Macron permet la terreur sociale chez Smart Daimler à Hambach où le FN fait 50 % et approuve

Smart, la mystification Macron et l’illusion Le Pen

 

A peine deux jours après les élections qui ont donné le résultat que l’on sait, les urnes pas encore refroidies qu’apprend-on ?

Chez Smart, alors que le vote des ouvriers avait repoussé la réorganisation du temps de travail, la direction de l’entreprise leur a fait signer individuellement une modification des contrats de travail.

C’est illustration la plus claire de la violence, du mépris et de la brutalité appliqués à une collectivité.

Il n’aura donc pas fallu très longtemps pour que l’on voie dans sa nudité virginale en quoi le « Ligne MACRON » est une pure illusion, une mascarade.

Le respect de la démocratie n’étouffe pas les tenants de l’augmentation des dividendes. D’ailleurs si l’entreprise était une démocratie ça se saurait !

Les dirigeant de cette entreprise on donc fait en sorte d’utiliser le chantage le plus clair pour induire un comportement individuel : Si collectivement un salarié peu se prémunir contre cette violence, il n’a aucun moyen de se prémunir contre une violence qui s’exerce individuellement contre lui.

Que fait la direction de l’entreprise ? En quelque sorte elle lève le secret de l’isoloir qui ne lui a pas donné satisfaction pour le remplacer par un contrat individuel, dont on voit bien ce que le refus de le signer impliquera : licenciement et chômage.

Les donneurs d’ordre disposent pourtant d’une usine rentable, qui n’a nul besoin de compresser ses coûts pour survivre. Dès lors on ne peut qu’en conclure qu’il y a autre chose, encore plus grave derrière cette affaire caricaturale : La volonté d’écraser toute velléité de résister. Aucune expression, même la plus policée et civilisée ne sera tolérée.

Il y a fort à parier qu’ils ne reconnaîtront jamais leur responsabilité sociale et politique, les seul comptes qu’ils aient à rendre, c’et à leurs actionnaires.

Que peut faire un salarié face à cette pratique de terreur sociale ?

Il a exercé son droit de vote et a dit non, ses organisations syndicales locales ont fait ce pourquoi elles étaient mandatées, et pourtant il se voit imposé par la violence ce contre quoi il s’exprime.

Il constate que son gouvernement ne voit rien à redire à ce à quoi il est confronté, non seulement le silence de nos politiques est assourdissant, mais pire encore il le théorise.

Pas un mot de monsieur Macron, qui continue de penser que le travail du dimanche doit être basé sur le volontariat, et à entretenir la mystification selon laquelle un salarié et un employeur traiteraient à parties égales lors de la signature d’un contrat de travail.

Pas un mot de Monsieur Le Foll, qui, dans une magnifique langue de béton, répondant à Madame Polony devant les caméras, à propos du volontariat du travail du dimanche : « Madame Polony, pourquoi imaginez-vous le pire ». Et bien Monsieur Le Foll, le pire et là sous vos yeux.

Pas un mot de Monsieur Hollande, celui qui pensais que la finance était son ennemi il y a encore deux ans.

Ces tenants de l’adaptation individuelle du contrat de travail semblent très bien se satisfaire de ce coup délibéré donné au dialogue social collectif. Ils sont parvenus à transformer 44 % de refus dans le secret de l’isoloir en 90 % d’acceptation en public (résultat du vote des salariés Smart versus le nombre de signature des avenants aux contrats de travail selon la direction de l’usine). Quelle belle victoire !

Ah ils font du beau travail ces cadres de haut niveau et ce personnel politique aveugle. La mascarade du volontariat est une évidence, elle ne les empêche pas de continuer de jouer avec.

Allez-vous ouvrir les yeux ? Allez-vous enfin comprendre là où vous menez le pays ? Hélas je vous crois trop intelligents pour ne pas le savoir d’avance.

Ceux de Hambach sont probablement les fils des métallurgistes trahis dans les années 70. Ils ont vus Hollande leur tenir un joli discours sur le toit d’une camionnette en 2012.

Que peut-il se passer dans une tête de salarié qui se voit ainsi dénudé de sa fierté et de sa dignité la plus intime ?

Il cherche sans aucun doute une perspective politique qui lui permette de faire dignement face, de ne pas utiliser la violence face à cette brutalité. Où peut il la trouver lorsque ses représentants naturels, ceux dont on pourrait penser qu’ils agissent en son nom, se taisent ou pire encore, cherchent à généraliser « l’inversion des normes juridiques ».

C’est sous ce vocable complexe, qui semble éloigné de ses préoccupations immédiates que ce cache le concept dont il est victime. C’est en effet en théorisant le remplacement du rapport collectif par un rapport individuel que M. Macron s’est fait un nom et une loi. Pourtant l’histoire de la démocratie est précisément celle du rapport politique collectif affrontant le rapport individuel à travers entre autre les élections.

Lorsqu’il organise et légitime une violence légale, permettant tous les chantages au chômage en la renommant « volontariat », il ne fait rien d’autre que de transformer les mots, pas la réalité.

Vous vous interrogez sur les raisons du vote massif Le Pen ? Commencez par cesser de désespérer Hambach où le FN passe les 50 %  (à Billancourt on vote maintenant LR à 64 % et FN à 6 %).

Ces votes sont les exutoires politiques d’une désespérance sociale. C’est le résultat de ce musèlement de cette « France d’en bas » qu’on s’évertue à ne pas entendre.

Le paradoxe c’est que Mme Le Pen n’a pas non plus dit un mot sur cette question, et pour cause ! Elle partage cette même volonté de rendre silencieux les mêmes. Elle partage le même point de vue que LR et PS : Tais toi et bosse !

Merci à Richard Bloch (cheminot ex-CFDT, puis CGT et aujourd’hui responsable CGT  sur Paris des conseillers du salarié) auteur de cet excellent papier

28 Commentaires

  1. sans ressources
    Posted 16 décembre 2015 at 20:23 | Permalien

    ce qui est plaisant c’est que ces rapaces sont insatiables et en voudront toujours plus (ou toujours moins cela dépend d’où on se trouve)
    l’expérience prouve que d’ici peut ils reviendront les trémolos plein la voix pour dire que la compétitivité, la concurrence, le marché blablabla pour dire qu’il faut de nouveau un effort et ce sera 42h payées 35 puis 45 payées 30, le capitalisme a, mine de rien, inventé le mouvement perpétuel, toujours plus bas
    je suis prêt à parier ma maison contre un carambar que ce sera le cas, d’autres entreprises l’on fait et au final, ils partiront tout de même

  2. socrate
    Posted 17 décembre 2015 at 1:19 | Permalien

    6 % de salaire en plus pour 12 % de temps de travail supplémentaire.donc 6 % de temps de travail gratuit…
    peut mieux faire….
    Macron va surement améliorer tout ça dans la future coalition LRPS Raffarin Valls

  3. Jack
    Posted 17 décembre 2015 at 7:13 | Permalien

    Ce n’est que le début. Une autre entreprise dont je terrai le nom en publique utilise le même procédé pour faire faire le même travail à des CDD en 32h là où les CDI déjà en place prennent 39.C’est une entreprise qui a déjà été condamné pour des CDD à répétition, et qui pourtant continue à le faire, le nombre de procès étant anecdotique par rapport à la réalité! Et vous savez qui est son actionnaire principal? L’État. LR, PS et FN partagent le même point de vu. Pour une fois, ce n’est pas dans un commentaire (et pas censuré!), mais de votre propre plume que ça sort! Enfin, vous le reconnaissez! ;-)

  4. Posted 17 décembre 2015 at 7:27 | Permalien

    On peut aussi regarder le score du FN et de la droite la puissance est sise l’entreprise Total en litige avec l’inspectrice du travail L’aura Pfeiffer (qui a interjeté appel)

    Le constat d’une part du déséquilibre du partage de la valeur ajoutée au profit des actionnaires et au détriment des salariés et d’autre part de la primauté de la force et du stratagème sur la loi et/ou la morale est juste; et c’est une faute politique de ne pas avoir remédié ce qui n’est pas étranger à la montée du FN d’autant qu’il n’y a aucune justification de compétitivité.

    Mais il est tout aussi juste de constater que l’entreprise doit s’adapter à des clients ou fournisseurs internationaux et que dans ce contexte du carcan des 35 heures, le travail en soirée ou de nuit ou le travail du dimanche peuvent être véritablement un enjeu de compétitivité pour autant que cela se traduise positivement pour les salariés (financièrement ou autre)

    Le problème est que nous ne sommes plus dans un libéralisme sain avec des règles et une morale, mais dans un version dévoyée par la financiarisation déconnectée de l’économie réelle.

    Quand on observe les leaders politiques dominants à gauche (le Foll, le Roux, Macron, Valls, Cambadelis…) ou à droite (Wauquiez, Sakozy, Morano…) voire minoritaires à gauche (Fdg, EELV, soit disant frondeurs…) ou à droite (NKM…) force est de constater qu’il n’ont rien compris à ce qui se passe dans la société avec le vote FN car le diagnostic de chacun est faux

    Le FN prospère sur les turpitudes d’une classe politique de droite et de gauche qui n’a plus de projet de droite ou de gauche et qui pour certains est indigne des fonctions au sein des institutions de la République (corruption banalisée : « monde d’influence et de communication » à dit par euphémisme le procureur d’Annecy)

    Dans ce contexte une victoire FN en second tour de 2917 reste peu probable mais n’est plus impossible car le « front républicain » atteindra ses limites

  5. JeanLouis
    Posted 17 décembre 2015 at 8:14 | Permalien

    Mr Filoche c’est sûr qu’ils sont assez intelligents pour savoir où ils mènent le pays, mais c’est volontaire dans la défense d’une caste, d’une oligarchie,le PS est mort, et sa politique mortifère… Je suis d’accord toujours toujours avec vos analyses mais votre stratégie est incompréhensible car vous êtes membre du PS alors les gens pensent il est là comme d’autres pour amuser la galerie mais en fait rejetons les tous, les seuls qui gueulent fort et que l’on entend dans mes media c’est le FN alors allons y. Il faudrait renforcer le plus possible l’opposition de gauche car là est la solution mais là danger tout ce qui compte fait barrage…

  6. Posted 17 décembre 2015 at 9:03 | Permalien

    mais quelle idiotie de continuer a dire que le PS est mort !
    24 % des voix, 6 millions d’electeurs le 6 decembre, et ce par une majorite de gauche qui s’est servi du PS pour faire barrage à LR et FN, avec raison !
    rejouissez vous donc qu’il y ait une forte gauche socialiste

  7. Posted 17 décembre 2015 at 9:04 | Permalien

    pas de front republicain,

  8. Posted 17 décembre 2015 at 9:05 | Permalien

    non, je fais toujours distinction entre gauche et droite, classe contre classe,
    meme quand la « gauche »laisse des OVNI comme ce macron (il est pas ps) commettre de tels crimes anti sociaux,

  9. Posted 17 décembre 2015 at 9:40 | Permalien

    les 35 h ne sont en rien un carcan : la durée maxima c’est 48 h
    travailler le dimanche et de nuit est un retour au 19° siécle, intolerable
    le libéralisme est une barbarie inhumaine et n’a rien de « sain »
    le FN est dirigé par une bande de fachos racistes intégristes, obscurantistes et corrompus, valises en suisse, qu’est ce que c’est que cette indulgence ?

  10. Nemo
    Posted 17 décembre 2015 at 10:47 | Permalien

    C’est faux, les employés avaient voté en majorité pour le retour aux 39h, ce sont les syndicats qui s’y sont opposées….
    De plus, personne n’est lésé, ce n’est pas du travail gratuit, puisque je vous rappelle qu’on est passé de 39h payées 39 à 35h payées 39 (là, ce sont les patrons qui payaient des heures non travaillées, mais vous trouviez cela normal…), donc même à 37h payées 39, les salariés sont gagnants.

  11. Posted 17 décembre 2015 at 10:50 | Permalien

    c’est faux, 72 % des ouvriers ont vote contre, le chiffre de 56 % pour était avec les cadres, mais ce « referendum » etait illégal, la loi dit que ce sont les syndicats majoritaires qui signent ou non, ils n’ont pas signé

  12. socrate
    Posted 17 décembre 2015 at 11:02 | Permalien

    on peut tout de meme constater que la les salariés ont massivement signé l’avenant proposé.
    pourquoi ne sont ils pas rester unis et refuser la proposition de l’entreprise ?
    Smart n’aurait pas viré 90 % des salariés…
    c’est donc une faiblesse de conviction et de solidarité avant tout

  13. Posted 17 décembre 2015 at 11:06 | Permalien

    inoui t’en parle a ton aise,
    dans le contrat de travail chaque salaire est subordonne,
    c’est pourquoi le droit du travail est collectif
    il ont violé illégalement ce droit collectif en menaçant individuellement chaque salarié, macron, valls combrexelle, badinter veulent rendre cela légal

  14. socrate
    Posted 17 décembre 2015 at 12:38 | Permalien

    le contrat de travail est individuel
    c’est pourquoi il revient a chaque salarié de signer ou refuser un avenant
    un avenant ne peut etre assimilé pénalement a une  » menace  »
    j’ai juste dis que si les salariés étaient restés solidaires dans leur refus de revenir au 39 heures en ne signant pas individuellement l’avenant Smart aurait pas viré 90 % de ses salariés
    ce que Smart a fait toutes les sociétés peuvent le faire il convient d’organiser une solidarité de tous les salariés qui doivent rester solidaires dans leurs actes d’individus comme ils le sont dans le groupe

  15. rêveur
    Posted 17 décembre 2015 at 13:21 | Permalien

    Oui NEMO a raison,
    il faut un peu de sérieux… 35h Payées 39 c’était déjà un bon début mais il sea plus que temps de passer à 32H… avant de diminuer encore davantage la durée du temps de travail.
    Des travailleurs le dimanche …. Oui… des pompiers, médecins, infirmiers … mais pas des grandes surfaces… Pas besoin d’acheter des perçeuses le dimanche.
    Une 6ème semaine de congés payés et un partage du temps de travail… une stricte égalité de salaires à travail, compétences et diplômes égaux…

    Je ne saisis pas en quoi E. Macron, M. Valls et le président qui les a nommé là où ils sont (sans élection en fait… qui les a mis là ?) sont socialistes. Le PS ne représente pas l’entièreté de la gauche et tous au PS ne sonty certainement pas socialistes. En tout cas, pas avec les cops de lattes qu’ils nous mettent.
    A quand le retour de « jours heureux »… l’esprit de 45 ?
    Banzaï

  16. Posted 17 décembre 2015 at 13:57 | Permalien

    non mais tu reves tout debout, t’es aveugle ?
    l’avenant etait sous le coup d’un chantage evident et grave : signer ou la porte
    c’est une procédure illégale ! et scandaleuse
    les salariés étaient solidaires, les faire signer individuellement etait pour briser cette solidarite

  17. socrate
    Posted 17 décembre 2015 at 14:30 | Permalien

    si je rève tout debout c’est quand j’espère quelque chose de ce gouvernement Hollande Valls

    que l’avenant soit une menace pour les employés je vais pas te dire le contraire
    J’ai vécu cela personnellement

    mais quand la situation économique est évoquée l’inspection du travail ne s’oppose pas a cette pratique ; tout a fait légale mème si dégueulasse…

    excuse moi c’est pas moi qui fait les lois

  18. Posted 17 décembre 2015 at 14:57 | Permalien

    non c’est une pratique illégale, et les syndicats vont sans doute saisir les tribunaux

  19. Richard G.
    Posted 17 décembre 2015 at 16:31 | Permalien

    Vous avez détesté Macron, vous allez adorer Raffarin !

  20. RB
    Posted 18 décembre 2015 at 10:06 | Permalien

    quelques éléments supplémentaires pour alimenter la réflexion sur le sujet :
    - Le vote des salariés de Smart est très différentié selon le corps électoral : 61 % contre l’accord chez les ouvriers et 74 % des cadres sont pour. Je me pose une question à laquelle je n’ai pas trouvé de réponse : Combien de cadres du corps électoral sont au « forfait jour », donc non concernés ?
    - L’argument selon lequel reprendre deux heures sur les quatre gagnées en passant de 39 à 35 heures payées 39 est un peu fallacieux et ignore la réalité. La définition du temps plein n’est que la définition du seuil au delà duquel les heures de travail deviennent supplémentaires et payées en tant que telles. Et d’ailleurs pourquoi s’arrêter aux 39 heures ? On pourrait également repasser aux 50 heures et s’estimer gagnant par rapport aux 60 heures pratiquées au début du 20° siècle.
    - Pourquoi réserver à la seule direction d’une entreprise le droit d’organiser un vote autour d’une question qu’elle est seule à poser ? Par exemple pourrait on poser la question aux salariés dans toutes les entreprises où existent des retraites chapeau pour savoir s’ils ne préféreraient pas que ces sommes soient remisent dans la masse salariale commune ? Ou éventuellement ce que pensent les salariés de chez Mac Do ou Starbuck des pratiques fiscales de leurs employeurs et de l’impact que ça a sur leur prime d’interréssement ?

  21. Greg
    Posted 20 décembre 2015 at 17:20 | Permalien

    Némo, tu devrais remonté jusqu’au XIXè siècle aussi pour dire que les 35h sont payés 100h, sombre crétin ! Et les marges des connards que tu défends elles ont grimpé de combien ? T’es pas très clair à ce sujet hein…

  22. nemo
    Posted 21 décembre 2015 at 8:34 | Permalien

    Aucun problème avec les marges, elles sont encore trop faibles à mon sens… Si ta condition ne te satisfait pas, démissionne et monte ta boite, ensuite on pourra discuter…

  23. nemo
    Posted 21 décembre 2015 at 8:40 | Permalien

    Et c’est vrai que la condition ouvrière s’est énormément améliorée depuis un siècle, et là avec les 35 heures, on a dépassé la limite du supportable pour les entreprises, d’où le refus d’embauche en CDI (entre autres…)

  24. Posted 21 décembre 2015 at 11:06 | Permalien

    jamais les marges n’ont été aussi élevées,
    profits et dividendes ont pris plus de 10 points aux salaires depuis 25 ans,

    nemo est un analphabete, il veut que 18 millions de salariés montent une « boite (sic) sans doute pour prendre la place des 1,2 millions de patrons ? sachant que 1000 patrons font 50 % du pib..

  25. socrate
    Posted 21 décembre 2015 at 16:54 | Permalien

    Jai été licencié par une boite qui faisait 51 % de marge commerciale
    mais qui a mis en avant le principe de défense de sa compétitivité et l’inspection du travail a accepter nos licenciements
    Nous avons appris a nos dépends que tout pouvait etre mis dans les motifs de licenciement éco
    et depuis 2012 tout ça s’est dégradé encore plus….

  26. Posted 21 décembre 2015 at 18:55 | Permalien

    pas vrai
    l’IT n’ pas de pouvoir d’appréciation des licenciements
    avec pareille marge vous auriez pu ester en justice

  27. socrate
    Posted 21 décembre 2015 at 19:17 | Permalien

    l’I.T n’a pas a se prononcer sur le motif juridique…
    et bien pourtant dans sa décision d’autoriser nos licenciements de personnels protégés l’ IT a pourtant fait mention d’éléments économiques en reprenant la thèse patronale
    bien évidemment nous sommes en justice…

  28. Posted 22 décembre 2015 at 16:19 | Permalien

    Faire signer obligatoirement une modification du contrat de travail n’est pas légale. Une renégociation en bonne et due forme devrait être organisée.

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