6 MAI, grand MEETING UNITAIRE exigences citoyennes retraites PARIS 75 020 La Bellevilloise 19 h 30

6 MAI, MEETING UNITAIRE de toute la gauche PARIS 75020 La Bellevilloise 19h30

avec 1) Jean-Marie Harribey (ATTAC); 2) Willy Pelletier (Fondation Copernic); 3) Huayra Llanque (militante féministe); 4) Jean-Luc Mélenchon (Parti de Gauche); 5) Annick Coupé (Solidaires); 6) Jean-Baptiste Prévost (UNEF); 7) Anne Féray (FSU); 8) Claire Villiers (FASE) – pause clip – 9) Razzy Hammadi (PS); 10) Marie-Georges Buffet (PCF); 11) Jean-Marie Roux (CGT Finances); 12) Céline Malaisé (GU); 13) Cécile Duflot (Les Verts); 14) Olivier Besancenot (NPA); 15) Gérard Filoche (Inspecteur du travail) animé par Edwy Plenel.

Signez sur www.exigences-citoyennes-retraites.net

10 Commentaires

  1. Murmure
    Posted 25 avril 2010 at 7:17 | Permalien

    Sera t-il-en direct sur Internet ?

  2. Posted 26 avril 2010 at 2:14 | Permalien

    Bonjour, une très bonne idée il faudra essayer d’organiser ce type de meeting dans toutes les régions.
    Mr FILOCHE, je fais beaucoup référence à vos vidéos sur le dossier « Retraite » (dailymotion – parti socialiste Reze) sur le blog :
    http://laretraitea60ans.lemultiblog.com

    A noter que parallèlement à la pétition (ATTAC, Fondation COPERNIC) qui a beaucoup de succès il y a aussi l’appel : « Retraites, Chômage : Arrêtons la désinformation »
    http://laretraitea60ans.lemultiblog.com/Appel-retraites-chomage-Arretons-la-desinformation-5076.php

    Plus il y aura de sites, de blogs, défendant ce point de vue sur le dossier des retraites, plus les gens seront informés et c’est comme cela que l’on gagnera, comme pour le « non » au référendum.

  3. Posted 27 avril 2010 at 22:20 | Permalien

    la bataille sera rude :
    dans les mois à venir des meetings unitaires dans toutes la France vont sorganiser autour des dirigeants des organisations signataires

    Jean-Marie Harribey (ATTAC);
    Willy Pelletier (Fondation Copernic);
    Huayra Llanque (militante féministe);
    Jean-Luc Mélenchon (Parti de Gauche);
    Annick Coupé (Solidaires);
    Jean-Baptiste Prévost (UNEF);
    Anne Féray (FSU);
    Claire Villiers (FASE)
    Benoît Hamon (PS);
    Marie-Georges Buffet (PCF)
    Jean-Marie Roux (CGT Finances)
    Céline Malaisé (GU);
    Cécile Duflot (Les Verts);
    Olivier Besancenot (NPA);
    Gérard Filoche (Inspecteur du travail)
    Clementine Autain
    Raoul Marc Jennar…

  4. André C
    Posted 28 avril 2010 at 19:57 | Permalien

    C’est bien tout cela, malheureusement beaucoup de gens sont tellement dégoûtés de la politique qu’ils ne bougeront pas.

    Et puis j’apprends que de nombreux socialistes poussent pour une candidature de DSK en 2012. aie aie aie.
    Le FMI qui trouve que Sarkozy est dans la bonne voie, et peut mieux faire!!
    En outre regardons le plan d’ajustement structurel de la Grèce: baisse des salaires, report de l’âge de la retraite à 67 ans, coupe sombre dans les dépenses sociales, augmentation de la TVA (impôt le plus injuste), etc…
    Rien à espérer pour 2012, donc.
    Un vote massif blanc ou nul s’impose au 2ième tour.

  5. Posted 4 mai 2010 at 17:31 | Permalien

    c’est cela ouais un grand vote blanc massif pour que la droite repasse.

    NON MERCI!!!!

  6. surmely alain
    Posted 8 mai 2010 at 23:29 | Permalien

    « Les caisses de l’Etat sont vides » : voyons d’un peu plus près ce qui signifie (et cache) cette affirmation.

    I) Le coût de la dépendance de l’Etat vis-à-vis des marchés financiers + l’injustice fiscale = 190 Milliards d’euros de manque à gagner par an

    -Le montant de la dette publique publique était,suivant des sources fiables,à la fin de l’année 2009 de 1489 milliards d’euros,soit 77,6 % du PIB(soit les 3 /4 des richesses produites annuellement par la France).Depuis 1980 l’Etat français a versé aux marchés financiers plus de 1150 milliards d’euros d’intérêts et continue à verser annuellement à ces organismes financiers 50 milliards d’euros au titre des intérêts de la dette.Ces 50 milliards correspondent à ce que l’on appelle la charge de la dette(intérêts seuls)tandis que 30 milliards sont versés au titre du capital remboursé.La charge de la dette est le 2 ème poste budgétaire de l’Etat.

    -L’Etat n’étant plus autorisé depuis 1973 à emprunter auprès de la banque de France,bien qu’elle soit propriété de l’Etat,et ne pouvant pas davantage emprunter à la Banque Centrale Européenne(depuis les accords de Maastricht de 1992)doit recourir également à des institutions privées,aux marchés financiers afin de financer ses besoins(investissements,frais de fonctionnement..etc).Ces établissements financiers-banques,organismes de crédit-créent ou émettent alors de la monnaie et demandent à leur créancier-à savoir l’Etat français-de leur verser,en sus du capital remboursé,des intérêts qui s’élèvent annuellement à 40 milliards d’euros(300 milliards d’intérêts annuels versés aux banques privées dans la zone euro),selon les calculs et chiffres avancés par la très sérieuse étude dûe à André-Jacques Holbecq et Philippe Derudder(La dette publique,une affaire rentable.A qui profite le système ? Ed. Yves Michel, 2008).

    -C’est donc toute la collectivité domiciliée en France qui est contrainte de supporter le poids de plus en plus lourd de cette dette,à payer les frais liés à la dépendance de l’Etat vis-à-vis des marchés financiers.Le coût de cette dépendance s’élève annuellement à 90 milliards d’euros,l’Etat français ayant perdu le monopole(droit régalien par excellence)de l’émission monétaire,ce rôle étant dévolu à des institutions privées(pour l’essentiel)et l’Etat ne pouvant emprunter ni auprès de la banque de France ni auprès de la BCE les traités européens l’interdisant expressément.

    -A cette dépendance vis-à-vis des marchés financiers il faut ajouter un ensemble de mesures ou pratiques dûes à des particuliers ou sociétés privées qui relèvent de l’injustice fiscale.Ainsi,on estime(là encore nous en sommes réduits à des estimations mais les ordres de grandeur restent tout-à-fait significatifs)à 50 milliards d’euros le manque à gagner dû à l’évasion fiscale(pour échapper au fisc,à l’impôt)chaque année.Les niches fiscales(un ensemble de dispositions qui relèvent presque toutes de l’inéquité quand ce n’est pas l’injustice la plus inadmissible)représentent,à ce jour,un manque à gagner,pour l’Etat,de 50 milliards d’euros par an.Le « bouclier fiscal »,contrairement à certaines idées reçues,ne fait perdre à l’Etat, « que » 600 millions d’euros par an.Mais la symbolique dont il est porteur est très significative :l’Etat envoie des chèques aux montants non dérisoires,au nom du Trésor Public,à des gens déjà très riches.

    II) Mettre fin à la dépendance de l’Etat vis-à-vis des marchés financiers + mettre fin aux privilèges fiscaux = dette publique réglée en un peu plus de 5 ans malgré une conjoncture économique défavorable

    L’ensemble des dispositions-datant pour certaines des années 1970-et contraintes détaillées ci-dessus permettent d’estimer à 190 milliards annuels le manque à gagner,pour les finances publiques :dépendance vis-à-vis des marchés financiers pour moitié,l’autre moitié étant imputable à l’inégalité des Français devant l’impôt ou,si l’on préfère,à l’injustice fiscale.On peut pourtant estimer à environ cinq ans le temps nécessaire à l’Etat français pour régler la question de la dette publique.Pour ce faire,l’Etat doit tout d’abord reprendre le contrôle de l’émission monétaire-via la nationalisation des banques/organismes de crédit et la remise en cause des traités européens-afin de s’affranchir des marchés financiers.Les marchés financiers sont en train d’étrangler l’Etat français(ainsi que d’autres Etats)au moyen de l’explosion de la dette publique.Ensuite,il convient que l’Etat français mette un terme à ce que l’on peut appeler des privilèges fiscaux.Ces privilèges fiscaux sont,certes,un forme efficace de clientélisme électoral et une excellente méthode pédagogique inculquant l’incivisme comme la haine de l’intérêt général et de la patrie mais ils font désormais courir à la France des risques qu’il conviendrait de ne plus dissimuler à la population.En effet,le manque à gagner,que l’on peut estimer globalement à 200 milliards par an,actuellement supporté par l’ensemble de la population(sans-papiers compris)a fait exploser la dette publique et sa croissance est continue.Les efforts demandés à la population,encore récemment,ne suffiront pas à enrayer la croissance de cette dette.Il n’y aura pas le compte.Donc,il est prévu d’allonger la durée du travail,c’est-à-dire la durée des cotisations retraite,en repoussant l’âge de départ à la retraite,les salaires des fonctionnaires resteront bloqués,l’emploi sera davantage précarisé afin de satisfaire les exigences des entreprises elles-mêmes dépendant des établissements financiers auxquels elles versent des intérêts,l’ensemble des dépenses publiques seront encore diminuées(baisse des crédits pour l’éducation,la recherche,vente du patrimoine de l’Etat ..etc) car rendues responsables de la dette publique.Les dépenses publiques viennent d’ailleurs d’être gelées jusqu’en 2013.Il n’y aura toujours pas le compte étant entendu que la croissance,suivant les anticipations/estimations produites par des organismes tels que l’OCDE,sera presque nulle.Ansi,il sera nécessaire de faire appel au Dr Strauss-Khan qui,comme chacun sait désormais,est un expert pour appliquer la méthode du garrot.

    Un citoyen français qui a pris quelques heures pour voir d’un peu plus près ce que l’on entendait par « dette publique » et les moyens permettant de la régler à moins que la disparition de l’Etat ne soit déjà programmée.

    Très sincèrement

  7. luc
    Posted 10 mai 2010 at 21:02 | Permalien

    Depuis 1981 les dividendes ont baissé

    Contrairement aux déclarations de Gérard Filoche et Jean-Jacques Chavigné, les dividendes distribués rapportés aux capitaux mis en œuvre ont baissé en France depuis 1981.

    Effectivement, les dividendes ont augmenté, mais uniquement parce que les capitaux propres pendant la même période ont augmenté plus vite.

    En effet, de 1981 à 2006 les capitaux propres des entreprises sont passés de 150 à 1800 milliards d’euros (euros courants) (source INSEE)

    Pendant ce temps, les dividendes sont passés de 10 à 70 milliards d’euros (euros courants) (source INSEE)

    http://www.ifrap.org/Les-dividendes-ont-baisse-attention-a-la-desinformation,1211.html

    Depuis « 1981, on s’aperçoit que les dividendes distribués par l’ensemble des entreprises françaises rapportés aux capitaux mis en œuvre a baissé, passant de 5,5% à 3,7%. »

    « le nombre de Français détenant des actions a presque doublé entre 1991 et 2007, passant de 6 à 11 millions. »

    http://www.ifrap.org/Rapport-Cotis-attention-aux-confusions-sur-les-dividendes,1226.html

  8. François
    Posted 18 mai 2010 at 19:35 | Permalien

    L’argument qui consiste à dire que les dividendes auraient baissé entre 1981 et 2006, parce qu’ils seraient passés de 5,5 % à 3,7 %, est complètement faitaisiste : Il faut en effet toujours les rapprocher des taux d’intérêts réels, qui rappelons le, étaient de l’ordre de 18 % (dix huit pour cent !), rien que celà lors de ces années, aussi bien pour les prêts aux entreprises que pour les prêts immobiliers, et il faut aussi les rapprocher des taux d’inflations qui étaient aussi très supérieurs, lors des années 1981, à ce qu’ils sont aujourd’hui ! . CQFD

  9. luc
    Posted 21 mai 2010 at 12:41 | Permalien

    @ FRANÇOIS

    Depuis 1990, il n’y a presque plus d’inflation.

    En 1990, il y avait
    30 milliards d’euros de dividendes soit 34,5 milliards d’euros constants base 2000
    500 milliards de capitaux propres soit 575 millards d’euros constants base 2000

    En 2006, il y avait
    70 milliards d’euros de dividendes soit 62 milliards d’euros constants base 2000
    1800 milliards d’euros de capitaux propres soit 1590 milliards d’euros constants base 2000

    De 1990 à 2006, en euros constants

    Les dividendes ont été multipliés par 1,8
    Les capitaux propres ont été multipliés par 2,7

    Donc les dividendes rapportés aux capitaux mis en œuvre ont donc baissé

    PS
    1 euro en 1990 = 1,15 euro en 2000
    1 euro en 2000 = 1,13 euro en 2006

  10. Vincent
    Posted 5 juillet 2010 at 11:55 | Permalien

    Pour faire avaler à l’ensemble des Français une rigueur qui ne dit pas son nom, on cherche à leur faire peur avec le déficit, en les prévenant que chaque enfant qui va naître aura une dette de x milliers d’euros insupportable à rembourser.

    C’est faux : les descendants de Liliane Bettencourt et de milliers d’autres naîtront propriétaires d’entreprises ou d’immeubles représentant des dizaines de milliards ou seulement des dizaines de millions d’euros (il y a beaucoup d’inégalités entre les riches), mais en tout cas de quoi ne pas se faire de souci pour leur avenir. Des dizaines de millions de leurs concitoyens, libres et égaux en droits depuis que la féodalité a disparu, travailleront toute une vie avec de maigres salaires pour faire vivre ces employeurs patrons de droit divin et en dépenseront une grande partie en loyers puisque de leur côté locataires de naissance. Peut-être faudrait-il aussi un peu plus d’égalité entre les fortunes et les infortunes ?

    En attendant, tous pourront continuer de chanter ensemble la Marseillaise et de se sentir Français, surtout en temps de guerre, quoique il vaille mieux matériellement avoir eu des parents enrichis par la collaboration que des parents morts

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