la recherche de l’unité de toute la gauche est indispensable pour un sursaut et un gouvernement rouge rose vert

Bien sur que lorsque nous appelons à un  gouvernement rouge rose vert, nous lançons cet appel à toute la gauche et pas seulement aux députés socialistes pour les convaincre !

Car si le PS a perdu au moins 25 % de l’électorat de gauche vers l’abstention, le FDG n’a pas attiré ces abstentionnistes

Pourquoi donc ? demande Hugo Melchior longuement dans le forum de ce blog au dos de ces pages ?

Le PS a perdu par sa propre faute, à cause de la tragique ligne politique choisie par l’exécutif, cette politique d’austérité qui nous mène au désastre et que nous, gauche socialistes, motion 3 et 4, UMA, ceux qui seront à Bellerive sur Allier les 20 21 22 juin, combattons de toutes nos forces

Pour nous la société française n’est pas « droitisée », le FN à 10 % des voix exprimées mais il est en tête en pourcentage parce que l’orientation de la gauche est catastrophique ! la gauche est majoritaire en France, mais ses électeurs s’abstiennent parce qu’ils sont en colère ils se sentent massivement trahis comme jamais, par la politique choisie par F Hollande avec Manuel Valls.

Mais il faut répondre à la question : pourquoi le FDG n’a pas récolté ce que le PS a perdu ?
Les électeurs socialistes sont allés vers l’abstention, pas vers le FDG ni EELV ni LO ni NPA ni ND.  25 % d’abstention de gauche, de voix socialistes en moins, c’est énorme. Ils ont signifié qu’en tant qu’électeurs socialistes ils voulaient sanctionner la politique qui les trahissait et mettait ainsi en colère.

cela ne me surprend pas, j’en étais sur, hélas,je l’ai écris mille fois sur ce blog et le forum qui lui est lié
j’ai toujours dis et redis, avec D&S,  depuis de longues années, il n’y a pas deux gauches, il n’y en a qu’une
il n’y a qu’un salariat, il ne doit y avoir qu’une seule gauche, la seule force gagnante c’est le rassemblement, divisés on perd

rien de grand ne peut se faire sans unité de la gauche

rien ne s’est jamais fait de grand sans unité de la gauche

la preuve est que les électeurs ne distinguent pas deux gauches, c’est un fait, c’est la réalité toujours toujours confirmée à chaque fois, sans exception,

quand une partie de la gauche perd, toute la gauche perd…

rien ne sert de jouer à faire sémaphore et de dire
- soit je ne suis pas de cette gauche là
- soit cette gauche la n’est pas de gauche (et de droite, sic)

 

la réponse n’est pas dans la démarcation, la dénonciation, dans le clivage, la réponse est en pratique dans le retournement untiaire de la situation

car les électeurs (c’était déjà le cas en 1983 et je l’avais compris à l’époque) mettent toute la gauche dans le même sac, et la rejette dans son ensemble
on gagne tous ensemble, ou on perd tous ensemble, c’est comme ça

au lieu de le nier, il faut le comprendre et bâtir l’action politique là-dessu

savoir que soit on se sauve ensemble soit on meure ensemble,

cela veut dire ne pas croire qu’on va « faire la peau » au PS (« astre mort » cadavre à la renverse »  UMPS, et autres joyeusetés  etc…) et construire autre chose, mais comprendre qu’il faut inverser le cours des choses, avec et dans le PS, autour du PS, et en l’entrainant, en créant une autre situation dynamique,un rapport de force l’incluant, il ne faut renoncer à compter 33 % des voix aux européennes à gauche ET au moins 25 % d’abstentions, on a 55 % des voix, mais pour les rassembler il faut à la fois réussir l’unité et avancer les éléments de programme qui la permettent)

 

c’est pareil au plan syndical dans els boites, il faut l’unité pour lutter et gagner

parce que les électeurs de gauche, les salariés sont pratiques, matérialistes et réalistes, et ils savent qu’aucune gauche sans l’autre ne peut réussir…

sans unité de la gauche, ils savent qu’aucun parti de la gauche ne vaut rien, aucun vote n’est « utile » sans unité, alors ils s’abstiennent
a fortiori si la ligne de l’autre gauche c’est de jouer a la grenouille qui veut faire boeuf
ou si l’autre partie de la gauche passe son temps à dénoncer la première
ou si l’autre partie de la gauche veut passer « devant » avant toute chose
la division n’attire pas, elle fait reculer tout le monde à gauche
la proclamation la déclamation la provocation non plus ne paient pas,

seule l’unité peut être stimulante, polarisante, attractive (et encore difficilement tant qu’elle n’est qu’un projet, c’est je ne cesse de le répéter, une ligne, un combat, une orientation, une volonté, une construction, ça doit avancer dans les esprits, dans les faits, sur des thèmes, d’abord ponctuels, un par un, puis ça donnera des résultats énormes qui, alors créeront une dynamique qui ira bien plus à gauche que toutes les gauches, les électeurs seront assurés et se sentiront forts, – on occupera les usines les bureaux…- ce qui n’est jamais le cas avec la division)

si les députés rouges roses verts se rencontrent et élaborent une plate forme, c’est urgent, c’est la meilleure voie, ce sera attractif, pour les autres députés mais surtout pour les électeurs
et aussi pour encourager les luttes, car il leur faut un débouché politique,

et là il faut que je crie à la cantonade en faveur de l’unité, pas seulement dans le PS : car nous avons à convaincre des députés PS, de tenir, d’exiger, de faire des démarches, d’oser,
mais il faut que le comportement des députés FDG et EELV soit constructif, s‘ils passent leur temps  à désespérer, à régler des comptes, à annoncer que c’est foutu, que de toute façon ça va échouer, que les députés PS vont se coucher, ce sera  foutu, mais ils perdront leurs sièges aussi, tous perdront leur sièges !
il faut que à l’assemblée mais aussi partout dans les circonscriptions les appels à l’unité pour un gouvernement rouge rose vert se multiplient, de tous horizons, pas seulement socialistes !

tout le monde à son niveau, doit jouer sa partie, à la fois pour mettre Valls en minorité, à la fois pour préparer les conditions du gouvernement rouge rose vert qui correspondra enfin aux attentes des votes de mai juin 2012

10 Commentaires

  1. Melchior Hugo
    Posted 9 juin 2014 at 17:07 | Permalien

    « Que les travailleurs fassent leur propre expérience…»

    Si j’en suis venu à évoquer les années 80 dans mon court et modeste développement sur la défaite du Front de gauche aux élections européennes, c’est parce que je me suis rendu compte qu’en dépit de l’expérience des années Mitterrand, années cauchemars pour notre camp, une partie importante des militants de la gauche radicale, et particulièrement ceux et celles militants au sein du Front de gauche, partageaient encore l’intime conviction qu’il suffisait au fond de laisser les sociaux-libéraux dérouler le tapis de leur politique, eux qui avaient su opportunément profiter de ces dix années passées dans l’opposition pour se refaire un semblant de virginité aux yeux d’une partie de l’opinion qui, après dix années de vielle droite, aspirait à changer de gouvernement et aussi de politique.
    Il suffisait que ce parti démontre ce qu’il n’a jamais au fond cesser d’être durant toutes ces dernières décennies, c’est-à-dire un pilier de l’ordre existant, et ainsi en vienne par voie de conséquence à se déconsidérer définitivement aux yeux de tous ces millions d’électeurs qui, sans espérer un véritable changement de société, François Hollande évidemment n’avait rien promis de tel pendant sa campagne, avaient quand même espéré que certaines choses s’améliorent. Il fallait que les travailleurs, les électeurs de gauche, tous ceux notamment qui avaient décidé de céder au fameux chantage au vote utile, fassent à nouveau « leur propre expérience de l’exercice du pouvoir par les socialistes », selon l’expression consacrée. Déconsidéré, discrédité par leurs innombrables forfaitures, le gouvernement deviendrait, malgré lui, le meilleur pourvoyeur de voix pour les organisations qui affirmaient depuis longtemps déjà leur opposition de principe à cette fausse gauche, à cette droite qui ne dit pas son nom. Il suffisait juste de se montrer patient, tenir bon sur ses principes cardinaux et surtout ne pas céder aux procès en division des socialistes.
    Au fond, les espoirs de la gauche révolutionnaire ont toujours reposé sur la conviction fondamentale selon laquelle si les discours ne suffisent pas, si les mots sont impuissants pour convaincre les travailleurs qui ont le cœur à gauche,qui ne s’insurgent contre ce scandale permanent qu’est le mode de production capitaliste, de la véritable nature des partis prétendument réformistes, alors les actes, les faits visibles et mesurables, les agissements concrets, de ces mêmes partis, eux, seront suffisamment têtus pour ne plus laisser la moindre place aux doutes. Le développement historique viendra alors valider et rendre justice aux mises en garde, aux justes procès d’intention adressés par les organisations de la gauche radicale à l’encontre du parti qui prétend, hier comme aujourd’hui, être le seul à jouir de la légitimité suffisante pour pouvoir occuper la maison du pouvoir.
    Les travailleurs frustrés, écœurés de leur premier vote devaient, alors, prendre conscience, s’éveiller enfin progressivement à la vérité que les discours maximalistes, le verbiage radical des dirigeants socialistes étaient parvenu à dissimuler quand ces derniers campaient dans l’opposition et qu’ils se préparaient à entamer leur marche vers la reconquête du pouvoir afin de pouvoir assumer à nouveau le rôle de « gardiens temporaires et intérimaires de l’ordre établi ». Fort de cette expérience réellement fondatrice, les travailleurs, enfin éclairés par la lumière des événements, ne pourraient que se tourner vers les organisations qui n’avaient eu de cesse de les alerter, qui n’avaient pas renoncé, eux, à défendre inlassablement un projet de transcendance sociale, bref, une vraie politique de gauche.
    L’amertume, l’incompréhension, la désespérance sociale qui règne aujourd’hui, au lendemain des européennes au sein des formations appartenant à l’opposition de gauche est aussi la conséquence de ce terrible constat : quand la vielle droite est au pouvoir, le PS apparaît en dernière analyse comme la seule alternative légitime pour occuper la maison du pouvoir à sa place et lorsque c’est le PS qui en vient à gouverner, en prenant bien soin d’ d’inscrire ses choix politiques au sein du consensus pro-capitaliste, il sombre certes dans les abîmes, mais sans que soit néanmoins remis en question sa supériorité électorale sur le segment de l’électorat de gauche, sans que cela ne débouche sur des luttes sociales d’ampleurs susceptibles de l’acculer au point de le faire céder, de l’obliger à mener une autre politique dont le contenu ne serait plus subordonné au respect des grands équilibres économiques.
    Les années 80 l’avaient déjà démontré, trente ans après, c’est l’histoire qui nous donne la même leçon politique : il ne suffit pas que les travailleurs fassent à un moment donné l’expérience de la forfaiture des dirigeants socialistes, qu’ils en viennent sinon à haïr, du moins à mépriser ceux qu’ils ont élu, pour que ceux et celles qui revendiquent haut et fort le statut « d’opposition de gauche » soit perçus par une majorité d’électeurs, même par une minorité substantielle, comme une alternative crédible et désirable et qu’elle n’ait au fond plus qu’à se baisser pour ramasser le drapeau du pouvoir tombé des mains de la gauche traîtresse et traînant par terre au coin d’une rue.

    Au final, et après deux ans de gouvernance socialiste, l’atonie sociale demeure. La fausse gauche plie mais ne romps toujours pas. L’opposition de gauche, elle, pleure de ne plus savoir quoi faire pour remonter la pente et devenir à nouveau sur le plan des idées, des luttes et des élections concurrentielle. La droite compte les jours sur le calendrier de la revanche pour récupérer les clés de ce qu’elle a toujours considérée depuis 1958 comme étant sa propriété exclusive. Et le FN quant à lui compte ses voix avec appétence, se prenant même à rêver d’une possible prise du pouvoir en 2017, prise du pouvoir dans le respect des institutions établies, par la seule règle majoritaire…

  2. Gilbert Duroux
    Posted 9 juin 2014 at 17:09 | Permalien

    Une fois de plus tu fais semblant de ne pas comprendre et tu pratiques l’amalgame. Quand bien même les électeurs mettraient toute la gauche dans le même sac (ce qui n’est pas démontré, il n’y a pas 25 % du Front de gauche qui s’est abstenu, sans parler du comportement ambigu du PCF qui a désorienté les électeurs), les responsabilités de chacun ne sont pas les mêmes. À l’assemblée, ce n’est pas le PCF qui vote le programme de Valls et du MEDEF. Alors il y a bien un préalable pour un gouvernement rouge, rose, vert. Il faut que les députés PS arrêtent de voter Valls MEDEF sinon comment veux-tu ne serait-ce qu’envisager de constituer un gouvernement alternatif ?
    Déjà, on verra la sincérité des 41 au moment du vote du collectif budgétaire.

  3. Posted 9 juin 2014 at 19:50 | Permalien

    ce n’est pas le PCF qui avait un comportement ambigu, il cherchait l’unité dans les moins mauvaises conditions,
    il avait raison
    c’est le PG qui a tort de faire une surenchère pire que la LCR des années 70

  4. Roubachoff
    Posted 9 juin 2014 at 21:32 | Permalien

    Si vous arrêtiez avec votre gouvernement « rouge-rose-vert » ? Dans le cas très improbable où l’Assemblée renverserait le gouvernement, il y aurait dissolution, nouvelle Assemblée (de droite) et cohabitation. Vous pensez sérieusement que François Hollande a fait tout ça, trahi et renié tant de choses, pour vous remettre gentiment les clés du pouvoir ? M. Filoche peut jouer dans son bac à sable à « Moi, ministre », ça ne changera rien. Il peut aussi écrire contre toute raison que l’Europe ne nous empêche pas d’augmenter le SMIC et de revenir à la retraite à 60 ans. L’incantation ne coûte rien, pas vrai… Sait-il que Bruxelles, dans ses dernières « recommandations » à la France ordonne de diminuer le coût des retraites (notamment en s’en prenant aux régimes spéciaux) et de faire « évoluer » le SMIC (pas à la hausse, personne n’en doute.)
    Quant à la (relative) défaite du Front de Gauche, que pouvait-on attendre d’autre après que le PC, aux municipales, eut avec l’amicale complicité de M. Valls tout simplement dissout de fait le FDG ?
    Il m’arrive parfois de penser que la gauche du PS est encore plus insupportable que la droite…

  5. Gilbert Duroux
    Posted 10 juin 2014 at 0:14 | Permalien

    Tu es de plus en plus grotesque. Comment peux-tu imaginer un gouvernement rouge rose vert avec la plupart des députés PS qui votent le programme anti-social de Valls et du MEDEF ? Tu refuses de répondre à cette interrogation évidente, ça prouve bien que ton seul soucis, c’est ta boutique et non une réelle alternative.
    Tu n’imagines tout de même pas que le Front de gauche va voter avec le PS s’il n’y a pas une réelle volonté de rupture avec le programme austéritaire du MEDEF. Sois sérieux 5 minutes.
    RAPPEL : seuls 41 députés PS se sont abstenus devant le programme de Valls. Les faits sont têtus.

  6. Posted 10 juin 2014 at 0:17 | Permalien

    Je cite Gérard Filoche :

    « pour mettre Valls en minorité »

    « quand une partie de la gauche perd, toute la gauche perd… » et aussi « les électeurs ne distinguent pas deux gauches »

    Faudrait savoir !

  7. Posted 10 juin 2014 at 6:33 | Permalien

    fais un effort, reflechis, les deux phrases sont coherentes ensemble justement

  8. Posted 10 juin 2014 at 7:30 | Permalien

    jean marc germain présentait l’ANI… et puis aujourd’hui il est opposant

  9. Nicks
    Posted 17 juin 2014 at 10:29 | Permalien

    Je pense en effet que toute la gauche est décrédibilisée par le Ps et que l’unité ne peut désormais se construire qu’en dehors de cette formation politique. Si le FdG n’a pu augmenter que marginalement son score des précédentes élections européennes, c’est précisément parce qu’il est encore associé à la gauche qui a échoué et s’est reniée dans les grandes largeurs, c’est à dire au Ps. L’attitude du Pc y est pour beaucoup. Au contraire, en Grèce, là où la gauche a rompu avec la social-démocratie dévoyée, Syriza est arrivé en tête. Il n’y a plus d’avenir pour la gauche avec le Ps. S’il y reste des militants et des élus de gauche et c’est bien entendu le cas, ils doivent prendre leurs responsabilités et quitter ce radeau en perdition…

  10. Posted 17 juin 2014 at 12:04 | Permalien

    Sursaut socialiste sursaut à gauche
    http://sursaut-socialiste.fr/
    inscrivez-vous : bellerivejuin2014@orange.fr

    Premier rassemblement national de militants socialistes contre l’austérité à Bellerive-sur-Allier
    20 21 22 juin 14
    Ils viendront de 60 départements en fin de semaine.
    Ils se déplaceront avec leurs seuls moyens et leur volonté militante. Ce sont des socialistes inquiets et en colère.
    Ils sont choqués par les désastres électoraux des 30 mars et 25 mai et veulent réagir vite, échanger, proposer.
    Ils sont choqués quand le Premier ministre leur dit « la gauche peut mourir ». Elle n’aurait « jamais été aussi faible depuis 1958″ !
    Comment ça ? La gauche dirigeait tout, elle avait tout pour réussir en mai juin 2012, elle n’avait jamais été aussi forte, elle avait un projet, une feuille de route, et elle serait menacée de « mourir ».
    Mais à qui la faute ?
    Les électeurs, la gauche, les socialistes savent que si la gauche est menacée, c’est par la politique d’austérité actuelle du gouvernement. Parce que les promesses, pourtant modérées et réalistes du « discours du Bourget » n’ont pas été tenues.
    Or il y a de l’espoir !
    En fait la gauche est toujours majoritaire à la base dans le pays. D’ailleurs, elle lutte socialement.
    Mais il y a un immense rejet de l’exécutif à cause de son autisme.
    Pour sauver la gauche, 40 % du BN du PS et plus de 100 députés socialistes se sont mobilisés. Il existe toujours une majorité rouge rose verte à l’Assemblée nationale, elle doit, elle peut assumer son pouvoir.
    Les rencontres avec tout la gauche, avec les Verts (EELV) avec le Front de gauche (PCF, PG, Ensemble) sont en cours. Des amendements unitaires des trois groupes parlementaires sont déposés au « collectif budgétaire » fin juin. Des discussions pour l’unité de la gauche ont repris. Elles auront lieu aussi à Bellerive.
    Le sursaut c’est maintenant
    A l’appel de plusieurs sensibilités socialistes : MLG (Maintenant la gauche – motion 3), OPLPV (Oser Plus Loin Plus Vite – motion 4), et avec la participation de différentes sensibilités du parti : UMA ( un Monde d’avance), les socialistes affligés, NVS (Nouvelle voie socialiste), D&S (Démocratie & Socialisme), soutenu par « les socialistes contre l’austérité »
    Seront présents : 15 membres du BN du PS et députés socialistes et des invités de la gauche : Paul Alliés (BN), Pouria Amirshahi (député, BN), Patrick Ardoin (BN), Guillaume Balas (BN), Marie Bidaud (BN), Stéphane Delpeyrat (BN), Rémi Dermersseman-Pradel (BN), Julien Dray (BN), Gérard Filoche (BN), Jérôme Guedj (BN), Pascal Cherki (député), Lucien Jallamion ( Résistances) Marie Noëlle Lienemann (sénatrice, BN), Frédéric Lutaud (BN), Philippe Marlière et Liêm Hoang Ngoc (socialistes affligés), Emmanuel Maurel (BN), Mehdi Ouraoui, Christian Picquet ( GU), Barbara Romagnan (députée), François Ruffin, (Fakir) Marc Slyper (intermittents CGT) …
    Vendredi soir : échange sur la situation du PS et l’attente des militants
 – Samedi matin : table ronde débat sur la crise démocratique et les changements institutionnels (VIe République, collectivités locales) -
Samedi après-midi : la bataille contre l’austérité et pour de nouveaux modes de développement
- Le samedi soir, repas convivial
- Dimanche matin : Construire le rassemblement de la gauche et des écologistes.
    Socialistes, militants de gauche, il faut savoir être là aux bons moments, aux grands rendez-vous,
    Soyez là !

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