Alerte urgence unité de la gauche

 

Chers camarades de toute la gauche et spécialement, cette semaine, de Génération.s

Nous  ne cessons de vous le dire, (et c’est vrai GDS s’est constitué pour cela) :

-      sans unité des différentes  groupes, partis  de gauche, et au delà, la gauche n’est rien et ne sera rien, elle va dans le mur

-      nous avons été capables à 12 ou à 9 de nous unir pour soutenir les cheminots et de faire une plateforme commune et des actions de masse unitaires

-      il faut absolument continuer pour contrer Macron-Thatcher et les terribles  ravages qu’il est en train de faire contre les droits sociaux et économiques du salariat (avec sa société post salariale « sans statuts » ni cotisations sociales)

Rencontrons nous

-      il n’y a qu’une voie : reconstruire une maison commune unitaire pluraliste démocratique a gauche sur le meilleur programme possible

-      acceptons d’être ensemble  sur une base définie en commun la meilleure possible, nous pouvons la rédiger en quelques jours et la proposer a des millions de militants et d’électeurs qui ne demandent que cela

-      constituons un comité de liaison permanent public entre nous  le plus vite possible

-      travaillons à une liste commune aux européennes  rassemblant Besancenot Hamon Jadot Laurent Melenchon sur une meme plateforme de campagne

-       tout peut repartir en avant si nous donnons la priorité à cette unité – mais si on reste divisés, chacun va s’étioler et les libéraux casseront tout

GDS exprime la voix de la raison, du projet, de l’audace impérative : nous avons un projet et une méthode, nul ne peut l’imposer à quiconque mais on peut ensemble réussir à partager loyalement sincèrement honnêtement entre toutes et tous la reconstruction d’une nouvelle gauche combative et efficace capable de vaincre Macron et de gouverner.  Il y a urgence. C’est vital.

 

 

One Commentaire

  1. Julien
    Posted 23 juin 2018 at 16:40 | Permalien

    En seconde j’ai appris que le travailleur vendait sa force de travail aux patrons. Par contre a la tele, a la radio, dans les journaux, toute la societe quoi, des politiques aux intellectuels en passant par les syndicalistes vous pretendez que le travailleur demande du travail. C’est n’importe quoi.

    J’en ai fait des insomnies, vraiment, je me suis posé la question des années et en 2013 j’ai compris. C’est parce que ca permet aux patrons de se donner le bon role. Ils offrent du travail. Mieux que ca, ils nous donnent un emploi. Sans eux on ne serait rien, on ne saurait pas quoi faire de nos vies. Alors que grace a eux on peut etre utile, travailler et s’emanciper en toute liberté. Ils nous offrent la liberté quoi. Et nous on y croit. Comme des cons. On se vit en imaginant etre dependant d’un patron, on y croit. On se dit que sans emploi on est rien. On est un poids mort pour tous. On est aliéné. On se fait prendre par les deux bouts et on s’en rend meme pas compte. C’est tres tres grave. Le pire c’est Macron, le pauvre garcon est convaincu de faire la revolution. Il croit qu’il faut avoir fait des etudes et puis la pute pour la finance. Quel con. « Hey les chomeurs responsabilisez vous la, j’ai cassé le code du travail, ils peuvent vous exploiter comme ils le veulent, y’a plus de limites, alors plus d’exuses pour rien foutre devant la télé. Hop hop parce que vous nous coutez un pognon de donc et le pognon j’en ai besoin pour satisfaire les millairdaires » quel idiot.

    Et donc on leur vend notre force de travail. Ca signifie que la seule chose qu’on demande c’est un salaire en echange de notre force de travail. Techniquement si le patron a besoin de moi la reciproque est beaucoup moins vraie. A partir de la moi j’ai rien contre le fait d’etre liberal. Au contraire je trouve qu’on gagnerait tous a reconnaitre la loi du marché. Parce que me sanctionner au pretexte que j ai dit non deux fois aux patrons c est pas liberal. C est antiliberal. Ca me contraint a vendre et donc a brader ma force de travail. Ca empeche le libre echange qu ils aiment tant. Donc quand le marcheur pretend que je peux pas partir aux bahamas je lui colle la loi du marché dans la gueule. Je lui explique que comme le patron je suis un agent economique libre et rationnel et que si je veux faire deux ans aux bahamas c’est mon choix et que vouloir m’empecher c’est d’abord empecher la main invisible d’organiser le marché. Evidemment il m’entend pas, j’ai pas de megaphone assez puissant. Mais c’est pas grave, un jour ca lui reviendra aux oreilles.

    Evidemment je suis un chomeur, un vrai, un expert. J’en suis a 5 radiations. Et comme j’ai du temps libre je me dis qu’on est trop con. Que notre premier droit en tant que travailleur c est de pouvoir dire non aux patrons et que le premier devoir du chomeur c est de defendre son droit a dire non. Du coup on devrait prendre la rue. Faire un coup d’eco a manu. Exiger une liberalisation reelle du marché du travail. Non parce que j’ai verifié mais si on est serieux avec leur affaire, pour etre vraiment libre le marché, faut que le travailleur puisse exister en dehors du marché du travail. Donc il faut un revenu universel. Donc on demande un revenu universel a la place des sanctions. Puis on denonce l antiliberalisme de Manu. Ca ferait plaisir aux chomeurs. Comme les travailleurs seront jaloux on pourra les inviter. Smic a 1800 euros, semaine de 28 et 2 semaines de congés payés supplementaires. Parce que les gens c est ca qu ils veulent. Et comme vous osez pas le mettre sur la table ils viennent pas. Sont cons les gens. Alors que la ils viennent. En plus c est liberal et pour du pognon meme a droite ils seront tentés hein.

    Sinon pour le service publique. Oui mais non. Je veux dire que l’eau c est un service publique quand on est liberal serieusement. La sncf aussi puis la santé et l education tiens. Coller des amendes dans paris aussi en theorie ca devrait pas etre delegué au privé. Donc le revenu universel c est pas leur offrir nos rondelles c est juste leur coller tres tres profond.

    Du coup qu’est ce qu’on attend pour s’y mettre? Suffit d’un megaphone. Apres on prend les chomeurs on leur faire des petits gateaux et on les envoie a la defense. Sensibiliser le travailleur contre les risques du chomage et le remercier pour ses cotisations. Puis on leur fout un petit espace sur l esplanade. On leur fait un concours interservices. Ils viennent poser pour une photo, ils gueulent leur ras le bol un bon coup et puis ils remontent tapiner. Comme la photo de classe a l ecole. Ils partageront sur les reseaux sociaux et leur culture du resultat les pousseront a se tirer la bourre. Ils seront ravis. Ca se suicide dans ces tours. Alors un peu d attention de la part des syndicats et des politiques ca les rendra fou de joie. Comme les gosses a l ecole. Tout pareil.

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