Adhérez au Parti socialiste maintenant, demain

Urgent : Message à caractère informatif:

Vous considérez que le Parti Socialiste n’a pas la bonne orientation politique.
Vous constatez que les autres partis de gauche ne parviennent pas à infléchir la politique nationale.
Vous exigez que le Parti Socialiste joue son rôle, et obtienne que soient tenus les engagements pris lors de la présidentielle 2012.

Une seule solution: faire bouger la ligne officielle du PS

Comment ? En faisant en sorte que tous les citoyens qui défendent une orientation de gauche nous aident à défendre le meilleur de l’histoire du PS !

empêcher qu’il bascule vers une ligne Valls

prenez vos responsabilités et venez nous aider à obtenir le changement de cap et de direction de ce parti !
Aujourd’hui nous pesons près de 40 %
Le changement tient donc à… peu.

nous sommes le meilleur du Parti socialiste, la tradition du Parti socialiste, le Parti socialiste, nous sommes socialistes ! Une équipe minoritaire essaie d’en prendre le contrôle, ils sont minoritaires à la base, mais ils croient tenir le gouvernement et faire main basse sur le parti,

nous sommes légitimes, ils sont blairistes, aidez nous à défendre la meilleure tradition historique de la gauche française qu’ils veulent mettre à mal

La fenêtre de tir: le prochain congrès

Comment ? En prenant votre carte suffisamment tôt pour avoir le droit d’y voter

Pourquoi ? Parce le congrès détermine l’orientation politique du PS. La motion arrivée en tête représente l’orientation.

La deadline ? Idéalement le 1er juillet.

ils ont commencé à annoncer un congrès à la sauvage, en novembre ou décembre 2014,

ils peuvent fixer la date limite des adhésions pour voter, six mois avant,

Pourquoi ? Parce que le congrès devient dans ce cas un enjeu pour toute la gauche,

le parti est pluraliste et tant mieux, vous y adhérez avec vos idées sociales, pas libérales

choisir la gauche de notre pays, où choisir la troisième voie venue d’ailleurs, libérale et apparatchik

celle qui défend le code du travail ou celle qui trouve que le code du travail est « répulsif »

Combien ça me coûte ? 20 €

Alors: on continue à se plaindre où vous venez nous aider ??

NB: à celles et ceux qui attendent qu’un parti dise exactement ce qu’ils ont envie d’entendre pour y entrer, alors ils risquent de regarder passer les trains un moment. Un parti n’existe que par ce que ses militants exigent de lui. Les autres sont spectateurs. Comme toujours dans les démarches de résistance(s)…

https://www.parti-socialiste.fr/agissons-ensemble/adherez-au-ps

 

adhérez sans tarder par lettre commandée à PS 10 rue de Solferino 75007 Paris,  ou et a votre fédération ou et a votre section…

 

renvoyez nous copie, info, etc..

 

d’apres gerald Elbaze

46 Commentaires

  1. Gilbert Duroux
    Posted 29 juin 2014 at 17:40 | Permalien

    Adhérer à un parti de droite ? Jamais de la vie ! Plutôt crever.

  2. daubeze
    Posted 29 juin 2014 at 18:00 | Permalien

    Et tu crois que ces gens là vont se laisser dépouiller ?
    Mais tu rêves !
    Continues à les dénoncer pour que ceux qui veulent rester socialistes les quittent, oui.
    Qu’ils restent entre eux, un parti de centre droit.
    Organisez vous en dehors (40%) et rejoignez le FDG que tu connais bien.
    C’est une idée aussi non ?
    Le risque de ne pas être suivi par tes 40 % ?

  3. Posted 29 juin 2014 at 19:38 | Permalien

    NOUS sommes socialistes legitimes et majoritaires, et ILS veulent nous dépouiller, tu lis a l’envers

  4. Gilbert Duroux
    Posted 29 juin 2014 at 20:23 | Permalien

    Si vous êtes majoritaires alors vous êtes pleinement responsables de la politique qui est à l’œuvre, donc vous paierez le prix aux élections (vous avez commencé, d’ailleurs).

  5. Sandrine
    Posted 29 juin 2014 at 20:42 | Permalien

    J’ai récemment adhérer pour les raisons que vous évoquez… Merci je me sens moins seule! En attendant le congrès Où j’ai hâte d’apporter mon soutien aux voix de gauche, aux valeureux socialistes !

  6. Jc Clerc
    Posted 29 juin 2014 at 21:25 | Permalien

    mon cher Gérard

    la « gauche » est à gauche du PS qui lui est à droite
    je comprends que c’est dur pour les militants
    mais chacun doit prendre ses responsabilités
    tu restes , tu es complice des décisions avec lesquelles tu n’es pas d’accord
    si tu étais majoritaire, nous aurions un gvt de gauche

    tu ne peux pas prendre le pouvoir à ces gens là

    bon courage
    sincèrement

    Jc Clerc

  7. bugsy
    Posted 29 juin 2014 at 21:51 | Permalien

    Gérard,

    C’est un peu tortueux ton affaire d’adhésion.

    Imaginons que tu sois majoritaire lors du prochain congrès.

    Comment tu vires le Valls et sa clique droitière ?

    D’ailleurs, procèderais-tu à des exclusions pour non respect des valeurs du socialisme ? Non.
    Et tous les godillots de la Chambre, qu’en fais-tu ? Et tous les fédéraux ?

    Je crois plutôt que tes amis et toi allez être mis au pas dans peu de temps. Je le regrette, bien sûr, parce que je te sais sincère. Pourquoi tu vas rentrer dans les turbulences ? Tout simplement parce que je lis les déclarations des Le Roux, Cambadélis et autres « guignols ». Ils sont clairs dans leurs propos. Vous vous plierez ou abandonnerez la bataille.

    20 ans de luttes dans ce parti pour quels résultats ? Le PS n’a jamais été aussi de droite.

    La dernière étude sociologique du PS doit remonter à 1992. De mémoire elle concluait, je schématise : parti d’élus, de fonctionnaires mais surtout parti de vieux.

    Ce congrès 2014 ou 2015, c’est ton ultime bataille.

    2017, c’est plié.

    2022, tu n’auras plus la force morale de t’empoigner avec ses tordus. Tu profiteras pleinement de ta retraite auprès de ta femme et de tes petits-enfants.

    Gérard, je salue ta pugnacité.

  8. Corinne
    Posted 29 juin 2014 at 21:57 | Permalien

    bonjour, merci pour votre blog et pour votre position d’homme intègre
    je ne sais pas encore si je suis prête à rejoindre le PS comme vous le recommandez. Effectivement, on ne peut changer que si l’on agit de l’intérieur. mais n’est-ce pas trop tard ? la gauche (française ou européenne) a besoin d’un nouveau leader. Les Grecs en se séparant du PASOK l’ont trouvé. Me semble-t-il. nous avons besoin de croire en nos élus et en la politique qu’ils représentent.

  9. Gilbert Duroux
    Posted 29 juin 2014 at 21:59 | Permalien

    Et pendant ce temps là, vous croyez que les droitiers du PS ne recrutent pas ? Je suis sûr, même, qu’ils recruteront davantage d’adhérents que les « rebelles » qui n’ont même pas été capables de voter contre la privatisation du rail. Ça me fait penser à ce qui a suivi les trahisons à répétition de la CFDT (retraites, intermittents, etc). Tout le monde disait : « la CFDT va le payer, il va y avoir une hémorragie des militants ». Résultat des courses : il y a eu, certes, quelques départs vers la CGT ou Sud, mais 6 mois plus tard, la CFDT avait augmenté le nombre de ses adhérents. Et s’était du coup droitisé encore plus, les nouveaux adhérents rejoignant « un syndicat responsable ».

  10. Respecter
    Posted 30 juin 2014 at 0:25 | Permalien

    « Combien ça me coûte ? 20 € »
    En es-tu sûr ? Moi je crois que ça coûte beaucoup plus cher, vraiment plus cher !
    La preuve :
    Gérard Filoche parlant des députés en réponse à un commentaire le 5 février 2014 : « s’expliquer en tête à tête, tu rêves ? Celui qui fait cela il est mort, on n’est pas en démocratie, on est dans la Ve république, ca marche centralisé, les gens ont peur, parler seul, c’est devenir seul, ce n’est pas influer sur le réel… » Puis le 1er mars «Le Guen, c’est Le Guen, un ex lambertiste strauss-kahnien c’est pas le PS ! bon, il est pas finaud il est contre l’hôtel dieu, la sécu et le code du travail… c’est pas sympathique…on lui répond mais pas plus qu’il ne mérite… »
    On dirait qu’il n’y a pas que les députés qui ont peur, n’est-ce pas Gérard Filoche ? On le comprend bien il suffit simplement de relire le billet précédent, extrait :
    «Jean-Marie Le Guen s’impose vite. Brutal, il est devenu la bête noire des députés PS dissidents, qu’il traite tour à tour de « soi-disant socialistes » ou de « gauchistes ». Sur la forme, il incarne au parlement, jusqu’à la caricature, le ton martial du premier ministre – Le Guen, va souvent beaucoup plus loin que son mentor, qui sait au moins y mettre les formes. Avant le vote du 29 avril sur la trajectoire budgétaire, il a longuement fait pression sur de nombreux députés tangeants. « Il m’a appelé, ça a duré 45 minutes, lui a parlé 44 minutes ! » raconte un élu, le jour du vote de confiance sur la déclaration de politique générale de Valls. « Le Guen, c’est le candidat qui fait du porte-à-porte et dont tu dis : “Ouf, heureusement qu’il est passé, j’ai failli voter pour lui” », dit un autre. « C’est quand même un mec qui, au bout de cinq minutes de discussion, peut menacer de vous péter la gueule… », soupire un dirigeant du parti, quand un député écolo jure l’avoir vu dans les coulisses du Palais-Bourbon saisir au collet l’un des hésitants socialistes. »
    Pour finir, le témoignage d’un ancien (sur un autre blog) qui n’a plus peur et qui a dû payé très cher pour cela :
    «Il ne faut pas rêver, les gens dit de « Maintenant la gauche » socialiste (ou qui s’estiment l’être) ne quitteront jamais leur parti, même s’il est devenu totalement un parti dévoyé allant vers le centre plus à droite qu’à gauche ; les instances du PS ne les laisseront jamais partir, je dis bien jamais, que ce soit d’une manière ou d’une autre, cela serait bien trop dangereux pour eux, ils représentent la vitrine de gauche du PS ; sachez de même que les apparatchiks, qu’ils sont devenus, ne quittent jamais leur parti nourricier. Ancien de la «gauche socialiste» l’ayant quitté en 1994, je peux vous garantir qu’il ne suffit pas de déchirer sa carte du PS pour en être débarrassé et quitte, il m’en a coûté suffisamment cher pour que je puisse vous l’affirmer, une entreprise et tous mes biens, il est vrai que je n’étais qu’un petit chargé de communication à l’époque ; ceci seulement pour vous dire qu’ un tel scénario n’est même pas envisageable au niveau qu’occupe les personnes telles que Lienemann, Guedj, Maurel et consorts, il suffit de s’interroger sur le suicide de Pierre Bérégovoy pour s’en persuader, et si cela n’est pas suffisant, du retrait de Jacques Delors à la candidature aux élections présidentielles, cet homme, que je ne porte pas dans mon cœur, a eu l’intelligence et la prudence de s’arrêter au moment ou il le devait, il devait tenir à la vie apparemment, et être au fait de certaines pratiques. »

  11. Dominique Babouot
    Posted 30 juin 2014 at 9:08 | Permalien

    @RESPECTER

    La première partie du post 11, cite Filoche, elle prouve ce qui est sans doute vrai, les pressions sont intenses, oui c’est difficile d’ancrer à gauche le ps, à cela on peut ajouter les véritables coups d’états perpétrés de temps à autre ici ou là par la direction pour imposer son point de vue face aux votes des militants, que ce soit pour le vote des textes et leur application ou bien lors des désignations.

    Mais la citation de la deuxième partie est outrancière, mériterait meme à la limite des poursuites en diffamation!
    Dommage Respecter!
    Lorsqu’on tombe dans l’outrance, on se disqualifie et on aboutit dans la démonstration au but inverse que celui recherché!
    Il est exact que celui qui quitte le ps est soumis aux pressions de ses anciens camarades avec lesquels il ne peut rompre les amitiés tissées au fil des ans, c’est la même chose pour toutes les organisations qu’elles soient politiques ou non, c’est la même chose pour les familles ou les cercles d’amis!

    Mais de là à citer le suicide de Pierre Bérégovoy et d’en imputer la responsabilité au ps, j’en reste pantois qu’on ose écrire des choses pareilles, surtout quand on se prétend ancien membre du parti!

  12. Dominique Babouot
    Posted 30 juin 2014 at 9:15 | Permalien

    J’ajoute une chose au commentaire précédent, si on a du mal a quitté le ps c’est sans doute à cause de la constatation qu’on fait qu’on ne parvient pas plus à avancer au dehors!

    Les échecs répétés de tous ceux qui ont essayé explique cela!

  13. Anonyme
    Posted 30 juin 2014 at 10:46 | Permalien

     » c’est la même chose pour les familles ou les cercles d’amis!  »

    C’est ce qu’explique Chomsky à propos d’un tout autre problème – la peur du rejet (de ses proches) dans les kibboutz (ou ailleurs) et l’acceptation de règles iniques…

    Plutôt accepter l’insupportable que d’être rejeté par sa communauté d’origine… (en très vite résumé)
    In, « comprendre le pouvoir »

  14. rêveur
    Posted 30 juin 2014 at 10:54 | Permalien

    Et partant de ce que tu dis Dominique et de ce qu’écrit Gérard, on peut voir combien les mots de Gilbert sont censés :
     » Et pendant ce temps là, vous croyez que les droitiers du PS ne recrutent pas ?  »

    Si il se joue une bataille interne (cf le rassemblement de Bellerive, les piques de le Guen…), si les frondeurs essayent de grossir leurs rangs pour ne pas être isolés C’EST BIEN QU’EN FACE ILS REPRESENTENT UNE FORCE NON NEGLIGEABLE.
    Donc les droitiers du PS ne sont pas juste là « par hasard ». Et donc les analyses de Lordon ou d’autres sur la longue (mais sûre) pente à droite du PS, n’est peut-être pas si stupide. Je ne sais pas, je n’ai pas les chiffres, ni n’ai lu assez là dessus mais entre les socialistes du début du 20 ème (socialiste était une insulte, c’était un anarchiste – cf le livres nouvelles anarcistes – cf chomsky) et ceux du début du 21 ème il y a véritablement un monde.

  15. domie
    Posted 30 juin 2014 at 11:57 | Permalien

    Bonjour Gérard,

    Je suis admirative de votre idéalisme, que vous avez chevillé au corps ! Ce que vous écrivez, c’est ce que je me suis dis des milliers de fois pendant plus de 10 ans. Jusqu’au jour où j’ai compris que rien ne changerait au PS. Pourquoi ? parce qu’il n’y a pas que les « chefs » qui ont un problème, mais également la base, souvent des retraités issus de la fonction publique, qui n’arrive pas à évoluer. MA a bien tenté de faire bouger les lignes, même un peu. Rien n’y a fait. Aujourd’hui j’ai quitté le PS pour NOUVELLE DONNE. Politiquement et structurellement tout est encore à construire dans ce parti. Je ne sais pas ce qu’il donnera dans le futur. Mais ce que je sais, c’est que les militants ne veulent surtout pas d’un PS bis, et qu’ils feront tout pour ça. Ils n’hésiteront pas, eux, à débarquer une tête d’affiche si elle ne fait pas l’affaire. Ils ont compris que ce parti leur appartient à eux, pas aux élites du mouvement. Si le PS était capable d’une telle révolution, beaucoup de ces anciens adhérents reviendraient. Mais pour cela, il faudrait que les dirigeants du PS cessent de croire que le PS leur appartient, que c’est un simple outils à leurs disposition et à la disposition de leurs réélections. Ce temps là est terminé !

  16. Gilbert Duroux
    Posted 30 juin 2014 at 13:28 | Permalien

    @ Dominique Babouot
    « J’ajoute une chose au commentaire précédent, si on a du mal a quitté le ps c’est sans doute à cause de la constatation qu’on fait qu’on ne parvient pas plus à avancer au dehors! »

    mais non. Il y a bien d’autres raisons qui font que « l’on reste » (au parti prétendument socialiste ou ailleurs). Pour les plus enragés, comme Gérard, il y a le fait qu’il est difficile d’admettre que l’on s’est trompé toute sa vie. L’ancrage à gauche du parti dit socialiste est un échec patent. Il n’a jamais été aussi à droite. Les 100 députés soi-disant rebelles ont été incapables de s’opposer à la future privatisation du rail.
    Pour d’autres, il y a la force de l’habitude. Ça vaut dans bien des domaines. Je me permets de donner deux exemples personnels, qui concernent la lecture des journaux. Je dois avouer que je lis toujours Libération, comme du temps où il s’adressait aux pédés, drogués, taulards et marginaux de tout poil. Comme du temps, surtout, où c’était un journal de gauche militant. Avant que Serge July et compagnie deviennent les chantres du libéralisme échevelé. Toujours dans le domaine de la presse, j’ai habité dans une région du « Sud-Ouest » où « La Dépêche du Midi » et « Sud-Ouest » se faisaient concurrence, à la limite des zones respectives de chacun. Objectivement, « Sud-ouest » était d’une qualité et d’une richesse infiniment supérieure à « La Dépêche », mais malgré cela il ne gagnait pas un lecteur parce que les gens du coin avaient l’habitude d’acheter « La Dépêche ». C’est la même chose avec le parti dit socialiste. Il suffit de croire (de faire croire et de se faire croire) que le parti est intrinsèquement de gauche (et jusqu’à la nuit des temps) pour se donner bonne conscience et s’éviter de prendre son courage à deux mains pour aller voir ailleurs. On reste au PS par fainéantise, quand ce n’est pas par ambition. Il ne faut pas oublier que ce parti sclérosé, qui ne produit aucune idée nouvelle, qui ne remet rien en cause de la marche du monde, est avant tout un parti d’élus. Au plus haut niveau, ces élus sont des gros bourgeois multi millionnaires comme Fabius, ou des affairistes et des truqueurs comme Cahuzac, Le Guen et bien d’autres.

  17. Un gueu d'électeur
    Posted 30 juin 2014 at 14:37 | Permalien

    Bonjour, dans l’état actuel des choses le PS n’est plus sauvable. Trop de professionels de la politique à l’intérieur. Y a qu’a voir Cambadelis !. Moi je vous propose:
    1) de quitter le parti socialiste
    2) créer un groupe a l’assemblée nationale
    3) provoquer une dissolution

    Peut être n’est til pas trop tard pour sauver une nouvelle gauche pour les prochaines élections de 2017.

    Si la dissolution amenait l’UMP au pouvoir….quelle différence avec maintenant ? Aucune.

    Alors dans la guerre comme en politique il faut attaquer. Saborder Hollande et le sarko de gauche avec. Il nous faudra tenir 3 ans…Mais vous aurez une chance de survivre. Hollande et Valls sont tuer le parti socialiste
    `
    Bon courage !

  18. Posted 30 juin 2014 at 15:14 | Permalien

    rien de tout ça
    ni quittez notre parti,
    ni faire un groupe, en l’état
    ni dissoudre surtout pas
    mais pousser a une majorité rose rouge verte

  19. Posted 30 juin 2014 at 15:18 | Permalien

    mais non ca na rien de sentimental, c’est THEORIQUE

  20. Laurent Desos
    Posted 30 juin 2014 at 15:20 | Permalien

    je pense quant à moi que la France est à droite, et donc que le ps est aussi a droite par désir éléctoraliste tout simplement

    il faut faire son deuil de rosa luxembourg et de tout le reste qui date quand même de 100 ans et plus …

    bref ! c’est terminé, il est temps de vivre avec le sien

  21. Bob le camarade
    Posted 30 juin 2014 at 15:21 | Permalien

    Mon cher Gérard tu es comme tous les autres (y compris JLM qui s’est planté de tactique avec son FDG), à ne vouloir rien entendre on finit sourd et isolé.
    Depuis le début rien de ce qui est raisonnable n’est entendu et tu coures carotte aprés carotte.
    Tout te prouve que tes déductions ne marchent pas même la peur de Copé et de Sarko dont d’ailleurs il était prévisible qu’ils seraient mis hors-jeu.
    Maintenant les adhésions, je te souhaite du renfort, mais SA gauche pour arriver majoritaire à un congrés du PS va falloir le faire à Lourdes.
    On croirait vraiment que tu ne connais pas leS verrouillageS de ce parti.

    En fait en interne, Aubry est la seule chance de féderer une vraie opposition dans le PS c’est plutôt vers cela qu’il vous faudrait travailler pour le prochain « congrés annuel » de La Rochelle.
    Mais bon ce que j’en dis.

  22. Posted 30 juin 2014 at 15:32 | Permalien

    non, la france est de gauche majoritairement et largement, comme son salariat

  23. Eugene Thibert
    Posted 30 juin 2014 at 15:47 | Permalien

    c’est sur que si l’on déclare de gauche tous les salariés alors la gauche est majoritaire …

    salariat=gauche => QI = 45

  24. Respecter
    Posted 30 juin 2014 at 17:01 | Permalien

    Dans le but de faire remonter le QI de tous les Français, déconditionnez vous: lisez, faîtes lire, un magazine qui à bien besoin d’aide,MEDIACRITIQUE(S)
    Il est possible de souscrire un abonnement en ligne pour soit ou pour autrui dans la boutique en ligne
    (http://boutique.acrimed.org/2-mediacritiques-abonnement.html).
    Puisque la circulation de leurs travaux est prioritaire sur la notion de profit, ils vous proposent gratuitement ce n°11 au format .pdf.
    Vous pouvez le télécharger à cette adresse : https://www.dropbox.com/s/43abyfkyz8pnwoc/M%C3%A9diacritique%28s%29%20n%C2%B011.pdf
    N’hésitez pas à le faire circuler ensuite – c’est fait pour !

  25. Posted 30 juin 2014 at 19:28 | Permalien

    le salariat n’a que sa force de travail a vendre, c’est 93 % des actifs, et 98 % du salariat gagne moins de 3200 euros, c’est assez determinant
    comme disait Mitterrand déjà en 1981 c’est la majorité sociologique,

  26. luc
    Posted 30 juin 2014 at 19:28 | Permalien

    Nouveau record pour la dette française : 1985 milliards d’euros à la fin du premier trimestre 2014.

    Les chiffres de l’INSEE viennent juste d’être publiés. La dette publique a augmenté de 45,5 milliards d’euros en 3 mois.

    Encore un trimestre et la dette devrait franchir la barre des 2000 milliards d’euros.

    Encore 2 trimestres et le nombre de chômeurs catégorie A devrait franchir la barre des 3,5 millions.

  27. Posted 30 juin 2014 at 19:31 | Permalien

    absolument, la politique d’austérité aggrave la dette, je ne cesse de le dire, stop il faut renverser, depenser plus, augmenter les salaires, redistribuer !

    La dette publique de la France proche des 2.000 milliards d’euros

    Ce matin à 10h16
    La dette publique de la France proche des 2.000 milliards d’euros

    (Boursier.com) — La dette publique de la France, appelée dette « au sens de Maastricht », a progressé de 45,5 milliards d’euros au premier trimestre et s’établit désormais à 1.985,9 milliards fin mars, soit 93,6% du PIB (produit intérieur brut), selon le dernier pointage de l’Insee.

    Le ratio de dette sur PIB a ainsi augmenté de 1,8 point par rapport à fin 2013, note l’institut de la statistique. Par ailleurs, la dette de l’Etat a augmenté plus modérément, de 43,3 milliards d’euros sur les trois premiers mois de l’année, ce qui l’a fait s’élever à 1.577,3 milliards.

    Administrations publiques

    En plus de la dette de l’Etat, la dette publique au sens de Maastricht inclut celles des administrations de sécurité sociale (216,3 milliards fin mars), des administrations publiques locales (180,2 milliards) et des organismes divers d’administration centrale (12,2 milliards). La dette nette des administrations publiques s’élevait à 1.790,2 milliards d’euros fin mars, soit 84,4% du PIB, contre 83,9% fin 2013, en progression de 17,2 milliards sur trois mois, ajoute l’Insee.
    Contribution de l’Etat

    La hausse de l’endettement de l’Etat explique pour une bonne partie cette hausse de la dette au sens de Maastricht. « La contribution de l’État à la dette augmente de 43,3 milliards d’euros au premier trimestre 2014. Cette hausse provient pour l’essentiel de sa dette négociable à long terme (+32,3 milliards d’euros) et, dans une moindre mesure, à court terme (+12,1 milliards d’euros). Les dépôts des correspondants au Trésor diminuent légèrement (-1,1 milliard d’euros) », détaille l’Insee dans un communiqué.


    on notera que le budget de la protection sociale ne genere que 10 % de la dette totale affichée


    l’essentiel de la dette vient de l’état, et ce, par manque de recettes

    donner la priorité au remboursement de la dette… augmente la dette

  28. luc
    Posted 30 juin 2014 at 20:03 | Permalien

    Il est faut de dire que l’essentiel de la dette vient de l’état.

    Gérard Filoche oublie que l’Etat verse plus de 140 milliards d’euros par an à la sécurité sociale et aux collectivités locales.

    Le détail de ces chiffres sont dans le Projet de loi de finances 2013.

    Pour l’année 2013, l’Etat devait verser 74 milliards d’euros à la sécurité sociale (dont 6,4 milliards d’euros pour les régimes spéciaux).

    Pour l’année 2013, l’Etat devait verser 72 milliards d’euros collectivités locales (Les transferts financiers de l’État aux collectivités territoriales hors fiscalité transférée)

    Donc, en réalité, une partie du déficit de l’Etat sert à financer la sécurité sociale et les collectivités locales.

  29. Posted 30 juin 2014 at 20:20 | Permalien

    ce sont des remboursement pour l’essentiel, et c’est epsilone
    et ca ne change rien, 78,5 % de la dette vient du budget de l’état, 10 % de la protection sociale !

  30. Bob le camarade
    Posted 30 juin 2014 at 20:37 | Permalien

    @ LUC

    100% de ceux qui se plaignent du coût de la sécu sont ou seront bien content de le faire gonfler à leur profit un jour.
    La bonne santé n’étant qu’un espace entre deux maladies.
    Mais encore faut-il avoir un cerveau en bonne santé pour comprendre cela…

  31. luc
    Posted 30 juin 2014 at 20:39 | Permalien

    En 2013, le déficit budgétaire de l’Etat a été de 69,2 milliards d’euros.

    Si l’Etat n’avait pas versé, en 2013, 146 milliards d’euros à la sécurité sociale et aux collectivités locales, l’Etat aurait eu un excédent budgétaire de 76 milliards d’euros.

    La dette de l’Etat aurait fondu comme neige au soleil.

    Et la dette de la sécurité sociale et des collectivités locales aurait flambé.

  32. rêveur
    Posted 1 juillet 2014 at 8:57 | Permalien

    Luc

    dans ton infinie sagesse et dans ta science (« sans conscience » ???) pourrais-tu nous dire ce que cette dette abonde ?

    Car si l’état dépense 146 milliards d’euros d’un autre côté il y a des personnes (comptes bancaires) qui ENGRANGENT 146 milliards.
    Je sais pas moi au hasard : des pharmaciens, des labos, des médécins « libéraux », des kinés, des transporteurs etc etc…

    Bref pas mal de monde qui en croûtent en fait…
    Sans compter que la création de la sécu (merci Ambroise Croizat) est un sacré bienfait social… la mutualisaton d’une partie du revenu des travailleurs/euses pour parer aux aléas de la vie ?

    Mais je ne comprennds pas trop ta position. Regretterais-tu le temps avant la création de la sécu. (1946) ?
    Sais-tu depuis quand le fameux trou existe ? Depuis sa création, presque. Bref un bon gros mythe de la classe possédante quoi.
    Et toi, chacune de tes interventions ici c’est pour nous ressasser qu’il faut arrêter la solidarité, arrêter de payer pour les assisté-e-s etc etc.
    Pourrais-tu prouver tes dires (un peu comme là
    https://media.la-bas.org/mp3/110210/110210.ogg)???

  33. rêveur
    Posted 1 juillet 2014 at 9:23 | Permalien

    @ Gilbert Duroux

     » Jamais de la vie !  » …
    Pas la peine de crever hein ? Comme le dit si bien Georges : mourir pour des idées d’accord mais de mort lente…

    Alors presse pas le pas non plus. Hé sinon, pour tenir le coup :
    « Des vins grandeur nature »
    https://www.sinemensuel.com/droit-de-suite/des-vins-grandeur-nature/

  34. Frédéric
    Posted 1 juillet 2014 at 10:55 | Permalien

    comme si tous les pauvres étaient de gauche … tu n’as vraiment rien compris à la vie toi …

    au contraire, depuis 30a les Français ont bien compris que ce qu’on appelle la gauche favorise avant tout un électorat d’origine immigrée et que le pays est le dernier de leur soucis … ce que tu appelle la gauche n’est que l’expression d’un dégoût de soi que tous rejettent aujourd’hui …

    bref la France vomit cette gauche car elle s’est rendu compte qu’elle cette gauche la déteste … ne t’étonne pas si tu détecte la haine du ps …

  35. Mutzenberg lionel
    Posted 1 juillet 2014 at 11:16 | Permalien

    Bien sur qu’il faut adhérer au parti socialiste, c’est le parti de la modernité, comme ils disent à la CFDT, la preuve : Les élus de ce parti n’auront bientôt même plus à débattre, ni même à voter.
    Elle chouette la République des socialistes au pouvoir !

  36. Posted 1 juillet 2014 at 11:22 | Permalien

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    Dans la peau de Mathieu Hanotin, frondeur socialiste
    Cette semaine encore, on ne parlera que d’eux, ces députés PS qui contestent la politique du gouvernement. Parmi eux, Mathieu Hanotin, 36 ans.

    Textes : Éric Hacquemand Photos : Olivier Corsan | Publié le 29.06.2014, 13h39
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    Assemblée nationale (Paris VIIe), mardi. Mathieu Hanotin, député de Seine-Saint-Denis, fait partie des frondeurs. Il peaufine ses argumentaires pour les quinze amendements au projet de loi de finances rectificatif qui sera examiné le lendemain dans l’hémicycle.
    Assemblée nationale (Paris VIIe), mardi. Mathieu Hanotin, député de Seine-Saint-Denis, fait partie des frondeurs. Il peaufine ses argumentaires pour les quinze amendements au projet de loi de finances rectificatif qui sera examiné le lendemain dans l’hémicycle. | LP/OLIVIER CORSAN)
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    Au sein du gouvernement, ils ont déjà gagné un surnom : les Gremlins. « Parce qu’ils te mordent les jarrets même s’ils se multiplient moins vite », souffle un ministre. En quelques semaines, les frondeurs du PS sont devenus « le cauchemar » de Francois Hollande et de Manuel Valls. A l’Assemblée nationale, dans les médias, sur les réseaux sociaux, au sein même du PS, pas un jour sans qu’ils ne fassent parler d’eux en contestant l’orientation de la politique gouvernementale.

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    « Votre appel, c’est notre bouffée d’oxygène » « Votre appel, c’est notre bouffée d’oxygène »

    Toute la semaine, cette poignée de parlementaires (41 sur 290 PS se sont abstenus en avril), la plupart inconnus du grand public et plus ou moins actifs, ont ferraillé dans l’hémicycle contre le projet de loi de finances rectificatif.

    Et cette semaine, ils ont promis de monter encore d’un cran contre le pacte de responsabilité, les 50 MdsEUR de baisses de charges aux entreprises contre des promesses d’emploi. La mesure totem de François Hollande. Que cherchent-ils vraiment ? Quelles sont leurs méthodes ? Sont-ils prêts à faire exploser le PS ? Entre coups de pression et coups de pompe, nous avons suivi Mathieu Hanotin, 36 ans, député rebelle de Seine-Saint-Denis et membre de l’aile gauche du PS.

    « Ras le bol du chantage à l’unité ! »

    Avec les autres rebelles

    « C’est où ça, Mars ? » En ce mardi matin, Henri Emmanuelli cherche le salon Mars 1 dans les méandres de l’Assemblée. Depuis plusieurs semaines, le député des Landes, Mathieu Hanotin, Jean-Marc Germain, Laurent Baumel, Christian Paul… s’y donnent rendez-vous. Soit une trentaine de parlementaires, encore qu’il n’est pas possible de vérifier le nombre réel de participants, le huis clos étant décrété. Récolte du jour : 55 signatures de députés pour défendre des amendements visant à infléchir « la politique d’austérité du gouvernement » lors de la discussion budgétaire. S’y retrouve un large spectre de socialistes allant des proches d’Aubry ou d’Hamon à d’ex-partisans de DSK.

    De quoi laisser certains dubitatifs, comme Philippe Doucet, qui préfère siroter son jus d’orange en solo que de partager un croissant avec les frondeurs. « Ça ne mène nulle part, confie le député d’Argenteuil. Ils n’ont pas compris qu’on gagnerait ou qu’on crèverait ensemble. Valls est dans une opération de reconquête. Il ne faut pas le gêner. »

    C’est justement ce que l’on reproche à Hanotin et ses acolytes : s’affranchir des règles collectives alors que les socialistes sont au fond du trou. Le divorce n’est pas loin. « Alors, t’es toujours au groupe ? Toujours socialiste ? » toise Pascal Terrasse, fidèle du Premier ministre, en croisant Hanotin. « Oui, et vraiment socialiste, moi ! » répond crânement le frondeur. Les nerfs sont à fleur de peau. « Faut savoir résister à la provoc : ils cherchent la discipline et nous, on veut un débat de fond », justifie-t-il alors que, sur le trottoir, les rebelles Pouria Amirshahi, Jérôme Guedj et d’autres multiplient les interviews dans une vraie guerre de communication.

    Ce qui n’empêche pas les retrouvailles salle Victor-Hugo, comme tous les mardis, pour écouter Bruno Le Roux, le chef de file des députés PS, dans une ambiance décrite comme « tendue » par les participants. « Une réunion d’autistes », grince même le député Pascal Cherki, qui sèche. A la sortie, personne n’est content. « Ras le bol du chantage à l’unité : si un parlementaire ne peut plus amender un projet de loi, alors il sert à quoi ? » interroge Hanotin.

    « Ça va se jouer par textos »

    Avant le vote

    Troisième étage du Palais-Bourbon, mardi après-midi. Ce bout du bâtiment a des allures de ruche frondeuse où se côtoient Hanotin, Emmanuelli, Baumel… pour les derniers préparatifs avant d’entrer dans la bataille de l’hémicycle. Quinze amendements labellisés Appel des 100 (du nom d’une lettre du 5 avril adressée à Valls) vont être examinés sans avoir eu au préalable l’aval du gouvernement et du groupe PS. Qu’importe, les frondeurs, qui se sont réparti les rôles dans trois groupes de travail, ont décidé de passer outre. Les uns vont exiger des contreparties au versement du CICE (crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi), les autres demander davantage d’emplois d’avenir. Le numéro 288, celui dont Hanotin a la charge, entend instaurer un crédit d’impôt pour les entreprises qui jouent le jeu de l’apprentissage. « Ça peut passer avec les voix des écolos et du Front de gauche », estime le député, qui peaufine ses argumentaires sur l’air de : « L’emploi, c’est bien une priorité de François Hollande, non ? » Encore faut-il mobiliser. « Ça va se jouer par textos, comme pour les révolutions arabes », ironise Hanotin. Le sien est prêt : « Le débat commence. Serez-vous présent en séance de jour ou de nuit ? »

    «Ces mecs sont des dingues»

    Dans l’hémicycle

    « On n’a même plus le temps d’aller aux toilettes, ces mecs sont des dingues. » Signé Christophe Caresche. Comme plusieurs autres, le député de Paris doit passer des heures dans l’hémicycle pour éviter au gouvernement d’être pris à revers par les frondeurs. Quitte à trouver le temps long. Dominique Lefebvre, qui surveille les rebelles comme le lait sur le feu, a, par exemple, regardé Uruguay – Italie sur sa tablette. A deux reprises déjà, Hanotin a dû siéger jusqu’à 1 heure. Surpris par l’affluence, les huissiers n’ont pas eu assez de liasses d’amendements pour les distribuer aux présents… Impossible de s’absenter. Même pour racheter les six costumes qu’Hanotin s’est fait voler à Saint-Denis.

    Mercredi, 17 heures, le député et le noyau dur des frondeurs (à peine 12 personnes) ont pris de nouveau place. Regards complices avec les écolos, précieux alliés, même si Cécile Duflot s’est absentée. Avant de présenter son amendement, Hanotin reçoit un dernier message de Bruno Le Roux. Debout dans l’hémicycle, le président du groupe le fixe pendant de longues secondes, le regard noir. En vain. « Il y a urgence et c’est pourquoi nous proposons la création d’un crédit d’impôt afin de parvenir à l’objectif de la signature de 500 000 contrats d’apprentissage le plus rapidement possible », explique au micro le député. Le gouvernement répond non. Il s’en faut d’un cheveu au final : 44 voix contre l’amendement, 40 pour du PS à EELV en passant par le Front de gauche et même… l’UMP. Le socialiste Pierre Alain Muet, ex-conseiller de Jospin, est « satisfait », notamment d’avoir voté pour. « Ce n’est pas à 69 ans que je vais commencer une carrière de député godillot », lâche-t-il, d’ordinaire très modéré.

    Certes, l’offensive de l’Appel des 100 est un échec : aucun de leurs 15 amendements n’a été adopté. « Mais c’est une mise en bouche, promet Hanotin, car quelque chose est né entre nous. » Quinze autres amendements ont d’ailleurs été déposés par l’Appel des 100 sur le financement de la Sécurité sociale cette semaine. La guérilla continue.

  37. Posted 1 juillet 2014 at 11:23 | Permalien

    les salariés n’ont que leur force de travail à vendre, ils ont les mêmes intérêts lire « Salariés si vous saviez… » Ed. La découverte

  38. Alphonse Bidot
    Posted 1 juillet 2014 at 12:41 | Permalien

    « PARIS (Reuters) – Le gouvernement français a décidé d’empêcher les frondeurs du Parti socialiste d’amender le budget rectificatif pour la Sécurité sociale pour 2014 en utilisant la procédure contraignante dite de « réserve des votes ».

    Une trentaine de députés opposés à l’ampleur des gestes consentis aux entreprises dans le projet de loi de finances rectificative (PLFR), qui doit être adopté ce mardi, ainsi qu’au projet de loi de financement rectificative de la Sécurité sociale (PLFRSS) pour 2014 mènent bataille contre ces textes.

    Un de leurs amendements visant à instaurer une contribution sociale généralisée (CSG) progressive risquait d’être adopté avec les voix du Front de gauche et des écologistes.

    Face à ce risque, le secrétaire d’Etat au Budget, Christian Eckert, a annoncé en séance que le gouvernement avait décidé d’utiliser une procédure qui consiste à ne pas mettre au vote les articles et amendements du texte. »

    commentaire peut-être ?

  39. sylvie
    Posted 1 juillet 2014 at 20:46 | Permalien

    Manuel Valls annonce un report partiel à 2016 de la mise en place du compte pénibilité, initialement prévu pour le 1er janvier 2015 et critiqué par le Medef, dans une interview à paraître mercredi dans Les Echos.

  40. Posted 1 juillet 2014 at 23:03 | Permalien

    vous lirez demain mon intervention au BN sur ce sujet

  41. Wilemo
    Posted 2 juillet 2014 at 12:18 | Permalien

    Bonjour, j’y vais aussi de mon petit com’, que je partage comme d’une expérience.

    Il y a qq années, je me suis rapproché du PS, en me disant que c’est de l’intérieur qu’il fallait le changer.
    J’ai voulu débattre des conditions du débat, avec cette ligne clairement affichée : faire de la politique et être souverain, c’est prendre part aux décisions des règles qui nous gouvernent… à commencer par les règles du parti. Pour modifier les règles supérieures au parti, il faut déjà modifier ses règles internes afin que chacun qui le souhaite puisse prendre part au débat, ce qui nécessite de repenser les conditions du débat selon des principes démocratiques.
    Et l’on ma tout de suite expliquer que ces choses là… c’était pas de mon ressort.
    Moi ça me va (en tout cas, c’est comme ça), mais j’en tire les conclusions qui s’imposent. Qu’ils vivent leur vie… je vis la mienne.
    Mais j’en retire (avec d’autres griefs sur le compte du PS)un sentiment de décpetion, de colère et d’incompréhension rédhibitoires et durables vis à vis de ce parti.

    Je salue toujours vos combats, Mr Filoche, mais moi j’ai décidé d’être à gauche, avec ou sans le PS. Que le PS me rejoigne donc ! Il n’est pas venu vers moi… je n’irai plus vers lui. C’est aussi simple que ça.
    Les erreurs du PS VOUS en incombent collectivement, et ce n’est pas faute de ne pas avoir été prévenus par beaucoup de gens, et à tous les niveaux (résultats electoraux, intellectuels, « base sympathisante, militante », commentateurs politiques…, et depuis des années ! Des ANNEES ! Rome ne se fait pas en un jour, mais moi je me galère au quotidien pendant qu’une classe sociologique aisée discutaille. Si votre base sociologique, c’est 80% à gauche… alors défendez là contre la puissance des 20%.
    Mais flûte ! vous avez tout ! les 2 chambres, les communes, les régions… Que voulez vous de plus ??? Maintenant Faites !
    Je ne suis pas persuadé que vous saisissiez toute la rancoeur qui anime certains d’entre nous (en l’occurence moi, dans ce commentaire :-) ), le sentiment de trahison, lorsqu’on s’entend dire que l’on est frontiste parce qu’on dit que le PS est à droite. C’est simplement inadmissible, déloyal, scandaleux de la part de gens censément avertis sur les questions politiques. Je n’ai plus de mots assez durs.

    Votre méthode c’est de dire : adhérez, et vous verrez… non ! Vous faîtes, vous méritez une confiance (ou pas) d’avoir fait (et pas sur des paroles), dont les adhésions ne sont que l’expression. L’adhésion est une conséquence, sûrement pas un pré-requis.
    Jouez la donc humble, Faites vos changements internes, proposez votre modèle aux sympathisants. S’il est bon, vous recruterez, et revenez dans le jeu politique.
    Et alors, en travaillant sur les formes du débat en interne dans le sens de principes démocratiques, vous observerez un fossé entre vos pratiques et les pratiques institutionnelles, et vous appelerez à une profonde réforme constitutionnelle, juste histoire d’être un peu cohérents.

  42. eiliac
    Posted 3 juillet 2014 at 9:38 | Permalien

    Mr Filoche, vous dites etre de gauche..alors expliquez CA :

    « Pourtant les députés du Front de Gauche leur ont tendu la main. Ils ont soutenu leurs amendements. Nous les avons encouragés et même cajolés ! Tout ça pour rien ou presque. Dans le groupe PS, tous les députés ont voté pour la nouvelle purge de Manuel Valls. Aucun député n’a voté contre. Seul un s’est abstenu, Christophe Léonard. Où sont passé les 99 autres de « l’appel des 100 » ? Où est l’aile « gauche » du PS, les Razzy Hammadi ou Mathieu Hanotin ? Et les autres « frondeurs » comme Laurent Baumel ou Christian Paul ? Ils ont voté pour ! Et parmi les 11 députés qui n’avaient pas voté la confiance à Valls ? Ceux-là sont censés être les plus courageux, non ? Chez eux aussi, aucun n’a voté contre la nouvelle purge austéritaire. Et un seul n’a pas voté pour. C’est Pascal Cherki. Il était absent au moment du vote !  »

    « VOUS » etes les premiers responsables de l’avancée du fn.
    « VOUS » avez beau dire sur tous les plateaux tv que vous êtes de gauche, « vous » n’arretez pas de vous tirer dans les pattes en oubliant TOTALEMENT que etre de gauche, c’est etre intransigeant avec la droite,
    votre parti est de droite , actuellement.

    chez vous, c’est d’abord le parti, puis etre de gauche quand on a le temps…..et l’autorisation.

    c’est bien pour ca que le ps, eelv et le fdg ont perdu tellement de voix aux européennes

    « on » a voté pour vous taper là où ca fait mal.

    alors réveillez-vous, vous du ps et de gauche !!! quittez le ps, quittez cette fonction de serpillière de la droite,
    créez un parti avec vos compatriotes du ps.

    dans le cas contraire, on en restera convaincu que vous faites de la politique pour le fric et pas pour le peuple( comme au pcf)

  43. Posted 3 juillet 2014 at 14:12 | Permalien

    « Mr Filoche, vous dites être de gauche.. » :
    allez vous faire voir,
    je n’ai que faire je méprise ces donneurs de leçons arrogants,
    qui prétendent que nous agissons pour le fric,
    moi je cotise depuis 50 ans et ne reçois rien,
    mon parti est le premier parti de gauche, et je combat sa politique actuelle, qu’il n’a jamais voté nulle part,
    nous ne sommes ni responsables, ni comptables de la politique actuelle du gouvernement
    nous ne sommes comptables que des idées que nous défendons, dans D&S depuis 21 ans,
    vous devriez être contents, enthousiastes, si vous n »étiez pas sectaires du combat de la gauche socialiste
    vos amalgames gardez les pour vous
    et si vous êtes assez stupide pour vous en prendre à ceux qui sont proches de vous, allez encore une fois vous faire voir ailleurs,

  44. eiliac
    Posted 3 juillet 2014 at 23:25 | Permalien

    « je n’ai que faire je méprise ces donneurs de leçons arrogants,
    qui prétendent que nous agissons pour le fric,
    moi je cotise depuis 50 ans et ne reçois rien, »

    vous, je vous respecte, mais néanmoins, mais si je suis sure à 99.99% que vous etes clean;
    je ne peux et vous encore moins etre le garant des autres du ps.

    vous en avez parlé sur un autre média ..des camarades du ps qui avant d’avoir un poste gracieusement payé étaient de votre avis, de tout vos combats
    et puis une fois obtenu le précieux sésame , ils se changent en cerbères et vous empèchent de garder une totale crédibilité.

    vous voyez un donneur de lecon?
    je reprends vos mots à mon compte, je fais partie de ceux qui « vous » (comprendre le ps et pas vous Mr Filoche) ont boté le cul aux élections

    « nous ne sommes ni responsables, ni comptables de la politique actuelle du gouvernement »

    mais vous dites vouloir rester au ps pour convaincre des convaincus et changer la ligne..
    on vois le résultat.
    votre parti est de centre droit(voir d’extreme droite dans le cas de valls), le ps de gauche est mort et enterré !!!

    sauf que les électeurs que NOUS sommes, vous y compris, avons voté pour un programme, pour un parti de gauche

    ILS agissent pour le fric…Et RIEN d’autre
    même le mariage pour tous qui aurait du etre une fete national, s’est transformé aux 12 coups de minuit pour reprendre sa forme première…POUR mieux noyer le poisson.

    vous vous obstinez à vouloir saper nos forces en restant dans un parti si abjecte et si infame qu’il vous salit.
    nos guerriers , on en a besoin de notre coté et pas du leur.
    ils vous ont convaincu que vous pouviez changer les lignes et par faiblesse sentimentale , vous les avez cru.

    je m’en prends à ceux que je considère comme proche de moi, parce qu’ils valent leur pesant d’or, parce que je considère qu’il se trompe et qu’ils font pire que mieux en s’entetant à jouer un jeu démocratique dans une partie de monopoly qui est tout sauf ca, vous ne jouez pas avec vos règles, vous jouer avec les leurs.

    les grands coeurs sont souvent naif :(

    Monsieur, ma confiance se mérite, et se perd d’autant plus facilement qu’il est difficile de la gagner.

    en 2012, je me méfiais déja de dsk, je me méfiais aussi de Hollande, en 2014 , ma confiance est irrévocablement perdue.

    pendant que vous vous essayez de convaincre, que d’autre cajole le medef, nous , on creve la faim, on est dans les rues à vivre comme des clodo quand on ne veut pas faire du black pour s’en sortir.
    j’en passe énormément, ca devrait vous faire hérisser le poil sur la nuque

    je te le dis camarade , avec toute ma sympathie, choisi ton combat tout les jours et choisis tes amis pour toujours.
    tu es de la confiture jeter au cochon et un poison pour nous tant que tu ne t’en rendras pas compte

  45. eiliac
    Posted 3 juillet 2014 at 23:27 | Permalien

    je ne suis pas sectaire
    je suis réaliste

  46. saber
    Posted 6 décembre 2014 at 19:21 | Permalien

    Bonjour
    les exlus du parti, les « dissidents » qui ont eu le courage de leurs idées en participant à des listes de rassemblement de la gauche pour les municipales; auront – ils la possibilité de réintégrer le parti?

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