Battons-nous encore pour que brille le talisman de l’unité à 31% plutôt qu’à 14 et 10%

L’histoire retiendra t elle que l’élection présidentielle française s’est jouée un vendredi soir entre 21 h et 23 h dans un restaurant chilien, le « Moai bleu » à Ménilmontant ? En se rencontrant sans se mettre d’accord, Benoit Hamon et Jean-Luc Mélenchon ont ils scellé la défaite de toute la gauche française, leur propre défaite, et la future victoire du libéralisme cruel, absurde et débridé dans la France de 2017 ?   N’avons-nous donc plus que le choix entre le trio des candidats du fric, de la fraude et de la frime, Fillon, Le Pen et Macron ?

En tous cas, dans son apparence actuelle, la rupture est obscure.

Il y a eu trop de temps perdu entre le 30 janvier et le 24 février.

Il n’y a pas eu de débat de fond.

Rien n’a été clairement expliqué nulle part  aux millions d’électeurs.

Nul n’a été associé à la décision.

Ca s’est conclu à deux, dans le style présidentiel que les deux dénoncent.

Et alors que tous les deux ne veulent pas d’homme providentiel.

Pas de transparence, pas de démocratie.

Les communiqués des deux parties sont faits de phrases lapidaires.

Les explications sont indigentes :

1°) « À cinquante jours du premier tour, il n’est pas possible de régler la différence qui par exemple nous sépare sur la question essentielle de l’Europe. »

Ainsi ce serait à propos de deux mythiques « plan A » et « plan B », avant même qu’ils n’aient été essayé que s’est, semble t il, éclatée la gauche française. Hamon et Mélenchon disent pourtant tous deux qu’ils ont le même but, changer l’union européenne, mais sans avoir la même stratégie, comme dit Thomas Piketty, « Moi j’insiste plutôt sur le plan A tandis que Mélenchon insiste plutôt sur le plan B ».

« Plan A » se battre pour changer l’union européenne. « Plan B » menacer d’en sortir et en sortir si le plan A ne réussit pas.

Même si tous deux veulent dénoncer unilatéralement la directive « travailleurs détachés » secouant ainsi profondément l’Union européenne, au point de lui poser des problèmes existentiels.

Même si tous deux veulent s’affranchir de la limite de 3 % de déficit.

Même si tous deux veulent renégocier les traités.

Même si tous deux ont voté contre le TSCG.

Même si tous deux veulent rompre avec l’austérité et refuser de se soumettre sur ce point à M. Schauble.

Même s’ils sont tous les deux contre le CETA et le TAFTA.

Même s’ils sont tous les deux pour une politique migratoire digne et reformer la convention de Dublin.

Même s’ils sont tous les deux pour l’audit et la mutualisation des « dettes » européennes.

Même s’ils sont tous les deux pour la taxe sur les transactions financières et la lutte contre l’évasion et la fraude fiscales.

Même s’ils sont tous deux pour la ré orientation de la BCE afin qu’elle prête directement aux états.

Malgré tous ces points d’accord, Mélenchon dit ne pas pouvoir se mettre d’accord avec Hamon. Si on comprend bien, Hamon pense réussir le plan A, réunir un rapport de force suffisant pour change l’UE,  et comme Piketty, éviter le plan B, tandis que Mélenchon est plus sceptique  et pense que cela échouera et qu’il faut davantage se préparer au « plan B ».

Sachant que la différence est en fait minime, puisque tous deux estiment que l’Union européenne va connaitre sa propre fin si elle ne change pas, si elle ne sort pas de l’abime de l’austérité, du monétarisme.

La rupture est obscure car si c’est bien à ce sujet qu’elle a eu lieu, elle ne se fait pas sur le programme, pas même sur l’analyse, ni sur le but à atteindre mais elle se fait sur un pronostic ce qui en politique, est le pire.

 

Ils ne retiennent pas leurs immenses points d’accord, ils ne retiennent que ce qui semble les séparer, et se refusent à essayer d’agir ensemble pour atteindre ce qu’il y a de commun dans leurs objectifs communs. Pourquoi ? Est ce seulement parce qu’ils se méfient l‘un l’autre de leur méthode et détermination pour le faire ? Si c’est ca ce n’est pas sérieux. En tout cas, et en fait vendredi 24 février au soir, dans ce restaurant chilien, malgré une immense attente dans le pays, dans la gauche, ils n’en ont pas eu la volonté commune.

 

2°) « Je n’ai pas été surpris qu’il me confirme sa candidature et il ne l’a pas été que je lui confirme la mienne » écrit Jean Luc Mélenchon. «  Je l’ai vu, il m’a confirmé ce que je savais, c’est qu’il sera candidat. Dont acte, la situation est maintenant claire » explique Benoit Hamon.

 

C’est très lapidaire. Un gout de trop ou de pas assez.

S’ils avaient besoin de se rencontrer pour « confirmer » que « la situation n’était pas claire », si cela a duré trois semaines, s’ils ont eu besoin de deux heures pour le faire, c’est qu’il y avait une autre issue.

Alors France inter explique, en mode perroquet, que cela faisait trois semaines que ça durait, que ce feuilleton plombait la campagne de Benoit Hamon, qu’il fallait en sortir.

C’est faux.

Cette question aurait du être réglée il y a trois semaines, oui.

Il fallait des le début, des le 30 janvier, comme prévu et promis,  mener la bataille ouverte, forte et claire pour l’unité.

Si l’un ne voulait vraiment pas cela se serait vu. A moins que les deux n’aient pas voulu et que la façon dont cela s’est passé ne serve à le masquer.

Depuis le 30 janvier il y a eu des petits malins dans les entourages des deux côtés qui ont cru et fait croire qu’il fallait attendre en jouant la montre ou en faisant la guerre.

Certains conviennent aujourd’hui que c’était une erreur, mais ils ne le disent que lorsqu’ils ont fait perdre assez de temps pour pouvoir prétendre qu’il est trop tard. Ils reportent sur « l’autre » la responsabilité de l’échec : « Il ne voulait pas ».

Mais sans, et pour cause, en avoir fait la démonstration publique.

D’ailleurs quand on est convaincu de la nécessité de l’unité, on se bat pour, même quand l’autre refuse. Quand on veut aboutir on s’en donne les moyens, on mobilise en ce sens. Quand on se heurte à une difficulté on argumente pour la surmonter. Et la pression de toute la gauche, on le sait, va dans ce sens.

Tout le monde sait que sans unité il n’y a plus guère de chance de gagner. L’enjeu est historique, pas subalterne.

Dans l’entourage des deux candidats, on a l’impression que le niveau de conscience de l’enjeu historique n’y était pas.

Mais on dira que c’est toujours comme ça dans ce genre de grandes situations de l’histoire de la gauche. Ce sont les plus petits appareils les plus difficiles à se laisser emporter dans une vague unitaire.

Ce qui est plus rare, c’est que les grands dirigeants concluent au même niveau que les entourages.

Côté Mélenchon, c’était la guerre : « Les sondages sont truqués,  en fait Mélenchon est devant, il n’y a que lui qui est susceptible de passer au 2° tour, Hamon c’est pareil que Valls, c’est le PS qui est mort, ca ne va pas tarder à se voir, on attend et on dénonce chaque phrase de Hamon, on a un programme depuis un an, on fait campagne depuis un an, c‘est à lui de s’effacer et sinon il nous des garanties exceptionnelles pour pas que tout le travail que nous avons fait soit dilapidé, pour pas que ca recommence comme dans la trahison du discours du Bourget ».

Ils ont parié que le PS était mort, affirmé que Hamon c’était pareil que Hollande, Valls et Cie, nié les sondages qui portaient Hamon à 17 ou 18 %.  Ils se sont mis à chercher des différences fondamentales partout, et à exiger sans cesse de nouvelles garanties, soit pour « hausser la barre » de la négociation soit pour prouver que les deux gauches étaient irréconciliables.

Ils ont accusé Hamon d’être pour le CETA alors qu’il appelait à voter contre.

Ils ont accusé Hamon de ne plus vouloir abroger la loi El Khomri alors qu’il ne cessait de confirmer sa volonté de l’abroger depuis qu’il avait signe le projet de motion de censure.

Ils l’ont accusé d’être pour le CICE alors que Hamon a rompu là-dessus avec le gouvernement Valls.

Ils l’ont accusé d’être soumis à la majorité sortante du PS, alors qu’il a quitté et combattu le gouvernement depuis août 2014, alors qu’il s’est présenté contre et a nettement battu Valls, qu’il est libre de diriger sa campagne comme il le veut.

Ils l’ont accusé  de la désignation des candidats du PS alors qu’elle avait été faite le 8 décembre, et alors qu’elle sera naturellement remise en cause entre les présidentielles et les législatives en cas de victoire.

Et puis, comme c’était intenable, et que les pressions unitaires étaient fortes, et que les millions de voix perdues par le PS ne basculaient pas vers eux, côté Mélenchon, ils se sont décidés à écrire une lettre où ils proposaient, moyennant certaines clarifications politiques, « de se fédérer avec les partis de la gauche traditionnelle ».

Quand on y réfléchit, et qu’on la relit cette lettre était extraordinaire et c’est pourquoi je l’ai publiée aussitôt sur mon blog : il n’y avait aucune clause politique insurmontable, et surtout le PS était redevenu un « parti de la gauche traditionnelle ». Il n’était plus de droite, il n’était plus un cadavre, il n’était plus « social traitre », mais un « parti de la gauche traditionnelle » c’était écrit.

Il aurait fallu répondre vite, et rattraper le temps perdu depuis le 30 janvier. (Cf. ci dessous, pour mémoire, un exemple de ce qui aurait pu être un brouillon de  bonne réponse côté Hamon).

Il eut été facile depuis le Portugal de dire, « voilà faisons en France ce qui a été fait ici ». (En mieux, en proposant un gouvernement Hamon, Jadot, Laurent, Mélenchon).

Et, tout en ne laissant pas passer le mot insultant de « corbillard », il eut été facile de répondre en choisissant de prendre au pied de la lettre la proposition  « fédérer les partis de la gauche traditionnelle »

Côté Hamon, dans la partie de l’entourage le plus hostile, c’était une sorte de discours symétriquement opposé à celui de l’entourage de Mélenchon : « – C’est Mélenchon qui ne veut pas d’unité, c’est sa faute, il est arrogant, il veut notre peau, ne perdons pas notre temps à courir après lui, cela nous plomberait de nous engluer dans un débat d’appareil, il va nous promener et on va y perdre, tandis que sinon il va dévisser dans les sondages, les électeurs vont alors vouloir l’unité, puis ils voudront aller là où il y a une chance de victoire, ce sera vers nous, ils mettront tous leurs oeufs dans notre panier, plus on fera campagne vite, plus Hamon montera, et on reverra cela quand Mélenchon sera à 7 %, en attendant, forçons pour l’unité avec les Verts d’EELV, voire avec le PCF.»

Evidemment, ce calcul est à courte vue. Parce que Mélenchon fait une campagne puissante depuis un an, parce qu’il a ainsi réussi à retrouver, au moins temporairement, un étiage qu’il avait atteint en 2012 et qu’il ne va pas se « tasser « aussi facilement. Parce qu’il y a la tragédie du bilan d’échec de Hollande. Parce que l’opposition au PS est naturellement devenue très puissante, qu’il y a de l’amertume sinon de la haine.

C’est vrai, il faut aussi le souligner Mélenchon a prouvé en un an de campagne qu’il ne dépasserait pas facilement par lui même un seuil de 9 à 13-14% : il a beau souligner que c’est le PS, à cause du quinquennat d’Hollande, qui a perdu la moitie de ses voix de 2012, son problème réel c’est que ce n’est pas lui qui en tiré profit (de même que la gauche non socialiste n’avait pas tiré profit des 5 élections que le PS a perdu depuis 2014, municipales, européennes, sénatoriales, territoriales, régionales). Il faut dire qu’à force de cogner sur le PS,  Mélenchon ne peut gagner les voix socialistes, alors elles quittent le PS, c’est vrai, mais pour l’abstention. de ce fait les électeurs qui tournant la page d’Hollande ne vont donc pas spontanément vers Mélenchon, ils vont moitié abstention moitie Hamon.

Alors qu’est ce qui pourrait redonner un élan à Benoit Hamon, lui même baissant et stagnant entre 17 % et 13%  pour retrouver l’étiage de Hollande 2012 ?  Ce n’est pas comme le prétend France inter l’attente interminable de Mélenchon qui l’a freiné et bloqué, c’est au contraire le retard et le non accord avec Mélenchon.

Le plus sur moyen était l’accord pour un programme de gouvernement, il était facile d’y parvenir avec un peu de travail et d’insistance, en fait puisque Mélenchon avait dans sa vidéo précédente, déclaré que les positions étaient « voisines ».

Il fallait ensuite s’accorder sur Hamon président et Mélenchon Premier ministre, … et le candidat unique montait à 27 % jusqu’à 31 % selon certains sondages.  On était ensemble en tête, peu importait que Le Pen soit deuxième, on la battait (cf. mon blog et RMC mardi dernier 21 février). L’élection législative aurait été modelée à l’image de la victoire du 7 mai.  Cela se vérifiait partout, sur les marchés, dans les entreprises, parmi les syndiqués, dans la rue, la gauche est majoritaire dans ce pays, et n’attendait que cela pour se réveiller en force et ne masse.

Donc, on nous dit qu’aucun des deux n’a voulu se désister pour l’autre.

Donc rien à faire.

On en est là.

Et avec une grande frustration parmi des millions d’électeurs qui sentent donc la gauche en mauvaise posture, et craignent le pire.

Parce que ceux qui expliquent que les « deux électorats n’auraient pas pu s’entendre » se trompent lourdement, car il s’agit du même électorat,  de la masse du salariat : en cas d’accord quelques milliers de sectaires se seraient rebellés et auraient fait du bruit quelques jours, hurlant les uns à la trahison, les autres à la dérive gauchiste, mais l’enthousiasme aurait été si grand parmi la grande masse des électeurs de gauche que cela aurait vite oublié. Une dynamique victorieuse a gauche aurait irrésistiblement gagné.

Chacun déclare vouloir se tourner vers cette « moitie des français  qui n’a pas encore fait le choix de vote ». Sauf que ceux là précisément, c’est l’unité qui les aurait mobilisé. L’unité était le meilleur talisman pour faire se lever en masse les abstentionnistes de gauche. L’unité c’était l’évènement, la force attractive, l’espoir d’un changement réel à gauche.

L’unité aurait polarisé à gauche et contre le pseudo « centre ». Tandis que l’absence d’unité laisse encore de la place et du temps au prédicateur Macron pour occuper un espace artificiel qu’il ne mérite pas : il continue ainsi de de tromper les attentes alors qu’il n’a aucune chance de pouvoir les combler, vu son redoutable programme de droite.

On va même voir les sociaux libéraux relever la tête maintenant,  c’est le résultat mécanique du repas de vendredi soir au Moai bleu.

On va voir les battus des primaires se réjouir et vouloir tirer à nouveau vers Macron en dépit de son programme de droite. Si Mélenchon voulait prouver que Hamon était l’otage de ces gens là, il aura bientôt des occasions, vu que des déclarations d’allégeance, un temps stoppées, vont recommencer.  Les sociaux libéraux (si peu sociaux) vont se remettre de leur grande frayeur, un accord Hamon Jadot Laurent Mélenchon étant écarté.

On va voir la droite et l’extrême droite se réjouir et cesser de craindre la gauche.

C’est toute la gauche qui a perdu dans ce diner de Ménilmontant s’il s’agit du dernier acte.

Mais on nous dit aussi, que tout n’est pas perdu,  que Benoit Hamon est toujours plus l’unité et attentif aux évolutions de la situation.

S’il s’avère que la non-unité ne mobilise pas « la moitié des français » qui n’a pas encore choisi, on va le mesurer assez vite, il sera encore temps avant la campagne officielle, de corriger le tir. Il n’est jamais trop tard pour bien faire.

Le talisman de l’unité peut encore briller. Ne nous résignons jamais. La réalité va revenir en boomerang. Il vaut mieux 31 % que 14 % et 10 %. Nous sommes et restons des millions à le dire.

Gérard Filoche

 

 

 

 

92 Commentaires

  1. Macarel
    Posted 27 février 2017 at 18:56 | Permalien

    On n’est pas ici dans un congrès du PS. Ce n’est tout de même pas la faute de Mélenchon, si le PS est noyauté depuis longtemps par des gens acquis à l’idéologie économique libérale.
    C’est tout de même un peu fort de café, l’on accuse Mélenchon d’être seul, d’avoir un ego démesuré, etc…
    Mais il serait moins seul, si l’aile gauche du PS avait quitté en 2008, le PS comme un seul homme, soit pour refonder avec lui un nouveau PS, ou un parti de gauche vraiment à gauche. Les libéraux eux seraient allés. fonder un parti de centre gauche (voire droite), un parti ni droite ni-gauche type macronien avant la date. Et aujourd’hui les choses seraient plus claires, et l’on n’en serait pas à pleurnicher sur le sort qui attend la gauche au soir du 23 avril 2017.
    Comme l’on fait son lit, on se couche. Et mieux MLP ne caracolerait pas dans les sondages comme elle le fait aujourd’hui.

  2. Médusa
    Posted 27 février 2017 at 18:56 | Permalien

    « La rupture est obscure car si c’est bien à ce sujet qu’elle a eu lieu, elle ne se fait pas sur le programme, pas même sur l’analyse, ni sur le but à atteindre mais elle se fait sur un pronostic ce qui en politique, est le pire. »

    Pure spéculation, puisque nous ne savons pas ce qui s’est passé, ni ce qui s’est dit… Mélenchon évoque l’UE comme un exemple. Sa phrase exacte : « À cinquante jours du premier tour, il n’est pas possible de régler la différence qui par exemple nous sépare sur la question essentielle de l’Europe. »

    Pour la présidentielle ça paraît mort, en revanche la catastrophe commandera de réussir quelque chose pour les législatives !

  3. Ffbre
    Posted 27 février 2017 at 19:08 | Permalien

    L’avenir à gauche se construira sur les résidus du PS, mais sans le PS.
    Hamon est membre du PS…Aucun avenir. Il paiera pour ces 5 ans de trahison.

  4. sansressources
    Posted 27 février 2017 at 19:22 | Permalien

    si BH avait accepté dès le début les préalables nécessaires et réalistes de JLM on en serait pas là, au lieu de cela BH a préféré parler de « coupeur de têtes » faisant passer JLM pour Robespierre, les candidats aux législatives ont été désignés par le PS avant la primaire, pourquoi? ils pouvaient bien attendre le résultat, tu dis que ce sera repris entre la présidentielle et les législatives, mais quelle garantie on a, et dans ce cas pourquoi ne pas le faire de suite?, c’est trop flou tout ça, il faut de la visibilité, on sait qu’on ne peut pas faire une politique de gauche avec ceux qui en ont fait une de droite, la confiance n’y est pas, prouver par des engagements forts ce que vous promettez sans cela il est évident qu’on ne fera pas confiance à un gouvernement Hollande bis

  5. Naïm
    Posted 27 février 2017 at 19:22 | Permalien

    Il y a quand même une chose qui me dérange profondément, particulièrement en lisant les commentaires de gens favorables à l’union: je lise ça et là que la question de l’Europe est secondaire. Je ne peux pas croire qu’en critique avisé du capitalisme vous ne reconnaissiez le rôle central des politiques européennes dans la situation de précarisation croissante que nous vivons.
    Si, comme je le crois, vous en êtes conscient, il serait peut-être opportun de parler franchement aux électeurs et dire que si l’Europe ne change pas il ne faudra pas s’attendre à une politique de gauche comme on la rêve et même comme Hamon la promet. Les gens pourront au moins faire le choix en toute conscience.
    Personnellement, le refus de pousser le rapport de force jusqu’au bout me conduit à être convaincu que Hamon ne fera rien. Vous le savez sans doute aussi. Donc soyez honnête, et dites que le vote pour Hamon est surtout un vote afin d’éviter le pire mais qu’il ne faudra pas en attendre trop. En homme de gauche, la moindre des choses seraient de ne pas tromper les électeurs!

  6. CRAYENCOUR
    Posted 27 février 2017 at 19:48 | Permalien

    Mélenchon, pour accepter un accord doit avoir quelque chose à y gagner; bon sang; tu nous dis que c’est la gauche socialiste qui a gagné la primaire; le problème c’est que la gauche socialiste n’est, elle-même pas unie! tu as fait cause commune avec Montebourg, alors peut-être qu’à vous deux vous pourriez peser sur Hamon pour l’amener aux concessions nécessaires pour que Mélenchon puisse accepter de se retirer. C’est manifestement la seule possibilité car Hamon, depuis longtemps a fait son deuil d’une unité avec Mélenchon; se contentant de vouloir siphonner ses électeurs. Je veux bien de ce manipulateur comme candidat, mais il doit faire des concessions et accorder des garanties ouvertement; c’est à lui, représentant du PS qui a déçu et qui s’estime le mieux placé pour représenter la gauche de demander et de proposer un accord acceptable. Je crains que ce combat ne soit perdu; Hamon voulant, avant tout préserver l’unité du PS, il refuse de se séparer de cette aile libérale qui nous a trahi et refuse également de proposer à Mélenchon autre chose qu’un retrait pur et simple. Je déteste ses magouilles d’appareils, qu’il dénonce hypocritement; je sens que je détesterai Hamon président, mais je suis prêt à l’accepter s’il propose quelque chose d’acceptable. Faute de quoi le PS sera mon ennemi numéro un dans cette élection et pour les années à venir car si Hamon sensément être à gauche au PS préfère s’entendre avec Valls qu’avec Mélenchon, c’est révélateur de ce qu’il n’y a rien à attendre de ton parti. Ce qui est désolant c’est que vous, l’aile gauche n’ayez toujours pas compris que rien de bon n’adviendra tant que la clarification au sein du PS n’aura pas eu lieu. Vous en avez l’occasion; soit vous allez clairement à gauche, vers Mélenchon; soit vous allez à droite vers Valls et Macron; mais pas les deux.

  7. socrate
    Posted 27 février 2017 at 19:56 | Permalien

    je comprend ta déception.
    Comme tu l’écris la faute première en revient a Hamon qui devait appeler et rencontrer immédiatement JL Melenchon des son élection a la primaire , au lieu de cela il a préféré se faire adouber par Hollande et Cazeneuve et donner des signes rassurants a l’aile droite du PS qui est l’aile dominante…car Hamon est le résultat d’une primaire ouverte s’il n y avait eu que le vote du PS Hamon aurait perdu.

    Melenchon depuis un an a un programme précis qui passe par une posture ferme vis a vis de l’Europe.
    Pourquoi devrait en changer ?

    si cela était cela voudrait dire qu il ne croit pas en ce pourquoi il fait campagne depuis un an…
    Pour Hamon tu ecris que le plan A c’est renégocier avec l’Europe, tres bien et si ça échoue il faut bien un plan B alors pourquoi n’épouse t il pas la thèse de JL Melenchon ?
    la dessus on a aucune réponse ….

    enfin c’est difficile de vouloir un rassemblement avec JL Melenchon et en meme temps entendre les porte paroles de Hamon comme Doucet demander de parler a Macron…
    Le grand écart c’est peut etre la spécialité di PS mais apparemment beaucoup de français ne l’apprécient plus….

    tu as l’air d’oublier que les français n’ont pas digéré la trahison de Hollande et du PS depuis 5 ans.
    Si vous aviez été un peu modeste vous vous rangiez derriere JL Melenchon , vous renégociez les listes législatives et la victoire était au bout ; mais la modestie n’est pas votre fort il faut toujours que votre position soit dominante meme quand on sait ce que vous en faites durant un quinquennat!!!

  8. Dominique Babouot
    Posted 27 février 2017 at 21:11 | Permalien

    Ah bah dis donc quelle prose!
    Ce long texte pour noyer le poisson!
    Une seule obsession, celle qu’il n’y ait aucune candidature sérieuse pour contre-carrer celle du ps et peu importe qu’on ne sache pas ce que va faire Hamon, il faut lui donner un chèque en blanc quand même!

    Et puis s’il est arrivé là, c’est à cause de la pression exercée par la FI, la menace pour le ps de se retrouver 10 points derrière la FI, j’en suis persuadé, les coincidences n’existent pas en politique!

    C’est d’ailleurs vieux comme le ps, il ne s’ancre à gauche que lorsqu’il est menacé par plus à gauche que lui!

    Rappelez-vous en 2007, il n’y avait rien à la gauche du ps que faisait-on? on allait jouer de la mandoline sous le balcon de Bayrou!

    Selon toi Hamon et JLM c’est pareil, ils sont autant à gauche l’un que l’autre, tu le répètes sans cesse!

    Mais alors bon sang de bonsoir, pourquoi as-tu voulu te présenter à cette primaire?

    Ou alors parce que toi aussi tu voulais devenir président?

    En suite pourquoi tu as soutenu Montebourg plutôt que Hamon?

    Pas parce qu’il semblait qu’il était le mieux placé pour gagner? Non

    Parce que Montebourg était le candidat de la feuille de paie face à l’autre Benoit qui était celui de l’allocation de misère remplaçant toutes les autres allocations et mélangeant tout!

    Tu critiques la fusion de la CSG et de l’IR mais le revenu universel est du même acabit!

    Alors la vérité c’est que ton obsession de l’unité te pousse à accepter, n’importe quoi!

    Et c’est pour cela que les socio-libéraux se foutent de notre gueule depuis des années!

    Alors oui je l’ai déja écrit tout cela est un traquenard diabolique pour éviter la fin du social-libéralisme, tout cela est mûrement réfléchi depuis longtemps!

    Le seul moyen d’y échapper c’est de ne plus cèder au chant des sirenes et poursuivre la route qu’on a décidé de suivre depuis le début, c’est la bonne et ne pas tomber dans les pièges, j’ai failli tomber de dedans à la suite de la victoire de Hamon, mais le terrain miné et flou dans le quel ton candidat évolue à réveillé ma méfiance!

    Alors si heureusement, la campagne se passe bien , que FI reprend sa marche en avant, il y a fort à parier qu’on tentera d’autres pièges pour briser celà, je suis averti et quoi qu’il arrive je ne me détournerais plus de ma route, vous pourrez toujours vous brosser!

    Salutation insoumise Camarade socialiste!

    Bonne campagne et rdv le 23 Avril à 20 heures!

    Moi aussi j’espère qu’on n’aura pas LR/FN et cela malgré ton parti pourri qui fait tout pour que ce soit le cas, et pas seulement depuis deux mois, depuis cinq ans!

  9. LAVAL
    Posted 27 février 2017 at 21:38 | Permalien

    Moi, je vote pour Mélenchon, ou pour Hamon, celui des 2 qui se présentera s’il y a accord. Mais s’ils ne s’entendent pas, moi non plus! Je mettrai les 2 bulletins dans l’enveloppe!! J’appelle à faire passer le message: s’il n’y a pas d’accord, ce sera deux bulletins dans une enveloppe!

  10. Dim
    Posted 27 février 2017 at 22:01 | Permalien

    Pas faute de l’avoir écrit ici, l’UE est une différence insurmontable entre Mélenchon et Hamon. Le premier a compris qu’il était impossible de mener une politique conforme aux intérêts populaires dans ce carcan et que faute de pouvoir le réformer il fallait mettre la sortie sur la table, ce que refuse obstinément Benoit Hamon. Toutes nuances confondues personne au Ps n’envisage la sortie de l’UE ou de l’Euro.
    Sur les positions de Benoit Hamon, tu écris plusieurs choses fausses. Tu le fais dans le soucis de faire croire que les programmes de Hamon et Mélenchon sont compatibles mais ça reste faux. Deux exemples :

    - Le TScg, non Hamon n’a pas voté contre comme tu l’écris. Comment aurait-il pu ? il n’était pas député à l’époque mais ministre de Hollande à Bercy. Quand ce traité Merkozy est passé immédiatement après l’entrée en fonction de Hollande, Hamon n’a rien dit et en restant au gouvernement il s’est montré solidaire (comme sur l’ANi, le CICE, la hausse de la tva, la hausse des cotisations pour les retraites etc.) A l’époque Mélenchon avait alerté sur le sujet et avait initié une grande marche. 80 000 personnes étaient venues sur un sujet pourtant complexe. Tout le monde savait que ce reniement en entraînerait mécaniquement beaucoup d’autres. Les gauches du ps étaient restées au chaud par contre, les voix de Mélenchon avaient servies 2 mois plus tôt pour faire élire Hollande mais on n’allaient pas user ses semelles en sa compagnie, faut pas déconner non plus… Dommage il aurait pû se construire à l’époque des ponts entre vous et nous sur la critique de l’UE, ça aurait été utile aujourd’hui.

    - Le CETA, Hamon est contre en parole. les eurodéputés ps votent contre au parlement européen en sachant que leur vote n’est pas décisif. Mais ici en France, quand un député communiste propose d’interdire la ratification du CETA si elle ne passe pas par référendum, tout le groupe ps s’abstient (Hamon compris) avec comme résultat l’absence de majorité pour la proposition communiste contre le CETA.

    Le programme de Mélenchon est sur la table, le bilan du ps et son programme aussi. Les gens choisissent.

  11. Greg
    Posted 27 février 2017 at 22:47 | Permalien

    Olivier Dartigolles sur France infos ce lundi : « Je dis à Mélenchon et Hamon qu’ils n’ont pas à décider de fermer la porte à un espoir qui grandit »

    http://mobile.francetvinfo.fr/politique/benoit-hamon/presidentielle-le-parti-communiste-en-appelle-a-une-intervention-populaire-pour-une-union-de-la-gauche_2074283.html#xtref=https://www.google.fr/

  12. Michel-Pierre
    Posted 27 février 2017 at 22:53 | Permalien

    Tout à fait juste, ce long commentaire d’une déplorable soirée. Soyons des centaines à le dire ici … et des centaines de milliers à exprimer notre exigence d’union dans les jours qui viennent !

  13. CRAYENCOUR
    Posted 27 février 2017 at 23:56 | Permalien

    Où en est l’exclusion de Collomb, Calmette et maintenant Caresche; tous partis vers Macron?
    Eux vont jusqu’au bout. La gauche socialiste aurait pu marquer le changement en se tournant résolument vers la gauche; mais là, vous allez encore subir; ce n’est pas vous qui prenez l’ascendant, ce sont ces traitres qui, sans fausse honte soutiennent l’allié de Bayrou. Tu vas encore dire que votre aile droite fait partie de la gauche et qu’il faut tout faire pour la garder? Si Hamon était autre chose qu’un apparatchik habitué des intrigues de parti, il aurait lui même imposé cette clarification!

  14. Posted 27 février 2017 at 23:58 | Permalien

    sans nuance sans culture, sans action, sans but

  15. Posted 27 février 2017 at 23:59 | Permalien

    mais non

  16. Posted 28 février 2017 at 0:01 | Permalien

    tous les parrains en actes de macron sont exclus ipso facto

  17. Posted 28 février 2017 at 0:17 | Permalien

    Parce qu’il aura fallu un mois: une éternité en pleine campagne présidentielle, pour que Benoît Hamon mette enfin un terme, comme il l’a fait hier soir sur TF1, à cet interminable feuilleton à l’eau de rose avec Jean-Luc Mélenchon. Un mois à se demander si Jean-Luc allait dire oui à Benoît. S’ils allaient enfin sceller leur union après leur petit dîner de vendredi dans un restaurant chilien. Du coup, au PS, certains se demandent si Hamon ne s’est pas fait balader « comme un bleu », par Mélenchon qui, tel un gros chat jouant avec une souris, l’a enfermé dans d’interminables discussions de boutique, l’empêchant ainsi de s’adresser à tous les Français.
    Objectif de Mélenchon, selon les mêmes: casser la belle dynamique du candidat Hamon pour mieux liquider le PS, ce « corbillard ». Un ténor du PS, très inquiet, me confiait ce week-end: « Mélenchon a piégé Hamon pour qu’il décroche dans les sondages et que les socialistes le lâchent. On s’est laissé engluer dans cette connerie, pendant que Macron travaillait, lui, à un vrai rassemblement ».(sic) codina

  18. Médusa
    Posted 28 février 2017 at 0:32 | Permalien

    @GF17 « Du coup, au PS, certains se demandent si Hamon ne s’est pas fait balader « comme un bleu », par Mélenchon qui, tel un gros chat jouant avec une souris, l’a enfermé dans d’interminables discussions de boutique, l’empêchant ainsi de s’adresser à tous les Français. »

    Thèse du complot ridicule, Hamon n’avait qu’à appeler Mélenchon VITE comme il l’avait promis, et la question de l’union aurait été réglée VITE, dans un sens comme dans l’autre. Hamon a voulu ménager la chèvre et le chou, du coup sa campagne s’est enlisée…

  19. Gilbert Duroux
    Posted 28 février 2017 at 0:54 | Permalien

    GF : « tous les parrains en actes de macron sont exclus ipso facto ».

    Mensonge ! Je n’ai vu nulle part qu’une procédure était engagée contre Caresche et la douzaine de députés PS qui ont rejoint Macron. Depuis le temps que Collomb soutient ouvertement Macron, dans tous les médias, dans les meetings, aucune procédure à son encontre. Qu’est-ce que tu nous parles de parrainages ? Un soutien, c’est un soutien. Ce sont des actes qu’ont posés ces renégats.

  20. socrate
    Posted 28 février 2017 at 1:05 | Permalien

    Gérard Filoche
    Posted 28 février 2017 at 0:17 | Permalien

    Parce qu’il aura fallu un mois: une éternité en pleine campagne présidentielle, pour que Benoît Hamon mette enfin un terme, comme il l’a fait hier soir sur TF1, à cet interminable feuilleton à l’eau de rose avec Jean-Luc Mélenchon. Un mois à se demander si Jean-Luc allait dire oui à Benoît. S’ils allaient enfin sceller leur union après leur petit dîner de vendredi dans un restaurant chilien. Du coup, au PS, certains se demandent si Hamon ne s’est pas fait balader « comme un bleu », par Mélenchon qui, tel un gros chat jouant avec une souris, l’a enfermé dans d’interminables discussions de boutique, l’empêchant ainsi de s’adresser à tous les Français.
    Objectif de Mélenchon, selon les mêmes: casser la belle dynamique du candidat Hamon pour mieux liquider le PS, ce « corbillard ». Un ténor du PS, très inquiet, me confiait ce week-end: « Mélenchon a piégé Hamon pour qu’il décroche dans les sondages et que les socialistes le lâchent. On s’est laissé engluer dans cette connerie, pendant que Macron travaillait, lui, à un vrai rassemblement ».(sic) codina
    ……………………………………………………………………………………………………………………………………
    de quelles interminables discussions parles tu ?
    en tous cas on était pas au courant qu il existait une négociation puisque jusqu’au meeting de Strasbourg de Melenchon celui ci n’avait pas de contact personnel avec Hamon .
    Donc tentative d’enfumage ?
    je vois pas quel temps a perdu Hamon avec la FI en tous cas pas en réponse a la lettre de Melenchon lui expliquant comme aplanir les désaccords .

    Réponse que nous attendons toujours nous autres petits anonymes de gauche qui sommes déçus une nouvelle fois du mépris que Hamon nous montre en refusant de répondre sur le fond…

    vouloir l’unité en étant pas transparent est ce une attitude normale pour quelqu un comme Hamon qui prétend incarné une autre politique ?
    j’ai des doutes

  21. Dim
    Posted 28 février 2017 at 1:08 | Permalien

    @Gerard Filoche

    « Parce qu’il aura fallu un mois: une éternité en pleine campagne présidentielle, pour que Benoît Hamon mette enfin un terme, comme il l’a fait hier soir sur TF1, à cet interminable feuilleton à l’eau de rose avec Jean-Luc Mélenchon. Un mois à se demander si Jean-Luc allait dire oui à Benoît. S’ils allaient enfin sceller leur union après leur petit dîner de vendredi dans un restaurant chilien. Du coup, au PS, certains se demandent si Hamon ne s’est pas fait balader « comme un bleu », par Mélenchon qui, tel un gros chat jouant avec une souris, l’a enfermé dans d’interminables discussions de boutique, l’empêchant ainsi de s’adresser à tous les Français.
    Objectif de Mélenchon, selon les mêmes: casser la belle dynamique du candidat Hamon pour mieux liquider le PS, ce « corbillard ». Un ténor du PS, très inquiet, me confiait ce week-end: « Mélenchon a piégé Hamon pour qu’il décroche dans les sondages et que les socialistes le lâchent. On s’est laissé engluer dans cette connerie, pendant que Macron travaillait, lui, à un vrai rassemblement ».(sic) codina »

    Et allez, le cirque pour faire passer Mélenchon pour le responsable de la désunion contre la réalité factuelle commence…

  22. Mick
    Posted 28 février 2017 at 1:31 | Permalien

    Cela fait 1 an que Mélenchon est lancé, son programme est figé depuis des mois. Hamon et lui sont tellement proches sur de nombreux points, c’était à Hamon de se rallier à lui. Sans ralliement, nous allons nous retrouver à la tête de l’Etat avec le pire casseur social que la France ait connu. Ca va être une boucherie :
    https://www.youtube.com/watch?v=prNtSDCoOcA

  23. toto
    Posted 28 février 2017 at 8:16 | Permalien

    bonjour monsieur Filoche,

    « Certains au Ps se demandent si Benoit Hamon ne c’est pas fait balader « comme un bleu »…

    Tout est dis!…
    Cet homme n’a pas encore la carrure et ne l’aura peut-être jamais et ça l’appareil du pseudo-PS Français (en réalité c’est le PS européen) le sait très bien… Je dirais même que c’est fait exprès puisque leur vrai candidat non déclaré est E. Macron.

  24. Posted 28 février 2017 at 8:25 | Permalien

    vous vous permettez n’importe quoi…
    « pas la carrure » qu’et ce que c’est la carrure ? notion totalitaire macho notable ?
    tout socialiste qui apporte son parrainage a macron et appeler a voter pour lui conter hamon sera exclu… et il n’y en a pas tant que ça qui se bousculent au portillon
    encore moins si nous réussissons l’unité de la gauche

  25. Posted 28 février 2017 at 8:25 | Permalien

    personne ne se ralliera a personne,
    vous pouvez pas comprendre cela ?
    unité oui, soumission non

  26. Posted 28 février 2017 at 8:26 | Permalien

    il y a sa part !

  27. Posted 28 février 2017 at 8:27 | Permalien

    meme a distance, il y a eu echange
    la ou il y a une volonté il y a un chemin
    je n’ai pas perdu de volonté suffisante des deux cotes

  28. Posted 28 février 2017 at 8:29 | Permalien

    je ne crois pas que la question de l’unité aurait été réglée vite,
    car si melenchon l’avait voulue, il l’aurait préparée on l’aurait senti et cela aurait sans doute abouti

  29. Posted 28 février 2017 at 8:40 | Permalien

    A l’attention de Mrs HAMON et MELENCHON…

    > Je viens d’apprendre la mauvaise et terrible nouvelle au 20H de TF1….il n’y aura donc pas de Coalition de Gauche ….et c’est un scandale !

    > Je suis donc écoeuré au plus haut point… et je n’irai à aucun rassemblement ou autres pour soutenir des gens qui ne pensent qu’à leurs égos !

    > Même si c’est HOLLANDE qui a détruit la Gauche, d’autres s’en chargent aujourd’hui pour continuer le Massacre ! et laisser donc la place et le champ libre aux conservateurs, libéraux, traitres, antisyndicaux, ultra cathos et xénos en tous genres…..

    > Les dégats de la trahison de 2012 sont terribles ! et nous allons en payer le prix cash avec un recul de civilisation hors norme …. pour plusieurs décennies !

    > Grâce à vous, LE PEN, MACRON et FILLON doivent bien rigoler de cette Gauche bancale – incapable de s’entendre pour une échéance capitale .

    > Tout ça pour en arriver là ! C’est inadmissible et incompréhensible !

    > Donc vous vous moquez des retombées sur ceux qui vont souffrir de votre grave erreur politique historique…

    > C’est un nouveau coup de poignard dans le dos de l’espoir et du progrès… Ne venez pas vous plaindre, si devant votre insouciance le Peuple choisit de se venger autrement dans les urnes ! Merci d’avoir oublié ….ceux qui y croyaient encore !

    > La pétition de David TEIXEIRA (change.org) qui a rassemblé plus de 75000 signataires n’aura donc servi à rien !

    > Au nom de tous les déçus, Sylvain STRAPPAZZON Conseiller Prudhomme à LONGWY

  30. Posted 28 février 2017 at 8:44 | Permalien

    Rapprochement entre Martin Schulz et die Linke

    Alors que les sondages ne lui étaient pas favorable, Martin Schulz, qui a été désigné par le SPD pour concourir à l’élection de chancelier, voit ses intentions de vote augmenter, atteignant parfois les 30%, le plaçant ainsi devant Angela Merkel.
    Martin Schulz doit son succès au fait qu’il est peu connu sur la scène intérieure allemande, lui permettant de ne pas porter la responsabilité des politiques austéritaires de l’ancien et dernier chancelier issus du SPD ou le bilan de la coalition gouvernementale qui a beaucoup pénalisé les anciens candidats.
    Martin Schulz, qui a annoncé vouloir modifier l’Agenda 2010 (ensemble de réformes porté par Gerhard Schröder extrêmement critiqué par la gauche allemande) a vu le parti « Die Linke » lui ouvrir ses portes pour un travail commun. En effet, Sarah Wagenknecht, co-présidente du groupe Die Linke au Bundestag, a annoncé : « Si nous étions en mesure de réinstaurer l’État social et de mener une politique étrangère pacifiste, nous ferions volontiers partie du prochain gouvernement. Dans ces conditions, une coalition de centre gauche est possible » ouvrant ainsi la porte à une coalition SPD-Die Linke-Verts, au sortir des élections du 24 Septembre prochain.

    Ce que nous en disons :
    ► Comme en France, la gauche allemande est à la croisée des chemins. Elle fait face à une responsabilité historique : celle de se voir potentiellement dépassée par le parti d’extrême-droite AfD. Les signes envoyés par Die Linke montrent que la réconciliation entre la gauche social-démocrate et la gauche radicale est envisageable en Allemagne, comme elle l’est en France.

  31. Posted 28 février 2017 at 8:45 | Permalien

    Voici l’expresso du matin : le condensé de l’actualité pour la journée.

    A noter

    ► Les écologistes approuvent à 80% le ralliement de Yannick Jadot à la candidature de Benoît Hamon.
    Nous nous félicitons du vote des écologistes qui ont approuvé à 80% la dynamique de rassemblement pour les élections présidentielles. Nous nous engageons désormais de manière déterminée dans une campagne résolument socialiste et écologiste.
    ► Annonces de François Fillon sur le déploiement d’une police municipale dans les villes de plus de 100 000 habitants.
    François Fillon veut instaurer des polices municipales mais avec quel argent ? Quand on défend la diminution drastique des dépenses publiques, il paraît compliqué de faire ensuite ce genre de proposition.
    ► Des parlementaires appellent François Hollande à reconnaître l’Etat de Palestine
    ► Le parti Die Linke ouvre la porte à une alliance de l’ensemble des forces de gauche en Allemagne.
    L’Allemagne est à la croisée des chemins, comme nous le vivons aujourd’hui en France, de porter des alliances de l’ensemble de la gauche pour faire face à la droite et l’extrême droite et gagner les élections.

    Agenda du Jour

    ► Donald Trump s’adresse au Congrès

    Les écologistes approuvent à 80% le ralliement de Yannick Jadot à la candidature de Benoît Hamon

    Les électeurs de la primaire écologiste ont approuvé à 79,53% l’accord conclu entre Yannick Jadot et Benoît Hamon pour les présidentielles (avec 55,25% de participation).
    Ce retrait de Yannick Jadot est inédit : c’est le premier retrait d’une candidature écologiste aux élections présidentielles depuis 1974 (retrait de René Dumont).

    Ce que nous en disons :
    ► Nous nous félicitons du vote des écologistes, qui ont largement approuvé une candidature unique de rassemblement social, démocratique et écologique. Nous nous engageons désormais de manière déterminée dans une campagne résolument socialiste et écologiste.
    ► Cette dynamique de rassemblement que nous engageons est aussi historique que l’est le péril, désormais réel, de l’accession de l’extrême droite au pouvoir en France. Nous en appelons désormais à toutes les femmes et les hommes de gauche pour amplifier encore cette dynamique. Les appareils ne font pas tout : c’est aux citoyens de les déborder pour engager un mouvement populaire autour de ce rassemblement.

  32. Posted 28 février 2017 at 8:45 | Permalien

    Des parlementaires appellent François Hollande à reconnaitre l’Etat palestinien

    154 députés et sénateurs de tous les bords politiques ont, à travers un courrier d’interpellation, demandé à François Hollande de reconnaitre l’Etat de Palestine : « La France doit marquer sa volonté de sortir de l’impasse sur ce conflit en réaffirmant solennellement, au nom du droit inaliénable à l’autodétermination, que le peuple palestinien est fondé à se doter d’un État. Il en va du respect du droit international comme de la sécurité d’Israël. »
    Cela fait notamment suite au vote de l’Assemblée Nationale en décembre 2014 d’une résolution invitant le gouvernement à reconnaître l’Etat de Palestine dont Benoît Hamon était signataire.

    Ce que nous en disons :
    ► Une situation de paix au Moyen Orient est impossible sans la reconnaissance de l’État de Palestine. La coexistence de deux Etats est la seule solution qui permettra d’assurer la sécurité et l’intégration de l’Etat d’Israël dans la région et de réouvrir le processus de paix.
    ► Nous soutenons l’initiative de l’ensemble de ces parlementaires et appelons aussi à la reconnaissance de l’Etat Palestinien.

  33. Posted 28 février 2017 at 8:53 | Permalien

    Nous n’avons aucune difficulté pratique, localement, à mener à la fois la campagne de Benoît Hamon et la bataille pour l’unité.

    Nous distribuons les tracts de Benoît Hamon, ses affiches aidons a tous ses meetings et initiatives dans tous nos reseaux nous lui en proposons, en organisons nous meme chaque fois que c’est possible

    D&S sort une « lettre » 1 ou 2 fois par semaine pour un peu moins de 1 000 destinataires dont certains ont des réseaux conséquents. Dans cette « lettre », nous alternons :

    - La bataille pour l’unité : arguments, pétitions nationales, reprises d’initiatives nationales, appel à un apéro unitaire (que notre camarade Françoise, élue municipale PS, a organisé avec un élu municipal d’EELV), articles de Gérard (RMC, franc culture, 20′… ) , éditos de la lettre de D&S, articles que nous écrivons au fil de l’actualité…

    - La bataille contre la droite et l’extrême droite, à partir d’articles de D&S (Lettre ou Revue).
    Dans la dernière « Lettre » nous avons repris l’article écrit pour D&S, sur le FN.
    Dans la prochaine (mercredi) nous reprendrons soit l’édito de la lettre de D&S, soit l’article de Gérard e annexe sur son blog .

    Dans celle d’après, un article sur le programme de Macron (base de l’article pour la Revue dont 1ère version au CR de D&S, à toutes fins utiles).

    Dans la suivante, nous continuerons sur l’unité et nous alternerons avec des articles contre la droite et le FN, le tout en fonction de l’actualité.
    Nous ne sommes pas en opposition au contenu de la campagne d’Hamon (au contraire, nous distribuons ses tracts) mais nous disons aux salariés, aux sympathisants du PC ou de la FI, que la victoire de la gauche instaurerait un rapport de forces qui permettrait d’aller plus loin, le social au coeur

    Notre but n’est pas d’être « apprécié » par Hamon mais de faire gagner la gauche et d’encourager les luttes pour ce que nous estimons correspondre aux besoins de notre classe sociale : 1 800 – 60- 32 – 30 – 20 – 5 – VIème – Augmentation des minimas sociaux et revenu d’existence pour tous les jeunes de 18 à 25 ans – Refus d’obéir aux décisions de l’UE contraire aux intérêts du salariat…

    Il faudra, ensuite, démonter le « nouveau » programme de Fillon en montrant en quoi son premier programme était le vrai et qu’il irait jusqu’au bout de ce que lui permettrait le rapport de forces (une pluie d’ordonnances pendant juillet et août), exactement comme le feraient Macron et Le Pen.

    A moyen terme, il faudra aviser (nationalement), en fonction, notamment, de l’évolution des sondages de 1er tour (ils sont de plus en plus fiables au fur et à mesure que l’on approche du 23 avril et les instituts de sondages n’ont pas trop intérêt à se tromper car ces sondages électoraux leur servent de pub pour les enquêtes qu’ils cherchent à se voir confier – contre espèces sonnantes – par les entreprises.)

    Si BH est largement en tête devant JLM, il sera possible et légitime d’appeler au « vote utile » et nous serons d’autant plus écoutés que nous aurons mené une campagne sans faille pour l’unité.

    Si les deux sont dans un mouchoir de poche, la campagne pour l’unité trouvera un nouveau point d’appui car il sera évident que personne à gauche ne pourra être au second tour.

    Si JLM est à 20 % et Hamon à 10 % (ce qui serait extrêmement étonnant), il faudra, bien sûr, décider de ce que nous ferions en fonction, avant tout, de ce qui serait utile à notre classe.

  34. Posted 28 février 2017 at 8:59 | Permalien

    « Un marchand menait des bœufs à l’abattoir. Le boucher s’avance, un couteau à la main. « Serrons les rangs et transperçons ce bourreau de nos cornes. », propose un des bœufs
    « Mais en quoi le boucher est-il pire que le marchand qui nous a conduits jusqu’ici avec sa trique », lui répondirent les bœufs qui avaient reçu leur éducation politique au pensionnat de Manouïlsky.
    « »C’est qu’ensuite nous pourrons régler son compte au marchand !
    « – »Non« , répondirent les bœufs à principes à leur conseilleur, tu es la caution de gauche de nos ennemis, tu es toi-même un social-boucher. » Et ils refusèrent de serrer les rangs. (Tiré des fables d’Esope.) »

  35. Posted 28 février 2017 at 9:01 | Permalien

    Dans une lettre adressée à un ouvrier membre du Parti communiste allemand en 1931[15], Léon Trotsky s’oppose vivement à la stratégie du PC communiste allemand. Celui-ci part de l’idée qu’il est impossible de vaincre le fascisme, sans avoir vaincu au préalable la social-démocratie allemande : « Cette idée, Ernst Thälmann la répète sur tous les tons. Est-elle juste ? Cette idée est juste du point de vue de la stratégie révolutionnaire dans son ensemble, mais devient un mensonge, et même un mensonge réactionnaire une fois traduite dans le langage de la tactique. Est-il vrai que pour faire disparaître le chômage et la misère il faut détruire au préalable le capitalisme ? C’est vrai. Mais seul le dernier des idiots en tirera la conclusion que nous ne devons pas nous battre aujourd’hui de toutes nos forces contre les mesures qui permettent au capitalisme d’augmenter la misère des ouvriers. »
    Trotsky rappelle, qu’en 1917, les bolcheviks ne se contentèrent pas de lancer un appel général aux ouvriers et aux soldats, mais proposèrent aux socialistes révolutionnaires et aux mencheviks un front unique de combat, et créèrent avec eux des organisations communes pour la lutte.
    Aucune alliance n’était possible avec les gouvernements Ayrault, Valls et Cazeneuve. Mais une alliance avec Benoît Hamon, dans le cadre de la campagne présidentielle et dans le contexte d’une menace fasciste en France (une victoire de Marine Le Pen en mai prochain n’est plus à exclure), est plus que souhaitable : elle est vitale pour la gauche de gauche.

  36. Dominique Babouot
    Posted 28 février 2017 at 9:15 | Permalien

    Franchement, t’as pas l’limpression que ton « tenor » du ps , il retourne les choses a l’envers!
    Avant que BH la primaire, jlm etait a 15 pour cent Valls a 9 , Montebourg a 7 et Hamon a 6. Alors j’ai plutot l’impression que c’est Bh qui a casse la baraque de Meluche!
    Mais contrairement aux tenors du ps Meluche il s’en fout parce qu’il ne fonctionne comme eux, ce qui l’interesse c’est pas la place, c’est de reussir a faiire avancer ses idees. Avec ses qualites personnelles si il etait comme les autres il serait rester au ps et ses qualites indeniable d’excellent tribun l’aurait la place de Hollande!
    Vraiment vous devenez parano avec votre parti!
    Tu parles, le but de Meluche c’est de convaincre pas de se venger de son ancien parti qu’il a d’ailleurs quitte volontairement!
    Par contre c’est vrai que vous l’emmerdez tous a vouloir a tout prix qu’il retire sa candidature a vouloir l’empecher d’exercer le droit de tout ciitoyen qui est de se presenter a une election, oui vrraiment!
    Car quand on y reflechit, qu’est ce qui est en cause? En pretendant imposer des retraits vous voulez forcer la main aux electeurs, les obliger a voter differemment de ce qu’ils veulent, voila la verite!
    Et cela pourquoi? La reponse est evidente vous n’etes pas capable de convaincre alors vous cherchez a imposer!
    Quant aux rapports personnels entre Benoit et Jean-luc sont parfaitement corrects! On pourra remarquer que jlm n’a pas injurie Benoit quand il l’a vu debarquer, au contraire, il a acte et s’est rejoui des points communs et s’est dit qu’il etait juste qu’il respecte son ancien camarade pour son travail!
    Aller plus loin et redevenir collaborateurs ? Jlm l’a dit
    Ce qui les separe encore est trop important pour que le delai court puisse en venir a bout, mais la porte reste ouverte pour un rapprochement dans l’avenir, 2017 n’est pas la fin du monde! Peut etre du ps mais pas des energies humaines qu’il contient!
    Du cote de Benoit meme son de cloche et je crois qu’il accepte d’autant plus faciilement, qu’a l’epoque pas si lointaine de la primaire, on lui demandait de se retirer pour qu’un certain Montebourg soit sur de battre Valls!
    Alors dans ce restaurant, ils ont pris une decision commune , celle de se maintenir tous les deux!
    Alors faites campagne, choisissez, l’un ou l’autre mais foutez leur la paix!
    La politique ce n’est pas de l’arithmetique, le desistement est la chose la plus difficile a obtenir, parce que l’electeur est maitre du bulletin qu’il met dans l’urne, c’est lui qui detient la souverainte dans une democratie!

  37. 100% A GAUCHE
    Posted 28 février 2017 at 9:46 | Permalien

    Merci camarade pour ce rappel sur l’offre des bolcheviks de 1917 en faveur du « front commun » avec les sr et les mencheviks ! La révolution russe, foisonnante, est rarement présentée dans toutes ses dimensions (à part notamment chez l’historien Jean-Jacques Marie)… Pour ce qui concerne la stratégie des deux candidats actuels principaux de la gauche, je suis bien d’accord avec toi: j’ai perçu la « grande frustration » dont tu parles dans cet article: les électeurs ne comprennent pas cette division en deux blocs qui ne peuvent l’emporter en restant repliés sur leurs bataillons militants de départ… Des collègues à moi (enseignants) penchent plutôt pour Hamon, d’autres saluent davantage Mélenchon mais aucun n’identifie le candidat Macron à une quelconque « gauche » même modérée (quant à l’expression souvent entendue de « gauche moderne » je ne sais pas ce qu’elle signifie, c’est une posture sans fond idéel selon moi) ! Donc la seule voie raisonnable s’avère bien la constitution d’une dynamique de « front populaire », seule capable de contenir une certaine emprise oligarchique sur la société… Courage à toi ! Ton dévouement imperturbable à la grande cause commune de la démocratie sociale est hautement méritoire !

  38. Posted 28 février 2017 at 10:09 | Permalien

    mais évidemment que hamon allait passer devant melenchon… il n’y a que ceux qui croyaient a tort que le PS était mort qui ne l’anticipaient pas

  39. Posted 28 février 2017 at 10:09 | Permalien

    Chers amis,

    Désormais flanqué de Bayrou (qui le « gauchit » un petit poil), le « candidat de la finance mondialisée » * devrait logiquement reléguer celui de la « droite décomplexée » ** (une main pour serrer la ceinture des gagne-petit … l’autre pour s’en mettre plein les poches !) hors du « podium » du premier tour.

    Il devient donc, pour « la finale » du 7 mai, un adversaire possible de la gauche si celle-ci réussit à se qualifier en mettant l’extrême droite hors jeu … ce qui implique qu’elle se montre très vite capable d’en finir avec le morcèlement dramatique des près de 30 % de suffrages que lui attribuent actuellement les sondages.

    DU BOULOT, donc pour les citoyens que nous sommes !

    Alors voici une nouvelle pétition à faire connaître et signer d’urgence:

    http://www.vousattendezquoi.fr.

    Merci par ailleurs de continuer à proposer à la signature de vos amis les deux pétitions précédentes (http://www.1maispas3.org/ et Change.org ).

    Bientôt 100 000 en cumulé !

    Amicalement,

    Michel

    * (dixit Bayrou)

    ** (dixit Copé)

  40. Anastasia
    Posted 28 février 2017 at 10:12 | Permalien

    « On a le sentiment net que la campagne de Benoît Hamon s’est arrêtée après la primaire pour s’occuper de petits problèmes d’officine.
    Les semaines filent et Benoît Hamon semble uniquement vouloir refonder le PS autour de lui, en étouffant sur sa gauche les mélenchonistes. »

  41. Posted 28 février 2017 at 10:16 | Permalien

    c’est justement le contraire, il est parti en campagne de terrain
    et a refusé les négociations d’appareil

  42. Posted 28 février 2017 at 10:16 | Permalien

    Bonsoir Mr Filoche,

    Je suis ouvrière et j’ai toujours voté à gauche toute ma vie.

    J’ai écris à Mr Hamon sur son mail de l’assemblée nationale,il n’ a pas eu la politesse de me

    répondre. Je vous joint ce courrier qui résume mon état d’esprit et celui de beaucoup d’entre nous

    J’espère que vous ferez tout pour les faire revenir à la raison en effet, je ne veux pas trouver

    au deuxième tour  » Le Pen  » et  » Francois le fictif  » ou  » Macron la finance  » .

    Cordialement

    T.CLOAREC

    Courrier envoyé à Mr Hamon

    Bonsoir Mr le député

    A cinquante jours du 1er tour vous persistez à ne pas vouloir vous désister en faveur de Mr Mélenchon qui je vous le rappelle
    à commencer sa campagne il y a plus d’un an.
    De plus vous affirmez être le candidat le mieux placé pour représenter la gauche mais, permettez moi de vous rappeler que si vous avez gagné la primaire
    ce n’est que parce que nous les ouvriers de gauche y avons voté pour dégager Valls et en finir avec ce quinquennat de tous les reniements.
    Bizarrement beaucoup de députés qui se disaient de gauche s’empressent de rejoindre Mr Macron candidat de la finance, preuve que les socialistes ne sont plus de gauche depuis bien longtemps.
    Alors maintenant que nous avons un candidat qui représente bien la vrai gauche, vous vous honoreriez à vous ranger derrière sa candidature.
    Vous porterez une responsabilité historique à ne pas le faire car vous le savez nous ne serons pas au 2 ème tour si vous ne le faites pas
    et nous nous retrouverons avec le choix entre Le Pen et Macron ou Fillon.

    Dépassez les petites querelles d’égo ou d’appareils au lieu de donner cette bien piètre image de la politique que la majorité des français rejette.
    Les français en ont marre de ces « conneries » bougez vous dans l’intérêt du plus grand nombre et arrêtez les petits calculs.
    Et là on sera au deuxième tour.

    Cordialement.

    T.CLOAREC

  43. 100% A GAUCHE
    Posted 28 février 2017 at 10:23 | Permalien

    Je viens d’entendre, aux infos, Jean-Marie Le Guen critiquer la stratégie de B. Hamon, jugée « trop à gauche »… La droite du parti semble vouloir lui mettre des bâtons dans les roues ! Mais je ne pense pas que cette tendance droitière soit majoritaire même si elle occupe des postes de direction ou de gouvernement; je m’interroge toutefois sur sa capacité à casser la dynamique du rassemblement des gauches sociales ! Il y aura forcément une recomposition idéologique après les différents scrutins, quels que soient les résultats… M’est avis que c’est souhaitable !

  44. Anastasia
    Posted 28 février 2017 at 10:43 | Permalien

    Je pose ici ce tweet qui n’est pas de moi, et qui résume parfaitement ce qui aurait pu se passer, si l’aile gauche du PS avait su prendre ses responsabilités plutôt que de vouloir préserver l’unitay d’un parti pris à la gorge par une majorité de libéraux :

    À dérouler :

     » Mélenchon n’a pas choisi la désunion.Hamon et ses pairs l’ont causé. https://t.co/5fOeftr6y5  »

    Quant à ce que j’ai rapporté plus haut,post 40, ça n’est pas de moi et c’est pour ça que c’est entre-guillemets. Cette impression grandit nettement dans la population.
    Dans le billet que vous aviez publié précédemment, vous aviez posté un article de L’important qui relatait la rencontre de Benoît Hamon et de Jean-Luc Mélenchon. Benoît Hamon y faisait preuve de désinvolture, Jean-Luc Mélenchon au contraire, était perturbé. L’attitude de JLM prouvait qu’il n’était pas satisfait de cette situation et qu’il mesurait les enjeux de cette rencontre pour l’avenir des citoyens et du pays contrairement à Benoît Hamon, désinvolte et satisfait.
    Faut-il aussi vous rappeler que Pascal Cherki dans un article du Canard Enchaîné, d’il y a un peu plus d’un mois, cf plan sur la comète, faisait part de ses intentions : « siphonner » les voix de JLM.
    Alors cette comédie n’a que trop durée, refonder le PS autour de Benoît Hamon est loin d’être une urgence, prenez vos responsabilités et croyez-moi s’il y a défaite en mai, nous serons nous rappeler de la désinvolture et de la satisfaction éprouvé par Benoît Hamon, ce soir de février à la sortie d’un restaurant chilien.

  45. Anastasia
    Posted 28 février 2017 at 11:08 | Permalien

    Pourquoi le PS met autant de temps à lancer la purge des soutiens de Macron
    Officiellement, qui rallie le candidat d’ »En Marche » s’expose à des sanctions du PS. Officiellement!
    11/02/2017 09:05 CET | Actualisé 11/02/2017 09:49 CET
    Alexandre Boudet Journaliste politique au HuffPost

    POLITIQUE – Allons faire un tour dans les statuts du Parti socialiste, adoptés en 2015. Il n’y a pas besoin de lire longtemps pour trouver les quelques lignes qui pourraient poser problèmes à certains soutiens d’Emmanuel Macron. C’est page 18, au sixième article dans le chapitre consacré aux principes, que figurent les règles de « loyauté au parti ».

    « Les adhérents s’engagent à ne soutenir que les seuls candidats à des fonctions électives qui sont effectivement investis ou soutenus par le Parti socialiste. »

    Pendant longtemps, les dirigeants du PS se sont réfugiés derrière pour refuser soigneusement de sanctionner leurs militants et cadres qui avaient déjà rejoint En Marche. Mais depuis le 5 février et l’investiture de Benoît Hamon, les socialistes ont officiellement leur candidat pour la présidentielle. Et ce n’est donc pas Emmanuel Macron. Reste donc à savoir quand les soutiens de l’ex-ministre de l’Economie seront sanctionnés.

    Une échéance sans cesse repoussée

    En décembre, on parlait du mois de février. « Ceux qui en février soutiendront un candidat qui n’est pas socialiste ne seront pas eux-mêmes candidats socialistes. On ne peut pas jouer à la fois à l’OM et au PSG », souriait alors Christophe Borgel, le monsieur élections du PS. Pourtant aujourd’hui, personne n’envisage que ce calendrier soit respecté. En début de semaine, Jean-Christophe Cambadélis a d’ailleurs repoussé la date limite. « J’ai dit, et je n’ai pas bougé, que ceux qui le parraineraient ne seraient plus au Parti socialiste. On ne peut pas être à la fois dans l’équipe du Parti socialiste et parrainer l’équipe adverse », a lancé le patron de Solférino mardi 7 février sur RMC et BFMTV.

    En écoutant le patron du PS, on voit donc la nuance. Soutenir Emmanuel Macron ne sera pas forcément synonyme de sanction. Il faudra parrainer le candidat pour risquer d’être mis à la porte. Et ce n’est que le 17 mars que la liste de tous les parrains sera connue, soit à peine un mois avant le premier tour.

    Les macronistes ne font d’ailleurs même pas semblant d’être inquiets. « Il y a un côté paradoxal dans le fait qu’aujourd’hui on veut exclure des élus socialistes qui ont été d’une parfaite loyauté envers le gouvernement pendant cinq ans, au profit des frondeurs. Personne ne doit s’emballer, Cambadélis a parlé de parrainages, en mars donc, ce qui lui laisse un peu de temps pour changer d’avis », a par exemple réagi le sénateur socialiste et maire de Lyon Gérard Collomb. Adhérent d’En Marche, il est toujours membre du PS et affirme qu’il sera « toujours socialiste de coeur ».

    Alliances, législatives et fuites militantes

    Dans l’esprit de ce baron local, la démarche est claire: un mois avant la présidentielle, Emmanuel Macron sera tellement haut dans les sondages qu’il sera le favori de l’élection. Dans cette hypothèse, il voit mal le PS sanctionner ceux qui rejoindraient le vainqueur potentiel. Ce serait d’autant plus compliqué qu’après la présidentielle, se profileront des législatives où la présence de candidats socialistes face à des candidats En Marche (c’est le scénario logique, les deux forces étant officiellement rivales) pourrait être ravageuse.

    D’autant que le PS a largement investi les députés sortants qui sont aujourd’hui proches d’Emmanuel Macron. C’est le cas de Stéphane Travert dans la Manche, de Christophe Castaner dans les Alpes-de-Haute-Provence, de Corinne Erhel dans les Côtes-d’Armor ou encore de Richard Ferrand dans le Finistère.

    Ce dernier est le premier rallié à Emmanuel Macron et il est devenu secrétaire général d’En Marche. Pour lui, le PS n’a aucun intérêt à exclure les personnes. Pour se justifier, le député du Finistère prend souvent son exemple personnel, rappelant que début décembre lors du vote des adhérents socialistes pour désigner les candidats aux législatives, il a obtenu 80% des voix alors même que les électeurs étaient parfaitement au courant de ses fonctions auprès d’Emmanuel Macron. L’exclure du PS aurait pour conséquence de voir partir des centaines voire des milliers de militants. « Quand vous en avez que 40.000 ce serait bien hasardeux », souligne un député pro-Macron.

    Question timing aussi tout cela paraît compliqué: les sanctions doivent être prononcées par la commission des conflits qu’il faudrait réunir à compter du 17 mars, date de la communication du nom des parrains des candidats à la présidentielle. Mais à un mois du premier tour, Solferino aura autre chose à faire, dit-on dans l’entourage des macronistes.

  46. Posted 28 février 2017 at 11:27 | Permalien

    la gauche et majoritaire dans notre pays
    et ne se révélera qu’en cas d’unité

  47. socrate
    Posted 28 février 2017 at 11:28 | Permalien

    en tous cas preuve est faite que la primaire ne régle rien du tout.
    On se retrouve avec un candidat représentant plus les sympathisants que les adhérents , on se retrouve sans programme de parti mais avec un programme le plus original et a la fin on veut rassembler des partisans de ceux qui soutiennent Hollande jusqu’a ses opposants les plus marqués.
    que Hamon s’occupe maintenant de rassembler le PS et qu il laisse Melenchon rassembler ceux qui combattent la politique Hollande Valls

  48. Posted 28 février 2017 at 11:28 | Permalien

    si melenchon avait voulu l’unité on le saurait déjà

  49. Posted 28 février 2017 at 11:28 | Permalien

    non cambadelis hier au BN a parle d’exclusions pour tous ceux qui soutiendraient un autre candidat que celui du PS

  50. fanto
    Posted 28 février 2017 at 11:29 | Permalien

    https://blogs.mediapart.fr/la-redaction-de-mediapart/blog/280217/pourquoi-nous-voulons-un-debat-public-hamonmelenchon
    si on veut l’unité, il faut que des choses se passent ! L’idée d’un débat public me plaisait moyennement, parce qu’étant donné les tendances de chaque camp à se tirer dans les pattes, ça risquait d’éloigner encore plus les candidats. Mais maintenant que la situation est désespérée, je pense qu’un débat public serait une bonne chose. Qu’ils expliquent en quoi ils sont incompatibles.
    Et pas sur TF1, ni France2, ni une chaine d’info en continue. Ces média ne sont pas neutres (aucun ne l’est vraiment) et ne veulent pas de l’union, ils veulent au mieux l’effacement de JLM, ce qui n’est pas la même chose.
    Faire ce désormais nécessaire débat chez Médiapart serait une bonne chose. Déjà sur la forme, on y a le temps de parler, sans être coupé par un journaliste qui n’est pas content de ce qui se dit, et comme je le disais, aucun média n’est neutre, et je les pense plutôt favorable à une unité dans le sens noble du terme.
    Gérard, Benoit t’écoute-t-il ? Suggère lui ce débat si il est vraiment pour l’unité ! Ne pas le faire par peur que ce soit nuisible pour sa campagne n’est pas un argument de refus, sa campagne est morte si il n’y a pas d’union.

  51. thomine
    Posted 28 février 2017 at 12:11 | Permalien

    @anastasia
    « Mélenchon n’a pas choisi la désunion »
    Si, en quittant le PS

  52. Posted 28 février 2017 at 12:13 | Permalien

    c’est vrai,
    mais il pouvait combattre sur une orientation de front unique ensuite
    il s’y et refusé par ignorance ou sectarisme, on ne sait

  53. Posted 28 février 2017 at 12:14 | Permalien

    je ne suis pas sur, je préférerais qu’il y a it un travail de 72 h pour un programme commun, puis l’accord sur un grv puis ensuite sur les candidatures

  54. thomine
    Posted 28 février 2017 at 12:15 | Permalien

    @ANASTASIA
    « Pourquoi le PS met autant de temps à lancer la purge des soutiens de Macron »

    La notion de purge fait un peu ‘stalinien’
    Si le PS fait çà, il se retrouve comme une coquille vide,
    Melenchon occupe le flan gauche, à l’extérieur du PS
    Macron occupe le flan droit, toujours à l’extérieur du PS

  55. Posted 28 février 2017 at 12:15 | Permalien

    la tu charies, nous étions pour une grande primaire afin de tout régler d’un coup,
    JLM, les EELV et le PCF ont refusé alors que sans doute JLM l’aurait gagné

  56. fanto
    Posted 28 février 2017 at 12:24 | Permalien

    leurs raisons de refuser cette primaire était à mon sens légitime … ça aurait été une primaire de gauche, oui mais là ça a été une primaire du PS, et notamment avec l’aile de droite du PS. Si Valls gagnait la primaire, JLM aurait du le soutenir.
    Il aurait fallu faire en amont un filtre, pour s’assurer que seules des candidatures de gauches s’y présentent. Bref, ça ne pouvait pas être le PS qui organisait ça.

  57. thomine
    Posted 28 février 2017 at 12:31 | Permalien

    les insoumis : par définition, c’est une posture de contestation; C’est une attitude de réaction forcément temporaire.

    Synonymes d’insoumis : déserteur, désobéissant, dissident, dur, frondeur, indépendant, indiscipliné, indocile, insurgé, mutin, rebelle, récalcitrant, réfractaire,, rétif, révolté.

    On ne demande pas à un gouvernement d’être insoumis, on lui demande de gouverner.

    Melenchon se positionne sur un territoire qui n’est pas durable. Je dirais même que Melenchon court après sa jeunesse de révolté et regrette finalement de n’avoir pas fait çà plus jeune. Melenchon a 65 ans et s’il est élu il finira son quinquennat à 70 ans…

  58. thomine
    Posted 28 février 2017 at 12:38 | Permalien

    Melenchon est rebelle à l’idée même de structure d’un parti, de négociation, de synthèse. C’est pour cela qu’il n’a pas rejoint le PCF.
    Il refuse l’idée même de primaires car en plus il se voit comme le Messie. Regardez ses vidéos, il se met en scène, il se duplique avec son hologramme. Il ne faut même pas le tutoyer.

  59. fanto
    Posted 28 février 2017 at 12:39 | Permalien

    « je ne suis pas sur, je préférerais qu’il y a it un travail de 72 h pour un programme commun, puis l’accord sur un grv puis ensuite sur les candidatures »
    ouais moi aussi je préfèrerais ça, mais ils sont pas du tout dans une optique de travail en commun. Un débat pourrait éventuellement déboucher (même si c’est peu probable) sur la conclusion qu’il leur faut travailler en commun.
    Désormais, la dynamique ne viendra plus d’eux. Il faut compter sur les initiatives extérieures, et l’organisation d’un débat est un début, peut être pas l’idée du siècle, mais c’est un début. D’autres choses sont surement possible : un appel public de personnalité diverses (si possible pas trop les gens du showbiz, ça risquerait d’être contreproductif, mais des économistes atterrés, des citoyens x ou y, Attac, le PC, des asso de terrain qu’en sais-je), une grande marche pour l’unité, des pétitions (ouais je sais y’en a déjà)… des trucs facebook … je sais pas … Mais on peut plus attendre que ces deux abrutis se parlent et s’unissent d’eux même, parce que là ils ont montré à quel point ils ne seraient pas moteurs.

  60. Posted 28 février 2017 at 12:47 | Permalien

    ce n’est pas sur il peut y avoir des rebondissements
    on y travaille
    faisons campagne pour l’unité toujours et encore

  61. Posted 28 février 2017 at 12:47 | Permalien

    bof

  62. Posted 28 février 2017 at 12:49 | Permalien

    je m’en fou, je veux qu’on gagne le 23 avril et le 7 mar et qu’on batte le trio des candidats du fric, Fillon Le pen macron

  63. Posted 28 février 2017 at 12:50 | Permalien

    c’était certain d’avance je l’(ai défendu mille fois que hollande ou valls devraient se retirer ou etre battus
    question d’analyse politique

  64. Posted 28 février 2017 at 12:52 | Permalien

    c’est faux Hamon sera en tete de la gauche, on verra s’il atteint le seuil critique
    sans accord avec melenchon les chances sont improbables mais on ne sait jamais car les lecteurs vont avoir peur de tout perdre,
    vu que melenchon s’en est foutu, le « vote utile » va devenir hamon par défaut
    si melenchon avait voulu l’unité, on le saurait tous

  65. inkey
    Posted 28 février 2017 at 12:53 | Permalien

    «la gauche et majoritaire dans notre pays
    et ne se révélera qu’en cas d’unité»

    Non elle n’est vraisemblablement pas majoritaire.
    Le PS n’est pas de gauche, ces 5 ans l’on bien démontré. Je ne dit pas que le PS ne contient pas quelques type de gauche ici ou là mais que le parti socialiste n’est plus socialiste depuis bien longtemps.

  66. inkey
    Posted 28 février 2017 at 12:57 | Permalien

    «c’est faux Hamon sera en tete de la gauche, on verra s’il atteint le seuil critique
    sans accord avec melenchon les chances sont improbables mais on ne sait jamais car les lecteurs vont avoir peur de tout perdre,
    vu que melenchon s’en est foutu, le « vote utile » va devenir hamon par défaut
    si melenchon avait voulu l’unité, on le saurait tous»

    Vous avez fait votre choix, le PS contre vent et marée, c’est une attitude très partisane.

    Toute votre bazar sur l’union de la gauche était évidemment qu’un écran de fumée pour défendre votre petite boutique.

  67. Anastasia
    Posted 28 février 2017 at 13:20 | Permalien

    @Thomine le mot « purge » n’est pas de mon fait mais de l’auteur de l’article du Huffington post.
    Quant à Mélenchon, en toute cohérence lui, a quitté un PS de plus en plus antagoniste à ses positions.

    Lire le billet de Yannis : en 2017, le PS l’insoumission un choix de Raison. Le PS n’est pas réformable de l’intérêt, s’il l’avait été, il ne serait pas composé aujourd’hui de 70℅ de libéraux.
    L’urgence n’est pas de sauver un PS en voie de décomposition mais de faire naître une Gauche avec un grand G, seule à même de contrer droite libérale Macron, droite extrême Fillon, extrême droite Le Pen.
    https://blogs.mediapart.fr/yannis-zeghbib/blog/150117/en-2017-linsoumission-un-choix-de-raison

    Ce quinquennat a engendré deux monstres : un banquier d’affaires de droite et la possibilité d’un FN au second tour.

    Macron le candidat de la droite libérale :

    https://www.google.fr/amp/www.liberation.fr/amphtml/debats/2017/02/27/macron-le-candidat-de-la-droite-liberale_1551423

  68. Anastasia
    Posted 28 février 2017 at 13:42 | Permalien

    @Thomine *Le PS n’est pas reformable de l’intérieur.
    Le banquier d’affaires de droite Macron et la possibilité d’un FN au second tour, est la suite logique de la décomposition de l’idéologie libérale incarnée par la majorité du PS (70℅ de libéraux) et ses complices.
    Hollande et les libéraux majoritaire au sein du PS (« Mon adversaire c’est la finance « ) peuvent être fiers de leur action !

  69. Anastasia
    Posted 28 février 2017 at 13:49 | Permalien

    @Thomine le mot « purge » n’est pas de mon fait mais de l’auteur de l’article du Huffington post.
    Quant à Mélenchon, en toute cohérence lui, a quitté un PS de plus en plus antagoniste à ses positions.

    Lire le billet de Yannis : en 2017, le PS l’insoumission un choix de Raison. Le PS n’est pas réformable de l’intérieur, s’il l’avait été, il ne serait pas composé aujourd’hui de 70℅ de libéraux.
    L’urgence n’est pas de sauver un PS en voie de décomposition mais de faire naître une Gauche avec un grand G, seule à même de contrer droite libérale Macron, droite extrême Fillon, extrême droite Le Pen.
    https://blogs.mediapart.fr/yannis-zeghbib/blog/150117/en-2017-linsoumission-un-choix-de-raison

    Ce quinquennat a engendré deux monstres : un banquier d’affaires de droite et la possibilité d’un FN au second tour.

    Macron le candidat de la droite libérale :

    https://www.google.fr/amp/www.liberation.fr/amphtml/debats/2017/02/27/macron-le-candidat-de-la-droite-liberale_1551423

  70. Gilbert Duroux
    Posted 28 février 2017 at 14:03 | Permalien

    GF : « tout socialiste qui apporte son parrainage a macron et appeler a voter pour lui conter hamon sera exclu… et il n’y en a pas tant que ça qui se bousculent au portillon
    encore moins si nous réussissons l’unité de la gauche ».

    Mensonge, une fois de plus. Aucune sanction n’a été engagée contre ceux qui soutiennent Macron depuis longtemps et au grand jour, comme Gérard Collomb. De toutes façons, s’ils devaient être sanctionnés, ils seraient réintégrés très rapidement, comme d’habitude. On sait comment ça se passe au PS. Faut pas nous prendre pour des bleus. Il ne faut pas se le cacher, demain Macron sera le candidat officiel du PS. Je l’ai dit il y a longtemps.

  71. Gilbert Duroux
    Posted 28 février 2017 at 14:04 | Permalien

    GF : « si melenchon avait voulu l’unité, on le saurait tous ».

    On pourrait dire la même chose de Hamon, non ? Il est même pas foutu de répondre au courrier.

  72. Posted 28 février 2017 at 14:07 | Permalien

    le salariat a 70 % a donné en 2012 la totalité des pouvoirs à la gauche, PR, AN, Senat, 2 villes sur 3; 20 régions sur 22, 61 dpts sur 100
    la gauche était majoritaire
    Hollande Valls Macron ont trahi faisant tout perdre, 5 scrutins de défaite,… non pas vers la droite, ni vers une autre gauche, mais vers l’abstention
    Quand Hollande est oblige de se retirer
    que Hamon bat Valls
    c’est la sanction de ce desastre du quinquennat
    à partir de là, le PS est poussé par une nouvelle volonté de changement et d’unité de la gauche,
    qui ne comprend pas cela reste figé et va perdre
    (et faire perdre s’il réussit a empêcher l’unité de toute la gauche)

  73. Posted 28 février 2017 at 14:09 | Permalien

    non,
    mais c’était prévisible le sectarisme qui considerait le PS comme « mort » meurt lui meme

  74. Posted 28 février 2017 at 14:09 | Permalien

    oui seule l’unité peut empêcher cela

  75. fanto
    Posted 28 février 2017 at 14:10 | Permalien

    Parmi les gens politisés, les gens de gauche sont pas majoritaires … ça se voit dans les résultats des différentes élections. Après y’a plein de gens non politisés qui ont toutes les raisons objectives, sociologiques d’être de gauche.

  76. Posted 28 février 2017 at 14:11 | Permalien

    peut jeter le PS n’es pas réformable, dans doute, mais alors il doit etre conquis et changé dans les ans de ‘luntie de la gauche, nous en avons l’occasion

  77. andré
    Posted 28 février 2017 at 14:12 | Permalien

    « vu que melenchon s’en est foutu, le « vote utile » va devenir hamon par défaut »
    pourtant au fameux restaurant le désinvolte c’était Hamon

  78. fanto
    Posted 28 février 2017 at 14:39 | Permalien

    https://twitter.com/RedUtopie/status/836555849292206082
    viendez nombreux !

  79. Toto
    Posted 28 février 2017 at 15:14 | Permalien

    La seule solution c’est d’employé la même stratégie que Macron… sortir de l’appareil imprègné par ce passé récent.

    Benoit doit quitter le PS et rejoindre JLM, ceux qui l’aiment le suivront et ceux qui font ce taf par intérêt aussi…
    Car on va gagner!
    Libères toi de la coquille Benoit (t’es pas une poule) y resté c’est être handicapé…

    Vive les Forces de Gauche Libres et Libérés!

  80. Posted 28 février 2017 at 15:56 | Permalien

    mais enfin il y a 6 millions de voix en jeu !

  81. Gilbert Duroux
    Posted 28 février 2017 at 17:03 | Permalien

    GF : « la tu charies, nous étions pour une grande primaire afin de tout régler d’un coup,
    JLM, les EELV et le PCF ont refusé alors que sans doute JLM l’aurait gagné ».

    Tu sais très bien que si Mélenchon avait gagné un droitier du PS serait sorti du bois.
    La vérité, c’est qu’à force de synthèses à la sauce hollandaise, le PS a toujours refusé d’aller au fond des divergences. Par ailleurs, ce parti sclérosé ne produit plus rien en matière d’idées, il ne fait que gérer le capitalisme, c’est ce qui fait dire à certains que c’est un astre mort. La candidature de Hamon aura eu le mérite, qu’on soit d’accord ou pas avec lui, de faire gamberger sur des thématiques nouvelles.

  82. Posted 28 février 2017 at 19:09 | Permalien

    il y aurait 3 ou 4 millions votants, tu crois q’un « droitier » aurait emporté, t »as un petit pois dans la tete
    la france est de gauche

  83. Hasta la victoria
    Posted 28 février 2017 at 19:21 | Permalien

    Gérard,

    Tu trouveras ce commentaire probablement désagréable. Disons que c’est un peu plus argumenté que les fameux mono-lignes « c’est vrai », « c’est faux », « mensonge », et je passe sur les divers noms d’oiseaux, peu propices à la discussion.

    Je n’écris plus sur ton blog tant le parti pris qui t’anime confine à l’aveuglement. Chose qui n’exclut pas d’autres qualités ; je me contente donc en règle générale de suivre le fil de la lecture.

    Mais enfin, à te lire, on croirait que le PS ne gouverne pas depuis 5ans, M.Hamon inclus, avec les pleins pouvoirs. On croirait également que tu n’as pas milité activement pour cette « grande victoire » (sic). & que la position critique puis d’opposition de feu le Front de Gauche n’a pas été unilatéralement vouée aux gémonies.

    Un PS qui dans l’absolu réussit l’exploit de diviser par deux ou trois, si ce n’est plus, son nombre d’électeurs. Il faut voir le séisme politique à l’œuvre et ce que cela représente. C’est quelque chose de profond ; tu parles d’une dynamique.

    & voilà maintenant que tu requiers un « vote utile » (sic). Un poker menteur pour ça… Soit M.Mélenchon retire sa candidature, soit on crie haro sur ce baudet sectaire. Les conditions de la première hypothèse n’étant pas plus réunies que celle du retrait de la candidature de M.Hamon, tout ce cirque pour un vulgaire calcul politicien. C’est minable ! Voilà que ta préoccupation se révèle, je cite, « d’être en tête de la gauche » (« quelle gauche ? » dirait un humoriste génial).

    => Je conclus sur l’essentiel ! Le seul argument que tu opposes aux faits politiques, c’est l’ardoise magique. Aucun acte de rupture n’a été posé (c’est même le contraire qui s’est passé mais chut, faut pas le dire). Or, il en faudrait et des notables.
    Car ne t’en déplaise, M.Hamon est un résistant de la 25ème heure. L’oubli pour principale ligne programmatique, non merci.

    Peux-tu comprendre que des citoyennes et des citoyens cherchent à ne pas reproduire les mêmes mécanismes d’échec ? C’est trop facile de tout mettre sur le dos de MM.Hollande & Valls, comme tu le fais, quand 80% de l’appareil socialiste a activement participé.

    P.-s. : les lacrymos, c’est bon pour la mémoire. C’est dans les urnes que Solférino les retrouvera.

    Vincent

  84. Gilbert Duroux
    Posted 28 février 2017 at 19:33 | Permalien

    GF : « il y aurait 3 ou 4 millions votants, tu crois q’un « droitier » aurait emporté, t »as un petit pois dans la tete
    la france est de gauche »

    J’ai jamais dit qu’un droitier l’aurait emporté. Tu lis trop vite, prends ton temps. Je dis que si Mélenchon l’avait emporté, jamais la droite du PS n’aurait laissé Mélenchon être leur candidat et que quelqu’un serait sorti du bois pour les représenter, donc la primaire ne règle rien. C’est aux partis de désigner leurs candidats, pas un électorat indéterminé. Toi qui défends les partis, tu devrais le savoir.
    Tous les artifices que vous pouvez imaginer dans tous les coins, les synthèses à la sauce hollandaise, etc, ne saurait cacher plus longtemps qu’il y a bel et bien 2 gauches, ce que tu ne cesses de nier. La gauche Valls, Le Guen, Collomb n’est pas la gauche Mélenchon. La preuve, les premiers sont tentés par Macron, que tu situes à l’extrême droite. Il faudra un jour que tu règles tes contradictions.

  85. Posted 28 février 2017 at 19:55 | Permalien

    il y a peu de socialistes finalement qui osent aller chez macron, c’est bon signe,
    cambadelis hier soir au bn a nouveau a qualifie les macroniens d’UDF, pas de « centre » c’est aussi bon signe, il a de lui même repeté qu’ils seraient exclus des qu’ils commettraient des « actes » (parrainages, appels a voter, etc)
    s’il y avait eu grande primaire, il eut été encore plus impossible aux droitiers de violer le vote

  86. Posted 28 février 2017 at 19:58 | Permalien

    a me lire, Hamon battu les 5 années de quinquennat, il est sur une autre ligne, en rupture,
    je n’approuve pas tout ce qu’il défend mais il n’a rien a voila avec Hollande valls et cie, d’ailleurs au BN hier soir les droitiers le déploraient… sans pouvoir se battre
    il est candidat LIBRE libre de sa campagne entierement à 100 % je le constate tous les jours, il fait ce qu’il veut

  87. Gilbert Duroux
    Posted 28 février 2017 at 20:54 | Permalien

    Tu as oublié de valider un de mes commentaires, je le reposte :

    GF : « il y aurait 3 ou 4 millions votants, tu crois q’un « droitier » aurait emporté, t »as un petit pois dans la tete
    la france est de gauche »

    J’ai jamais dit qu’un droitier l’aurait emporté. Tu lis trop vite, prends ton temps. Je dis que si Mélenchon l’avait emporté, jamais la droite du PS n’aurait laissé Mélenchon être leur candidat et que quelqu’un serait sorti du bois pour les représenter, donc la primaire ne règle rien. C’est aux partis de désigner leurs candidats, pas un électorat indéterminé. Toi qui défends les partis, tu devrais le savoir.
    Tous les artifices que vous pouvez imaginer dans tous les coins, les synthèses à la sauce hollandaise, etc, ne saurait cacher plus longtemps qu’il y a bel et bien 2 gauches, ce que tu ne cesses de nier. La gauche Valls, Le Guen, Collomb n’est pas la gauche Mélenchon. La preuve, les premiers sont tentés par Macron, que tu situes à l’extrême droite. Il faudra un jour que tu règles tes contradictions.

  88. Posted 28 février 2017 at 21:02 | Permalien

    marre de vos chicaneries épuisantes
    et sans sens réel autre que d’exprimer vos aigreurs

  89. Posted 28 février 2017 at 21:53 | Permalien

    Accord Hamon-Jadot. Les Macronistes écartés
    Publié le 27 février 2017 à 09h33

    image: http://www.letelegramme.fr/images/2017/02/27/les-candidatures-de-richard-ferrand-en-haut-a-gauche-et_3309996.jpg

    Les candidatures de Richard Ferrand, (en haut à gauche) et Corinne Erhel ont été évincées au profit de deux candidats EELV, Nathanaël Legeard (en bas à gauche) et Yves Nédellec.

    L’accord scellé hier entre Benoît Hamon (PS) et Yannick Jadot (EELV) a définitivement réglé le cas des socialistes bretons Richard Ferrand et Corinne Erhel, qui ont apporté leur soutien à Emmanuel Macron. Ils ne seront pas les candidats du PS dans leurs circonscriptions respectives aux prochaines législatives.
    L’accord scellé, dans le cadre de la course à l’Élysée, entre le socialiste Benoît Hamon et l’écologiste Yannick Jadot, a abouti à la rédaction d’une plateforme présidentielle qui prévoit, entre autres, un projet de Constitution pour une sixième République, la sortie progressive et intégrale du nucléaire d’ici 25 ans, l’abandon pur et simple du projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes (44) ou encore la sortie de l’état d’urgence.
    Investis par les militants locaux
    Mais le retrait de la candidature de Yannick Jadot au profit de l’ancien ministre breton de l’Éducation nationale, qui sera de passage à Brest, Morlaix et Lannion (22) mercredi, était aussi conditionné à un accord politique sur les législatives, des candidats socialistes devant s’effacer au profit de candidats Europe Écologie Les Verts (EELV) dans certaines circonscriptions.
    En Bretagne, qui en compte 27, deux sont concernées par cet accord : la sixième circonscription du Finistère (Châteaulin-Carhaix) et la cinquième des Côtes-d’Armor (Lannion). Ce qui n’est guère une surprise puisque ce sont celles des députés sortants Richard Ferrand et Corinne Erhel, socialistes ayant suivi la voie d’Emmanuel Macron, candidat d’En Marche ! Le premier est même devenu secrétaire général du mouvement. Reste que ces deux députés avaient pourtant reçu l’investiture des militants socialistes locaux, il y a quelques mois.

    Poids plumes politiques
    À défaut d’exclure les dissidents, ce qui arrivera peut-être quand même après le 17 mars, date butoir à laquelle les candidats à la Présidentielle, doivent avoir remis leurs 500 parrainages, Solférino a donc choisi de soutenir un Vert.
    En l’occurrence, à Châteaulin-Carhaix, il s’agit de Nathanaël Legeard. Âgé de 33 ans et originaire de Calanhel (22), près de Callac, cet ingénieur Eau et Environnement, diplômé en Sciences politiques et Coopération internationale, a travaillé comme conseiller pour la majorité régionale socialiste écologiste en Centre-Val-de-Loire.
    À Lannion, c’est Yves Nédellec, Trébeurdinais de 61 ans, qui défendra les couleurs rose et vert de l’alliance PS-EELV. Ancien militant socialiste, il a été conseiller municipal d’opposition à Trébeurden (22) et suppléant de Sylvie Bourbigot, conseillère générale EELV de Perros-Guirec (22), entre 2011 et 2015.
    Les deux hommes, qui font pour l’instant figure de poids plumes politiques, n’excluent pas de nouer des accords locaux avec les candidats communistes.
    Mais la bataille s’annonce malgré tout compliquée à gagner face à Richard Ferrand et Corinne Erhel, dont il ne fait aucun doute qu’ils maintiendront leurs candidatures. Que ce soit sans étiquette ou plus certainement avec celle d’En Marche ! En attendant, ce sont leurs adversaires de droite qui doivent se frotter les mains…
    « Le choix des petits arrangements »
    Hier, Corinne Erhel déclarait ne pas avoir été informée de la décision prise par le Parti socialiste. « J’aime la transparence et j’aurais préféré être informée directement ». Pour Richard Ferrand, « c’est le choix du siège parisien contre celui des militants socialistes bretons. C’est le choix des petits arrangements contre celui des convictions ».

    © Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/bretagne/accord-hamon-jadot-les-macronistes-ecartes-27-02-2017-11414553.php#y0YwR5TgfDklArJZ.99

  90. Gilbert Duroux
    Posted 1 mars 2017 at 0:10 | Permalien

    C’est exactement ce que je disais sur l’autre fil quand tu me traitais de menteur. Dans les deux circonscriptions que tu cites, le roublard Hamon a choisi de laisser les Verts se battre contre des « socialistes » qui ont choisi Macron. Des élus bien implantés qui vont se présenter avec l’étiquette Macron, avec toutes les chances de gagner. Quelle diablerie ! Et en plus, ils ne sont même pas sanctionnés.
    Je ne sais pas comment vont réagir les militants d’EELV quand ils vont s’apercevoir que leur candidat a signé un accord de dupes.
    Si Hamon ne gagne pas la présidentielle, ils n’auront rien. Et ils n’auront même pas 3 députés comme lot de consolation. On peut dire que le PS a tué EELV.

  91. Toto
    Posted 1 mars 2017 at 7:03 | Permalien

    - On en a mare qu’on nous dise qu’il faut avoir honte de ce que nous sommes…
    - On en a mare qu’on nous dise que pour être de « bon européen il faut prendre le modèle allemand, anglo-saxon ou que sais-je…

    Les Français sont ce qu’ils sont, leur modèle social aussi, et je doute que si les français n’avaient pas été ce qu’ils sont au travers de l’histoire que tout les progrès accomplits dans le monde au fil de l’histoire l’auraient été!

    Alors maintenant stop l’auto-flagellation nous sommes ce et qui nous sommes et l’Europe devra s’y adaptée…
    C’est quand même parradoxal de dire et je suis d’accord avec cela que l’on ne doit pas faire de différence entre telle ou telle personne de telle origine mais qu’en même temps on nous bashe complet du fait que le français est comme-ci (pas terrible) par rapport à ses frères principalement allemands qui eux pour le coup le sont à fond (terrible)!

    Notre Gauche doit rester Française et défendre ses positions… en europe et dans le monde car elle est notre âme et n’est surement pas à vendre!

    Notre différence est une richesse et une chance pour le monde et perso même si c’est le cas moi je n’aspire pas à manger des pâtes tous les jours!

  92. inkey
    Posted 3 mars 2017 at 11:30 | Permalien

    https://www.youtube.com/watch?v=m9gwFoo6klQ

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