Réunion publique de la gauche du Parti socialiste à Paris
Lundi 9 mars à 19 h 30
« Une autre politique est possible »
prendront la parole pour les différentes contributions :
Maya Akkari
Patrick Ardoin
Guillaume Balas
Fanélie Carey-Conte
Pascal Cherki
Gérard Filoche
Daniel Goldberg
Marie-Noëlle Lienemann
à la Bellevilloise, 19-21 rue Boyer 75 019
7 Commentaires
Bonsoir à tous,
En complément de ce qu’a écrit notre camarade Gérard Filoche, je vous invite à lire l’article intitulé « Une majorité de personnes vivant en France soutient les députés frondeurs », disponible à l’adresse suivante : http://alternatives-economiques.fr/blogs/raveaud/2015/03/02/une-majorite-de-personnes-vivant-en-france-soutient-les-deputes-frondeurs/
Solidairement.
Grâce à des Marisol Touraine,le PS s’enfoncera un peu plus,pour gagner 3 milliards d’euros elle va faire supprimer 22 000 postes dans les hôpitaux d’ici 2 ans et les malades…..et les vieux en souffrance…bof.
On aurait jamais pensé ça de la gauche et après 2017 le prochain gouvernement pourra continuer l’oeuvre et pendant ce temps nos politiques se gavent sur nos impôts.
Henri Emmanuelli sort de sa réserve. Celui qui a signé la contribution de Benoît Hamon en vue du congrès du PS, qui se déroulera à Poitiers les 5, 6 et 7 juin, a décidé de briguer un nouveau mandat de président du Conseil général des Landes. Et pour ce faire, il se démarque de la ligne gouvernementale. Au JDD, daté du 1er mars, il justifie sa démarche en expliquant que « ce n’est pas le moment de tourner le dos ».
Et si Henri Emmanuelli « aime l’entreprise », comme le polyglotte Manuel Valls, il aime beaucoup moins l’attitude du Premier ministre et sa « politique de provocation ». A l’approche du congrès PS, il avertit l’ancien maire d’Évry que sa ligne n’est pas celle voulue par le parti. Voici ce qu’il déclare :
Si le congrès servait à imposer une ligne Valls, une ligne sociale-libérale qui n’est pas majoritaire au sein du PS, ce serait une faute politique majeure et ce serait mortifère pour la gauche. S’ils veulent nous écraser, alors oui, il y aurait un risque d’implosion, de scission.
Mais le Premier ministre n’est pas le seul dans le viseur de l’ancien premier secrétaire du PS. Emmanuel Macron et ses avertissements à l’égard des frondeurs (comme ici, ici ou ici) ont déplu à Henri Emmanuelli. Voici ce qu’il déclare à propos du ministre de l’Économie :
Il est sympathique, mais il n’est pas fait pour la politique si c’est ainsi qu’il prend les choses.
Autre membre du PS visé : Bruno Le Roux, le président du groupe socialiste à l’Assemblée. En cause : l’autoritarisme de celui-ci. Le 25 février, ce dernier avait écrit aux députés PS pour leur signifier qu’il pourrait dorénavant en référer à Jean-Christophe Cambadélis, patron du PS, si certains députés décidaient de ne pas respecter les consignes de vote. Du coup, Emmanuelli se lance dans le petit jeu des comparaisons :
Il ne faut pas qu’il se prenne pour le sergent Garcia.
Sergent Garcia? Mais si, vous savez, le fidèle adversaire de Zorro qu’il prenait un malin plaisir à le ridiculiser.
Pas sûr que cela plaise à Bruno Le Roux qui a fait acte d’autorité en demandant la démission de Gérard Bapt de la présidence du groupe d’amitié France-Syrie le 26 février.
EXCLUSIF. Gaz de schiste : la France va explorer en Algérie
Le Point.fr – Publié le 20/12/2012 à 10:33 – Modifié le 21/12/2012 à 17:18
Un accord permettant d’expérimenter une alternative à la fracturation hydraulique sur le territoire algérien sera signé.
Laurent Fabius s’était rendu en Algérie en juillet dernier. © Farouk Batiche / AFP
Par Michel Revol
Par Laurence Neuer
Le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius a fait quelques confidences jeudi matin à un petit nombre de journalistes. Dans ses propos, une information : la France et l’Algérie vont prochainement signer un accord permettant des recherches françaises sur le territoire algérien dans le domaine de l’exploitation des gaz de schiste.
On sait le sujet sensible et capable de fâcher tout rouge l’allié écologiste. Les quelques permis d’exploitation à des fins de recherche délivrés sur le territoire national sont en effet considérés par les Verts comme des chevaux de Troie, prélude à l’exploitation tout court. Mais le gouvernement ne renonce pas à l’idée d’un mode d’exploitation moins dangereux pour l’environnement que la fracturation hydraulique, le seul disponible actuellement. C’est donc en Algérie que ces recherches seront menées. Les Algériens, eux, ne risquent pas de râler.
Algérie : 40 policiers blessés lors d’une manifestation anti-gaz de schiste
Le Monde.fr avec AFP Le 02.03.2015 à 10h08 • Mis à jour le 02.03.2015 à 10h39
L’Algérie – qui posséderait les quatrièmes réserves mondiales de gaz de schiste, après les Etats-Unis, la Chine et l’Argentine – compte investir massivement dans l’exploration de cette ressource afin de compenser la baisse de ses revenus pétroliers, mais se heurte à l’hostilité des populations vivant près des gisements, inquiètes des conséquences de ces forages sur leur environnement. Dimanche 1er mars, quarante policiers ont été blessés dans des heurts avec des manifestants hostiles à l’exploitation du gaz de schiste à In-Salah, dans le Sahara algérien.
« La ville d’In-Salah a connu des incidents touchant l’ordre public, initiés par un groupe de jeunes contestant les opérations d’exploration du gaz de schiste dans cette région », a précisé le ministère de l’intérieur algérien dans un communiqué, ajoutant que ces heurts ont « provoqué des blessures à 40 policiers, dont deux grièvement atteints ».
HOSTILITÉ GRANDISSANTE
Les protestataires ont incendié le siège de la daïra (sous-préfecture) d’In-Salah et la résidence du chef de daïra, une partie d’un dortoir des forces de l’ordre et un camion de la police. Les forces de l’ordre ont réussi à « maîtriser la situation et à instaurer le calme dans la ville », indique le communiqué.
Depuis que le groupe pétrolier public algérien Sonatrach a annoncé fin décembre 2014 avoir effectué avec succès son premier forage dans la région d’In-Salah, les manifestations anti-gaz de schiste se sont multipliées dans les villes du Sahara algérien. La Sonatrach a annoncé au début du mois de février que ses forages exploratoires de gaz de schiste par fracturation hydraulique continueraient, en dépit de l’hostilité grandissante des populations vivant près des gisements. Des manifestations ont lieu sans discontinuer depuis deux mois à In-Salah, la ville la plus proche des lieux de forage.
c’est gonflé ca !
que font « les gens du ps » me demande t on ? quelle extériorité ! les « gens » ce sont des militants, 80 000 militants vont voté le 21 mai, dont la moitié d’élus, fidèles à leur parti, à leur section, une majorité de braves gens désemparés pas Valls et Macron tous craignant l’échec de la gauche (et la haine anti PS qui grandit tout autour), Bruno Leroux cogne sur les députés, Cambadelis menace d’exclure tout ce qui bouge, ca caporalise, ca menace, ca craint, mais de 20 à 30 à 60 à même 90 députés bougent (plus ou moins) aun point d’obliger à imposer un 49 3, la gauche socialiste a eu 40 % du BN le 18 fevrier 2013, elle a environ de 20 à 30 % toute seule, avec un accord aubry ce serait majoritaire, Valls à 5 % n’ose même pas défendre ses positions, Cambadelis cherche a masquer les débats au centre, Ah s’il y avait un million de manifestants dans la rue le 9 avril, ce serait autre chose… mais depuis trois mois, on se bouge contre la loi Macron et… et… ?
Et….et..il ne se passe rien,le 9 avril me parait bien trop loin,avant les elections cela aurait été bénéfique.
c’est loin mais c’est la seule chance, mobilisez le 9 avril ! le projet de loi macron n’est pas passé