L’autre soir, à la sortie d’une réunion contre la loi El Khomri, on va ensemble, avec les animateurs, manger une pizza. Dans le groupe d’une douzaine de camarades, s’assied à côté de moi une femme d’une cinquantaine d’années, que je ne connais pas. Les conversations commencent, dans tous les sens, plutôt joyeuses.
Quand la femme à côté de moi, s’effondre en pleurs. On est tous surpris et gênés.
Mais elle se reprend : « – Excusez moi, c’est rien, je viens de craquer et je vais me détendre, ca va passer… je suis infirmière, la journée a été dure, vous savez j’ai failli laisser mourir deux personnes aujourd’hui, ca me remonte, ça me prend à la gorge, c’est parce que j’avais pas le temps, on coure partout, on arrive pas à faire son boulot, à parler aux malades et hop on rate un truc, là c’est un médicament de retard, là une sonde mal réglée, là on voit pas la crise aigüe venir, la personne n’a pas le temps d’appeler, on est à l’autre bout, c’est le voisin de chambre qui s’inquiète et nous sonne désespérément… Alors ca me prend la tête, parfois j’y repense la nuit, je me réveille en sursaut, je vois mon patient mort, par ma faute. On est toutes comme ça, j’ai des collègues qui partent, elle n’en peuvent plus, même en congés, on a des cauchemars… Je suis contente d’être avec vous ce soir, je veux pas vous mettre le cafard, rassurez vous, ca va aller, je vais boire un coup, je suis militante syndicale, je n’ai même plus le temps de militer, je vais plus au syndicat, sauf ce soir ou je suis venue à cette réunion, c’est exceptionnel, ca me fait du bien, mais sinon, même à la maison, je ne pense plus qu’à ça…Ils disent qu’ils ont sauvé l’hôpital, c’est pas vrai, ils nous égorgent, on est au bout du rouleau»
Comment ne pas y repenser ? Dans la nuit de dimanche à lundi 6 janvier, il y a eu un sixième suicide d’infirmier à l’hôpital Georges Pompidou, il s’est défenestré du 8° étage.
Marisol Touraine avait déjà demandé un rapport après le suicide le 17 décembre 2015 d’un cardiologue, une information judiciaire avait été ouverte le 19 février 2016, cinq suicides en été 2016, des « mesures » semblaient mises en place en septembre 2016. Marisol Touraine a demandé « un plan pour l’amélioration de la qualité de vie au travail des hospitaliers » (sic) en décembre 2016 et nommé en janvier « un médiateur national ». La « cellule d’analyse » des suicides est « saisie ».
Mais tout ça est hypocrisie complète, quand l’hôpital est géré selon les critères de rentabilité d’une entreprise, quand les budgets sont coupés au maxima, quand on supprime 17 000 postes pour se vanter que les déficits sont réduits. C’est 17 000 infirmiers qu’il faut recruter, pas supprimer. C’est 32 h qu’il faut faire et pas 45 h. C’est bien former, bien traiter et bien payer les personnels soignants. Rompre avec gestionnaires qui ont couvert ça : c’est ceux là, n’explosent pas en larmes, près de leurs amis, au restaurant, conscients que c’est leur politique qui a provoqué un suicide de plus.
21 Commentaires
Et c’est avec Marisol Touraine qui exgige que Hamon amende son programme que vous comptez faire la campagne présidentielle!
En 1936, vous étiez contre un gouvernement avec les radicaux surtout si ceux-ci devaient diriger le gouvernement, vous vouliez un gouvernement Blum Cachin mais sans les radicaux alors que le pc insistait lui pour que les radicaux soient au gouvernement tout en refusant lui d’en faire partie.
En 2017, les nouveaux radicaux, Hollande, Valls, Caseneuve, Roux, Touraine sont au ps! Ils sont au ps mais il ne fait guère de doute qu’ils ne diffèrent pas beaucoup des radicaux de 36, d’ailleurs Manuel Valls lui-meme aime dire qu’il aime Georges Clemenceau et que c’est son modèle….
Alors parcequ’ils ont pris leur carte du ps, vous prétendez que ce ne sont pas des radicaux! Et pourtant tout dans leur manière de penser est radical-socialiste…..
Alors l’unité avec qui?
Le front unique ouvrier ou l’union des républicains avec les bourgeois, sous la direction des bourgeois de plus?
Voilà donc que Patrick Braouezec, maintenant, se dit réduit à rejoindre Macron !…
Combien de temps encore Hamon et Mélenchon vont-ils continuer à ne laisser à la gauche d’autre perspective de second tour qu’un « choix » à l’intérieur du trio formé par cet ultralibéral « fric-frime » et les deux super champions des emplois fictifs et de la duplicité ?…
Quel aveuglement ! Quel exemple pour les pays voisins ! Quelle responsabilité face à l’histoire !
Invitons donc les médias à se reposer quelque peu de leur promotion quotidienne des trois pourvoyeurs de casse sociale pour annoncer enfin nos RASSEMBLEMENTS de fin de semaine et PARTICIPONS TOUS à ceux de SAMEDI PROCHAIN, 11 MARS (cf texte « Jusqu’au bout, pour l’unité de la gauche » ) !!!
a Marseille Hamon flatte les monstres Royal et Touraine…
Benoît Hamon a réuni environ 2000 personnes à Marseille, le 7 mars 2017
afp.com/ANNE-CHRISTINE POUJOULAT
Inaudible depuis plusieurs semaines, le candidat socialiste s’est montré particulièrement offensif avec ses rivaux lors de son déplacement à Marseille.
« Le salaire de Madame Fillon, on en a beaucoup parlé, mais les cotisations des Chibanis, non! » Alors que le maintien de François Fillon semble désormais assuré, Benoît Hamon espérait enfin échapper au trou noir médiatique dans lequel les rebondissements du Penelopegate l’ont plongé ces dernières semaines. Pour sa journée consacrée à la vieillesse, le candidat est venu à la rencontre d’une association marseillaise aidant les anciens travailleurs étrangers.
« La République vous doit réparation pour l’injustice qu’elle vous fait depuis longtemps, lance-t-il à ces retraités d’origine africaine qui risquent de perdre leurs droits sociaux ou leur carte de séjour s’ils résident trop ou pas assez en France. « Il faut que vous puissiez jouir de votre retraite. Que vous vous déplaciez, ou pas, leur promet Benoît Hamon. Ca ne fera pas plaisir à tout le monde, mais je m’en fous! »
Accompagné du député du cru, Patrick Mennucci, Benoît Hamon déambule dans les ruelles du quartier Belsunce. De rares « Hamon président! » fusent même sur le passage du candidat, qui enchaîne les selfies. « Le revenu universel, c’est de la bombe! », hurle, hilare, un jeune homme. « Moi aussi je veux un emploi fictif! », ricane une femme d’une quarantaine d’années. « Être bien reçu par les habitants, c’est toujours agréable, jubile le candidat. On n’aurait pas parié qu’un candidat socialiste puisse être accueilli comme ça. »
Tout aussi inattendu, Benoît Hamon s’est lancé dans un éloge appuyé de l’action de Ségolène Royal et Marisol Touraine. Il estime que la ministre de l’Ecologie « a tenu bon sur de grands sujets environnementaux » et qu’elle « a éclairé des chemins. » Et il remercie la ministre des Affaires sociales d’avoir créé le compte pénibilité… qu’un certain Emmanuel Macron voudrait remettre en cause. Faut-il y voir un début de défense du bilan que hollandais et vallsistes réclament tant à Benoît Hamon avant de s’engager? « On n’a jamais contesté qu’il y avait des points qui ont été positifs », balaye son porte-parole, Jérôme Guedj. Ce n’est pas tactique mais sincère. On fait cela pour leur rappeler que celui qui est le plus fidèle à ce qu’elles ont fait, c’est Benoît Hamon. » A Brest, déjà, le candidat avait eu des mots doux pour Jean-Yves Le Drian la semaine dernière. Signe que le député des Yvelines n’a pas renoncé à enrayer la fuite annoncée des poids lourds du gouvernement vers Emmanuel Macron.
http://www.lexpress.fr/actualite/politique/a-marseille-hamon-etrille-fillon-et-macron-et-flatte-royal-et-touraine_1886811.html
La notion toute personnelle de Gérard d’appartenance déclarative en prend encore un coup. Voilà que Delanoë rejoint Macron.
Macron avait été déclaré d’extrême droite par Gérard. Il va falloir qu’il nous explique comment se fait-il que tant de « grandes figures » de la gauche rejoignent l’extrême droite.
Après le coup des « socialistes qui font une politique de droite » (mais qui ne sont pas de droite) qu’est-ce que tu vas encore nous inventer ?
oui il se dit de gauche mais rejoint un gars qui est de droite (cambadelis caractérise Macron comme UDF)
Delanoë a pris le soin de dire qu’il n’aimait pas la direction actuelle du PS…
et d’expliquer son libéralisme démocratique (libertaire), tout en voulant faire barrage a le pen donc a voter républicain des le premier tour, ce que Valls voulait faire déjà aux régionales dans le Nord et PACA
ces gens ne croient plus a leur parti
comment recupérer le PS et le faire revivre en dépit d’eux ?
Delanoé a dit que le programme de Hamon était mauvais…meme en rajoutant que Hamon est son ami….
que faut il rajouter?
il parle pas de la direction du PS….
L’attitude des Delanoë et Caresche est scandaleuse : ils ne respectent pas le verdict des urnes. Assez curieusement, la primaire à gauche a attiré des électeurs de gauche qui ont inesti un candidat de gauche. Tous ces droitiers qui rejoignent Macron n’ont donc qu’à quitter le PS.
Ce sont eux les intrus, pas les sympathisants de gauche !
Votre grand tort, au PS, est de ne jamais vouloir clarifier les ambiguïtés. Dire par exemple que Hamon est majoritaire sous prétexte qu’il a gagné la primaire (avec des voix extérieures de ceux qui voulaient se débarrasser de Valls) est une erreur. La droite du PS est largement majoritaire depuis le dernier congrès. C’est pourquoi les investitures à la même majorité de droite ont pu être délivrées pour les prochaines législatives sans que Hamon puisse (ou veuille) s’y opposer.
Votre deuxième erreur est de ne pas avoir voulu précipiter la clarification, ce qui fait que vous la subissez avec des départs au compte-goutte vers Macron.
Si vous aviez été plus clairs, vous auriez privé Mélenchon d’une bonne raison de refuser l’union.
delanoé tient des propos honteux,
Macron est le passe plat de Le Pen
c’est faux meme a poitiers la « majorité » était due aux aubrystes
ils ont fait voter majoritairement de restaurer la hiérarchie des normes
alors que hollande valls et macron l’ont cassée
on s’est opposés a la désignation des candidats le 8 décembre, mais la l’appareil se reconduisait, sans idéologie, pour les sièges,
vos obsessions antiques, « clarifier » ça n’a aucun intérêt il faut rassembler, et gagner sur le fond, ce qui est arrivé le 29 janvier et le soir du 30 janvier Valls a demandé a tous de rester
puis ils voient que hamon ne monte plus depuis que l’union a été refusée, alors il ressortent du bois et recommencent a s’orienter vers macron, vers eux memes, le social-libéralisme
nous les aurions neutralisés si nous avions réussi l’union
a Gilbert Duroux 8
bien sur qu ils ne veulent pas clarifier la situation car tout cet imbroglio permet de noyer le poisson
de passer pour de gauche en gardant un Filoche sous le coude
et de tenir majoritairement un discours de parti pro européen pro marché a la sauce social libéral avancé…
S’il n’y avait pas eu cette primaire mais juste un vote interne Hamon terminait avec 20% des voix internes au PS
effectivement la primaire crée une confusion savamment entretenue par les élites du PS qui prennent le temps d’examiner la tendance a venir
jusqu’au dernier moment ils décideront de suivre Hamon ou Macron selon leurs chances personnelles de s’en tirer
Si la majorité était due aux Aubrystesd, c’est parce qu’ils se situent du côté de la droite. Je n’ai jamais cru que Martine Aubry était à la gauche du PS. Tout dans son parcours montre qu’elle était du côté des patrons. Même dans sa loi sur les 35 heures, elle n’a pas été jusqu’au bout en refusant de légiférer pour les petites et moyennes entreprises, là où les salariés subissent le plus de pressions patronales.
Vous n’arrêtez pas de vous bercer d’illusions et faites toujours confiance à ceux qui vont vous trahir. Vous ne tirez jamais aucune leçon.
Delanoë qui se dit libéral-libertaire, c’est à mourir de rire. Madelin aussi se disent libéral-libertaire.
Qu’ils arrêtent d’utiliser ce mot de libertaire, ils le salissent.
on ne s’est jamais berce d’illusions puisqu’on a fait une motion séparée face a aubry des le congres de reims, et encore a toulouse, et encore a poitiers
Bonjour,
Le test me dit que je suis proche de JLM (12 points plus progressiste et 4 points plus interventionniste que lui : 82/70 et 95/91).
Mais le test oublie deux choses importantes :
- La tactique (unitaire ou pas) comme le soulignait Marie-Christine. Je pourrais très bien être proche de JLM (selon ce test) et m’abstenir, tant je suis dégoûté par son sectarisme. Le test, visiblement, confond la France de la Vème République avec un régime parlementaire.
- Le fonctionnement démocratie (ou non) de la formation politique de la personne que l’on est censé soutenir. Ce n’est pas un hasard si le test ne se réfère qu’à des personnes. De ce point de vue FI et EM sont aussi démocratiques l’un que l’autre. Le fonctionnement de FI est peut-être, quand même, un peu plus démocratique (ou moins mégalo) dans la mesure où JLM n’a pas fait de ses initiales, suivie d’un point d’exclamation, le sigle de son mouvement.
De plus, bien des questions du texte sont ambigües et n’appellent que des réponses ambigües.
Que répondre à la question « les traités de libre-échange sont-ils bénéfiques à la croissance France ? » Quels traités, quel libre-échange (entre l’absence totale de droits de douanes ou de norme et l’autarcie complète, il y a des nuances) ? Qui juge des différends : un tribunal d’ « experts privés » ou les États ? Quel protectionnisme (nationaliste ou coopératif ?) Quelle croissance ? Quelle répartition de la croissance ? Autant de nuances dont le test ne s’embarrasse pas. La croissance, pour lui, est forcément bonne et les traités sont les traités.
Que répondre à la question « Est-ce toujours bien que les entreprises maximisent leurs profits ? » Quel est le sens du terme « toujours » ? Comment les entreprises pourraient-elles faire autrement dans le mode de production capitaliste ? Autant demander si l’on trouve bien que le soleil se lève toujours à l’Est ? Des tas d’entreprises ne maximisent pas leurs profits et se retrouvent en faillite : est-ce la main de Dieu, est-ce la main du Diable (ou celle, invisible, du marché, ce qui revient souvent au même) ? Si les entreprises pouvaient se contenter d’un taux de profit « raisonnable » ce ne serait plus le capitalisme car les capitaux ne seraient plus en concurrence les uns avec les autres.
Que répondre à la question : « Les gens devraient-ils adopter toutes les traditions de la société dans laquelle ils vivent » ? Que sont « toutes » ces « traditions », ne sont-elles pas multiples et souvent contradictoires ? Comment répondre « oui, assez » à une telle question. La « tradition » révolutionnaire (1789, 1793, 1830, 1848, 1871, 1936, 1945, 1968…) me convient bien, la « tradition » xénophobe ou/et raciste (La traite négrière, Napoléon, Boulanger, Déroulède, Barrès, la colonisation, Maurras, Pétain, Le Pen…) me convient nettement moins.
La question sur l’emprunt est du même tonneau : pourquoi « pendant les périodes difficiles » ? La dette publique en France a cru parce que les impôts des riches diminuaient et que l’État empruntait à ces même riches, moyennant le versement d’un taux d’intérêt qui augmentait la dette publique. En quoi cela pose-t-il problème qu’un État emprunte s’il se réserve la possibilité régalienne de ne pas rembourser ? Un État est-il un ménage alors qu’il a toujours (sauf la Grèce) la possibilité d’emprunter pour rembourser ?
L’opposition entre liberté et sécurité nationale est loufoque. La liberté concerne-t-elle la « France libre » de Marine Le Pen ou les libertés individuelles ? Si la France faisait l’objet d’une attaque nucléaire massive, que resterait-il des « libertés » ? Comment faire en sorte qu’une telle attaque ne puisse se produire (la réponse n’a rien d’évident si l’on intègre le temps imparti pour fournir cette réponse, l’existence de Poutine, de Trump ou du coryphée des arts et des sciences de la Corée du Nord) ?
Bien d’autres questions que celles posées par le test pourraient être posées et seraient au moins aussi pertinentes. Le choix réalisé est tout à fait arbitraire.
Ce n’est pas vraiment un « algorithme » qui pourra décider de ma façon de voter et, pour le moment, je n’ai nullement l’intention de voter JLM.
En quoi, d’ailleurs, ce test est-il autre chose qu’un test du style « Si vous avez une majorité de réponses a, vous êtes du genre casanier, optimiste ou prodigue « ? Dans les deux cas, « l’algorithme » qui permet de vous mettre dans telle ou telle case ne nous est pas connu et ne peut que prendre en compte les préjugés de celui, celle ou ceux, qui l’ont mis au point C’est le cas, notamment, de la définition du terme « progressiste »). Macron est-il « progressiste » ? Peut-on se prétendre contre tout harcèlement à l’encontre des femmes et donner à l’employeur un pouvoir absolu dans l’entreprise ? Le social et le « sociétal » sont-ils séparés par des cloisons étanches ?
JJ
Timsit Pierre a écrit :
Les électeurs de Jean Luc Mélenchon: 12% donc 5 000 000 voix, les insoumis = 10 000 ?
Bien évidement ce sont les électeurs de gauche 5 000 000 Mélenchon autant pour Hamon et autant qui sont abstentionistes ou partis chez Macron. Ce sont ces 15 à 20 000 000 d’électeurs qui souhaitent gagner qui peuvent faire pression pour l’unité.
Jean Jacques a raison.
C’est la pression du peuple de gauche qui peut changer la donne. Résister au sectarisme de nombreux insoumis sur les réseaux sociaux est une chose. Un certain nombre d’entre nous s’y emploie surtout pour développer des argumentaires utiles pour les unitaires.
Favoriser l’émergence de cette immense aspiration c’est notre job.
Force est de constater que nous n’y arrivons pas: Pétition à 80 000 voire 100 000; une cinquantaine (plutôt une trentaine) de collectifs « écoutez nous » surtout dans les plus grandes villes. Des rassemblements regroupant au maximum 100 à 150 personnes selon la population de ces villes . Nous devons essayer d’y entrainer les Verts ou le PCF qui n’y sont que par le biais de quelques militants mais pas en tant que force. Aller chercher des militants et responsables syndicaux ( cela est sans doute très compliqué, qui a tenté cela ?).
L’aspiration à l’unité a aussi été douchée par l »accord Hamon Mélenchon » de prendre acte de la division .
Alors je pense qu’il faut continuer avec des dates centarlisées comme le 11 Mars . Peut être aller devant les réunions Hamon et Mélenchon avec nos pancartes ?
L’idée d’un débat entre les 2 est peut être un biais.
Les aléas de la campagne peuvent remettre cette question dans l’actualité.
Qui sait ce soir le Barça a bien éliminé le PSG 6 à 1.
Cela prouve que rien n’est écrit d’avance . Et comme dirait l’autre tant que nous n’avons pas perdu, la bataille est toujours utile.
Pilou
Le gars Pilou peut défiler avec des pancartes « unité », ça ne changera pas les choses tant que Hamon refusera de donner des réponses satisfaisantes au courrier de Mélenchon. Force est de constater que le chantage à la droite et l’extrême droite, ça ne marche plus, tellement le PS en a usé, abusé, quand il n’a pas fait le jeu du FN. Il faut des gages. Tant que Hamon refusera de donner ces gages, au lieu de prétendre rassembler de Mélenchon à Macron (oui, vous avez bien lu « à Macron ») on n’y arrivera pas.
Gilbert Duroux
Posted 9 mars 2017 at 18:11 | Permalien
Delanoë qui se dit libéral-libertaire, c’est à mourir de rire. Madelin aussi se disent libéral-libertaire.
Qu’ils arrêtent d’utiliser ce mot de libertaire, ils le salissent.
……………………………
la preuve ils sont tous deux supporters de Macron aujourdhui
n’importe quoi, le jeu c’est quoi ? a qui va dire le + de conneries ? passez votre chemin
tu as pas l’air bien au courant…
Présidentielle : Bertrand Delanoë, Alain Madelin, le général Soubelet… Les soutiens hétéroclites d’Emmanuel Macron
Ni droite, ni gauche, mais En marche ! » Le discours d’Emmanuel Macron séduit des personnalités hétéroclites : d’anciens communistes au libéral Alain Madelin en passant par un général limogé après avoir fustigé le laxisme de la justice sous François Hollande.
http://www.francetvinfo.fr/politique/emmanuel-macron/presidentielle-alain-madelin-patrick-braouezec-le-general-soubelet-les-soutiens-heteroclites-d-emmanuel-macron_2085481.html
oui, tu verras l’appel a la demission de macron qui date de l’été 2014 sur mon site
et plein de textes de fond contre lui…
c’est un type de droite haissable, type UDF, et il est pire contre la protection sociale que Le Pen et Fillon,