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Comment résister aux lois Macron, El Khomri et Cie ?
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« Vive l’entreprise ? » LE CODE DU TRAVAIL EN DANGER
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Comment résister à la démolition du Code du travail
Comment résister à la démolition du Code du travail
(G. Filoche, en collaboration avec Richard Abauzit.)
Préface de Thierry Le Paon
Aux Éditions Le Vent se lève, collection Ô Rages ! Nouveauté 116 p. 10 euros -
Une vraie retraite à 60 ans
Une vraie retraite à 60 ans c‘est possible
(G. Filoche, J.J. Chavigné)
Jean-Jacques Chavigné et Gérard Filoche ont publié en 2010 « Une vraie retraite à 60 ans c’est possible » (éditions Jean Claude Gawsewitch). Ils publient courant septembre un nouveau livre intégrant la réforme des retraites de 2010, la crise économique et celle de l’Union européenne, l’arrivée au pouvoir d’un Président et d’un gouvernement de gauche…
Lire la suite -
Le choc
Le choc, après Cahuzac
128 p, 9,90 € Éd. Gawsewitch – en librairie le 13 juin (G. Filoche, C. Gispert, JF Claudon)
Le « choc Cahuzac » du 2 avril 2013 a ébranlé toute la France. Ce jour-là, des millions de citoyens ont découvert, abasourdis, une insupportable vérité.
Le chef du Budget fraudait le Budget.
Le ministre chargé de lutter contre la fraude fiscale trichait.
Le ministre de la rigueur l’appliquait aux autres mais pas à lui. Le défenseur intransigeant de la « règle d’or » planquait son or. L’homme qui jouait le « père la morale » n’avait aucune morale.
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« La dette indigne »
La dette indigne
10 questions, 10 réponses
Par Jean-Jacques Chavigné et Gérard Filoche.Éditions Jean-Claude Gawsewitch, 240 p., 14,90 euros
En 10 questions, 10 réponses, les deux auteurs avancent leurs propositions après un passage en revue détaillé de toutes les solutions présentées : de la restructuration des dettes publiques aux plans d’austérité en passant par la « règle d’or », la sortie de la zone euro, les euro-obligations ou la monétisation des dettes publiques.
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Méta
Pourquoi je soutiens Martine Aubry
Cet article a été écrit par admin, publié le 21 septembre 2011 à 0:33, classé sous Non classé. Bookmarkez le permalien. Suivez les commentaires grâce au flux RSS de cet article.
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6 Commentaires
Bonjour, Gérard
Martine a donc encore deux handicaps à franchir :
- Se convertir franchement aux valeurs de gauche, sans atermoiements
- Expliquer aussi comment concrètement y parvenir
Je connais un rassemblement à gauche qui a une sacrée longueur d’avance sur ces deux points.
Cordialement.
Rejeter DSK mais soutenir sa copine Martine avec laquelle il a un accord ex-secret (hahaha …) c’est le summum de la pensée politique !
la secrétaire générale à 10 voix d’avance estune garante de la démocratie de Parti, c’est clair …
Maintenant ouvrir le vote à l’extérieur du parti, alors que seuls les archéo-apparatchiki du ps peuvent vouloir d’elle c’est un suicide politique ET moral qui est assez risible … ça rapportera quand même 1€ le votant vous me direz … certes … d’ailleurs les militants à jour de leur cotisation devront-ils aussi passer au tronc ?
Pas sûr que « Martine » soit sur la même longueur d’onde.
Quand tu dis qu’elle saura entendre la gauche du PS, je crois qu’elle saura aussi entendre les lobby patronaux et la droite du PS (à moins que le mouvement social lui fasse entendre ses revendications…)
Cela dit les choses restent plus ouverte qu’avec Hollande qui a déjà enfilé les pantoufles de Raymond Barre…
LA GAUCHE DU PARTI SOCIALISTE SE DOIT DE SOUTENIR ARNAUD MONTEBOURG
Militant syndicaliste, associatif, membre du courant de gauche du Parti Socialiste, j’ai décidé,contrarement à Gérard, de soutenir Arnaud MONTEBOURG à l’occasion des Primaires citoyennes des 9 et 16 Octobre.
Les raisons de mon soutien sont en parfaite cohérence avec les valeurs et les idées que je défends, avec d’autres, au sein du Parti Socialiste.
Au même titre que celle de 1929, la crise que nous vivons est l’une des plus grandes secousses de l’histoire des temps modernes.
Qui peut douter que la crise actuelle soit celle de la Mondialisation de l’économie et de la finance que des générations politiques ont laissé faire ?
Ce sont les responsables politiques qui ont décidé de se défaire de leur pouvoir pour les confier aux marchés.
Nous sommes , aujourd’hui, sous la tutelle des marchés financiers et des agences de notation qui décident à la place des citoyens la politique économique et sociale à mettre en œuvre.
La question qui nous est posée est de savoir si on va continuer à accepter que le pouvoir financier impose ses vues aux gouvernements démocratiquement élus.
Eddy PLENEL , dans MEDIAPART , pose les enjeux auquel nous sommes confrontés :
« La crise dans laquelle nous sommes plongés est le prix à payer de la contre révolution néolibérale qui, depuis 30 ans, sur notre continent notamment, déboussole les peuples, défait les solidarités et accroit les inégalités.
De deux choses l’une, soit nous réussissons à la renverser et à inventer un nouveau cours, européen et national, où les exigences démocratiques et sociales reprennent le dessus, soit, dans sa fuite en avant, provoquée par sa propre faillite, cette contre révolution économique appellera une contre révolution politique, génératrice de violences, de haines, de libertés perdues et de solidarités brisées. «
Oui, l’enjeu est de taille mais si on veut s’attaquer aux marchés, renverser le cours des choses, contrôler l’économie et la finance, il faudra des révisions déchirantes, des idées nouvelles, des propositions audacieuses.
Il faudra des dirigeants politiques avec du caractère, capables d’affronter les marchés, de puissants intérêts et refusant de courber l’échine.
Nous n’aurons pas besoin de faiblesses, d’indétermination, de prudence , de frilosité.
Chacun doit comprendre que pour restaurer la liberté de notre peuple, la France n’aura pas d’autre choix que d’affronter le pouvoir financier.
La Gauche ne pourra pas mégoter sur des ½ mesures, elle ne pourra plus se contenter de compromis ou de rustines car le pouvoir financier lui fera payer au prix fort la moindre de ses faiblesses.
Le moment n’est plus à la régulation.
Le moment est venu désormais de prendre des mesures radicales qui soumettent à l’intérêt général le fonctionnement des marchés financiers.
Or, force est de constater que, seul des candidats en lice pour ces primaires, Arnaud MONTEBOURG tient ce discours et porte un programme audacieux en la matière.
Les leaders de la Gauche du PS ( B.HAMON, H.EMMANUELLI ) ont décidé de soutenir Martine AUBRY .
Néanmoins le ralliement de cette dernière à l’objectif d’un déficit de 3% du PIB en 2013 devrait les faire réfléchir.
Mesure t on les coupes budgétaires que cela imposerait ?
Mesure t on les sacrifices que l’on demandera aux français ?
C’est tout simplement un plan de rigueur et d’austérité à l’arrivée de la gauche qui est en train de dessiner sous prétexte de ne pas effrayer les marchés et les agences de notation.
Faut il rappeler que Arnaud MONTEBOURG est le seul des candidats en lice, à ne pas fixer le seuil des 3 % comme horizon indépassable de toute action politique ?
Aujourd’hui, Arnaud MONTEBOURG , par ses propositions, apporte les réponses les plus claires et met en avant une radicalité qu’un militant de la Gauche du PS se doit de soutenir.
Parce que Arnaud MONTEBOURG est :
- Porteur d’une analyse rigoureuse de la globalisation financière et de ses conséquences
- Porteur d’un concept de Démondialisation ( partagé par un nombre croissant d’économistes) capable d’offrir une alternative à la domination de la finance et du libre échangisme
- Porteur d’un projet audacieux pour la France et de réformes profondes des structures de l’Union Européenne
- En capacité de rassembler la Gauche ( Voir les déclarations de J L MELENCHON et J P CHEVENEMENT et le soutien de C.TAUBIRA )
- Le seul des candidats des primaires à avoir voté NON lors du Référendum sur le traité Constitutionnel de 2005
- Homme de convictions et de caractère à travers ses combats présents et passés ( Lutte contre les paradis Fiscaux, Affaire GUERINI à Marseille, Rénovation du Parti Socialiste )
Les militants de Gauche du PS se doivent de soutenir la candidature d’Arnaud MONTEBOURG.
Michel MINVIELLE
Et pourquoi ne soutenez-vous pas Montebourg qui lui, tient un discours de gauche sans avoir besoin de se faire tirer l’oreille voire revenir sur certaines paroles ( comme l’âge de la retraite qu’elle jugeait réaliste à 62 ans même si aujourd’hui elle semble avoir comme un trou de mémoire à ce sujet).Vous semblez tellement plus proche des idées de Montebourg pour ne pas dire de celles du Front de gauche que j’ai du mal à comprendre votre soutien à » Martine ». Je me régale toujours de vous lire et de vous entendre . Filoche président!!!!!
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Filoche président!!!!!