Fitch ratings, Fimalac, Marc Ladreyt DeLacharriére, AAA et nos retraites

In Le Monde du 19 mars 2010 : « La France perdra toute influence si elle perd sa note AAA… C’est pour cela que la réforme des retraites sera de grande ampleur », assure un proche de M. Sarkozy.
Incroyable, tout dépendrait, nous font-ils croire, d’une agence de notation, l’un de ces repaires de charlatans qui ont si « bien noté » les banques jusqu’à ce qu’elles s’écroulent sous les subprimes en 2008.

Ce n’est plus Trichet qui dirige la BCE, ni Barroso, ce sont des agences « privées » comme « Fitch ratings » l’une des deux plus grandes agences de notation au monde  : il suffit que les économistes incompétents de Fitch ratings décident que tel pays est devenu « moins solvable » et ledit pays, comme l’Argentine, par le passé, devient moins « crédible » et ses capacités à emprunter comme un vulgaire ménage de banlieue sont immédiatement dégradées.

Ce qui est arrivé à la Grèce suite à un tour de bonneteau scandaleux : la banque Goldman Sachs qui avait aidé la droite Grecque à maquiller les comptes de l’état, a ensuite révélé, quand la gauche a gagné les élections, la manœuvre aux agences de notation qui ont enlevé le fameux « AAA+ » à Athènes.  Du coup la Grèce emprunte à 5 ou 6 % au lieu de 1 %. Et le chef de la BCE Trichet qui prête à 1 % refusait de le faire à ce taux à la Grèce, Angela Merkel refusant de « donner de l’argent aux grecs ».
Ainsi les banquiers qui s’étaient gorgé des aides des Etats lors de la crise des subprimes, se sont retournés contre les plus faibles parmi ceux-ci, comme les Grecs, les Islandais, les Italiens, les Portugais, les Espagnols, (PIIGS) en ne leur prêtant qu’à des taux quasi usuraires et en les  obligeant à imposer la rigueur aux salaires, aux retraites et la protection sociale.
Il y a de quoi révolter le peuple grec. Mais aussi peu à peu tous les peuples d’Europe qui sont touchés, comme une rangée de dominos par la manœuvre des agences de notation accouplées aux banques.
En fait face à une telle hypocrisie, clairement une escroquerie de masse, il n’y a qu’un choix : soit céder au mécanisme et saigner le bon peuple, soit dénoncer l’opération, arrêter les spéculateurs et les traduire en justice.

Visiblement ce n’est pas ce que Sarkozy et Fillon s’apprêtent à faire puisqu’ils trouvent argument dans la menace de perdre le « AAA » pour «contre réformer » les retraites, c’est-à-dire en diminuer le niveau drastiquement, en allongeant la durée de cotisations, et en retardant l’âge légal de départ. En fait l’agence de notation dirige ainsi le monde, elle fait la loi, la règle, le chantage qui s’impose aux pouvoirs publics, aux élus, à la république, aux salariés : elle fixe une note assassine et hop, la droite propose la retraite à 63 ans au lieu de 60, puis la note devient « BBB » (BBB: Bosse et baisse tes besoins), hop, il faut passer l’age de la retraite de 63 à 65 voire 67 ans.

Cela est arrivé mardi 23 mars au Portugal : passé au AA-, il a coulé subitement et, sa Bourse s’effondrant, la rigueur est devenue plus inévitable pour le peuple.  Selon l’AFP «  Le Portugal a fait vaciller Paris : à 12 h 25, le 23 mars, le CAC 40 a dévissé de 0,62 % à 3.927 points par ce que l’agence de notation Fitch a abaissé d’un cran la note du Portugal. Annoncée à 11 h, la décision de Fitch Ratings d’abaisser la note de la dette à long terme du Portugal à « AA- » contre « AA » précédemment a fait basculer dans le rouge la Bourse de Paris. Parmi les valeurs financières, BNP Paribas cède 0,38 % à 57,42 euros et Crédit agricole recule de 0,78 % à 12,65 euros. » Saint-Gobain et Alsthom accusent les plus fortes baisses sur le CAC 40 (-2,30 % à 35,53 euros et -2,05 % à 47,11 euros). STMicrolectronics (+2,93 % à 7,10 euros) et EADS (+ 2,86 % à 15,11 euros) parviennent à afficher une hausse appréciable. ».

Bientôt l’agence Fitch ratings dirigera l’Europe et produira des licenciés sur commande…

Mais qui commande Fitch ratings ? C’est Fimalac qui la détient. Et qui est Fimalac ? L’agence financière de Marc Ladreyt de Lacharriére qui a touché 2,4 millions € en 2008 en tant que dirigeant. Les dernières lettres se ressemblent : Malac = Marc Ladreyt de Lacharriére. Cet homme est un des plus riches de France, membre des Conseils d’Administration de Renault, de Casino, de L’Oréal, et aussi, tenez vous bien, du CA de la Banque de France. Il dirige La Revue des Deux Mondes , mécène du musée du Louvre, il a été élu à l’Académie des beaux-arts en 2006. Il a créé la Fondation Culture & Diversité, avec le Théâtre du Rond-Point, l’association La Source, l’École du Louvre , les Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis, les Amis de Magnum Photos, les écoles supérieures d’art et les classes préparatoires publiques d’Ile-de-France. En 2007, il devient président du conseil d’administration de l’Agence internationale des musées de France (France Muséums), organisme chargé notamment de réaliser le musée du Louvre à Abou Dabi pour les Emirs amis barbares de Sarkozy !  Tiens, tiens…

En 2007, il fait son entrée parmi les milliardaires français avec une fortune nette de 1,6 milliard d’euros. On dit de lui que c’est un ancien séguiniste proche d’Alain Minc et de… François Fillon. La boucle est bouclée.
C’est ce Ladreyt de Lacharriére, dirigeant de FITCH RATINGS, couvrant tous les segments de la notation financière, juge et partie, qui « note » la France, dont ses amis Fillon et Sarkozy tirent prétexte pour attaquer nos retraites. Celui qui va faire le boulot est un certain Eric Woerth, trésorier de l’UMP, dont la femme gère la fortune de Mme Liliane Bettancourt patronne de l’Oréal dont Marc Ladreyt Delacharriére fut le DG financier. C’est un petit monde, pas patriote, ni démocrate
Ce Marc Ladreyt de Lacharriére ne produit rien. C’est un Madoff.
Il ne plante pas et il ne récolte pas mais il a l’avantage de faire la pluie et le beau temps pour vendre et fixer les prix.

Note : dans la « bio » de Woerth dans la Tribune du 25 mars : lire : « Pour Sarkozy, Éric Woerth possède un autre avantage : il connaît parfaitement l’UMP de l’intérieur pour en avoir été directeur administratif et financier en 1993. Le nouveau ministre du Travail en demeure toujours le trésorier. Il préside même Le Cercle, un club très fermé qui regroupe les gros donateurs du parti. Depuis trois ans, il a réuni une quinzaine de fois ces généreux mécènes en présence du chef de l’État, comme début décembre dans les salons du Bristol. Ce qui a valu au ministre du Budget de l’époque une volée de bois vert des socialistes sur le thème du mélange des genres entre fonctions gouvernementales et engagement partisan ».

11 Commentaires

  1. MiCA
    Posted 25 mars 2010 at 21:30 | Permalien

    « Ceux qui produisent tout n’ont rien et ceux qui ne produisent rien ont tout »
    Alexandre Jacob-1905

  2. Posted 26 mars 2010 at 0:16 | Permalien

    Bravo Mica courte phrase qui résume tout !!!

    plus proche de nous un professeur d’économie Français évoquait la situation actuelle:  » je vois beaucoup de mes confrères économistes faire de grandes théories sur la micro et macro- économie, parfois quand je lis certains de leurs articles moi méme je ne comprend pas tout; moi je vais vous le faire plus simple; 2% de la population mondiale exploite les 98% restants et actuellement nous NE FAISONS jamais qu’assister au retour du capitalisme paléolithique des années 1830″

    Donc c’est le retour de l’esclavagisme avec un grand E ….

    Les grands financiers par le biais de l’actionnariat gouvernent les états-unis et l’europe et ils n’ont pas du tout l’intention de renoncer à leurs profits constamment croissants: le très riche devient de plus en plus riche le pauvre de plus en plus pauvre.

    La lutte des classes c’est vraiment dépassé: la haine entre la classe ouvrière et la petite bourgeoisie c’est devenue ridicule comme ça tout le monde est pauvre il n’y a plus de jaloux; il y a 10 fois plus de travailleurs pauvres en allemagne qu’en france> donc on a encore beaucoup de progrès à faire.

    Diviser pour mieux régner c’est une affaire qui marche> on tue d’abord la classe ouvrière, la classe moyenne tient le raissonnement béte et con  » tout le monde peut crever du moment que moi je m’en sorte, c’est le slogan devenu préféré des francais : chacun sa vie chacun sa merde » et puis après c’est son tour et l’ouvrier dit » c’est bien fait quand j’avais besoin d’aide tu n’as pas bougé »> a l’arrivée tout le monde s’est fait avoir.

    Si le PS a vraiment envie d’avoir une chance en 2012 IL DOIT RASSEMBLER toutes classes sociales confondues sur un projet sociétal solide sur lequel le maximun de gens se reconnaissent.
    Eviter les  » guerres intestines d’apppareil qui lassent et démotivent les gens: la bouderie Martine Aubry- Ségolène c’est la récidive de 2007″
    Il y aura des primaires et un candidat sera choisi et il devra rassembler l’ensemble des forces de gauches.
    Martine Aubry a dit  » nous ne serons pas prèts en 2012, nous serons prèts en 2017″
    J’ose espérer que ce n’est plus à l’ordre du jour car les francais ne le pardonneront jamais et ce sera la fin du PS pour très, très longtemps( genre chute abyssale du PCF obligé de rembourser ses frais de campagne contrairement au NPA parti Utopiste et trouble féte qui fait pourtant un meilleur score).

    Désolé si je suis sévère mais en mauvais socialiste invétéré ,je me permet de vous rappeler que nous avons déjà rater 2 rendez- vous, Jospin contre chirac( l’élection de la honte comme l’avait décrit un jounaliste brittanique) et Royale contre Sarkozy.
    Le PS a l’obligation morale d’étre archi prèt pour 2012 sinon j’aurai vraiment l’impression qu’il se contente d’avoir conserver son fond de commerce en conservant presque toutes les régions( résultat comparable à celui de 2004)
    Comment un Parti peut réussir le tour de force d’avoir tout le territoire et ne pas pouvoir diriger le pays: un paradoxe qui m’échappe>> çà prouve que le PS a un gros problème de communication quand il s’agit des Présidentielles.

    étre force de proposition avec des promesses réalistes en évitant la langue de bois qui écoeure les Français, faire des primaires dans la dignité sans la guerre des « MAMMOUTHS » du PS.

  3. jamais d'accord
    Posted 29 mars 2010 at 11:45 | Permalien

    Bien que d’accord avec l’analyse de Gérard Filoche- je m’use depuis des années à répéter que l’argent est VIRTUEL et n’a que la valeur qu’on veut bien lui accorder – je pense que ce texte est très en retrait par rapport à la crise.

    Il faut sortir non seulement du capitalisme financier, mais du capitalisme tout court, dont c’est l’aboutissement inévitable, et donc du système productiviste, sanq lequel le capitalisme ne peut exister

    Refusons de consommer n’importe quoi ! Après la magnifique démonstration de mambrini, on ne peut douter qu’il ne nous reste plus qu’ une arme : le redus de la conso.

    C’est pourquoi, même si je vote « à gauche » (qu’ils disent, nos apparathciks) je n’attends rien du PS si rien ne change à la base.
    Bien amicalement

  4. Pascal
    Posted 29 mars 2010 at 19:05 | Permalien

    Non seulement le PS a l’obligation d’être prêt en 2012, mais toute la gauche doit l’être pour se battre contre ses gens là. Il n’y a qu’à voir le sort réservé à la gauche grecque pour comprendre qu’il faut une gauche unie et mordante loin des tentations du centrisme, sinon la finance internationale ne mettra vraiment pas longtemps avant de la réduire à l’impuissance…

    Seule une gauche unie, avec un vrai projet de gauche pourra faire changer les choses. Point n’est besoin de regarder frileusement ce qui se fait ailleurs, il suffit à la 5ème puissance du monde d’oser comme elle l’a toujours fait.

  5. DeProfundisMorpionibus
    Posted 2 avril 2010 at 12:56 | Permalien

    « … une gauche unie et mordante loin des tentations du centrisme… »

    Les socialiste ont déjà baissé leur culotte…

    Sur le sujet des retraites…

    Sans la violence et le sang rien ne changera…

    Misère…

  6. Posted 2 avril 2010 at 18:58 | Permalien

    Cet article de Gérard Filoche est tout à fait intéressant.

    Les commentaires le sont tout autant, par l’aveuglement dont ils témoignent. Car les bons esprits de gauche qui s’expriment ici – et ils ont leur miroir sur des blogs de droite – sont certes sincères, mais ils semblent décidément incapables de comprendre ce qui se passe réellement. Ont-ils lu dans le détail les traités européens ? Comprennent-ils les implications concrètes des transferts de souveraineté qui ont été arrachés aux Français au profit des instances européennes ?
    Qu’aucun des commentaires ici développés n’évoque même cette question européenne est vraiment chose fascinante.

    La vérité c’est que les responsables politiques français ne sont plus que des pantins, qui ont autant de pouvoir sur le réel que Mme Claire Chazal en a sur l’actualité.
    Pas plus Mme Aubry que M. Strauss-Kahn (qui sera sans doute élu en 2012 puisque le Système en a décidé ainsi) ou aucun des dirigeants du PS ne pourra changer VRAIMENT la situation, à supposer qu’ils le veuillent. Car tout, absolument toutes les décisions stratégiques concernant l’avenir de la France ont été retirées au peuple français et confiées à la mirobolante « construction européenne », censée nous apporter le bonheur, la paix et la prospérité depuis bientôt 60 ans.
    (Déclaration de Robert Schuman du 9 mai 1950, Robert Schuman dont nous savons désormais officiellement, depuis la déclassification des documents Confidentiel Défense du Seacrétariat d’Etat américain pour les années 50 et 60 qu’il fut un agent de la CIA).

    L’idée géniale des Américains et de leurs larbins, c’est d’avoir mis sur pied une authentique dictature (cf. la façon dont le Non du peuple français au référendum de 2005 a été purement et simplement ignoré), mais une dictature new look, qui prétend être une démocratie et qui agit par IGNORANCE et INTIMIDATION.

    Précisons :

    1°) L’IGNORANCE : comme la construction européenne est une usine à gaz qui ennuie tout le monde, une écrasante majorité de Français ne s’y intéressent pas. C’est à l’évidence le cas des personnes qui ont laissé ici un commentaire.
    Du coup, la Commission européenne peut fixer les Grandes orientations politiques et économiques de la France sur les 5 ou 10 ans qui viennent en tout impunité. Certains esprits courageux ont beau expliquer aux Français que les dirigeants français ne font plus que mettre en oeuvre les orientations décidées à Bruxelles (c’est d’ailleurs le cas des retraites), rien n’y fait : du fait du lavage de cerveau médiatique qui les pousse à croire à la pérennité du clivage droite-gauche, les Français continuent à taper sur l’UMP ou sur le PS comme si de rien n’était alors que ce ne sont plus que des coquilles vides à peine peuplées de Rastignacs minables.

    2°) L’INTIMIDATION : la propagande omniprésente qui a lavé le cerveau des Français depuis des décennies leur a imposé de croire que la construction européenne était une fatalité et que s’y opposer, c’était naturellement être un xénophobe, un raciste, un va-t-en guerre, un dinosaure, bref un salaud et un con.
    Voilà la clé qui verrouille toute la société française depuis au moins 1986 : toute pensée critique sur la construction européenne est condamnée par la propagande à se sentir honteuse et à se contenter de proposer « une autre Europe ».
    Cette plaisanterie de l’autre Europe » dure depuis 53 ans et le traité de Rome. Elle n’empêche nullement de dormir ceux qui ont asservi le peuple français à la dictature implacable des marchés. Au contraire, tant que les esprits se contenteront de réclamer uen « autre Europe », il ne se passera rien.

    La seule vraie révolution, ce serait que les Français disent que la plaisanterie a assez duré et qu’ils ont décidé de reprendre en mains leur avenir collectif. C’est-à-dire que la France sorte de la construction européenne, en vertu de l’article 49-A du traité de Lisbonne (article 50 de la version consolidée du traité sur l’UE).
    Un seul parti en France le dit : l’Union Populaire Républicaine (www.u-p-r.fr).
    Tout le reste est littérature.

  7. djennet
    Posted 12 avril 2010 at 9:38 | Permalien

    Noter aussi la parfaite « osmose » entre les agences de notation, les cabinets d’audits, et les normalisateurs comptables …auxquels nos Etats européens, via la Commission …ont eu l’immense tort de « sous-traiter » la confection des normes comptables, ce qui aboutit à ce que le régulateur (la Commission et les Etats europ.) …est capturé par le régulé.

    La boucle est bouclée : c’est le tryptique infernal que les gvts illégitmes cautionnent.

  8. MiXo
    Posted 29 avril 2010 at 7:47 | Permalien

    Un flou subsiste dans cet article.

    La BCE n’a pas le droit de prêter directement aux etats.
    Elle prête aux banques privés, qui elle prête aux etats.

    Comment se passe le taux entre la bce et ces banques privés ?
    Comment se décide le taux entre les banques privés et les états ?

    Où intervient Fitchrating ?

  9. plouf
    Posted 5 mai 2010 at 16:01 | Permalien

    c’est un tissus d’âneries car c’est rejeter la faute sur d’autres (les agences de notation) alors que c’est volontairement que les gouvernements ,élus par les peuples, se sont surendettés (on n’a jamais vu un tel ration d’endettement depuis le seconde guerre mondiale!!)

    donc ça leur (et nous) pendait au nez… qui paye ses dettes s’enrichit c’est une devise pourtant bien connue, mais c’est si facile de voter pour ceux qui promettent monts et merveilles…

  10. Posted 18 août 2010 at 23:39 | Permalien

    les déficits? la faute aux banquiers, à l’état, aux privilégiés, aux fonctionnaires, aux riches. Trouver une solution qui dépasse le contexte de la question et -éventuellement- reporte le problème sur les autres- est un travers bien français. Eh! oh! la dette , c’est notre dette. elle est réelle et c’est bien nous, vous, chacun de nous qui est endetté. il n’y a pas de baguette magique! et on sait bien, pour notre petit budget perso, que quand on est endetté, il faut bosser plus, économiser là ou on peut et on sait tous que ça fait mal. il n’y a plus qu’à y penser aux prochaines élections: tachons d’envoyer des gens sérieux qui règleront le problème avec nous, pour nous, avec probité, « frugalité » et un souci pointilleux de ne dépenser que lorsque c’est nécessaire.

  11. Posted 26 octobre 2011 at 13:03 | Permalien

    Accepter et ne pas bouger le petit doit face à ce qui nous détruit et nous accable de manière autoritaire, telle des pions sans importance une fois dépouillés, je dis non… Ce qu’on nous cache, qui touche tous les secteurs, nous vole, nous détruit, nos valeur, notre santé, nos emplois, notre pays… sujet à une manipulation dénoncée mais contrôlées et effacée. Une solution je ne sais pas, mais notre mot à dire et peu être un début de combat pour retrouver notre dignité. Un nouveau parti tente de faire surface, non sans encombres et bâtons dans les roues, mais redonne de nouveau espoir et à chacun de pouvoir s’exprimer et s’affirmer face ce qui est sans mot et dont nous subissons tel du simple bétail que l’on pille. Gauche, droite, centre, extrêmes, verts… que des promesses qui nous bernent et un cercle vicieux depuis des dizaines d’années, pour nous concentrer sur ce que l’on veut, qui nous est imposé, et qui ne nous laisse pas le choix. Alors oui je ne perds pas espoir et compte bien avoir mon mot à dire comme à chacun et être écouté et non partagé dans une majorité ou minorité. On est un pays dans une communauté et avons notre mot à dire dans tout cela, et être d’accord tous ensemble… Union populaire républicaine (UPR)

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  1. [...] Auteur : Gérard Filoche - Source : Le blog de Gérard Filoche [...]

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