Le temps de la clarté est venu

 

Des personnalités issues de la gauche ou du Parti socialiste appellent au vote Macron et tournent, ainsi, le dos à la gauche.

Celles et ceux qui se réclament du Parti socialiste mais qui multiplient  les déclarations contre Benoît Hamon, le candidat qui a gagné les primaires commettent un déni de démocratie ! Ils doivent se reprendre ou se démettre !

Les arguments prétendant au vote utile contre le danger Le Pen sont irresponsables !

Qui peut penser qu’un duel Le Pen – Macron au second tour soit de nature à rassembler la gauche ?

Qui peut croire que notre société se partage entre extrême droite et droite néo libérale ?

Les millions de salarié.e.s, de jeunes, de retraité.e.s qui veulent un bon salaire, une bonne pension, un emploi pour leurs proches, les femmes qui veulent défendre leurs droits …  sont à gauche. Ils doivent être représentés. Qu’ils soient exclus du second tour n’est, tout simplement, pas acceptable.

 

L’électorat de Fillon est chauffé à blanc à coup d’annonces contre les juges, radicalisé depuis des années contre l’égalité des droits, contre le mariage pour tous, encouragé à se renfermer sur des valeurs identitaires, très proche des thèses lepénistes.

La responsabilité de cette droite est écrasante dans le risque de plus en plus menaçant d’une catastrophe démocratique En aucun cas le ressort du front républicain ne fonctionnera. Contrairement aux réflexes de l’électorat de gauche aux élections régionales de Paca ou du Nord Picardie, l’électorat de droite le plus conservateur a été éduqué à ne pas choisir entre le FN et une candidature républicaine.

Toutes celles et ceux qui appellent au vote Macron en tournant le dos à la gauche prennent la responsabilité historique écrasante de faire passer Marine Le Pen.

C’est irresponsable !

Il faut se rassembler contre ce scénario. J’en appelle à toute la gauche, à sa diversité. Il faut un sursaut ! Retour à gauche ! Pour battre Le Pen il faut un projet contre l’austérité, pour l’égalité ! unitaire avec melenchon !

Ce n’est pas le nivellement des retraites par le bas, la hausse de la Csg, la baisse de l’ISF et des impôts des grandes entreprises qui peut entraîner les salariés et la jeunesse à se rassembler et à s’opposer au risque Le Pen.

Assez de confusion ! Rassemblons la gauche !

Celle qui veut répondre aux urgences sociales, celle qui veut se battre contre la finance, celle qui veut stopper la course à l’abîme du réchauffement climatique, de l’épuisement des ressources naturelles, celle qui peut mobiliser une bonne partie des 32 % d’abstentionnistes, aujourd’hui comptabilisés par les sondages …

Il y a urgence avant qu’il ne soit trop tard ! Moi qui soutiens la  candidature de Benoît Hamon, j’appelle Benoit Hamon et Jean Luc Mélenchon à débattre entre eux et avec Pierre Laurent comme Yannick Jadot d’un programme de gouvernement.

J’appelle Jean Christophe Cambadélis à parler clair.

L’appartenance au Parti socialiste de ceux qui soutiennent Emmanuel Macron est incompatible avec les statuts de ce parti. La question du retrait de leurs investitures est posée. Le premier secrétaire du Parti socialiste doit trancher, ramener le PS à gauche et respecter le vote de plus de 2 millions de personne à la primaire : cesser de se prononcer un jour pour Hamon, un jour pour Macron.

Ensemble avec toute la gauche, les forces écologistes, citoyennes il faut débattre d’une plateforme de gouvernement avec une candidature unique à gauche à la Présidentielle et aux législatives entre tous les candidats qui refusent la loi El Khomri, toutes celles et tous ceux qui veulent un renouveau démocratique en France et en Europe, qui savent la transition écologique plus urgente que le taux de profit des multi milliardaires, des financiers et des multinationales.

Aucune divergence suffisante n’existe qui  justifie la division à gauche !

Si le Front national ou la droite (Macron ou Fillon) l’emportent, leurs programmes respectifs seront balayés et leurs divergences, comme leurs convergences, seront reléguées au musée.

Contre  Le Pen et Fillon, contre les apprentis sorciers du Parti socialiste qui s’allient à l’ultralibéral Alain Madelin, le temps de la clarté est venu.

 

160 Commentaires

  1. Glaco
    Posted 10 mars 2017 at 19:43 | Permalien

    J’ai initié une pétition pour le respect du résultat de la primaire par les élus et cadre du PS. Dans le texte de cette pétion, j’appelle les électeurs de gauche à sanctionner par les urnes tout candidat PS qui aurait tenté de nuire à Benoit Hamon par des prises de paroles publiques hostiles ou qui aurait soutenu un autre candidat pendant les présidentielles.

    Pour l’instant en une semaine j’ai recueilli 584 signature, j’aimerai beaucoup que vous relayez cette pétition.

    https://www.change.org/p/parti-socialiste-pour-le-respect-du-r%C3%A9sultat-des-primaires-par-les-%C3%A9lus-et-cadres-du-ps?source_location=minibar

  2. Posted 10 mars 2017 at 20:15 | Permalien

    bravo ca contribue,
    avec toutes les pétitions on doit avoir 130 000 signatures
    + samedi 11 mars 14 h

  3. Posted 10 mars 2017 at 20:19 | Permalien

    Je trouvais Hamon plutôt bon, convaincant face à un Lenglet toujours aussi méprisant. Malheureusement est arrivé le moment de débattre sur la laïcité…

    Nico Blondeau
    Nico Blondeau Quand Wauquiez l’accuse de ne pas avoir voté la loi sur la burqa, il a raison. Et le « fact-checking » le confirme.

    Jérôme Guedj
    Jérôme Guedj Oui c’est sur, il ne l’a pas voté, il n’était pas député ! Benoit était porté parole du PS â cette époque donc il s’était exprimé sur le sujet au nom du PS . Et le PS tout entier (sauf Manuel Valls) s’est abstenu ou n’a pas pris part au vote . C’était la position unanime du PS, des députés du groupe PS (dont Francois Hollande d’ailleurs) dans un contexte où cette proposition de loi de JF Copé prolongeait le débat sur l’identité nationale . Le PS avait exprimé son Refus absolu du port de la burqa, mais estimait qu’une loi spécifique serait difficilement applicable . Et que les outils juridiques existants étaient suffisants .
    Bref ni le PS ni BH n’étaient en faveur du port de la burqa . C’était la maniere de s’y opposer qui faisait débat .
    Les choses sont toujours plus complexes

  4. Michel - Pierre
    Posted 10 mars 2017 at 22:20 | Permalien

    @ [1]
    Si je réussis (ce qui ne semble pas simple) à avoir les modalités d’utilisation de cette pétition en français (plutôt qu’en portugais, langue que je ne maîtrise malheureusement pas), je la signerai très volontiers en raison des questions que je me pose et de l’indignation que je ressens:
    Comment des personnalités appartenant à un parti DE GAUCHE attaché depuis plus de quarante-cinq ans à la seule stratégie porteuse de succès qui soit, celle de l’ UNION de LA GAUCHE, peuvent-elles se renier elles-mêmes au point de trahir le choix effectué par UN MILLION DEUX CENT MILLE citoyens DE GAUCHE sur un total de DEUX MILLIONS de votants ?
    Comment de tels reniements peuvent-ils s’effectuer de surcroît au profit d’un candidat qui se dit admirateur de la politique de Margaret Thatcher, se déclare « ni de droite, ni de gauche » … et va jusqu’à rivaliser avec la « droite décomplexée » dans ses projets de casse sociale ?
    Que ceux qui s’y livrent aient au moins la décence de restituer la carte politique qui les liait à un parti de cette GAUCHE à laquelle ils tournent désormais le dos !

  5. socrate
    Posted 11 mars 2017 at 1:37 | Permalien

    Selon François Hollande, président sortant, les primaires organisées par les partis de gouvernement en vue de l’élection présidentielle 2017, ont été un « échec ».

    Le président de la République François Hollande estime que « les primaires constituent un échec pour cette élection présidentielle et pour la Ve république », selon des propos mercredi en Conseil des ministres rapportés par L’Opinion et confirmés par des ministres jeudi à l’AFP.

    « D’ailleurs, les candidats des partis de gouvernement, issus des primaires, ont tous les deux un problème de crédibilité. L’un, un problème personnel; l’autre, avec son programme », a poursuivi le chef de l’État, dans une allusion à François Fillon (Les Républicains) et au candidat socialiste, Benoît Hamon.
    Fronde au sein du PS

    Le vainqueur de la primaire socialiste élargie, décidée par le Parti socialiste en juin, doit faire face ces dernières semaines à une fronde d’une partie des élus PS, qui se sont affranchis du résultat de la primaire pour apporter leur soutien à Emmanuel Macron (En Marche!).

    Une attitude réprouvée par le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, qui a affirmé jeudi dans Le Parisien qu’il n’était « jamais bon de s’asseoir sur un vote ».
    http://www.ouest-france.fr/politique/francois-hollande/pour-francois-hollande-les-primaires-constituent-un-echec-4846234
    —————————————————————————————————

    pour Hollande ce sont les primaires 2017 l’échec
    pour moi c’est celle de 2012
    victoire d’un menteur

  6. MONFORT Ariane
    Posted 11 mars 2017 at 4:12 | Permalien

    En premier lieu, les responsables de l’éventuelle victoire de le Pen, seraient Mélanchon et Hamon, car ils semblent faire passer leurs intérêts de boutique, avant ceux des travailleurs.
    Ils ne paraissent pas du tout voir à quel point l’heure est grave. Elle demande la constitution d’un « front unique » de la gauche, celui de la résistance à la destruction du politique et de la démocratie, de nos jours organisée de multiples façons, par la dictature du néo-libéralisme économique, l’une de ces façons étant la solution autoritaire nationaliste, xénophobe et raciste, tout comme autrefois c’était le fascisme. (cf. Trump, par ex)
    Dans cette conjoncture qui demande des prises de décision courageuses et urgentes, la gauche du PS et Mélenchon se comportent de façon irresponsable. Pas comme des « traîtres », ils sont de bonne foi, mais pire peut-être : comme des inconscients et des naïfs, un tantinet infantiles, comme si la vie politique était un simple jeu de foot ou de quilles qui se confondait avec celle des partis. Ils me paraissent tout à fait déconnectés du vécu des travailleurs, de ceux qui sont au chômage ou dont les conditions de vie et travail sont de plus en plus insupportables. Ils ne le sont peut-être pas tout à fait, en pensée, mais ils le sont dans leurs tripes. Sans doute parce qu’ils ne sont que spectateurs de la détresse des travailleurs, une détresse qu’ils n’ont jamais vécue personnellement. Assurément on ne peut le leur reprocher, mais ce que l’on peut déplorer, c’est qu’ils n’entendent pas le témoignage de cette détresse et que cela se traduise par on ne sait qu’elle « impossibilité » à rassembler toutes les forces de la gauche pour faire barrage à la droite et à l’extrême droite.
    Il faut donc sans doute que la gauche du PS quitte immédiatement ce parti devenu à proprement parler monstrueux. Assurément, il y faudrait beaucoup de courage, de lucidité et de détermination, aller à l’essentiel, penser, au lieu de polémiquer entre politiciens, et abandonner les petits conforts politico intellectuels que fournit l’appartenance à un « grand parti ».
    Il est tout à fait vain de demander à la droite du PS de faire barrage à l’extrême droite : elle s’inscrit en effet dans la grande tradition de la trahison de la classe ouvrière. Ces dernières années, elle a terminé le travail entamé en 1914, en passant entièrement du côté du capitalisme libéral. Rien à faire avec ces gens-là, leur cynisme est sans limite, et ils s’appuient sur une base PS de droite, dont j’ai pu voir à quel point elle est extrêmement faible et très confuse politiquement, sur certains points plus proche du FN que d’un parti de gauche digne de ce nom.
    Ariane, retraitée, ancienne syndicaliste et membre d’un CHSCT.

  7. meduse80
    Posted 11 mars 2017 at 9:17 | Permalien

    Je pense que vous payez le prix de vos illusions : vous avez voulu gagner de l’intérieur, vous avez réussi avec le vote des électeurs de gauche, mais les autres ne moquent du vote des électeurs. Il n’y a pas d’union possible avec les sociolibéraux

  8. Posted 11 mars 2017 at 10:00 | Permalien

    il y a 6 millions de voix socialistes le 5 dec 2015 soit 66 % des voix de gauche exprimées ce jour là,
    dans les 5 élections perdues depuis 2014 par faute de Hollande , aucun autre parti de gauche n’a pris la place, ni progresse a cote du PS, chaque fois que melenchon insultait le PS astre mort, il perdait des voix, ou n’en gagnait pas, repoussant les gens vers l’abstention plutôt que de les seduire
    aux législatives de juin si on perd le 23 avril, il restera entre 20 et 120 deputes PDS, et zéro PCF zéro EELV, zéro PG…

  9. Pierre LERMIGEAUX
    Posted 11 mars 2017 at 10:00 | Permalien

    Le ralliement de « notables » du PS, clamé haut et fort,à un démago tel que Macron n est il pas le signe de la fin du concept  » parti socialiste » en France?
    Moi voir ça me fait presque dégobiller tout simplement.
    L ‘honorabilité , le courage ,le sursaut d ‘existence, la preuve encore de vie et d intégrité serait que Cambadélis , MAINTENANT, prononce l ‘exclusion de ces gens du PS.pas dans 1 mois, pas dans 2 mois, Maintenant !
    Mitterand sur son dernier septennat n avait pas hissé le PS à un super niveau de gauche , Hollande en embauchant Cahuzac et Macron a ressorti la boite à caviar.

    Si cette exclusion n ‘arrive pas,ça voudra simplement dire qu’un tel ralliement était possible, était autorisé , était en somme… encouragé.

  10. Posted 11 mars 2017 at 10:17 | Permalien

    non, c’est le signe que la division ne paie pas et est sanctionnée
    tu remarqueras que les voix que le PS perd, aucune ne va a melenchon, ça interroge non ?

  11. Carlos hermo
    Posted 11 mars 2017 at 10:36 | Permalien

    Oui juge Filoche… Les voix perdus ne vont pas chez Mélenchon… Mais chez Macron!!!!!!! Cela ne vous interroge t’il pas non plus ? Ce message est pour vous… Pas pour être affiché sur ce blog.

    Vous êtes à la croisée des chemins, Hamon est condamné à un immobilisme mortifère à cause de l’écart ideologique trop important entre l’aile droite du PS et son aile gauche, dont vous faites parti. Valls & co souhaite s’emanciper du « carcan » que représente les idées que vous représentez et ils affichent clairement leur ambition en soutenant Macron. Ils seront suivis par une bonne partie des electeurs PS… Rappelez vous des 40% de Valls à la primaire pour vous en convaincre: les faits sont têtus n’est-ce pas?

    Vous ne voulez pas comprendre que la schizophrenie qui regne au PS est la source du problème, ce n’est pas Melenchon qui meme s’il est le dernier des connards, fait passer le projet avant les interets d’un quelconque parti, contrairement à Hamon lorsqu’il s’abstient sur la motion communiste quant au CETA à l’Assemblee à cause de tous ces connards de « valllsistes »!

    Hamon va jouer la continuité… Qu’il gagne ou qu’il perde, nous, nous perdrons tous. En appuyant Hamon, vous avez choisi l’abandon.

  12. Posted 11 mars 2017 at 10:42 | Permalien

    ah non nos voix ne vont pas vers Macron, mais elles sont dans l’abstention, hélas, et le seul moyen pour les mobiliser serait l’unité hamon Mélenchon
    les pro-macron pèsent peu, ce sont les défaits des 6 derniers scrutins y compris le 29 janvier
    la gauche est majoritaire en france encore faut il qu’elle ait une offre unie qui l’attire

  13. Michel PAVIEAU
    Posted 11 mars 2017 at 10:54 | Permalien

    Pour vous aussi Gérard, le moment de la clarté est venue. Vous soutenez un candidat (Hamon) qui n’est pas pour la retraite à 60 ans, comment l’expliquez-vous alors que vous avez écrit un livre sur le sujet ?

    Ne m’invectivez pas, c’est une question que je vous pose. Vous avez expliquez que vous vouliez l’union avec « Hamon Président et Mélenchon premier ministre ». Cela prouve bien que votre préférence va à Hamon. Pourquoi préférez-vous le programme d’Hamon à celui de Mélenchon ?

    Bien sûr, mon commentaire sera supprimé, comme tous les autre sur le sujet.

  14. Dominique Babouot
    Posted 11 mars 2017 at 11:13 | Permalien

    Ah le ptit con de Macron, il tire son épingle du jeu, il vaetre face à Lepen au second tour!

    Vous demandez l’exclusion de ceux qui le soutiennent au ps, c’est à dire Valls, Hollande, Colomb, Careche, Touraine,Lefoll etc…

    Eh oui vous allez vous faire avoir!

    C’est trop tard!

    Il fallait casser la baraque dans les jours qui ont suivi la primaire, dire clairement que les socio-libéraux n’avaient rien à faire avec vous, provoquer tout de suite la scission du ps, en un mot choisir comme l’avait de mandé Mélenchon!
    Mais L’emmanuelliste Hamon a préféré comme à son habitude la synthèse molle et il va tout perdre.
    J’étais assez dubitatif sur le revenu universel mais c’était sa marque de fabrique! Pourquoi y renonce-t-il maintenant?

    Pour faire plaisir aux valsistes qui vont le trahir à la présidentielle, c’est le début de la descente aux enfers pour Hamon il devra se soumettre ou se démettre quand Macron sera président!

    Quant à filoche?

    Pauvre Filoche il aura été exclu du ps avant Colom, Careshe et les autres!

    Bon courage en tout cas, faire de la politique comme celà c’est désespérant!

  15. sansressources
    Posted 11 mars 2017 at 11:15 | Permalien

    c’est pourtant très simple, ceux qui désertent pour Macron, qui va faire du Hollande en pire, doivent se voir immédiatement radiés du PS, si cela n’est pas fait, on ne peux avoir aucune confiance dans le PS et donc dans Hamon, dans ce cas il faut voter impérativement Mélenchon si on ne veut pas se retrouver encore une fois otage d’un PS droitier
    si vous voulez avoir la confiances de la gauche, virez les traitres

  16. Posted 11 mars 2017 at 11:49 | Permalien

    s’il y a un accord Hamon melenchon je pense que melenchon réussirait a mettre la retraite à 60 ans dedans
    mais il n’essaie meme pas,

  17. Posted 11 mars 2017 at 11:52 | Permalien

    Ce qui est clair c’est que sur le plan social Macron est pire que le Pen, mais pas sur le racisme, la xénophobie, le nationalisme, c’est pourquoi Hamon a raison de dire que Macron est le marche pied de le Pen dans une débat de second tour, Macron en parlant nourrira le Pen

    notre courant D&S résiste très bien, car nous sommes cohérents et savons de façon continue, droite, permanente ou nous voulons aller, c’est ça la force d’un collectif militant
    on n’elucubre pas tous les trois jours des trucs différents,
    nos théories sont solides
    elles sont cohérentes, elles sont incarnées dans un combat politique systématique continue, et relativement efficace par rapport a tous les devrais qui nous entourent et nous confortent
    unite !

  18. Posted 11 mars 2017 at 11:52 | Permalien

    y’a qu’a …

  19. socrate
    Posted 11 mars 2017 at 12:41 | Permalien

    pour avoir écouté le pénible meeting de Hamon au Havre j’ai retenu que celui ci voulait que l’UE intégre la dette des pays les plus endettés….

    quelle utopie

    je sais bien qu il est permis de réver encore mais enfin soyons sérieux comment imaginez que les 28 états acceptent ça ?

    au contraire Melenchon va cet apres midi confirmer qu il faut changer l’europe de l’intérieur ou la quitter si un accord est impossible atrouver

    quitter l’UE ce n’est pas etre anti européen c’est juste reprendre notre autonomie de gestion économique avec bien sur de bons et moins bons aspects , mais au moins cela permet de faire bouger les choses.

    Car Hamon lui ; propose en gros de remettre la renégociation promise par Hollande d’actualité.
    On connait d’avance le résultat.

  20. socrate
    Posted 11 mars 2017 at 12:51 | Permalien

    au 9 mars selon bfm

    Hamon est a 13 %
    Melenchon est a 12 %

    donc pas de quoi mépriser l’autre

  21. sansressources
    Posted 11 mars 2017 at 13:25 | Permalien

    ben oui, yaka, et ça peux très bien se faire, mais le PS ne voudra jamais virer les macronnistes, les places à prendre son du coté de Macron et les places c’est plus important que tout, l’éthique, la morale, le peuple
    vous n’avez pas la volonté de faire ce yaka, alors vous pouvez bien moquer, le fait est la, il n’y aura pas de confiance et ce sera le marchepied de MLP comme dirait Hamon

  22. socrate
    Posted 11 mars 2017 at 13:45 | Permalien

    J’appelle Jean Christophe Cambadélis à parler clair. L’appartenance au Parti socialiste de ceux qui soutiennent Emmanuel Macron est incompatible avec les statuts de ce parti. La question du retrait de leurs investitures est posée. Le premier secrétaire du Parti socialiste doit trancher, ramener le PS à gauche et respecter le vote de plus de 2 millions de personne à la primaire : cesser de se prononcer un jour pour Hamon, un jour pour Macron. G FILOCHE
    _________________________________________________________________________________________________

    Mais Cambadelis n’en fera rien puisqu’il se murmure que pour lutter contre le FN il se pourrait que meme Hollande invite a voter Macron.
    Si Hamon ne fait pas un bon score , il sera balayé du PS
    la voie de gauche sera considérée comme perdante et Valls et son clan pourra reprendre la main sur le PS

  23. Posted 11 mars 2017 at 13:50 | Permalien

    c’est sur… ou il est votre triomphalisme, ça vous fait pas ouvrir les yeux sur la nécessaire unité ?

  24. Posted 11 mars 2017 at 13:50 | Permalien

    a quoi ça sert tout votre baratin, c’est fini le 23 avril à 20 h !

  25. Naïm
    Posted 11 mars 2017 at 14:53 | Permalien

    Je me répète, parce que vous n’y avez jamais répondu. Vous ne cessez d’accuser Mélenchon de ne pas vouloir l’union mais Hamon parle clairement de retrait dans cette vidéo!
    Faudra m’expliquer en quoi attendre le retrait de l’autre correspond à l’unité!!

    Stop le baratin!

    https://www.youtube.com/watch?v=cfX-opeEudg

  26. Carlos hermo
    Posted 11 mars 2017 at 15:13 | Permalien

    M’enfin je ne crois pas voir ici quelqu’un qui se réjouisse de cette Merde sans nom dans laquelle nous avons tous les pieds enfoncés jusqu’aux chevilles!

    Mais Hamon, compte tenus de ses choix jusque maintenant a reussi à réduire à neant l’avance qu’il avait obtenu en surfant sur la dynamique de la primaire… Primaire ou bon nombre de sympathisants de gauche et de la France Insoumise ont voté pour punir Valls.

    De plus en plus de gens ne lui font plus confiance pour appliquer une quelconque rupture avec la politique menée encore à l’heure actuelle par le gouvernement que tout le monde s’accorde encore à appeler socialiste. Il bataille, donnant des gages en veux tu en voilà aux vallsistes, pour faire la synthèse dans son propre parti…
    Le pire c’est que c’est sans succès car l’aile droite veux juste écraser l’aile gauche du parti socialiste! C’est donc une guerre qui se mène POUR LE CONTROLE DU PS! PAS POUR FAIRE TRIOMPHER UN VRAI PROJET POUR LES FRANCAIS!

    Je suis juste écoeuré que votre parti instrumentalise la présidentielle pour son propre intérêt et trancher des divergences en son sein! Il y a tant d’espoir autours de ce rendez vous que ce comportement me donne la nausée… Je n’attends plus rien d’Hamon.

    Encore une fois, inutile de vous forcer à afficher ce message, je sais déjà de quels noms d’oiseaux vous allez m’affublez…

  27. socrate
    Posted 11 mars 2017 at 15:43 | Permalien

    Gérard Filoche
    Posted 11 mars 2017 at 13:50 | Permalien

    a quoi ça sert tout votre baratin, c’est fini le 23 avril à 20 h !

    pour écouter les interventions récentes de Hamon il ne parle pas de vouloir l’unité.
    tu nous reproches a nous anonymes de ne rien faire pour l’unité mais que fais tu pour celle ci toi qui es proche de l’état major de Hamon

  28. socrate
    Posted 11 mars 2017 at 18:15 | Permalien

    A Rome, Mélenchon creuse le sillon du « plan B » européen avec les gauches radicales

    Le candidat à la présidentielle participe samedi et dimanche à une réunion de la gauche radicale européenne. Il prône une sortie de l’Union si la renégociation des traités échoue.

    Jean-Luc Mélenchon, le 8 mars, à Marseille.
    Jean-Luc Mélenchon a longtemps pensé que l’Europe serait au cœur de cette présidentielle. Même si le sujet n’est pas parvenu pour le moment à s’imposer dans la campagne, ce partisan du non au traité constitutionnel européen en 2005 compte bien saisir la tribune qui lui est offerte, samedi 11 mars, lors d’« un sommet du plan B » organisé à Rome. Une autre façon pour lui de célébrer les 60 ans du traité du même nom, à l’origine de la Communauté économique européenne (CEE).

    Celui qui n’a cessé de dénoncer ces dernières années « l’Europe austéritaire » a lui-même lancé ce processus en septembre 2015 lors de la Fête de L’Humanité. A l’époque, il vient de rompre avec Alexis Tsipras, le premier ministre grec issu du parti Syriza, coupable à ses yeux de n’avoir pas su instaurer un rapport de force avec l’Allemagne.

    Le député européen est alors soutenu par l’ex-ministre grec des finances Yanis Varoufakis – qui s’éloignera finalement de l’initiative –, par l’Allemand Oskar Lafontaine, ancien coprésident de Die Linke, ou encore par Zoe Konstantopoulou, alors présidente du Parlement grec, en rupture avec Syriza.
    « Protectionnisme solidaire »

    Samedi et dimanche, à Rome, cette quatrième rencontre réunira des participants principalement issus de la gauche radicale européenne la plus critique – les communistes français ne partagent par exemple pas cette démarche.

    Etaient cependant annoncés John McDonnel, un proche du leader du Parti travailliste britannique Jeremy Corbyn, Luigi De Magistris, maire de Naples et homme de gauche indépendant, ou Fabio Massimo Castaldo, député européen du Mouvement 5 étoiles italien. « C’est encore très démarrant, on se voit beaucoup car on a besoin de bien se comprendre, avait précisé M. Mélenchon, lundi, lors d’une conférence de presse. Il n’y aura pas qu’un plan B. Suivant les pays, le plan B ne sera pas le même. »

    Dans son programme, M. Mélenchon défend l’idée d’un « plan A » – « sortie concertée des traités européens » et « négociation d’autres règles » – et d’un « plan B » – « sortie des traités européens unilatérale par la France » – en cas d’échec de la première méthode.

    Le premier comporte la fin de l’indépendance de la Banque centrale européenne, la mise en place d’un « protectionnisme solidaire » ou encore une harmonisation fiscale et sociale.
    « L’Europe, on la change ou on la quitte »

    En cas d’accord, les Français seront consultés par référendum pour décider « souverainement de [leur] participation à l’Union européenne [UE] refondée ou de la sortie ». En cas d’échec, la seconde option consisterait notamment à stopper la contribution de la France au budget de l’UE et à mettre en place un contrôle des capitaux et des marchandises aux frontières nationales.

    « S’il n’y a pas de plan B, le plan A ne fonctionne pas, expliquait le candidat de La France insoumise en août 2016 au Monde. Ce qui me distingue d’autres courants de gauche, c’est que, pour moi, la nation est un levier de la bataille européenne. »

    Une démonstration qui ne convainc pas l’écologiste Pascal Durand, son collègue au Parlement européen, qui juge que c’est une sortie de l’UE qui ne dit pas son nom. « Son plan A n’existe pas, estime ce pro-européen. Mélenchon, ce n’est pas Zorro : ce qu’il demande n’est pas compatible avec les traités. On peut essayer de les renégocier mais pas de s’en affranchir tout seul. La seule façon d’y arriver, c’est de sortir de l’UE. »

    Au lendemain du Brexit britannique, en juin 2016, M. Mélenchon n’avait pas hésité à résumer sa pensée d’une formule provocatrice, inspirée d’un slogan de la droite dure : « L’Europe, on la change ou on la quitte. » Une approche qui marque une évolution par rapport à 2012, où il souhaitait « s’affranchir » du traité de Lisbonne pour « construire une autre Europe ».
    Se différencier de Benoît Hamon

    Désormais, l’ex-socialiste entend marquer sa différence, notamment avec Benoît Hamon, pourtant lui aussi « noniste » en 2005. C’est d’ailleurs le seul point que M. Mélenchon avait évoqué, le 26 février, après leur tête-à-tête pour expliquer l’échec de leurs discussions.

    Si l’objectif du candidat socialiste – « mettre l’austérité en minorité » en Europe – rejoint celui du fondateur du Parti de gauche, le chemin pour y parvenir diverge, comme il l’expliquait jeudi dans une interview au Monde. M. Hamon, lui, ne croit pas à la « menace » d’un plan B. « Je veux réussir à parler d’Europe sous une autre forme que celle d’un dangereux chiffon rouge qu’on agite dans tous les sens », critiquait-il.

    Ce partisan d’une Europe de la défense que M. Mélenchon fustige promeut « une assemblée parlementaire de la zone euro » qui aurait pour mission de « décider du budget de la zone euro, mais aussi des politiques d’harmonisation fiscale et sociale ».

    Une idée que son concurrent de La France insoumise a déjà étrillée dans une note de blog le 22 février, jugeant que M. Hamon ne faisait que reprendre une idée « cosmétique » de François Hollande. « Il ne s’agit donc pas de trouver de nouvelles formes d’apparence de l’Europe, mais de régler ses problèmes à la racine ! », écrivait-il.

    Raphaëlle Besse Desmoulières

    http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2017/03/11/jean-luc-melenchon-va-defendre-ses-projets-europeens-au-sommet-du-plan-b-a-rome_5092939_4854003.html

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2017/03/11/jean-luc-melenchon-va-defendre-ses-projets-europeens-au-sommet-du-plan-b-a-rome_5092939_4854003.html#qZorU6C0jozoEezY.99

  29. Gilbert Duroux
    Posted 12 mars 2017 at 0:59 | Permalien

    En visite à Libourne, François Hollande en a profité pour appeler la gauche au « rassemblement ».
    Qu’est-ce qu’il faut comprendre ? François Hollande rejoint Filoche pour réclamer une candidature unitaire Hamon-Mélenchon-Jadot ?

  30. socrate
    Posted 12 mars 2017 at 1:27 | Permalien

    ce soir Melenchon a définitivement refermé la porte a Hamon
    leur vision de l’europe est trop différente pour permettre un rapprochement

  31. Dominique Babouot
    Posted 12 mars 2017 at 11:43 | Permalien

    Mais on s’en fout de LR/FN à 20 Heures le 23 avril!
    D’ailleurs c’est pas sur car il y a ….

    Le petit con de Macron!

    Eh oui malgré tout ce qu’on peut dire sur l’anti-démocratisme de son movement en marche, il plait!

    Il plait aux électeurs socialistes qui ne veulent surtout qu’on commence à remettre en cause le capitalisme de peur que leurs petits intérets clientèlistes et mesquins soient remis en cause!
    Alors oui le petit con parcequ’il dit vraiment ce qu’il va faire sur le plan économique et social parcequ’il ne ment pas comme l’a fait hollande comme s’apprete à le faire Hamon s’il était élu, oui le petit con de Macron plait à ces gens là!

    Et BH, il pourra toujours essayer de leur faire du pied, cela ne sert à rien, ils ont choisi depuis longtemps, ils ne lacheront pas la proie pour l’ombre!

    Et les électeurs de gauche qui avaient choisi JLM parcequ’ils pensaient que ce serait Hollande ou Valls qui remporterait la primaire quel est leur intéret dans cette affaire?

    Plus l’échéance se rapproche plus je pense que eux aussi ils ne doivent pas lacher la proie pour l’ombre, quelle confiance peuvent-ils avoir en l’apotre de la synthèse, car rappelons-le au congrès Du mans en 2005, ils ont préféré la synthèse à l’honneur de maintenir leurs convictions, ils ont préféré rester dans ce parti en acceptant de tourner le dos à ce qu’ils avaient défendu pendant la campagne du référendum sur l’europe.

    Alors on dira que jlm en a fait autant, mais je m’en fous!
    Ce qui m’importe c’est ce qu’il dit actuellement qui m’intérèsse pas ce qu’il a fait avant!

    Par contre le refus de menacer de sortir de l’ue, cause de l’absence d’unité, il est bien là, il ne date pas de 2005 et il a été acté dans un certain restaurant chilien de Ménilmontant!

    Arretez de nous mener en bateau avec votre unité sans contenu!

    C’est parce que Benoit Hamon a préféré la synthèse molle avec les socio-libéraux européistes aux convictions qu’il avait affiché lors du vote sur le traité constitutionnel européen que l’unité n’est pas possible!
    Et quant aux autres, Filoche, Linemann et CIE ils acceptent d’avaler la couleuvre sans dire mot et refusent hypocritement de mettre ce sujet sur la table.

    Benoit Hamon est-il pret à quitter l’union européenne et l’euro s’il échoue sur la renégociation des traités, c’est la seule question qui doit lui etre posée, si on ne veut pas le 23 Avril à 20 Heures avoir à choisir entre Lepen et Macron ou Fillon!

  32. Inkey
    Posted 12 mars 2017 at 12:24 | Permalien

    « au 9 mars selon bfm

    Hamon est a 13 %
    Melenchon est a 12 %

    donc pas de quoi mépriser l’autre »

    D’autant que ce n’est pas Hamon qui rassemble le plus d’ électeurs convaincus.

    Toute logique « à la Hamon » de ralliement n’a strictement aucun sens.

  33. Posted 12 mars 2017 at 13:03 | Permalien

    la division fait stagner les deux.. vous est contents c’est ça ?

  34. Posted 12 mars 2017 at 13:08 | Permalien

    nous avons fait 130 000 signatures, suscite des milliers de lettre prises de position, appels, personnalise, artistes, et même manifs, nous étions 2000 dans 22 points de rv en farce ce samedi, vous y’ étiez pas hein ?

  35. Posted 12 mars 2017 at 13:09 | Permalien

    ridicule, car si hamon perd, la droite du ps reprendra aussitôt le contrôle de ce parti…
    cette fois nous serons poussés dehors
    ce sera un mal pour toute la gauche

  36. Posted 12 mars 2017 at 13:11 | Permalien

    oui j’accuse melenchon d’avoir refusé toute union, savamment, sciemment, et d’etre responsable de ce qui va arriver le 23 avril
    ensemble on etait majoritaires et on gagnant la présidentielle
    et meme s’il y avait un doute chez hamon, c’était a melenchon si sur de lui de le lever..
    mais ou a t il une seule fois fait appel, et bataille pour l’unité ? jamais !!! jamais !

  37. Posted 12 mars 2017 at 13:40 | Permalien

    Bonjour Gérard,
    Au sujet du meeting du Mans, en effet la salle a été louée par ND.
    Quel est l’élu responsable des locations de salles!!!!, Mr Counil.
    Une bonne partie des sympathisants Ps étais dans la salle, voir le film.
    Il y a un blocage total (des élus PS) en Sarthe pour un soutien à Benoit Hamon.
    En retour, nous n’avons aucune possibilité de contact direct avec BH, pour lui exposer la situation.
    Pas de retour pour un comité de soutien, pas de retour des (2) soutiens de BH, au PS local.
    La seule élus de soutien à BH depuis le mois de décembre, Catherine Gouhier n’a pas eu la possibilité de s’exprimer dans la presse locale.
    Ils jouent la montre, nous nous sentons impuissants!!!!!!!!!!!!
    Cordialement
    Gilbert le Corre

  38. Gilbert Duroux
    Posted 12 mars 2017 at 13:44 | Permalien

    GF : « la division fait stagner les deux.. vous est contents c’est ça ? »

    Est-ce que tu vas arrêter de seriner comme un perroquet qu’on est content de la division ? Personne ne s’en réjouit. Mais une unité sans contenu, autrement dit en continuant de composer avec les libéraux pour ne pas qu’ils se tirent vers Macron (leur pente naturelle), c’est Le Pen au pouvoir demain. C’est ça que tu veux ?

  39. Posted 12 mars 2017 at 13:53 | Permalien

    menteur, vous ne faites rien rien rien pour combattre pour l’unité
    seulement soulever les obstacles,

  40. Gilbert Duroux
    Posted 12 mars 2017 at 14:23 | Permalien

    GF : « menteur, vous ne faites rien rien rien pour combattre pour l’unité
    seulement soulever les obstacles »

    Eh, ho ! les obstacles on les a pas inventés. Ils sont du fait des socialistes. Mettre la poussière sous le tapis n’a jamais rien arrangé.
    Voici ce que pense, par exemple, Isabelle Attard, députée écologiste (celle qui a porté plainte contre Denis Naupin), à propos de l’accord avec le PS. Tu crois qu’elle invente des obstacles ? :
    « Quand je vois des députés socialistes investis par le PS alors qu’ils font partie de l’équipe rapprochée de Macron, je me pose des questions sur les intentions réelles du PS. Quand j’entends des ministres actuels qui se posent la question de leur éventuel soutien au candidat En Marche, je trouve cela très grave. Voir certains ministres attendre les résultats des prochains sondages pour se déterminer et se positionner… c’est le degré zéro de la politique ! Soit c’est la preuve de leur non ossature politique, soit c’est de l’opportunisme. Qu’ils s’assument ! Cette situation est très inquiétante pour la démocratie ».

  41. Inkey
    Posted 12 mars 2017 at 15:33 | Permalien

    «oui j’accuse melenchon d’avoir refusé toute union, savamment, sciemment, et d’etre responsable de ce qui va arriver le 23 avril
    ensemble on etait majoritaires et on gagnant la présidentielle
    et meme s’il y avait un doute chez hamon, c’était a melenchon si sur de lui de le lever..
    mais ou a t il une seule fois fait appel, et bataille pour l’unité ? jamais !!! jamais !»

    Quel sens à l’unité quand vous accusez l’une des partie que vous ne connaissez vraisemblablement pas pour défendre la votre de partie qui n’a pas fait vraiment d’effort (il suffit d’écouter Hamon pour voir que la seul possibilité dans son esprit était le ralliement vers lui).

    Vous êtes partisan et vous prétendez ne pas l’être, être pour une union acceptable, ce n’est pas vrai.

    La réalité c’est que vous êtes complètement déconnecté de ceux dont vous fustigez le fait qu’il ne veulent pas de vos tambouilles, de vos mots vides de sens, qui en on marre qu’on se moque d’eux et qui attendent de la clarté.

    Ne prétendez pas faire partie de la même famille politique que ceux que vous méprisez ainsi.

  42. Eli
    Posted 12 mars 2017 at 16:17 | Permalien

    « oui j’accuse melenchon d’avoir refusé toute union, savamment, sciemment, et d’etre responsable de ce qui va arriver le 23 avril »

    c’est tellement facile …
    Moi j’accuse les dirigeants du PS d’avoir détruit la gauche !

    Braouzec qui appel à voter Macron … On en est là de la déliquescence totale Ils n’ont même plus envie de voter à gauche.

  43. michel
    Posted 12 mars 2017 at 16:18 | Permalien

    Il n’y a que les forces politiques qui ont investi Hamon et Mélenchon qui peuvent se réunir et décider d’un candidat commun. Ce n’est pas aux candidats de décider seuls, ils ont été mandatés.
    Et la on voit que c’est moins simple que la fable des égos des vilains garçons.On ne règle pas des problèmes politiques de 5 ans en quelques jours. Les citoyens le savent bien, ce qui explique le peu de monde au rassemblements d’hier (2000) et la pétition qui plafonne un peu au dessus de 100 000.

  44. sansressources
    Posted 12 mars 2017 at 16:21 | Permalien

    et moi j’accuse Hamon d’avoir refusé toute union et d’être responsable de ce qui va arriver le 23 avril, j’accuse aussi le PS, la primaire et la logique de parti, Hamon se dit légitime avec ses votes alors que JLM n’aurait que des clics, il ne peut donc se mettre avec JLM même s’il le voulait, quant à Hamon, il n’a fait des appels à l’unité que pour rassembler le PS derrière lui, ce qui est un comble, et n’a jamais jamais jamais fait un pas vers JLM, c’est toi qui écrit une histoire qui te convient, tu oublies aussi 5 ans de désastres dû au seul PS et que personne ne veut revoir 5ans aussi terribles alors je sais bien que ce n’est pas et ne sera jamais ta faute ni celle du PS mais les faits sont tétus et les faits sont que vous serez les euls responsables du 23 avril

  45. CRAYENCOUR
    Posted 12 mars 2017 at 16:51 | Permalien

    « oui j’accuse melenchon d’avoir refusé toute union, savamment, sciemment, et d’etre responsable de ce qui va arriver le 23 avril »
    Hamon ne voulait pas de cette union; il l’a avoué lui même et n’a rien fait pour se rapprocher de Mélenchon,espérant « siphonner » ses voix. Il a préféré composer avec votre aile droite pour réaliser une nouvelle synthèse; quand on voit où la dernière nous a mené, heureusement que Mélenchon ne l’a pas acceptée. Après la trahison de ce quinquennat, tu oses dire que c’est Hamon qui avait un doute! tu plaisantes; c’est à nous électeurs de gauche trahis d’avoir un doute et c’était à Hamon de tout faire pour lever ce doute en marquant sa rupture avec ce quinquennat et avec votre aile droite. Il ne l’a pas fait, au contraire et depuis la Guadeloupe, il vient de dire que le bilan de Hollande était excellent! Pitoyable. Mieux vaut perdre que d’être trahi une fois de plus et si ton parti de carriéristes opportunistes sombre, tant mieux si cela permet une clarification que Hamon n’a pas voulu faire. Je n’ai rien fait de plus stupide que de voter pour lui à la primaire; c’est Mélenchon qui avait raison; pour la gauche, il aurait été mieux de laisser les seuls socialistes voter et élire Valls, au moins il n’y aurait eu qu’un seul candidat de gauche en avril.

  46. Posted 12 mars 2017 at 17:42 | Permalien

    @GF39
    Effectivement je ne combats pas pour ou contre l’unité. Je ne suis pas un militant. Je suis bêtement un électeur parmi des millions d’autres qui doivent décider quel bulletin mettre dans l’urne.
    Une unité sans contenu ne m’intéresse pas.
    Une unité entre deux candidats qui passent leur temps à s’accuser mutuellement de trahison, ça ne m’intéresse pas.
    Soyez réaliste, il n’y aura pas d’unité.
    La moitié de l’appareil de votre parti est déjà en train de quitter le navire, et ce n’est pas la peine d’en accuser qui que ce soit. Si ils rejoignent EM, ce n’est pas pour ses beaux yeux, ni parce qu’il y a des places à prendre. C’est tout simplement parce que, dans le fond, leurs idées sont les siennes.
    Moi j’observe, et je suis quasiment sûr que mon bulletin, si bulletin il y a, n’ira ni vers BH ni vers JLM.

  47. Dominique Babouot
    Posted 12 mars 2017 at 17:52 | Permalien

    « oui j’accuse melenchon d’avoir refusé toute union, savamment, sciemment, et d’etre responsable de ce qui va arriver le 23 avril
    ensemble on etait majoritaires et on gagnant la présidentielle
    et meme s’il y avait un doute chez hamon, c’était a melenchon si sur de lui de le lever..
    mais ou a t il une seule fois fait appel, et bataille pour l’unité ? jamais !!! jamais ! »

    Franchement quand on lit un tel commentaire on se demande si on ne reve pas ou si ce n’est pas soi qui déraille!

    Mais quel culot, quelle mauvaise foi!

    Et puis si on relit plus en arrière sur ce blog ou dans la revue D et S, on trouve des textes construits argumentés!

    Mais c’est en dehors des périodes électorales!

    Plus l’échéance approche et plus tout cela s’efface pour faire la place à une sule obcession, gagner les élections, avec n’importe qui, por faire n’importe quoi!

    A expliquer que le plus pire sera mille fois pire que ce qui est moins pire!

    Et pourtant, on le sait depuis longtemps, depuis 2005 et bien avant depuis 1983!

    AUCUNE POLITIQUE SOCIALE DIGNE DE CE NOM NE PEUT ETRE FAITE SI ON NE REMET PAS EN CAUSE LE SYSTEME EXISTANT, c’est à dire le libéralisme c’est à dire si on ne sort pas du capitalisme!

    ET CA TOUT MARXISTE QUI SE RESPECTE DEVRAIT EN ETRE CONSCIENT!

    Mais relisez le Capital, Relisez, Marx Lénine et Trostsky!

    Hors ses traités qui s’appliquent dans l’union européenne interdisent qu’on fasse celà, pour le faire il faut qu’ils ne s’appliquent pas!

    Moi j’accuse Benoit Hamon d’avoir délibérémment refusé le dernier choix de sortir le l’ue, et de l’euro si les autres refusent de remettre en cause les traités européenns qui gravent le capitalisme dans le marbre indéfiniment!
    *************************************************
    J’ ACCUSE BENOIT HAMON D’AVOIR L’INTENTION DE TRAHIR SES ENGAGEMENTS EN MATIERE SOCIALE ET ECOLOGIQUE PARCE QU’IL SAIT QU’IL NE POURRA PAS LES TENIR SI LES TRAITES EUROPEENS SONT MAINTENUS!!!!!
    **************************************************

    J’accuse Benoit Hamon de ne pas vouloir gagner l’élection présidentielle et d’avoir accepter d’etre candidat pour sauver l’unité du ps et maintenir le mensonge sur le quel repose la stabilité du ps depuis l’ouverture de la soit-disante parenthèse libérale depuis 1983!

  48. Dominique Babouot
    Posted 12 mars 2017 at 17:59 | Permalien

    Et malgré les mensonges pour noyer le poisson, tous les citoyens francais qui raisonnent n’admettent pas cette langue de bois!

    J’en veux pour preuve la lente mais sure érosion de Benoit Hamon dans les intentions de vote et les remarques autour de soi!

    Le dernier avatar, c’est la reculade sur le revenu universel!

  49. Dominique Babouot
    Posted 12 mars 2017 at 18:10 | Permalien

    Et si par hasard il gagnait quand meme, j’accuse Benoit Hamon par avance de favoriser le front national, parcequ’il rendra la gauche détestable aux yeux des citoyens de ce pays en prouvant que gauche de gouvernement est synonyme de trahison!

  50. Michel PAVIEAU
    Posted 12 mars 2017 at 18:36 | Permalien

    « oui j’accuse melenchon d’avoir refusé toute union, savamment, sciemment, et d’etre responsable de ce qui va arriver le 23 avril
    ensemble on etait majoritaires et on gagnant la présidentielle
    et meme s’il y avait un doute chez hamon, c’était a melenchon si sur de lui de le lever..
    mais ou a t il une seule fois fait appel, et bataille pour l’unité ? jamais !!! jamais ! »

    Qu’est-ce que c’est que ça Gérard ? Tu ne crois pas que tu es de mauvaise foi ?? Hamon c’était engagé à appeler Mélenchon le LENDEMAIN de son élection au primaire. Il ne la pas fait. Il a fallu attendre 3 SEMAINES pour qu’une rencontre ait lieu parce que Mélenchon avait écris une lettre très bienveillante à Hamon.

    Regarde la réaction de Mélenchon ici :

    http://www.vsd.fr/actualite/union-de-la-gauche-le-coup-de-sang-de-melenchon-face-a-un-militant-video-20192

    Elle n’est pas légitime ? Pourquoi tu veux l’union sur un programme qui n’aura même pas la retraite à 60 ans ?? Gérard arrête de trahir tes idées pour critiquer Mélenchon. Si la gauche perd le 23 avril, ce sera la faute de Hollande et de Hamon. Pas de Mélenchon, c’est tellement évident comme raisonnement.

    Surtout que tu raisonnes de cette manière : 12% + 13 % = 25% sauf qu’au moins la moitié des électeurs de Mélenchon ne voterait pas pour Hamon avec une union flou sans retraite à 60 ans, une position flou sur l’Europe (comme Hollande en 2012)… L’union Mélenchon-Hamon ne dépasserait même pas les 20%. Mélenchon seul a plus de chance d’être au second tour que les deux unies…

    Gérard, il faut que tu te rendes compte que tu défends une position contraire à tes idées.

    Moi qui suit de l’extérieur le truc, je ne comprends pas ton combat qui consiste à dire « unité, unité ! Il faut gagner et on verra pour le programme après. » Est-ce sérieux de raisonner comme ça et prétendre gouverner la France ensuite ?

    Gérard, si tu veux gagner en avril 2017, tu n’as qu’a soutenir le candidat le plus proche de tes idées (soit Mélenchon). Cela permettra déjà de créer une bonne dynamique. Les gens en ont marre des logiques d’appareil et de la politique politicienne !!

  51. grisoline
    Posted 12 mars 2017 at 18:46 | Permalien

    Excusez-moi, M. Filoche, mais est-ce bien utile de persister dans cet appel à une union qui ne peut se faire. Même en mettant un cierge à Lourdes.

    Et qu’est-ce qui empêche D&S de rejoindre la FI ? puisque ceux qui se ressemblent doivent s’assembler comme vous le proclamez.

    Cette fidélité à un PS dont la majorité n’hésite pas à trahir les résultats de leur propre primaire est complètement incompréhensible vu de l’extérieur. Vous en restez à une indignation en paroles et avec peu d’actes constructifs.
    Car soit vous avez le rapport de force permettant une éviction de ceux qui partent soutenir Macron, soit vous ne l’avez pas. Et il semble évident que vous ne l’avez pas.
    Il semble que vous entretenez l’espoir d’être un jour majoritaire au PS. Un jour…mais quand ? Clairement pas maintenant. Alors que la période est pleine de menaces pour les gens que vous défendez.

    Logiquement vous devriez faire un choix : soit celui de sauver un PS qui n’est toujours pas celui de vos voeux, soit celui de penser aux gens que vous dites défendre. Je crois que vous pensez ménager la chèvre et le chou en vous entêtant sur cette histoire d’union. C’est aussi un choix. Mais je ne suis pas sûre que l’un ou l’autre y gagnent En tout cas pas les deux.

  52. Posted 12 mars 2017 at 19:19 | Permalien

    il y a moins en moins de chances
    vous gaspillez ce qui reste de vote énergie au lieu de l’utiliser a batailler pour la seule chance de survie l’unité

  53. Posted 12 mars 2017 at 19:21 | Permalien

    il n’a meme pas reculé, il vient sur de meilleurs positions MES yeux
    mais l’érosion c’est possible, c’st le prix de le désunion , melenchon aussi s’érode quoique formellement plus à gauche

  54. Posted 12 mars 2017 at 19:21 | Permalien

    baratin personne n’aura rien a tenir,
    sans unité desastre

  55. Posted 12 mars 2017 at 19:22 | Permalien

    au moins c’est dit tu prefères la droite a un gouvernement Hamon Jadot laurent melenchon
    allez ouste va au FN ou a LR..

  56. Posted 12 mars 2017 at 19:25 | Permalien

    pour gagner il faut 20 % puis 50 % c’était possible dan une unité feconde, dynamique qui emportait tout, les droitiers les gauchistes,
    car on refait pas un congres du PS, de délimitation,
    on est dans une élection ou il faut 50 % de Besancenot à Valls !
    la division n’emportera rien, c’est sur, ni les valssistes qui vont vers macron, ni la gauche de la gauche qui retourne dans sa solitude

  57. Posted 12 mars 2017 at 19:26 | Permalien

    tu pleureras le 23 avril d’avoir provoqué la défaite, mais ne viens pas demander ensuite

  58. Posted 12 mars 2017 at 19:27 | Permalien

    Hamon est libre, il decide tout seul,
    Mélenchon aussi
    il y a place pour un accord global, plateforme, casting, majoritaire de deputes,
    et il n’y a aucun divergence aucune qui mérite de ne pas se mettre d’accord,

  59. Posted 12 mars 2017 at 19:28 | Permalien

    ceux qui vont macron sont des laches qu’on n’a pas pu retenir pour gagner
    et on n’a pas pu les retenir parce que la division cause notre tombe a tous

  60. Posted 12 mars 2017 at 19:31 | Permalien

    le fait est que des millions d’abstentionnistes ne viendront pas voter a gauche à cause de cela…
    a cause de quelques dizaines de milliers de sectaires à l’horizon bouche dans les deux camps,
    qu’on perde les sectaires des deux camps, m’est en effet indifférent, je les méprise politiquement, grand vent !
    mais qu’on ne gagne pas les millions de voix qui ne seraient venues qu’à à la condition d’un accord hamon jadot laurent melenchon me désespère,
    la gauche st majoritaire en fonce et elle va perdre, à cause de ces sectaires bornés qui touchent la voie

  61. Posted 12 mars 2017 at 19:32 | Permalien

    seule l’unité peut pouvait dissiper ces machineries… sans elle, les macroneries vont encore progresser

  62. socrate
    Posted 12 mars 2017 at 19:57 | Permalien

    mais bon sang comment voulez vous qu ils se mettent d’accord
    sur l’europe leurs positions sont irréconciliables
    pareil sur le travail ….

  63. Gilbert Duroux
    Posted 12 mars 2017 at 21:05 | Permalien

    L’unité, ça se construit. Le PS, ton parti, fait tout pour que l’unité soit impossible. Pourquoi ne virez-vous pas ceux qui vont vers Macron ? Ça permettrait d’aller vers l’unité avec ceux qui restent.
    C’est bien la preuve que le PS a deux fers au feu : Hamon et Macron. Et tu voudrais que Mélenchon avale ce genre de soupe ?

  64. Médusa
    Posted 12 mars 2017 at 22:02 | Permalien

    @GF36 « oui j’accuse melenchon d’avoir refusé toute union, savamment, sciemment, et d’etre responsable de ce qui va arriver le 23 avril
    ensemble on etait majoritaires et on gagnant la présidentielle
    et meme s’il y avait un doute chez hamon, c’était a melenchon si sur de lui de le lever..
    mais ou a t il une seule fois fait appel, et bataille pour l’unité ? jamais !!! jamais ! »

    Mélenchon n’a jamais caché qu’il essayait autre chose que « rassembler la gauche » à cette élection. Malgré cela, il a pris la peine de parler à Hamon à plusieurs reprises. En retour, il n’a eu que mépris (« je ne donnerai aucune tête ») et arrogance (« la centralité de la gauche, c’est moi »).

    Ce n’est pas Mélenchon qui a gouverné depuis 2012.

    Ce n’est pas Mélenchon qui a perdu la moitié de ses voix depuis 2012.

    Ce n’est pas Mélenchon qui a distribué les investitures aux législatives AVANT MÊME LES RÉSULTATS DE LA PRIMAIRE — on ne donne pas meilleure preuve du cirque que représentait celle-ci, puisque les députés étaient déjà choisis avant même la ligne !!

    Hamon n’avait que deux cinq mots à dire : programme commun, rediscussion des investitures. Ces mots ne sont jamais venus ; et puisque Môssieur se considère « central à gauche », une éventuelle défaite sera donc à mettre sur le compte de son incapacité à faire l’unité. (Ou plutôt de sa non-volonté, car nous savons tous ici qu’il pensait pouvoir isoler Mélenchon et siphonner son électorat… Peine perdue, il s’effrite lentement.)

  65. Médusa
    Posted 12 mars 2017 at 22:03 | Permalien

    @GF58 « ceux qui vont macron sont des laches qu’on n’a pas pu retenir pour gagner
    et on n’a pas pu les retenir parce que la division cause notre tombe a tous »

    Mais pourquoi vouloir les retenir, de toute façon ? Ils appartenaient déjà à la deuxième droite, qu’ils y restent… La clarification tant attendue est enfin arrivée, pourquoi s’en plaindre ?

  66. Gilbert Duroux
    Posted 13 mars 2017 at 0:11 | Permalien

    Tu dis en titre « le temps de la clarté est venu ». Tu as raison, ton parti doit se mettre au clair. C’est pourquoi tu devrais arrêter de t’agiter et de sauter comme un cabri en serinant « unité », « unité ». C’est en dissipant les ambiguïtés de ton parti, qui joue à la fois Hamon et Macron (si ce n’était pas le cas, ceux qui soutiennent Macron seraient sanctionnés) que les conditions de l’unité seront réunies. Pas l’inverse. Mélenchon et ses partisans n’ont pas vocation à vous servir de roue de secours.

  67. Posted 13 mars 2017 at 0:14 | Permalien

    ce sont de faux prétextes, y’a pas l’once d’un désaccord sur l’Europe sinon artificiel

  68. Posted 13 mars 2017 at 0:18 | Permalien

    mais je ne veux jamais virer personne,
    je ne suis pas un fou scissionniste groupusculaire comme vous,
    je en suis pas dans un congres PS mais dans une élection présidentielle qu’il faut gagner à plus de 50 %
    je veux les voix de Valls et des valssistes et plus encore, au delà
    un simple accord hamon melenchon est le seul tonnerre gagnant
    par contre pour les gagner ce n’est pas en coupant les cheveux en quatre sur un bout de programme, c’est en provoquant force attraction, unité assez pour maintenir tout le monde dans la meme dynamique
    il n’y a dans cette bataille AUCUNE DIVERGENCE SERIEUSE ENTRE hamon et melenchon, aucune c’est du pipeau intégral
    il faut 1800 60 32 20 ça suffit, et UNITE

  69. Posted 13 mars 2017 at 0:20 | Permalien

    oui et melenchon ne gouvernera pas
    ne gagnera jamais
    sans unité
    la moitié des voix du Ps a été perdu, oui !
    le reste est sauve par la gauche socialiste
    et Mélenchon n’en pas gagné une pas une

  70. Posted 13 mars 2017 at 0:25 | Permalien

    pour gagner !
    on a besoin de 20 puis de 50 %
    on ne fait pas mumuse
    une election c’et pas clarifier c’est rassembler, additionner des voix
    on pour la premiere fois depuis cent ans un candidat de la gauche socialiste !!!!!!!!
    on travaille a une force, une dynamique, une attraction un evénement capable de polariser et de capter la gauche, car elle est majoritaire mais dubitative, abstentionniste !!!!
    le baratin abscons sur les différences sur la stratégie européenne des millions de gens n’y comprennent rien mais s’il y a unité Hamon Jadot Laurent Mélenchon ils comprendront
    et ensuite on se bat acec une victoire et cela permet de gagner mieux la suite

  71. Médusa
    Posted 13 mars 2017 at 0:59 | Permalien

    @GF67 « ce sont de faux prétextes, y’a pas l’once d’un désaccord sur l’Europe sinon artificiel »

    Euh, si, entre une stratégie de fédéralisme assumée et le fait d’en rester à des coopérations entre nations souveraines, il y a un vrai désaccord. Le coup du « parlement de la zone euro », ce n’est pas une petite affaire. C’est la fin complète de la souveraineté nationale pour passer à une souveraineté européenne (dont les conditions de compatibilité ne sont pas du tout réunies…).

  72. Médusa
    Posted 13 mars 2017 at 1:04 | Permalien

    @GF70 « pour gagner !
    on a besoin de 20 puis de 50 % »

    Ben, justement, on n’a pas besoin de Collomb, Delanoë, etc. pour atteindre 20-25%. Les électeurs suffisent, peu importent les barons locaux.

    « on pour la premiere fois depuis cent ans un candidat de la gauche socialiste !!!!!!!! »

    Hélas non, il y en a deux dans un contexte d’effritement/effondrement de la gauche ! C’est bien là qu’est la tragédie.

    « le baratin abscons sur les différences sur la stratégie européenne des millions de gens n’y comprennent rien »

    Peut-être, mais quiconque possède plus de trois neurones est parfaitement capable de comprendre qu’on n’abroge pas la loi El Khomri avec celle qui l’a portée, pas plus qu’on ne rompt avec Valls en le maintenant comme député. S’il s’agissait d’une minorité de sortants légitimistes, on pourrait s’en foutre, sauf que là on est à 80% …

    Hamon est pris dans les contradictions entre le maintien de l’appareil et la fidélité au vote de la primaire, il est condamné à rester au milieu du gué et donc à perdre sur les deux plans. Il aura gâché une opportunité historique en refusant de dépasser le PS.

  73. valentin
    Posted 13 mars 2017 at 1:04 | Permalien

    Cela fait un certain temps que je n’étais plus venu sur ce blog. @Gérard, j’aime bien le bonhomme que je pense que tu es, opiniâtre, avec des valeurs de gauche réellement, humain surtout.

    Mais là… comment dire ce que les uns et les autres ont écrit maintes et maintes fois.

    Je vais l’écrire différemment de ce que j’ai pu le faire jusque là. Oui, nous sommes pour l’unité de la gauche, pour que les valeurs de gauche puissent se concrétiser, permettre aux femmes et hommes de France de croire dans le progrès social, humain et écologique.

    Donc pour ce combat là, que Hamont rejoigne Jean luc Mélenchon en laissant la place de président à ce dernier… Voilà, ceci est simple. Après il y’aura une entente sur le programme… enfin ce que tu dis…

    Peux-tu dire que ca peut se danser ainsi?

    Si tu ne le dis pas c’est que la manière dont tu présentes les choses est mensonger car tu charges Mélenchon et dédouane Hamont complétement. Tu es bien dans une posture de soutien, de vision que tu avais depuis longtemps et que tu n’as rendu public qu’à un moment donné, Hamont président…

    Il suffit de se laisser berner par les politiques. J’ai lu ce texte où tu t’insurges contre le flou que certains des élus PS entretiennent car ils ne pensent plus dans le sens de ce qui est le coeur de ce qu’il représente, la parole, le porte voix, le défenseur des femmes et des hommes de France. Ils songent à eux…

    Nous sommes arrivés à un tournant décisif. Mais plus jamais je ne voterai par calcul, par dépit. Mon implication, mon temps, mon énergie et mon vote serviront les seules idées qui me semblent valoir le coup qu’on se batte pour elles.

    Le programme de la France insoumise me parle aux tripes, font écho à mes aspirations, portent mes valeurs. Comme toi qui depuis de si longues années a combattu pour tes idées, tes valeurs, t’engluant parfois dans les affres et les aspérités de l’épaisseur des humains, des dynamiques de groupe… j’aspire à faire advenir la société que je veux, et non elle n’est pas celle du PS, parceque celle ci est libérale.

    En tous les cas courage à Benoit Hamont, à toi et à celles et ceux qui portent des valeurs de gauche dans ce parti. Que chacun lutte à son niveau. Et si c’est un de nos adversaires qui l’emportent (et je n’en suis pas si certain vois tu) alors nous menerons les prochaines luttes peut être bien ensemble.

    Insoumis, indigné, révolutionnaire … je suis de tout çà. Continuons dans notre lutte en se sentant pleinement engagé pour nos idées.

  74. Posted 13 mars 2017 at 10:12 | Permalien

    bien sur que je soutiens Hamon (cela aurait pu etre montebourg ou moi meme…) et la gauche socialiste que nous sommes tous, D&S, on a ecarté hollande, et battu valls, on a gagne le 29 janvier
    notre programme est un programme de gauche, qui l’a emporte pour la 1e fois depuis 100 ans contre l’appareil du PS même Marceau pivert n’avait pas réussi cela,
    et en alliance avec toute la gauche, nous serions en position de gagner la presidentielle pour le plus grand bien de tout le salariat
    et vous, qui n’avez rien fait en cinq ans, qui ne gagnez meme pas une voix sur celle que les sociaux libéraux ont perdu,
    vous qui en cinq ou le PS a perdu 5 élections n’avez pas réussi lui prendre une voix, vous avez recule quand le PS a recule, jusqu’au 5 décembre 2015 inclus (6 millions de voix socialistes encore et 66 % des voix de gauche exprimées alors que le PS était en pleine défaite)
    et vous refusez l’unité ? vous ne vous battez pas une seule seconde pour !!! même pas une déclaration même pas un essai !
    c’est inconcevable comme degré de sectarisme de faire perdre tout le salariat, de causer le désastre le 23 avril en refusant l’alliance avec nous la gauche socialiste,
    un désastre qui ne va rien vous rapporter car vous allez etre balayés comme nous à 20 le soir du 1er tour, pareille malfaisance contre le salariat tout entier, l’histoire sera sévère a votre égard et ce sera mérité
    je crois que je n’aurais jamais ose imaginer pareil sectarisme pareil aveuglement, pareil suicide de voter part…

  75. Posted 13 mars 2017 at 10:24 | Permalien

    @GF70Vous voyez bien que cette stratégie ne peut pas marcher. À vouloir récupérer des voix de gauche à l’extérieur du PS tout en gardant celles de l’aile droite du PS, il est arrivé à ne rien prendre à gauche et à faire fuir sa droite vers EM. C’était couru d’avance, et une unité de façade avec JLM n’aurait rien changé.
    À sa décharge, vu le désastre du quinquennat Hollande, il n’avait sans doute pas de solution alternative.

  76. Posted 13 mars 2017 at 10:25 | Permalien

    en réalisant une alliance Hamon Jadot laurent Melenchon nous aurions ensemble, la force l’attractivite, la dynamique pour gagner, cela marginaliserait les barons, en effet leur départ n’aurait pas d’effet, mais nous permettrait a tous de garder les électeurs, de réveiller les abstentionnistes, et de centraliser la gauche autour de nous et d’atteindre 20 puis 50 %…
    mais sans alliance, tous stagnent, VOUS STAGNEZ, nous aussi, et les barons réussissent a semer le trouble sur leur influence réelle, macron monte, c’est facile a comprendre
    l’imbécillité des sectaires qui empêchent l’alliance Hamon Melenchon est sans limites, il se suicident en croyant passer devant l’autre,
    et meme quand cela se voit, quand la stagnation frappe les deux du seul fait du refus d’unité ils continuent aveuglement jusqu’au fosse, jusqu’au fond du ravin, vous est aveugles et incompréhensibles

  77. Posted 13 mars 2017 at 10:27 | Permalien

    non, le projet de reprise en main de l’euro et de la BCE par une assemblée démocratique élue proportionnelle aux pays, d’Hamon est totalement en opposition avec les traités actuels qui laissent l’euro gouverné par un appareil opaque, sans agenda, sans compte rendu, obscur, caché, manipulé,
    j’ajouterais même qu’en pratique il est plus radical que les propositions de Mélenchon, mais qu’il est appelé a un refus total de Schauble et de sa clique, donc il rester une ligne de crete de combat
    il faudra qu’on ait une majorité avec Lisbonne Madrid, Rome, Athènes Bruxelles pour essayer d’avoir plus de 50 % et plus que Berlin,
    et entre temps que ça change à Berlin… avec une alliance SPD, Grunen, Die linke,
    qu’en plus à Madrid il y ait un accord Podemos PSOE (sans cet accord ils ne gouverneront jamais) comme il y a accord avec le gouvernement portugais

  78. Posted 13 mars 2017 at 10:38 | Permalien

    mais le salariat est divers et la gauche est plurielle bien sur, il faut pour atteindre 50 % absolument polariser toute la gauche,
    et le programme d’un gouvernement Hamon jadot Laurent Melenchon y parviendrait amplement
    le programme Hamon echoue (13%)
    le programme jadot seul aurait echoue (3%)
    le programme laurent echoue (?)
    le programme mêlenchon echoue (11%)
    la division echoue, c’est logique,

    or, pourtant le programme commun H J L M serait plus a gauche que tous les programmes de ces 50 dernières années, plus encore que Mitterrand et Jospin, mais non vous cherchez a pinailler, a en rajouter tous les jours sur les divergences, c’est stupide, puisqu’a la fin aucun détail du programme n’aura d’importance, tous seront perdus, balayes, oublies…

  79. Posted 13 mars 2017 at 10:43 | Permalien

    Effectivement je l’ai trouvé lamentable avec ses fans (qui avaient envahi le plateau comment ?) qui l’applaudissaient à chaque intervention.
    Il faisait penser à un vieux chanteur même pas sur le retour. Ruquier a trouvé le point sensible en disant : « Ca fait 2 ans que vous avez lancé votre campagne et vous ne faites que 11 % pas mieux sinon moins bien qu ‘Hamon qui fait campagne depuis 2 mois !!
    Réponse comme tu le dis: » Ca va l’faire tu vas voir !!?? »
    Et puis tout à l’avenant le rase patate en politique.
    La veille j’avais écouté sur france Info son vice président le même ton, du mec à qui on a piqué son sandwich lorsqu’on évoque l’alliance avec Hamon…!
    Ca m’a vraiment mais vraiment confirmé (si besoin était ) dans mon choix de voter pour Hamon !!
    Dommage pour l’unité mais malheureusement çc’est complètement impossible avec des personnages pareils qui chauffent à blanc en permanence leurs militants contre le PS
    Alain Bernard

  80. socrate
    Posted 13 mars 2017 at 11:08 | Permalien

    Gérard Filoche
    Posted 13 mars 2017 at 10:27 | Permalien

    non, le projet de reprise en main de l’euro et de la BCE par une assemblée démocratique élue proportionnelle aux pays, d’Hamon est totalement en opposition avec les traités actuels qui laissent l’euro gouverné par un appareil opaque, sans agenda, sans compte rendu, obscur, caché, manipulé,
    j’ajouterais même qu’en pratique il est plus radical que les propositions de Mélenchon, mais qu’il est appelé a un refus total de Schauble et de sa clique, donc il rester une ligne de crete de combat
    il faudra qu’on ait une majorité avec Lisbonne Madrid, Rome, Athènes Bruxelles pour essayer d’avoir plus de 50 % et plus que Berlin,
    et entre temps que ça change à Berlin… avec une alliance SPD, Grunen, Die linke,
    qu’en plus à Madrid il y ait un accord Podemos PSOE (sans cet accord ils ne gouverneront jamais) comme il y a accord avec le gouvernement portugais
    …………………………………………………………………………………………………………………………..
    comme il faut l’unanimité pour changer profondément le fonctionnement de l’UE
    cela n’a aucune chance d’aboutir
    on veut nous rejouer le fameux nouveau traité que Hollande devait renégocier …avant son élection..

    D’ailleurs M SCHULTZ n y est pas favorable
    et je pense que beaucoup de français ne veulent pas d’une instance de plus mais de plus d’autonomie conservée par chaque état

    L’Union Européenne n’a pas su évoluer en 30 ans nous ne faisons plus confiance a ceux qui nous promettent maintenant son évolution…
    chat échaudé craint l’eau froide…

    Puisque rien de social n’arrivera par l’UE alors reprenons notre autonomie pour gérer notre pays dans le sens qu on veut.
    Cela n’empechera pas de faire du commerce avec des pays qui voudront bien respecter certains régles sociales , fiscales , écologiques et a refuser les produits venant de pays ne voulant pas respecter les régles.

    La façon dont a été négocié et signé le CETA est une honte qui prouve qu il n’y a pas de démocratie dans cette  » union  »
    Il ny aura jamais de mutualisation des dettes que les allemands refusent de la meme façon.

  81. Posted 13 mars 2017 at 11:09 | Permalien

    « Je mène un combat pour des idées et ensuite je m’incline devant le peuple souverain. C’est lui qui décide et d »une élection à l’autre, d’une lutte à l’autre on fait avancer des idées, on réconforte, on met en mouvement ».
    Le dégré zéro de la politque. La négation de l’histoire.
    Non seulement il part déjà perdant mais il nous propose son réconfort paternaliste comme seule perspective sociale pendant 5 ans. Scandaleux !
    A Ruquier qui s’inquiète de son score dans les sondages, il répond : « vous ne connaissez rien à la vie ».
    Ruquier insiste : « je vous souhaite de faire 20 %, mais vous faite 11% depuis cinq ans ». Réponse « ça va l’faire, tu vas voir ».
    « Si on fait un débat [avec Hamon] on va mettre en scène notre opposition. » Mélenchon incapable d’un débat constructif avec la gauche.
    Sur l’Europe : « Nos pays sont à la dérive et sont en train de se ruiner, le nôtre en particulier. » La France en faillite, on dirait du Fillon.
    Et il termine sur : « On nous refera pas deux fois le coup du Bourget ». Comme respect du pacte de non agression, on a vu mieux.
    Irresponsable !
    FL

  82. Carlos hermo
    Posted 13 mars 2017 at 11:19 | Permalien

    Gerard, tu soutiens Hamon et à ce titre, tu souhaites le voir président… Beaucoup à gauche n’ont aucune confiance dans le candidat du parti actuellement au pouvoir parce que son programme, tout de gauche qu’il puisse être, a autant de chance d’être appliqué que la motion présentée par les communistes sur le CETA à l’Assemblée Nationale d’être votée soient aucunes compte tenu de l’immobilisme généré par la schizophrénie au PS…

    Comment peux tu accuser ceux qui étaient dans les combats « de rue » contre les errements du gouvernement socialiste durant ce quinquennat de n’avoir « rien fait »? De t’etonner que les voix perdues par le PS ne soient pas récupérées par d’autres à gauche, comme si ceux-ci eussent été responsables du dégoût qu’inspirait dorénavant aux gens la « parole politique »? Le cynisme à l’oeuvre chez les cadres de ton parti, comme chez la majorité des responsables politiques, mais de ton parti en particulier car AU POUVOIR faut il encore le rappeler, ce qui en accentue encore sa responsabilité en la matière, a detruit la confiance que les citoyens avaient en leurs institutions!

    Et voilà que vous accusez la France Insoumise de « trahison contre le salariat » car elle refuse de s’allier à un parti dans lequel tout le monde, y compris vous, revendique vouloir les voix d’un VALLS qui a contribuer à rendre la vie des salariés encore plus difficile qu’elle ne l’était ? Que croyez vous qu’il en sera du salariat avec le petit caudillo encore une fois présent dans un parti de gouvernement ? Pour vous, la cécité concerne ceux qui ont ouvert les yeux sur la vacuité d’une alliance à gauche qui n’apportera encore une fois comme en 2012 que brutalité et misère pour la grande majorité des français !

    Quel sectarisme, en effet, que celui de vouloir combattre en argumentant le libéralisme mortifère partout Où il s’est insinué en le dénonçant clairement : Le PS aujourd’hui n’est pas en mesure de porter la rupture avec l’existant, PHI par contre oui!

  83. valentin
    Posted 13 mars 2017 at 11:32 | Permalien

    La gauche vote de moins en moins PS et pour le moment tu dis qu’elle ne s’est pas tourné vers d’autres personnes.

    1- Tu te trompes. Jusque là, je votais PS parceque je voulais y croire. Donc lorsque tu dis que Mélechon n’a gagné aucune voix, c’est faux. Il y’a déjà la mienne.

    2- Je pense que tu soit te trompe soit t’aveugle en croyant que les femmes et hommes de gauche ne se sont pas tournés puis creusés puis convaincus par les idées et le programme de la France insoumise. Si Hamont a gagné les primaires, je suis convaincu que c’est parcequ’il a eu le soutien des militants, soutiens de ceux qui se retrouvent dans la France insoumise. Ne redis pas qu’il n’y a pas eu une seule voix conquise ainsi car j’en ai été…

    3- les chiffres des sondages… et tu y crois… Feux follets que tout çà, des mirages pour orienter les voix ou une incapacité totale à appréhender la réalité. Dernier coup de théâtre en la matière le score de Fillon qui n’était absolument pas attendu. Quelque chose est là, au coeur de notre société, elle n’est pas mesurée et mesurable mais je te parie un resto qu’il y aura une surprise d’envergure sur les chiffres de la présidentielle.

    4- C’est hallucinant de voir que toi même tu luttes contre celles et ceux que plus personnes ne veut et que tu nies leur rôle dans cette affaire et le fait de se dire que le PS ne peut pas perdurer ainsi. D’une manière ou d’une autre elle va muter. Si c’est en se redevant social ça m’ira très bien.

    Donc je me répète bien sur qu’on est pour la victoire de la gauche. Une alliance Mélenchon, Laurent, Jadot, Hamont…

    Pour terminer, je trouve que pour quelqu’un qui veut unir les gens tu tapes beaucoup sur les gens, le mouvement de la France insoumise, Mélenchon …

    Je note que la plupart des personnes ici ne tapes pas spécialement sur Hamont mais bien sur les incohérences du PS, la ligne libérale prise de longue date, le fait qu’il y’ait un fossé entre dire j’appelle Mélenchon le lendemain et ne rien voir venir au bout de 3 semaines…

  84. Posted 13 mars 2017 at 11:36 | Permalien

    je souhait voir Hamon président et melenchon premier ministre
    je combats pour un programme commun de gouvernement Hamon Jadot laurent melenchon
    vous n’avez rien fait pour ça rien
    et depuis 5 ans vous n’avez pas avance d’un pouce,
    nous la gauche socialiste si ! nous avons ecarte hollande et battu valls !
    la bataille contre el khomri on l’a commence avant vous, organisé avant vous, développé plus que vous, et on les bloque jusqu’au 49 3 et hamon a signé une motion de censure !!!
    en cinq ans vous n’avez pas gagne une seule voix, chaque fois que le PS perdait (malgré les efforts de la GS et de D&S) vous perdiez !!!
    si vous etes encore et toujours à 11 % c’est a cause de votre agressivité anti socialiste vous repoussez les voix socialistes au lieu de les gagner (et elles sont dans l’abstention)
    la france insoumise sic dont vous vous gargarisez ça ne veut rien dire , quelles cartes, quelles cotisations, quel syndicat, quelle action c’est un click c’est tout
    je ne veux pas de la france ni soumise ni insoumise (sic) , je veux et combat pour ma classe sociale, je veux le salariat celui qui produit les richesses, la classe sociale essentielle superieure a la « france »
    oui, je combat pour GAGNER, pour plus de 25 % et pour 50 % pas pour « clarifier » sic
    et je veux gagner sur un programme de gauche unie,
    il faut un programme commun de gouvernement rose rouge vert.
    Personne ne se retirera pour personne, personne ne se ralliera, personne ne se soumettra pas de soumission, mais unité !
    Mélenchon seul, perd ! Hamon, seul, perd ! Sans unité nous perdons tous, unifiés cela fait une dynamique gagnante
    On a une obligation de résultat car si pas unité ce sera désastre par contre si unité ce sera victoire
    Une plateforme commune ça ne peut être ni tout le programme de Benoit Hamon, ni tout le programme de Jean-Luc Mélenchon, ni tout le programme de Yannick Jadot, on doit trouver ce qui unit pas ce qui divise. Il faut en discuter ainsi de façon ouverte.
    il faut 7 ou 8 ou 9 points qui rassemblent et écarter ce qui divise
    si nous avons un accord de gouvernement commun TOUS les candidats devront être labellisés en soutien à cet accord, ça implique un ou une par circonscription, et une re-discussion de toutes les candidatures évidemment
    Gouvernement rose vert rouge Hamon Jadot Laurent-Mélenchon

  85. valentin
    Posted 13 mars 2017 at 11:55 | Permalien

    Je vais répondre comme toi Gérard (c’est un truc de fou ce blog!!)

    Oui, pour l’unité. absolument!! Rouge vert rose!! Qu’on y aille!

    Les gens qui font un clic font aussi des grèves Monsieur Filoche, ces gens là ne mangent pas les midis et tractent Monsieur Filoche, ces gens là ont combattu les idées de vos alliés de VOTRE parti que vous voulez encore soutenir Monsieur Filoche en votant pour Hamont et dégager Valls, donc ne dites pas qu’on ne fait rien.

    Si Hamont est là c’est parceque les femmes et hommes de gauche se sont mobilisés alors que pour une partie ils ne voteront pas P.S. dans les conditions actuelles, et disons le pour certains ont choisi une autre voie.

    Donc vous êtes pour Hamont président et Mélenchon 1er ministre, ben moi, je vois l’inverse.. Voilà, 1ère écueil comment fait-on? Vous qui voulez l’unité, comment on fait là?? Concrètement? On se dit qu’on est d’accord sur 10 points forts qui rassemblent.

    Ok c’est entendu, mais effectivement une seule personne doit y aller. Moi c’est Mélenchon, vous c’est Hamont. Comment on fait???

  86. Gilbert Duroux
    Posted 13 mars 2017 at 12:02 | Permalien

    Mon pauvre Gérard, tu ne sais plus où tu habites. Le titre de ton billet, c’est : « Le temps de la clarté est venu ».
    Et dans les commentaires tu nous dis : « une élection c’est pas clarifier c’est rassembler ».
    C’est dans ta tête que tu devrais mettre les choses au clair. J’ai l’impression que c’est un sacré boxon là dedans. Tu dis tout et son contraire.

  87. Michel - Pierre
    Posted 13 mars 2017 at 12:09 | Permalien

    @ Alain Bernard [79] et @ Crayencour [45] :
    Toute la faute à Mélenchon ? Toute la faute à Hamon ?
    En fait ce serait plutôt entre 40 et 60 % de responsabilité pour chacun, à mon avis … ce qui fait, convenons-en, aux millions de Français qui « galèrent » et qu’ils condamnent ainsi à la perspective de bien pire … une belle jambe !
    Pour ma part, si Hamon et Mélenchon devaient toujours en être, au matin du 23 avril, à se mesurer pour « la gloire » d’une infamante quatrième place entre 13 et 15 % (ce qui, malheureusement, en ce 13 mars, est loin d’être exclu …), je me confectionnerais un bulletin Hamon-Jadot-Laurent-Marchandise-Mélenchon correspondant à l’objectif gouvernemental dont ils se seraient détournés pour les cinq années à venir.
    En attendant je reste persuadé, conformément au titre du dernier numéro du mensuel « Démocratie & Socialisme », qu’il y a lieu de « mener la bataille jusqu’au bout » pour l’ UNITÉ !

  88. Médusa
    Posted 13 mars 2017 at 12:14 | Permalien

    @GF77 « non, le projet de reprise en main de l’euro et de la BCE par une assemblée démocratique élue proportionnelle aux pays, d’Hamon est totalement en opposition avec les traités actuels qui laissent l’euro gouverné par un appareil opaque, sans agenda, sans compte rendu, obscur, caché, manipulé, »

    Ben oui, sauf qu’en démocratie on peut être mis en minorité. Donc ce parlement de la zone euro pourrait très bien décider démocratiquement… de continuer comme maintenant, parce que la majorité des pays continueraient d’être gouvernés par une coalition PS/UMP. Même Hamon a admis et reconnu la possibilité d’être minoritaire à ce niveau lors de sa conférence de presse. Il suffit de regarder les rapports de force actuels en Europe, ou même de remonter à l’époque où 15/19 des gouvernements étaient PS (= aucun changement de l’UE), pour voir ce que cela donnerait. Au lieu d’avoir une politique imposée, on aurait de l’orthodoxie et de l’austérité inattaquables car démocratiques et légitimes ! Un rêve, vraiment !

  89. Médusa
    Posted 13 mars 2017 at 12:18 | Permalien

    @GF83 « nous la gauche socialiste si ! nous avons ecarte hollande et battu valls ! »

    Aux dernières nouvelles, vous étiez toujours minoritaires au sein même du PS (à tel point que vous n’avez même pas pu vous présenter…), et toutes les études s’accordent pour dire que ce sont les sympathisants de gauche NON-SOCIALISTES qui ont sorti Valls, hein…

    C’est bien gentil de passer son temps à s’arroger tous les succès et dire que les autres ne font jamais rien (voire sont nuisibles, apparemment !), mais à un moment donné la réalité existe…

  90. CRAYENCOUR
    Posted 13 mars 2017 at 13:26 | Permalien

    Juste une question; pourquoi soutiens tu Hamon et pourquoi voteras tu pour lui en avril alors que ses propositions, loin de constituer un programme sont plus éloignées des points de vue de D&S que les propositions de Mélenchon?

  91. Macarel
    Posted 13 mars 2017 at 14:30 | Permalien

    Lors des primaires dites de la « Belle alliance populaire », maints sympathisants de gauche se sont déplacés pour voter Hamon, en pensant ainsi sanctionner la politique du quinquennat Hollande. En fait, ils ont, en éjectant Valls du second tour, empêché que celui-ci ne vienne défendre le bilan de 5 ans de hollandisme. Car dans ce cas la seule véritable sanction eût été de voter pour la FI le 23 avril 2017. Et de plus ils ont en éliminant l’héritier naturel du hollandisme ouvert une autoroute à l’ovni politique « Macron ». Quel gâchi ! Quel manque de clairvoyance ! Maintenant toute la gauche risque de se retrouver gros-jean comme devant le 23 avril 2017 à 20h00, ben oui Mr Filoche.

  92. Macarel
    Posted 13 mars 2017 at 14:31 | Permalien

    Lors des primaires dites de la « Belle alliance populaire », maints sympathisants de gauche se sont déplacés pour voter Hamon, en pensant ainsi sanctionner la politique du quinquennat Hollande. En fait, ils ont, en éjectant Valls au second tour, empêché que celui-ci ne vienne défendre le bilan de 5 ans de hollandisme. Car dans ce cas la seule véritable sanction eût été de voter pour la FI le 23 avril 2017. Et de plus ils ont en éliminant l’héritier naturel du hollandisme ouvert une autoroute à l’ovni politique « Macron ». Quel gâchi ! Quel manque de clairvoyance ! Maintenant toute la gauche risque de se retrouver gros-jean comme devant le 23 avril 2017 à 20h00, ben oui Mr Filoche.

  93. Posted 13 mars 2017 at 15:44 | Permalien

    je crois aussi que cela n’a pas beaucoup de chances d’aboutir, donc il n’y a pas de risque d’enlisement ou de trahison, au contraire ça se presente comme un clash avec schauble et merkel
    donc on combat bien les traités,
    on combat bien l’austérité,
    on refuse bien 3 %
    on abrogera la loi el khomri
    controles des licenciements
    hausse des minimas sociaux et du smic de 10 %
    et tout le reste du programme écologique de Hamon

  94. Toto
    Posted 13 mars 2017 at 16:49 | Permalien

    J’ai trois questions monsieur filoche,

    Est-ce-que le Brexit n’est pas une escroquerie?

    Au vu des accords du Commonwealth (marché libre, le canada en fait parti) et du AECG les britaniques n’ont-ils pas toujours libre-accès au marché commun européen?

    Une façon de cumuler les avantages sans les inconvénients?

    SVP étant inculte dites moi si je délire…

  95. Posted 13 mars 2017 at 17:08 | Permalien

    ridicule
    « maints » = 2 millions
    ca ne se manipule pas c’est autrement plus fort que 250 000 clicks
    ils sont venus voter pour nous la gauche socialiste comme je le prévoyais, les 22 et 29 janvier
    et nous la gauche socialiste on a fait le travail que vous n’avez pas fait et que vous pensiez impossible, nous avons ecarte hollande et battu valls, c’est à dire le quinquennat
    on pouvait penser ensuite faire une grande unité de la gauche et gagner
    mais non, on tombe sur des sectaires FI (sic) qui ne veulent pas faire l’unité et veulent nous faire perdre
    et ces sectaires font exprès de confondre la droite socialiste que nous avons battus et nous mêmes = tout ça parce que melenchon refuse de croire qu’après son départ du PS on a fait mieux que lui…
    et comme on ne parvient pas a l’unité, la porte se rouvre pour les droitiers a la Valls qui retournent vers Macron : ils ont eu peur un moment qu’on fasse un gouvernement hamon macron, ils sont rassurés, donc il retournent vers la droite libérale,

  96. Posted 13 mars 2017 at 17:09 | Permalien

    les différences de programme ne sont pas sérieuses, je ne voterais pas en fonction d’elles, ça ne sert a rien avec la division toute ira a la poubelle

  97. Posted 13 mars 2017 at 17:10 | Permalien

    vous avez encore crée une légende stupide de secte
    la gauche socialiste a gagne l’élection pas vous..
    vous, vous avec combattu les primaires, dénonce les primaires appelé a boycotter les primaires, insulte les candidats,

  98. Posted 13 mars 2017 at 17:11 | Permalien

    la clarte pour unifier, pas la clarte pour diviser

  99. Posted 13 mars 2017 at 17:12 | Permalien

    vous c’est la division donc le desastre le 23 avril

  100. Posted 13 mars 2017 at 17:13 | Permalien

    la gauche est majoritaire
    mais elle va perdre a cause de la division

  101. Posted 13 mars 2017 at 17:13 | Permalien

    Bonjour P

    J’ai regardé et écouté la vidéo.

    François Ruffin a raison lorsqu’il affirme qu’entre le libre-échange intégral et l’autarcie, il y a toute une zone grise.

    Il a raison également lorsqu’il pose la question de savoir qui ou quoi le protectionnisme doit protéger.

    Il a également raison lorsqu’il affirme la responsabilité des traités européens (qu’il réduit un peu trop facilement à l’acte unique de 1986, il a fallu Maastricht et Lisbonne pour arriver à la situation dans laquelle nous sommes) dans la mondialisation et les délocalisations.

    Il a sans doute raison de souligner les contradictions du FN. Mais le FN a changé d’orientation entre les positions néolibérales de Jean-Marie au milieu des années 1980 et la ligne de Bruno Mégret au milieu des années 1990, reprise par la suite par Marine Le Pen. C’est ce FN là que nous affrontons aujourd’hui et les électeurs du FN n’ont pas grand-chose à faire des contradictions du FN entre 1986 et 2017…

    Affirmer que le protectionnisme était un au cœur de l’idéologie de la gauche avant 1983 et par contre faux.

    C’était tout autant une valeur de droite lorsque fut votée la loi Méline en 1892 qui instaurait une taxe de 21 % sur les produits agricoles importées.

    La Grande-Bretagne a protégé l’industrie textile anglaise, tant que les produits de l’Inde étaient moins chers que les produits britanniques. Dès que la productivité du travail en GB a permis de vendre moins chers les tissus britanniques, la GB a imposé le libre-échange entre les deux pays et ruiné des millions de petits producteurs indiens. Les « corn laws » qui interdisaient toute importation de céréales en GB ont été abrogées en 1846 avec le soutien des industriels et d’une partie des « chartistes », ces derniers y voyant (à tort) un moyen de faire baisser le prix du pain.

    Le protectionnisme – et non l’autarcie, – était, comme le keynésianisme, une donnée mondiale (dans les pays capitalistes) au cours de « 30 glorieuses » entre 1945 et 1975. Les deux formaient un horizon indépassable aussi bien pour la gauche que pour la droite, à l’exception d’une poignée de fanatiques du « Mont pèlerin ».

    C’est la crise de 1974-1975 qui a amené les classes dominantes à changer leur fusil d’épaule et à mettre en place une mondialisation libérale qui instaurait la libre circulation des capitaux (c’était la fonction essentielle de l’Acte unique) et permettait aux firmes transnationales de jouer sur les différences de salaires (environ 1 à 14 aujourd’hui) et de productivité du travail (environ 1 à 7 aujourd’hui) pour maintenir et augmenter leurs taux de profits.

    François Ruffin a raison de poser la question de savoir qui le protectionnisme doit-il protéger mais il n’y répond pas.

    Il reproche au FN (à juste titre) de ne jamais parler de profits ou de dividendes mais il semble qu’il perde de vue cette exigence lorsqu’il affirme qu’une politique commerciale devrait se fixer « ligne tarifaire par ligne tarifaire » en fonction des choix économiques et industriels faits par un gouvernement de gauche.

    En quoi ces choix impliquent-ils de lutter contre les profits ? FR propose-t-il de nationaliser Whirpool ? Compte-t-il sur l’appui des actionnaires français de Whirpool ?

    Est-il juste d’engager la lutte contre les ouvriers polonais ? Peut-on penser sérieusement que les classes dominantes des pays visés par la taxation que préconise FR n’appliqueraient aucune mesure de rétorsion ? Peut-on penser sérieusement qu’avec une attaque aussi brutale contre l’emploi des salariés polonais, la bourgeoisie polonaise, ne trouverait pas l’appui de ces salariats pour appliquer ces mesures de rétorsions ?

    La seule forme de protectionnisme qui soit réellement de gauche est un « protectionnisme coopératif » qui n’oppose pas, entre eux, les salariés des pays européens ou du monde.

    Ce protectionnisme coopératif permet de ne pas rester les deux pieds dans le même sabot en attendant que les traités européens aient permis d’instaurer un Smic européen ou d’harmoniser (vers le haut) la fiscalité des entreprises. C’est impossible car il faut l’unanimité des États de l’Union dans les deux cas et on imagine mal l’Estonie (par exemple) dont le taux -réel – de l’impôt sur les sociétés est de 0 %, accepter une harmonisation à 50 % !

    Le protectionnisme coopératif permet de sortir de cette contradiction : tout attendre des traités européens où sortir de l’UE en pensant que la lutte de classes (nationale et internationale) disparaîtrait comme par miracle.

    Ce « protectionnisme coopératif » consiste, par exemple, pour un pays qui aurait instauré un impôt contre le capital ou une augmentation importante du salaire minimum à protéger ces progrès sociaux par une taxe sur les produits importés. Mais en précisant, en même temps, que pour tout pays qui adopterait les mêmes mesures, la taxe serait aussitôt levée. Cette forme de protectionnisme coopératif permettrait de tenter de trouver dans le salariat polonais un allié pour augmenter le salaire minimum en Pologne et (de proche en proche) dans l’UE, au lieu de le considérer d’emblée comme un adversaire et de faire ainsi le jeu des employeurs polonais.

    JJ

  102. Macarel
    Posted 13 mars 2017 at 17:21 | Permalien

    « nous avons ecarte hollande et battu valls, c’est à dire le quinquennat
    on pouvait penser ensuite faire une grande unité de la gauche et gagner
    mais non, on tombe sur des sectaires FI (sic) qui ne veulent pas faire l’unité et veulent nous faire perdre »

    Non désolé vous avez ouvert la voie toute grande à Macron, en évitant que Valls puisse venir défendre le bilan du quinquennat Hollande devant les électeurs à la présidentielle. En disant cela je ne suis absolument pas sectaire, je ne suis encarté nulle part, je m’exprime en tant que citoyen libre de penser comme il l’entend. Mais pour cette élection c’est Mélenchon qui est dans le vrai et vous la gauche du PS qui planez dans la stratosphère, ceci dit sans acrimonie.

  103. Macarel
    Posted 13 mars 2017 at 17:32 | Permalien

    Le P »S » est en état de mort clinique Mr Filoche, il a perdu son âme dans le projet de l’Europe libérale. C’est dur à admettre pour des militants, mais c’est un fait. le P »S » est devenu une machine à perdre les élections. En 2012, les élus socialistes avaient la majorité dans quasiment toutes les assemblées, ils avaient la présidence, les conseils régionaux, les régions, ils ont eu jusqu’au Sénat ! Le 23 avril 2017, ils n’auront plus rien, res, nada, que leurs yeux pour pleurer. C’est tout de même qu’il y a un problème dans ce parti, non ? Si dire cela c’est être sectaire, alors autant dire que voir la réalité en face n’est pas permis, et que les sectaires ne sont pas du bord que l’on veut bien dire !

  104. Gilbert Duroux
    Posted 13 mars 2017 at 18:04 | Permalien

    Pourquoi ne reproches-tu pas à Hamon de ne pas vouloir l’unité ? Il n’a rien fait pour la rendre possible. Il n’a pas appelé Mélenchon au lendemain de sa victoire à la primaire, comme il s’y était engagé. Il n’a pas répondu au courrier de Mélenchon, qui souhaitait que soit dissipé quelques malentendus (que toi-même tu partages puisqu’aujourd’hui tu remets en cause les investitures pour les législatives).
    Pourquoi réserves-tu au seul Mélenchon l’accusation de ne pas vouloir l’unité ? C’est ton esprit de boutique qui reprend le dessus ?

  105. Posted 13 mars 2017 at 19:41 | Permalien

    parce que c’est vrai,
    mélenchon n’a fait aucun appel a l’unité, tous ses commentaires vont contre

  106. Posted 13 mars 2017 at 19:42 | Permalien

    pauvre vieux macarel, si le ps était mort tu aurais gagne ses voix,
    mais melenchon est toujours à 11 % et n’en a pas gagne une seule
    a force de taper sur le PS pretendument « mort » il le conforte et ses électeurs s’abstiennent plutôt que de voter melenchon

  107. Posted 13 mars 2017 at 19:45 | Permalien

    Valls a été battu, ecrasé, Hollande a été oblige de s’écarter c’est le fruit de nos batailles celles de la gauche socialiste

    vous n’y croyiez pas, vous avez tout fait pour saboter la primaire, (boycott, affiches obscènes, graffitis sur reseaux sociaux, insultes, dénigrements, contestations) mais 2 millions d’électeurs sont venus alors que vous n’êtes que 250 000 clicks (sic)

    mais la gauche socialiste les a gagnées… ces primaires sont claires elles poussent à gauche…. et vous refusez l’union, le desastre qui se dessine sera de votre faute !

  108. Posted 13 mars 2017 at 19:53 | Permalien

    Bon va falloir qu’on m’explique
    Fillon avec toutes ses casseroles
    830 000 € pour Pénélope.
    87 000 € pour ses gosses.
    48 500 € de costumes.
    50 000 € de prêt.
    21 000 € de détournement de fonds.
    et son programme 500 000 fonctionnaires en moins
    TVA de 20 a 22 %
    Fin des 35 h
    retraite de 62 ans a 65 ans
    etc…
    Et de l’autre la gauche diviser risque de le faire élire
    un seul programme a gauche même au minima, serait mieux non ?

  109. valentin
    Posted 13 mars 2017 at 19:55 | Permalien

    @Gérard, autant c’est bien de t’entendre comme cet après-midi dans l’émission de France culture LSD documentaire sur l’ubérisation, autant là tu es sur une autre planète.

    Arrêt d’accuser les autres. Toi même tu prends à partie ceux du PS qui vont ou regarde du côté de Mélenchon, toi même qui dénonce les manipulations dont tu es la victime sur ton propre blog, toi même tu te contredis dans tes réponses…

    Comment faut il dire que si benoit Hamont a gagné c’est grâce aux voix de la gauche qui n’est pas le parti socialiste (bien loin de là!).

    Tu répètes insatiablement des chiffres qui ne veulent rien dire. Tu donnes Mélenchon à 11%, Hamont à plus… Tu verras que ca sera largement l’inverse!

    Ne croit pas que tu es le seul homme à lutter pour ses idées. Tu le fais bien. D’ailleurs, je pense qu’il faudrait mieux que tu restes sur les idées sans forcément t’embêter avec ces questions d’hommes… Réfléchis peut être à ce que tu vas pouvoir dire à tes collègues du PS qui t’ont convoqué pour construire ce bel avenir qui fonde le P.S. …

  110. Posted 13 mars 2017 at 19:57 | Permalien

    1°) le Brexit est un vote majoritaire de rejet populaire dl’UE libérale à cause des tares cette UE
    2°) oui, à ce jour
    3°) oui, à ce jour,
    mais les inconvénients surgiront de toutes parts,
    il faut bien des échanges internationaux, et il faut mieux les réguler que de les déréguler
    L’UE et le Brexit sont des dérégulations,
    nous combattons pour des régulations dans l’UE, comme dans notre pays,

  111. Posted 13 mars 2017 at 20:04 | Permalien

    Benoit Hamon : « ni Hollande, ni Valls »

  112. Posted 13 mars 2017 at 20:08 | Permalien

    « Tu donnes Mélenchon à 11%, Hamont (hamon !) à plus… Tu verras que ca sera largement l’inverse! »
    ainsi tu donnes Melenchon a 20 et Hamon à 11 ?
    que puis je te dire ? la folie a ses limites que les fous parfois constatent
    nous avons eu 1,2 millions de voix en soutien a la gauche socialiste le 29 janvier,
    nous avons écarté hollande et battu valls alors que vous affirmiez que c’est impossible et quoi n’y arriverait pas pire que vous avez saboté les primaires et appelle a leur boycott

    il n’existe pas un seul exemple de contradiction de D&S depuis 20 mois que nous menons bataille pour gagner dans l’unité a gauche cette présidentielle

  113. Posted 13 mars 2017 at 20:11 | Permalien

    LSD, La série documentaire par Perrine Kervran
    du lundi au jeudi de 17h03 à 18h
    Documentaires
    Réécouter Le salariat n’est pas mort, il bouge encore (1/4) : La fin du salariat, décryptage d’un mythe
    55 min

    13.03.2017
    Podcast Exporter
    Has-been le salariat ? c’est pourtant 93% de la population active aujourd’hui.(selon gerard Filoche)

    Cotisations sur un bulletin de salaire• Crédits : GARO/PHANIE – AFP

    Une série documentaire de Rémi Douat et Martine Abat, réalisée par Assia Khalid

    A cours de l’année 2015 le mot ubérisation est entré dans le langage courant. L’ubérisation c’est l’utilisation des outils numériques permettant l’emploi d’une main d’œuvre indépendante à laquelle on délègue une tâche tout en s’affranchissant des cadres traditionnels en matière salariale, fiscale et de réglementation. C’est avec l’essor de la société Uber et le succès de son application Smartphone mettant en relation des chauffeurs privés avec des clients que ce mot s’est popularisé. Nombreux sont ceux, chauffeurs ou livreurs à vélo, qui ont saisi cette opportunité de s’insérer dans le marché du travail via une application smartphone. Grâce à l’ubérisation, qui aujourd’hui a largement dépassé le seul secteur du transport de personnes, chacun peut devenir son propre patron et cette idée est fortement valorisée. L’irruption de cette forme nouvelle de travail sonne-t-elle la fin du salariat ? Quelles sont les conséquences concrètes pour les travailleurs de la multiplication des plateformes numériques ? Nous rencontrons dans cette série chacun des acteurs concernés par ce changement radical de paradigme dans la relation au travail. Nous regardons également, comment, dans ce contexte, certaines entreprises tentent de réinventer le travail en préservant le salariat, ce statut qui prévaut depuis un siècle et ne semble pas avoir dit son dernier mot.

    1. La fin du salariat, décryptage d’un mythe

    « La fin du salariat est inéluctable », explique régulièrement Nathalie Kosciusko-Morizet. Dans les actes, la loi a récemment conforté le statut d’auto-entrepreneur. De son côté, le vice-président du Medef Thibault Lanxade, observe « une parcellisation de l’activité qui fait que de plus en plus d’acteurs participent à la vie de l’entreprise sans être dans une relation de salarié ». « Personne ne sera épargné », renchérit l’économiste Pierre-Jean Benghozi. Transport, immobilier, livraison, traduction, pompes funèbres, bâtiment… le phénomène de l’ubérisation, terme inventé par le publicitaire Maurice Levy pour désigner la naissance d’échanges économiques dérogeant aux règles du salariat, touche de nombreux secteurs. Sous la forme d’une enquête, ce premier épisode de la série entend comprendre pourquoi le discours annonçant la fin du salariat est devenu la norme dominante et l’horizon indépassable en dépit de la réalité statistique : la disparition du salariat est en effet massivement présentée comme un fait objectif alors que l’INSEE indique seulement une modeste progression du travail indépendant et de l’auto- entrepreneuriat. Dans les fait, 90 % de la population active est en CDD ou en CDI, permettant aux entreprises d’avoir des personnels qualifiés, formés et fidèles.

    « Si tout le monde devient auto entrepreneur, il va y avoir de moins en moins de cotisations pour le bien public et donc on met la société en danger »…

    « Uber envoit un contrat et te dit : soit tu signes, soit tu dégages ! »….

    « Uber prend 25 % de commission et ne fournit rien »…

    « Ce que l’Ubérisation est en train d’organiser c’est un grand marché à la sauvette »….

    « Nous ne sommes pas une société du numérique, nous sommes une société capitaliste qui utilise le numérique »….

    Avec Michel ; Mustapha ; Nassim ; Gérard Filoche, inspecteur du travail en retraite ; Nathalie Koszusko-Morizet, députée de la quatrième circonscription de l’Essonne et présidente du groupe Les Républicains au Conseil de Paris ; Pierre Gattaz, industriel, directeur du Medef ; Emmanuel Macron, homme politique ; Jacques Le Goff, professeur de droit ; Eric Verhaege, dirigeant d’entreprise, ancien du Medef ; Daniel Goldberg, député PS de Seine Saint Denis ; Marie-Claire Carrère-Gée, haut fonctionnaire, élue Les Républicains du XIVe à Paris ; Grégoire Kopp, directeur de la communication d’Uber France ; Danièle Simmonet, conseillère du Paris, élue Front de Gauche du XXe à Paris.

    Liens et Bibliographie :

    - Ubérisation, un ennemi qui vous veut du bien ? Denis Jacquet (éditions Dunod)

    - Revue Regards, Avril 2016, Ubérisation, la fin du travail ?

    - Ubérisation : économie déchirée, Bruno Teboul et Thierry Picard (éditions Kawa)

    - L’institution du travail – Droit et salariat dans l’Histoire, Claude Didry (éditions la Dispute)

    Chroniques

  114. Gilbert Duroux
    Posted 13 mars 2017 at 20:12 | Permalien

    Gérard me fait penser au Chevalier noir des Monty Python dans la scène du duel de « Sacré Graal ». On lui coupe un bras, il dit « c’est une égratignure ». On lui coupe l’autre bras, il répond « j’en ai vu d’autres ». On lui coupe une jambe, il dit « j’ai gagné ». On lui coupe l’autre jambe, il s’adresse à son adversaire en lui disant « tu fuis, espèce de lâche » :
    https://www.youtube.com/watch?v=3g-g2yYR6Jk

  115. Posted 13 mars 2017 at 20:16 | Permalien

    tu vas vivre la gauche tous membres coupes le 23 avril…

  116. valentin
    Posted 13 mars 2017 at 20:23 | Permalien

    Les primaires socialistes étaient bien ouvertes aux femmes et hommes de gauche ou je me trompe??

    Donc je le redis j’ai voté. J’ai voté Hamon. Je crois qu’on a été bien nombreux à le faire pour dégager l’essence de ce que dois être un parti de gauche qui se dit socialiste. Donc y’a pas eu de boycott. Arrête d’imaginer que tu as des moutons qui écrivent sur ton blog. Moi, ma femme que j’ai sensibilisé et qui m’a suivi, autour de moi celles et ceux qui sont à l’écoute… on est allé voté pour celui que maintenant tu soutiens … Donc arrête de faire de la morale et faire ton parano.

    Ce que j’ai défendu ce n’était pas pour avoir un gars qui revient sur la 1ère chose qu’il dit (le fameux contact du lendemain…).

    Ce que j’ai défendu ce n’était pas quelqu’un qui n’a pas préparé ses idées sur le fond et qui les abandonne au fur et à mesure…

    Ce que j’ai défendu ce n’était pas un intrigant politique …

    Et si pour ta part tu te contredis :

    - Tu dénonces celles et ceux qui vont vers Macron mais tu nies cette critique qui consiste à dire que le PS a toujours une bonne partie qui est et restera libéral lorsque celle ci vient de quelqu’un d’autre

    - Tu parles de la gauche socialiste qui aurait renversé le parti alors que contrairement aux engagements de la primaire les candidats devaient se rallier au gagnant. J’entends pas vraiment Valls soutenir Hamon vois tu

    - Tu cris à l’intégrisme et au sectarisme alors que tu n’arrêtes pas de caractériser le mouvement de la France insoumise, les femmes et les hommes qui se retrouvent dans les idées qui y sont développés et travaillés depuis de longs mois

    J’en ai encore en réserve vois-tu…

    Donc vraiment, je préfère t’écouter lorsque tu défends toi même les idées. Si tu avais été à la primaire ca en aurait été autrement, tu n’aurais pas eu à faire le grand écart pour convaincre sur un candidat que toi même n’a pas soutenu face à Mentebourg…

  117. Anastasia
    Posted 13 mars 2017 at 20:44 | Permalien

    La gauche vote de moins en moins PS et pour le moment vous dîtes qu’elle ne s’est pas tourné vers d’autres personnes. Vous vous trompez Gérard, pour ma part, 33 ans de votes socialistes, et cette année, je vote pour l’avenir en commun comme tous les membres de ma famille et de mon entourage et nous ne sommes pas les seuls, loin de là :

    La fin du quinquennat Hollande aura irrémédiablement laissé des traces au sein du Parti socialiste. Dernière en date, le départ en janvier dernier d’une vingtaine de membres de la fédération essonnienne des Jeunes socialistes vers la France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon. Et ce, avant même que la primaire de gauche n’ait désigné son vainqueur.
    Samedi 25 février dernier, les téléspectateurs de La chaîne parlementaire (LCP) ont vécu une expérience particulière. Au programme du soir, un Retour vers le futur politique nommé Benoît Hamon, chronique d’une victoire annoncée. Bien entendu, les journalistes de LCP ne sont pas plus doués du don de voyance que leurs collègues. Mais l’exercice interpelle.
    À l’heure où le PS a des chances de se voir exclure du second tour de la présidentielle 2017, le documentaire revient sur le quotidien de Benoît Hamon, de janvier à juin 2012, lorsque que l’actuel candidat socialiste préparait les élections présidentielles et législatives marquées par la victoire de François Hollande et celle de la gauche. Un flash-back saisissant au regard des divisions actuelles.

    Hamon pourrait-il créer la surprise et à son tour faire gagner la gauche en mai prochain ? Pour certains, la question ne se pose même pas : « Le bilan Hollande est indéfendable, tranche, net, Antoine Petitmangin. Il y a eu la loi travail, les coups de force des 49–3, le projet de déchéance nationale… C’est beaucoup trop ».

    Ancien responsable des jeunes socialistes en Essonne, il a choisi de claquer la porte du PS en janvier dernier, à la vieille des primaires de la gauche. Et s’il juge la victoire de Benoît Hamon « positive puisque anti-Valls », il reste persuadé qu’aucun des candidats socialistes n’est sorti crédible de ces 5 ans d’exercice du pouvoir : « Les règles de la primaire ne pouvaient pas fonctionner car tous les candidats se sont engagés à soutenir le vainqueur, même si leurs convictions sont parfaitement opposées. C’est un sacré mélange des genres ! ».

    Suivi par une vingtaine de jeunes socialistes de l’Essonne, il a donc rejoint la France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon. Pourtant, c’est bien François Hollande et le PS qui l’avaient convaincu de s’engager en politique il y a maintenant cinq ans.

    Le mirage du Bourget
    « J’ai été séduit par le discours du Bourget, se souvient-il. C’est à partir de ce moment que s’est véritablement lancée la campagne de François Hollande. C’est sur cette ligne anti-finance que je suis entré au PS ». Il prend alors sa carte et rejoint le Mouvement des jeunes socialistes (MJS) pour lequel il va militer puis devenir le référent départemental en Essonne. Jusqu’au tournant social-démocrate (social-libéral ?) symbolisé par l’arrivée de Manuel Valls à Matignon en mars 2014 : « Notre prise de distance avec le PS s’est accrue avec le temps, confie celui qui, à 23 ans, est par ailleurs étudiant en master d’histoire à la Sorbonne. Il y a eu une série de ruptures inacceptables. L’émergence des députés frondeurs a été un espoir, mais nous avons été déçus par leur réaction face à l’utilisation massive du 49–3 par Manuel Valls. Ils ont quand même fini par se diviser au moment de déposer une motion de censure ».

    Et le MJS n’échappe pas aux débats. En interne, des désaccords font jour, d’autant que, qu’à l’image du PS, le mouvement n’a cessé de voir ses adhérents s’éloigner ces dernières années. Allant même jusqu’à perdre plusieurs de ses animateurs fédéraux, comme celui du Rhône ou de la Seine-Saint-Denis, mais aussi le coordinateur régional de l’Ile-de-France et Yannis Zeghbib, secrétaire général national du MJS. Dans une tribune nommée « Insoumission, un choix de raison », publiée sur le blog de Mediapart le 15 janvier dernier, l’ancien chef de file des Jeunes socialistes explique pourquoi il a lui aussi choisi de quitter le PS pour le mouvement de Jean-Luc Mélenchon.
    Celui qui a rejoint le Parti socialiste et le MJS en janvier 2007 « face à la brutalité sociale que représentait la candidature de Nicolas Sarkozy », a soutenu François Hollande après la primaire de 2011. Mais il a très vite déchanté : « (il) fut élu le 6 mai 2012, avec le concours de l’ensemble des forces de gauche. Et là, c’est l’hébétude. L’espoir de changement laissa la place aux doutes sur l’avenir de ce quinquennat », observe-t-il. Cinq ans après, il a donc placé ses espoirs dans la France Insoumise pour « acter que le PS n’est plus un outil pertinent de transformation sociale, que la stratégie de l’intérieur a échoué et qu’il est indispensable qu’une alternative à gauche émerge lors des prochaines élections implique de rejoindre la France Insoumise ».

    « On nous a taxé de gauchiste »

    En Essonne, les défections sont aussi légion. « Au congrès de 2015, la section essonnienne rassemblait 220 adhérents, résume son ancien secrétaire. Elle n’en comptait plus qu’une centaine lorsque je l’ai quittée en janvier dernier ».

    Il y a eu les déçus du quinquennat, bien sûr, mais aussi ceux qui ne se sentaient pas pris en compte. C’est notamment le cas de Basile Renault: « L’aile droite du mouvement ne nous écoutait pas, explique-t-il. Du coup, il était impossible de faire entendre notre voix ». Seulement 9 mois après l’avoir rejoint – lors de la mobilisation contre la loi Travail en avril 2016 – il a donc quitté le MJS en même temps qu’Antoine Petitmangin, et plusieurs cadres actifs et quelques militants.

    Si la décision a été prise collectivement avant l’été lors d’un comité fédéral, Basile Renault retient une anecdote de l’époque où il militait contre la loi Travail : « Le MJS de l’Essonne était particulièrement mobilisé, probablement trop pour une ‘camarade’ du MJS de Sciences Po, qui m’a alors taxé de ‘gauchiste’, raconte-t-il. C’était révélateur de l’orientation qu’était en train de prendre le mouvement : il fallait suivre avant tout la ligne PS-MJS, peu importe les dirigeants ou les candidats, en attendant, si on n’était pas d’accord, que son courant ne devienne éventuellement majoritaire lors du prochain congrès socialiste ».

    « Gauchiste » le jeune militant ? Peut-être. En tout cas, son ralliement à la France Insoumise a apporté des arguments à ses détracteurs. Ironie du sort, pour celui qui, à 18 ans, a intégré cette année… Sciences Po.

    « Ça va nous fragiliser »

    « C’est toujours la même logique chez Mélenchon. Il fracture la gauche dans un moment où il faudrait au contraire la rassembler. C’est décevant, ça va nous fragiliser, surtout en Essonne ». Nouveau responsable départemental du MJS dans le 91, Valentin Bodet regrette le départ de son prédécesseur et de ceux qui l’ont suivi. Quant aux critiques concernant le manque de liberté d’expression au sein du mouvement, il les balaie d’un revers de main : « Ils pensent qu’il faut aller toujours plus loin. C’est bien car ça fait avancer, mais ça ne peut pas suffire. C’est une erreur de jugement quand on connaît la gauche. Il y a suffisamment de courants au sein du PS pour faire entendre sa voix. La preuve, Hamon a bien remporté la primaire ! ».

    Aujourd’hui âgé de 20 ans, il a soutenu Martine Aubry en 2011 et soutient aujourd’hui Benoît Hamon. Il se réclame donc de la gauche du PS « qui existe bien » : « Je peux comprendre les déceptions sur le ligne économique, reconnaît-il. Mais le bilan social est bon : la garantie jeune, le mariage pour tous, les créations d’emplois dans la fonction publique, notamment pour les profs et les forces de l’ordre… Il ne faut pas tout jeter ».

    A ces arguments, ses anciens « camarades » préfèrent opposer le programme de Jean-Luc Mélenchon qu’il jugent plus concret : « Nous sommes d’accord avec 90% de son projet, confirme Antoine Petitmangin. Que ce soit la création d’une 6e République, la planification écologique ou encore l’augmentation du Smic à 1 700€ net mensuel. Si certains candidats peuvent payer 500 000€ en huit ans pour un emploi fictif, ne me dites pas qu’on ne peut pas revaloriser les bas salaires ».

    C’est donc deux visions de la gauche et de l’avenir qui s’opposent. D’un côté, les jeunes socialistes qui estiment qu’en dehors du Parti socialiste, aucun salut n’est possible : « Le PS a toujours été la maison maire de la gauche. Partir dès qu’il y a des difficultés, c’est empêcher la victoire, que ce soit en interne ou au niveau national, conclut Valentin Bodet. Aujourd’hui, nous ne pouvons pas nous permettre de nous diviser face à Macron, l’extrême-droite et la droite qui représentent de réelles menaces pour notre avenir ».

    De l’autre, les militants sécessionnistes, désormais mélenchonistes, pour qui la rupture était souhaitable : « Il faut construire quelque chose de nouveau, réinventer un système à bout de souffle, estime Antoine Petitmangin. Hamon dit qu’il veut abroger la loi travail mais Madame El Khomri, qui l’a porté, est investie par le PS pour être candidate aux législatives dans le 18e arrondissement de Paris… Tout ça manque de clarification ».

    La bataille des idées se fera donc sur le terrain entre des militants qui risquent de se croiser sur les marchés ou devant les lycées. « Nous sommes pour le rassemblement de la gauche et, s’il le faut, nous militerons ensemble », envisageait encore il y a quelques jours Valentin Bodet. Mais jeudi 9 mars, Alexis Corbière, porte-parole de Jean-Luc Mélenchon, a mis fin au suspense : « Je ne crois pas qu’après 5 ans de François Hollande, il soit possible aujourd’hui de se rassembler derrière un candidat PS », a-t-il déclaré sur BFM TV, dénonçant une guerre d’ego dans laquelle Benoît Hamon refuserait d’envisager un rassemblement sans en être la tête de proue. Comme s’il était encore nécessaire de prouver que ces deux gauches sont décidément… irréconciliables.

  118. CRAYENCOUR
    Posted 13 mars 2017 at 22:26 | Permalien

    @87; mon but n’est pas de chercher un coupable, mais je supporte de plus en plus mal la mauvaise fois de GF qui prétend chercher l’unité et ne fait que charger Mélenchon de tous les maux et accuse ceux qui ne sont pas sur sa lignes stratégique d’être une fois des fachos, une fois des LR, mais toujours d’être responsables de la division. Cette façon de dénigrer des gens qui se battent eux aussi m’exaspère.
    J’apprécie votre recherche d’unité, comme celle de GF, mais cela demande aussi un minimum de capacité d’autocritique et d’aptitude à reconnaître la valeur de l’autre.
    Comme beaucoup, je ne vote plus socialiste, dégouté des trahisons de ce parti, mais j’étais prêt à accepter le ticket Hamon président et Mélenchon 1er ministre. Je ne suis qu’un anonyme, mais je trouve désagréable de voir dénigré avec mépris ce que je fais. Un seul exemple; la mauvaise foi qui fait dire que la gauche socialiste seule a battu Valls! Quand à me faire traiter de sectaire par quelqu’un qui se détermine avant tout en fonction de la situation de son parti et qui s’apprête, en l’absence d’unité à voter pour un Hamon dont le programme est bien plus loin du sien que celui de Mélenchon, je trouve ça aussi désagréable, voire malhonnête.

  119. Posted 13 mars 2017 at 23:30 | Permalien

    Quand on met des chiffres, c’est une hiérarchie de facto.

    Quand à voter Mélenchon, cette idée n’existe pas mon esprit un instant.
    Je vois depuis quelques temps pas mal de militant(e)s de la France pseudo insoumise.
    Je suis imprimeur et « eux » me font travailler dans tout le 32

    Elles et ils pensent à 95% que gagner n’est pas possible, mais être devant le PS oui.

    ils sont persuadés que le PS est fini, (depuis 2008 pour certains et il est facile de leur dire que pour un cadavre, il bouge encore pas mal)
    mais c’est leur interprétation primaire de ce qu’ils pensent et de ceux qui ont choisi le terrain de l’abstention, voire des terrains plus terrible.

    Ils sont là pour après, et il est facile de dire que quand nous serons dans la même tombe nous aurons l’air malin
    tous ensemble de dire 1800, 32, 60 etc …

    Il y a dans le document de Hamon 32 pages, de leur côté se sont à des centaines et des centaines de pages.
    Elles ne sont et ne seront pas lues, chacun va lire son sujet de prédilection.

    C’est un mode de raisonnement où sur 1000 ou 32 pages, chacun peut trouver son petit pré carré.
    Il n’y a aucune proposition d’unité.

    Il ne vise pas à unifier notre classe autour de ses intérêts immédiats, à un moment particulier de l’histoire.
    Et même en étant pour une sixième République, la présidentielle et les législatives qui suivent ( grâce à Jospin)
    sont encore ce qui structure un rythme politique imposé par la cinquième.

    Demain dans nos caves ou greniers nous travaillerons à unifier un grand mouvement de résistance,
    pendant que les millions et millions subiront le sort que Mélenchon et Hamon auront laissé arriver.

    Jacq

    In fine je voterai Hamon, juste pour faire chier Mélenchon par trop nationaliste à mon gout,
    et le déserteur de Président citant un autre Président  » le nationalisme, c’est la guerre »

  120. Posted 13 mars 2017 at 23:38 | Permalien

    mais hamon est le symétrique en l’occurence de ce qu’a VOULU Mélenchon
    il suffisait qu’il ait une stratégie de front unique (le trotskyme aurait du l’éduquer pour…) he bien non en dépit de toute sa culture, de toute son histoire, il a fait la connerie du commun des mortels inéduqués, il s’est pris pour un caudillo
    le ps est un parti de gauche, historiquement et présentement, les petits esprits ont du mal a reconnaitre mais c’est ainsi et c’est leur erreur majeure,
    le PS peut changer de nature et même peut etre cette année, mais ce n’est pas fait et tant que ce n’est pas fait, ce n’est pas fait
    y’a RIEN dans FI, rien, du vent du vide des clicks, et cocquerel a raison d’essayer de défendre un PG
    si j’avais été a la primaire j’aurais essayé moi aussi de ressembler, mais j’en ai la prétention j’aurais eu la classe sociale et la politique concrète et expérimentée pour le faire
    dommage

  121. Posted 13 mars 2017 at 23:42 | Permalien

    c’est bien, la revue D&S chaque mois depuis mai juin 2012 a commente ces événements au mois le mois mieux que toi, tout en traçant une praxis, des lignes de combat qui se sont révélées souvent confirmées, efficaces,

  122. Carlos hermo
    Posted 13 mars 2017 at 23:42 | Permalien

    Une question me vient soudain à l’esprit Gérard…
    Pourquoi vouloir faire l’unité avec une bande de sectaires virtuels ne représentant que 250.000 clicks?

    Quel intérêt pour le PS à se trouver allié pour la présidentielle 2017 avec un egocentrique patenté gourouisé et la meute de demeurés incultes, vulgaires et agressifs qui le vénèrent? Car ce ne sont pas ces gens là, de ce que je peux lire d’eux ici en tous cas, qui seront capables de mobiliser ne serait-ce que 5% d’un electorat… Ben oui, il ne reste plus beaucoup d’abrutis une fois qu’on en retire tous ceux qui votent déjà Marine Lepen!

  123. Posted 13 mars 2017 at 23:45 | Permalien

    oui seule la gauche socialiste a battu Valls et Melenchon atout fait pour que cela n’arrive pas, meme des affiches appelant au boycott
    et des affiches insultant dénigrant les candidats de la GS qui, selon lui, sont « des chiens qui se couchent et qui couinent »
    inimitable n’est ce pas ?

  124. Posted 14 mars 2017 at 0:08 | Permalien

    ca depasse de loin en effet les 250 000 clicliks
    mais l’unite, c’est la dynamique hamon melenchon PCF, CGT sud, fsu c’est ces clicks la

  125. Médusa
    Posted 14 mars 2017 at 0:22 | Permalien

    @GF120 « il suffisait qu’il ait une stratégie de front unique (le trotskyme aurait du l’éduquer pour…) he bien non en dépit de toute sa culture, de toute son histoire, il a fait la connerie du commun des mortels inéduqués, il s’est pris pour un caudillo »

    Analyse psychologique à deux balles…

    Il a simplement parié sur un changement de paradigme pour cette présidentielle, et il est parti du postulat que tout ce qui serait associé au PS serait aussitôt discrédité.

    L’addition mathématique des intentions de vote Hamon + Mélenchon n’a pas grand-sens, il y aurait eu une grosse déperdition dans la transition vers un candidat unique. Des tas de gens sont prêts à s’abstenir ou voter extrême-gauche plutôt que PS. C’est peut-être con, sectaire, jusqu’au boutiste et tout ce que vous voulez, mais c’est ainsi et c’est la faute de Hollande, Valls & Cie

    Il aurait fallu commencer à parler programme commun en 2014 quand les frondeurs sont sortis, là on aurait eu le temps de se mettre d’accord tranquillement. Là c’était de toute façon très difficile avec ce calendrier prévu pour Hollande

  126. inkey
    Posted 14 mars 2017 at 0:54 | Permalien

    «y’a RIEN dans FI, rien, du vent du vide des clicks, et cocquerel a raison d’essayer de défendre un PG»

    Il y à bien plus dans la France Insoumise et son programme que dans ce qu’il reste aujourd’hui du Parti socialiste.

    Vous fustiger Mélenchon mais vous vous permettez un mépris dégueulasse envers les gens qui le soutienne, ensuite vous venez pleurer à l’inexistence de l’unité.

    L’unité, ça ne peut se faire que dans le respect.
    Je vous pensais sincère de gauche… j’ai maintenant des doutes.

  127. Carlos hermo
    Posted 14 mars 2017 at 1:35 | Permalien

    Donc, ce n’est pas la dynamique « Hamon Melenchon PCF CGT SUD FSU » que tu recherches Gérard… Mais plutot « Hamon PCF CGT SUD FSU ».

    Car si Mélenchon et le mouvement qu’il incarne sont le problème (clairement tous tes propos le laissent supposer nettement), il serait plus censer de s’en débarasser je me trompe?

    Pour cela, rien de plus simple, il suffit au PS de passer les accords adequats avec les cadres du parti communiste pour les legislatives, à priori plus raisonnables, et « l’union » sera en bonne voie… Il y aura toujours 2 candidats mais puisque la FI ne represente personne ou simplement que des clicks « désincarnés », elle ne signifie en effet aucune menace à la presidentielle.

  128. andré
    Posted 14 mars 2017 at 10:00 | Permalien

    Question logique si Melenchon ce n’est que 250000 personnes (les fameux clics) pourquoi tout ce venin contre ces personnes, ce n’est quand même pas 250000 voix qui vont faire la victoire ou la défaite d’Hamon?

  129. red2
    Posted 14 mars 2017 at 11:02 | Permalien

    On l’attend toujours ta clarification… il se font virer quand ce qui trahissent leurs serments de soutenir le vainqueur de la primaire ? Clarifiez ou alors votre candidat inutile ne sert qu’a affaiblir celui de la France insoumise ! A ne pas prendre de position forte sur le sujet vous faites le jeu de Macron et de la droite…

  130. Posted 14 mars 2017 at 11:11 | Permalien

    vous me fait rire avec votre « paradigme », ça c’est bien un truc de gaucho illuminé,
    le PS Hamon, la gauche socialiste, malgré toutes vos attentes, calculs, pronostics, désirs, actions opposées, a battu le PS de hollande et valls, d’ailleurs on le vérifie tous les jours,

    mais le sectaire est aveugle, alors depuis vous êtes dans la dénégation pour nous faire perdre, en nous entraînant dans le fossé

    La déperdition vers un candidat unique serait groupusculaire, vous, une poignée, de quelques milliers de fanatiques hors sol, elle aurait reveille et mobilisé en échange des millions d’electeurs de gauche qui auraient repris espoir et gagné

  131. Frédéric
    Posted 14 mars 2017 at 11:15 | Permalien

    « La déperdition vers un candidat unique serait groupusculaire, vous, une poignée, de quelques milliers de fanatiques hors sol, elle aurait reveille et mobilisé en échange des millions d’electeurs de gauche qui auraient repris espoir et gagné »

    Parce que tu es mieux placé que nous, ou moi, pour savoir ce que feraient les sympathisants de FI ? Alors, sache, Filoche, que en tant que responsable du programme santé de FI, je rencontre partout en France, chaque semaine, des centaines de militants ou électeurs pro FI et que TOUS me disent que jamais ils ne voteront PS. Que de bluff !!

    Par ailleurs, à chaque fois que tu écris un commentaire, tu donnes une raison supplémentaire de ne pas le faire.

    Fais ta campagne pour ton PS chéri, et laisse les autres faire la leur !

  132. Posted 14 mars 2017 at 11:23 | Permalien

    mais je suis d’une immense courtoisie, à côté de ce que je lis de bêtises venant de gens d’insoumis (sic), prétentieux, arrogants, insultants, d’un niveau zéro de culture… tu veux que j’aille chercher les abominables citations de ce que l’ont subit comme insultes de Fi sur les reseaus sociaux ? et ici ? de la part de gens qui ne lisent meme pas D&S et ne savent rien de l’histoire du PS et de le II° internationale,
    mais je prends quand meme sur moi, moi et je dis qu’il faut chercher le meilleur, l’unité
    et qu’avec Mélenchon on peut on doit avoir un programme commun…

  133. Posted 14 mars 2017 at 11:27 | Permalien

    Mélenchon a un niveau de 11 % (espérons que ce na baisse pas)
    c’est une représentation déformée d’un secteur irremplaçable de la gauche
    comme Hamon,
    le total mobilise toute la gauche et passe en tete

  134. Posted 14 mars 2017 at 11:33 | Permalien

    la dynamique de l’union est plus forte que ceux qui la font

  135. Posted 14 mars 2017 at 11:34 | Permalien

    melenchon stagne à 11%, il n’a pas été capable de capter une seule voix du PS en crise,
    unité !

  136. red2
    Posted 14 mars 2017 at 11:37 | Permalien

    « mais je prends quand meme sur moi, moi et je dis qu’il faut chercher le meilleur, l’unité
    et qu’avec Mélenchon on peut on doit avoir un programme commun… »

    Avec Melenchon OUI c’est possible. Mais avec la droite du PS, tu vois bien que c’est impossible, ils courent tous après Macron et ne vous soutiennent de toutes façons pas… Par ailleurs on t’a connu plus critique sur le bilan de votre gouvernement qui ces 5 dernières années a mené une politique de droite dure. On se réveille SVP! Faites le bilan merde, et si vous avez vraiment gagné virez donc l’aile droite et tout ceux qui ne respectent pas leurs engagement de soutenir le vainqueur de la primaire et prenez votre liberté vis à vis du bilan lamentable des 5 dernières années. Si vous faites ça tout sera possible, sinon vous ne servez à rien a part faire le jeu de la droite et de Macron…

  137. Posted 14 mars 2017 at 11:40 | Permalien

    ceux-ci qui sont si apolitiques qu’ils te disent qu’ils ne voteraient pas PS ? dommage, mauvaise éducation, sectarisme, absence de vision, d’espoir, d’avenir mais c’est pas grave, ils resteront a cote,
    mais nous aurons ensemble des millions voix, et serons entre 26,5 et 31,5 % des le premier tour en positionne gagner et tes sectaires reviendront alors

  138. Posted 14 mars 2017 at 11:42 | Permalien

    jacq connait melenchon depuis 35 ans, rassures toi…

  139. Posted 14 mars 2017 at 11:49 | Permalien

    Il y a en effet plusieurs maires de petites communes, d’adjoints à des maires (dont Nantes) et de conseillers départementaux du 44 divers gauche ou PS qui soutiennent Macron.

    Parmi ceux qui sont au PS, certains se mettent « en retrait du PS » (ce qui ne veut rien dire), d’autres non et comptent bien rester au PS.
    La fédération attend la liste compète des parrainages, et « en lien avec le national » une lettre sera envoyée aux « parrains » de Macron pour leur dire qu’ils ne pourront plus représenter le PS. Mais il n’est plus jamais question d’exclusion.

    Car comme disent certains, il ne faut pas « insulter » l’avenir. Sous-entendu, » nous appellerons à voter Macron au deuxième tour ». Ce sera sans doute caché sous un prétexte « faire barrage à Le Pen » (et comme ils le disent « vaut mieux avoir à voter Macron que Fillon ») mais c’est surtout un vote politique et idéologique car ceux qui tiennent ce discours pensent que Macron est de gauche (« il a bien été ministre d’un gouvernement de gauche, non ? ») et qu’en tous les cas comme personne n’aura de majorité à l’assemblée, il faudra bien des alliances pour gouverner.

    Voilà ce que j’ai pu entendre à mon conseil fédéral (interventions ou discussions individuelles).

    La question dans certaines municipalités, voire dans certains départements, c’est le maintien de majorités avec les PS-Macronistes (si rupture, perte de majorité dans plusieurs exécutifs). ET

  140. Médusa
    Posted 14 mars 2017 at 11:50 | Permalien

    @GF130 Je suis toujours resté courtois avec vous, donc prière de cesser vos insultes et vos imprécations. C’est quand même gros de traiter tout le monde de « gaucho illuminé », de « sectaire » et de « fanatique hors-sol » à chaque désaccord

  141. Posted 14 mars 2017 at 11:58 | Permalien

    nous ne voulons virer personne, nous voulons rassembler pour gagner les 23 avril et le 7 mai
    pour cela il faut polariser et donc l’unité sinon désastre assuré

  142. Posted 14 mars 2017 at 12:08 | Permalien

    mais vous n’êtes pas courtois, vous etes agressifs, donneur de leçons et menteur
    vous vous permettez d’insulter mon parti, ma gauche socialiste sans meme avoir compris ce qu’est D&S
    vous vous permettez de venir nous dire d’arrêtez de militer en tant que gauche socialiste, portant atteinte a l’intégrité de tout notre combat,
    vous ne lisez rien, ni D&S ni ce qui est écris sur le blog, ou sur nos sites,
    vous venez ici mener une guérilla imbécile,
    donc on vous répond comme cela le mérite,
    si vous n’êtres pas contents
    soyez polis, théoriques, argumentés, ou partez ! c’est clair
    nous, nous n’allons jamais insulter sur vos sites jamais, on s’en fou, c’est vous qui venez mener cette guérilla ici

  143. Gilbert Duroux
    Posted 14 mars 2017 at 12:14 | Permalien

    GF : « melenchon stagne à 11%, il n’a pas été capable de capter une seule voix du PS en crise,
    unité ! »

    Et le PS, il est passé de plus de 30 % à combien ? Quelles voix capte-t-il ? Nada. Aussi vous feriez mieux de vous mettre au clair au lieu de répartir vos voix entre Macron et Hamon.

  144. Posted 14 mars 2017 at 12:23 | Permalien

    oui le PS a perdu la moitié de ses voix, et melenchon n’en a pas gagne une seule
    tout est là,
    pour gagner il faut unir hamon melenchon jadot laurent
    arrêtes tes provocs imbéciles tu le sais, je supporte plus,
    le « PS » ne repartit rien
    on n’est pas « vous »,
    un bout du ps magouille ou part, car ils ne croient plus que la gauche socialiste qui les a battu, peut gagner car elle n’a pas réussi l’unité avec le reste de la gauche

  145. andré
    Posted 14 mars 2017 at 12:54 | Permalien

    « un bout du ps magouille ou part, car ils ne croient plus que la gauche socialiste qui les a battu, peut gagner car elle n’a pas réussi l’unité avec le reste de la gauche »
    c’est bien sûr de la faute de Melenchon si ces gens se sont convertis depuis des années à l’ordolibéralisme européen!

  146. Posted 14 mars 2017 at 12:58 | Permalien

    OUI !
    ils hésitaient depuis un mois et demi les droitiers, ils avaient peur que hamon réussisse l’unité et gagne
    mais l’unité a raté, alors ils ressortent du bois
    si on reprend l’effort et qu’on réussit en 72 h, ils rentrent dans leur tanière

  147. andré
    Posted 14 mars 2017 at 15:48 | Permalien

    « ils avaient peur que hamon réussisse l’unité et gagne » Si c’est le cas unité ou pas ils vont de toute façon voter Macron duquel ils sont très proches.

  148. Posted 14 mars 2017 at 17:03 | Permalien

    si on avait signé un accord de gauche dynamique et gagnant ils seraient restés dans le sillage, et tant mieux car il nous faut rassembler pour atteindre 50 % des voix le 7 mai

  149. Michael
    Posted 14 mars 2017 at 17:44 | Permalien

    Les sondages semblent parlant pourtant je connais beaucoup d’électeurs PS/EELV qui se tournent cette fois ci vers mélenchon. Moi entre autre. J’ai beaucoup aimé Hamon dans la primaire, ses arguments, son parlé clair, sa vision de l’avenir que je partage. Pourtant je n’ai aucune confiance dans le PS pour lui permettre d’aller au bout.
    La trahison de Valls est en cours d’ailleurs. aucune parole …
    Donc je préfère suivre les insoumis comme beaucoup d’autre en témoignent autour de moi et sur les commentaires et blogs que je peux lire.
    Bref pourquoi JLM ne progresse pas malgré tout les exemple que je vois, son explosion sur les réseaux sociaux, les records d’audience quand il vient a une émission? Faut il écouter les sondages?

  150. Posted 14 mars 2017 at 18:02 | Permalien

    melenchon ne progresse pas parce que des millions de gens sentent qu’il est hostile a l’unité et que seule l’unité permet de gagner

  151. valentin
    Posted 14 mars 2017 at 21:13 | Permalien

    Camarade Gérard, Oui pour l’unité! Une union Mélenchon Laurent jadot Hamon!

    Rouge vert rose pour gagner!!

    (moi aussi je peux passer mon message d’unité avec l’ordre qui me sied…)

  152. Gilbert Duroux
    Posted 16 mars 2017 at 14:10 | Permalien

    Ce que je remarque, c’est que c’est Hamon qui ne progresse pas. Les socialistes ont choisi leur candidat : Macron. C’est là que l’on voit que la primaire était un piège à cons. Personne au PS n’est capable d’en faire respecter le résultat. Si Mélenchon s’était présenté, ils seraient déjà tous chez Macron.

  153. Posted 16 mars 2017 at 15:22 | Permalien

    toujours aussi indifférent a l’unité et au desastre du 23 avril
    vous est des saboteurs, pas seulement des diviseurs,

  154. Posted 16 mars 2017 at 15:22 | Permalien

    non ils seraient restés a essayer de négocier leur place…

  155. remande jean louis
    Posted 16 mars 2017 at 21:16 | Permalien

    je suis militant syndical cgt depuis plus de 40ans et a pcf depuis près de 40ans, le pcf n ‘ayant pas de candidat, je pense qu il faut un choix clair!
    si on veut pas un 2eme tour lepen /macron faut que Melenchon se retire au profit d’hamon!
    pas a n importe quel prix le programme faut le rougir un peu « et y mettre une bonne dose de 6eme république! sans oublié l amnistie des militants ouvriers et paysans! la défense des services publics etc « ,

  156. Posted 16 mars 2017 at 21:44 | Permalien

    bien sur
    et un accord sur le programme n’a jamais été aussi facile en fait

  157. Gilbert Duroux
    Posted 17 mars 2017 at 19:05 | Permalien

    Tiens, j’ai pas entendu Hamon sur l’amnistie des syndicalistes condamnés.

  158. Posted 17 mars 2017 at 20:34 | Permalien

    tu trouverais n’importe quoi… il est pour

  159. Gilbert Duroux
    Posted 18 mars 2017 at 20:48 | Permalien

    GF : « tu trouverais n’importe quoi… il est pour ».
    Je ne me rappelle pas l’avoir entendu au moment du refus de l’amnistie. Peut-être qu’il est pour aujourd’hui… tous ces revirements, ça fait penser à de l’opportunisme, non ?

  160. Posted 18 mars 2017 at 22:19 | Permalien

    a l’époque il était au gouvernement et ne pouvait pas l’ouvrir,
    c’était automne 2012 ( le sénat avait votre pour l’amnistie, le vote unanime du groupe PS fut interrompu unilatéralement par Hollande avant de revenir à l’assemblée)

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