Privatiser ADP, pour nous, c’est Non ! signez

 

 

 

Pour la première fois un référendum demandé par les citoyens et plus de 180 parlementaires est possible. Battre Macron et son gouvernement contre la privatisation d’Aéroports de Paris aurait une valeur d’exemple. La dynamique créée serait vertueuse pour bloquer d’autres privatisations, renationaliser les autoroutes, développer une société des services publics. « Quand tout est privé, on est privé de tout ! ». La bataille qui s’engage est donc une bataille pour un autre projet de société : un projet au service de l’intérêt général, de la satisfaction des besoins de toutes et de tous.

 

Alors, vite ! Tous sur le pont pour gagner l’engagement de 4,7 millions de nos concitoyens. C’est la condition indispensable, nécessaire pour gagner le référendum.

 

Référendum d’initiative partagée – Mode d’emploi

Se rendre sur le lien suivant : https://www.referendum.interieur.gouv.fr/soutien/etape-1 et se munir d’une carte nationale d’identité ou passeport.

 

     

  1. répondre : je soutiens puis cliquez sur SUIVANT
  2.  

  3. Remplissez les cases
  4. - France

    - choisir le département où vous votez habituellement

    - saisir la commune où vous votez (attention on vous la proposera avec son numéro d’INSEE qui est différent du code postal- acceptez). Attention ! Ne pas faire espace entre par ex SAINT JUNIEN mais mettre un tiret  SAINT-JUNIEN

     

 

- saisir votre nom

- saisir vos prénoms dans l’ordre de l’état civil (comme sur votre CNI ou votre carte d’électeur ou d’électrice) sans virgule entre les prénoms

- cochez la case de votre sexe

- saisir votre date de naissance

- choisir votre pays de naissance

- choisir votre département de naissance

- saisir votre commune de naissance

cliquez sur SUIVANT

 

 

     

  1. -saisir votre numéro de Carte Natonale d’Identité (il est situé sur votre CNI au recto en haut) 

    -saisir la date de délivrance de la CNI (elle est située au verso ; saisir d’abord le mois et l’année puis le jour)

  2. -saisir le département de délivrance de la CNI

    -saisir votre mail

     

  3. cliquez sur VALIDER LE SOUTIEN
  4.  

  5. Toutes les infos que vous avez saisies s’affichent ; vérifiez-les
  6.  

  7. Allez en bas pour saisir les caractères montrant que vous n’êtes pas un robot
  8.  

  9. cliquez sur CONFIRMER LE SOUTIEN
  10.  

  11. N’oubliez pas d’imprimer ou d’enregistrer votre récépissé de vote ! 
  12.  

 

Vous pouvez consulter la liste des soutiens après 5 jours.

 

Il faut compter 5 bonnes minutes pour répondre à tout… mais c’est important  de faire ce geste  la victoire est au bout …

 

Faites passer dans vos réseaux, les premiers jours sont importants … et les suivants tout autant. Il faut plus de 530 000 signataires chaque mois pendant 9 mois !

Un bureau de vote internet est ouvert par canton dans la commune la plus importante, des mairies peuvent ouvrir un espace de vote.  Faire des démarches auprès des mairies…

 

On ne peut pas retirer sa signature.

 

Il faut être inscrit sur les listes électorales sinon cela ne marche pas.

 

Faire signer  les amis, partager,  des affiches et des tracts ont été conçus notamment par François Ruffin et Fakir.

 

 

 

 

     

     

     

     

     

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

     

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2 Commentaires

  1. Canna
    Posted 26 juin 2019 at 9:52 | Permalien

    Bonjour Monsieur Filoche,
    Vous qui semblez bien au courant, pouvez-vous me répondre sur ce point :

    Je suis née à Saint-Ouen mais à l’époque, c’était le département 75 (comme l’indique mon numéro de sécu). Or, maintenant, c’est devenu le département 93.

    Que dois-je indiquer dans la case « département de naissance »? 93 ou 75 ?

    Comme je suis sure que tout sera bon pour invalider les signatures…..

    Merci pour votre réponse

  2. Posted 27 juin 2019 at 17:53 | Permalien

    Comment ils vont tuer la Sécu !
    27 Juin 2019 , Rédigé par Christian Eckert

    Les commentaires sur les comptes publics sont inversement proportionnels aux déficits ! Le Gouvernement traverse une accalmie liée à plusieurs facteurs favorables. Entre autres, la baisse ininterrompue des taux d’intérêts (quasiment 0% à 10 ans et négatifs sur des durées plus courtes !) lui permet d’économiser plusieurs Milliards pourtant budgétés sur les intérêts. Qui s’en plaindrait…

    Pour autant, les discours sur la Sécurité sociale, son financement et sa viabilité vont bon train. Les idées reçues, les poncifs et les intoxs sont innombrables. Avec humilité, mais aussi une expérience de parlementaire et de membre du Gouvernement en charge des finances avec ma collègue des affaires sociales, je me dois de partager quelques réflexions :

    Après des années de déficits parfois considérables, le régime général de la Sécurité Sociale vient, depuis deux ans, de rejoindre quasiment l’équilibre ! Et la dette de la Sécurité Sociale logée à la CADES sera remboursée intégralement à échéance d’environ 4 ans. La fin du trou de la Sécu est, ou plutôt était, à portée de main.

    Ceci n’est pas arrivé par hasard et explique en partie les difficultés dans certains secteurs, notamment la médecine hospitalière, à l’hôpital public ou dans les EHPAD. Les contraintes sur les tarifs, réductions de personnels, diminutions capacitaires, commencées sous le quinquennat « Hollande » et poursuivies après ont permis ce retour vers l’équilibre. Mais elles ont aussi pesé sur les personnels et la qualité de certains services, comme en témoignent les mouvements dans les urgences ou les EHPAD. Cet équilibre retrouvé doit aussi beaucoup aux réformes sur les cotisations retraites décidées sous différentes majorités et à l’augmentation de la masse salariale (assiette des cotisations sociales) constatée depuis 2016.

    Ces marges de manœuvre retrouvées devraient permettre d’assouplir les contraintes, notamment à l’hôpital public et par exemple de prendre en charge enfin dignement la condition des personnes âgées dépendantes dont le nombre augmente considérablement. La fin de la CADES devrait permettre de réaffecter pas loin de 20 Milliards d’Euros d’ici quelques années !

    Mais le Gouvernement semble en décider autrement et fait repartir les déficits en remettant en cause le principe majeur qui assure la pérennité du système social : « L’Etat doit compenser à la Sécurité Sociale tous les allègements de cotisations sociales qu’il décide ».

    A sa création, la Sécurité Sociale était financée presque uniquement par des cotisations sociales. L’ouverture des frontières et la concurrence internationale ont conduit tous les gouvernements à alléger le coût du travail, composante du prix des productions, pour rester compétitifs face aux produits venant de pays sans protection sociale. Mais à chaque baisse de cotisations, il était « en même temps » décidé de compenser à la Sécu les pertes de recettes, par des parts recettes fiscales auparavant encaissées par l’Etat… Ainsi, de nos jours, les cotisations ne représentent qu’en gros les 2/3 des recettes de la Sécurité Sociale, le reste étant des impôts, directs ou indirects, (fractions de TVA et de CSG, taxes diverses…).

    Les derniers textes budgétaires votés sont formels : les baisses massives de cotisations sociales, notamment celles destinées à la bascule du CICE (20 Milliards !) ne seront plus intégralement compensées à la Sécurité Sociale. Pire, les compensations issues du passé sont remises en cause progressivement…

    C’est un fait sans précédent dans les lois de finances pour 2019 et programme la fin de notre modèle fondé sur la solidarité.

    Il est indiscutablement nécessaire de faire évoluer le financement de notre système social. Différentes options existent : cotisations, impôts, CSG, TVA…. Le débat politique, un temps amorcé sur ce sujet majeur, a été trop tôt refermé sans conclusion. Le Président n’a pas reçu de mandat sur ce point lors de son élection. Pour autant, la plupart des décisions prises depuis son élection taillent dans les recettes sociales sans aucune compensation. Ces décisions asphyxient un système social qui peut fonctionner, pour pouvoir le déclarer non viable et l’ouvrir aux appétits des assureurs privés.

    A l’aube d’une réforme annoncée de la branche « retraite », un vrai débat sur les options de financement est urgent sans dogmes ni tabous.

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  1. [...] de Paris ou la petite (7000 hectares, 200 millions de bénéfices) concession entre amis, explications  ICI f Fr Info [...]

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