Le 14 juin, la plus grande manifestation intersyndicale du quinquennat a eu lieu. Un énorme succès pour une très belle et très puissante mobilisation populaire. Malheureusement la réponse du gouvernement est la menace et le refus.
Menace d’interdire les manifestations syndicales, refus de toute discussion sur la loi travail qu’il veut faire passer de toute force en juillet à l’Assemblée … une nouvelle fois, Valls tourne le dos à la gauche. Il est des moments historiques où des dirigeants issus de la gauche tournent le dos à son histoire. C’est manifestement le cas de Manuel Valls aujourd’hui.
Comme Clémenceau !
Manuel Valls cherche à diviser le mouvement syndical en tapant sur la CGT alors que depuis plus de 3 mois c’est une intersyndicale unie qui appelle aux manifestations et aux grèves. Depuis des années il ne fait aucun mystère de ses orientations. Il les impose malgré ses tout petits scores au sein du Parti socialiste à la primaire de 2011.
Fermer les yeux, accepter la remise en cause de la stratégie d’Union de la gauche au nom de la loyauté ou du fait d’une sidération à ne garder qu’entre soi … c’est contribuer à l’échec en 2017. Et au-delà à la disparition de la gauche pour plusieurs années.
Croire qu’après une défaite, il sera temps de reconstruire est un aveuglement coupable. Que le PS soit obligé, après l’échec annoncé de 2017, de changer ses dirigeants et de se réinterroger sur sa stratégie est une évidence. Mais ce sera un enjeu interne d’appareil avec le risque de disparaître
Croire, que dans les mêmes conditions, l’autre gauche ou l’écologie militante – ensemble ou séparément – pourraient construire une alternative majoritaire est tout aussi illusoire. Reconstruire sur des ruines, ce serait engager un cycle très long pendant lequel les conditions de vie de millions de famille, de jeunes, de salariés seraient dégradées.
Rassembler à gauche
On ne peut accepter ces impasses !
Que Hollande et Valls s’occupent de leur hooligans et de leurs casseurs qu’ils respectent et entendent la belle mobilisation populaire majoritaire.
C’est une autre voie qu’il faut prendre. Assumer l’opposition à Valls ! Appeler au rassemblement de toute la gauche et des écologistes. Les socialistes ont toute leur place dans cette bataille décisive.
Cinq défaites électorales, 50 % d’abstentionnistes d’un côte ! Près de 80 % contre la loi travail et sa logique de l’autre. Tel est le constat et le point de départ de construction d’un projet alternatif majoritaire à gauche. Nous appelons au rassemblement et au sursaut à gauche contre Valls et la politique néolibérale et répressive qu’il mène. C’est sur le social, l’avenir de la planète, le partage des richesses que nous appelons à nous rassembler.
C’est le sens de l’appel des 100 que nous appelons à signer sur le site www.appeldes100.org en organisant partout des réunions larges, des forums, des tables rondes pour discuter du plan de mesures d’urgence sur lequel nous rassembler
Rassembler le mouvement syndical ! Rassembler la gauche associative, citoyenne, militante, rose, rouge, verte et aller chercher les 50 % d’électeurs qui s’abstiennent, une plateforme commune, des primaires, un candidat unique, c’est la clé du changement, c’est la clé du sursaut et de la victoire.
25 Commentaires
Bonjour à tous,
En complément de ce qu’a écrit notre camarade Gérard Filoche, je vous invite à lire le communiqué de Solidaires intitulé « Le Gouvernement inverse la hiérarchie des responsabilités », disponible à l’adresse suivante : https://www.solidaires.org/Le-gouvernement-inverse-la-hierarchie-des-responsabilites
Solidairement.
Comment concilier une « gauche » qui prend le vieux prétexte des casseurs pour menacer d’interdire des manifestations et une autre gauche qui participe à ces mêmes manifestations ? Comment s’entendre avec une Mme Royal qui parle de « pagaille » alors qu’un pays presque tout entier s’oppose à une loi indigne ? Après avoir compté sur l’Euro pour casser la mobilisation (preuve qu’ils prennent les Français pour des imbéciles) Hollande et Valls ne savent plus quoi inventer. Quelle honte d’entendre dans leurs bouches les discours que la droite nous sert depuis que le mouvement ouvrier existe…
Une remarque qui a tout à voir : un institut de sondage aura-t-il le courage d’évaluer les chances de second tour de JLM sans candidature de Hollande ou d’un socialiste de ce genre ? Le résultat nous donnerait sans doute matière à réflexion.
heureusement qu’il y a eu les casseurs à Necker car on a parlé que de cela, et puis il y a le comptage, il fallait voir la mine réjouie rayonnante de l’infâme Pujadas annonçant au journal de la deux que la manif avait été peu suivie, ça faisait plaisir à voir tant de joie, les « spécialistes » qui ont eu la parole exultaient eux aussi, vraiment merci la police pour le comptage, mais elle ne pouvait pas en même temps compter les CGT et protéger Necker, il y a des priorités
Loi Travail : Hollande-Valls, «la défaite en klaxonnant» ?
Le Parisien – Nathalie Schuck |16 juin 2016
« On en sortira… », lâche un ami du président. Qui complète aussitôt, lugubre, «… les pieds devant ». Dans les coulisses du pouvoir, la fuite en avant dans la fermeté, décidée par François Hollande et Manuel Valls après les violences dans le cortège parisien mardi, donne des sueurs froides. Au point que certains n’hésitent pas à parler, en off, de « crise d’autorité ».
En cause : la décision des deux têtes de l’exécutif d’interdire les manifestations contre la loi Travail au cas par cas. Et la posture inflexible du Premier ministre, qui ferme la porte à toute évolution du projet de loi El Khomri et répète qu’il ira « jusqu’au bout ». « Qui va payer à la fin ? C’est Hollande ! Valls veut finir de le tuer », enrage une figure du PS, très éloignée des frondeurs. Revoilà donc l’hôte de Matignon suspecté d’être le mauvais génie et d’entraîner son camp, le président avec, au bord du précipice…
« Valls nous emmène dans le mur. Et Hollande laisse faire, parce qu’il pense que la primaire à droite sera un désastre et qu’il sera le plus petit dénominateur commun à la fin », soupire un conseiller du pouvoir, dépité. « Valls veut une victoire par KO sur Martinez, mais il fracture notre base politique qui ne veut ni des casseurs, ni de la loi Travail ! », fulmine une source gouvernementale. « Ça ne sert à rien d’offrir des scalps et de montrer qu’on est le plus fort », résume un dirigeant socialiste de premier plan, qui a quasiment fait son deuil de la victoire en 2017 et juge même le président… « cramé ».
En brandissant de possibles interdictions de manifester, Hollande et Valls pouvaient paradoxalement offrir une sortie de crise à la CGT, dont la base veut en découdre. Mais la surenchère verbale du Premier ministre a piqué au vif les syndicats, le leader de FO Jean-Claude Mailly l’accusant d’être un « pyromane ». Un terme volontiers repris, sous couvert d’anonymat, dans la majorité.
Myriam El Khomri, la ministre du Travail, se retrouve piégée, elle qui envoyait des signes d’ouverture et d’apaisement avant le retour du texte à l’Assemblée en juillet. Vendredi, elle a rendez-vous avec Philippe Martinez. Or, le Premier ministre a été clair : pas question de bouger sur le contenu du texte. « Il veut son 49-3 », peste un cadre du PS.
A gauche, d’aucuns brandissent ce sondage Ifop-Fiducial où Hollande (-6 points à 21%), Valls (-7 à 36%) et Macron (-12 à 43%) chutent lourdement après trois mois de tensions sociales. « Je ne suis même plus sûr que François soit en condition de se représenter », souffle un vieux compagnon de route du chef de l’Etat. Un autre se prend à cauchemarder, à dix mois de la présidentielle : « On va vers la défaite en klaxonnant… »
Le gagnant, que ce soit Manuel Valls/François Hollande ou Philippe Martinez aura une victoire à la Pyrrhus.
Les deux attitudes sont aussi dévastatrices l’une que l’autre pour le pays.
l’essentiel pour Hollande, de toute façon n’est pas 2017, mais la création de l’ordre néolibéral dicté par la finance et Bruxelles.
Il faut bien comprendre que les décisions se prennent à Davos, Bruxelles et dans les cercles privés comme Bilderberg.
S’il pouvait être réélu, ce serait un plus, mais ne n’est pas l’essentiel pour lui.
Par ailleurs, il ne sera pas au RSA, il suffit de voir ce que palpent les anciens présidents.
La ma jorité des français a compris cette réalité.
Pour rassembler le gauche progressiste il ne faut pas comme sur le journal var matin déclarait « je m’en fous de Mélenchon avec lui c’est la défaite assurée ». Comme tous les autres frondeurs socialistes vous restez de timides révolutionnaires. Dommage je lis régulièrement vos chroniques sur l’huma dimanche et chaque fois je me demande ce que vous faites encore dans ce bazar socialiste. fraternellement.
En AUTRICHE le peuple s’est retrouvé, au second tour d’une élection qui ressemble à notre « présidentielle » avec un choix délicieux.
Choix entre un écologiste mièvre et lobotomisé et un crypto fasciste-crypto raciste microcéphale…
Le même scénario peut se produire en FRANCE si Nicolas HULOT se montre régulièrement avec un BICHON dans les bras pour avoir l’air gentil…
Les mâchoires crispées de VALLS et SARKOZY sont un spectacle qui commence à fatiguer le peuple, la populace et tous les autres…
A part ça je pense que le syndicat de la magistrature et les syndicats d’avocats devraient faire réaliser par des experts en analyse de contenu une étude des trop nombreuses et trop belles images du fait divers « bagnole de police incendiée + pseudo tentative de meurtre »…
NB: par ailleurs, les plaques de plexiglass isolant de l’hôpital Necker ont été fendue par UNE SEULE PERSONNE qui tapait avec un marteau de géologue et portait un masque à gaz à 2 cartouches…
Le plus rigolo c’est le syndrome de l’imposteur qui produit certaines grimaces édifiantes lorsque l’imposteur est décoré lors d’une cérémonie officielle filmée!!!
evidemment qu’avec deux candidats de gauche c’est le désastre assuré, comment pouvez vous nier cela et pire, ne pas vous y intéresser pour chercher à l’éviter ?
quoi ?
la majorité des français est de gauche et va chercher une issue pour ne pas perdre en 17, ca va etre dur, mais les défaits d’avance et les divisés accros d’avance, évidemment, s’ils l’emportent, feront tout perdre…
il n’y a rien de plus dévastateur, économiquement, ideologiquement, politiquement que de faire perdre le salariat ca c’est un vrai désastre pour le pays..
Le 23, on prends nos bagnoles et on monte tous sur PARIS (3 personnes par bagnole), on bloque le périphérique intérieur entre 6h30 et 14h, et puis on rentre tous dans PARIS et les passagers descendent manifester (50 points de RDV)…
Comme le disait MAIAKOVSKI « Vive la REVOLUTION joyeuse et rapide! »…
Bonjour, Mr Filoche !
J’ai vu la vidéo où vous exprimez votre souhait d’être candidat à une primaire de la gauche, de toute la gauche, espérant convaincre Valls et Mélenchon. Valls c’est mort. Mélenchon peut-être ?
Je vous souhaite bien du courage ! non pas, je pense, qu’il refusera la discussion (d’ailleurs un débat entre vous deux serait-il possible ?). Mais ses arguments sur cette primaire sont pertinents. Sans oublier qu’elle a du plomb et une enclume accrochés aux ailes.Par ailleurs, il monte dans les sondages, à prendre avec gants et pincettes, sans pour autant pouvoir prétendre être au 2ème tour.
En vous présentant avec un programme qui, peu ou prou, est le même que ce candidat insoumis, n’allez vous pas diviser encore plus la gauche ? surtout que non seulement vous diviserez
encore plus la gauche, mais ce sera sur le même courant de gauche ! c’est absurde. Tout du moins la question se pose légitiment.
Ainsi, on se retrouverait avec 2 candidats avec sensiblement le même programme qui se jetteraient
la pierre de la division à la figure…
Si vous deux êtes candidats en même temps, vous deux devrez assumer une division mortifère !! Et ma grand-mère d’ajouter : « j’veux pas savoir qui a commencé ! »
Personnellement, je me fous de qui porte un programme de progrès pourvu qu’il le fasse bien et le plus haut possible.
Vous serez d’accord et nous renvoyez vers une primaire de toute la gauche. Pourquoi cette primaire, pour vous, est incontournable pour rassembler ? on dirait qu’en dehors de cette course de petits chevaux il n’y a rien.
MAIS vous êtes fou ! au contraire ! si vous deux, au lieu de vous chamailler sur de pauvres stratégies séparées, vous vous runissiez ce serait si ce n’est la victoire au 2nd tour, au moins le passage du 1er.
Comment faire pour vous décider à travailelr ensemble, peut importe qui de vous deux porte le programme. Et bien j’en sais rien ! cependant que c’est possible et nécessaire.
Pour finir, je colle et collerai les affiches des insoumis. Maintenant, je ne serai gêné en rein de vous voir sur ces affiches.
Vincent
Oui, deux candidats de la gauche, c’est la défaite assurée. (Pourtant, en 2012, il en allait autrement. Qu’est-ce qui a changé?) Mais aujourd’hui, l’obstacle à la victoire, c’est le candidat socialiste, quel qu’il soit. Toutes les imprécations du monde n’y changeront rien.
Quant aux « primaires », vous voulez vraiment être obligé de soutenir un Macron ou un Valls? C’est ce qui arrivera, n’en doutez pas. Avec 30% des actions d’une entreprise, on ne fait rien. Avec 30% d’un conseil d’administration, on ne fait rien. Avec 30% d’un parti, on ne fait rien.
Pensez au Pasok et au SPD, des partis vidés de leur sens par une direction convertie au néo-libéralisme et au néo-conservatisme.
Avec 30%, on ne change rien de l’intérieur, on finit juste par se faire botter les fesses.
Bonjour à tous,
En complément de ce qu’a écrit notre camarade Gérard Filoche, je vous invite à lire la tribune intitulée « Ce Gouvernement a peur », disponible à l’adresse suivante : https://www.solidaires.org/Ce-gouvernement-a-peur
Solidairement.
Lire blog Médiapart Pascal Santoni.
Ruy Blas Victor Hugo:
« Bon appétit messieurs, O ministres si peu intègres, conseillers si peu vertueux! Voilà votre façon de servir, serviteurs de l’état qui détruisez la maison commune »
Et voila. La primaire sera une opération rikiki et bien menée pour que Hollande soit the candidat. Comment ?
1- Une primaire du PS élargi au PRG et aux 12 écologistes de MDE.
2- Une multitude de candidatures de ceux qui se déclarent à gauche du PS. A ce jour, G.Filoche, Marie-Noëlle Lienemann, A. Montebourg peut-être B. Hamon et d’autres.
3- Un écologiste.
4- Côté libéraux du PS , juste Hollande donc assuré d’obtenir les voix des électeurs légitimistes du PS et le soutien des médias.
Donc Hollande assuré d’être sélectionné pour le second tour. Si toutefois il y aura un second tour, ce qui n’est écrit nulle part. Cambadélis est capable de sortir une élection à un tour avec la nomination de celui qui obtient le plus de voix.
évidemment qu’ils souhaitent cela et ca marchera si on ne gagne pas contre la loi el khomri, si on est divisés, et qu’au lieu de participer certains boycottent,
mais si toute la gauche participe, il y a aura deux tours et au 2° tour des millions de gens viendront pour rayer Hollande,
mais alors, hollande sera oblige de se rengager derrière le ou la vainqueur, nous aurons un candidat unique ca soulévera un tel enthousiasme que nous serons en position de gagner au second tour
c’est la seule chance de pas perdre, si ca ne se passe pas ainsi c’est un desastre pour tout le monde
tes affirmations vont contre toute notre expérience
facile pour qu’on travaille ensemble, des primaires, si mélenchon est devant le je le soutiens et réciproquement n’est ce pas ?
lisez donc la résolution ce ne sera pas ca si tout le monde participe
Mr Filoche,
OUI, pour ma part, si vous êtes devant JLM je vous soutiendrais sans hésitation !
Maintenant, je ne peux répondre qu’en mon nom propre et non à la place de toute la « France insoumise » qui devient une force non négligeable-10000 personnes place Stalingrad le 5 Juin !
Cependant, moi petit militant, lorsque je lis vos programme respectifs, j’ai du mal à trouver des différences !
Ainsi, si vous vous présentez avec lui aux primaires-mettons qu’il accepte, 2 candidats tout aussi talentueux l’un que l’autre ( quoi ? ) se disputeraient politiquement alors qu’ils sont semblables… Et ajouter à l’équation Montebourg, Hamon et j’en passe et des moins bons. Tout cela profiterait au camp libéral de la gauche qui serait trop contente de voir nos divisions pour se frayer un chemin vers une légitimation du président sortant.
Bon, c’est le scénario le plus mauvais, mais probable, que je choisis.
On pourrait aussi imaginer que votre candidature soulève un mouvement profond dans la population de gauche et batte les légitimistes. Et je dis tant mieux ! Foncez.
Mais accordez moi que votre parti ne fait rien pour arranger les choses. Tout du moins votre premier secrétaire. Il vous prend pour des imbéciles ou je rêve ? voilà qu’il nous sort ces « primaires de la gauche de gouvernement » = vaste entreprise de foutage de gueule !
Bon sang, je suis tellement persuader que l’on peut gagner si la gauche du PS et JLM fonctionnent ensemble que j’en suis dégoûté. Vos deux argumentaires tiennent debout, deux stratégies cohérentes, respectables mais qui, malheureusement, divisent. La faute à personne ! peut-être à la 5ème république. Hollande surtout ! il lui suffisait de faire un quinquennat sensiblement de gauche, on lui demandait pas d’ être révolutionnaire… La blague. Tant pis.
Partons de réalités : JLM ne fera pas primaires;
vous ne vous rallierez pas derrière mélenchon; Les primaires opposent le parti socialiste en son sein même, entre ceux qui veulent Hollande et ceux qui ne veulent pas Hollande; la même chose sur ce qui reste des écologistes…
Bref, je ne crois pas que les uns et les autres arriveront stratégiquement à se mettre d’accord.
Seul le bon vieux rapport de force pourra en partie régler les choses. Si JLM monte à 20 % d’intentions de votes, vous seriez trop bêtes de ne pas prendre le train en marche, encore plus les communistes.Si c’est vous qui, à travers les primaires, portez le flambeau le plus haut, JLM serait trop bête de ne pas vous suivre.
En gros, faut attendre encore quelques mois pour observez si d’un côté vos primaires se font, et de l’autre si JLM arrive à dépasser le front de gauche en termes d’électeurs. L’un dépendant beaucoup de l’autre.
En tout cas, j’espère qu’on se retrouvera ! parce que si jamais on arrive au pouvoir ensemble le ministère de Travail aurait besoin de quelqu’un de la trempe d’Ambroise Croizat.
Allez! bonne chance.
Cambadélis veut piéger les (rares) opposants de gauche qui restent à l’intérieur du parti. Et neutraliser Montebourg, doté d’un certain pouvoir de nuisance. La multiplication des candidats – dont certains des plus loufoques, désolé de le dire si crûment monsieur Filoche – profitera à Hollande, qu’il faudra ensuite soutenir. L’arnaque est grosse comme une maison. Par pitié, Maintenant la Gauche et Démocratie et Socialisme, ne vous faites pas avoir !
nous avons fait voter des primaires de toute la gauche et nous en réjouissons
dans des primaires de toute la gauche, ce n’est pas la ligne hollande qui gagne, c’est sur et certain !