Démasquer Macron

Cinq courts textes

ci-dessous permettant d’alimenter les réseaux sociaux, de rédiger des tracts pour démystifier encore et encore la candidature du prédicateur de la finance, Macron.


 

Macron-Estrosi : quel attelage !

La rencontre de Macron et Estrosi n’est pas qu’une entrevue entre un président de région et un candidat en déplacement dans cette même région. Emmanuel Macron veut illustrer par là son orientation politique. Pour lui la voie à prendre c’est celle d’une grande coalition droite-gauche. Pas toute la droite et pas la gauche bien entendu.

 

Déjà Valls en novembre 2015 avait proposé de voter Estrosi des le premier tour…

une coalition de droite pour imposer des contre-réformes.

-          Il s’agit de casser encore plus le droit du travail présenté comme une contrainte et d’attaquer l’indépendance des organisations syndicales.

-          Il s’agit de casser le système de retraite en laissant à chacun-e la « possibilité » de travailler plus pour avoir plus de points (alors que 60% des salariés du privé ne sont plus au travail quand ils prennent leur retraite : ils sont au chômage, en maladie ou en invalidité). Il s’agit d’ouvrir le marché des retraites aux assureurs. Il s’agit de casser les régimes plus avantageux conquis dans la Fonction publique et plusieurs secteurs. Il s’agit de décharger les patrons de la responsabilité  de l’assurance chômage

-          Il s’agit d’abîmer un peu plus les services publics en réduisant le nombre de fonctionnaires.

Ce projet dangereux doit être combattu  frontalement !

Macron ? Quelle majorité ?

Avec Fillon, on aurait une majorité LR/UDI. C’est cohérent. Les électeurs amplifieraient le vote de la présidentielle. Avec un seul candidat de gauche, nous pourrions avoir, en surmontant la division, une majorité de gauche. Il faudrait une plateforme commune, des candidats labellisés.

Avec Macron, on aurait également une majorité de droite. Macron formerait un gouvernement de coalition soutenu par En Marche !, le libéral Madelin, par le centriste Bayrou, par Valls et Le projet. Drian qui ont rompu avec la gauche. Ce gouvernement n’aura guère de difficulté à trouver le renfort de LR et de l’UDI lorsqu’il voudra faire voter toutes les attaques que Macron a programmées contre le salariat et qui constituent l’épine dorsale de son programme.
Macron, rempart contre Le Pen et le FN ?

Le danger Le Pen est certain. Le minimiser serait une erreur. Les affaires qui minent la campagne Fillon peuvent amplifier le vote Le Pen et le bilan du quinquennat est le premier responsable du vote « pour essayer autre chose ».

Macron n’est pas le rempart qu’on veut bien nous présenter.

Son libéralisme économique peut certes lui amener des électeurs de droite. Mais pour la droite de la Manif pour tous, de Sens commun, Macron est trop libéral sur les questions de société, ce qui pourrait amener, d’après certains sondages, 40% de l’électorat de Fillon à voter Le Pen au deuxième tour.

Présenter Macron comme un bouclier anti-Le Pen relève d’un habillage pour masquer un accord avec ses thèses libérales et la perspective de la grande coalition de droite. Installer Macron, c’est prendre le risque de mettre en place un gouvernement qui mènera une politique de chômage, de précarisation,  de croissance des inégalités qui, demain, nourrira encore plus le vote Le Pen.

 

Fillon, Macron et les retraites

Par Jean-Jacques Chavigné

François Fillon et Emmanuel Macron veulent tous les deux qu’« un euro cotisé donne les mêmes droits » dans tous les régimes mais tous les deux veulent imposer l’« égalité » en alignant ces droits vers les bas. Ils veulent aligner les régimes des fonctionnaires, de la SNCF, de la RATP ou d’EDF sur le régime des salariés du privé, en calculant le montant des retraites sur les 25 meilleures années.

Le programme de Fillon est aussi une attaque frontale contre nos retraites

François Fillon veut reculer l’âge de la retraite à 65 ans. Il veut également, même s’il est très évasif sur la question, reculer à 67 ou 70 ans l’âge-butoir, à partir duquel le montant de la retraite ne serait plus amputé de cette néfaste «  décote » qui diminue  considérablement le montant des retraites, en particulier celles des femmes.

Il reprend le même refrain des néolibéraux : l’espérance de vie augmente et il n’y aura pas, dans les 50 années à venir, assez d’actifs pour payer les retraites.

L’espérance de vie à la naissance augmente mais l’espérance de vie après 60 ans (la seule qui intéresse vraiment les retraités…) augmente beaucoup moins rapidement et, avec le recul de l’âge du départ en retraite, il y aurait de fortes probabilités pour qu’elle recule.

En 2016, le nombre de cotisants s’élève à 1,7 pour un retraité et devrait s’élever à seulement 1,35 cotisant dans 50 ans. Mais Fillon « oublie » de prendre en compte l’augmentation de la productivité du travail. Pourtant, selon les chiffres du scénario le plus pessimiste du Conseil d’orientation des retraites, la productivité du travail serait multipliée par 1,65 en 50 ans. 1,35 cotisants en 2066 produirait autant que 2,3 cotisants actuels et donc beaucoup plus que 1,7 cotisants aujourd’hui !

Le programme de Macron est encore pire

Il commence par un mensonge : ne pas diminuer le montant des retraites alors qu’il ne parle nulle part de faire cesser le gel de la majorité des retraites (de base et complémentaire) imposé depuis plus de 3 ans et qu’il veut augmenter la CSG de la grande majorité des retraités pour financer la suppression des cotisations chômage et maladie des actifs.

Il termine par une supercherie : après avoir, dans un premier temps, tout comme Fillon, nivelé vers le bas nos système de retraite il veut, dans un second temps, transformer notre système de retraite en « système universel de retraites », à la suédoise. Ce système, selon lui, permettrait à chacun de « choisir librement » son âge de départ à la retraite. Ce nouveau système serait adopté à la fin du quinquennat mais mis en place au cours du quinquennat suivant.

Dans ce système, le montant de la retraite serait calculé en fonction de deux critères. Le premier serait la totalité des versements de cotisation effectués mais sans, surtout, augmenter la part patronale. Le second serait l’espérance de vie de la génération du futur retraité au moment de son départ en retraite. Plus cette espérance de vie serait importante, moins le montant de la retraite serait élevé.

L’espérance de vie des femmes est supérieure de 4,8 ans à celle des hommes. Faudrait-il, au nom de l’ « égalité » dont se réclame Macron diminuer proportionnellement le montant de leurs retraites ?

Tous les éléments de solidarité (prise en compte des situations de chômage, de maternité de maladie, du nombre d’enfants élevés…) seraient évacués de ce « système de retraite universel ». L’État pourrait, éventuellement, les prendre en charge.
Macron n’aurait donc nul besoin de reculer l’âge de la retraite ou d’augmenter le nombre de trimestres de cotisation. Chaque salarié pourrait « choisir », tout seul dans son coin, son âge de départ à la retraite dans une plage qui varierait de 50 ans à 70 ans. Cela aurait le grand mérite d’éviter les mobilisations qui avaient eu lieu en 2003 ou 2010…

En réalité, ce choix n’existerait pas. Aujourd’hui, avant même que l’augmentation du nombre de trimestres de cotisation, décidée en 2013, ait commencé ses ravages, 60 % des salariés du privé ne sont plus au travail quand ils prennent leur retraite : ils sont au chômage, en maladie ou en invalidité.

La proposition de Macron de « choisir de travailler davantage pour avoir une pension plus élevée ou de partir plus tôt avec une pension moindre » n’a donc rien à voir avec la réalité sociale. La plupart des salariés seraient obligés de prendre leur retraite, quel qu’en soit le montant, quand ils n’auraient plus la possibilité de travailler. Ils seraient d’autant plus obligés de s’y résigner que Macron veut réduire drastiquement les droits des demandeurs d’emploi.

 

Macron, Fillon et le temps de travail

Par Jean-Jacques Chavigné

Emmanuel Macron et François Fillon jouent tous les deux les matamores en clamant sur tous les tons qu’ils vont aller beaucoup plus loin que la Loi El Khomri. Macron ne veut en aucun cas être comptable du quinquennat de François Hollande (dont il a pourtant été l’un des principaux artisans) et François Fillon veut « la rupture ».

En réalité, tout ce qu’ils proposent figure déjà à 95 % dans cette loi, dont l’article 1 prévoit que l’ensemble du code du travail sera réécrit en accordant une place centrale à la négociation collective, aux dépens de la loi.

La seule solution, pour le salariat, est celle que préconisent Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon : son abrogation.

Négocier dans l’entreprise

Le prétexte invoqué par El Khomri, comme Macron et Fillon, c’est de privilégier la négociation d’entreprise. Mais rien n’empêchait, avant la loi El Khomri,  de négocier dans l’entreprise. Simplement, l’accord d’entreprise ne pouvait pas déroger au principe de faveur, à la hiérarchie des normes : pour les salariés concernés, un accord d’entreprise ne pouvait pas être moins favorable qu’un accord de branche ou, a fortiori, que la loi.

La volonté de négocier « au plus près du terrain » n’est donc qu’un prétexte pour retirer toute protection aux salariés d’une entreprise, obligés de négocier là où le rapport de forces leur est le plus défavorable et où ils le feront avec un revolver sur la tempe : la menace de voir leurs emplois supprimés.

Jean-Luc Mélenchon avait parfaitement raison de souligner, dans le débat du 20 mars sur TF1, qu’instaurer un code du travail par entreprise était aussi stupide que mettre en place un code de la route par rue.

Les 35 heures et les heures supplémentaires

Le rôle essentiel des 35 heures légales est de fixer à partir de combien d’heures de travail seront payées des heures supplémentaires. La loi El Khomri conserve cette référence mais la vide d’à peu près tout son contenu.

Cette loi permet, par accord de branche, de moduler les heures de travail pendant 3 ans. Les heures supplémentaires pourront donc n’être payées qu’après la 4 822ème heure : nous voilà très loin du paiement des heures supplémentaires à partir de la 36ème heure hebdomadaire ! Les heures supplémentaires qui étaient majorées d’au moins 25 % pourront ne plus être majorées que de  10 %, par un simple accord d’entreprise.

Macron et Fillon n’avaient pas grand-chose à ajouter.

Fillon veut supprimer toute référence légale aux 35 heures, la seule référence légale à la durée du temps de travail serait donc la durée légale maximale de travail prévue par l’Union européenne : 48 heures.  Les heures supplémentaires disparaîtraient purement et simplement.

Le programme d’Emmanuel Macron affirme que la loi fixera toujours l’horaire légal à 35 heures mais ne dit pas un mot du tarif auquel seraient payées les heures supplémentaires, ni sur combien de temps elles pourraient être « modulées ». Avec un tel flou, il n’y a aucune garantie qu’un accord d’entreprise ne puisse fixer la majoration des heures supplémentaires à 0 % ou de les moduler sur 5 ans fin de ne les payer qu’à partir de la 8 036ème heure. Toutes les possibilités sont ouvertes, en fonction du rapport de forces, entreprise par entreprise puisque c’est là où s’écrira le droit du travail et que l’employeur pourra prendre l’initiative d’un référendum pour imposer un accord.

L’objectif commun de Macron et Fillon : un taux de chômage à 7 %

Pour François Fillon, comme pour Emmanuel Macron et le Medef, le chômage serait dû à un manque de « flexibilité du travail ». Ils citent à l’appui les taux de chômage, calculés selon les critères du Bureau International du Travail (BIT) : 10,2 % en France mais seulement 5 % au Royaume-Uni et 4,3 % en Allemagne.

Le problème est que le taux de chômage calculé selon les critères du BIT n’a plus aucun sens. Alors que le patronat généralise le travail à temps partiel imposé, le mode de calcul retenu considère que si un salarié a travaillé pendant une heure au cours de la semaine précédente, il n’est pas demandeur d’emploi.

Ce que veulent Macron et Fillon, c’est généraliser le travail précaire, le travail à temps partiel, les travailleurs pauvres, les travailleurs « ubérisés ». L’avenir qu’ils nous réservent est celui des 8 millions de salariés qui subissent les « mini jobs » à 450 euros par mois en Allemagne ou celui des salariés « bénéficiant » d’un contrat « zéro heure » au Royaume-Uni, laissant le temps de travail d’un salarié à la totale discrétion de son employeur, tant en ce qui concerne la durée (zéro heure, 1 heure, 10 heures, 48 heures par semaine…) que l’organisation du temps de travail.

Les pays qu’ils nous donnent en exemple sont significatifs des buts qu’ils poursuivent. En France, le nombre de salariés travaillant moins de 20 heures par semaine représentent 5,9 % du total des emplois. Au Royaume-Uni, il est de 12,7 % et de 12,4 % en Allemagne.

 

Macron ennemi N° 1 de la protection sociale, sur ce terrain pire que Fillon et Le Pen :

 

 

Contre le trio des candidats  du fric

Afflelou a déclaré qu’il soutenait Fillon : il faut s’attendre a ce que ce dernier reçoive des somptueuses lunettes gratuitement.  Le candidat de la droite et du fric est de plus en plus rigide, brutal, ecoeurant et menaçant.

La milliardaire Le Pen bénéficie d’une immunité parlementaire, dont elle se sert pour masquer ses turpitudes spéculatives, ses emplois fictifs. Celle-là n’a jamais un mot contre les banquiers ni conte les actionnaires, et pour cause,  elle réserve ses coups contre les pauvres immigrés.

Macron commence à lasser avec ses meetings évangélisateurs sans contenu. Malgré le soutien de 95 % des medias détenus par les 7 milliardaires du CAC 40, on s’aperçoit de plus en plus du caractère creux et contradictoire du financier illuminé. Mais le fond de ses discours demeure le plus dangereux sur cette question de la protection sociale.

 

En fait ils  ont un point commun tous les trois : c’est la haine des cotisations sociales, du salaire brut, de la protection sociale basée sur le salaire. Le haut de la feuille de paie les indispose. Ils ne veulent plus que ce soit le capital qui paie en direct chaque mois, sur notre bulletin de paie, le coût de la reproduction de notre force de travail.

 

Le Pen veut diminuer le salaire brut pour donner davantage au salaire net. « le peu qu’on te donne tout de suite, on te le reprendra en plus et plus tard ». Un tour de passe-passe, de bonneteau, espérant que les naïfs ne s’en apercevront pas.

Fillon veut diminuer ce qui prétend appeler « les charges sociales » jusqu’à, 1,9 fois le Smic, accordant ainsi 100 milliards aux patrons d’entreprises, soit le double du cadeau du CIVE d’Hollande.

Mais Macron est pire que les deux précédents parce qu’il  propose de continuer à supprimer toutes les cotisations sociales comme il a  commencé a le faire avec Hollande qui a  enlevé déjà 35 milliards d’allocations familiales.

 

Macron veut enlever l’assurance maladie, l’astrance chômage du bulletin de paie. Et il propos e faire passer la retraite par répartition en retraite par capitalisation en un système de « points ».

Pour masquer cela, il instaurent le prélèvent a la source, manipule la CSG, rendant le bulletin de paie non obligatoire, et le « simplifiant » pour qu’on ne voit plus ce qu’il y a dessus,

C’est un vrai hold up géant de 450 de milliards de notre protection sociale : au lieu que ce soit les patrons les actionnaires qui la paient ce sera… nous-mêmes par l’impôt par la TVA, par l’impôt sur le revenu.

On a en face de nous l’offensive la plus dangereuse et la plus globale depuis 70 ans contre ce qui est le meilleur de notre pays : la protection sociale basée sur le salaire et le travail.

 

Gérard Filoche

 

 

Macron ne tire aucune leçon de la crise européenne

Par Eric Thouzeau

Dans un entretien à Libération (1), Emmanuel Macron livre sa vision de l’Europe. Comme tout Bonaparte, même au petit pied, Macron tente de tenir un propos apparemment équilibré. Pourtant, son projet est bel et bien celui de poursuivre et d’accentuer les politiques menées depuis près de 20 ans et qui ont pourtant entraîné une crise du projet européen.

Emmanuel Macron n’hésite pas à fustiger les courants ultralibéraux. Il déclare même qu’au niveau « de la zone euro, il faut avancer sur l’harmonisation fiscale et sociale ». Combien de fois n’avons-nous pas entendu ces propos lors de différentes campagnes électorales notamment depuis la victoire du non en 2005 au TCE ?

Le traité de Lisbonne ne permet pas, par exemple, d’instaurer une harmonisation fiscale par le haut. Il faudrait pour cela l’unanimité des États européens. C’est pourquoi d’ailleurs, Macron anticipe cet alignement par le bas en proposant de diminuer de 8 points l’Impôt sur les sociétés.

Un autre exemple : le scandale dû aux conditions dans lesquelles 450 000 travailleurs européens sont détaches dans notre pays n’a fait que s’aggraver rendant compte de la réalité du dumping social au sein de l’Union européenne.

Poursuite des réformes structurelles

Le principal dans les propos de Macron n’est pas là. Mais bien dans sa volonté réaffirmée de poursuivre une politique dite de « réformes ». C’est exactement ce qu’il dit dans son entretien à Libération : « Pour notre part, nous n’avons pas fait la totalité des réformes nécessaires pour renforcer l’économie française : je pense notamment à celles du marché du travail, de la formation professionnelle et de l’éducation. Parce qu’elles nous renforceront, ces réformes nous permettront aussi de rétablir notre crédibilité dans le dialogue avec l’Allemagne. C’est aussi pour cela que la France doit avoir une trajectoire de réduction de ses déficits crédible, tout en menant un effort d’investissement ».

Il est toujours question de réformes. Mais comme le disait Henri Emmanuelli, les partisans du social-libéralisme «ne regardent pas du côté de la réforme mais de la régression. La réforme quand on est socialiste, ça veut dire plus et mieux pas moins et moins payé» (2). On sait maintenant que les réformes « structurelles » sont avant tout des contre-réformes car elles sont, non seulement régressives sur le plan social,…mais le plus souvent inefficaces sur le plan économique. Ces politiques ont plongé l’Europe dans une quasi-stagnation et ont accru le chômage de masse. Pour les tenants de la pensée économique dominante, ce serait parce qu’il n’y a pas eu suffisamment de « réformes » ! Le remède ne marche pas, il faut pourtant en augmenter les doses !

Pour  Romaric Godin, rédacteur en chef-adjoint à La Tribune : « Emmanuel Macron applique sa « grammaire » apprise lorsqu’il était banquier d’affaires : le problème de l’investissement est un problème lié à la compétitivité coût et à la fiscalité. Baissez le coût du travail et la fiscalité sur les entreprises et vous verrez abonder les investissements. Sauf que rien n’est moins sûr (…).Faut-il rappeler que la crise de 2007 n’est pas une crise de la dépense publique excessive ou de la compétitivité de la France (…) la financiarisation de l’économie et la prédominance de la priorité donnée à l’actionnaire, a conduit à un recul de l’investissement productif et à un affaiblissement généralisé de l’économie réelle. » (3). Nous partageons totalement cette analyse.

Projet d’une « grande » coalition droite-gauche

Macron ne propose ni plus ni moins que la poursuite de la politique menée toutes ces dernières années. Ce qui change aujourd’hui, c’est qu’une fraction grandissante de la classe dirigeante française en est arrivée à la conclusion qu’il faut une grande coalition pour aller plus loin et imposer au pays encore plus de réformes structurelles, en prenant exemple sur l’Allemagne de Schroëder (4). Macron est l’instrument de ce projet bien exprimé par l’ancien PDG de Saint-Gobain, Jean-Louis Beffa  « Tous les pays qui réussissent … le font car il existe une union de la droite et de la gauche, dans des positions centristes très différentes des idéologies un peu extrêmes qu’on peut avoir en France » (5).

Au Parti socialiste, certains préfèrent rejoindre directement Macron, d’autres font le choix d’attendre pronostiquant, si le candidat d’En Marche! est élu en mai prochain, il n’y aura pas de majorité absolue à l’Assemblée nationale. « C’est l’heure de la coalition » comme le dit Manuel Valls (6). Ce qui est certain, c’est que le projet de soutenir une coalition droite-gauche signifierait, de la part d’une fraction du Parti socialiste, une rupture avec ce qui a constitué un des fondements de l’orientation du PS en France depuis le congrès d’Epinay (1971).

Unité de la gauche indispensable

Rassemblement de la gauche ou collaboration avec  la droite. Ce débat risque bien d’être celui des prochains mois. Au sein du Parti socialiste, mais plus largement dans toute la gauche. La division de la gauche, l’absence de candidature commune de la gauche à la présidentielle est dans ce cadre une terrible erreur qui ne peut que renforcer le projet de Macron et des forces sociales qui le soutiennent. Est-il trop tard pour que la raison l’emporte à gauche ?

 

(1) http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/03/23/emmanuel-macron-on-ne-peut-pas-etre-timidement-europeen-sinon-on-a-deja-perdu_1557953

(2) Le travail du dimanche, je peux voter contre  http://www.liberation.fr/video/2014/12/02/henri-emmanuelli-invite-de-mardi-politique_1154996

(3) « Emmanuel Macron et la finance : plus qu’un problème personnel »

http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/emmanuel-macron-et-la-finance-plus-qu-un-probleme-personnel-652325.html

(4) Macron ou l’idée d’une grande majorité centriste (article de Chritakis Georgiou dans Démocratie&Socialisme de mars 2014)

(5) La France doit agir Jean-Louis Beffa Paris, Seuil, 2013 pp 95-140.

(6) Valls n’apportera pas son parrainage à Hamon http://www.parismatch.com/Actu/Politique/Valls-n-apportera-pas-son-parrainage-a-Hamon-1209305

 

 

 

 

 

 

 

136 Commentaires

  1. Eric livot
    Posted 6 avril 2017 at 15:46 | Permalien

    C’est très bien. A diffuser.
    Seule limite: le 23/04, le PS, Cambadelis, Valls et toute la bande appellent le Ps à voter Macron.
    C’est joué d’avance.
    On fait quoi ?
    C’est ça le point important.

  2. Gilbert Duroux
    Posted 6 avril 2017 at 18:49 | Permalien

    Cambadélis tient un double langage. En ne sanctionnant pas les « socialistes » qui rejoignent Macron tout en restant membres du PS, il crée un appel d’air. On peut donc soutenir l’adversaire du candidat du parti en toute impunité. Ce faisant, Cambadélis torpille la candidature de Benoît Hamon et prouve que Macron est bien le candidat officieux du PS.
    Si l’on est de gauche, le vote utile c’est bien Mélenchon.

  3. Posted 6 avril 2017 at 22:51 | Permalien

    Valls est condamné par le Bn exclu du BN exclu de toute candidature du PS, trainé en commission des conflits, ll s’est mis hors du parti
    en l’etat actuel que faire de plus et plus vite ?

  4. THOMINE
    Posted 7 avril 2017 at 0:05 | Permalien

    exclu du PS ! De toute façon, vu ce qu’il est devenu, Jurassic Park !
    Voyez le candidat PS en dessous de 10%.
    Melenchon vous a mis un tour d’avance à gauche
    Macron vous a mis un tour d’avance au centre et à droite
    Hollande vous a fait un enfant dans le dos.

  5. vito
    Posted 7 avril 2017 at 2:56 | Permalien

    Que faire de plus et plus vite dis tu Gérard ? Demander a Hamon de se retirer en faveur de Melenchon pour faire gagner la République sociale. Le reste n est que bavardage, car malgré toute ta bonne volonté et ta sincérité, cher camarade, tu ne veux pas voir que la direction du PS a décidé de faire alliance avec la droite Macron pour les legislatives . Le nieras tu longtemps ? La direction PS a reçu des émissaires de Macron sur ce sujet, c est dans la presse. Allez camarade, rejoins la France insoumise, rejoins notre dynamique sincère, cohérente, et changeons ce pays pour changer la vie des millions de français qui pâtissent.

  6. Gilbert Duroux
    Posted 7 avril 2017 at 4:01 | Permalien

    Tu es encore en train de nous bourrer le mou puisque je vois ici que la Commission des conflits du PS ne revient pas sur les investitures :
    http://www.huffingtonpost.fr/2017/04/06/cambadelis-saisit-la-commission-des-conflits-pour-soccuper-des_a_22029313/
    Il n’y a que ceux qui ont parrainé Macron qui se voient retirer leur investiture, ce qui n’est le cas que pour une minorité, le gros des troupes soutenant sans parrainer.
    On voit bien là le double langage habituel. Nul doute que lorsque Hamon aura pris une claque, tout le monde sera réintégré, comme à l’habitude.

  7. Posted 7 avril 2017 at 7:45 | Permalien

    Et si malgré tout il reste candidat dans sa circonscription sous son étiquette, il se passe quoi ?

  8. Posted 7 avril 2017 at 8:09 | Permalien

    ceux qui ont parraine, appelé a voter pour, soutenu, sont hors parti, pas de Bn pas de parti, pas de sigle

  9. Posted 7 avril 2017 at 8:13 | Permalien

    pour la dix millième fois ça arrivera jamais jamais jamais
    personne ne se retirera devant personne, personne ne se soumettra a personne,
    il faut une plateforme politique, un accord de gouvernance, une majorité a l’assemblée
    un accord politique global en 72 h
    tu crois qu’on va se retirer devant un gars dont on n’est pas sur, sans accord ?
    un gars dont ne sait pas quel sera la majorité ?
    s’il decide de gouverner avec macron ou avec des fous furieux de la FI ?
    on n’a pas confiance ! il faut un accord politique qu’attend il ?

  10. Posted 7 avril 2017 at 8:15 | Permalien

    les sondages ça va ça vient, attends la fin,
    et puis de toutes façons helas, les deux perdent
    et c’est desastre programmé

  11. Posted 7 avril 2017 at 9:59 | Permalien

    viré illico

  12. Posted 7 avril 2017 at 10:00 | Permalien

    il n’y aura aucune union forcée, personne ne se retirera derrière personne, unité respect, il faut un accord politique global ou les deux perdront. Vous êtes donc un menteur un faussaire, genre « union en force » arrogante prétentieuse, donneuse de leçons, par la tentative d’écrasement de l’autre, c’est une marque de fabrique qui laisse des traces de haines indélébiles et durables, une manière d’être honteuse, anti gauche, dont j’espère la gauche se débarrassera plus tôt que vous ne pensez

  13. Posted 7 avril 2017 at 10:01 | Permalien

    macron c’est une bulle qui finira très mal, élu ou battu

  14. Posted 7 avril 2017 at 10:03 | Permalien

    il n’y aura aucune union forcée, personne ne se retirera derrière personne, mélenchon n’a pas voulu d’union, il n’y en aura donc pas,
    l’union c’est unité respect,
    il faut un accord politique global ou les deux perdront.
    Vous êtes donc un menteur faussaire, genre « union en force » arrogant prétentieux, donneur de leçons, par la tentative d’écrasement de l’autre,
    c’est une marque de fabrique qui laisse des traces de haines indélébiles et durables,
    une manière d’être honteuse, anti gauche, dont j’espère la gauche se débarrassera plus tôt que vous ne pensez

  15. red2
    Posted 7 avril 2017 at 10:06 | Permalien

    « des fous furieux de la FI  »

    Et après vous dites prôner l’unité… Vous vous rendez compte que vous insultez une grande part de la gauche ? Si Hamon voulait vraiment l’unité il n’avait qu’a répondre aux conditions minimales de la France insoumise pour ouvrir une vraie discussion. Après 5 ans de Hollande, il fallait donner des gages de bonne volonté et de « gauche »… Il ne l’a pas fait… Les magouilles du PS ne fonctionnent et ne fonctionneront plus.

  16. Emys Orbicuralis
    Posted 7 avril 2017 at 11:05 | Permalien

    (cit) « Valls est condamné par le Bn exclu du BN exclu de toute candidature du PS, trainé en commission des conflits, ll s’est mis hors du parti
    en l’état actuel que faire de plus et plus vite ? »
    Le faire vraiment ?
    Pourquoi écrire cela puisque c’est faux ? Valls est toujours PS, et toujours investi pour les législatives. Colère.
    Et moi je ne voterais plus jamais PS, merci bien.
    Respect néanmoins pour vous, qui restez un des rares gars de gauche au PS. Mais pitié, arrêtez de raconter n’importe quoi. Merci.

  17. Posted 7 avril 2017 at 11:37 | Permalien

    En étant réaliste il se passe quoi au second tour si Emmanuel Macron et Marine le Pen sont qualifiés comme y incite la campagne marketing pro Macron et la campagne de dénigrement des candidats Officiels PS et LR.
    Tout le monde vote Macron ?

  18. Macarel
    Posted 7 avril 2017 at 11:47 | Permalien

    Chacun en son âme et conscience.

    Le 23 avril 2017, lorsque vous déposerez un bulletin dans l’urne, vous aurez (à gauche), le choix entre voter pour le parti de la soumission (PS), ou pour la force de l’insoumission (FI).

    Chacun en son âme et conscience. Ce sera un choix lourd de conséquences pour l’avenir de notre pays. Dans un monde, où résonnent de plus en plus fort les tambours de la guerre.
    La soumission à l’UE, elle même soumise à l’OTAN pouvant nous entraîner là où nous n’avons aucun intérêt à aller.

  19. Posted 7 avril 2017 at 11:49 | Permalien

    vous ne savez rien, vous mentez, vous dires n’importe quoi pour essayer de trouver des arguments encore venimeux,
    je repete, j’étais au BN, voila les decisions de cambadelis
    1) condamnation de toux ceux qui soutiennent Macron
    2) exclusion du BN
    3) exclu toute double appartenance avec « en marche »
    3) engagement de tous candidats a être dans groupe parlementaire PS
    5) retrait de toute investiture a ceux qui soutiennent Macron, candidats socialistes contre eux (on a fait la liste, et la ou il y a des manques ils seront désignés) et s’ils se maintiennent exclusion ipso facto
    saisine de la commission des conflits pour exclure tous les autres non candidats mais dans cette situation (avertissement, blame, exclusion temporaire, exclusion definitive)

  20. Posted 7 avril 2017 at 12:05 | Permalien

    menteur, ça fait 18 mois qu’on propose une plateforme commune un candidat commun a Mélenchon, bien avant qu’Hamon soit élu
    il a toujours refusé, il veut caporaliser la gauche, nous ne céderons jamais,
    respect unité, accord politique oui,
    diktat soumission non
    ensuite ne confondez pas les fous furieux de la FI avec « une grande part de la gauche » svp
    il y a surement beaucoup de gens bien a la FI… mais les fous furieux qui insultent les socialistes, dictent des ordres comminatoires, sont incultes en politique, en histoire, méprisent les militants, flattent le gourou, sont des fous furieux dangereux, et qu’il faut combattre parfois comme des fachos, ne serait ce qu’une des dernières qui vient de me cracher dessus, en m’insultant « nous allons enfin construire un vrai front national de gauche »
    ca ne nous impressionne pas et nous les traitons comme il faut
    de meme les fous furieux qui sont venus a Lyon, de FI, jeter des oeufs remplis de peinture sur une des réunions de soutien a Hamon dans le 1er

    de meme les salopards qui continuent de faire semblant ici de confondre la gauche socialiste et le reste du PS, de confondre Valls et nous, autres, Hamon, D&S, qui sommes des militants,
    car la methode qui consiste sans cesse à nous confondre avec le reste du PS est méprisable et sectaire, propre a des fous furieux et provocateurs
    compris ?

  21. Posted 7 avril 2017 at 12:24 | Permalien

    aucun interet
    il n’y a plus de choix, vous voulez pas l’unite,
    melenchon a refuse tout notre combat pour l’unité depuis le 21 janvier 2016
    il a gagné il fait perdre toute la gauche

  22. Posted 7 avril 2017 at 12:24 | Permalien

    @GF18
    Vous pouvez reprocher tout ce que vous voulez à JLM, mais certainement pas d’être un inculte et d’ignorer l’histoire. C’est peut-être même dans les 11 celui qui la connaît le mieux.
    Et à propos d’histoire, vous ne pouvez pas ignorer que le terme « front national » n’a pas toujours désigné un groupe fascisant, bien au contraire.

  23. Posted 7 avril 2017 at 12:27 | Permalien

    cher monsieur,
    nous verrons
    je n’ai pas appelé a voter Chirac en 2002
    voter macron serait vomir
    il est pire que le Pen contre nos droits sociaux,
    le Pen est pire sur le racisme et la xénophobie
    je note aussi que fillon remonte, et Macron baisse,
    tout n’est pas fini
    Mélenchon et Hamon, ça va se resserrer probablement, quand les gens vont voir qu’il n’y a plus d’espoir unitaire, l’interet des deux candidatures va diminuer, et le mensonge selon lequel melenchon serait au 2° tour va se voir
    on verra vers le 4 ou 5 ou 6 mai…
    en attendant il est désastreux que Mélenchon refuse toute discussion (et qu’on n’ait pas pu lui imposer malgré tous nos efforts)
    il a sabote la grande chance de victoire qu’a la gauche, et la gauche s’en souviendra longtemps
    reste à lutter socialement…

  24. jules DUNORD
    Posted 7 avril 2017 at 12:32 | Permalien

    De mieux en mieux, M Filoche, vous traitez maintenant de salopards vos interlocuteurs, qui prennent le temps de passer sur votre blog et qui ne sont pas d’accord avec vous.

    Je comprends votre désarroi car la fin du PS est proche. Il se retrouvera au niveau du Pasok (5 %) (attention en dessous il ne sera pas remboursé des frais de campagne).

    Il est plus que temps de passer à autre chose et de réorganiser la gauche, la vraie.

  25. Posted 7 avril 2017 at 12:42 | Permalien

    bien sur, « jules DUNORD » sic d’autant que nous avons affaire a des trolls qui abusent, agressent sous plusieurs noms et IP qui sont les mêmes,
    et je répète que ceux qui viennent ici et nous parlent comme si nous étions la droite socialiste
    sans lire ni faire reference au fond de nos positions, sont des salopards conscients trolls spameurs, truqueurs, qui nous font perdre leur temps,
    le leur, mais aussi le notre
    puisque notre pratique militante est de répondre, … sauf quand ils abusent harcèlent, insultent, et anônnent vraiment trop,
    là on coupe, marre,
    faites pas semblant de dire que c’est parce qu’on n’a pas d’argument, ou que c’est de la « censure » ( nous sommes vraiment patients et democrates : 34180 éléments et 1709 pages)
    ce n’est pas du tout parce qu’on est mal a l’aise,
    on coupe quand on a trop d’arguments, que vous êtes trop nuls,
    que vous avez déjà, écris cela dix fois, et que ça suffit comme ci

  26. Posted 7 avril 2017 at 12:49 | Permalien

    bien sur qu’il ignore l’histoire, la longue bataille du mouvement ouvrier pour le front unique
    bien sur qu’il n’est pas matérialiste mais idéaliste
    et « front national » dans la bouche d’une Fi c’est possible a cause du glissement progressif de JLM sur des positions qui ne sont plus de classes, avec des glissements sur l’immigration, sur la nation, sur le peuple, sur la gauche, sur les partis traditionnels
    vous croyez que le méséducation qu’il développe contre le PS est sans conséquence ? elle gaspille la culture de centaines de milliers de gens qui le suivent sur l’histoire, elle laissera des traces grandissimes comme la III° période de l’IC, elle reformera la grille de lecture du XX° siècle, et nous ne gagnerons un jour que lorsque nous aurons éradique une partie du poison qu’il sème en ce moment dans les têtes
    quand aux pratiques plébiscitaires, c’est une autre pratique empoisonnée qu’il faudra aussi éradiquer, tout comme des fonctionnements dégradants type FI… en fait c’est pour cela qu’il ne veut pas d’unité, parce que des gens réfléchiraient et vendraient sur nos positions, il préfère les « dresser » a la schlague conte le reste de la gauche… authentique

  27. Gilbert Duroux
    Posted 7 avril 2017 at 14:09 | Permalien

    Tu devais dormir pendant le BN parce que dans toute la presse il n’est question d’exclusion que pour ceux qui « parrainent » Macron, pas ceux qui le soutiennent. J’avais déjà pointé cette ambigüité dès le départ. Dès le départ l’hypocrite Cambadélis avait fait cette distinction entre ceux qui parrainent (une très petite minorité) et ceux qui soutiennent Macron.
    Autrement dit, les socialistes peuvent soutenir Macron en toute impunité, ils pourront rentrer au bercail.
    Macron est bien le candidat bis du PS. On en aura confirmation au moment des législatives.
    Pauvre Benoît Hamon. Il n’aurait pas dû refuser de s’allier avec Jean-Luc Mélenchon.

  28. Posted 7 avril 2017 at 14:18 | Permalien

    non l’interdiction de se réclamer du PS et d’avoir l’investiture concerne tout membre qui appelle a voter macron, je n’ai pas « dormi au Bn » gardes encore une fois tes insolences insupportables,

    je l’ai déjà dit

    Cambadélis confirme que Valls pourrait affronter un candidat PS aux législatives
    http://www.parismatch.com/Actu/Politique/Cambadelis-confirme-que-Valls-pourrait-affronter-un-candidat-PS-aux-legislatives-1228325

    cambadelis repete on a un seul candidat, un seul : Hamon et tout le Bn unanime le dit avec lui

    ils disent Hamon est libre de toute sa campagne et c’est vrai

    ensuite, c’est Mélenchon qui a refuse toute alliance avec toute la gauche depuis le 21 janvier 2016

    bien avant qu’ hamon ne soit élu

    pauvre melenchon, il va perdre faire perdre toute la gauche et il va le payer cher car c’est la derniere fois

  29. socrate
    Posted 7 avril 2017 at 14:43 | Permalien

    autant etre clair

    JC Cambadélis a dit sur Europe 1 ce matin les élus qui soutiennent Macron sont renvoyés devant la commission des conflits , donc pour le moment rien n’est fait.
    Seuls ceux qui auront adhérés a En Marche seront exclus.
    Concernant Valls qui n’a pas adhéré a En Marche ,n’a pas parainné Macron il n’est pas exclu du PS a cette heure sa circonscription n’a pas été dégelé hier soir.

    http://www.europe1.fr/emissions/linterview-politique-de-8h20/syrie-emmanuel-macron-ps-jean-christophe-cambadelis-repond-aux-questions-de-fabien-namias-3235283

  30. Posted 7 avril 2017 at 14:54 | Permalien

    il ne peut se presenter avec l’étiquette du PS comme tous ceux qui ont appelé a soutenir Macron

    et s’il y a un candidat du PS contre lui et qu’il se maintient il est exclu ipso facto

  31. Anonyme
    Posted 7 avril 2017 at 15:47 | Permalien

    Faudrait vous mettre d’accord avec Cambadelis dans vos déclarations respectives sur les décisions du BN !

    Car à écouter Cambadelis le sort de Valls et de ceux qui se sont contenté de dire qu’ils voteraient Macron, dépend de la décision de la commission des conflits. Donc pour l’instant ils restent membres du PS et légitimes à se présenter sous l’étiquette PS.
    Donc de ce côté là rien n’est encore fait si l’on se réfère à la version Cambadelis. Qui est la seule à être médiatisée car la version officielle du PS.
    Vous présentez une version alternative dont on peut craindre qu’elle soit plus désirée qu’effective.
    Mais laissons faire le temps, on verra bien ce qui se passe concrètement avec ces législatives.

  32. grisoline
    Posted 7 avril 2017 at 15:48 | Permalien

    Faudrait vous mettre d’accord avec Cambadelis dans vos déclarations respectives sur les décisions du BN !

    Car à écouter Cambadelis le sort de Valls et de ceux qui se sont contenté de dire qu’ils voteraient Macron, dépend de la décision de la commission des conflits. Donc pour l’instant ils restent membres du PS et légitimes à se présenter sous l’étiquette PS.
    Donc de ce côté là rien n’est encore fait si l’on se réfère à la version Cambadelis. Qui est la seule à être médiatisée car la version officielle du PS.
    Vous présentez une version alternative dont on peut craindre qu’elle soit plus désirée qu’effective.
    Mais laissons faire le temps, on verra bien ce qui se passera concrètement avec ces législatives.

  33. Bertrand coil
    Posted 7 avril 2017 at 16:55 | Permalien

    La vache ! 2 mois de bataille et on a réussi à acculer Cambadelis dans un corner.
    Il a été obligé de couper les ponts avec Macron et soutenir un hamon en perdition.
    On va pouvoir siphonner le Hamon jusqu’au bout et démolir à la cool macron cac 40.
    On a gagné Gérard !
    Le PS est cuit et la FI emporte la mise.
    Ai second tour on vous soumet complet.

  34. Posted 7 avril 2017 at 18:21 | Permalien

    troll

  35. Posted 7 avril 2017 at 18:22 | Permalien

    salut grisoline et anonyme

  36. Jean-Pierre Grenier
    Posted 7 avril 2017 at 23:27 | Permalien

    Je voudrai d’abord vous remercier Gérard Filoche d’accepter de diffuser tous les commentaires sans censure, alors que la plupart ne partagent pas votre point de vue. Je suis un peu surpris de l’opinion que vous portez sur JLM et la FI, alors que tous partagent les mêmes valeurs. JLM est votre ancien camarade de parti. Au sein du PS, ne faisait-il pas parti de la même tendance ou du même courant que vous ? Il a quitté le PS en 2008 car il a pensé qu’il n’y avait pas moyen de l’ancrer vraiment à gauche. Vous êtes resté dans l’espoir de faire bouger les lignes de l’intérieur et devenir majoritaire. Ce sont deux stratégies différentes, mais complémentaires. Il n’y a pas à juger qui a raison, qui a tort. Chacun a agi en fonction de ses convictions. Même si vous n’avez pas réussi avec vos amis à contrer le gouvernement pour bloquer la loi El Komri, vous avez été un des artisans de la victoire de Hamon à la primaire, ce qui a été un camouflet et un désaveu complet de Valls et de sa politique. Mélenchon de son côté est en train de gagner son pari avec le mouvement citoyen de la FI, sans attaquer, ni dénigrer Hamon.
    Dans un sondage, il arrive au niveau de Fillon (19%), dans les autres c’est entre 16 et 18% et sa progression ne se fait plus au détriment de Hamon, qui se stabilise pour l’instant autour de 10%, mais en convaincant des abstentionnistes. Ainsi, la somme des deux augmente. C’est de bon augure pour les législatives, qu’il gagne la présidentielle, ce qui est encore peu probable mais plus impossible, ou non. Alors arrêtons de nous invectiver car nous aurons besoin de rassembler nos forces après la présidentielle et les législatives. Les élections ce n’est pas tout et surtout si nous gagnons, il faudra de fortes mobilisations pour soutenir nos élus et la démarche enclenchée par les élections car nos adversaires ne vont pas rester les bras croisés. Mais même si nous perdons, ces élections seront le début d’un processus de reconquête d’un pouvoir de transformation sociale et écologique profond. Souvenons-nous en 1995, nous avons perdu les présidentielles. Deux ans après Jospin était premier ministre pour 5 ans.
    Mais pour gagner il faut d’abord y croire, comme vous l’avez fait pour la primaire et je vous trouve très (trop) pessimiste avec vos deux défaites. Moi je vois plutôt deux victoires : Mélenchon à la présidentielle et la gauche sociale et écologiste unie aux législatives !

  37. Posted 8 avril 2017 at 1:01 | Permalien

    Manuel Valls, qui a apporté son soutien à Emmanuel Macron pour l’élection présidentielle, pourrait se voir opposer un candidat investi par le PS lors des élections législatives, a indiqué vendredi le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis.
    « S’il se présente et soutient Emmanuel Macron, la logique est qu’il y aura un candidat socialiste face à lui », a déclaré M. Cambadélis sur Europe 1.
    Le premier secrétaire du PS a par ailleurs averti que les membres du parti qui adhérent au mouvement En Marche ! de M. Macron seraient exclu. Citant les statuts du parti, il a souligné qu’ »il n’y a pas de double appartenance au Parti socialiste, donc toute personne qui adhère à En Marche !, et c’est parfaitement son droit, n’est plus membre du Parti socialiste. Ils sont en dehors du parti socialiste, donc pour que la formule soit claire, ils sont exclus ».
    Les élus PS qui adhèrent au mouvement En Marche ! d’Emmanuel Macron « auront des candidats (socialistes) en face d’eux ».
    Lors du Bureau national, « nous avons décidé hier soir, dans un certain nombre de circonscriptions, de leur opposer des candidats », a poursuivi M. Cambadélis. « Et comme ils maintiendront leur candidature, ils sont exclus, parce qu’on ne peut pas être membre de deux clubs. On ne peut pas jouer à la fois avec le PSG et Monaco. Au Parti socialiste c’est la même chose: on peut pas être au PS et à En Marche ! », a-t-il dit.

  38. Posted 8 avril 2017 at 10:10 | Permalien

    inutile de harceler :
    1° personne ne se retirera pour personne personne ne se ralliera a personne, millième fois
    2° par contre a tout moment en 72 h un accord politique est possible avec un accord de gouvernance et de majorité
    3° demandez à Mélenchon de prendre les initiatives pour cet accord
    4° inutile d’annoner sinon pour une soumission cela n’aura pas lieu

  39. Posted 8 avril 2017 at 10:33 | Permalien

    Vous pouvez être fier de vous d’avoir causé la mort du PS avec votre intransigeance ! Plut^t que de taper sans cesse sur Macron, vous devriez vous demander pourquoi il en est arrivé là !

  40. med
    Posted 8 avril 2017 at 10:47 | Permalien

    Bon Mr Filoche si vous êtes sincère(et le pense) en disant que vous voulez la victoire de la gauche. Il est grand temps d’appeler a voter pour Melenchon. Sinon, je suis désolé de le dire, vous n’êtes qu’un charlot !

  41. Michel - Pierre
    Posted 8 avril 2017 at 11:06 | Permalien

    Je viens de recevoir un courriel d’Avaaz (objet: « il ne doit en rester qu’un ») sollicitant une réponse à la question suivante: « Si les élections étaient aujourd’hui, pour qui voteriez-vous? ».
    Six possibilités étaient proposées, entourant les options « Abstention » et « Indécis(e) ».
    Après avoir cliqué sur la sixième (« Autre candidat(e) ») je m’attendais à pouvoir en indiquer l’identité. Malheureusement l’expression de cette précision n’était pas prévue.
    C’est pourquoi je la livre ici, dans l’espoir de convaincre les initiateurs d’ »il ne doit en rester qu’un » d’affiner leur sondage.
    « Aujourdaujourdui » je voterais pour:
    Gauchentête MÉLENCHAMON-POUTARTHAUD.
    Ah, zut ! C’est un(e) candidat(e) fictif(ve)…
    C’est d’autant plus bête que rien ne semble avoir été prévu, Place de la République, en ce superbe samedi 8 mars, pour enfin le faire entrer dans le domaine du réel, ce choix qui me semble partagé par l’immense majorité des citoyens de gauche.
    Un élément de réconfort subsiste toutefois, avec la lueur d’espoir apportée ci-dessus [38]: « … à tout moment en 72 h un accord politique est possible avec un accord de gouvernance et de majorité… « .

  42. med
    Posted 8 avril 2017 at 11:06 | Permalien

    Ce qui est sidérant, c’est que vous faites confiance a Cambadélis comme hier à Hollande.

  43. Posted 8 avril 2017 at 11:13 | Permalien

    absolument pas, vous racontez encore n’importe quoi, nous n’aimons pas ce PS tel qu’il est, nous ne sommes pas sentimentaux, mais réalistes, et nous n’avons jamais fait aucune confiance a ses apparatchiks,
    nous nous battons toujours pour que cette composante majoritaire, historique, incontournable de la gauche, le PS, s’ancre a gauche et dans la gauche unie sinon nul ne peut gagner, vous pouvez faire un effort pour comprendre cela ou c’est trop dur pour vous ?

  44. Posted 8 avril 2017 at 11:15 | Permalien

    votre insulte et votre chantage nul ne nous impressionnent pas, vous vous en doutez j’espère,
    Inutile de harceler :
    1° Personne ne se soumettra à personne et personne ne se ralliera à personne, millième fois
    2° Par contre à tout moment en 72 h un accord politique est possible avec un accord de gouvernance et de majorité
    3° Demandez donc à Mélenchon de prendre les initiatives pour cet accord
    4° Inutile d’ânonner d’insulter, de menacer sinon, pour une soumission, cela n’aura pas lieu

  45. Posted 8 avril 2017 at 11:18 | Permalien

    Macron en est arrivé là ou il est par la gonflette de 95 % des médias dirigés par 9 milliardaires et par la force du Medef et du CAC 40
    c’est dégradant pour un grand pays comme la France
    et la responsabilité est a Hollande d’avoir choisi, nommé, propulse, ce gourou de droite, creux et dangereux, et c’est ça qui coule… hollande, valls et la majorité du PS,
    nous la minorité du PS nous tentons de le sauver depuis 5 ans contre cela

    C’est la première fois depuis 100 ans que l’aile gauche du PS, la gauche socialiste, l’emporte contre la majorité de l’appareil (ni Marceau Pivert, ni à la Libération, ni Chevènement ne l’avaient réussi)
    C’était le fruit d’un travail acharné et victorieux pour résister pied à pied, pas à pas à chacune des trahisons successives du quinquennat Hollande de 2013 à 2016, de l’ANI aux lois macron…
    En construisant même à la fin un fantastique mouvement de masse unitaire contre la loi El Khomri
    Nous avons réussi l’exploit d’écarter Hollande et de battre Valls
    Nous avons eu une « fenêtre » de onze semaines entre le 29 janvier et le 23 avril pour réussir
    Nous avions tout en mains collectivement
    C’était l’occasion historique unique la fois de prendre le pouvoir et de transformer toute la gauche : coup double
    Mais alors que tout était devenu possible, que c’était un moment idéal, inouï, exceptionnel, magnifique, en combinant les efforts et les actions dedans dehors
    on est tombes sur un facteur contre révolutionnaire majeur imprévu qui ne le veut pas, refuse l’unité depuis le 21 janvier 2016 et qui brise méthodiquement ainsi toutes ces chances en provoquant le désastre du 23 avril à 20 h : Mélenchon
    derrière des fanatiques croient être au 2° tour sur la base gonflette, et pleureront après nous avoir tous fait perdre
    nous ça nous attriste avant ! mais nous avons fait et nous faisons tout ce que nous pouvons
    1° Personne ne se soumettra à personne et personne ne se ralliera à personne
    2° Par contre à tout moment en 72 h un accord politique est possible avec un accord de gouvernance et de majorité
    3° Demandez donc à Mélenchon de prendre les initiatives pour cet accord

  46. med
    Posted 8 avril 2017 at 11:43 | Permalien

    « nous nous battons toujours pour que cette composante majoritaire, historique »

    Le meilleur moyen de combattre les apparatchiks aurait qu’Hamon rejoigne Melenchon. Il aurait fait d’une pierre deux coups.

    1 – Il mettait KO l’aile droite du PS.
    2 – Il permettais la victoire de la gauche.

  47. ErikleRouge
    Posted 8 avril 2017 at 11:47 | Permalien

    « Mélenchon rassemble la gauche, on le voit bien. Et puis c’est un penseur, je l’ai toujours dit, il pense la politique » – dixit Arnaud Montebourg hier à l’Express –

    enfin une voix « politique » et juste à la gauche du PS !

    enfin -

  48. TOM
    Posted 8 avril 2017 at 13:06 | Permalien

    @GF45 : « on est tombes sur un facteur contre révolutionnaire majeur imprévu (…) Mélenchon »

    Ne vous faites pas passer pour plus bête que vous ne l’êtes : que Mélenchon et la FI refusent de se ranger derrière Hamon et ce PS là n’étaient vraiment pas un imprévu. Pour personne.

    Qu’est-ce-qui vous a fait croire que vous pouviez désigner un candidat fin janvier (avec un programme à 80% similaire à celui de la FI mais trainant 5 ans et plus de casseroles) et que tout le monde se courbe et se retire?

  49. Posted 8 avril 2017 at 13:30 | Permalien

    vous etes bloques dans votre tete ou quoi ?
    1° Personne ne se soumettra à personne et personne ne se ralliera à personne
    2° Par contre à tout moment en 72 h un accord politique est possible avec un accord de gouvernance et de majorité
    3° Demandez donc à Mélenchon de prendre les initiatives pour cet accord

  50. Posted 8 avril 2017 at 13:38 | Permalien

    la democratie,
    dés le 21 janvier 2016 nous avons propose une méthode unitaire pour construire une plateforme politique, une candidature commune, et une majorité
    melenchon a tout refuse et c’est lourd de conséquences jus’à aujourd’hui et hélas au 23 avril…
    ensuite nous avons construit un cadre unitaire « appel des cent » avec un programme unitaire,
    ensuite proposé de grande primaires démocratiques de toute la gauche pour arriver a un candidat unique commun
    ensuite bataille pour des primaires citoyennes ouvertes a la gauche et aux écologistes et pas réduites a la BAP
    ensuite proposé l’accord Hamon Jadot Laurent melenchon
    ça fait 18 mois de bataille constante pour l’unité pour gagner

    impossible de nous imputer l’echec, il revient entierement aux diviseurs,

    un candidat élu par 1,2 million d’électeurs qui viennent, signent, paient, c’est mieux qu’un « chef » auto-désigné indélicatement, dans le dos de toute la gauche, et contre son avis, sur TF1

    et Hamon a été désigné contre Valls, brillamment, ne pas le reconnaitre, feindre de croire de façon dégueulasse que c’est le même PS, nier la gauche socialiste, refuser toute rencontre ou accord, crée un danger pour la gauche et son avenir, au delà du fatidique 23 avril à 20 h ou nous pleurerons tous, car la division va nous faire perdre

    j’étais a un diner hier soir, ou les gens ne riaient pas car ils voient tous le gouffre où les sectaires illuminés nous emmènent,
    croyant aux sondages qu’ils niaient hier, les voila qui quittent le réel : le désastre du 23 avril est assuré.

    Et nul n’y peut rien sans accord politique, ce qui nous désole : se désister sans accord politique ne sert à rien, n’est pas acceptable, seul un accord politique pourrait faire qu’il n’y ait pas deux candidats et qu’il y ait une dynamique.

    en fait quelque soit le candidat de gauche qui est devant c’est sans importance, deux candidats cela signifie le 3°, la 4° ou la 5° place

    quelle tristesse de voir des sectaires ricanants ici au lieu de militants démocrates ouverts, unitaires, ce n’est pas notre monde, notre monde c’est celui de la gauche pas de la secte

  51. Pacifiste
    Posted 8 avril 2017 at 14:03 | Permalien

    C’est bien d’être contre l’austérité… Mais si c’est pour se retrouver sur la rive ouest du Dniepr avec un bazooka, entre le bataillon AZOV, PRAVIJ SEKTOR et un escadron de GI`s non merci ! Et encore moins si c’est pour se retrouver sur le plateau du Golan, entre TSAHAL et une division héliportée de l’US army…
    Que fout HAMON ? Incompréhensible cette vocation de crédule soumis à TRUMP…

  52. Dim
    Posted 8 avril 2017 at 15:23 | Permalien

    Bon, tous mes commentaires où je démontre arguments à l’appui que votre affirmation «Mélenchon responsable à 100% de la désunion» ne tient pas, son censurés. C’est dommage, ils ne contiennent aucune insulte, que des arguments. A l’heure où on parle Hamon est crédité dans le sondage BVA d’hier de 8,5% des votes contre 19% pour Mélenchon a égalité avec Fillon, à un pas de Le Pen et Macron. La réaction de Hamon est de piloner Mélenchon de calomnies plutôt que de faire campagne contre Le pen et Fillon.

    Par ailleurs, je suis pas d’accord quand vous dites que le maintien de deux candidatures condamne mécaniquement Mélenchon. Mitterrand a bien gagné en 81 avec un Marchais à 15% au premier tour, Mélenchon peut bien réussir avec un Hamon à 8… Après oui, ce serait mieux qu il n’y ait qu une candidature, que Hamon mette pendant 1 mois son patriotisme de parti dans la poche et accepte d’aider quelqu un de mieux placé que lui pour faire gagner ses idées. Il ne semble pas parti pour le faire mais ses électeurs…. si !

  53. Anonyme
    Posted 8 avril 2017 at 15:26 | Permalien

    Les Etats-Unis refuse une solution syrienne dans le cadre de l’ONU. En France, un seul candidat à la présidentielle approuve la frappe US : Hamon.

    Je hais la gauche européiste et atlantiste.

  54. Pierre LERMIGEAUX
    Posted 8 avril 2017 at 15:54 | Permalien

    Gérard
    par raport à votre réponse 37,j ‘espère vivement que seront exclus du PS, méme sans avoir « adhéré administrativement » au mouvement enmarche , simplement ceux qui auront appelé à soutenir Macron.( qui équivaut à une adhésion, faut pas déconner)

    je pense que Ledrian ou Valls par exemples se contrebattent la breloque de rester PS.

    Qui peut penser qu ‘ils représenteraient des gens de gauche aprés avoir soutenu MACRON ? eux tout simplement par opportunisme ou les gogos de leur espèce ou de pauvres naifs .
    L’exlusion doit concerner tous ceux qui ont appelé ou incité à soutenir macron,par leurs paroles ou leur comportement méme sans avoir adhéré au mouvement.
    Et elle doit ètre rapide voire immédiate.

  55. Posted 8 avril 2017 at 15:58 | Permalien

    personne ne doit « haïr » la gauche quand on est de gauche,
    il y a toujours eu des divergences sur cette question dans notre camp
    ce n’est pas a cause de trump ou de poutine qu’on ne peut pas s’unir contre le trio des candidats du fric macron Fillon Le Pen
    on s’est bien uni malgré staline et chruchill, malgré reagan et brejnev
    pire il y a eu aussi union entre Mollet et Thorez… mais là c’était pour faire la sale guerre d’Algérie malgré les USA et l’URSS

  56. Posted 8 avril 2017 at 16:04 | Permalien

    les sondages ça va ça vient
    il n’y a aucune chance avec deux candidats de gauche de gagner dans le rapport de force actuel, nous ne sommes pas en 1981, mais apres 5 ans de Hollande et apres des primaires de droite comme de gauche qui ont mobilise des millions d’électeurs
    qui « pilonne de calomnies »? sinon des fous furieux incultes qui se disent FI sur les reseaux sociaux ? on en est tous ecoeures, les degats qu’ils font sont incommensurables et compteront enormément dans la défaite
    ce n’est pas une question de retrait ni de patriotisme de parti, ni de drapeau, tout cela ne compte pas, on s’en fou, ce qui compte c’est accord politique ou pas :
    1° Personne ne se soumettra à personne et personne ne se ralliera à personne
    2° Par contre à tout moment en 72 h un accord politique est possible avec un accord de gouvernance et de majorité
    3° Demandez donc à Mélenchon de prendre les initiatives pour cet accord ou il portera la responsbilite pleine et entiere de son échec et du notre,
    il veut gagner ? qu’il discute ! pourquoi s’y refuse t il ? quel est la raison profonde de son entêtement suicidaire ?

  57. Dim
    Posted 8 avril 2017 at 16:46 | Permalien

    @gerard filoche

    Pour te répondre point par point

    1) oui les sondages son critiquables mais ils informent sur la dynamique de la campagne. Et cette dynamique est du côté de Mélenchon.

    2) parmi les 350 000 engagés dans le soutien à Mélenchon il y a quelques exaltés sectaires comme partout. Toi même depuis quelques temps t es franchement pas exempte de tout reproches….Jlm avait promis de ne pas attaquer Hamon faute d’accord. Il s est tenu à cette ligne, ce qui n’est pas le cas de Hamon. On l’a même vu ranger Mélenchon dans le même sac que Le Pen et Fillon comme «ennemis de la démocratie»

    3) si le but, c’est une candidature unique, il faut bien que l un se retire

    4) Mélenchon a écrit une lettre à Hamon pour ouvrir la discussion sur le fond dans la foulée de sa victoire aux primaires. Elle est toujours sur la table, il y répond quand il veut !

  58. socrate
    Posted 8 avril 2017 at 17:05 | Permalien

    Macron amenti lors du débat des onze
    a une question de Dupont Aignan lui demandant s’il avait pris part au démantélement de Alstom il a répondu qu il n’était pas en poste a ce moment
    Il s’avère que si , c’était lui qui gérait le dossier
    l’info est dispo sur youtube
    comment faire confiance a un menteur pour diriger la France

  59. Veronique lors
    Posted 8 avril 2017 at 19:11 | Permalien

    C’est bien mais c’est foutu
    HAMON finira à 5-6% siphonné par JLM
    Et présent au 2e tour face à MLP
    Ce sera la démonstration que le Ps et tous ses propos, dires et soutiens auront été 100% inexacts.
    Il faudra envisager profonde remise en question

  60. Médusa
    Posted 8 avril 2017 at 20:41 | Permalien

    @GF56 « il n’y a aucune chance avec deux candidats de gauche de gagner dans le rapport de force actuel,  »

    Sauf si les électeurs vont d’eux-mêmes massivement vers le plus haut… ce qui s’était produit avec l’effet primaire, et ce qui est en train de se produire dans le sens inverse à présent. On se dirige vers un scénario où les 4 premiers seront autour de 20%, et ça en fera réfléchir plus d’un…

  61. Médusa
    Posted 8 avril 2017 at 20:54 | Permalien

    Je me permets de citer ce texte que vous aviez publié le 1er mars, écrit par un certain « RN » :

    « Cela ne signifie pas que nous renvoyons dos-à-dos JLM et Hamon. D’abord parce que, dans la forme, Hamon apparaît comme moins sectaire que JLM. Ensuite parce que nous sommes au PS. Seul un large écart entre JLM et BH en faveur du 1er devrait nous amener à reconsidérer ce que serait le « vote utile » pour notre classe. »

    http://www.filoche.net/2017/02/28/20-l%e2%80%99unique-evenement-qui-permettrait-de-depasser-macron-et-fillon-serait-l%e2%80%99unite-de-la-gauche-hamon-jadot-melenchon-2/#comment-167830

    Si jamais la dynamique actuelle s’amplifie, que Mélenchon continue de monter et que Hamon reste aussi bas (ou même baisse encore), la question finira forcément par se poser.

  62. MACE
    Posted 8 avril 2017 at 22:44 | Permalien

    Monsieur Filoche, il faut bien que vous compreniez que Mr Mélenchon refuse tout accord car il souhaite une refondation politique profonde du fonctionnement de notre démocratie, et cela implique la disparition de la quasi totalité de ce qui existait auparavant: aussi bien les partis que les différents mouvements. Concevoir un accord mettant en commun les ressemblances entre les programmes de La France Insoumise et du parti socialiste (et qui sont réelles, je ne le nie pas), ça serait aller contre cette volonté. Le parti socialiste, les républicains, le front national, le PCF, LO, le NPA, et tous les autres partis et mouvements divers doivent disparaître. Tout doit être recrée pratiquement de zéro. Cela ne signifie pas que tous les hommes et femmes politiques actuels doivent être interdit d’exercer une quelconque activité politique, juste que tout doit être refait sur une base saine.

    Je ne partage pas tout ce que propose Mr Mélenchon, mais cette envie de tout recréer sur une page blanche est ce qui me motive a voter pour lui.

    Cordialement, Alan

  63. ErikleRouge
    Posted 9 avril 2017 at 0:14 | Permalien

    très belle déclaration de JLM ce soir à ONPC au sujet de Hamon, la porte est grande ouverte si Hamon le veut …

    Voilà c dit et très officiellement !

  64. Posted 9 avril 2017 at 10:55 | Permalien

    1°) rien n’est sur,
    2°) D&S et moi meme nous nous sommes battus en permanence pour l’unité, une plateforme commune, un candidat commun, une gouvernance et une majorité, ce, depuis le 21 janvier 2016 ou melenchon a refusé et a toujours refuse depuis, il n’y a pas de symétrie
    3°) bien sur, lorsqu’ils étaient Hamon 16 % et Mélenchon 9 % j’avais propose hamon président et melenchon premier ministre, c’était tres audacieux, et nul n’a saisi cette offre
    4°) ça fait six semaines, ils se sont vus depuis : invoquer cette lettre c’est vouloir figer les choses, tu le sais très bien, il suffit que melenchon qui semble en tete re ouvre la discussion fasse des propositions ACTUELLES unitaires qu’il n’a jamais faites contrairement a moi, a D&S, a nous…

  65. Posted 9 avril 2017 at 10:57 | Permalien

    avec ce genre de discours que dire ?
    les sectes ne font pas de vieux os, heureusement

  66. Posted 9 avril 2017 at 11:06 | Permalien

    t’as qu’a croire,
    ca n’arrivera pas
    et ce pour des raisons politiques profondes,
    sans unité pas de victoire possible

  67. Posted 9 avril 2017 at 11:09 | Permalien

    Jamais (et ce, depuis le 21 janvier 2016) je n’ai demandé à quiconque de se retirer quelque soit le rapport de force prétendu des sondages, pas plus hier qu’aujourd’hui, on a tous bataillé pour l’unité,
    j’étais avec D&S pour un accord politique de plate-forme, de gouvernance et de majorité
    et ce, quand Hamon était donné à 16 % et Melenchon à 9 %,
    je le suis toujours de la même manière, pour les mêmes raisons, parce que ça ne dépend pas des sondages qui vont et viennent,
    qu’attend donc Mélenchon puisqu’il est donné en tête, c’est à lui de prendre l’initiative pour proposer de se rencontrer et de discuter ?
    Il ne veut pas ? Il préfère perdre ?

    1° Personne ne se retirera pour personne et personne ne se ralliera à personne, millième fois
    2° Par contre à tout moment en 72 h un accord politique est possible avec un accord de gouvernance et de majorité
    3° Demandez à Mélenchon de prendre les initiatives pour cet accord

  68. Posted 9 avril 2017 at 11:14 | Permalien

    si c’est vrai, ce serait dangereux pour la démocratie, de la gauche, du salariat, et ce serait au contraire de vous une raison de ne pas voter pour lui
    qui n’a pas de passé, n’a pas d’avenir
    sans théorie révolutionnaire, pas d’action révolutionnaire,
    sans tirer les leçons les meilleures de la social démocratie depuis cent ans, rien a faire,
    sans entrainer les forces structurées, partis et syndicats, rien a faire (sinon le fascisme)
    je ne suis pas un français insoumis, je ne défends pas la France mais ma classe sociale, le salariat exploite, par dela les frontières,
    je suis plus proche d’un ouvrier allemand que d’un patron français
    je suis européen pas nationaliste,
    je suis pour l’accueil des immigres,
    je suis plus internationaliste que « français » et « insoumis »
    je ne suis pas insoumis mais syndicaliste
    je suis anarchiste, trotskiste, socialiste et communiste a la fois, mais « insoumis » (sic) je ne sais pas ce que c’est

  69. Dominique Babouot
    Posted 9 avril 2017 at 17:52 | Permalien

    Francois Hollande a fini de tuer le parti socialiste.
    Bientot il n’existera plus et vous n’aurez le choix qu’entre en sortir ou d’accepter de renier vos idées.
    Cela a été possible grace à la constitution de la cinquième république qui lui a permis de contourner le parti au lieu d’imposer ce dernier virage, chose à la quelle il ne serait jamais parvenu.

    Grisé par la perpective de sa réussite Jean-Luc Mélenchon abandonne peut etre lui aussi l’idéal socialiste mais son projet est de renverser la cinquième république pour mettre fin au pouvoir personnel d’un seul homme. C’est suffisant pour sauver le parti socialiste et empecher la mutation définitive à l’italienne, alors réfléchissez bien si Macron est élu, ce sera le début de la fin pour ce qu’a été le parti créé en 1905!

    Benoit Hamon n’est pas de taille à barrer la route à Macron alors que le parti qui devait le soutenir le trahit déja et s’apprete à finir sa mutation une fois qu’il sera élu!

    On attend de vous un sursaut, meme si pour cela vous devez désobéir aux ordres et vous mettre provisoirement en dehors du parti!

    C’est urgent!

  70. Blabla
    Posted 9 avril 2017 at 18:16 | Permalien

    Quand le PS a été créé, il n’avait pas de passé….
    Vous avez le raisonnement de ces gens qui expliquent qu’ils ne peuvent pas embaucher une personne car elle n’a pas d’expérience.

  71. Posted 9 avril 2017 at 18:32 | Permalien

    bah non, il y a de 4 à 6 millions de voix, PS dans tous les cas
    sans elles la victoire n’est pas possible,
    il faut l’unité de la gauche pour qu’elles soient entrainées dans une bataille victorieuse
    hier comme aujourd’hui

  72. Posted 9 avril 2017 at 18:35 | Permalien

    inculture ! opportunisme !
    un parti traditionnel qui quadrille la vie politique pendant cent ans, ce n’est pas une femme de service en entretien d’embauche
    je connais que trop vos raisonnements impressionnistes sans méthode et sans culture
    avec vous le PS est mort déjà en 1958, 1968, 1969, 1983, 1993, 2002, 2007, 2012, et tu seras encore oblige de voter pour lui en 2022, ajustes un peu ta tête ton histoire, ta théorie, tu gagneras en lucidité et efficacité…
    comme au Portugal par exemple, ou 5 ans après Socrates ceux qui juraient que le PS était mort se sont alliés avec lui, ou comme en Allemagne ou le Spd est parti pour s’allier à gauche avec Die Linke (amis de Mélenchon) et les Grünen. Sans oublier le Labour ou Corbyn a remplace les blairistes…

  73. Gilbert Duroux
    Posted 9 avril 2017 at 18:42 | Permalien

    Mélenchon dépasse Fillon et battrait largement Le Pen au 2ème tour. Dommage que Benoît Hamon ait refusé la possibilité d’une candidature unitaire (je ne parle pas de ralliement) en restant ligoté à l’appareil du PS :
    http://www.rtl.fr/actu/politique/sondage-melenchon-depasse-fillon-macron-le-pen-premier-tour-presidentielle-7788038377

  74. Posted 9 avril 2017 at 18:44 | Permalien

    allons donc, n’importe quoi
    hamon a propose mais pas a temps pas assez ni avec assez d’audace,
    melenchon n’a jamais voulu…

    c’est encore possible a tout moment en 72 h même en 48 h

  75. Blabla
    Posted 9 avril 2017 at 18:48 | Permalien

    Vous mélangez tout. Je n’ai jamais dit que le PS est mort. Je dis juste qu’il faut bien un commencement à tout.

  76. françois 70
    Posted 9 avril 2017 at 18:58 | Permalien

    Hamon appelle à voter JLM au deuxième tour, c’est bien.

  77. CRAYENCOUR
    Posted 9 avril 2017 at 19:09 | Permalien

    Et bien moi, je ne sais pas ce que c’est que d’être anarchiste, trotskiste, communiste et socialiste à la fois; ça ne veut rien dire car ça recouvre des théories et des réalités différentes. De Cronstadt à Barcelone en passant par Makhno, la preuve a été faite de nombreuses fois que cette phrase n’a aucun sens.
    @70. Pourtant, c’est l’un de tes arguments préféré de répéter en boucle que la FI n’est rien car elle n’a pas d’histoire!
    Et Hamon n’a jamais voulu d’unité; il a voulu rassembler son parti avant tout!

  78. Dominique Babouot
    Posted 9 avril 2017 at 19:10 | Permalien

    Ca c’est bien passé en Italie!

    Qu’est-ce qui empeche que ca se pase en France?

    Rien à part la méthode coué!

    Je ne le souhaite pas car en Italie il n’y a plus de parti de gauche, comme aux USA….

    Par contre une situation à la grecque ou ce qui se prépare en Espagne avec la scission probable du psoe m’irait très bien …

    Quant à Corbyn, ne vend pas la peau de l’ours avant de l’avoir tué stp, il n’a pas encore gagné les élections que je sache!

    Pour l’instant seul l’exemple portugais te donne raison, l’exception qui confirme la règle…

  79. ErikleRouge
    Posted 9 avril 2017 at 19:33 | Permalien

    « melenchon n’a jamais voulu… » mais enfin ça suffit de travestir la réalité – hier soir à ONPC (regardez le replay) JLM a été très clair, la porte est grande ouverte … et ensuite c Hamon qui pour répondre à Ruquier a prétexté de leur différence sur l’Europe pour dire ne pas vouloir s’allier à JLM –

    même votre candidat Montebourg a dit il y a deux jours que JLM rassemblait toute la gauche …

    quand même il arrive un moment où le partisianisme à outrance ça devient fatiguant !

  80. Posted 9 avril 2017 at 19:38 | Permalien

    vous etes qui ? ce n’est pas « la porte ouverte » l’unité… on fait pas joujou
    c’est l’unité, une rencontre, un débat un accord, des choix, des engagements communs

  81. ErikleRouge
    Posted 9 avril 2017 at 19:53 | Permalien

    Bien sûr que c plus qu’une porte ouverte, mais il faut commencer par ne pas refuser – pourquoi BH refuse comme il l’a dit à Ruquier, alors que la conjoncture actuelle devrait l’y porter plus que jamais ?

    et cette position ne peut pas avoir le soutien de GF et D&S vu votre combat depuis des mois ?

  82. Posted 9 avril 2017 at 20:07 | Permalien

    je suis anarchiste à long terme, vers une démocratie de masse émancipée sans état
    je suis trotskiste car éduqué pour la démocratie de masse dans la lutte contre le stalinisme, la bureaucratie, les appareils,
    je suis socialiste parce qu’il faut redistribuer a chacun selon ses capacités
    je suis communiste parce qu’il faudra redistribuer à chacun selon ses besoins
    ensuite ma politique est une stratégie de front unique pour réunir ma classe sociale, le salariat,
    pour cela je construis avec D&S un parti de masse démocratique avec droit de tendance rassemblant et dépassant ceux qui existent sur un programme pour la république sociale ceci étant exposé et illustré dans D&S depuis 24 ans

  83. Posted 9 avril 2017 at 20:12 | Permalien

    ce que melenchon n’a jamais fait

  84. Michel - Pierre
    Posted 9 avril 2017 at 20:42 | Permalien

    Dans l’état actuel des choses, à deux semaines du scrutin, la dernière (petite) chance d’échapper au désastre pour la gauche et pour l’immense majorité des salariés contre lequel GF met tout le monde en garde depuis tant de temps ne pourrait prendre corps qu’à une condition.
    Il faudrait pour cela que Mélenchon ET Hamon cessent de considérer l’union au premier tour sous l’angle d’un éventuel ralliement à leur petite personne.
    Mais là, évidemment, on se heurte à un problème de taille :
    Qui, dans leur entourage, est en mesure de leur faire non pas comprendre (ils en ont, bien sûr, très largement la capacité intellectuelle) mais ADMETTRE que l’intérêt général EXIGE, de leur part, l’adoption des principes inlassablement répétés ici par le titulaire du blog (cf encore ci-dessus [67] ?

  85. Posted 9 avril 2017 at 20:49 | Permalien

    pas les maos,
    pas les brigades rouges,
    pas les gauchistes des années 70
    mais si ton modele c’est le temple solaire, je n’ai rien dis

  86. ErikleRouge
    Posted 9 avril 2017 at 20:50 | Permalien

    Bien sûr qu’il faut plus qu’une porte ouverte, mais il faut commencer par ne pas refuser – pourquoi BH refuse comme il l’a dit à Ruquier, alors que la conjoncture actuelle devrait l’y porter plus que jamais ?

    et cette position de BH ne peut pas avoir le soutien de GF et D&S vu votre combat depuis des mois ?

  87. Posted 9 avril 2017 at 20:51 | Permalien

    mais notre combat, c’est l’unité, pas le ralliement, pas la soumission, tu le sais
    melenchon s’y oppose c’est tout
    et s’il perd ce sera a cause de cela uniquement de cela, pas de notre faute,

  88. Posted 9 avril 2017 at 21:50 | Permalien

    le combat continue tant qu’il n’y aura pas d’unité de la gauche,
    et s’il ne se fait pas ce sera desastre le 23 avril au soir

  89. Posted 9 avril 2017 at 21:50 | Permalien

    1° Personne ne se retirera pour personne et personne ne se ralliera à personne sans accord politique
    2° donc à tout moment en 72 h un accord politique est possible avec un accord de gouvernance et de majorité
    3° Demandez donc à Mélenchon de prendre les initiatives pour cet accord, il se dit en tête, qu’il fasse les gestes nécessaires à gauche

  90. Dominique Babouot
    Posted 9 avril 2017 at 22:00 | Permalien

    A la primaire de la Belle Alliance Populaire Benoit Hamon a été en tete dès le premier tour malgré que Arnaud Montebourg s’était maintenu jusqu’au bout!
    Ceci dit ils étaient chacun dans leur couloir et se sont bien gardés d’étaler publiquement leurs divergences trop fort!
    Il faut faire la meme chose là, ce qu’ils font d’ailleurs l’un comme l’autre à peu pret.
    Depuis qu’il a gagné la primaire Jean-Luc Mélenchon a toujours respecté Benoit Hamon et respecté qu’il soit candidat tout en maintenant lui sa volonté propre de l’etre aussi!
    Jean-Luc Mélenchon a dénoncé ceux qui trahissent Benoit Hamon a dit qu’il respectait qu’il veuille continuer à etre candidat et a ajouté qu’il entendait respecter l’accord de non agression qu’ils avaient passé ensemble jusqu’au bout!
    Bien sur il a aussi dit qu’il saluerait un éventuel retrait de Benoit Hamon et son soutien si celui-ci prenait cette décision, qui peut lui reprocher? Ce n’est pas une rupture de l’accord de non agression!

    Et en suite, ce sont les électeurs qui décident, s’ils le veulent dans les dix jours qui restent Jean-Luc Mélenchon peut doubler Macron à son tour et se retrouver face à Marine Lepen pour le second tour et il l’emportera alors largement, mais ce sont les électeurs qui décident et eux seuls peuvent faire l’histoire!
    Les combinaisons, désistements et autres ne marchent jamais!

  91. Posted 9 avril 2017 at 22:05 | Permalien

    la magouille c’est de tenter le forcing ça c’est de la vieille politique
    et de ne pas rechercher l’accord respectueux et loyal,
    et alors ça me marchera pas, il manquera ce qu’il faut pour gagner et ce sera la faute a melenchon pas aux électeurs

  92. Dominique Babouot
    Posted 9 avril 2017 at 22:15 | Permalien

    La magouille c’est forcer les citoyens à voter contre leurs convictions pour éviter pire!

    C’est ce que le parti socialiste impose à tout le monde depuis des années à cause de la constitution de la cinquième république, c’est avec elle qu’il faut en finir pour rétablir la démocratie dans notre pays!

    si à un moment ou un autre on ne décide pas de ne plus respecter cette règle, on en sortira jamais et on devra de plus en plus subir des politiques opposées à nos conditions.

  93. Lloyd Hopins
    Posted 10 avril 2017 at 0:37 | Permalien

    on est à deux semaines du premier tour. Il n’est plus temps de savoir pourquoi c’est Mélenchon qui est en position d’être au second tour et pas hamon. On aura tout le temps de faire des bilan après l’élection. Les sondages confirment enfin ce que l’on voit sur le terrain : JLM vient de passer devant Fillon. Il et en position d’être au second tour. La meilleure solution serait que Hamon appelle à voter Mélenchon malgré les divergences. On va pas se mentir, ça n’en prend pas le chenmin..Hier hamon a continué les calomnies sur jlm en le repeignant en Poutiniste etc. Il a aussi appuyé les frappes de trump sans mandat de l’ONU. Cet alignement sur les néocon est très inquiétant. Sinon, il a aussi dit qu’il voterait Mélenchon au second tour. Ca, c’est beaucoup plus intéressant. Mélenchon lui a rendu la pareille en louant sa campagne et en fletrissant ceux qui l’on laché; Il a aussi dit qu’il gouvernerait avec Montebourg. C’est bien, ça converge ! Je ne crois pas qu’il y aura un accord politique, puis vu le dernier quinquennat, un accord programmatique avec le ps serait peut être un repoussoir pour les abstentionnistes dépolitisés que Mélenchon est en train d’aller chercher…l’urgence est d’essayer de convaincre hamon de renoncer, ça à l’air compliqué… Il semble déjà avoir intériorisé la défaite et la victoire de Macron, comme s’il voulait resté en piste pour être placé lors de la recomposition de la gauche qui vient.

    S Hamon ne se désiste pas, une des choses à faire lors de ces deux dernières semaines, c’est de convaincre les électeurs de Hamon. Argumenter, démontrer que la seule façon d’avoir les idées de hamon au pouvoir, c’est de voter Mélenchon le 23 avril prochain

  94. Posted 10 avril 2017 at 9:49 | Permalien

    facile ! que melenchon prenne enfin les initiatives attendues depuis deux, ans et propose l’unité de la gauche,

  95. Posted 10 avril 2017 at 9:50 | Permalien

    tous, hamon jadot laurent melenchon sont pour la VI° république
    commençons tout de suite, par un accord politique plutôt que d’imposer un candidat façon V° république

  96. Posted 10 avril 2017 at 10:01 | Permalien

    Jacky Paris
    14 h ·
    « Oui, Benoît Hamon rassemble: les Radicaux, les Écologistes, les Socialistes, mais bien au-delà une jeunesse et des générations qui aspirent à un autre horizon que le renoncement ou le mythe d’une révolution.
    Oui, Benoît Hamon a fait un choix: celui de ne pas passer la campagne à commenter le mandat qui s’achève. Pas de rancoeur. Que du coeur
    Oui, Benoît Hamon a un cap transgressif: plutôt que de rabâcher pour la énième fois, les vieilles rangaines, les vieilles solutions du passé qui ont échouées toujours, tout le temps, pour le plus fragiles, en enrichissant toujours les plus les plus nantis, Benoît Hamon a fait le choix de regarder le monde tel qu’il vient.
    Et d’agir. D’imaginer. De proposer. De fabriquer.
    Alors oui, c’est bien plus simple de lancer aux gens des incantations et des slogans. Benoît Hamon a fait le choix de s’adresser à l’intelligence des citoyens. À leur capacité à faire la différence entre BFM-TV et le monde vécu. À les mobiliser autour d’un futur commun, solidaire, qui les mobilisent pour regarder le monde qui vient. Sans appréhension, avec détermination. Un futur qui leur fait envie, parce qu’ils comprennent qu’ils y ont leur place. Ce futur devient alors désirable. L’exact contraire que de construire un monde sur l’anxiété, le rejet, la défiance.
    Oui, quelques barons socialistes font le choix de la trahison. En réalité, ils se dévoilent tels qu’ils sont. Rien de plus. Leurs trahisons au socialisme et à la Gauche sont en réalité très très anciennes. L’apogée étant certes le mandat qui s’achève.
    Ils détestent avant tout les valeurs de Gauche incarnées par les propositions de Benoît Hamon. Ils détestent tout autant le peuple de Gauche, qui a placé Benoît Hamon en tête des Primaires. Ils n’aiment qu’eux et leurs cumuls de mandats, et de mandales: ils ont perdu sans exception toutes les récentes échéances électorales. Mais ne nous trompons pas: si les sondages avaient donné Benoît Hamon loin devant, ils auraient continué leurs supercheries, leurs mensonges, leurs extorsions de voix. Et auraient juré la main sur le coeur qu’ils le soutenaient. Ils iront toujours là où ils pensent pouvoir maintenir leurs privilèges. Rien de plus. Comme tous les parasites.
    Alors, oui, Benoît Hamon va continuer de parler à la Gauche qui veut, à la Gauche qui peut, à la Gauche qui doit.
    Et rien ne permet d’affirmer aujourd’hui que cette Gauche ne sera pas celle qui gagne.
    Il reste 14 jours pour convaincre que la Gauche est belle, joyeuse, ambitieuse.
    Parce qu’elle est solidaire. Juste. Équitable. Volontariste. Créative. Constructive. Implacable.
    14 jours pour faire battre le coeur de la France ! »
    Gérald Elbaze.

  97. ErikleRouge
    Posted 10 avril 2017 at 11:35 | Permalien

    en interne Pierre Laurent se veut rassurant, Montebourg lui aurait dit voter Mélenchon et tout faire pour qu’un appel en ce sens survienne lors des derniers jours de la campagne – comme il dit, Mélenchon a largement démontré que la gauche aujourd’hui, c’est lui qui la représente –
    Ouf, enfin des gens de gauche « responsables » politiquement car là vu le niveau que va atteindre Mélenchon, avec un tel appel il est d’office au second tour et avec lui la gauche qu’on n’aime –
    Réjouissez vous à D&L Gérard, la victoire est en vue …

  98. Posted 10 avril 2017 at 12:29 | Permalien

    pourvu que cela arrive !
    car cela fait 18 mois qu’on se bat de toutes nos forces jour apres jour pour ça
    alors c’est quand l’accord politique qui le permettra ?

  99. Gilbert Duroux
    Posted 10 avril 2017 at 20:13 | Permalien

    Quand Macron copinait avec Fillon :
    http://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/2017/04/10/35003-20170410ARTFIG00281-voyons-nous-le-mot-manuscrit-de-macron-a-fillon.php

  100. socrate
    Posted 10 avril 2017 at 22:45 | Permalien

    tu as repris ta bonne habitude de censurer les gens meme quand ils insultent pas mais disent que Hamon doit se desister de suite en faveur de Melenchon sinon il sera responsable de l’échec de la gauche
    drole de démocratie
    drole de socialisme

  101. Coma81
    Posted 11 avril 2017 at 0:45 | Permalien

    Tiens, rapprochement Montebourg-Mélenchon en vue.

    https://www.marianne.net/politique/video-dans-n-est-pas-couche-melenchon-fait-de-l-oeil-montebourg-je-vais-avoir-besoin-de

  102. Lloyd Hopins
    Posted 11 avril 2017 at 0:47 | Permalien

    De toute manière vu que les programmes sont à « 80% les mêmes » (les 20% qui manquent,c’est l’ue) même sans accord politique, il faut que l’unité se fasse à la base. On sera réduit à choisir entre Macron Fillon ou Le Pen sinon. Les électeurs PS ont déjà partiellement fait mouvement vers JLM et c’est très bien car lui est en position d’être au second tour. En plus il défend la retraite à 60 ans, les 35h réelles et condamne les frappes us de Trump (comme toi Gérard). Au delà des désaccords sur la tactique, c’est le moment de l’aider, il ne reste que 12 jours de campagne !!!

  103. CRAYENCOUR
    Posted 11 avril 2017 at 9:08 | Permalien

    Mélenchon a le vent en poupe; sondages, meeting remplis, le trublion râleur semble avoir choisi la bonne ligne; il est aujourd’hui le mieux placé à gauche et offre une petite chance d’éviter le duel droite contre extrême-droite au 2nd tour.
    Hamon est victime de ses mauvaises analyses et stratégies; il n’a pas compris que sa victoire à la primaire était avant tout due à la volonté de rompre avec les traitres de l’aile droite et, à peine vainqueur, il n’a eu de cesse de donner des gages à cette aile droite, pourtant déjà de cœur avec Macron au lieu de rompre avec elle. Maintenant, il subit cette rupture comme une victime alors qu’il aurait tout eu à gagner à la provoquer. Il a du ainsi endosser une part de la détestation à gauche du hollandisme, même si c’est en partie injuste.
    Par ailleurs,il est inaudible sur plusieurs sujets tels que l’Europe ou même son revenu universel qu’il a réduit, pour complaire à cette aile droite à un revenu jeunes.
    Pour autant, comme tu le dis, les programmes de la FI et de Hamon son assez proches pour que l’on puisse envisager un gouvernement unitaire (VIème république, transition sociale, services publics, protection sociale, pouvoir d’achat et même réorientation de l’UE); d’ailleurs Mélenchon a fait ders ouvertures en direction de Montebourg et Hamon.
    Si Hamon se désiste, il prouve que son discours contre « l’homme providentiel » n’est pas qu’une posture et il assure une grande chance de victoire à la gauche tout en devenant « faiseur de roi », ce qui lui donne de quoi influer sur la suite. Il deviendra le chef d’un parti partenaire de la FI au pouvoir.
    Au contraire, s’il se maintient et finit à moins de 10%, il sera éliminé, ainsi que toute l’aile gauche et donc toi même d’un PS au main d’une aile droite ralliée à Macron et revancharde, qui a oublié depuis longtemps ce que signifie le S de PS.
    Alors oui; Hamon doit se retirer et appeler à voter Mélenchon pour permettre à la gauche de l’emporter. Vue la configuration actuelle et le niveau bas pour accéder au 2nd tour, c’est possible.

  104. Posted 11 avril 2017 at 11:09 | Permalien

    on ne cesse de vous le dire
    votre triomphalisme n’a pas de sens
    si hamon se retire melenchon en retirera moins de voix que s’il passe un accord politique global avec hamon
    sans unité pas de victoire possible

  105. socrate
    Posted 11 avril 2017 at 11:10 | Permalien

    plus on avance dans la préparation de l’élection moins les messages arrivent a passer
    c’est dommage de brider le débat
    surtout que les intervenants font souvent preuve de bon sens sur ce blog

  106. Posted 11 avril 2017 at 11:11 | Permalien

    pas d’argument nouveau,
    sur l’UE il n’y a pas de désaccord, cf piketty genereux et mes analyses nos analyses d&S on n’a cesse de l’écrire
    on ne cesse de vous le dire
    si hamon se retire melenchon en retirera moins de voix que s’il passe un accord politique global avec hamon
    sans unité pas de victoire possible

  107. Posted 11 avril 2017 at 11:13 | Permalien

    meme si hamon passait de 9 % à 5 % de voix,
    ces 5 % seraient « accrochés » et pour les avoir il faudrait passer un accord politique
    sinon ce sera ces 5 % qui manqueront et feront perdre
    ce ne sera pas notre faute mais celle de melenchon à 100 % qui refuse tout accord, on ne cesse de le lui dire depuis le 21 janvier 2016 et c’est encore plus vrai dans la derniere ligne droite

  108. Posted 11 avril 2017 at 11:14 | Permalien

    parce que votre harcèlement nous gave

  109. Dim
    Posted 11 avril 2017 at 11:23 | Permalien

    Ca peut pas être tout ou rien, Hamon ne veut pas d’accord di ce n’est pas lui qui est le candidat. Il doit en plus rester en piste pour s’il fait plus de 5% toucher le remboursement des 14 millions d’euros engagés dans sa campagne. Dans ces conditions un accord à 10 jours du premier tour est illusoire. Ce qu il faut, c’est que les courants organisés à la gauche du parti fassent mouvement. Pourquoi ne pas prendre l’initiative d un texte appelant à renforcer la dynamique de Mélenchon pour être au second tour ? Si il n’y est pas Fillon ou Macron nous plierons comme jamais…

  110. Posted 11 avril 2017 at 11:33 | Permalien

    allons soyez serieux,
    QUI a essaye d’avoir un accord avec Hamon ?
    personne !
    melenchon n’a jamais essayé,
    qu’il le fasse

  111. Posted 11 avril 2017 at 11:33 | Permalien

    si les insultes, le mépris et le harcèlement répétitif stupide cesse, pas de problème

  112. Coma81
    Posted 11 avril 2017 at 11:53 | Permalien

    Ca y est, Hamon lance le débat sur l’Europe.
    Non à l’unité, oui au débat !

    « En 2005, ils avaient fait le même choix : «non». Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon, membres du PS, s’étaient opposés au projet de traité pour une Constitution européenne. Douze ans plus tard, au-delà des postures, l’Europe est un vrai clivage, empêchant toute convergence. Au lendemain de leur dîner secret, fin février, Mélenchon l’avait dit : «A cinquante jours du premier tour, il n’est pas possible de régler la différence qui par exemple nous sépare sur la question essentielle de l’Europe».

    L’un est partisan d’une réorientation fédérale et démocratique. L’autre d’une révolution avec un retour à la souveraineté des Etats. Clivage qui traverse la gauche française sur l’Europe depuis… sa fondation. »
    http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/03/10/l-europe-raison-de-la-discorde-hamon-melenchon_1554881

  113. Posted 11 avril 2017 at 12:12 | Permalien

    voila une base d’accord entre les deux

    L’Europe sera sociale ou périra

    11°) Défense acharnée de l’Europe des peuples contre les nationalismes, les xénophobies, les replis identitaires, combat contre l’UE libérale actuelle et ses terribles dégâts sans fin, dénonciation et renégociation de la directive travailleurs détachés, et aussi de celle contre le secret des affaires, bataille contre les choix austéritaires, aller le plus loin possible dans le Plan A de changement sous menace de plan B de rupture (car de toute façon l’UE est fragilisée et menacée dans son existence). Aller le plus loin possible dans le rassemblement de forces, de majorités pour démocratiser l’Europe, s’opposer aux diktats de la finance et des banques, reconstruire une Europe harmonisée par le haut sur le plan social et fiscal. Traite de démocratisation de la zone euro, vers un smic européen contre le dumping social, pour le juste échange, le droit du travail constitutif du droit de la concurrence, coopération européenne dans la défense et la lutte contre le terrorisme.

  114. TOM
    Posted 11 avril 2017 at 12:23 | Permalien

    @GF : Re: « le harcèlement ». Désolé. Mais je ne connais que votre blog où l’on puisse s’exprimer sur ce sujet, et faire vivre le débat.

    Re: « Que JLM fasse un pas ». J’espère qu’à l’heure où nous échangeons, des « cabinets noirs » font la navette entre ces 2 candidats. Eux-mêmes ne peuvent rien tenter à découvert sans se faire épingler par la presse et les concurrents.

  115. Posted 11 avril 2017 at 12:39 | Permalien

    merci de le reconnaitre
    mais il y a des trolls provocateurs, insultants harceleurs et on en a marre, donc on supprime les spams et autres repetitions anonnantes

    je ne connais pas de cabinets noirs…

  116. 1956
    Posted 11 avril 2017 at 12:49 | Permalien

    Question à GF:

    En cas d’accord sur une ligne politique, comment souhaitez vous que cela se passe concrètement et précisément le 21 avril?

    Il ne me semble pas l’avoir compris dans vos appels.
    Par avance merci pour votre réponse.

  117. Posted 11 avril 2017 at 12:52 | Permalien

    vous trouverez ci dessus, un plan d’accord politique et un projet de lettre a JLM
    ensuite accord sur ce texte, sur une gouvernance et sur la façon d’avoir une majorité a l’assemblée

  118. ErikleRouge
    Posted 11 avril 2017 at 12:56 | Permalien

    GF ce que tu écris au 114 est parfait, c exactement ce qu’il faut dire et redire sans cesse au sujet de l’Europe, nous sommes EUROPÉENS mais comme en 2005 pas à n’importe quel prix – la France a en Europe un poids déterminant, sa parole si elle est forte ne pourra être rejetée c impossible !
    Il n’y a pas d’opposition entre JLM et BH sur ce sujet, c juste un effet de posture pour se différencier …
    BH ne doit pas utiliser ce sujet pour affirmer que JLM veut sortir de l’Europe et de l’Euro, c totalement faux et il le sait bien –
    Montebourg est bien plus proche de la position de JLM que Hamon, et c dommage que BH ne s’appuie pas sur ses colistiers pour traiter ce sujet assez essentiel -

  119. Posted 11 avril 2017 at 13:03 | Permalien

    parfait comme tu dis, arrêtez de nous bassiner donc
    on le sait depuis le début,
    il n’y a pas de divergence entre genereux et piketty sur l’Europe,
    accord politique global,
    ça tarde trop !

  120. ErikleRouge
    Posted 11 avril 2017 at 13:07 | Permalien

    Maintenant que JLM dépasse Fillon, mon nez (et +) me dit que ça va se faire sous une forme ou une autre …

    wait and see !

  121. TOM
    Posted 11 avril 2017 at 13:27 | Permalien

    @GF « je ne connais pas de cabinets noirs… » cela a déjà été écrit ici: vous auriez pu incarner la négociation.

  122. Posted 11 avril 2017 at 14:08 | Permalien

    sans unité pas de victoire possible
    mais pas de wait and see
    l’unité est un combat jusqu’au bout,
    surtout au bout

  123. Posted 11 avril 2017 at 14:10 | Permalien

    oui, en effet,

  124. Gilbert Duroux
    Posted 11 avril 2017 at 16:48 | Permalien

    Voici une lettre ouverte d’un philosophe à Benoît Hamon publiée aujourd’hui dans Libération. On va peut-être enfin vers l’accord politique que Gérard appelle de ses vœux :
    http://www.liberation.fr/debats/2017/04/11/hamon-doit-ceder-la-place-a-melenchon_1562006

  125. Posted 11 avril 2017 at 21:41 | Permalien

    @GD125
    Hélas, ça serait trop simple.

  126. Gilbert Duroux
    Posted 11 avril 2017 at 22:00 | Permalien

    @ SAX
    Tu as raison. En plus maintenant c’est trop tard rien que pour des raisons financières. Il faudrait que le mouvement de Mélenchon rembourse 14 millions d’euros à Hamon pour couvrir les frais déjà engagés, ce qui est impossible.
    C’est donc au moments de législatives qu’on verra si le PS se tourne vers sa gauche ou vers Macron.

  127. Lloyd Hopins
    Posted 11 avril 2017 at 22:36 | Permalien

    @Gilbert Duroux

    Vous avez raison, il n’y aura pas d’accord d’appareil pour la raison que vous soulevez.

    Mais cela ne doit pas empêcher les prises de position individuelles ou de la part de courants de gauche du ps en faveur de l’unité pour la victoire avec Mélenchon. Il a donné des signes d’ouverture en louant Hamon et en disant qu’il gouvernerait avec Montebourg. S’il n’est pas au second tour nous aurons le choix entre Macron, Fillon et Le pen. Au delà des engagements partidaires, chacun est face à ses responsabilités.

  128. Posted 11 avril 2017 at 22:53 | Permalien

    ne pas avoir d’accord politique c’est laisser des mini-appareils décider et ce n’est pas la meilleure chose pour gagner

  129. TOM
    Posted 11 avril 2017 at 23:05 | Permalien

    @GF129 : Non, à la fin, c’est l’électeur/trice qui décide. Pas le petit ou gros appareil. Des ralliements de gauche à JLM dans la dernière ligne droite seraient les bienvenus.

  130. Gilbert Duroux
    Posted 11 avril 2017 at 23:34 | Permalien

    Je suis 1000 fois pour un accord politique. Mais il faut pratiquer la vérité des prix et choisir. C’est plus l’heure de vouloir faire la synthèse avec ceux du PS qui soutiennent Macron tout en restant au PS.

  131. Posted 11 avril 2017 at 23:40 | Permalien

    facile : il suffit de passer un accord politique, sans accord, cela résistera et donc ne marchera pas bien
    la magouille c’est de ne pas passer d’accord,
    la bonne methode c’est de passer accord
    et tous les électeurs ne sont pas pareils, il y en a qui s’en moquent et feront ce qu’ils veulent, il y en a aussi quelques millions qui ne voteront pas pareil s’il y a un accord ou s’il n’y en a pas…

  132. Posted 11 avril 2017 at 23:44 | Permalien

    il n’en a jamais été question, Hamon a toujours été libre depuis le 1er jour, le 29 janvier y compris les erreurs sont de son fait, pas de l’appareil,

  133. CLAUDE MIMET
    Posted 12 avril 2017 at 6:04 | Permalien

    @ 125, comme dit un commentaire sur  » Libé  » B.Hamon n’est pas propriétaire de sa candidature

  134. Posted 12 avril 2017 at 8:21 | Permalien

    non, mais il est le porteur ou pas c’est selon d’une dynamique qui serait produite par un accord politique
    mais cet accord est refuse explicitement par melenchon : écoutez Corbiere, il ne cesse de repeter depuis hier que « toutes les conditions sont réunies…pour gagner  » donc il n’y a plus rien a faire, plus rien a unir,
    si pour lui « toutes les conditions sont réunies », ne venez plus demandez ici, ou a hamon…

  135. Gilbert Duroux
    Posted 12 avril 2017 at 13:42 | Permalien

    GF : « Hamon a toujours été libre depuis le 1er jour, le 29 janvier y compris les erreurs sont de son fait, pas de l’appareil, »

    Il en a fait de grosses, d’erreurs. Il y en a une qui a été déterminante pour la suite de sa campagne, c’est quand, sitôt désigné à la primaire, il s’est précipité ventre à terre pour se faire adouber par Cazeneuve au lieu de téléphoner à Mélenchon comme il s’y était engagé.

  136. Posted 12 avril 2017 at 15:07 | Permalien

    la dessus l’accord est complet j’ai hurlé de toutes mes forces des cette epoque

Déposer un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera jamais transmise.

*