Non à la politique de l’offre ! Non à la baisse du « coût du travail » – Un appel de 27 membres du BN du Parti socialiste (sur 72 = 35 %)

 

A D&S nous avons vivement milité pour qu’il y ait une réaction du maximum de socialistes lorsque la théorie de la « politique de l’offre » et de la « baisse du cout du travail » est apparue encore plus nettement dans le discours présidentiel, début janvier 2014. Nous en avions assez de donner des milliards sans contrepartie aux actionnaires et de les retirer des petits salaires et des petites retraites.

Nous avons travaillé dés le début avec les camarades de la motion 4 qui le souhaitaient, avec les autres composantes de la motion 3 et avec des camarades comme Pouria Amirshahi qui se dégageait de la motion 1 pour protester. Un moment il fut possible d’avoir un texte court et radical avec le camarade Amirshahi, et derrière lui, environ 8 députés pouvaient s’y retrouver.

Voyant cela, d’autres camarades d’ex UMA (« Un Monde d’Avance » cette partie de la gauche socialiste qui s’était, hélas, ralliée à la majorité au dernier congrès de Toulouse), sont revenus à leur tour.

Au fur et à mesure, le texte a été obligé d’opérer un certain nombre de compromis, mais à la fin quasiment tout ce groupe dit « UMA » de la motion 1 a rompu avec la majorité dont il était membre. C’était une avancée.

Toute une partie de la motion 4, après le décès de Stéphane Hessel et le départ de Pierre Larrouturou, autour de Frédéric Lutaud, et Marie Bidaud, a souhaité aussi débattre puis participer, le nombre de membres du BN signataires a atteint 27 sur 72 ce qui est un chiffre sans précédent.

Si 35 % de la direction du parti signe, cela, on peut penser que, à la base, c’est bien plus que la majorité des adhérents tellement le mécontentement est grand.

Excusez nous de nous auto féliciter, mais c’est un bon travail, un grand encouragement, reste à transformer l’essai dans d’autres initiatives et nous souhaitons un rassemblement physique, militant, (autour d’un colloque, autour d’autres initiatives, autour d’un rassemblement en fin juin) pas seulement sur texte.

Les socialistes de la gauche du parti viennent de faire un grand signe, un grand pas : c’est une bonne nouvelle pour toute la gauche. Unité contre la droite, unité contre le Medef, unité pour la redistribution des richesses !

Gérard Filoche

 

 

« IL N’Y A PAS QU’UNE SEULE POLITIQUE POSSIBLE »

SIGNATAIRES
27 membres du Bureau National du Parti socialiste (sur 72) :  Pouria Amirshahi, Tania Assouline, Guillaume Balas, Marie Bidaud, Sandrine Charnoz, Pascal Cherki, Laurianne Deniaud, Stéphane Delpeyrat, Antoine Détourné, Julien Dray, Henri Emmanuelli, Anne Ferreira, Gérard Filoche, Olivier Girardin, Jérôme Guedj, Liêm Hoang-­‐Ngoc, Frédéric Hocquard, Régis Juanico, Marie Noelle Lienemann, Marianne Louis, Fréderic Lutaud, Delphine Mayrargue, Emmanuel Maurel, Jonathan Munoz, Nadia Pellefigue, Paul Quiles Roberto Romero, Jean-­‐François Thomas, Isabelle Thomas

 

texte de l’appel :

La période est instable. De l’extrême droite qui se rassemble derrière des slogans racistes et antisémites à la droite radicalisée qui remet en cause la légitimité du Président de la République à gouverner, un front des conservatismes se constitue. Cette situation appelle une réaction forte. Une réaction essentielle pour reprendre la main, faire reculer le chômage et engager pleinement la transition écologique. Et ne pas donner l’impression que, malgré l’arrivée de la gauche au pouvoir, les droites et leurs « valeurs » sont en dynamique.

De toutes nos forces nous voulons que la gauche réussisse. Dix ans de politique de droite ont profondément abimé notre pays. La crise a dévasté nombre de territoires, plongé des millions de familles dans l’angoisse de la précarité ou du chômage.

A l’occasion de la campagne présidentielle, François Hollande a, à juste titre, pointé la responsabilité historique du monde de la finance dans les difficultés que traversent notre pays et notre continent. Il avait porté haut et fort l’exigence d’une réorientation de la construction européenne, en dénonçant le caractère néfaste des politiques d’austérité. Pour sortir le pays du chômage de masse, il avait proposé une feuille de route qui n’oppose pas la production à la redistribution, l’offre à la demande, l’efficacité économique à la justice sociale.

Cette feuille de route, c’est toujours la nôtre.

1

Cinq ans après la chute de Lehman Brothers, l’Union européenne subit toujours la crise et ses conséquences. Trois pays se trouvent encore sous assistance financière, le chômage atteint 12% dans la zone euro et la croissance est en berne.

C’est pourquoi nous continuons de penser qu’il est nécessaire de faire vivre la promesse de réorientation de la politique Européenne. Plus que jamais, la France doit créer les conditions d’un rapport de force favorable aux politiques de sortie de crise. La situation impose de nous dégager de la logique trop restrictive liée aux normes budgétaires et monétaires européennes.

La réduction des déficits préconisée par la Commission européenne a provoqué des coupes sombres dans des dépenses publiques et sociales essentielles. Surtout, ces «efforts» imposés aux populations n’ont pas permis de réduction de la dette publique. Elle est passée pour l’Union européenne à 27 de 62% du PIB en 2008 à 85% quatre ans plus tard. Loin de réduire la dette, l’austérité contribue à l’augmenter davantage.

Aujourd’hui, les critiques convergent pour remettre en cause des politiques socialement dangereuses et économiquement inefficaces. Les citoyens, mais aussi de grandes institutions comme le FMI, l’OCDE, le BIT, pointent l’urgence d’une relance coordonnée en Europe.

Dans ce contexte, les élections européennes revêtent une importance particulière. Refonte de la politique commerciale, instauration d’une taxe sur les transactions financières, lutte contre les paradis fiscaux, politique monétaire au service de l’économie réelle, harmonisation sociale et fiscale, relance de l’investissement par la transition énergétique notamment, meilleure répartition du travail, smic européen : les socialistes porteront ces exigences en mai prochain.

Mais nous serons d’autant plus crédibles pour le faire si nous avons administré la preuve, en France, qu’il n’y a pas qu’une seule politique possible.

Or en dépit de la salutaire rupture avec l’ère Sarkozy, l’orientation en matière de politique économique suscite des désaccords et des inquiétudes dans nos rangs.

Nous ne nous reconnaissons pas dans le discours qui tend à faire de la baisse des « charges » et du « coût du travail » la condition d’un retour de la croissance. Il n’y a pas de « charges » mais des cotisations sociales qui sont en réalité du salaire différé.

Et nous sommes inquiets quand nous découvrons que la baisse des cotisations promise aux entreprises s’accompagne d’une réduction de 50 milliards d’euros des dépenses publiques en trois ans, sans même savoir quels sont ceux qui en supporteront les conséquences. Ce qui risque de rogner sur le modèle social français dont les grands principes ont été établis à la Libération.

La focalisation exclusive sur la baisse du « coût du travail » ne constitue pas une réponse adaptée

Comme l’ensemble de l’Union européenne, la France souffre de la crise. Les libéraux, dont le patronat se fait le porte-­‐parole, associent cette crise à un problème global de compétitivité engendré par une explosion du « coût du travail ». Cette lecture nous semble contestable.

Depuis le début des années 90, des centaines de milliards d’aides, d’exonérations, de subventions ont été distribuées sans aucun effet sur l’emploi et la compétitivité de nos entreprises. Pire, elles ont alimenté la rente au détriment des salaires et de l’investissement. Entre 1999 et 2008, alors que les firmes allemandes ont réduit leur taux de dividendes versées de 10%, leurs homologues françaises l’ont augmenté de près de 50%. Le « coût du capital » n’a jamais été aussi élevé.

2

L’industrie française se délite et les politiques libérales de ces 20 dernières années n’ont fait qu’en précipiter la chute, croyant pouvoir créer une « France sans usine », renonçant à toute politique industrielle ambitieuse. Le renouveau industriel nécessite un renforcement de notre « compétitivité hors-­‐coût » qui ne sera rendue possible que par des aides ciblées et d’une réorientation des bénéfices de la rente vers l’investissement productif.

Or, on ne peut que constater la victoire de la finance sur la production. C’est la conséquence de la concentration de la richesse entre les mains d’un nombre de plus en plus petit. Aujourd’hui, alors que 10 % de la population concentre 60 % du patrimoine, les banques imposent aux entreprises des règles qui donnent la priorité à l’accroissement systématique des marges. Dès lors, il ne faut pas s’étonner du mouvement de concentration du capital (les quatre premières banques françaises ont un bilan équivalent à 400 % du PIB) et de financiarisation de l’économie.

Enfin, ne nous voilons pas la face. La finitude des ressources naturelles, la hausse inéluctable du prix des énergies fossiles dont notre modèle de production et de consommation est dépendant, la stagnation de nos taux de croissance déconnectés du bien-­‐être humain, nous obligent à imaginer un nouveau modèle de développement. De même, l’évolution des gains de productivité rend indispensable de réfléchir à une nouvelle répartition du travail. Mais ce nouveau modèle de développement est par définition antagoniste des logiques libérales, court-­‐termistes, à l’œuvre de nos jours.

Pour nous, la priorité doit donc être la suivante: favoriser l’emploi et l’investissement productif aux dépens de la rente.

Les préconisations avancées jusqu’à présent sont déséquilibrées.

Les socialistes se sont toujours refusés à opposer offre et demande, production et redistribution, bonne gestion des comptes publics et relance de l’économie. Les propositions contenues dans le « pacte de responsabilité » semblent s’écarter de cette position d’équilibre.

1) L’objectif de baisse accélérée des dépenses publiques comporte des risques majeurs.

Le Président de la République s’est engagé à ne pas toucher au modèle social français. Néanmoins, la priorité accordée aux 50 milliards d’euros d’économies en trois ans, nous fait craindre une réduction du périmètre d’intervention de l’Etat, nuisible aux politiques sociales existantes et au fonctionnement des services publics.

2) le redressement n’est pas possible sans la justice

A trop se focaliser sur « l’offre » et la « baisse des charges », le « pacte de responsabilité » risque de comprimer l’activité économique.

Par ailleurs, elle réduit considérablement nos marges de manœuvres pour mener à bien des politiques ambitieuses dans le domaine de l’éducation, du logement ou de la culture. Comment continuer à soutenir l’effort de réinvestissement de l’Etat dans le domaine éducatif mené depuis le 6 mai, si les baisses de crédits y sont massives ? Comment soutenir l’exception culturelle si, pour la troisième année consécutive nous baissons le budget du ministère de la culture. Enfin, comment les collectivités territoriales pourront-­‐elles continuer à être le premier investisseur public de notre pays, si elles doivent réaliser des coupes budgétaires massives ?

3

Notre pays doit partir de ses atouts : qualité de la main d’œuvre, de ses services et infrastructures publics. Agir pour notre compétitivité, c’est penser dès maintenant le monde de demain et notre modèle de développement

C’est donc d’abord agir sur nos capacités productives (montée en gamme, sobriété énergétique de notre appareil productif, investissement dans les énergies renouvelables, utilité sociale) et sur nos infrastructures. Ainsi en 2011, les importations énergétiques pesaient 88% du déficit de notre balance commerciale, entamant d’autant la création d’emplois et les capacités d’investissement de nos entreprises.

L’investissement dans l’éducation, la formation, la recherche, la transition énergétique, sont autant de leviers pour une stratégie de développement durable à moyen et long terme. L’enchainement des crises ces vingt dernières années témoigne d’un système court-­‐termiste à bout de souffle, qui ne répond plus au double impératif d’efficacité économique et de justice sociale. Cette option volontariste d’investissement que nous proposons est un moyen d’en sortir.

Mais cet effort serait vain si, faute de consommation, bon nombre d’entreprises n’avaient pas de carnets de commande remplis, si faute de « planification » les industriels n’avaient aucune vision de l’avenir, et si faute d’anticipation ils n’étaient pas au rendez-­‐vous d’une reprise française et internationale.

Dès lors, nous pensons que, dans la mobilisation générale pour l’emploi décrétée par l’exécutif, la consommation populaire doit prendre toute sa place. Elle passe notamment par une réforme fiscale de grande ampleur, comme l’a d’ailleurs proposé le Premier ministre. Loin de s’opposer, redressement et justice vont de pair.

Obtenir un compromis social favorable au monde du travail

La social-­‐démocratie suppose que le parti majoritaire à gauche soutienne les syndicats de salariés pour arracher un compromis au patronat.

Si le Président a été très clair sur les avantages accordés aux entreprises, les contreparties demandées restent floues. Il faudra plus qu’un « observatoire » pour imposer amélioration des conditions de travail, discussion sur les salaires, partage du travail ou multiplication des embauches. D’autant que le MEDEF, par la voix de son président, refuse de rentrer dans une logique de « donnant-­‐donnant » qui serait pourtant la moindre des choses. En lien avec les déclarations présidentielles, nous insistons sur la double nécessité de ne pas alimenter la rente pour servir l’investissement productif et de faire bénéficier les salariés, par le biais de la rémunération notamment, d’une part de cette aide.

Il n’y aura pas de « compromis social » favorable aux salariés sans mobilisation du parti, des parlementaires, du mouvement social. Salaires, embauches, réduction et partage du temps de travail, droits des salariés, contrôle des licenciements abusifs, modalités de remboursement des aides en cas de non-­‐respect des engagements, politique de redistribution des dividendes : dans tous ces domaines nous devons porter des exigences fortes.

Oui, nous devons les porter, et en toute liberté. Sachons nous désintoxiquer des institutions de la Vème République. Tout ne peut procéder d’un seul homme. Les débats politiques ne se règlent pas en brandissant la menace de mesures disciplinaires ou en mettant les parlementaires au pied du mur.

4

Le PS doit jouer pleinement son rôle. Pour la réussite de la gauche au pouvoir, il faut un Parti autonome, force de propositions, relais des aspirations mais aussi des mécontentements. C’est une des conditions de la réussite commune.

Cette réussite passe aussi par l’implication de la gauche dans toute sa diversité. Il n’y a aujourd’hui de salut pour la gauche française que dans la construction de convergences entre les forces politiques et sociales qui la composent. Au moment où une partie de la droite radicalisée fait jonction avec une extrême droite plus menaçante que jamais, le rassemblement de la gauche est une ardente obligation.

5

92 Commentaires

  1. Bob le camarade
    Posted 10 février 2014 at 15:59 | Permalien

    Je le reposte ici puisque il y a 3 pages d’écarts.
    ———————–
    « Nous décidons donc de****** nous regrouper au-delà des chapelles et des courants du PS *****pour tracer une alternative à la politique et à la stratégie de l’exécutif. »

    Outre ****un PS « autonome »***** et « relais des aspirations mais aussi des mécontentements », ce bloc contestataire appelle également à ******un « rassemblement de la gauche », avec le Parti communiste et le Parti de Gauche de Jean-Luc Mélenchon, qualifié d’« ardente obligation ».*****

    Houla c’est du costaud cette fois du moins dans l’intention.
    Car si je comprend bien ça irait enfin vers des contacts entre aile gauche PS et FDG.

    Tu confirmes ?????

    http://www.lemonde.fr/politique/article/2014/02/10/l-aile-gauche-du-ps-met-en-garde-hollande_4363188_823448.html

  2. Gilbert Duroux
    Posted 10 février 2014 at 17:00 | Permalien

    Edouard Martin refoulé par le service d’ordre de Manuel Valls. Voilà ce qui arrive aux traîtres :
    http://www.20minutes.fr/societe/1294878-20140210-visite-manuel-valls-a-florange-edouard-martin-empeche-voir-ministre

  3. zap
    Posted 10 février 2014 at 17:21 | Permalien

    http://www.marianne.net/Debat-Comment-refonder-l-entreprise _a235774.html

  4. Posted 10 février 2014 at 18:06 | Permalien

    La « politique de l’offre » me fait beaucoup rire. Dans ma ville ceux qui sont à la recherche d’un hôtel pour la nuit se voient proposer deux cents chambres de plus qu’il y a cinq ans. Un rien ! Là, on peut parler d’une politique de l’offre ! Et elle est très généreuse.

    Mais, mais, mais ! je n’entends que lamentations chez les hôteliers. Qui cherchent désespérément un chaland pour leur chambre et un ventre affamé pour leur restaurant… Même en solde — et on voit maintenant des hôtels afficher des prix cassés pour le week-end — on ne trouve pas forcément un client. Le taux d’occupation ne cesse de baisser.

    Suffit pas d’offrir. Faut aussi les sous pour consommer.

  5. Gilbert Duroux
    Posted 10 février 2014 at 18:33 | Permalien

    Gérard, je crois que tu n’amuses plus personne avec ton numéro sur la prise de conscience chez les responsables du parti dit socialiste (j’invite tout le monde à dire systématiquement « dit » socialiste ou « prétendument » socialiste) ou sur la progression de l’aile gauche du parti dit socialiste. Tu es systématiquement démenti par la réalité des choses qui est que ton parti prétendument socialiste est de plus en plus à droite. Arrête de prendre tes lecteurs pour des benêts, s’il te plait.

  6. archerducher
    Posted 10 février 2014 at 18:49 | Permalien

    Certains éléments du PS « dit » de gauche sont inquiets car les municipales c’est le mois prochain,mais après qu’en adviendra-t’il de tout ça?les sociaux-démocrates du gouvernement vont-ils changer leur politique,que nenni,dans le pédalo c’est le branle-bas de combat ?le capitaine se balade,aprés la Tunisie,les Obama et tout ça avec le sourire,pendant ce temps la Bretagne se noie……………

  7. B
    Posted 10 février 2014 at 18:50 | Permalien

    au PS il y a toujours eu plus de faillots que de militants : 2 faillots pour 1 militant.
    Donc tu fais erreur en disant que Filoche est un clown n ° 5.

  8. sébastien
    Posted 10 février 2014 at 18:59 | Permalien

    pour compléter le post 4, j’avais discuté avec un restaurateur qui ne cessait de dire qu’il fallait baisser les salaires des employés (pas le sien bien sur), imposer l’austérité comme en Italie ou en Espagne. je lui avais simplement répondu que si on me baissait mon salaire je regarderais quel poste de dépense n’était pas primordial donc supprimable et lui avais dit que je ne viendrais, le restaurant étant un loisir dont on pouvait se passer. Puis j’avais fait un sondage parmi les clients qui patientaient avec moi et nous ont répondu pareil. Alors il m’avait dit tout penaud que finalement ce n’était pas une bonne idée…
    Donc oui sans argent pas de demande, pas de consommation, chute de l’activité, la politique de l’offre est une aberration.

  9. Dominique Babouot
    Posted 10 février 2014 at 20:05 | Permalien

    Je vais peut être me faire incendier mais tant pis, je me lance!
    Dans la période actuelle, alors que le rassemblement d’une nouvelle gauche socialiste au sein du ps, semble de plus en plus probable, il est semble-t-il indispensable d’établir la clarté par rapport à l’histoire récente, notamment depuis le congrès de Toulouse.
    Gérard dit à propos des camarades d’UMA qui avaient rejoint la motion 1, ils reviennent!
    J’ai tendance à dire, ils ne sont jamais partis!
    Si on se donne la peine de consulter le Bluma (bulletin de liaison d’un monde d’avance) on s’apercevra que sans cesse, le courant se retrouva sur les grandes questions sur les positions des motions 3 et 4. Sur le rapport Gallois, sur l4ani, sur le pacte de compétitivité, sur les retraites et enfin sur le pacte soit disant de responsabilité.
    Oh certes les élus notamment les députés se sont montrés beaucoup moins combatifs, mais quelle est leur représentation. que je sache ils ont été désignés comme candidats bien avant le congrès de Toulouse sur la base d’une motion à la quelle toute la gauche du parti appartenait, ceux qui ont décidé de rejoindre la motion 1 comme ceux qui s’y sont refusés!
    la ligne politique d’un courant est-elle déterminée par ce qu’il écrit ou par les positions diverses des élus? les motion 3 et 4 n’en ont que très peu on ne pourra pas vérifier quelle aurait été leur attitude si cela avait été le cas!
    Donc les militants d’UMA ayant rallié la majorité à Toulouse reviendraient, que pourront-ils faire de plus que ce qu’ils font depuis la fin du congrès?
    Rejoindre la motion 3?
    J’ai fait cette démarche personnelle pour deux raisons essentielles

    1- Dans ma section les camarades UMA ayant opté pour la présentation d’une motion indépendante furent archi-majoritaire, je les ai donc rejoint pour que l’aile gauche du parti soit efficace dans la section et pour avoir moi aussi une activité soutenue!

    2- Au congrès de Toulouse il n’était pas question de rapport gallois, ni de pacte de compétitivité, ni d’Ani, ni d’allongement de la durée de cotisation pour la retraite, encore moins de pacte de responsabilité!
    J’ai rompu avec la majorité au moment ou j’ai estimé que François Hollande allait dévier de la ligne qu’il semblait avoir tenu pendant les six premiers mois et qui était symbolisé par le discours du Bourget, la taxe à 75 pour cent et la dénonciation de la finance comme adversaire!

    Il faut donc bien comprendre que ce que j’ai pu faire parce que je n’étais tenu par aucun impératif au niveau des répartitions des postes dans les structures d’autres ne puissent pas le faire, ils siègent au nom de la motion 1 et ne peuvent changer de courant, c’est interdit par les statuts du parti! Ce type de représentation représente des avantages elle possède aussi ses inconvénients, on le pointe ici.
    Alors que faire?
    C’est exact, on espère qu’il ne s’agit pas d’un texte sans lendemain. On peut espérer autre chose!
    Effectivement, ce n’est pas parce qu’on est élu au conseil national ou au bureau national sur des motions différentes qu’il est interdit qu’on se retrouve pour des réunions de travail communes permanentes comme le font les courants reconnus par l’appareil et qui sont représentés dans les instances.
    A Toulouse, les membres d’UMA ayant rejoint les motions 3 et 4 ont pris l’habitude de ne plus venir aux réunions UMA, pourtant leur présence n’était pas interdite, je me suis renseigné! On peut comprendre qu’ils n’aient pas assisté aux premières réunion juste après le congrès puisqu’il s’agissait de régler des problèmes de représentation dans les instances suite au congrès! Par contre on peut regretter qu’ils aient persisté à ne pas être présents quand ces AG ont discuté de l’ANI ou des retraites!
    Espérons donc que tous ces militants qui ont des idées identiques sur les sujets cruciaux qui nous préoccupent trouveront un terrain d’entente pour retrouver le moyen d’une structure permanente commune, c’est à dire un pole de gauche pour ce parti qui pour l’instant est dispersé, une fois de plus!

  10. luc
    Posted 10 février 2014 at 20:47 | Permalien

    Une étude de la Fondation Jean-Jaurès nous rappelle combien la relance de 1981 fut une catastrophe pour la France.

    « Rompant avec les politiques précédentes, les socialistes mettent en place une action volontariste de lutte contre le chômage et de relance de la consommation intérieure.

    Au cours de l’année 1982, on observe une forte accumulation de déficits : déficit du commerce extérieur, déficit de la balance des paiements courants qui triple entre 1981 et 1982 et déficit des comptes des administrations.

    L’écart d’inflation avec les autres pays de l’OCDE et particulièrement avec l’Allemagne reste important, de l’ordre de 10 à 15 %.

    La balance commerciale de la France avec l’Allemagne s’en ressent – de – 23,2 milliards de francs courants en 1981, elle passe à – 39,1 milliards de francs en 1982.

    Face à cette contrainte et après une troisième dévaluation en l’espace de 18 mois, le pouvoir se convertit subitement à une politique restrictive marquée par les mesures du plan d’accompagnement de la dévaluation du 25 mars 1983.

    C’est le « tournant de la rigueur ». »

    Malgré l’échec de la relance de 1981, certains, au PS, voudraient recommencer.

    Source.
    1983 : le « tournant » en question. Fondation Jean-Jaurès.
    http://www.jean-jaures.org/Publications/Notes/1983-le-tournant-en-question

  11. CAZALET
    Posted 10 février 2014 at 21:08 | Permalien

    Quand je lis ce qu’ a écrit Jean Jaures et que je le compare à ce que produit la fondation qui porte son nom, je pense qu’il y a un problème… La constante des libéraux (ceux qui pensent que 81 était une erreur), c’est de défendre une politique qui exacerbe les inégalités inhérentes à notre système économique. cette politique fait des dégâts très importants parmi les salariés, mais ça fait rien on continue. On continue de réfléchir en terme de concurrence et de parts de marché, pour justifier des décisions unilatérales qui ne sont que cadeaux aux entreprises et aux capitalistes. Car cette politique que notre gouvernement a décidé en 82 et qui a été reprise et aggravée par la droite, avec une courte exception, malheureusement, avec Lionel
    Jospin, cette politique n’a fait qu’augmenter le chômage pour arriver à ce qu’ils est aujourd’hui 12 ans après. Quel bilan en terme d’emploi, de salaires, de pouvoir d’achat, de conditions de travail, de sécurité sociale, de niveau de vie fait la fondation dite Jean Jaurès de ces 12 années d’acharnement libéral et ultra libéral, j’aimerai le savoir….Une autre politique est possible et nécessaire

  12. Posted 10 février 2014 at 21:12 | Permalien

    Vous serez toujours minoritaires, hélas. La ligne ne cessera de pencher à droite, tout simplement parce que d’une part il y a un trop important nombre d’opportunistes et d’apparatchiks pour qui tout va très bien en cette période, et d’autre part la démocratie est une blague au PS comme l’a démontré le vote sur le texte d’orientation sur l’Europe.

    Le PS est perdu pour la gauche, barre-vous !

  13. Bob le camarade
    Posted 10 février 2014 at 21:20 | Permalien

    « Espérons donc que tous ces militants qui ont des idées identiques sur les sujets cruciaux qui nous préoccupent trouveront un terrain d’entente pour retrouver le moyen d’une structure permanente commune, c’est à dire un pole de gauche pour ce parti qui pour l’instant est dispersé, une fois de plus! »

    Pour ne pas changer, j’ai connu cela plus de 30 ans.
    En tous cas ça montre bien que la GS est trés divisée et n’arrive déjà pas à se rassembler dans son propre parti, alors dire que le FDG divise est un peu osé.
    Mais peu importe on va attendre de voir les efforts qui sont annoncés pour se rassembler, si ce n’est pas qu’électoraliste de circonstance c’est ce que le FDG souhaitait.
    Librement s’entend.
    On verra.

  14. GUILLAUME DENIL
    Posted 11 février 2014 at 9:36 | Permalien

    Des «combats secondaires». En deux mots, Jean-Marc Ayrault a balayé les critiques de l’aile gauche du PS contre le pacte de responsabilité de François Hollande qui prévoit une baisse des charges pour les entreprises contre des embauches et un dialogue social accru.

    Quel mépris pour votre combat du premier ministre ! Et dire que ce mépris vient de ce que vous réclamez juste que le PS fasse une politique de gauche !

    Vous êtes vraiment mal barrés.
    Les Français-e-s aussi.

  15. archerducher
    Posted 11 février 2014 at 10:42 | Permalien

    Après une telle mascarade le PS ne peut plus se reconnaitre à gauche ou doit crée une scission le PSG (gauche) face PSD(droite) je plains les élus du PC qui s’allient avec eux aux municipales….

  16. B
    Posted 11 février 2014 at 10:58 | Permalien

    Jean-Marc Ayrault n’a pas balayé les critiques de l’aile gauche du PS.
    Il a dit :
    on n’a pas le choix, il faut réussir.

    ce qui peut aussi se traduire en germanique par :
    je pense qu’il faut donner le choix aux gens.

  17. Posted 11 février 2014 at 12:46 | Permalien

    L’ennemi, c’est le patron du Medef qui s’est lancé dans une critique en règle de la méthode choisie par président Hollande, rapporte le Figaro:
    « J’attends du gouvernement qu’il me précise, en mars prochain, la trajectoire de baisse de la fiscalité sur les entreprises. [...] On ne pourra avancer que si on redonne de l’oxygène et donc des marges aux entreprises françaises. [...] Il faut surtout arrêter de gérer par la contrainte. Quand j’entends parler de contreparties dans ce pacte, j’entends aussi des gens qui me disent “on va vous contraindre, on va vous obliger, si vous n’y arrivez pas vous allez être punis, on va vous mettre des pénalités”. Il faut arrêter ce discours […] insupportable. On n’est pas dans une cour d’école. »

  18. Posted 11 février 2014 at 12:47 | Permalien

    cet appel des « 27″ est un pas en avant

  19. Posted 11 février 2014 at 13:16 | Permalien

    un pas en avant, je n’en doute point et souhaite que cela se traduise par
    des faits concrets, j’ai hate d’une avancée palpable d’une grande et vraie
    gauche face à cette droite si réactionnaire.

  20. Gilbert Duroux
    Posted 11 février 2014 at 13:16 | Permalien

    Un pas en avant, trois pas en arrière
    C’est la politique, du gouvernement.
    (air connu)

  21. Bob le camarade
    Posted 11 février 2014 at 13:56 | Permalien

    @ Gérard

    Pourquoi tu ne me réponds pas à cette question :

    « si je comprend bien ça irait enfin vers des contacts entre aile gauche PS et FDG.

    Tu confirmes ou pas ? »

  22. Posted 11 février 2014 at 14:29 | Permalien

    mais enfin ces contacts, nous les avons tout le temps, a chaque réunion nationale de D&S le PCF et le PG sont représentés,
    a MLG ou nous étions, Pierre Laurent est venu, on a participé en juin dernier, tout ça est « naturel »
    j’écris toutes les semaines dans ‘L’Humanité dimanche » depuis trois ans, parle a la fête de l’Huma, etc…
    tout cela est en prévision d’un gros mouvement social, sans lequel nous sommes rien, milites, milites !

  23. Posted 11 février 2014 at 14:31 | Permalien

    nul
    c’est tout ce que tu trouves à dire, quand on réussit à avoir 35 % des voix au sommet ?

  24. Posted 11 février 2014 at 14:32 | Permalien

    oui, oui, Paris et Rouen n’ont pas été construits le meme jour,
    et vous, au fait, que faites vous ? j’entends de concret ? de palpable ? `
    quels appels a l’unité ?

  25. Posted 11 février 2014 at 14:33 | Permalien

    on réussit à regrouper 35 % de la direction du PS, et tout ce que tu trouves à dire, c’est ça ?

  26. Posted 11 février 2014 at 14:35 | Permalien

    comme quoi, dans la Fondation Jean jauers, y’en a des conneries qui sont ecrites !

  27. Posted 11 février 2014 at 14:37 | Permalien

    oui, oui, unité… mais quand même : Benoit hamon nous avait menacé en sept 2012 de nous « reduire à 4 % », c’est dire quand même si son engagement pour écraser la gauche socialiste etait fort, non seulement, il nous ‘lâchait » pour le gvt, mais il voulait nous écraser,
    nous avons lutte et gagné ! que ca se sache !

  28. Bob le camarade
    Posted 11 février 2014 at 15:15 | Permalien

    « mais enfin ces contacts, nous les avons tout le temps, a chaque réunion nationale de D&S le PCF et le PG sont représentés »

    Je vais simplement te dire que c’est la premiére fois que je lis cela de ta part.
    A chaque fois que j’ai écrit ici qu’il fallait se parler tu ne m’a jamais répondu cela.
    Je ne pouvais pas le deviner.
    Donc c’est déjà quelque chose.
    Et si tout cela est en prévision d’un gros mouvement social alors tant mieux.
    Tout le monde l’attend ce putain de mouvement quelconque, il n’y a plus que les « têtes » qui n’arrivent pas à se mettre d’accord pour pondre un rassemblement unitaire, ça devient incroyable pour ne pas dire indécent, voire plus encore.
    Faut-il rappeler pour la éniéme fois qu’à force de tergiverser c’est l’extréme-droite et les intégristes réacs de tous poils qui montent dans la rue.
    A un certain niveau il sera trop tard, ce sera manif contre manif et les affrontements qui en découleront.
    Ayez bien ça à l’esprit, l’histoire !!!

  29. B
    Posted 11 février 2014 at 15:21 | Permalien

    hé, un truc qui fait vraiment peur :

    http://www.franceculture.fr/emission-fictions-la-vie-moderne-notre-aimable-clientele-110-2014-02-10

  30. Lyonnais
    Posted 11 février 2014 at 15:24 | Permalien

    Ne rêvons pas :

    http://www.lesmutins.org/La-deuxieme-droite-avec-J-P.html

  31. B
    Posted 11 février 2014 at 15:34 | Permalien

    le 2 :

    http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4790028

  32. Posted 11 février 2014 at 16:20 | Permalien

    mais enfin tu ne lis pas D&S, a quoi ça sert de parler alors ?
    on a une revue, un site, des livres, pour dire ca
    notre mensuel depuis 18 mois a une ligne, il faut la lire quand même !
    on a dit que sans mouvement social de masse, la situation ne se débloquerait pas,
    on milite pour un autre mai 68 depuis toujours

  33. Fabien
    Posted 11 février 2014 at 17:30 | Permalien

    Il y a quand même quelque chose que j’ai du mal à comprendre, M. Filoche.
    Vous nous dites: pour faire bouger les choses, il faut un grand mouvement social. Très bien. Vous ajoutez: pour que ce grand mouvement social serve, il faut un vrai débouché politique. Lequel débouché politique… naitra du mouvement social. C’est un peu le serpent qui se mort la queue, votre logique… Comment pensez-vous initier cette dynamique que vous souhaitez?

  34. B
    Posted 11 février 2014 at 17:43 | Permalien

    c’est marqué dans Démocratie et Socialisme:
    10 sujets d’inquiétudes
    1) sur les travailleurs détachés
    2) sur l’inspection du travail
    3) Sur les prud’hommes
    4) Sur le travail du dimanche
    5) sur la formation professionnelle
    6) sur l’amnistie syndicale
    7) sur l’indemnisation du chômage
    8)sur les négociations consécutives à l’ANI du 11 janvier et à la loi du 14 juin
    9) Sur les salaires
    10 ) dans les fonctions publiques

    Nous avons déjà plein d’abonnements :
    à l’eau, au gaz, au téléphone alors pourquoi pas un abonnement de plus pour 30 euros/an ?

  35. archerducher
    Posted 11 février 2014 at 19:08 | Permalien

    @B en 16,on a pas le choix il faut réussir dit-il ! plus facile de taper sur des millions de modestes,que 500 ou plus riches.Députés,sénateurs,conseillers regionnaux,fonctionnaires de haut niveaux,ministres…..ont-ils les mêmes difficultés de fin de mois ? savent-ils le mal qu’ils nous font à nous tordre de taxe en tous genres…..c’est pas à s’abonner a D& S qui va arranger les choses,à le lire en ligne c’est déja pas folichon.Seule solution,renverser ce gouvernement,apès ça sera le néant pendant un moment,mais ce reprendrons à écouter leurs électeurs la prochaine fois,s’il y en aura une !

  36. Respecter
    Posted 11 février 2014 at 19:20 | Permalien

    Hier soir, est passé un documentaire sur FR3 qui était un édifiant « décryptage » de l’engrenage de la collaboration pétainiste, glissant peu à peu jusqu’à l’instauration d’un état fasciste, étapes par étapes, allant au devant des désirs impérieux nazis, de surenchère en surenchère pour asseoir la dictature fasciste par le contrôle culturel du pays et par le brouillage politique.
    Tout cela résonnait méchamment avec ce que nous vivons aujourdhui via la capitulation sans conditions face à la mafia finance. Nouveau régime dictatorial ?
    Je ne suis pas la seule à penser ainsi…
    http://www.dailymotion.com/video/x1bg1ul_2014cnrjlm_news

  37. Gilbert Duroux
    Posted 11 février 2014 at 19:36 | Permalien

    Les médias ont dit que François Hollande était parti aux États-Unis en célibataire. J’ai pourtant cru remarquer qu’il était accompagné de Pierre Gattaz.

  38. Posted 11 février 2014 at 21:12 | Permalien

    oui, c’était un excellent film, c’est mon voisin de palier qui l’a fait

  39. Posted 11 février 2014 at 21:14 | Permalien

    oui, D&S travaille a ce mouvement social, par tout le contenu de ses analyses, et programme social,
    et D&S participe au débouché politique en tenant de faire émerger une issue disponible dans le PS
    et D&S travaille a l’unité de toute la gauche pour fédérer les forces necessaires a sa victoire

  40. Posted 12 février 2014 at 6:21 | Permalien

    y’a qu a renverser le gouvernement ? avec quelles forces , pour quoi ?
    sans unité de la gauche, rien de possible, rien de grand,
    l’unité de toute la gauche cela se construit.

  41. Posted 12 février 2014 at 8:07 | Permalien

    On n’est pas couché b hamon 08 02 2014
    http://ow.ly/twBYl

    Zemmour_Naulleau 07-02-14 G Filoche_J Chartier
    http://ow.ly/twCrT

  42. Bob le camarade
    Posted 12 février 2014 at 10:54 | Permalien

    Le probléme c’est que ça presse.
    Je me demande si vous avez conscience de ça à sa juste mesure.

  43. Posted 12 février 2014 at 10:56 | Permalien

    ah vous croyez ?

  44. Robert
    Posted 12 février 2014 at 11:30 | Permalien

    Vous êtes au PS : c’est vous qui avez mis Hollande au pouvoir. Vous avez collé ses affiches en 2012. Et vous les collerez en 2017.
    Quelle honte …
    Vous devriez vous taire.

  45. B
    Posted 12 février 2014 at 12:24 | Permalien

    11h 50 à 11h 58 sur France Culture

    3/10

  46. Bob le camarade
    Posted 12 février 2014 at 13:03 | Permalien

    Gérard je ne parle pas que ça presse pour les résultats des élections, ça c’est déjà amplement cuit et certainement au delà de ce qui est anticipé.
    Je veux dire que le temps passe et que plus le temps passe, plus ce sera difficile pour de multiples raisons.

  47. Fabien
    Posted 12 février 2014 at 13:18 | Permalien

    J’ai écrit hier  » le serpent qui se mort la queue » et non le serpent qui se mord la queue… N’y voyez surtout pas de funeste présage, encore moins un souhait. Malgré nos gros désaccords stratégiques, je ne veux pas du tout, ni consciemment, ni inconsciemment la mort de la gauche du PS. Je lui souhaite plutôt courage et lucidité…

  48. Posted 12 février 2014 at 13:29 | Permalien

    oh ca va le bashing, car vous vous allez faire pire, laisser passer Copé Le pen, alors pas de leçons..

  49. Bob le camarade
    Posted 12 février 2014 at 13:59 | Permalien

    Ce n’est pas du bashing, nous les petits qui te disons notre ressenti, quant à laisser passer Copé ou Le Pen ce sont les électeurs qui vont en décider.
    Notre avis là dedans ne pése que pouic.

  50. B
    Posted 12 février 2014 at 16:17 | Permalien

    n° 48 : Bob le petit.

    http://www.franceculture.fr/emission-fictions-la-vie-moderne-notre-aimable-clientele-310-2014-02-12

  51. Bob le camarade
    Posted 12 février 2014 at 16:29 | Permalien

    Même à La Rochelle c’est le bordel.
    faut le faire.
    http://www.lexpress.fr/actualite/municipales-a-la-rochelle-olivier-falorni-dezingue-le-ps_1322914.html#xtor=AL-447

  52. B
    Posted 12 février 2014 at 18:38 | Permalien

    c’est ton lien qui ne vaut rien.
    Regarde plutôt ce que j’ai trouvé pour demain :

    http://travail-emploi.gouv.fr/actualite-presse,42/invitations-presse,2140/deplacement-de-michel-sapin-sur-le,17499.html

  53. fredeick
    Posted 13 février 2014 at 11:03 | Permalien

    Interview de JLM où il appelle le front de Gauche, les écolo et la gauche du PS à faire des listes communes aux européennes.
    En passant, il étrille Hollande qui fait copain-copain avec le chef des « pigeons », le patron de Google (condamné en France pour fraude fiscale) et qui fait la promotion des stock-options

    http://www.france2.fr/emissions/telematin/actu/jean-luc-melenchon_211044

  54. Posted 13 février 2014 at 11:54 | Permalien

    ce n’est pas un appel à l’unité, c’est appel à scission, à débauche
    et je croyais que « la gauche socialiste était subclaquante », et que c’étaient « trois aboyeurs qui couinaient puis se couchaient » et il les les veut sur « ses » listes ?

  55. Fredeick
    Posted 13 février 2014 at 12:39 | Permalien

    Je viens de regarder votre vidéo

    http://www.democratie-socialisme.org/spip.php?article2665

    Ce que vous dites me plait beaucoup.
    Vous ne voulez pas aller le dire au Front de Gauche ? Vous serez surement bien mieux entendu qu’au PS. Vous ne bénéficiez pas d’une exposition médiatique suffisante.

  56. Mic
    Posted 13 février 2014 at 13:01 | Permalien

    Baroin vient de dire que: Hollande = Sarkozy !

    Alors c’est le moment de nous expliquer en quoi Copé serait pire que Hollande ?

    Personnellement, pour la première fois depuis 1969, je ne voterai socialiste ni au premier, ni au deuxième tour…

    Je pense vraiment qu’il n’y a plus rien à espérer de ce parti…

    Il est bien évident qu’une « liste d’union » PS-FDG n’attirera pas plus mon bulletin !

  57. Bob le camarade
    Posted 13 février 2014 at 13:37 | Permalien

    @ Gérard.
    Dire que faire des listes ensemble (c’est à dire sur une base commune négociée) ce n’est pas un appel à l’unité, c’est un appel à scission et à débauchage, aprés avoir soutenu que « LE RASSEMBLEMENT DE LA GAUCHE EST UNE ARDENTE OBLIGATION », ça révéle clairement ce que veut dire pour vous cette ardente obligation que l’on voyait autrement, en vérité donc un rassemblement PAR le PS et POUR le PS.
    Avec un tel souhait il n’y a plus de rassemblement possible, ce ne serait plus un rassemblement mais une capitulation face à un PS qui quoique tu dises suit trés majoritairement le tournant néo-libéral du pouvoir.

  58. Bob le camarade
    Posted 13 février 2014 at 13:45 | Permalien

    Il avait raison d’avance.
    novembre 2013
    « Il ne s’alliera nulle part en Nord-Pas de Calais, avec le PCF, ni le PG, ni avec ceux qui critiquent, à gauche, sa position au niveau national. Il a donc pris la décision de ne pas s’adjoindre des alliés de gauche et compte désormais exclusivement sur lui-même et éventuellement sur des joint-ventures entre lui et les divers partis de droite. »
    http://sin.over-blog.com/2013/11/le-ps-perd-le-nord.html

  59. sébastien
    Posted 13 février 2014 at 14:07 | Permalien

    Je voulais répondre au post 53 de Gérard et je me rends compte que le post 57 dit tout ce que je voulais exprimer. Finalement, je m’interroge sur cet appel de la gauche du PS qui me semble aller dans le bon sens et au vu de la réaction à l’appel de JLM, je m’interroge sur le pourquoi d’une telle action quand je vois comment JLM est renvoyé dans ses buts. Peut-être n’est-ce qu’une minable affaire de personne finalement ou une enième tentative du ps de ramener vers lui la gauche et rien que vers lui? Je ne comprends rien là.

  60. B
    Posted 13 février 2014 at 14:36 | Permalien

    intervention complémentaire au n° 55

    quand je leur ai présenté Démocratie et Socialisme, des membres du PS m’ont dit que ce qu’ils comprenaient c’est que ce n’était pas tout à fait les idées qu’ils étaient obligés de défendre; mais la demande qui a été verbalisée peut-être résumée comme suit :
    je n’ai pas internet mais
    Filoche, je voudrais le voir, je voudrais l’entendre.
    ( véridique)

  61. belin
    Posted 13 février 2014 at 14:46 | Permalien

    Votre programme à DS est bien mais vous essayer pas de traiter les causes plus profondes, trop compliqué pour vous la macro ? notre monnaie est trop chère et faire une zone de libre échange avec une monnaie unique ça désindustrialise au profit des pays plus efficaces (qui acceptent la déflation interne). Et la réponse la plus démocratique pour retrouver du souffle c’est de dévaluer en indexant les salaires sur le coût de la vie. Vous aurez aucune marge ds le social ou dans l ‘environmentale, tant qu’ on retrouvera pas de la liberté sur les paramêtres macro car en libre échange, le boulot partira toujours là ou on méprise le plus les travailleurs, et l’environnement.

  62. Gilbert Duroux
    Posted 13 février 2014 at 15:44 | Permalien

    Gérard conteste la qualité de militant à tous ceux qui critiquent la politique de son parti. Se battre pour des droits sociaux, ce n’est pas du militantisme ?
    À Paris une centaine de personnes, intermittents et précaires, occupent actuellement le ministère de la culture (immeuble Les bons enfants).
    Demande a été faite que le Ministère du travail et le Ministère de la culture prennent position sur la récente préconisation du Medef de supprimer les annexes 8 & 10.

    à Toulouse 150 personnes ont occupé une antenne de Pole Emploi ce matin.

    à suivre

    Communiqué du comité de suivi du 11 février 2014, qui rappelle les positions de Hollande et Ayrault quand ils étaient députés :
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=6813

  63. B
    Posted 13 février 2014 at 18:19 | Permalien

    contrairement à n° 61, je m’interroge, je vais sur la dernière vidéo du site Démocratie et Socialisme et là qu’est-ce que je me dis :

    C’est bien parce que en moins de deux, tout le monde comprend qu’il ne faut absolument pas discuter avec l’UMP.

  64. Bob le camarade
    Posted 13 février 2014 at 21:09 | Permalien

    Je me doutais qu’il n’y aurait pas de liste dans la 5éme ville de la Marne, mais pas à ce point.
    Mon cher Gérard ma ville va avoir l’honneur d’étre la (peut-étre) seule avec une liste UMP – PS aux municipales pour conserver 4 strapontins.
    Avec la bénédiction du journal de droite local :
    http://www.lunion.presse.fr/region/un-tandem-inedit-droite-gauchepour-gerer-tinqueux-ia3b24n298403

    Lis bien :
     » L’alliance ne s’est pas concrétisée en tête à tête autour d’un café. Il a fallu l’accord de l’appareil PS : « Deux votes ont eu lieu au sein de la section locale de Tinqueux et le PS fédéral n’a rien trouvé à redire », précise Thierry Côme. »

    A noter que le DVD en question est un UMP qui se masque, candidat de l’UMP aux législatives.

    Je te laisse découvrir aussi ce que ce MR faux-cul qui découvre soudainement des avantages à la droite, déclarait dans la tribune de l’opposition (c’était bien lui qui la signait il y a eu un rectificatif):
    http://www.ville-tinqueux.fr/images/TINQUEUX%20MAG%2062%20BD.pdf

  65. 464946147
    Posted 14 février 2014 at 1:05 | Permalien

    https://www.youtube.com/watch?v=pPjYq9LoG3M

  66. Bob le camarade
    Posted 14 février 2014 at 1:06 | Permalien

    Bon puisque ça ne passe pas avec deux liens je recommence :
    Je me doutais qu’il n’y aurait pas de liste dans la 5éme ville de la Marne, mais pas à ce point.
    Mon cher Gérard ma ville va avoir l’honneur d’étre la (peut-étre) seule avec une liste UMP – PS aux municipales pour conserver 4 strapontins.
    Avec la bénédiction du journal de droite local :
    http://www.lunion.presse.fr/region/un-tandem-inedit-droite-gauchepour-gerer-tinqueux-ia3b24n298403

    Lis bien :
    » L’alliance ne s’est pas concrétisée en tête à tête autour d’un café. Il a fallu l’accord de l’appareil PS : « Deux votes ont eu lieu au sein de la section locale de Tinqueux et le PS fédéral n’a rien trouvé à redire », précise Thierry Côme. »

    A noter que le DVD en question est un UMP qui se masque, candidat de l’UMP aux législatives.

  67. Bob le camarade
    Posted 14 février 2014 at 1:08 | Permalien

    Et donc en second lien je te laisse découvrir aussi ce que ce MR faux-cul qui découvre soudainement des avantages à la droite, déclarait dans la tribune de l’opposition (c’était bien lui qui la signait il y a eu un rectificatif):
    http://www.ville-tinqueux.fr/images/TINQUEUX%20MAG%2062%20BD.pdf

    Va faire confiiance à des socialistes comme ça.

  68. Posted 14 février 2014 at 1:32 | Permalien

    non, non, ce n’est pas une question de personne, en rien, mais un gars qui nous envoie des escouades de gens qui nous agressent sur le fait qu’on veuille construire une gauche socialiste et qui propose une alliance sur ses listes aux européennes, qu’est ce que c’est ? bidon
    il n’est pas « renvoyé dans ses buts » car tout simplement il n’a pas essayé d’en marquer
    c’est de VOUS qu’il se moque, car nous, il ne fait pas illusion une seconde…
    la bataille pour l’unité est une chose serieuse

  69. Posted 14 février 2014 at 1:35 | Permalien

    non ce n’est pas du tout, du tout, un appel à l’unité, c’est une insulte, quiconque est sérieux le sait,

  70. Posted 14 février 2014 at 1:35 | Permalien

    lis, lis, lis le programme de copé

  71. Posted 14 février 2014 at 1:37 | Permalien

    mais je m’en fou d’être « entendu » du front de gauche,
    je veux parler a ceux qui ne sont pas convaincus, ELARGIR, pas rester en un petit cercle,

  72. archerducher
    Posted 14 février 2014 at 8:17 | Permalien

    Non,non Mr Filoche,vous avez raison de vous foutre du FdG,car personnelement je n’y tiens pas,vous nous feriez que du tords car avoir fait de tant de foin pour votre réunion d’une journée qu’on vous à coupé a une petite demi-journée et la conclusion du 1er ministre qui a renvoyé dans vos 22 signifie que vous resterz a la solde de ce gouvernement quoi qu’il arrive,car défendre l’unité de la gauche dans ce partie ce résume a 27 signatures dont certains ont eut quelques difficultés avec la justice et ainsi on les pieds et mains liés,pendant que les autres dit socialistes continueront d’appliquer la methode Sarkosy pour nous berner.
    Vous n’êtes pas à gauche Mr Filoche,en faîte vous faites semblant,vous savez pas ou vous situer,le cul entre deux chaises.

  73. archerducher
    Posted 14 février 2014 at 8:19 | Permalien

    Non,non Mr Filoche,vous avez raison de vous foutre du FdG,car personnelement je n’y tiens pas,vous nous feriez que du tords car avoir fait de tant de foin pour votre réunion d’une journée qu’on vous à coupé a une petite demi-journée et la conclusion du 1er ministre qui a renvoyé dans vos 22 signifie que vous resterz a la solde de ce gouvernement quoi qu’il arrive,car défendre l’unité de la gauche dans ce parti ce résume a 27 signatures dont certains ont eut quelques difficultés avec la justice et ainsi on les pieds et mains liés,pendant que les autres dit socialistes continueront d’appliquer la methode Sarkosy pour nous berner.
    Vous n’êtes pas à gauche Mr Filoche,en faîte vous faites semblant,vous savez pas ou vous situer,le cul entre deux chaises.

  74. Lyonnais
    Posted 14 février 2014 at 11:36 | Permalien

    D’accord moi aussi je vais lire le programme de Copé…
    Mais grâce à hollande nous savons qu’un candidat élu peut s’asseoir sur son programme et gardez le soutien des membres de son parti même lorsqu’ils de rassemblent dans D&S et signent à 27 une vigoureuse mise en garde !
    Je sais Copé risque lui d’appliquer ce qu’il propose mais la situation sera claire et le mouvement social que vous souhaitez possible.
    Pour le moment quand j’entends Le Paon dire que Hollande n’est pas identique à Sarkozy je suis atterré ! Baroin lui a craché le morceau !
    je ne comprends pas qu’après le voyage de Hollande aux USA certains se bercent encore d’illusions !
    PS ; j’aimerais bien que ce commentaire ne passe pas à la trappe comme le précédent qui n’avait rien d’injurieux ni d’obscène !

  75. Bob le camarade
    Posted 14 février 2014 at 14:03 | Permalien

    « un gars qui nous envoie des escouades de gens qui nous agressent sur le fait qu’on veuille construire une gauche socialiste et qui propose une alliance sur ses listes aux européennes, qu’est ce que c’est ? bidon »

    C’est que tu en déduis qui est bidon.
    JLM n’envoie pas d’escouades pour vous agresser afin d’empécher de construire une GS c’est n’importe quoi.
    Refuser des listes communes avec d’autres au motif d’élargir autour de soi c’est bien ce que je dis, l’élargissement c’est juste pour le PS, c’est respectable, mais il ne faut pas appeler au rassemblement de toute la gauche comme une ardente obligation avec la main sur le coeur quand en vérité on ne le recherche que pour son propre camp.
    C’est ça qui est bidon.
    De toute façon moi l’autre élargissement du PS dans ma ville j’ai compris ce que c’est (voir en 65).
    Alors que le meilleur gagne et puis c’est marre.

  76. Fredeick
    Posted 14 février 2014 at 15:25 | Permalien

    La région Ile de France vient de voter l’exclusion de la région du Grand Marché Transatlantique.
    Une majorité obtenue par le FdG et EELV contre l’avis du PS.

    Comme quoi une majorité de gauche hors PS est possible.

    https://twitter.com/search?q=%23IDFhorsGMT&src=hash

  77. Bob le camarade
    Posted 14 février 2014 at 15:38 | Permalien

    @ Freideck
    Belle victoire de l’UNITE de gauche sur la division.

  78. Fredeick
    Posted 14 février 2014 at 15:57 | Permalien

    Alors imaginez une majorité FdG + EELV + gauche du PS…

    Il y de quoi faire de belles choses… de gauche.

  79. Bob le camarade
    Posted 14 février 2014 at 16:03 | Permalien

    Oui ma GS n’en veut pas donc l’affaire est entendue.

  80. Fredeick
    Posted 14 février 2014 at 16:27 | Permalien

    Non, non. Gérard a raison. Il faut se battre pour l’union de la gauche. Mais des gens de gauche, il y en a de moins en moins au PS. Le gros des troupes de gauche se forme à l’extérieur du PS aujourd’hui.

  81. Bob le camarade
    Posted 14 février 2014 at 17:47 | Permalien

    @ FREDEICK
    Pas un seul élu PS n’a voté pour l’exclusion de la région IDF du Grand Marché Transatlantique.
    Pas un seul !

  82. B
    Posted 14 février 2014 at 18:44 | Permalien

    ben woué, la Saint Valentin a tendance à se perdre.

  83. Posted 14 février 2014 at 21:34 | Permalien

    c est toi qui le dis, a ce rythme c est bon pour 2050…

  84. Bob le camarade
    Posted 14 février 2014 at 21:41 | Permalien

    On est déjà repassé en dessous des conditions de 1981 pour les acquits sociaux (retraites, chomage, sécu,etc) et ce pouvoir va bientôt nous ramener en dessous de 1968, si ce n’est en dessous d’avant le CNR s’il se lache, alors le rythme n’a plus beaucoup d’importance.

  85. Posted 14 février 2014 at 21:50 | Permalien

    bah non ca fera pas une majorite

  86. Bob le camarade
    Posted 14 février 2014 at 22:50 | Permalien

    Toute majorité est issue d’une minorité.

  87. Posted 14 février 2014 at 23:03 | Permalien

    exact mais les moyens de devenir une majorité sont toujours les mêmes, associer, rassembler, unir
    pas diviser, pas sectariser,
    s’éloigner de la mentalité avant gardiste autoproclamée et triomphaliste de la 3° période de la IIIe IC
    s’approcher de la stratégie du front unique ouvrier des 2e et 3e Congres de l’IC

  88. Bob le camarade
    Posted 15 février 2014 at 0:20 | Permalien

    Oui bah tout cela il faut déjà le vouloir autour de soi, car que je sache un rassemblement implique diverses composantes, pas seulement à l’intérieur d’une structure, puis quand un parti n’est déjà pas unitaire chez lui ça complique l’exercice.
    Et de mon expérience il est loin de le devenir.

  89. Erik22
    Posted 15 février 2014 at 2:11 | Permalien

    A l’initiative des élus Parti de Gauche et Alternatifs, le Conseil régional d’Île-de-France vient de voter une délibération demandant l’arrêt des négociations sur le Traité de libre échange entre l’Europe et les Etats-Unis.
    Cette délibération déclare placer la région capitale hors de cet accord de libre échange.

    Ce vote a été remporté grâce au rassemblement de l’ensemble des élus du Front de Gauche et d’Europe Ecologie – les Verts.

    Et voilà comment on constitue une majorité qui fait avancer les choses Mr Filoche – bien sûr les élus PS n’ont pas voté pour, Hamon en tête ! tout est rapport de force, pas de faire croire qu’il n’y a pas d’avenir à la gauche en dehors du PS !

  90. Posted 15 février 2014 at 7:25 | Permalien

    bravo, j’aurais voté !

  91. Bob le camarade
    Posted 15 février 2014 at 13:58 | Permalien

    Perso j’en doute pas mais en attendant quand on regarde la liste des élus en IDF pas un n’a voté contre.
    Tu ne va pas me dire qu’il n’y en a pas un seul de la GS dans cette liste d’IDF ?
    Ou même pas un seul qui soit résolument contre ce GMT ?
    C’est affolant.

  92. Bob le camarade
    Posted 15 février 2014 at 19:32 | Permalien

    C’est quand même curieux s’allier avec le PCF ou des FDG sur des listes PS c’est normal, mais le contraire c’est l’exclusion.
    A part ça le PS est trés démocratique.

    Bravo à lui :
    « Je reste socialiste de cœur mais je ne me reconnais plus dans la politique menée par le gouvernement, justifie ce dernier.
    Il y a ceux qui ne disent rien, qui ravalent leur rancœur. Moi, je préfère assumer mon indépendance d’esprit », argumente l’élu.
    http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/municipales-a-saint-maur-le-ps-se-dechire-15-02-2014-3593923.php

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