage universel, il n’engage que lui.
    Cette politique porte l’entière responsabilité de la montée en pourcentage de l’extrême droite.
    GF compte sur les prochains votes, avec une seule voix c’est désespérant.

  38. socrate
    Posted 22 octobre 2015 at 14:59 | Permalien

    peu importe pour moi de l’existence des partis tant que cette 5em république sera ce qui me détermine est le respect des engagements faits lors des campagnes électorales notamment présidentielle et législative ….et les dernières en date m’ont laissé un gout amer dans la bouche celui de la trahison ; du déni de démocratie.

    Pour moi aucune difficulté n’est donc une excuse recevable a la force d’inertie de ce gouvernement .

    En 2012 on ne pouvait ignorer la crise économique mondiale pour justifier depuis le renoncement et la capitulation ; l’abandon des engagements ; le choix de privilégier le Medef plutôt que les salariés ,les mesures de recul social ….

    de telles erreurs fautes et trahisons répétées ne peuvent etre pour ma part abandonnées sans une sanction dans les urnes …

    le manque de députés et sénateurs honnêtes jusqu’au bout dans leur démarches de  » socialistes  » me confirme dans mon choix désormais d’opposant

  39. archerducher
    Posted 22 octobre 2015 at 19:01 | Permalien

    19 abstentions qui ne veulent rien dire,c’est ce cacher à l’orée du bois en attendant les micros et caméras pour parler de ne rien dire .

  40. Posted 23 octobre 2015 at 10:37 | Permalien

    j’aime ces gens qui notent les autres…

  41. Posted 23 octobre 2015 at 10:38 | Permalien

    Bonjour Mr Filoche

    Merci pour votre présence le 21 octobre 2015, votre prestation ma un peut redonner envie de croire qu’il y’a encore quelle chose a joué avant 2017.

    Si vous avez une adresse Gmail je pourrais vous mètres en ligne les photos que j’ai prise se jour. Si non André et Marie-Antoinette Blasco les on a disposition.

    Cordialement Mr Clerc M. (CFDT Métaux 68)

  42. Posted 23 octobre 2015 at 10:43 | Permalien

    le « droit à la déconnexion » ça existe déjà

    ça s’appelle droit au repos quotidien dans la code du travail : 11h par jour

    ça devrait devenir 12 puis 13 h par jour

  43. Posted 23 octobre 2015 at 10:52 | Permalien

    Cher monsieur

    J’ ai lu votre article dans L’Humanité Dimanche sur les AT dans la sidérurgie.Heureusement que des personnalités comme vous défendent les travailleurs.
    Cordialement

    Jacques

  44. 1956
    Posted 23 octobre 2015 at 18:21 | Permalien

    Le PdG d’EDF nommé depuis 2012 annonce le renouvellement du parc nucléaire « en s’associant à des partenaires » sans aucun débat public.
    Il faut comprendre une accélération de la privatisation du bien collectif.
    Cette annonce a forcément le soutien du gouvernement Valls.
    EDF, adhérente du MEDEF, va privatiser au profit des amis Bouygues, Vinci, Eiffage, … Après que le client ai financé la remise sur pied d’Areva.

    Je ne me souvenais pas avoir voté pour ce programme en 2012.
    Y a un loup, ras le bol.
    Vite une union sur un programme de gauche.

  45. Gilbert Duroux
    Posted 24 octobre 2015 at 23:11 | Permalien

    1956 : « Vite une union sur un programme de gauche ».
    D’accord, mais le parti prétendument socialiste ne marchera jamais.

  46. Posted 25 octobre 2015 at 8:15 | Permalien

    toujours vigilant hein, contre l’unite

  47. Gilbert Duroux
    Posted 25 octobre 2015 at 17:55 | Permalien

    Au contraire, je suis vigilant pour l’unité en pointant ceux qui ne la veulent pas. Je suis aussi vigilant pour voir ce que font tes chers « frondouilleurs », qui devraient se réveiller si l’on croit tes calembredaines à leur sujet.

Déposer un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera jamais transmise.

*