On dénombre au moins 300 élus socialistes qui soutiennent la droite d’Emmanuel Macron lequel se propose de casser 100 % de notre protection sociale

Envoi fait à la commission nationale des conflits et à Jean-Christophe Cambadelis

M. Abdel ACHACHE Adjoint à un maire d’arrondissement (Lyon) - Source
M. Tourret ALAIN Député PRG (Calvados) - Source
Mme Ilham ALET Conseiller départementale socialiste (Oise) - Source
M. Rodolphe ALEXANDRE Membre socialiste de l’assemblée de Guyane (Guyane) - Source
M. Olivier ALLAIN Conseiller régional socialiste (Côtes-d’Armor) - Source
M. Patrick ALLEMAND Conseiller municipal socialiste de Nice (Alpes-Maritimes) - Source
M. François AMAT Maire socialiste de Solliès-Toucas (Var) - Source
M. Michel AMIEL Sénateur apparenté socialiste (Bouches-du-Rhône) - Source
Mme Soraya AMMOUCHE-MILHIET Conseillère régionale PRG (Charente-Maritime) - Source
Mme Diana ANDRE Conseillère régionale socialiste (Meuse) - Source
M. François ANDRE Député socialiste (lle-et-vilaine) - Source
M. Robert ANDRE Maire divers gauche d’Hôpital-Camfrout (Finistère) - Source
M. Michel ANGOT Maire divers gauche de Mayenne (Mayenne) - Source
M. Gilbert ANNETTE Ancien député, maire socialiste de Saint-Denis (La Réunion) - Source
M. Guy ARMANET Conseiller territorial socialiste à l’assemblée de Corse (Corse) - Source
Mme Florence ASTI-LAPERRIERE Conseillère municipale, secrétaire fédérale du Parti Socialiste (Rhône – Ecully) - Source
M. François AUBEY Maire socialiste de Mézidon Vallée d’Auge, président de la communauté d’agglomération Lisieux-Normandie (Calvados) - Source
M. Philippe AUSSAVY Maire délégué divers gauche d’Auxerre (Yonne) - Source
M. Jacques AUXIETTE Ancien président de région socialiste (Pays de la Loire) - Source
M. Pierre BABUT Maire divers gauche de Souppes-sur-Loing (Seine-et-Marne) - Source
M. Dominique BAERT Député-Maire socialiste (Nord) - Source
Mme Sophie BALASSE Conseillère départementale socialiste (Alpes-de-Haute-Provence) - Source
M. Julien BARGETON Membre socialiste du Conseil de Paris (Paris) - Source
Mme Khiari BARIZA Sénatrice Socialiste (Paris) - Source
M. Christian BATAILLE Député socialiste (Nord) - Source
Mme Delphine BATAILLE Sénatrice socialiste (Nord) - Source
M. Joël BATTEUX Ancien maire socialiste de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) - Source
M. David BAUDON Conseiller départementale socialiste (Charente-Maritime) - Source
M. Bruno BEAUVOIS Conseiller départemental socialiste (Aisne) - Source
Mme Samia BELAZIZ conseillère municipale socialiste (Villeurbanne) - Source
M. Khaled BENFERHAT Maire divers gauche de Saint-Etienne-les-Orgues (Alpes-de-Haute-Provence) - Source
M. Roland BERNARD Conseiller métropolitain de Lyon (Rhône) - Source
M. Michel BERSON Sénateur socialiste (Essonne) - Source
M. Geoffroy BERTHOLLE Adjoint à un maire d’arrondissement (Lyon) - Source
M. Xavier BERTHOU Maire socialiste de Plounévézel (Finistère) - Source
M. Romain BLACHIER Adjoint à un maire d’arrondissement (Lyon) - Source
M. Serge BLADINIERES Conseiller départemental socialiste PRG (Lot) - Source
Mme Anne BLANC Conseillère départementale PRG et maire de Naucelle (Aveyron) - Source
M. Gérard BLANCHARD Conseiller régional socialiste (Nouvelle-Aquitaine) - Source
Mme Gersiane BONDOT Conseillère régionale divers gauche (Guadeloupe) - Source
Mme Colette BONFILS Conseillère départementale socialiste (Savoie) - Source
M. Florent BOUDIE Député socialiste et conseiller régional (Gironde) - Source
M. Jean-Claude BOULARD Sénateur-Maire socialiste (Sarthe -Le Mans) - Source
M. François BOURIOT Maire divers gauche de Trélévern (Côtes-d’Armor) - Source
M. Guillaume BOUROUILH-BAREGES 1er adjoint au Maire de Bruges (Gironde) - Source
Mme Claudine BOUYGUES Membre socialiste du Conseil de Paris (Paris) - Source
Mme Pascale BOYER Conseiller départemental socialiste (Hautes-Alpes) - Source
M. Michel BREFFY Conseiller départemental socialiste (Loiret) - Source
M. Christian BRIAND Conseiller départemental divers gauche (Mayenne) - Source
Mme Nicole BRICQ Sénatrice PS – ancienne ministre socialiste (Seine-et-Marne) - Source
M. Jean-Jacques BRIDEY Député socialiste (Val-de-Marne) - Source
M. Jean-François BROQUERES Maire socialiste de Tartas (Landes) - Source
Mme Anne BRUGNERA Adjointe au Maire, Président du groupe PS de métropole (Lyon) - Source
M. Jacques BRUNE Conseiller départemental PRG (Hautes-Pyrénées) - Source
M. Bernard BRUNET Maire divers gauche de La Vaupalière (Seine-Maritime) - Source
M. Gauthier BRUNNER Conseiller départemental socialiste (Meurthe-et-Moselle) - Source
M. Bernard BUIS Conseiller départemental socialiste (Drôme) - Source
Mme Hélène BURGAT Maire socialiste de Mondeville (Calvados) - Source
M. Régis CAILHOL Conseiller départemental divers gauche (Aveyron) - Source
M. Alain CALMETTE Député Socialiste (Cantal) - Source
M. Christophe CARESCHE Député Socialiste (Paris) - Source
Mme Martine CARRILLON-COUVREUR Député socialiste (Nièvre) - Source
M. Louis CASEILLES Maire divers gauche de Saint-Laurent-de-Cerdans (Pyrénées-Orientales) - Source
M. Christophe CASTANER Député Socialiste (Alpes-de-Haute-Provence) - Source
M. Jean-Louis CASTELL Président divers gauche de la communauté de communes Lomagne Gersoise (Gers) - Source
M. Jean-Yves CAULLET Député socialiste (Yonne) - Source
M. Bernard CAZEAU Sénateur socialiste (Dordogne) - Source
M. Loic CHABRIER Adjoint au Maire socialiste (Villeurbanne – Rhône) - Source
M. Gérard CHAUMONTET Conseiller départemental socialiste (Drôme) - Source
M. Daniel CHEVALEYRE Conseiller départemental PRG (Cantal) - Source
Mme Marie-Hélène CHOUTEAU Conseillère départementale divers gauche (Maine-et-Loire) - Source
M. Jean-Jacques CICCOLINI Maire socialiste (Corse du Sud) - Source
M. Jean-David CIOT Député socialiste (Bouches-du-Rhône) - Source
M. Gérard COLLOMB Sénateur-maire socialiste (Rhône) - Source
Mme Sylviane COLUSSI Conseillère départementale socialiste (Isère) - Source
M. David COMET Député socialiste (Charente) - Source
M. Guy CORAZZOL Adjoint au Maire socialiste (Lyon) - Source
Mme Josiane COSTES Conseillère départementale PRG (Cantal) - Source
M. Pierre COSTES Conseiller départemental socialiste (Lot-et-Garonne) - Source
M. Jean-Claude COURNEIL Maire divers gauche de Lézat-sur-Lèze (Ariège) - Source
M. Francis COURTES Conseiller départemental divers gauche (Lozère) - Source
M. Daniel COZ Maire divers gauche de Sadirac (Gironde) - Source
M. Robert CRAUSTE Maire socialiste du Grau-du-Roi (Gard) - Source
M. Jérôme DALVERNY Maire socialiste de Prades (Ardèche) - Source
M. Olivier DAMEZ Maire divers gauche de Coufouleux (Tarn) - Source
Mme Monique DANION Maire divers gauche de La Vraie-Croix (Morbihan) - Source
M. Patrick DEGUISE Maire socialiste de Noyon (Oise) - Source
M. Franck DELABASSERUE Maire socialiste de Louches (Pas-de-Calais) - Source
M. Alain DELALEUF Maire divers gauche d’Andance (Ardèche) - Source
M. Bertrand DELANOë Ancien maire socialiste de Paris (Paris) - Source
M. Jean-Luc DEPRINCE Maire divers gauche de Beaumont-de-Lomagne (Tarn-et-Garonne) - Source
M. Christophe DERCAMP Conseiller métropolitain de Lyon (Rhône) - Source
M. Kaddour-Jean DERRAR Maire divers gauche de Condette (Pas-de-Calais) - Source
M. Olivier DESBORDES Conseiller départemental socialiste (Lot) - Source
Mme Annick DESTOUCHES Conseillère régionale socialiste (Guadeloupe) - Source
M. Renaud DIGOIN-DANZIN élu socialiste de l’assemblée des Français de l’étranger (ÉTRANGER) - Source
M. Denis DOLIMONT Maire socialiste de Saint-Yrieix-sur-Charente (Charente) - Source
M. Stéphane DOMARCHI Maire socialiste (Haute-Corse) - Source
M. Pierre DOURTHE Président socialiste de la communauté de communes Touraine-Est Vallées (Indre-et-Loire) - Source
M. Alain DUMAS Maire divers gauche de Saint-Gervais (Gironde) - Source
M. Gervais EGAULT Maire socialiste de Louannec (Côtes-d’Armor) - Source
Mme Anne EMERY-DUMAS Sénatrice socialiste (Nièvre) - Source
Mme Corine ERHEL Députée socialiste (Côtes d’Armor) - Source
M. Philippe ESNOL Sénateur socialiste (Yvelines) - Source
M. David FAUCON Maire divers gauche de Beaugency (Loiret) - Source
Mme Evelyne FAURE Conseillère départementale socialiste (Alpes-de-Haute-Provence) - Source
M. Pascal FERCHAUD Maire PRG de Saujon (Charente-Maritime) - Source
M. Guy FEREZ Maire socialiste d’Auxerre (Yonne) - Source
M. Richard FERRAND Député Socialiste (Finistère) - Source
M. Joseph FERRARA Conseiller départemental socialiste (Loire) - Source
M. Jean-Jacques FILLEUL Sénateur socialiste (Indre-et-Loire) - Source
Mme Jeanne FILLOUX Maire divers gauche de Champniers (Charente) - Source
M. Jean-Michel FOLCH Maire socialiste de Saint-André-de-Roquelongue (Aude) - Source
M. Jean-François FOUNTAINE Maire socialiste de La Rochelle (Charente-Maritime) - Source
M. Georges FOURRE Conseiller départemental DVG (Aisne) - Source
M. Jean-Louis FOUSSERET Maire socialiste d’une grande ville (Besançon – Doubs) - Source
M. Gilbert FRONTY Conseiller départemental socialiste (Corrèze) - Source
M. Olivier GAILLARD Conseiller départemental socialiste (Gard) - Source
Mme Béatrice GAILLIOUT Conseillère métropolitaine de Lyon (Rhône) - Source
Mme Cécile GALLIEN Conseillère départementale divers gauche (Haute-Loire) - Source
M. Dominique GAMBIER Maire socialiste de Déville lès Rouen (Seine-Maritime) - Source
M. François GARAY Maire divers gauche des Mureaux (Yvelines) - Source
M. Joël GARESTIER Maire socialiste de Saint-Just-le-Martel (Haute-Vienne) - Source
M. Marc GASTAL Conseiller départemental divers gauche (Lot) - Source
M. Christian GATARD Maire socialiste (Chambray lès Tours – Indre et Loire) - Source
M. Stéphane GATIGNON Maire socialiste de Sevran (Seine-Saint-Denis) - Source
M. Stéphane GEMMANI Conseiller régional socialiste (Auvergne-Rhône-Alpes) - Source
M. Pierre Joseph GHIONGA Conseiller départemental socialiste (Haute-Corse) - Source
M. Paul GIACOBBI Député Parti Radical de Gauche (Haute-Corse) - Source
Mme Nelly GINESTET Conseiller départemental divers gauche (Lot) - Source
M. Charles GIRARDIN Conseiller régional PRG (Indre-et-Loire) - Source
M. Joël GIRAUD Maire divers gauche de L’Argentière-la-Bessée (Hautes-Alpes) - Source
Mme Olga GIVERNET Conseillère régionale socialiste (Ain) - Source
M. Eric GOLD Conseiller départementale socialiste (Puy-de-Dôme) - Source
Mme Laurence GOLDGRAB Membre PRG du Conseil de Paris (Paris) - Source
M. Marc GOUA Député socialiste (Maine-et-Loire) - Source
M. Jean-Yves GOUTTEBEL Conseiller départemental PRG (Puy-de-Dôme) - Source
M. Michel GREGOIRE Maire socialiste (Drôme) - Source
M. Laurent GRELAUD Maire socialiste de Bonsecours (Seine-Maritime) - Source
M. Benjamin GRIVEAUX Ancien vice-président socialiste de Saône-et-Loire (Saône-et-Loire) - Source
M. Didier GUILLOT Membre socialiste du Conseil de Paris (Paris) - Source
Mme Monique HADRBOLEC Conseiller départementale socialiste (Yonne) - Source
M. Bertrand HAUCHECORNE Maire socialiste de Mareau-aux-Prés (Loiret) - Source
M. Michel HERVE Conseiller départemental socialiste (Mayenne) - Source
M. Pierre HOUBE Maire divers gauche de Broût-Vernet (Allier) - Source
M. Laurent HOULLIER Maire divers gauche de Rieulay (Nord) - Source
Mme Brigitte JANNOT Conseillère métropolitaine socialiste (Lyon) - Source
Mme Monique IBORRA Députée ex socialiste (suspendue du PS) (Haute-Garonne) - Source
M. Bernard IDZIK Maire socialiste de Racquinghem (Pas-de-Calais) - Source
M. Thierry JEAN Adjoint au maire de Metz (Moselle) - Source
M. Le Jeune JOëL Président socialiste de l’agglomération Lannion-Trégor (Côtes-d’Armor) - Source
Mme Nicole JOULIA Conseillère départementale socialiste (Bouches-du-Rhône) - Source
Mme Muriel JOZEAU-MARIGNE Conseillère régionale socialiste (Manche) - Source
Mme Danièle JUBAN Ajointe au maire socialiste (Côte-d’Or) - Source
M. Jean-Pierre JUHEL Maire divers gauche d’Erbray (Loire-Atlantique) - Source
M. Christian JULIEN Maire divers gauche de Saint-Genest-Lerpt (Loire) - Source
M. Pierre KARLESKIND Conseiller régional socialiste (Bretagne) - Source
M. Georges KEPENEKIAN Conseiller métropolitain de Lyon (Rhône) - Source
M. David KIMELFELD Maire d’arrondissement – 1er sec. de fédération locale du PS (Rhône – Lyon) - Source
M. Bernard KOUCHNER Ancien ministre socialiste (France) - Source
M. Jacques KRABAL Député Parti Radical de Gauche (Aisne) - Source
M. Yves KRATTINGER Président socialiste de conseil départemental (Haute-Saône) - Source
M. Guy LABBE Maire socialiste du Donjon (Allier) - Source
Mme Françoise LABORDE Sénatrice PRG (Haute Garonne) - Source
Mme Line LAFOUGERE Conseillère départementale divers gauche (Charente-Maritime) - Source
M. Anne-Christine LANG Député socialiste (Paris) - Source
Mme Françoise LAPERGUE Conseillère départementale socialiste (Lot) - Source
M. Frédéric LAVAL Conseiller départemental socialiste (Hautes-Pyrénées) - Source
M. Pascal LAVERGNE Maire socialiste de Monségur (Gironde) - Source
Mme Corinne LAVERSIN Maire socialiste de Hinges (Pas-de-Calais) - Source
M. Jean LAUNAY Député socialiste (Lot) - Source
M. Jean-Paul LAUTTERIE Maire socialiste (Montpon-Ménestérol) - Source
M. Michel LAUZZANA Maire socialiste de Bon-Encontre (Lot-et-Garonne) - Source
M. Raymond LE BRAZIDEC Conseiller régional socialiste (Morbihan) - Source
M. Joël LE CROISIER Maire socialiste de Trébrivan (Côtes-d’Armor) - Source
M. Jean-Yves LE DéAUT Député socialiste (Meurthe-et-Moselle) - Source
M. Michel LE FAOU Adjoint au Maire socialiste (Lyon) - Source
Mme Nicole LE PEIH Conseillère régionale socialiste (Morbihan) - Source
M. Dominique LE PENNEC Maire divers gauche de Telgruc-sur-Mer (Finistère) - Source
M. Jean-Pierre LE ROCH Député socialiste (Morbihan) - Source
Mme Lucie Yvonne LEBRAVE Membre socialiste de l’assemblée de Martinique (Martinique) - Source
M. Bruno LEBUHOTEL Conseiller métropolitain de Lyon (Rhône) - Source
M. André LEFEUVRE Conseiller départemental PRG (Ille-et-Vilaine) - Source
M. François LEMAIRE Maire socialiste de Bully-les-Mines (Pas-de-Calais) - Source
Mme Myriam LEMERCIER Conseillère départementale socialiste (Doubs) - Source
M. Gérard LEONARDI Maire socialiste d’Uckange (Moselle) - Source
M. Michel LEROUX Maire socialiste de Pont-Audemer (Eure) - Source
M. Arnaud LEROY Député EELV (Français hors de France) - Source
M. Richard LIOGER Adjoint au maire de Metz (Moselle) - Source
M. Antoine LOGIE Maire socialiste de Wimille (Pas-de-Calais) - Source
M. François LONCLE Député socialiste (Eure) - Source
M. Frédéric LOPEZ Conseiller régional PRG (Hérault) - Source
M. Jean-Paul LOTTERIE Maire socialiste de Montpon-Ménestérol (Dordogne) - Source
M. Gilles LOUF Maire délégué socialiste de Saint-Martin-lez-Tatinghem (Pas-de-Calais) - Source
M. Cyril LUCHE Conseiller municipal socialiste de Meung-sur-Loire (Loiret) - Source
M. Jacques MAHéAS Ancien sénateur et maire socialiste de Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis) - Source
Mme Christine MALFOY Vice-Présidente socialiste d’un Conseil départementale (Ardèche) - Source
M. Frédéric MARCHAND Conseiller départemental socialiste (Nord) - Source
Mme Catherine MARLAS Conseillère départementale socialiste (Lot) - Source
M. Didier MARTIN Adjoint au maire Socialiste d’une grande ville (Dijon) - Source
M. Noël MARTINIE Maire divers gauche de Chamboulive (Corrèze) - Source
M. Christophe MASSE Conseiller départemental socialiste, ancien député (Bouches-du-Rhône) - Source
M. Jean-Pierre MASSERET Ancien président socialiste du Conseil régional de Lorraine (Lorraine) - Source
M. Stéphane MAZARS Conseiller départemental PRG, ancien sénateur (Aveyron) - Source
Mme Marjolaine MEYNIER Conseillère régionale socialiste (Isère) - Source
M. Jacques MEZARD Sénateur (Cantal) - Source
Mme Hélène MIALON-BURGAT Maire et conseillère régionale socialiste (Normandie – Mondeville) - Source
M. Gérard MIQUEL Sénateur socialiste (Lot) - Source
M. Jean-Louis MISSIKA Membre socialiste du Conseil de Paris (Paris) - Source
M. Alain MONTANGON Maire divers gauche de Gauriaguet (Gironde) - Source
M. Alain MORETTI Conseiller départemental socialiste (Vaucluse) - Source
M. Bernard MORILLEAU Maire divers gauche de Sainte-Pazanne (Loire-Atlantique) - Source
M. José-Pierre MOZZICONACCI Conseiller départemental socialiste (Corse du Sud) - Source
M. Rodrigue MROZ Maire socialiste de Récourt (Pas-de-Calais) - Source
Mme Lisette NARDUCCI Conseillère Départementale socialiste (Bouches-du-Rhône) - Source
M. François ORLANDI Conseiller départemental PRG (Haute-Corse) - Source
Mme Monique ORPHéE Député socialiste (La Réunion) - Source
M. Jean-Charles ORSUCCI Maire socialiste (Corse du Sud – Bonifacio) - Source
M. Jean PAJANACCI Président PRG de communauté de communes (Corse du Sud) - Source
M. Gilbert PASTOR Maire socialiste de Castries (Hérault) - Source
M. François PATRIAT Sénateur socialiste (Côte-d’Or) - Source
Mme Nicole PAULO Conseiller départemental socialiste (Lot) - Source
M. Philippe PECOUT Maire socialiste de Laudun-l’Ardoise (Gard) - Source
M. Michel PELIEU Conseiller départemental Parti Radical de Gauche (Hautes-Pyrénées) - Source
M. Michel PENHOUET Maire divers gauche de Saint-Lunaire (Ille-et-Vilaine) - Source
M. Mao PENINOU Adjoint socialiste au maire de Paris (19e arrondissement) (Paris) - Source
M. Michel PEREZ Maire divers gauche de Roquettes (Haute-Garonne) - Source
M. Stéphane PERON Conseiller départemental socialiste (Finistère) - Source
M. Pascal PERTUSA Maire socialiste de Chabeuil (Drôme) - Source
M. Jean-Marie PIALAT Conseiller départemental PRG (Aveyron) - Source
M. Jean-Marc PICHON Adjoint au maire socialiste de Saint Pierre des Corps (Indre-et-Loire) - Source
M. Xavier PICHON Président PRG d’un conseil de communauté de communes (Calvados – Val Ès Dunes) - Source
M. Serge PICHOT Conseiller départemental socialiste (Puy-de-Dôme) - Source
M. Pierre PIENIEK Conseiller départemental Parti Radical de Gauche (Drôme) - Source
M. Erik PILARDEAU Maire divers gauche de Bogny-sur-Meuse (Ardennes) - Source
M. Paul Léon Frédéric PLANCHOU Conseiller régional socialiste (Seine-et-Marne) - Source
M. Simon PLENET Conseiller départemental socialiste (Ardèche) - Source
M. Napole POLUTELE Député socialiste (Wallis et Futuna) - Source
M. Jean-Marc POMMIER Maire divers gauche de Bonnières-sur-Seine (Yvelines) - Source
Mme Nathalie PONCE-GASSIER Conseillère départementale socialiste (Alpes-de-Haute-Provence) - Source
M. Jean-Christophe POULET Maire divers gauche de Bessancourt (Val-d’Oise) - Source
M. Honoré PUIL Président local du PRG (Ile-et-Villaine) - Source
M. Bruno QUESTEL Conseiller départemental ex socialiste (Eure) - Source
M. Jean-Jacques RAFFY Conseiller départemental divers gauche (Lot) - Source
M. Alfred RECOURS Maire socialiste de Conches-en-Ouche (Eure) - Source
M. Pierre REGNAULT Conseiller municipal socialiste, ancien maire de La Roche-sur-Yon (Vendée) - Source
Mme Geneviève REPINÇAY Conseillère départementale socialiste (Loir-et-Cher) - Source
M. Jean-Claude REQUIER Sénateur apparenté socialiste (Lot) - Source
M. Serge RIGAL Conseiller départemental ex socialiste (Lot) - Source
M. Jacques ROBIN Maire socialiste (Côte d’Armor) - Source
M. Pierre ROBIN Conseiller départemental PRG (Charente-Maritime) - Source
M. Paul ROBINAT Conseiller départemental socialiste (Côte-d’Or) - Source
M. Yves ROME Sénateur socialiste (Oise) - Source
M. Jean-Luc ROTUREAU Conseiller départemental socialiste (Maine-et-Loire) - Source
M. Maud ROY Adjointe socialiste à la Mémoire, aux Anciens Combattants et au Patrimoine à la mairie de Lyon 03 (Rhône) - Source
M. Daniel RUFFAT Maire divers gauche de Sainte-Foy-d’Aigrefeuille (Haute-Garonne) - Source
M. Ronald SANNINO Conseiller métropolitain de Lyon (Rhône) - Source
M. Philippe SAUREL Maire divers gauche de Montpellier (Hérault) - Source
M. Bernard SAUVADE Conseiller départemental socialiste (Puy-de-Dôme) - Source
Mme Patricia SCHILLINGER Sénatrice socialiste (Bas Rhin) - Source
M. Jean-Yves SECHERESSE Conseiller métropolitain de Lyon (Rhône) - Source
Mme Elise SERIN Conseillère départementale socialiste (Puy-de-Dôme) - Source
Mme Léopoldine SETTAMA-VIDON Conseillère régionale socialiste (La Réunion) - Source
Mme Virginie SIANI WEMBOU Conseillère départementale socialiste (Hautes-Pyrénées) - Source
M. Benoit SIMIAN Maire socialiste de Ludon-Médoc (Gironde) - Source
M. Didier SIMON Maire divers gauche de Château-Porcien (Ardennes) - Source
M. Thibaut SIMONIN Conseiller départemental socialiste (Charente) - Source
M. Michel SIMONPIETRI Conseiller départemental socialiste (Haute-Corse) - Source
M. Jean-Luc SOULAT Maire divers gauche de Lucinges (Haute-Savoie) - Source
M. Jérôme STURLA Conseiller métropolitain de Lyon (Rhône) - Source
M. Pascal TERRASSE Député socialiste (Ardèche) - Source
M. Christian TEYSSEDRE Maire socialiste de Rodez (Aveyron) - Source
Mme Rachel THOMAS Conseillère régionale socialiste (Meurthe-et-Moselle) - Source
M. Denis THURIOT Maire divers gauche de Nevers (Nièvre) - Source
M. Laurent TONNERRE Conseiller départemental socialiste (Morbihan) - Source
M. Jean-Louis TOURAINE Député socialiste (Rhône) - Source
Mme Geneviève TRANCHIDA Conseillère départementale socialiste (Bouches-du-Rhône) - Source
M. Stéphane TRAVERT Député socialiste (Manche) - Source
M. Olivier VéRAN Conseiller Régional (Auvergne – Rhône – Alpes) - Source
Mme Virginie VARENNE Conseillère métropolitaine de Lyon (Rhône) - Source
M. Yves VECTEN Conseiller départemental DVG (Yonne) - Source
M. Bernard VERDIER Conseiller départemental PRG (Hautes-Pyrénées) - Source
Mme Muriel VERGES-CAULLET Conseillère régionale socialiste (Yonne) - Source
M. Jérôme VERSCHAVE Conseiller municipal socialiste à Camblanes-et-Meynac, ancien directeur de cabinet d’Alain Rousset (Gironde) - Source
M. Yves VIDAL Maire divers gauche de Grans (Bouches-du-Rhône) - Source
M. Marc VILLARD élu socialiste de l’assemblée des Français de l’étranger (ÉTRANGER) - Source
M. Maurice VINCENT Sénateur socialiste (Loire) - Source
Mme Patricia VINCENT Conseillère départementale socialiste (Hautes-Alpes) - Source
M. Jean-Hyacinthe (dit Nano) VINCIGUERRA Maire socialiste (Haute-Corse) - Source
M. Bruno VINUALES Conseiller départemental socialiste (Hautes-Pyrénées) - Source
M. Jean-Michel VUILLAUME Député socialiste (Haute-Saône) - Source
M. Jean-Marc WILLER Maire divers gauche de Erstein (Bas-Rhin) - Source
Mme Véronique WUYTS-LEPAREUX Conseillère départementale socialiste (Vienne) - Source
M. Richard YUNG Sénateur socialiste (Français hors de France) - Source
M. Pierre-Jean ZANNETTACCI Maire socialiste de L’Arbresle (Rhône) - Source
M. Anthony ZILIO Président socialiste de communauté de communes (Vaucluse) - Source

M. Gilles Ripert maire de Caseneuve

Max Raspail conseiller départemental et maire de Blauvac

M. David Habib député, 64

Michel Cuyaubé, maire de Sévignacq

 

 

179 Commentaires

  1. Macarel
    Posted 14 mars 2017 at 11:11 | Permalien

    Et ce n’est pas fini, l’illusionniste Macron est très fort !
    Et les rats quittent le navire par la droite, alors que si Valls avait gagné la primaire, le PS se serait vidé par la gauche. En tout cas son électorat…

  2. red2
    Posted 14 mars 2017 at 11:18 | Permalien

    Oui et toujours pas une position forte sur le sujet de la part de Benoit Hamon et ses soutiens… Bravos! A quand l’expulsion pure et simple du PS de ces traitre ? Il me semble que le principe de la primaire c’est quand on y participe, d’accepter les règles du jeu et de soutenir le vainqueur. Si on ne le fait pas on doit être dégagé sans ménagement. Et ne venez plus SVP nous dire que Melenchon aurait du participer à cette mascarade, vous imaginez les réactions des solferiniens de droite si l’avait emporté ? Je répète à quand une clarification ? Sinon, votre candidat est inutile et ne sert qu’a affaiblir celui de la France insoumise ! en continuant de ne pas prendre de position forte sur le sujet et en continuant d’assumer le bilan lamentable de Hollande, vous faites le jeu de Macron et de la droite…

  3. Posted 14 mars 2017 at 11:38 | Permalien

    nous avons ecarte Hollande et battu valls qui vous faisaient si peur au point de ne pas vouloir les affronter a la primaire
    nous avons gagne la primaire a 2 millions d’électeurs malgré vos appels au boycott, votre sabotage, votre dénigrement
    modestement vous devriez prendre en compte ce fait,
    et accepter l’unité avec la gauche socialiste

  4. Posted 14 mars 2017 at 11:41 | Permalien

    sans PS pas d’avenir a gauche,
    nous le défendons dans le meilleur de ses traditions pour tenter de gagner le 23 avril et le 67 mai,
    vous seuls vous etes à 11 % et vous perdez

  5. Michel - Pierre
    Posted 14 mars 2017 at 11:46 | Permalien

    Il faut se garder, bien sûr, de la tentation de sombrer une bonne fois pour toutes dans un noir pessimisme.
    Cependant, quand on veut bien consacrer un instant d’attention à l’observation des sondages d’opinion concernant cette élection présidentielle, on ne peut faire l’économie d’un constat des plus inquiétants.
    Il apparaît en effet que le principe qui permet aux trois candidats que ces sondages placent en tête de faire recette (leur promettant un total de suffrages au premier tour proche de 70 % …) peut se résumer par la phrase suivante :
    L’ OPULENCE (et quelle opulence !) POUR MOI, LES SACRIFICES (et quels sacrifices !) POUR « LE PETIT PEUPLE ».
    Il me semble qu’un pays disposant d’un corps électoral qui fonctionne de cette manière est bien mal barré … surtout lorsqu’il paraît, de surcroît, affligé d’une gauche animée par « le génie de la division » !
    (Désolante contribution, j’en conviens. Merci d’avance pour tout commentaire empreint d’une dose salutaire d’optimisme qu’elle pourra susciter …)

  6. red2
    Posted 14 mars 2017 at 11:49 | Permalien

    Nous n’avons pas participé à la primaire car nous savions le fossé trop grand entre la droite dure représentée pas Valls et Hollande et la « vraie » gauche. Nous n’aurions pas pu les soutenir si ils avaient gagné du fait du bilan lamentable des leurs 5 années de gouvernement et ils ne nous auraient de toutes façons pas soutenu si nous avions gagné. Ce qui se passe en ce moment avec les tergiversations multiples et les ralliement à Macron ne vous ouvre toujours pas les yeux ? Vous allez toujours appeler à voter Valls et El Khomri au législatives ? Non mais franchement… Virez au moins ceux qui trahissent leurs serment de soutenir le vainqueur de la primaire, c’est le minimum. Ou alors vous attendez le 17 pour prendre une décision pour être sur que personne ne puissent se présenter, si c’est cela c’est du grand art, sinon juste lamentable… Il me tarde de voir!

  7. Gilbert Duroux
    Posted 14 mars 2017 at 12:02 | Permalien

    C’est bien ce que je disais, le PS a deux fers au feu : Macron et Hamon. Et il faudrait que Mélenchon fasse alliance aux conditions du PS ? C’est une plaisanterie.

  8. Posted 14 mars 2017 at 12:04 | Permalien

    le PS est explosé, il n’y a aucun plan PS, aucun
    on a battu Valls,
    ils ont eu peur pendant un mois qu’on fasse alliance avec melenchon et qu’on gagne,
    ils se rassurent et une partie se retourne chez macron,
    ils ne savant pas encore comment bien le faire, parce que la situation est complexe,

  9. Posted 14 mars 2017 at 12:10 | Permalien

    vous avez tout fait pour insulter et faire échouer la primaire, y compris des affiches honteuses de boycott, de dénigrement,
    mais la gauche est venue, en masse, dix fois plus forte que vos 250 000 clicks
    et elle a vote gauche socialiste,
    une occasion en or pour l’unité
    avec nos 1,2 million de voix et vos 250 000 clicks on pouvait s’unir quand meme !
    gouvernement Hamon Jadot Laurent melenchon
    Jadot était pour !!!
    Laurent était pour !
    c’est VOUS qui avez refusé, dresse des obstacles, invente des arguties,
    à un contre trois composantes….
    mais votre sectarisme vous a empêché d’intégrer et de comprendre cela, de saisir l’occasion de l’unité
    c’est tragique

  10. Fabien
    Posted 14 mars 2017 at 12:13 | Permalien

    Il n’y a jamais eu de la part de la FI « d’appel au boycott » de « sabotage » ou de « dénigrement », JLM a juste expliqué franchement pourquoi il ne participait pas à cela. Et aujourd’hui, au moment où comme vous le notez vous-même, des cohortes entière sabordent la campagne du candidat issu des primaires, avec la bénédiction du PS, il faudrait s’excuser ne pas s’être prêté à l’exercice? Ce n’est pas sérieux, M. Filoche!

  11. Posted 14 mars 2017 at 12:27 | Permalien

    menteur ! faussaire
    il y a un jeu de six affiches que j’ai collecté qui appellent au boycott et des affiches de dénigrement type « gringoire » contre montebourg hamon, etc…
    corbières a dénigré sur toutes les télés le scrutin,
    mais nous avons eu une masse de la gauche, 2,1 millions de votants, c’est autre chose que vos 250 000 clicks tirés au sort,
    et nous avons ecarté Hollande et battu valls ce que vous croyiez impossible et que vous ne souhaitiez pas,
    vous avez même appelle indirectement plusieurs fois a ce que hollande et valls soient candidats et pas la gauche socialiste
    et vous avez pris notre victoire, la victoire de la gauche socialiste, comme une catastrophe et non pas une opportunité
    et depuis il y a un nombre inouï d’imbéciles FI qui écrivent sur les reseaux sociaux en traitant hamon comme s’il était valls
    en combattant la gauche socialiste comme si elle n’avait pas battu la droite socialiste
    en niant ce qui s’est passé le 29 janvier

  12. Gilbert Duroux
    Posted 14 mars 2017 at 12:35 | Permalien

    Ce serait incongru et suicidaire de se ranger derrière un candidat contré par son propre camp.
    À quoi bon disperser les voix de la gauche entre le représentant d’un parti dont les cadres filent chez l’adversaire et le représentant de la gauche le plus légitime à cette présidentielle, dont la démarche est solide, ancrée dans le temps et dont les convictions ne sont pas à géométrie variable.

  13. Posted 14 mars 2017 at 12:44 | Permalien

    cela ne vaut rien de voter melenchon, il stagne a 11 % et il a refuse l’unité
    esperons que hamon fera plus, meme si ce n’est pas une vraie consolation,

    ce que j’aime dans la bêtise, c’est ceux qui tour à tour ont écris ici contre nous
    - votre aile droite va gagner elle est plus forte que vous
    - vous capitulez devant votre aile droite alors que vous l’avez battue
    - débarrassez vous de votre aile droite pour clarifier
    - votre aile droite s’en va donc vous ne valez rien

  14. Posted 14 mars 2017 at 12:44 | Permalien

    Valls s’explique dans un entretien dans le Paris Match d’aujourd’hui.
    http://www.parismatch.com/Actu/Politique/Valls-n-apportera-pas-son-parrainage-a-Hamon-1209305
    Il n’appelle pas à voter Macron mais se désolidarise de Hamon.
    Surtout, il dévoile le projet pour la législature qui vient:
    « Valls en est persuadé, si le candidat d’En Marche! est élu en mai prochain, «il n’y aura pas de majorité absolue» à l’Assemblée nationale, face à un «FN durablement installé». Parti socialiste, les Républicains, centristes : «C’est l’heure de la coalition», pronostique-t-il en espérant, alors, tirer son épingle du jeu. »

    Sur cette question de la « grande coalition » ou du gouvernement d’union nationale, j’ai fait un papier qui paraît aujourd’hui sur Contretemps:
    http://www.contretemps.eu/candidature-macron-recomposition-politique/

  15. TOM
    Posted 14 mars 2017 at 12:49 | Permalien

    @GF: « … en niant ce qui s’est passé le 29 janvier. »

    Non pas. Mais en soulignant ce qui ne s’est pas passé le 30 janvier (Hamon décroche son téléphone, Hamon met les droitistes et Camba sous pression, Hamon répond à la lettre de Mélenchon, etc, etc).

  16. Posted 14 mars 2017 at 12:56 | Permalien

    et melenchon son téléphone il l’avait égaré ?
    et sa lettre elle énumérait tous les obstacles qui pouvaient empêcher l’unité

  17. socrate
    Posted 14 mars 2017 at 13:05 | Permalien

    Gérard Filoche
    Posted 14 mars 2017 at 12:44 | Permalien

    Valls s’explique dans un entretien dans le Paris Match d’aujourd’hui.
    http://www.parismatch.com/Actu/Politique/Valls-n-apportera-pas-son-parrainage-a-Hamon-1209305
    Il n’appelle pas à voter Macron mais se désolidarise de Hamon.
    ——————————————————————————————————————————————–

    et pourtant il s’est engagé a soutenir le vainqueur de la primaire.
    comment faire confiance a ce parti ou règnent les menteurs ?

  18. Posted 14 mars 2017 at 13:18 | Permalien

    Le soutien par parrainage n’est pas en soi un problème car le parrainage ne vaut pas adhésion et il est sain que toutes les candidatures médiatiquement représentatives soit possibles (cela vaut notamment pour des « petits candidats » qui ont des choses à dire comme Alexandre Jardin).
    Ce qui pose problème en revanche c’est le soutien actif contre le candidat socialiste désigné par une primaire vouée aux déloyautés.

  19. Posted 14 mars 2017 at 13:50 | Permalien

    personne ne t’a demande de faire confiance a la majorité ni a l’aile droite de ce parti
    va donc te faire voir

  20. Posted 14 mars 2017 at 13:51 | Permalien

    c’est le cas

  21. Posted 14 mars 2017 at 14:00 | Permalien

    L’appel de Manuel Valls au vote Macron dés le premier tour aurait au moins un mérite : celui de démontrer s’il en était besoin que la désignation de Hamon à la primaire n’a jamais fait partie des plans concoctés en haut lieu mais les a contrecarrés, raison pour laquelle cette candidature doit être, pour les partisans du second tour Macron/Le Pen (dont ils espèrent qu’il fera élire Macron pour aggraver la mise en oeuvre du programme du MEDEF alors qu’il peut aussi faire élire Le Pen), liquidée. Cela indépendamment des qualités ou défauts propre de Hamon. Toutes les théories du complot en vigueur ces derniers temps à ce sujet parmi les partisans de JL Mélenchon, ou dans leur sillage spéculant sur les programmes des candidats en perdant de vue les processus sociaux réels, aboutissent concrètement à un seul et même résultat : le jeu de Macron, candidat n°1 du MEDEF. VP

    L’appel de Manuel Valls au vote Macron dés le premier tour aurait au moins un mérite : celui de démontrer s’il en était besoin que la désignation de Hamon à la primaire n’a jamais fait partie des plans concoctés en haut lieu mais les a contrecarrés, raison pour laquelle cette candidature doit être, pour les partisans du second tour Macron/Le Pen (dont ils espèrent qu’il fera élire Macron pour aggraver la mise en oeuvre du programme du MEDEF alors qu’il peut aussi faire élire Le Pen), liquidée. Cela indépendamment des qualités ou défauts propre de Hamon. Toutes les théories du complot en vigueur ces derniers temps à ce sujet parmi les partisans de JL Mélenchon, ou dans leur sillage spéculant sur les programmes des candidats en perdant de vue les processus sociaux réels, aboutissent concrètement à un seul et même résultat : le jeu de Macron, candidat n°1 du MEDEF.

  22. Macarel
    Posted 14 mars 2017 at 15:12 | Permalien

    « en combattant la gauche socialiste comme si elle n’avait pas battu la droite socialiste »

    Vous n’avez rien battu, et surtout pas inversé le rapport de force au sein du P »S ».

    Qui reste à 60% en faveur de la droite du P »S »

    C’est bien ça le piège des primaires ouvertes à tous les sympathisants, ça masque la réalité des rapports de force au sein du parti. Et c’est malsain!

    Personnellement, j’eus préféré que Valls gagne la primaire, c’eût été plus clair.

  23. Gilbert Duroux
    Posted 14 mars 2017 at 15:16 | Permalien

    L’article de la revue Contretemps que cite Gérard Filoche montre bien que le processus de recomposition qui est à l’œuvre doit arriver à son terme pour que l’union de la gauche se produise. L’article se conclut ainsi : « plus vite cette nouvelle donne stratégique sera comprise, mieux ce sera pour tout le monde ».

  24. CAPTIER
    Posted 14 mars 2017 at 15:26 | Permalien

    Qu’est ce qui est le plus important? La survie de la gauche ou la survie du PS?

    Peut être que je me trompe; mais pour moi le PS est condamné; malheureusement!!!La gauche quand à elle est encore vivante!!!

    Le PS est incapable de clarifier et d’unifier en son seing. Comment voulez vous qu’il soit capable d’unifier la gauche?

    Je suis sure et je l’espère de tout mon cœur que benoit HAMON ralliera MELENCHON dès le 18 mars pour une victoire de la gauche.

  25. CAPTIER
    Posted 14 mars 2017 at 15:50 | Permalien

    Il est un fait que vous ne serez voir!!!
    Pour moi comme beaucoup d’autres; le fait d’avoir été violé par HOLLANDE en mettant un bulletin PS en 2012 m’empêche de recommencer a poser un bulletin PS en 2017.
    Le choc psychologique des ces 5 dernières années a été trop grand.
    Le PS ne pourra jamais défaire ce qu’il a fait, il a été détruit de l’intérieur en mettant à sa tète et à la tête de l’état un homme qui nous a trahi (un juda).

    Cela n’aurai jamais du être possible si le parti avait été constitué de sages qui s’assure que ses candidats soit représentatifs des valeurs du PS. Le parti é dérivé et échoué sur sa droite.

    Le navire coule et il est tant de l’abandonné par sa droite ou sa gauche.

  26. Anastasia
    Posted 14 mars 2017 at 16:14 | Permalien

    Le PS…Et sa tripotée de carriéristes… Voici ce qui dégoûtent les électeurs…

    « Pourquoi les soutiens socialistes de Macron ne sont toujours pas sanctionnés par le PS

    Les députés socialistes qui ont parrainé Emmanuel Macron doivent-ils craindre une réaction de la direction de leur parti ? Pas pour le moment puisque rue de Solférino, « on ne veut pas insulter l’avenir », notamment en cas de victoire du candidat d’En Marche à l’élection présidentielle.

    Pour espérer récupérer sa mise, mieux vaut parier sur plusieurs chevaux à la fois. C’est l’une des ficelles connues des habitués des PMU et… des solfériniens. Jean-Christophe Cambadélis, le patron du Parti socialiste, nous en donne un bel exemple. Ainsi, début février face à Jean-Jacques Bourdin, le premier secrétaire du PS affichait une détermination sans faille au sujet de ces socialistes un peu trop macronphiles à son goût : « Ceux qui le [Emmanuel Macron] parraineraient ne seraient plus au Parti socialiste ». De quoi faire trembler dans les rangs ! Mais depuis, le candidat d’ »En Marche » a bien recueilli ses 500 parrainages. Dont ceux de dix députés PS officiellement investis par Solférino pour les élections législatives, ainsi que d’une vingtaine de sénateurs. Doivent-ils dès à présent déchirer leur carte du PS ? Pas si vite… »

  27. Posted 14 mars 2017 at 17:02 | Permalien

    hollande a été ecarté et valls a été battu,
    le candidat du PS est un candidat de la gauche socialiste
    sauf pour les aveugles et les sectaires qui veulent perdre plutôt que de réaliser l’unité de la gauche gagnante

  28. Posted 14 mars 2017 at 17:06 | Permalien

    pour gagner il faut les 6 millions de voix socialistes, nous sommes en position de nous adresser légitimement à elles ! unité des socialistes avec Hamon et… unité de la gauche : personne ne se retirera pour personne, personne ne se ralliera, personne ne se soumettra pas de soumission, mais unité !
    Mais on a une obligation de résultat car si pas unité ce sera désastre par contre si unité ce sera victoire
    Une plateforme commune ça ne peut être ni tout le programme de Benoit Hamon, ni tout le programme de Jean-Luc Mélenchon, ni tout le programme de Yannick Jadot, on doit trouver ce qui unit pas ce qui divise. Il faut en discuter ainsi de façon ouverte.

    Maintenant il faut un programme commun de gouvernement rose rouge vert.
    Personne ne se retirera pour personne, personne ne se ralliera, personne ne se soumettra pas de soumission, mais unité !
    Mélenchon seul, perd ! Hamon, seul, perd ! Sans unité nous perdons tous, unifiés cela fait une dynamique gagnante
    On a une obligation de résultat car si pas unité ce sera désastre par contre si unité ce sera victoire
    Une plateforme commune ça ne peut être ni tout le programme de Benoit Hamon, ni tout le programme de Jean-Luc Mélenchon, ni tout le programme de Yannick Jadot, on doit trouver ce qui unit pas ce qui divise. Il faut en discuter ainsi de façon ouverte.
    si nous avons un accord de gouvernement commun TOUS les candidats devront être labellisés en soutien à cet accord, ça implique un ou une par circonscription, et une re-discussion de toutes les candidatures évidemment
    Gouvernement rose vert rouge Hamon Jadot Laurent-Mélenchon

  29. Posted 14 mars 2017 at 17:07 | Permalien

    sans unie maintenant on perd tous et adieu… tu pleureras et ne feras plus bien comme la plupart des fantaisistes qui viennent polluer ici

  30. Posted 14 mars 2017 at 17:08 | Permalien

    c’est clair !
    on le sait que vous préférez la droite, c’est le cas de tous ceux ici qui refusent l’unité

  31. red2
    Posted 14 mars 2017 at 18:20 | Permalien

    Mr Filoche vous ne répondez pas aux questions légitime de vos contradicteurs, répéter en boucle « unité, unité, unité », n’est pas une réponse…
    Hollande a t il fait une politique de droite ? Hamon récuse-t-il le bilan de ces 5 dernières années ?
    Et surtout : Comment faire une politique de gauche avec la même majorité qu’aujourd’hui puisqu’une majorité de vos candidat au législatives sont dans la ligne Hollande-Valls et donc de droite ? Franchement je ne comprends pas, il fallait réellement prendre le contrôle du parti après la victoire aux primaires, revoir les investitures et là tout était possible… Sans cela ce n’est même pas la peine de discuter même en cas de victoire de Hamon, il n’y aurait pas de majorité de gauche pour appliquer sa politique. Je ne vous comprend pas.

  32. un passant
    Posted 14 mars 2017 at 18:43 | Permalien

    Unité ? Avec ces « socialistes » si silencieux dans leur soutien au candidat désigné par leur propre primaire ? Unité ? Avec les rats qui fuient un navire PS en perdition ? Unité ? Avec ces « socialistes » qui soutiennent ouvertement Macron ? Unité ? Avec El Khomri, Le Guen, Le Drian, Le Roux ?

    Si on veut parler d’unité il faudrait d’abord que le PS fasse le ménage dans ses rangs.

    Pour ma part je ne vote pas pour les gens qui envoient la police pour nous gazer, nous frapper, nous grenader, nous blesser, nous éborgner et nous tuer. Faut quand même pas nous prendre pour des cons !

  33. inkey
    Posted 14 mars 2017 at 18:53 | Permalien

    Une vrai question :

    Alors que le PS tanguait très dangereusement à droite depuis des années, pourquoi est-ce seulement aujourd’hui qu’on entend aussi sérieusement ces cris à tord et à travers d’une unité entre des entités qui sont en force oppositions depuis des années dans la gauche ?

    Ces questions aurait du être résolu auparavant et je ne doute pas que la position de l’autruche de la gauche du PS à fortement contribué à cette situation.

    Ou était benoit Hamon durant les manifestation contre la loi travail ?
    Pourquoi était-il défavorable à des manifestations politique de gauche comme celle du 5 mai 2013 ?

    Le liens à été rompu depuis un bon moment a gauche, parlez d’unité ensuite, est une vaste blague.

  34. socrate
    Posted 14 mars 2017 at 19:37 | Permalien

    Gérard Filoche
    Posted 14 mars 2017 at 13:50 | Permalien

    personne ne t’a demande de faire confiance a la majorité ni a l’aile droite de ce parti
    va donc te faire voir

    tu me demandes de faire confiance a une minorité du PS qui n’est pas en mesure d’imposer le rassemblement sur ses idées…
    la on est plus dans la confiance mais dans l’utopie !!!

  35. Posted 14 mars 2017 at 19:42 | Permalien

    va te faire voir, a l’usure de la méthode coué tu ne nous auras pas
    on a ecarte hollande alors que tu en avais peur, alors tu que tu ne croyais pas cela possible
    on a battu valls alors que ne croyais pas cela possible,
    on a gagne des primaires avec 2,1 millions d’électeurs alors que tu as tout fait pour les denigrer, les empêcher, les saboter, les insulter,
    c’est la gauche socialiste qui a un candidat emporté de haute lutte contre la droite socialiste
    et tu viens la faire comme si ce n’était pas le cas,
    va te faire voir ailleurs, sectaire diviseur, saboteur au service de la droite du fric

  36. Posted 14 mars 2017 at 19:47 | Permalien

    Ah très joli, vous retrouvez des vieilles charges ! la manif du 5 mai 2013 !!!! c’était une manif de sabotage du mouvement unitaire que nous cherchions a developper conte l’ANI et la loi Sapin
    avec ce mot d’ordre stupide de secte  » du balai », ça cassait toute possibilité de développement du mouvement et de son unité.. déjà !

    quant a hamon il a signe la motion de censure contre la loi el khomri et l’abrogera si vous ne sabotez pas les chances de victoire en refluant l’unité

  37. sansressources
    Posted 14 mars 2017 at 19:49 | Permalien

    GF 30
    je remets la aussi pour cause d’Anastasie, et toi, tu préfères pas aussi la droite, on pourrait le croire vu que tu refuses l’unité derrière JLM qui est sans conteste le plus à gauche, lors n’insultes pas ceux qui ne veulent pas se mettre derrière un parti qui a 5 ans de désastre derrière lui et qui nous en promet 5 ans de plus si on laisse faire, on attend mieux de toi

  38. Posted 14 mars 2017 at 19:49 | Permalien

    je ne demande aucun confiance, mais l’unité et l’action
    sinon ce sera fillon le pen ou macron

  39. Posted 14 mars 2017 at 19:50 | Permalien

    passe, passant, surtout et ne reviens pas

  40. JeanLouis
    Posted 14 mars 2017 at 19:51 | Permalien

    Filoche a une rigidité mentale qui étonne et force l’admiration, incapable de reconnaitre ou accepter le moindre point de vue différent !!!
    « la gauche est venue, en masse, dix fois plus forte que vos 250 000 clickspter » Dénigrez les clics mais les clickers dont je suis donnent aussi de l’argent et si vous étiez honnête vous reconnaitriez que de très nombreux « insoumis » font partis de ceux qui se sont déplacés pour virer Valls, (ce qui de mon point de vue était une grave erreur)

  41. Posted 14 mars 2017 at 19:59 | Permalien

    tu sais lire ???? a quoi ça sert d’etre plus ou moins a gauche puisque sans unité tous on va perdre ?

  42. Posted 14 mars 2017 at 20:02 | Permalien

    minable

  43. valentin
    Posted 14 mars 2017 at 20:16 | Permalien

    Mais OUI on veut l’unité. Un programme Rouge vert rose pour faire gagner la gauche. Que Hamon se réveille!!

    Bon, voilà, moi aussi je peux écrire sans relâche sans écouter, essayer de comprendre ce qu’on m’écrit!…

    C’est impressionnant et j’ai du mal à le comprendre mais quand je suis devant un centre commercial, un service public,… à tracter les gens me disent hésiter avec Macron. Je leur dis qu’il n’est absolument pas de gauche et on me rétorque qu’il a bien été au gouvernement… Et là je défonce Hollande et compagnie!

    Hamon?… Les gens ne voient pas ses propositions et il le voit au P.S. Donc peu se sente voter pour lui.

    Mélenchon, les idées plaisent beaucoup, par contre ils se disent qu’il a peu de chance et donc qu’il faut se tourner vers Macron notamment pour éviter Le Pen

    Les puissants ont bien travaillé les médias pour gonfler l’image du prédicateur… Ca marche mais ce n’est pas un ralliement plus un renoncement, un dépit… Parceque le PS a crée un vide. Et ce vide là, l’appareil du PS l’entretient pour faire perdre Hamon. Celui ci aurait pu faie ce qu’il a dit et contacter Mélenchon dès le lendemain de sa victoire mais monsieur était trop occupée à essayer de gagner les autres candidats et leurs supporters élus à sa personne. Ben non, c’est pas la gauche et il se retrouve bien seul.

    72h … Hamon pourra toujours appeler Jean Luc et s’allier au programme de la France insoumise pour faire gagner la gauche sinon lui et ses copains de la gauche socialiste qui ont gagné grâce à ceux qui ont fait les clics de Mélenchon et qui se sont bougés pour battre Valls

    Gérard, tu pourras mettre ton énergie à rallier la france insoumise, révolutionnaire, indignée :)

    Allez on t’attend!…

    tu remarqueras que tes idées, et on blog, amène à toi pas mal de gens qui sont pour la France insoumise. ca devrait te questionner un peu…

  44. Posted 14 mars 2017 at 21:13 | Permalien

    pas une seconde !
    sans stratégie unitaire aucun accord possible,
    ça fait 55 ans que je milite pour l’unité de la gauche

  45. Posted 14 mars 2017 at 21:14 | Permalien

    t’as qu’a croire

  46. socrate
    Posted 14 mars 2017 at 21:24 | Permalien

    tu as une curieuse façon de raisonner.
    Tu veux que nous nous rangions derruere Hamon au nom de l’unité en fermant les yeux sur le lourd passif des gouvernements Hollande Ayrault Valls les parrainages donnés par des membres du PS a Macron et la division actuelle qui traverse tout le PS….

    excuse nous d’avoir un peu de réflexion et d’utiliser notre libre arbitre comme nous l’entendons

    L’unité n’a pas de sens dans la pagaille qui touche le PS
    et tu le sais tres bien…

  47. Meluche
    Posted 14 mars 2017 at 21:52 | Permalien

    justement M Filoche, comment pouvez vous dès lors rester au PS ? rejoignez Mélenchon !

  48. stephanie
    Posted 14 mars 2017 at 22:39 | Permalien

    Je ne vois pas dans la liste le député PS de Montpellier sud-Lunel Patrick Vignal :
    http://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/lunel/patrick-vignal-depute-ps-lunel-soutient-parraine-emmanuel-macron-1214551.html

  49. Posted 14 mars 2017 at 22:54 | Permalien

    t’es trop drôle
    t’en inventes tous les jours,
    la non unite n’a aucun sens, c’est le desastre
    mieux vaut tenter une chance que de toute perdre

  50. Posted 14 mars 2017 at 22:55 | Permalien

    tiens truc muche et si tu rejoignais la gauche socialiste, melenchon a eu tort de nous quitter,
    regardez il va dans le mur, avec il et nous on aurait gagné,
    qu’est ce que t’en penses ?

  51. Posted 14 mars 2017 at 22:55 | Permalien

    il ne manque en effet, depuis on me les signale un à un
    on attend valls

  52. valentin
    Posted 14 mars 2017 at 23:03 | Permalien

    J’ajoute qu’en discutant les gens sont à l’écoute et le vote Mélenchon leur parait jouable et surtout qu’il correspond à ce qu’il désire. Un vote d’adhésion et non de tactique politicienne. Ils sont de plus en plus prêts!

    Il y’a quelque chose dans l’air. Les gens hésitent et c’est bon. Les pourcentages que l’on évoque à tour de bras ici et là ne réfletent pas la réalité. On peut y arriver sur la base de ce programme car il est structuré, cohérent. Clair et bon tout simplement. La personnalité de Mélenchon interpelle certains mais il passe outre lorsqu’on présente les idées. Ceci est d’autant plus facile que le contenu du programme est on ne peut plus logique, facile à comprendre,solidaire …

  53. Posted 14 mars 2017 at 23:06 | Permalien

    c’est une pub ? elles sont autorisées ici..; dans certaines limites !

  54. stephanie
    Posted 14 mars 2017 at 23:07 | Permalien

    Je demande une petite précision sur cette histoire de soutien à Macron. Je n’ai jamais vu une déclaration où Cambadélis menace les soutiens à Macron (ou alors je l’ai raté ?). Je l’ai toujours entendu se limiter aux parrainages extérieurs au PS. Ainsi Collomb soutient Macron mais ne l’a pas parrainé. Ainsi pour la direction du PS, un soutien politique ne vaudrait pas exclusion au contraire d’un parrainage. Or le parrainage n’est qu’un acte démocratique afin de permettre l’expression de voix diverses ou minoritaires. Si je comprends bien, parrainer Poutou était menacé d’exclusion mais participer à la campagne et appeler à voter Macron serait accepté ??
    mais peut-être j’ai raté quelque chose ?

  55. Posted 14 mars 2017 at 23:07 | Permalien

    Image Etienne Baldit
    Etienne Baldit
    etienne.baldit@europe1.fr

    « Moi je ne me sens pas trahi mais sans doute les électeurs de la primaire se sentent-ils trahis. » La contre-attaque de Benoît Hamon se veut morale. Manuel Valls dit ne pas pouvoir le parrainer pour la présidentielle, en raison d’un écart politique trop important entre eux ? Le candidat investi par le Parti socialiste, au terme d’une primaire dont tous les participants s’étaient engagés à soutenir le vainqueur, fait donc la leçon à l’ancien Premier ministre.

    « Je ne peux pas apporter mon parrainage à Benoît Hamon. (…) Je ne pourrais pas assumer autant de contradictions », annonçait ce dernier dans Paris Match mardi 14 mars, sans toutefois amorcer de rapprochement avec Emmanuel Macron. Sur le plateau du JT de TF1 le soir-même, Benoît Hamon dit les choses calmement mais le fond de son propos est saignant. En résumé : Manuel Valls n’est pas un vrai démocrate, il ne tient pas sa parole et, ce faisant, il fait le jeu du Front national. L’ancien ministre de l’Éducation nationale flingue :

    En démocratie, le respect de la parole donnée, c’est important. En démocratie, le respect de l’issue du scrutin, c’est important. Sinon, comment lutter efficacement contre toutes celles et ceux qui mettent en cause la démocratie ? Comment lutter efficacement contre le Front national quand justement, soi-même, on ne respecte pas le verdict des urnes ?

    Il ajoute un petit exemple pour rendre cette sortie encore un peu plus désagréable pour l’ex-chef du gouvernement. Il rappelle qu’Alain Juppé, lui, a soutenu et parrainé François Fillon après la primaire de la droite (et même après le grand déballage des affaires), et ce malgré leur opposition politique :

    Voyez-vous, c’est ce qui s’est passé à droite, et ça me coûte de faire cette comparaison-là : Alain Juppé n’a pas hésité à parrainer la candidature de François Fillon en dépit du gouffre qui les sépare. Moi j’avais fait le choix d’essayer de rassembler ma famille politique. J’observe aujourd’hui que je suis dans une situation particulière puisque celui que j’ai battu devant les électeurs, selon des modes de délibération parfaitement transparents, décide de ne pas parrainer ma candidature. Eh bien moi je considère que parce qu’il y a un péril Front national, il faut attacher de l’importance à ces symboles, notamment démocratiques.
    Pour mémoire, le maire de Bordeaux avait tweeté ceci pour annoncer que son parrainage irait bien à l’ancien « collaborateur » de Nicolas Sarkozy (en dépit de tout le mal qu’il pense de sa campagne et de son attitude) : « Même simple passager, je ne quitte pas le navire dans la tempête. » Pour mémoire encore, et comme les autres candidats à la primaire, Manuel valls s’était engagé (du bout des lèvres) à soutenir le vainqueur s’il n’était pas celui-là. À noter que François de Rugy s’est lui aussi affranchi de cette règle en ralliant Emmanuel Macron.

    « Oui nous nous étions parlés après le résultat » de la primaire, dit encore le député des Yvelines sur TF1 comme pour appuyer sur le thème de la trahison vallsiste, se disant « surpris » par cette décision de ne pas le parrainer. « Mais en même temps, ça fait maintenant trois semaines que des dirigeants politiques perlent la campagne de prises de position de la sorte », ajoute-t-il à destination des soutiens de l’ex-ministre de l’Intérieur qui lui tirent dans les pattes plus ou moins ouvertement.

    Lui maintient sa posture de rassembleur, insistant sur le fait que « dans ce futur désirable » qu’il promeut, « il y a toutes les composantes de la gauche : ceux qui se sentent modérés, sociaux-démocrates, comme ceux qui se sentent plus en colère dans la gauche radicale ». « J’appelle les électeurs à submerger ces petits calculs, à submerger ceux qui pensent au coup d’après », lance-t-il, martelant que « oui, les électeurs de gauche veulent tourner la page ».

    Et Benoît Hamon de lancer une dernière fois :

    Quand mon pays traverse une crise telle qu’on peut envisager que Marine Le Pen soit la future présidente de la République, le symbole qui est celui de la démocratie, du respect de la parole donnée, d’accepter le verdict de la démocratie, ces symboles-là sont importants.
    Il semblerait toutefois que le message n’ait pas eu d’effet sur son destinataire. Au même moment devant ses soutiens réunis à l’Assemblée nationale (et selon plusieurs journalistes qui ont relayé les mêmes échos), Manuel Valls répétait en effet que la campagne de Benoît Hamon est « une dérive » qui « amène une forme de sectarisme et de rejet ». Devant environ 300 personnes, dont une centaine de parlementaires, il a ajouté :

    Je ne parrainerai personne et je n’ai aucune leçon de responsabilité ou de loyauté à recevoir.
    Autant dire que ça ne devrait pas aller en s’arrangeant…

  56. stephanie
    Posted 14 mars 2017 at 23:18 | Permalien

    Mon exemple tombe à l’eau. Collomb vient de parrainer Macron, aujourd’hui.
    Mais le raisonnement reste.

  57. Posted 14 mars 2017 at 23:19 | Permalien

    tu l’as rate on l’a la déclaration de cambadelis elle est dans tous les reseaux sociaux et sur mon face book

  58. Posted 15 mars 2017 at 5:06 | Permalien

    sur la 5
    La melenchon il fait très mal, très très mal… car il explique qu’il n’y a pas de programme commun possible avec hamon alors qu’il avait dit que les positions étaient « voisines ». alors qu’il avait écrit qu’il fallait « fédérer les partis de la gauche traditionnelle » On peut discuter meme apres le 17 mars. La retraite à 60 ans ne laisse pas tomber, pourquoi, tu arracherais pas ça dans l’accord ? sur l’Europe, ce que tu dis sur Hamon est faux, et l’union est possible. Le ps a moitié des voix oui, mais t’as pas gagne une seule de ces voix pourquoi ? tu patines à 11 % pourquoi ? tu donnes raison a ceux qui crachent sur le PS alors que sans accord avec la gauche socialiste impossible que tu gagnes. Tu réponds a cote sur la gauche. Enfin Macron est un candidat de droite même Cambadelis le dis, c’est pour lui « un candidat UDF » pourquoi embrouilles tu la question en disant que c’est un deuxième candidat socialiste ? tu ferais mieux de chercher à lever les obstacles a l’unité, et nous, les questions de programme nous intéressent enormement, c’est parce qu’il n’y a pas de divergences substantielles qu’on croit l’unité possible avec la méthode, « on retient ce qui unit, on ecarte ce qui divise »…(chez anne sophie lapix avec patrick cohen, apres un montage, c’est vrai disons scandaleux) )

  59. 100% A GAUCHE
    Posted 15 mars 2017 at 8:27 | Permalien

    Sans la constitution d’un nouveau front populaire, la gauche cours à la catastrophe, c’est certain ! Dans ce tourbillon politico-médiatique, je ne comprends pas les positions de Robert Hue ou Patrick Braouzec…

  60. CRAYENCOUR
    Posted 15 mars 2017 at 9:12 | Permalien

    Décidément, l’injure « sectaire » a le vent en poupe au PS; après toi qui l’utilise à tout bout de champs contre tes contradicteurs, c’est Valls qui l’utilise contre ce gauchiste de Hamon! un nouvel « élément de langage »?
    En ce qui concerne ta liste, tu vas pouvoir l’allonger car les défections se multiplient; les libéraux du PS n’ont ni le tact, ni la loyauté des ex-frondeurs; ils partent et même attaquent. Ils sont aussi plus lucides et savent bien qu’ils n’ont rien à attendre de la gauche du parti. Il est dommage que Hamon continue de subir et n’aie pas eu le courage de faire lui même ce choix de clarification. Il pourrait encore le faire. Valls lui, attend encore. Il n’ira sans doute pas plus loin avant la date limite de dépôt des candidatures.
    Je suis d’accord avec le fait que Mélenchon, persuadé que l’étiquette PS était un handicap ne voulait pas d’une union sur un pied d’égalité avec ton parti; car bien que sectaire, je suis capable de reconnaître les tords de celui pour qui je voterai certainement. Toi, enfermé dans tes certitudes, mais pas sectaire du tout, tu ne reconnaît aucun tord à Hamon, qui, lui non plus ne voulait pas de cette union, préoccupé avant tout qu’il est par le maintien de l’unité de son parti. Il a donc été incapable de le dépasser et a pensé pouvoir faire comme toujours au PS; se rattacher les petits contre quelques sièges et siphonner les électeurs de la gauche du parti. Aujourd’hui, du fait de son manque de courage ou d’envergure, il se retrouve coincé et inaudible. Il ne fait plus que subir les agissement de votre ailes droite; va-t-il réagir?
    Les combats de personnes ne m’intéressent pas; Mélenchon président ou 1er ministre, je m’en moque; l’important aurait été une entente entre les deux. Mais en l’état, ce qui m’intéresse n’est pas de savoir si le PS va survivre, mais que faire pour que la gauche se reconstitue le plus vite possible; et, pour cela, je pense que le PS doit renoncer à garder en son sein une aile droite dont les idées n’ont rien de socialiste. C’est ça qui permettra de nouveau aux deux grandes tendances de la gauche de se retrouver par la suite.
    Le problème de ton courageux et utile combat de l’intérieur, c’est que tes pré-requis sont faux; tu penses à l’effet d’entraînement majoritaire et à l’additionnement des voix, ainsi qu’à la loyauté envers le parti. Mais tes adversaires au PS n’ont pas la même loyauté que toi; comme dans la FEN d’autrefois; lorsque les communistes y sont devenus majoritaires, les socialistes ont fait scission. C’est toujours ainsi; on se sert des voix de ceux que l’on considère comme des doux dingues ou des extrémistes, mais on les abandonne lorsqu’ils deviennent trop puissants.

  61. Charles
    Posted 15 mars 2017 at 9:27 | Permalien

    @Filoche, #58…
    Ben, je peux répondre à au moins deux de tes interrogations:
    « pourquoi embrouilles tu la question en disant que c’est (Macron) un deuxième candidat socialiste ?… Euh, je te renvoie au cœur de ton billet ci-dessus; quand un parti délègue 300 de ses élus qui soutiennent un candidat hors parti, (et que l’un des chefs de file du parti-postulant éconduit de la primaire, qui pourtant s’était engagé à soutenir et faire campagne pour lui- refuse de parrainer le candidat « officiel »; on peut quand même en tirer la conclusion que celui qui est soutenu aussi fortement par le parti est bien un candidat bis…
    - « tu patines à 11 % pourquoi ?  » Tout simplement parce que les « faiseurs d’opinion » veulent nous imposer un second tour Macron/Le Pen. Je note au passage que le candidat officiel PS, stagne à quoi? 15 ou 16%? (avec 3% de marge, donc à touche touche avec JLM)Je ne pense pas que le PS ait jamais été si bas dans les sondages à ce stade de l’élection depuis 74… Pourquoi?
    ^^
    Blague mise à part, à part un énorme rebondissement de l’actualité, on va droit dans le mur et les faiseurs d’opinion risquent de l’emporter, avec un désastre social à a clef. Les électeurs trancheront, mais pour ma part, pas de confiance possible dans ce PS aux mains des gens de droite qui ont fait notre misère et qui déjà trahissent leur candidat, comme pour Ségo en 2007 (bien que ce soit pour des raisons différentes) et avec le même résultat attendu: le PS préfère avoir un droiteux ultra libéral au pouvoir qu’un homme de gauche, reste à savoir si les électeurs feront la même erreur qu’en 2007 et finir par avoir un « pire que Sarko » président.. :-(

  62. Emiliano Puerto
    Posted 15 mars 2017 at 9:55 | Permalien

    Hamon est coincé. Plus il reste fidèle à ses convictions et à son discours/programme de la primaire, plus le PS lui tournera le dos. Et il continuera à baisser dans les sondages.

    Et plus il édulcorera son discours/programme pour courir après les sociaux-traîtres-libéraux de son parti, plus il apparaîtra comme un Hollande-bis. Et il continuera à baisser dans les sondages.

    Maintenant, soit son but est de prendre enfin le PS pour tourner la page du virage libéral et dans ce cas la présidentielle lui sert uniquement à faire le ménage dans le parti pour le rebâtir sur des bases vraiment socialistes. Alors la présidentielle est perdue pour lui (et probablement aussi pour Mélenchon) mais il pourra jouer le coup d’après mais les électeurs de gauche ne pardonneront peut-être jamais.

    Soit sont but est de prendre la présidence de la France pour appliquer un programme de gauche radicale, écologiste et socialiste assis sur une nouvelle constitution et il faut qu’il rejoigne Mélenchon. Alors la présidentielle est probablement gagnée et nous aurons enfin une révolution citoyenne qui fait le ménage dans tout le pays.

  63. Posted 15 mars 2017 at 10:08 | Permalien

    « hamon est coincé, le ps est mort, les sondages mentent, melenchon est un genie »
    j’ai retire plusieurs pages d’agressions
    j’adore tous ces gens qui déploient ici une énergie inouïe pour faire battre la gauche, ils profitent d’un forum ouvert, que je censure quand même quand ils en font trop, trop long, trop bête, trop insupportable, trop répétitif, trop absurde, ils s’en plaignent mais ils viennent insulter ici parce que c’est pas chez Mélenchon qu’ils débattraient, il y en même qui déposent des insanités et qui ajoutent « vas y censure moi mais je sais que tu m’as lu« , gémissant comme des malades quoi !
    les trolls, les spams et internet produisent vraiment d’étranges choses
    je le dis a mes amis, n’allez pas chez les « murs » ou « forums » des autres, nous avons assez de « tapés » ici, quasiment tout l’échantillon imaginable se déplace vers nous sans qu’on ait besoin d’aller les chercher
    vu le degré de hargne, sinon de haine, (qu’ils se rassurent j’en ai autant à leur service, je ne suis pas impressionnable, je suis un militant combattant),
    ils sont pas tous FI mais surement FN et LR, l’anonymat permet tellement de choses…
    ils essaient par tous moyens de casser Hamon, et toute chance de victoire de la gauche… pourquoi ? pour valoriser un candidat qui perd si Hamon perd !
    ils sont ridicules et
    ils perdent leur temps,
    il n’y a qu’une façon pour la gauche de gagner, c’est de conforter son candidat central, celui de la gauche socialiste, de faire l’unité de ses candidats principaux (avec Mélenchon)
    sinon ce sera le désastre pour tous bien sur mais ça les sectaires (mot approprie) s’en moquent, ils n’ont pas souci des salariés, ni du fond politique d’ailleurs ni des grands enjeux historiques, ça ils s’en foutent, il n’y a que la beauté de leurs haines qui les fait jouir
    de tout ce qui est dit ce sont les seules choses que D&S défend pour l’unité qui sont solides, constantes, évidentes
    et le reste est bien peu de chose,

  64. Macarel
    Posted 15 mars 2017 at 11:03 | Permalien

    Avec les croyants, l’on ne peut dialoguer. les « échanges » (plutôt les invectives) sur ce blog en sont l’illustration.
    Ils tournent en boucle à réciter leur chapelet.
    Donc la gauche sera éliminée le 23 avril au soir par la faute d’une secte, qui plus est minoritaire dans la maison mère P »S ».
    Je vous laisse continuer entre vous, puisque vous ne semblez pas supporter des avis contraires…

  65. Emiliano Puerto
    Posted 15 mars 2017 at 13:29 | Permalien

    @GF #63 : Franchement tu te trompes. Ou tu es de mauvaise fois. Ou carrément malhonnête.

    « j’ai retire plusieurs pages d’agressions » : aucune agression de ma part, juste un raisonnement et un désaccord stratégique.

    « vu le degré de hargne, sinon de haine » : il me semble que n’importe qui peut voir qu’il n’y a aucune hargne ou haine dans mon message. J’ai de la hargne et de la haine contre le PS comme des millions de gens (et il y a de quoi) mais pas contre Hamon ni contre toi ou tes amis.

    « ils sont pas tous FI mais surement FN et LR, l’anonymat permet tellement de choses… » : moi je ne suis pas vraiment un militant FI mais je pense que Mélenchon est le meilleur choix politique et stratégique même si je conviens que c’est compliqué. Et oui, je pense que Hamon est plutôt un obstacle à la victoire de la gauche.

    Au passage, concernant la légitimité de Hamon désigné par des millions de votants, combien parmis eux de sympathisant de Soral et Dieudonné qui sont venus éliminer Valls? Et combien de personnes qui ont voté plusieurs fois? Dur à dire… Quoi qu’il en soit, Hollande a dégagé, Valls aussi, Sarkozy de même et c’est très bien.

    « ils essaient par tous moyens de casser Hamon, et toute chance de victoire de la gauche… pourquoi ? pour valoriser un candidat qui perd si Hamon perd ! » : Le problème, c’est que tu parles toujours de la victoire « La Gauche » mais que tu refuses systématiquement d’imaginer que Mélenchon puisse être élu. Donc désolé mais tu apparais sectaire et tu ne peux pas reprocher aux autre d’être sectaires. Au fait, qu’en sera-t-il si Hamon continue à baisser dans les sondages (tu diras que c’est de ma faute je suppose…), et pourquoi un coéfficient de 0,8 est appliqué à Mélenchon?

    « d’ailleurs ni des grands enjeux historiques, ça ils s’en foutent »: l’enjeu historique, c’est de rompre clairement avec l’UMPS pour couper l’herbe sous les pieds du FN, de se confronter franchement avec l’Europe libérale, d’assumer une profonde refonte institutionnelle mise en œuvre démocratiquement, d’enclencher une vraie transition écologique etc. IL FAUT ÊTRE FRANC ET CLAIR, avec un programme sérieux et ne pas changer d’avis toutes les cinq minutes.

    Si Hamon perd du terrain, ce n’est pas à cause des petites commentaires que je viens déposer ici, c’est à cause de la traîtrise des barons PS, c’est à cause de ses hésitations sur son programme qui en fait n’existe pas et c’est à cause du boulet qu’il traîne du fait de son étiquette PS avec son refus de condamner le quinquennat Hollande.

    Cher Gérard Filoche, on n’est pas d’accords, on peut s’engueuler, je te remercie d’héberger chez toi ce forum où l’expression est libre.

    C’est mal barré mais franchement dire que c’est la faute de Mélenchon et de la France insoumise ce n’est pas trop correct. Si le PS est dans cet état, si son image est aussi mauvaise dans le pays, on n’y est pour rien. Je ne comprends pas trop pourquoi tu y restes accroché ainsi mais bon, c’est ton droit…

  66. 100% A GAUCHE
    Posted 15 mars 2017 at 14:12 | Permalien

    Je suis bien de ton avis ! Il n’y a qu’une seule solution autour du bloc central socialiste… Il faut fédérer à la manière d’un front populaire des gauches sociales et écologistes, c’est urgent ! Les objurgations de certains commentateurs fractionnels relèvent d’un défaitisme qui n’a rien de révolutionnaire ! J’ai lu plusieurs de tes livres, camarade, et je ne peux que confirmer la pertinence de tes points de vue, très argumentés. Historiquement, les chapelles frileuses n’ont rien donné (et il est triste par exemple de constater que les héritiers directs de Léon Trotsky n’ont pas réussi à refermer les blessures des divergences stratégiques)… Lorsque la gauche explose, les oligarchies libérales plastronnent! Dans ma petite ville de la Pointe ardennaise, fief de gauche (PS et PCF) depuis des décennies, beaucoup de gens espèrent encore une union Hamon/Mélenchon…

  67. Michel - Pierre
    Posted 15 mars 2017 at 16:08 | Permalien

    @ [64]
    On ne peut, à moins de 40 jours du 1er tour de la présidentielle et dans le climat qui règne actuellement, envisager autre chose qu’une défaite des plus cinglantes pour la gauche, suivie d’une aggravation, pendant au moins cinq années, du très haut niveau actuel de l’injustice sociale.
    La faute à qui ?
    D’abord, bien sûr, au président élu en 2012 qui s’est empressé de tourner le dos avec l’aide de Valls, minoritaire de l’aile droite du PS (5,6 % à la primaire de 2011), aux engagements pris dans son discours du Bourget.
    Et ensuite à qui d’autre ?
    Eh bien à Hamon et Mélenchon ainsi qu’à tous ceux qui, dans dans leur entourage, s’appliquent à empêcher la préparation sérieuse d’une alternative de VRAIE GAUCHE au « hollandisme » et condamnent donc leurs deux « champions »à des rôles de figurants.

    L’échec de cette alternative désirée par des millions de citoyens se prépare ainsi jour après jour de part et d’autre aux cris de « vous n’avez qu’à vous rallier » … alors que la gauche unie arriverait en tête au premier tour !

    Une telle situation se développe immanquablement à la surprise émerveillée des trois incontestables artisans et bénéficiaires de la casse éhontée d’un univers social qui leur est étranger et qu’ils ne savent, en fait, que mépriser.

    Bref, si ce gâchis se poursuit la catastrophe ne manquera pas de se produire, tous les responsables en seront d’autant plus facilement identifiés qu’ils sont déjà dans la lumière des projecteurs et on sait qu’elle sera DURABLE .

    Inutile donc de continuer à débattre là-dessus, ce qui compte en ce moment c’est la communication rapide, efficace et mobilisatrice de toutes les initiatives visant à réaliser ENFIN l’ UNITÉ SALUTAIRE !

  68. Posted 15 mars 2017 at 17:51 | Permalien

    Gouverner avec les socialistes? «Ça va de soi» pour Jean-Luc Mélenchon
    Par Madeleine Meteyer Mis à jour le 15/03/2017 à 13:41 Publié le 15/03/2017 à 13:10
    Gouverner avec les socialistes? «Ça va de soi» pour Jean-Luc Mélenchon

    Sur Europe 1, le meneur de la France insoumise s’est dit prêt à «travailler» avec certains élus socialistes s’il accède au second tour. Quitte à aménager son programme pour l’occasion.
    Le 29 janvier, le jour-même de la victoire de Benoit Hamon à la primaire de la gauche, Jean-Luc Mélenchon radoucissait considérablement son discours vis-à-vis du Parti socialiste et notait chez Benoît Hamon «des paroles si proches des nôtres».
    Deux mois et un accord avorté avec Benoît Hamon plus tard, Jean-Luc Mélenchon réaffirme mercredi, au micro d’Europe 1, sa volonté de s’allier aux socialistes à l’entre-deux tours (s’il y parvient) pour travailler avec eux ensuite (s’il est élu). «Une fois que je serai parvenu au deuxième tour, il va de soi que les forces politiques qui veulent participer à la mise en place de ce programme – que l’on pourra modifier à ce moment-là ici ou là -, seront les bienvenues. Je pense en particulier à toute une série d’élus socialistes (…) Et les élus communistes, heureusement… J’espère qu’il y en aura beaucoup!»
    Lorsqu’il évoque les socialistes, Jean-Luc Mélenchon a des critères précis qui écartent certaines personnalités de l’exécutif, comme Myriam El-Khomri, dont le seul nom cristallise toute la tension autour de la loi Travail, et Manuel Valls, l’ex premier ministre honni par les électeurs du Front de gauche. Logique puisque figure, dans le programme de Jean-Luc Mélenchon, la volonté d’abolir la loi El-Khomri, le CICE et l’état d’urgence.
    Des concessions sur le programme de la France insoumise?

    En février, dans un entretien à La Provence, Jean-Luc Mélenchon répondait au sujet d’un éventuel accord entre lui et Benoît Hamon: «Personne ne peut croire qu’il est possible de gouverner un pays avec une majorité composite de gens qui s’attendent les uns les autres au coin du bois.» Il concédait toutefois: «Si j’arrive jusqu’au deuxième tour, je proposerai aux socialistes et aux écologistes sincères, désireux de rompre avec le passé, de gouverner avec nous.» Et disait déjà: «On ne se paiera pas ma tête en me faisant des bisous partout pour ensuite essayer de me faire avaler des Carvounas, des Valls, des El Khomri, des Marisol Touraine et tous ces gens.» En somme, tous ceux que Jean-Luc Mélenchon nomme «l’ancien monde».
    Cette union se ferait-elle au détriment de points de son programme? Jean-Luc Mélenchon ne le conteste pas. Il décrète, ce mercredi, sur Europe 1, qu’en cas de coalition autour de lui pendant l’entre-deux tours, il pourrait infléchir ses propositions: «Ce programme pourrait être amodié, ici ou là.» Il ne partage, par exemple, pas les vues de Benoît Hamon sur l’âge de la retraite ou le statut de la banque centrale. En février, il se montrait plus inflexible, arguant qu’il n’échangerait pas «des bouts de programmes contre des sièges aux législatives.»

  69. Posted 15 mars 2017 at 17:53 | Permalien

    inouï non ?
    pourquoi au second tour ou il ne sera pas ?

  70. ErikleRouge
    Posted 15 mars 2017 at 18:39 | Permalien

    Maintenant que se démontre dans les faits ce qu’on savait depuis le début, que l’aile réformiste du PS soutiendrait Macron – Si BH avait une envergure historique qu’il n’a pas, il ferait l’analyse que son parti est désormais irrémédiablement fractionné et qu’il ne peut donc plus se présenter en rassembleur –
    Si sa préoccupation première était vraiment d’essayer de faire gagner la gauche, alors il se rallierait à Mélenchon, acte politique symbolique d’une portée historique, pour le faire monter le plus haut possible dans les sondages et ainsi créer les conditions d’un gouvernement vert, rose, rouge …

    on peut rêver !

  71. red2
    Posted 15 mars 2017 at 18:52 | Permalien

    Elles gênent les questions sur le PS et ses candidats de la droite du parti aux législatives, pas vrai ? Alors on ne réponds pas et quand on insiste on censure… Mais expliquez nous, comment vous allez faire une politique de gauche avec les mêmes députés qu’aujourd’hui ? On ne demande qu’a être convaincu. Pour l’instant, j’avoue ne pas comprendre votre logique…

  72. Gilbert Duroux
    Posted 15 mars 2017 at 19:00 | Permalien

    GF : « inouï non ?
    pourquoi au second tour ou il ne sera pas ? »

    Hamon ne le sera pas davantage. Aussi ce n’est pas la peine d’être aussi arrogant. On peut même pronostiquer, si la « crème » du PS continue de rallier Macron, que Mélenchon va passer devant Hamon.

  73. Posted 15 mars 2017 at 20:10 | Permalien

    l’aile réformiste du PS soutiendrait Macron »
    que de betises en quelques mots !
    le réformisme c’est la révolution cela ne s’oppose pas
    ces gens là ne sont pas réformistes,
    et Macron est de droite

  74. Posted 15 mars 2017 at 20:12 | Permalien

    la gauche doit rassembler pour gagner
    elle doit rassembler toutes les variantes du salariat notre classe
    ces gens qui quittent le PS vont a droite et rompent avec la gauche, avec leur histoire, leurs racines initiales, pour aller rejoindre un prédicateur de droite
    c’est un échec, cela veut dire que nous n’avons pas fait l’unité à temps, pas polarise a temps, c’est un échec pour hamon et melenchon, pour les deux coupables de n’avoir pas fait l’unité

  75. Posted 15 mars 2017 at 20:15 | Permalien

    pendant un mois et demi on avait contenu les droitiers du PS ! pourquoi ? parce qu’ils pensaient qu’on arriverait à polariser et peut etre, en s’alliant, a gagner
    c’était aussi notre volonté depuis le début
    l’aile droite, Valls, et cie ne le croient plus, ils ne redoutent plus l’alliance gagnante Hamon Mélenchon,
    ils pensent même que malgré qu’on ait gagné,
    malgré leur défaite du 29 janvier, elle leur avait fait peur, ils n’ont plus peur, il estiment dorénavant, que la gauche ne va pas l’emporter
    d’ou leur valse hesitation, d’abord masquée puis avouée, entre Hamon et Macron
    d’ou leur parjure tâtonnant mais sans scrupule
    donc ils se laissent plutôt aller vers la droite qui les attirait jusque là et ils espèrent y trouver un havre que nous n’avons pas su leur donner, ni imposer
    leur départ est un échec pour nous pour toute la gauche celle de hamon et melenchon

    vous qui etes des petits esprits
    - vous nous dénonciez quand ils étaient là nous accusant de leur céder
    - et maintenant vous dénoncez le fait qu’ils nous quittent nous accusant de ne pas les retenir
    vous etes toujours a contre temps, toujours aussi faibles politiquement, parce que votre esprit n’est pas oriente pour gagner
    votre esprit ets oriente pour diviser et perdre,
    par vengeance contre la gauche socialiste
    contre le PS, pas par empathie envers le salariat et la gauche
    voila pourquoi vous nous fatiguez, vous n’apportez rien, aucune orientation a part critiquer la notre,
    aucune issue car la victoire n’est pas votre but, c’est ça le sectarisme borné
    en fait votre horizon est si petit que le point commun de toutes vos interventions ici, devrait vous sauter aux yeux,
    vous venez ici en meute,
    uniquement pour tenter de démolir toute tentative de victoire d’une gauche socialiste,
    et pourquoi ?
    parce que vote gourou ne peut accepter qu’après lui il y ait une gauche socialiste active, qui continue, qui gagne et fasse mieux que lui,
    alors votre gourou,
    il n’ a aucune logique, un petit pois dans la tête, sa seule volonté est d’être plus fort que la gauche socialiste,
    de prouver qu’elle est perdue et perdante après lui, hors lui
    il refuse de marier les forces d’un combat dedans et dehors,
    il refuse d’unifier des combats venus de différents de lieu mais complémentaires politiquement
    il tient donc des discours totalement incohérents,
    refusant l’alliance un jour quand elle est possible et nécessaire,
    la promettant demain quand elle sera devenue impossible
    vous, suivistes, etes tous là en plein délire,
    vous crachez avec haine contre le PS qui a trois fois plus de voix que lui (5 dec 2015, 6 millions, 66 % des voix de gauche exprimées)
    … vous n’avez pas de mots assez grossiers pour qualifier le PS « corbillard », « cadavre » etc…
    et votre gourou pourtant continuait d’envisager « vouloir fédérer les partis traditionnels de la gauche »
    mais il a pas assez audace pour le faire, et il s’abrite derrière les monstres qu’il a enfanté, (vous) et affirme « ils ne me suivraient pas »
    alors que c’es sa faute, il a menti sur la nature du PS
    et il ment sur le front unique nécessaire
    il n’a pas de théorie, il ne sait pas ce qu’est une organisation traditionnelle (parti ouvrier bourgeois) et il ne sait pas ce que c’est une politique de front unique,

    melenchon c’est la gars qui ne sait pas : il ne sait pas s’il faut dénoncer les corbillards, ou fédérer les partis traditionnels de la gauche,
    un jour il dit ou laisse dire ou encourage à dire que le ps est de droite et un autre jour melenchon envisage de gouverner avec !!!!
    jamais clair cet homme, et cela, au niveau qu’h »éas il a atteint, fait des ravages
    le voila qui veut gouverner avec les socialistes s’il l’emporte au 2° tour :
    on croit rêver, les socialistes sont un astre mort, sont en perdition, des chiens qui couinent et qui se couchent et il veut gouverner avec eux s’il gagne ?
    évidemment il n’a a aucune majorité, et il n’aura aucun élu,
    tout cela est pitoyable, lamentable parce que les incohérences théoriques de ce monsieur sont telles ( front unique et nature de classe du PS) qu’il en assomme toute la gauche et va provoquer le desastre du 23 mars

  76. Emiliano Puerto
    Posted 15 mars 2017 at 20:32 | Permalien

    @Michel Pierre #67 « La faute à qui ?
    [...]
    Eh bien à Hamon et Mélenchon ainsi qu’à tous ceux qui, dans dans leur entourage, s’appliquent à empêcher la préparation sérieuse d’une alternative de VRAIE GAUCHE [...] »

    Pour rappel, Mélenchon oeuvre sans discontinuité, sincèrement et concrètement à la construction d’une alternative. Durant le quinquénnat, il a par exemple défendu jusqu’au bout la possibilité de construire une opposition de gauche composée des députés de la gauche du PS (frondeurs), des députés EELV, PCF… La droite du PS n’était pas majoritaire, c’est pour ça qu’ils ont du utiliser 6 fois le 49 3. Ensuite, contre la loi travail, Mélenchon a défendu la motion de censure pour faire tomber le gouvernement et appeler à de nouvelles élections.

    Ensuite il a œuvré à construire un mouvement populaire pour prendre le pouvoir en dehors des partis, il a oeuvré à l’élaboration d’un programme complet, cohérent et chiffré.

    Donc on ne peut pas dire que Mélenchon « s’applique à empêcher la préparation sérieuse d’une alternative de la vraie gauche »…

  77. Posted 15 mars 2017 at 20:44 | Permalien

    Etudies mon garçon
    étudies…

  78. Posted 15 mars 2017 at 20:49 | Permalien

    mais comment pouvez vous croire cela une seconde ?

  79. Posted 15 mars 2017 at 21:01 | Permalien

    Cher.e.s ami.e.s,

    Les votes pour Marine Le Pen s’annoncent considérables, et sans doute plus nombreux que les sondages ne le prévoient.
    > Il y a donc urgence à viser juste contre le FN. Viser juste suppose de comprendre pourquoi tant de personnes différentes s’en vont voter Le Pen.
    > C’est ainsi seulement, en s’en prenant aux causes de ces votes, que nous ferons reculer le Front national.
    > Dans les semaines qui viennent, vous recevrez un certain nombre d’analyses de fond qui permettent d’enfin viser juste.

    > Trois premières contributions :
    > – une vidéo et un article de Gérard Mauger, directeur de recherches au CNRS,

    > – et une présentation de l’enquête collective « Les classes populaires et le FN », si utile pour comprendre pourquoi les votes FN prolifèrent.

    Bien amicalement, La Fondation Copernic

    1. L’entretien vidéo de Gérard Mauger

    Cliquez sur la vidéo pour la lancer :

    Pièce jointe

    Pour retrouver cette vidéo sur notre site : http://www.fondation-copernic.org

    2. L’article de Gérard Mauger

    Moins d’un ouvrier sur sept a voté FN en 2015
    Source : L’humanité, 6 février 2017
    Les enquêtes disponibles remettent en cause le stéréotype de l’électeur FN en « beauf machiste et homophobe, raciste et xénophobe ».

    Au lendemain du premier tour de l’élection présidentielle de 1995, Libération publiait un scoop au vu d’un sondage postélectoral : le FN serait devenu le « nouveau parti de la classe ouvrière »… Qu’en est-il aujourd’hui ? Lors des élections régionales de 2015, si plus de la moitié de l’électorat FN se recrute dans les classes populaires (ouvriers, employés et retraités ex-ouvriers ou employés), c’est en fait moins d’un ouvrier sur sept qui a voté pour le FN dès lors que l’on tient compte des abstentionnistes et des non-inscrits. C’est dire que, s’il y a aujourd’hui un « nouveau parti des classes populaires », c’est – et de très loin – celui de l’abstention.

    Le constat ne dispense pas pour autant de s’interroger sur cette fraction des classes populaires qui vote FN. La question est au fond celle que pose Thomas Frank à propos des classes populaires nord-américaines : pourquoi les pauvres votent-ils à droite (1) ? Seules des enquêtes de terrain peuvent permettre d’y répondre. Contre l’idée reçue qui voudrait que le vote exprime le choix d’un programme, il faut rappeler, en effet, la très inégale distribution sociale des compétences politiques et, au-delà, de l’intérêt pour la politique. Désintérêt qu’accentue la professionnalisation croissante de la vie politique et qui permet de comprendre, au moins pour partie, la très inégale participation électorale. De ce fait, on ne saurait déduire, par exemple, du vote FN d’un ouvrier ou d’une employée son adhésion au programme du FN (dont, le plus souvent, ils ignorent tout ou ne savent pas grand-chose). Si ces votes FN n’ont, bien sûr, pas rien à voir avec le FN, il faut néanmoins s’interroger sur la signification qui leur est attribuée. Que veut dire l’ouvrier ou l’employée qui vote FN ? Un ouvrier qui vote FN est-il un « ouvrier raciste » et que signifie « raciste » dans son cas ? L’est-il au même sens qu’un bourgeois traditionaliste, qui vote lui aussi FN ?

    > L’influence délétère de la crise des sociabilités populaires
    Les enquêtes disponibles remettent en cause le stéréotype de l’électeur FN en « beauf machiste et homophobe, raciste et xénophobe » qui doit sans doute plus à un « racisme de classe » qui s’ignore qu’à l’enquête de terrain. Mettant en évidence l’influence délétère de la crise des sociabilités populaires, elles interpellent également des interprétations banalisées comme celle du vote FN généralisé de « la France périphérique », ou celle du vote FN comme expression du ressentiment dû au déclassement. Elles montrent les effets de l’exacerbation des luttes de concurrence entre « Français » et « immigrés », du « procès » dont « la respectabilité » est l’enjeu, entre classes populaires « établies » et classes populaires « marginalisées », à propos de la délinquance, des incivilités de l’assistanat (« les cas soces »). Pour la fraction « établie », le vote FN permet de se démarquer – moralement – des fractions précarisées, paupérisées et souvent immigrées, et, pour la fraction « marginalisée », de se distinguer de « plus bas qu’elle ». Les enquêtes soulignent également les effets de la perte d’influence des « idées de gauche » et ceux de l’inculcation politico-médiatique des visions racistes ou encore ceux de l’héritage politique familial.

    On peut tirer au moins deux conclusions « politiques » de ces enquêtes. L’analyse des données statistiques disponibles met en évidence la très grande dispersion sociale et la volatilité de l’électorat FN. Tout oppose, en fait, sa composante populaire à celle issue des beaux quartiers, qui se retrouve dans la Manif pour tous, tout comme s’opposent, au sommet de l’appareil FN, Florian Philippot et Marion Maréchal-Le Pen. C’est dire, comme y insistent Daniel Gaxie et Patrick Lehingue (2), que « l’électorat FN n’existe pas » : il s’agit en fait d’un « conglomérat » miné par ses contradictions internes. Il faut donc prendre appui sur ces contradictions et travailler à hâter son implosion. Par ailleurs, les enquêtes sur le vote FN dans les classes populaires mettent en évidence les impasses du militantisme anti-FN, à commencer par sa vindicte contre « les prolos bornés et racistes » qui votent FN. La reconquête des classes populaires – qu’elles s’abstiennent ou votent FN – passe par la réhabilitation de leur ethos traditionnel, de leur « souci de respectabilité » (la « common decency », si l’on veut, fondée sur l’ardeur au travail, l’honnêteté, le respect de soi-même et des autres) des classes populaires – Français et immigrés confondus.

    (1) Pourquoi les pauvres votent à droite, Thomas Frank, Éditions Agone.
    (2) Les Classes populaires et le FN, livre coordonné par Gérard Mauger et Willy Pelletier, Éditions du Croquant, collection « Savoir/Agir », 18 euros pour le livre, 14 euros pour l’e-book.

    3. Pour mieux comprendre : le livre « Les classes populaires et le FN »
    Les votes FN ne forment pas un « électorat », mais « un conglomérat ».
    Dans ce « conglomérat » particulièrement volatile ne figure qu’un ouvrier sur sept, mais il inclut néanmoins une composante populaire qui n’est pas négligeable : plus de la moitié des votes FN se recrute chez les ouvriers et les employés (actifs ou retraités). Si ce vote FN d’une fraction des classes populaires – dont le premier parti est, et de loin, celui de l’abstention – ne surprend pas ceux qui les assimilent à la figure du « beauf » machiste et homophobe, raciste et xénophobe, il interpelle les autres. Les enquêtes ethnographiques rassemblées dans ce livre tentent d’élucider les raisons et les causes de ces votes populaires en faveur du FN. Que veut dire l’ouvrier ou la femme de ménage qui votent FN ? Un ouvrier qui vote FN est-il un « ouvrier raciste » et que signifie « raciste » dans son cas ? L’est-il au même sens qu’un aristocrate qui vote, lui aussi, FN ? Ces enquêtes portent à conséquences politiques : outre qu’elles invitent à rectifier la vision stéréotypée de « l’électeur FN », elles montrent que la lutte politique contre le FN peut prendre appui sur les contradictions latentes au sein de ce « conglomérat » pour travailler à son implosion.

    Pour en savoir plus et commander le livre :
    http://www.editions-croquant.org/94-editions-du-croquant/que-se-passe-t-il/derniers-livres-parus/190-les-classes-populaires-et-le-fn

    Philippe CASTEL, chargé des relations avec la presse pour la FSU

  80. Posted 15 mars 2017 at 21:08 | Permalien

    Gouverner avec les socialistes? «Ça va de soi» pour Jean-Luc Mélenchon
    Par Madeleine MeteyerMis à jour le 15/03/2017 à 13:41 le Figaro

    Sur Europe 1, le meneur de la France insoumise s’est dit prêt à «travailler» avec certains élus socialistes s’il accède au second tour. Quitte à aménager son programme pour l’occasion.
    Le 29 janvier, le jour-même de la victoire de Benoit Hamon à la primaire de la gauche, Jean-Luc Mélenchon radoucissait considérablement son discours vis-à-vis du Parti socialiste et notait chez Benoît Hamon «des paroles si proches des nôtres».
    Deux mois et un accord avorté avec Benoît Hamon plus tard, Jean-Luc Mélenchon réaffirme mercredi, au micro d’Europe 1, sa volonté de s’allier aux socialistes à l’entre-deux tours (s’il y parvient) pour travailler avec eux ensuite (s’il est élu). «Une fois que je serai parvenu au deuxième tour, il va de soi que les forces politiques qui veulent participer à la mise en place de ce programme – que l’on pourra modifier à ce moment-là ici ou là -, seront les bienvenues. Je pense en particulier à toute une série d’élus socialistes (…) Et les élus communistes, heureusement… J’espère qu’il y en aura beaucoup!»
    Lorsqu’il évoque les socialistes, Jean-Luc Mélenchon a des critères précis qui écartent certaines personnalités de l’exécutif, comme Myriam El-Khomri, dont le seul nom cristallise toute la tension autour de la loi Travail, et Manuel Valls, l’ex premier ministre honni par les électeurs du Front de gauche. Logique puisque figure, dans le programme de Jean-Luc Mélenchon, la volonté d’abolir la loi El-Khomri, le CICE et l’état d’urgence.
    Des concessions sur le programme de la France insoumise?
    En février, dans un entretien à La Provence, Jean-Luc Mélenchon répondait au sujet d’un éventuel accord entre lui et Benoît Hamon: «Personne ne peut croire qu’il est possible de gouverner un pays avec une majorité composite de gens qui s’attendent les uns les autres au coin du bois.» Il concédait toutefois: «Si j’arrive jusqu’au deuxième tour, je proposerai aux socialistes et aux écologistes sincères, désireux de rompre avec le passé, de gouverner avec nous.» Et disait déjà: «On ne se paiera pas ma tête en me faisant des bisous partout pour ensuite essayer de me faire avaler des Carvounas, des Valls, des El Khomri, des Marisol Touraine et tous ces gens.» En somme, tous ceux que Jean-Luc Mélenchon nomme «l’ancien monde».
    Cette union se ferait-elle au détriment de points de son programme? Jean-Luc Mélenchon ne le conteste pas. Il décrète, ce mercredi, sur Europe 1, qu’en cas de coalition autour de lui pendant l’entre-deux tours, il pourrait infléchir ses propositions: «Ce programme pourrait être amodié, ici ou là.» Il ne partage, par exemple, pas les vues de Benoît Hamon sur l’âge de la retraite ou le statut de la banque centrale. En février, il se montrait plus inflexible, arguant qu’il n’échangerait pas «des bouts de programmes contre des sièges aux législatives.»

  81. Olivier Garet
    Posted 15 mars 2017 at 22:01 | Permalien

    Cher Gérard,

    Un ami qui pense voter Mélenchon m’a envoyé ce lien vers ta page, que je n’avais plus visitée depuis longtemps. Je le remercie, et j’espère qu’il la lira jusqu’au bout, avec tes commentaires qui sont très intéressants.

    Bien sûr, le vote Hamon, c’est l’espoir de la gauche. Un espoir mince, peut être, mais pourrait-il en être autrement dans le contexte actuel ?
    Notre camarade Jean-Luc Mélenchon a choisi d’incarner le vote du désespoir, rejoignant finalement Manuel Valls dans sa théorie des gauches réconciliables.

    Mais comment être de gauche et faire l’impasse sur cette élection, en attendant que les candidats de droite, voleurs ou démagogue, se départagent ?

    Il reste donc Benoit Hamon pour croire en la gauche, en la possibilité de la réunir, ayant commencé ce rassemblement avec EELV et les radicaux.

    Il faut donc voter pour Hamon, pour lui, pas pour tous les élus PS de la terre, plus ou moins de gauche, plus ou moins sur le départ.

    Que les fuyards fuient, on pourra alors construire sans eux construire une majorité de gauche avec ceux, nombreux, qui se retrouvent dans nos valeurs.

  82. carole joly
    Posted 15 mars 2017 at 22:51 | Permalien

    « Mes chers compatriotes,
    Le 29 janvier, vous avez été plus de deux millions à voter au second tour de la primaire organisée par le parti socialiste. Par plus de 58% des voix, vous m’avez désigné, face à l’ancien Premier ministre Manuel Valls, pour représenter mon parti aux élections présidentielles de 2017.

    Je vous en remercie.

    J’ai mesuré d’emblée le poids de la responsabilité que vous m’avez confiée.

    Auparavant, comme vous le savez, je m’étais engagé à soutenir, quel qu’il soit, le candidat que vous alliez choisir. Mes concurrents avaient fait la même promesse et c’était l’esprit, la règle même de cette compétition.

    Mon parti, et c’est bien normal, s’était de son côté engagé à mettre tout son poids, tous ses moyens, tous ses militants dans la bataille pour faire élire le candidat socialiste gagnant des primaires.

    Jean-Luc Mélenchon a refusé d’y participer au motif que, s’il était battu, il ne soutiendrait pas, quoi qu’il en soit, un candidat du parti socialiste qu’il a quitté et dont il combat la politique depuis 2012.

    A aucun moment je n’ai ignoré que ma personne et mon programme ne pouvaient convenir à l’ensemble du parti. J’ai seulement été préféré à d’autres au premier tour, et à Manuel Valls au second, en opposition à la politique qu’il avait mise en œuvre et qu’il défendait, certes contre le peuple, mais avec l’assentiment d’une partie du PS.

    Vous avez donc majoritairement choisi un autre homme et une autre politique. La démocratie, à laquelle nous sommes tous viscéralement attachés, imposait à la minorité de s’incliner, de prendre acte, de rallier, sinon dans les cœurs, au moins dans les actes et dans les paroles, le programme que j’ai défendu devant des millions de téléspectateurs.

    C’était, je le répète, la promesse publique de mes concurrents et, cela va de soi, de mon parti.

    Un nombre désormais trop important de ministres, d’anciens ministres, d’élus, dont le maire de Lyon, rejoignent Emmanuel Macron. Il faut y ajouter l’ancien maire de Paris, Bertrand Delanoë qui va jusqu’à affirmer que mon programme, celui que vous avez choisi, est dangereux.

    Jean-Christophe Cambadélis, chef des socialistes, a jeté dans les oubliettes des reniements rapides sa menace d’exclure du parti les adhérents qui se rangeraient derrière Macron et non derrière le candidat socialiste.

    Une déclaration de soutien à Emmanuel Macron circule parmi une quarantaine d’élus de mon parti où on peut lire des choses aussi terribles que : « son projet ambitieux et crédible représente l’espoir d’un renouveau politique dans lequel le social-réformisme a toute sa place. C’est à la construction d’une nouvelle alliance européenne et réformiste, autour d’Emmanuel Macron, que nous appelons en tant que socialistes ».

    C’est la mort annoncée du parti so-cia-lis-te.

    Le paradoxe est que, à l’issue des primaires que j’ai emportées, une partie grandissante du PS préfère un candidat non socialiste, jamais élu à quoi que ce soit, un banquier, un franc-tireur qui ouvre le feu sur le camp dont il est issu (et qui l’a fabriqué) et qui, craintif, a refusé de se risquer à un premier baptême du feu électoral en compétition policée dans l’épreuve des primaires.

    Hors des appareils politiques, le peuple de gauche se désespère de n’avoir peut-être d’autre choix en mai 2017 que celui de l’extrême droite ou de la finance, laquelle, on le sait depuis le discours du Bourget en 2012, est notre adversaire.

    Monte alors une exigence forte : celle de l’union des véritables forces de progrès aujourd’hui scindées en deux. D’un coté, le candidat légitime du PS appuyé par Europe écologie les Verts, de l’autre celui soutenu par la France Insoumise et par le Parti communiste, ses adhérents ayant démocratiquement validé sa candidature.

    Dans le même temps, se répand la rumeur selon laquelle j’aurais renoncé à une victoire contre l’extrême droite et la droite financière pour y préférer mon élection future au secrétariat du parti socialiste en jetant par-dessus bord toute espèce de morale et l’héritage de Jean Jaurès, de Léon Blum, de François Mitterrand.

    Comme vous le savez, j’ai rencontré Jean-Luc Mélenchon. Nous avons fait le constat que l’union était impossible entre un candidat tiré vers la droite par son parti, contraint d’accepter l’investiture pour les législatives de responsables et d’artisans de la politique de François Hollande (politique à ce point décriée que le Président sortant a dû renoncer à se représenter) et un autre candidat, initiateur d’une force qui a toujours combattu cette politique et qui a élaboré un programme en rupture totale avec elle.

    Je veux vous faire la confidence que nous avons tous deux ressenti douloureusement ce désaccord, tant nos sensibilités, nos aspirations, nos programmes sont proches à bien des égards.

    Mais, ni lui ni moi ne pouvions nous déjuger sans trahir la confiance des nôtres. Tout au plus avons-nous conclu (et respecté) un pacte de non agression mutuelle.

    Or, aujourd’hui, un constat lucide s’impose : la trahison a eu lieu. Elle est là, comme un fossé qui ne cesse de s’élargir au gré des sondages.

    Elle est venue de mon camp.

    Elle est un camouflet aux adhérents du PS, aux électeurs de la primaire et à bien d’autres citoyens qui croient que la politique impose l’acceptation du verdict des urnes, la fidélité à la parole donnée et le respect des citoyens.

    C’est pourquoi, et afin de ne pas accentuer ce qu’il faut bien appeler un dégoût montant dans le peuple de notre beau pays, afin de créer les conditions pour battre en mai 2017 la droite et l’extrême droite, j’ai décidé de me rallier à la candidature de Jean-Luc Mélenchon.

    Je le fais sans marchandage, sans condition, conscient, par ce geste, de répondre à une ardente exigence populaire, persuadé de sauver l’honneur du parti socialiste et de réhabiliter le mot même de socialisme.

    Je le fais et je vous demande de me suivre. Je ne doute pas que vous voudrez contribuer à bâtir, tous ensemble, un futur désirable.

    Du fond du cœur, je vous en remercie.

    Vive la République, vive la France !

    Benoît HAMON » .

  83. Hervé
    Posted 16 mars 2017 at 0:54 | Permalien

    Henri Weber expose lors d’un interview une des possibilités du moment, sondages à l’appui :

     » Aujourd’hui, si on regarde la situation de manière pragmatique, les chances de Benoît Hamon d’être au second tour sont minces. Donc au second tour, on fera la campagne d’Emmanuel Macron qui sera élu président de la République et de fait, on sera dans la majorité présidentielle  »

    Voilà en résumé la stratégie pourrie que les huiles du Parti Socialiste sont en train de fomenter dans le dos de leur candidat Benoît Hamon qu’il ne soutienne absolument pas !!!

    Ainsi, une minorité politique à la tête du parti décide pour les deux millions d’électrices et d’électeurs qui ont apporté en masse leur soutien citoyen à M.Hamon.

    N’est-ce pas une honte, monsieur Filoche, ce double jeu de la part de M.Henri Weber et ce cynisme que l’on ne supporte plus dans la bouche des têtes d’oeufs ?

    M.Filoche, dites à M.Hamon qu’il doit sans tarder lever le glaive sur les têtes de tous ces félons et contraindre M.Cambadélis de les exclure du P.S, sinon, s’il faiblit, s’il ne réagit pas maintenant, ses chances de remporter le second tour vont vite se tarir.

    La duplicité ne plait pas aux électeurs, ni aux électrices ! Ils vomissent la duplicité!

    Article /Marianne :https://www.marianne.net/politique/pourquoi-les-soutiens-socialistes-de-macron-ne-sont-toujours-pas-sanctionnes-par-le-ps

  84. ErikleRouge
    Posted 16 mars 2017 at 2:13 | Permalien

    82 Carole Joly … lucide c le mot et vraiment merci à GF d’avoir publié cette contribution

  85. Toto
    Posted 16 mars 2017 at 5:30 | Permalien

    Ca c’est une grande nouvelle!
    Chapeau et merci Monsieur Hamon cette décision vous fait honneur ainsi qu’au parti!

    Nous aurons le temps de voter pour vous aux prochaines.

    PS: Pour info, j’ai trouvé ça sur le net:
    https://www.youtube.com/watch?v=0U3l0LyPftQ

  86. red2
    Posted 16 mars 2017 at 10:08 | Permalien

    « - vous nous dénonciez quand ils étaient là nous accusant de leur céder
    - et maintenant vous dénoncez le fait qu’ils nous quittent nous accusant de ne pas les retenir
    vous etes toujours a contre temps, toujours aussi faibles politiquement, parce que votre esprit n’est pas oriente pour gagner »

    Non, les retenez pas, virez les ! Mais vous attendez quoi pour les exclure du PS, ils vous trahissent ouvertement ? Ces gens là sont de droite, on ne fait pas l’union de la gauche avec la droite. Ces 5 dernières années ne vous ont toujours pas permis d’ouvrir les yeux ?

  87. Posted 16 mars 2017 at 10:17 | Permalien

    mais bien sur, il faut les exclure,
    mais ce n’est pas une victoire,
    la victoire serait de les retenir, subordonnés, scotchés, par notre unité réussie de la gauche et pour gagner les 23 avril et 7 mai

  88. socrate
    Posted 16 mars 2017 at 10:33 | Permalien

    Comme vous le savez, j’ai rencontré Jean-Luc Mélenchon. Nous avons fait le constat que l’union était impossible entre un candidat tiré vers la droite par son parti, contraint d’accepter l’investiture pour les législatives de responsables et d’artisans de la politique de François Hollande (politique à ce point décriée que le Président sortant a dû renoncer à se représenter) et un autre candidat, initiateur d’une force qui a toujours combattu cette politique et qui a élaboré un programme en rupture totale avec elle….

    Et pourtant tout ça est bien vrai
    si Hamon avait eu le courage de remettre en cause les investitures du PS la réunion était possible….

  89. socrate
    Posted 16 mars 2017 at 14:11 | Permalien

    nous avons eu ce matin le catalogue de la redoute des promesses qui ne sont pas financées
    comment peut on se présenter avec un tel programme sans dire qui va payé ?
    augmentation d’impots en perspective ou plutot abandon des promesses a prévoir

  90. Posted 16 mars 2017 at 15:19 | Permalien

    alors que melenchon démontre sa grande conscience sa grandeur d’ame sa lucidité et le fasse, il remontrera qu’il l’emporte ainsi
    car hamon ne peut pas se retirer , valls reviendrait

  91. Posted 16 mars 2017 at 15:23 | Permalien

    saboteur
    ce programme est un des plus gauche défendus par le PS… depuis…
    le « candidat de la feuille de paie » je prends

  92. Dominique Babouot
    Posted 16 mars 2017 at 19:58 | Permalien

    Plus ca va plus on s’apercoit que la victoire de Benoit Hamon à la primaire a été orchestrée par l’appareil du ps pour faire échouer la constitution en France d’un rassemblement de gauche radicale semblable à Unidos-Podemos en Espagne ou siryza en Grèce. Faute de pouvoir faire concourrir un candidat social-libéral type Hollande qui étouffe la tentative comme en 2012, ils ont trouvé en BH l’outil idéal pour ces basses besognes. Habitué des synthèses foireuses dans les congrès, on savait qu’il ferait l’affaire, mais comme il était obligé d’avoir un programme un toit soit peu radical pour créer les hésitations, on ouvre naturellement le parapluie en faisant tout pour qu’il ne risque pas de se qualifier pour le deuxième tour, c’est d’ailleurs habile mais dangereux, car en cas de victoire il peut fort bien s’échapper! C’est le pari insensé fait par Gérard filoche et les siens qui refusent par principe la constitution d’une force alternative comme en Grèce et en Espagne.
    Or il est à craindre que ce soit la seule solution pour en finir définitivement avec une social-démocratie qui porte en elle la trahison comme la nuée porte l’orage!
    Alors jusqu’à quand?
    Et pourtant tant que la scission n’aura pas eu lieu comme en Grèce ou en Espagne, tout restera bloqué, un gouvernement réellement révolutionnaire avec les réformistes est une chimère!
    Quand ceux qui s’échinent à sauver la social-démocratie le comprendront-ils?

  93. Posted 16 mars 2017 at 20:08 | Permalien

    l’appareil du PS n’a rien « combine » du tout,
    vous etes en plein délire là encore,
    l’appareil du PS court après les événements, divise et paralysé
    et Valls s’est tiré une balle dans le pied en parlant l’autre jour au parisien, puis en ne parlant plus il perd tout bénéfice de ce coup, il ne « parraine » pas Hamon et ne vote pas Macron, en reserve indécise pendant le combat essentiel

  94. Posted 16 mars 2017 at 20:13 | Permalien

    Face au Front national, Hamon défend sa «République sociale»

  95. Blaise
    Posted 16 mars 2017 at 21:30 | Permalien

    Face au Front national, Hamon défend sa «République sociale»

    Hamon n’a rien inventé il ne fait que pomper le PRS de JLM.

  96. Posted 16 mars 2017 at 21:43 | Permalien

    t’as le droit de dire n’importe quoi…….
    quand il y eut bvd de l’hôpital en 1995, une premiere réunion (Mélenchon, Dray, Desir, Lienemann, Desir, Filoche…) pour « une VI° république », D&S qui était déjà pour une VI° république, se battit pour rajouter une VI° république « sociale« , avec succès…
    qui a défendu quoi depuis jaures ?
    une chose est certaine, a D&S qui parait depuis 24 ans, nous avons l’ancienneté

    je ne fais que souligner que le candidat de la feuille de paie et le candidat de la république sociale pour Hamon, ce n’est pas de la vieille politique mais c’est un futur désirable, ok bravo

  97. TOM
    Posted 16 mars 2017 at 22:04 | Permalien

    Tout en finesse, le Arnaud de la matinale… Retrait de candidature, rien de moins. Pas de proposition de programme commun, de sortie par le haut… juste un retrait. Remarque bloqué pour bloqué autant faire des coups de com’.

  98. valentin
    Posted 16 mars 2017 at 22:56 | Permalien

    Malgré tout ce que tu dis sur Mélenchon Gérard, celui ci reste très courtois et positif envers Hamon. Il ne dénigre pas du tout celles et ceux qui se sont investis dans le PS et qui portent de réelles valeurs de gauche.

    Au fait, quand est-ce que Hamon appelle Mélenchon pour lui proposer d’être son 1er ministre? :) :)

  99. Médusa
    Posted 16 mars 2017 at 22:57 | Permalien

    « saboteur
    ce programme est un des plus gauche défendus par le PS… depuis… »

    Dommage, en ce cas, qu’il ne pourrait pas être mis en place vu la horde de sortants légitimistes et de hollando-vallsistes dans les investitures… Hamon n’avait qu’à bouger sur ce simple préalable de bon sens et il aurait piégé Mélenchon à son propre jeu ; mais il a été trop frileux et n’a pas voulu capitaliser sur son élan, on voit le résultat aujourd’hui…

  100. Posted 16 mars 2017 at 22:58 | Permalien

    hamon président et melenchon premier ministre, c’est la seule issue en fait

    la gauche est majoritaire en France dans le pays, sans doute depuis 1981, c’st la majorité sociologique qui se manifeste parfois à hauteur de 50/55 % (1981, 1988, 1997, 2012…)
    c’est le salariat
    la majorité écrasante des actifs,
    en 2012 la gauche bien plus de 55 %, elle avait tout, le PR, l’AN, le sénat, 2 villes sur 3, 20 régions sur 22, 61 dpts sur 100…

    l’abstention structurelle est de moins de 10 % en france, même si l’abstention conjoncturelle peut aller jusqu’à plus de 50 % et plus de 70 %

    il y a peu de glissements, peu de mouvements de gauche a droite, seulement à la marge, et pas de « centre » en fait

    mais l’abstention conjoncturelle change de camp par contre, ce qui fait la différence profonde d’une élection à l’autre

    en 1993 la droite avait gagne (en raz de marée, il restait 52 deputes de gauche sur 577, ce qui risque d’arriver en 2017) en ayant moins de voix que ce qu’elle avait en chiffre absolu en 1981 quand elle avait perdu

    Notons pour tous ceux qui disent que le PS est mort, en 1993, c’était banalité que de le dire, et puis… il est revenu au pouvoir 3 ans après en 1997

    mais l’essentiel va en permanence vers le PS et surtout l’abstention des socialistes, ça fait autour de 20 à 35 % mais ce chiffre est totalement érode actuellement par le sinistre quinquennat Hollande, c’est l’abstentionnisme socialiste qui est écrasant, Mélenchon commet sa plus grande faute théorique historique politique pratique en ne le captant pas, vu son agressivité, vu son refus d’unité,

    le reste de la gauche non socialiste est autour de 8 à 12 et même 17 % bon an mal an, mais ne progresse pas davantage (en 2002, les trotskistes ont eu 11.5 % des voix !, parfois cette gauche stagne à hauteur de 3,4, 5 à 8 ou 9 %… melenchon réussi à l’unifier un peu et a perce à 11 % mais on voit qu’il y a un plafond de verre…)

    mais le total des deux est autour de 50 à 55 % si on additionne tout, de Besancenot à Valls, de Sud a la CFDT, ce total n’est atteint que moments exceptionnels d’envie et d’enthousiasme et cela n’arrive jamais sans unité de ses composantes…

    environ 30 % du salariat vote a droite et 70 % a gauche
    a l’intérieur des 30 % de droite il y a une radicalisation vers le FN, cf article FSU publie ici il y a quelques jours,
    un ouvrier sur 7 vote FN seulement, (ouf, c ‘est encore trop) le FN est donc é à 30 % quand 50 % des gens interrogés répondent, cela veut dire 15 %
    et la droite classique selon les cas et ses divisions va de 25/28 à 35 % (Macron re-introduit ravive l’UDF, les orléanistes, depuis Lecanuet, Giscard, Barre, Bayrou… et freine Fillon UMP UDR RPR LR à 18 %: cette balance là montre toujours une solidité plus grande pour les « bonapartistes gaullistes » et une fragilité pour les orléanistes)

    je le redis ici pour la 100° fois, il n’y aura jamais d’insurrection civique ni d’insurrection citoyenne, c’est une autre erreur théorique, politique grave de melenchon, erreur vis a vis du matérialisme historique, il ne donne pas la priorité aux luttes mais aux élections c’est une erreur

    Les évolutions civiques dépendent des évolutions sociales. Il ne peut y avoir de révolution civile sans révolution sociale. 1981 est un résultat diffère de mai 68. 1988 est un résultat de décembre 86. Juin 19997 est un résultat différé de nov-déc 95. 2012 est un résultat différé de 2010 (retraite).

    Les pesanteurs électorales sont profondes puissantes stables, historiques
    pour les bouleverser c’est une insurrection sociale qu’il faut faudra… or on l’a raté depuis 1995, notamment, en 2003, 2010 sur les retraites, et en 2016 contre la loi el khomri

    voila aussi le fond, pourquoi Hamon doit etre président et Melenchon doit etre premier ministre, ce qui est une solution révolutionnaire en fait, et qu’il devrait accepter avec joie et enthousiasme si elle se présente
    mieux si il la suscite avant qu’il ne soit trop tard

    sinon il n’y aura rien
    et une abstention massive a gauche et le desastre le 23 avril à 20 h la gauche pourtant majo sera éliminée des le 1er tour

  101. Posted 16 mars 2017 at 23:01 | Permalien

    tu radotes et tu retardes : le PS convoque une nouvelle convention nationale après la présidentielle pour décider des investitures
    ça t’avais echappé ?

  102. valentin
    Posted 16 mars 2017 at 23:17 | Permalien

    Là tu te fous dedans Gérard. Des luttes il y’en a eu. Que ce soit pour les retraites ou la loi elkhomri! Mais les gens n’y croient plus. De grève en grève, ils ont perdu de l’argent, de la foi, de l’espérance, surtout en voyant que ca venait d’un gouvernement soit disant de gauche!

    … Et hamon a travaillé main dans la main avec le Parti Soudoyé…Enfin, il a été la main à qui l’en faisait faire ce que Hollande voulait…

  103. Posted 17 mars 2017 at 0:10 | Permalien

    Nouvelle convention nationale après la présidentielle pour décider des investitures ?
    Parole de Cambadelis ?

    Plus sérieusement même si je ne suis pas socialiste et encore moins aux extrêmes je trouve moche pour Hamon que son programme soit passé à ka trappe dans l’actualité avec l’affaire du FMI à Paris et a fusillade au lycée de Grasse

  104. Blaise
    Posted 17 mars 2017 at 1:03 | Permalien

    Posted 16 mars 2017 at 22:58 | Permalien
    hamon président et melenchon premier ministre,

    L’inverse serait plus sûr et surtout plus faisable.
    Mais les sondages qui viennent vont en décider je pense.

  105. Posted 17 mars 2017 at 6:41 | Permalien

    deux mensonges ou erreurs ?
    1°) on a été au bord d’un mai 68 en 2003, en 2010 et meme en 2016 et il a été évité en 2006… par une victoire, les « gens » y croiront bientôt a nouveau
    2°) je pestais en effet contre hamon de 2012 à 2014, mais il a fini par sortir, refuser la loi el khomri, déposer une motion de censure et a battu Valls…
    avec D&S j’ai fait mieux et j’aurais fait mieux, mais ce qu’il a fait n’est pas si mal

  106. Posted 17 mars 2017 at 7:11 | Permalien

    Pays-Bas : la vraie leçon des élections
    Par Romaric Godin | mis à jour le 15/03/2017, 22:59 | 1172 mots

    Mark Rutte, Premier ministre néerlandais est en tête mais sa coalition a subi une déroute. (Crédits : Statista*)

    L’extrême-droite n’a pas réalisé de percée notable aux Pays-Bas lors du scrutin législatif de ce 15 mars. En revanche, la coalition sortante est fortement sanctionnée, notamment les Sociaux-démocrates qui perdent les trois quarts de leurs sièges.

    La leçon n’était peut-être pas celle que l’on croyait. L’extrême-droite néerlandaise n’a finalement réalisé qu’un score décevant lors des élections des 150 sièges de la Seconde Chambre des Etats-Généraux, la chambre basse du parlement du Royaume, de ce 15 mars 2017. Le Parti pour la Liberté (PVV) de Geert Wilders, allié inconditionnel du Front national français, islamophobe et europhobe, n’obtiendrait, selon les sondages sortis des urnes que 20 sièges et 13,1 % des voix, soit 5 sièges et 3 points de plus qu’en 2012. Une hausse modeste qui ne lui permet pas d’égaler son score de 2010 (15,7 % des voix) et encore moins de lutter pour la première place, occupée par les Libéraux du VVD du premier ministre sortant Mark Rutte, donné à 21,3 % et 33 sièges.

    Un PVV sans ressort
    Les sondages de ces derniers jours témoignaient clairement d’une baisse notable du PVV qui avait déjà été surestimé en 2012 et en 2014. Pour autant, tous les médias, surtout étrangers, avaient continué à souligner le « risque » d’une « victoire » de l’extrême-droite. Ce risque était d’autant moins probable que, même en tête, le PVV eût été incapable de gouverner compte tenu du « cordon sanitaire » des autres partis et de l’émiettement de l’électorat renforcé par le système de proportionnelle intégrale des Pays-Bas. Le danger du PVV n’était donc pas réel. Mais il a été agité, oubliant à bon compte le fait véritable, avéré ce 15 mars, de ces élections néerlandaises de 2017 : la déroute de la coalition sortante, une des plus orthodoxes de l’histoire néerlandaise sur le plan budgétaire et qui a mené une politique d’austérité qui a coûté très cher à la société néerlandaise.

    Coalition sanctionnée
    Cette défaite est évidente : le VVD perd cinq points et 8 sièges 5,5 points et les travaillistes sociaux-démocrates du PvdA, le parti du président de l’Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem perdent, eux, 19 points, passant de 24,8 % à 5,7 %. Jamais ce parti n’avait été aussi bas dans une élection aux Pays-Bas. Les travaillistes devront se contenter de 9 sièges sur les 38 qu’ils avaient obtenus en 2012. Ce n’est plus une sanction, c’est une gifle. En tout, la coalition sortante perd 24 points, près de la moitié de son score de 2012 ! C’est là le seul fait évident de ce scrutin, beaucoup plus que la montée du PVV. Or, cette déroute trouve évidemment son origine dans le rejet de la politique de la coalition, mitigé dans le cas de la VVD par la position de Mark Rutte qui a profité de la crise avec la Turquie. Mais le fond de la politique de cette coalition peut se résumer en un mot : le retour à l’équilibre budgétaire.

    Bilan économique
    En se concentrant sur la montée du PVV, on évitait d’évoquer cette réalité. Ceci donnait lieu à une pseudo « explication culturelle » à la montée des populismes dans « un pays qui se porte bien économiquement ». Mais la réalité est que le peuple néerlandais a rejeté la politique économique de la coalition, qu’il l’a sanctionnée et que, partant, le pays ne se porte pas si « bien » que le laisse croire un taux de croissance gonflé par les réexportations depuis Rotterdam et les effets liés aux avantages fiscaux accordés aux multinationales. Le chômage est revenu à son niveau de 2012, un niveau bien plus élevé que dans la décennie précédente et il a beaucoup augmenté jusqu’en 2014. Le travail à temps partiel atteint des records, les inégalités se sont creusées et le risque de pauvreté a augmenté. Le problème de beaucoup de Néerlandais n’est pas l’Islam ou l’immigration, c’est bien leur niveau de vie. C’est ce qu’ils ont exprimé dans les urnes ce 15 mars.

    Déroute social-démocrate

    Encore une fois, donc, un parti social-démocrate ayant appliqué une politique d’austérité (Jeroen Dijsselbloem, en tant que ministre des Finances, l’a menée pleinement) est lourdement sanctionné. Cette déroute fait penser à celle du Labour irlandais en février 2016 qui est aussi tombé à 6 % des voix ou encore, évidemment au Pasok grec, qui est aussi à ce niveau désormais. Ce score devrait inévitablement faire réfléchir les partisans de la « gauche moderne » qui ferait les « réformes structurelles » et l’austérité pour le « bien » supposé du « petit peuple ».

    En réalité, le PvdA n’a pas su défendre sa clientèle traditionnelle et l’a, au contraire, sacrifiée sur l’autel de la rigueur budgétaire et des « grands équilibres ». Cet électorat l’a logiquement abandonné. Certes, la gauche anti-austéritaire et eurosceptique du Parti socialiste (SP) n’en a pas profité et elle s’effrite légèrement (14 sièges contre 15), mais la gauche écologiste de GroenLinks (GL) a récupéré l’essentiel du vote travailliste, en passant de 4 à 14 sièges. Ce parti pro-UE est anti-austérité, il se situe là où le PvdA était voici cinq ans avec un programme proche. Il reprend d’ailleurs ses bastions du nord du pays. Même remarque pour les libéraux « de gauche » de D66 qui atteignent 19 sièges, soit 7 de plus qu’en 2012 avec 12,1 % et qui, eux aussi, étaient très critiques sur la politique économique de la coalition.

    Emiettement
    De plus, comme dans beaucoup d’autres pays soumis à l’austérité, les élections néerlandaises ont montré un fort émiettement de l’électorat et un renforcement des petits partis. Le parti des animaux (PvdD) gagne ainsi 3 sièges à 5 sièges, le parti qui défend le multiculturalisme Denk, nouveau venu, prend 3 sièges, le parti des retraités 50 + gagne 2 sièges à 4 sièges… En tout, 8 sièges de plus qui manqueront aux grandes formations et qui prouvent que ces politiques sociales dures conduisent à un sentiment de perte de repères qui conduisent à des votes « marginaux ».

    Vrai enjeu
    L’enjeu de ce scrutin n’était donc pas celui que les observateurs internationaux avaient martelé depuis des semaines : ce n’était pas un débat sur l’Islam ou l’immigration, mais bien sur la nature d’une politique économique et sociale. Certes, les Néerlandais savent que leur économie ouverte a peu à gagner à une sortie de l’euro ou de l’UE. Et c’est ce qui explique la faible performance du PVV et du SP. Mais ils ont aussi demandé une politique économique plus équilibrée et moins empreinte de cette violence que l’Europe a pu constater dans l’attitude de Jeroen Dijsselbloem envers la Grèce depuis 2015. Les Néerlandais sont modérés et la politique de la coalition ne l’était pas. Ils ont rejeté PVV et SP, mais aussi VVD et PvdA. D’où la poussée de la CDA chrétienne-démocrate, une des mères du modèle social néerlandais, donnée à 19 sièges, de D66 et de GroenLinks. Des partis pro-européens mais critiques envers la politique du gouvernement sortant. La nouvelle coalition qui va se former, sans doute avec 4 partis au moins, devra prendre en compte cette leçon, la vraie, de ces élections

  107. Posted 17 mars 2017 at 7:26 | Permalien

    Bonjour,
    Je suis d’accord avec Jean lorsqu’il écrit qu’ « en mettant l’accent sur la tolérance (valeurs « sociétales » : refus de la xénophobie, de l’homophobie… cf. Terra Nova !), on fait passer au second plan ce qui est pourtant un marqueur essentiel de la gauche telle qu’à D&S on l’envisage, si je ne me trompe : le « socio-économique », les questions de salaire, de conditions de travail (jugées mauvaises par un grand nombre de salariés, on l’apprend aujourd’hui par.. la CFDT ! Mais avec quelles conséquences ?), etc… »
    J’irai dans le même sens mais, peut-être, plus loin que Jean. Il n’est pas possible, à mon avis, d’être, à la fois, libéral sur le plan économique et sur le plan « sociétal » dans la situation de crise que connaît le capitalisme. Il n’est plus possible pour les libéraux « sociétaux » de sauver les apparences et d’assumer la contradiction.
    Macron est un (néo)libéral sans complexe sur le plan économique et se prétend libéral sur le plan « sociétal ». Mais, dans la réalité, cela n’a aucun sens.
    Il n’est pas possible d’approuver la loi El Khomri et de se prononcer, comme le fait Macron, contre le harcèlement que subissent les femmes. La loi El Khomri accroît le pouvoir des employeurs et de l’encadrement, qui auront un droit presqu’absolu sur l’emploi mais aussi les horaires et les conditions de travail des femmes dans l’entreprise. Le renforcement du pouvoir de l’employeur et de l’encadrement ne pourra qu’accroître le harcèlement que subissent les femmes et leur silence, de peur des représailles. Le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument. Il faut vraiment ne jamais avoir mis les pieds dans une entreprise privée (si ce n’est en tant que gérant ou DRH) pour ne pas le comprendre.
    Il est possible, aussi, comme le fait Macron, d’être beaucoup plus libéral que Valls concernant la laïcité (ce n’est guère difficile) mais la politique de l’offre et d’austérité qu’il compte mener s’il parvient au pouvoir, dressera les salariés non discriminés contre les salariés discriminés du fait de leur appartenance à un groupe minoritaire ou une religion montrée du doigt. Il faut non seulement séparer les Églises de l’État et revenir à la tolérance de la loi de 1905 mais il faut, en même temps, séparer le Medef de l’État.
    Il n’est pas possible d’être à la fois libéral sur le plan économique et libéral sur le plan « sociétal ». Les belles âmes qui croient (parce que leur situation sociale leur permet de se faire des illusions) qu’il est possible de le faire se retrouveront un jour dans la situation des électeurs d’’Hillary Clinton (porte-parole de la morale « sociétale ») face à Donald Trump.
    Le moins que l’on puisse dire est que Jaurès avait pleinement raison lorsqu’il parlait de la « République sociale » : dans la période de crise que connaît le capitalisme, si elle ne devient pas rapidement « sociale » la République cessera, tout aussi rapidement, d’être la République.
    Amicalement,
    JJ

  108. Posted 17 mars 2017 at 9:58 | Permalien

    Présidentielle : les rendez-vous (presque) secrets de Manuel Valls
    >Elections>Election présidentielle|Nathalie Schuck @nathalieschuck|17 mars 2017, 7h02|9
    Manuel Valls a rencontré François Bayrou pour évoquer un soutien à Emmanuel Macron.MAXPPP/IP3 PRESS/SOAZIG DE LA MOISSONNIERE
    Nathalie Schuck @nathalieschuck
    Election présidentielleManuel VallsEmmanuel MacronFrançois BayrouRendez-vous secretssoutien

    S’il dément officiellement vouloir rallier Emmanuel Macron, l’ancien Premier ministre multiplie les rencontres en coulisses. Avec François Bayrou, notamment. Et, en secret, avec le hollandais Stéphane Le Foll.

    Difficile de faire moins discret. Mercredi après-midi, c’est dans un café très fréquenté de la place de la Bastille (Paris XI e) que Manuel Valls a retrouvé François Bayrou, l’allié principal d’Emmanuel Macron, comme l’ont révélé nos confrères du « Monde ». Certes, les deux hommes se connaissent bien et échangent régulièrement, mais ce rendez-vous ne tombe pas à n’importe quel moment : la veille, devant près de 300 fidèles à l’Assemblée, Valls avait lancé une lourde charge contre le candidat du PS, Benoît Hamon, qu’il a accusé de « sectarisme » et refusé de parrainer. « Ce que Valls a fait cette semaine est très important, c’est une clarification au PS », indique à notre journal le président du MoDem, qui fait part de son « estime » et de sa « sympathie » pour l’ancien Premier ministre, « un homme politique consistant ».

    S’agissait-il, lors de cet entretien, d’évoquer un soutien de Valls à Macron ? « Absolument », nous affirme un très proche du candidat, qui souligne que « l’heure n’est plus aux rivalités ». Mais les mots sont précis. Il s’agit bien de « soutien », insiste la même source, pas d’un « ralliement » ni d’une éventuelle « participation » à un gouvernement. Bayrou était-il en mission pour Macron ? S’il a fermé la porte à des ralliements massifs venant du PS, le candidat d’En marche sait qu’il aura potentiellement besoin de Valls, qui parle à l’aile droite du PS, pour constituer une majorité à l’Assemblée s’il est élu président.

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    Intrigues et suspicions

    Selon nos informations, la discussion entre Bayrou et Valls a également porté sur ce point. Car les deux hommes partagent de longue date l’idée qu’il faudra un jour créer une « maison commune des progressistes » alliant des élus de tous bords. « Si le FN est au second tour, il y aura une recomposition. Celui qui sera élu devra gouverner différemment », confiait Manuel Valls, alors Premier ministre, lors d’un déjeuner de presse le 15 septembre à Matignon. Interrogé sur Macron, avec qui les tensions étaient alors maximales, il ajoutait même : « Est-ce qu’il faut couper les ponts ? Non. Est-ce qu’il faut garder des liens ? Oui. »

    Ce n’est pas tout. Selon nos informations, Manuel Valls a aussi eu, à sa demande, un discret rendez-vous le mardi 7 mars avec Stéphane Le Foll, pilier des hollandais, au ministère de l’Agriculture. L’objet de la rencontre ? Selon des sources concordantes, il lui aurait proposé que les vallsistes et les hollandais « avancent ensemble » vers Macron, de façon coordonnée. « Ça s’est bien passé », indique un ministre dans la confidence. Le Foll, de fait, aurait d’abord accepté l’offre, avant de rétropédaler ces jours-ci. Car les hollandais, qui lorgnent également vers Macron, se demandent si les vallsistes ne cherchent pas à les doubler. « Valls essaie de négocier des postes au gouvernement pour ses proches ! » fustige un hollandais, très agacé. « Valls fait semblant d’aider Macron, mais, en fait, il veut le tuer », suspecte un autre fidèle du président. Ambiance…

    Un rendez-vous secret avec Stéphane Le Foll

    Au sein du PS, plus que jamais menacé d’implosion, l’heure est aux intrigues et suspicions, comme aux plus belles heures des querelles de courants. Jusqu’ici, François Hollande a réussi à tenir ses troupes et à éviter une scission. Pour combien de temps ? « Il est urgent d’attendre. Le paysage n’est pas stabilisé. Attendons les débats » entre candidats — dont le premier sur TF 1 lundi —, répète le président à ceux qui sont tentés par Macron. Le risque est grand que la digue saute la semaine prochaine.
    Le Parisien

  109. Michel - Pierre
    Posted 17 mars 2017 at 9:59 | Permalien

    La sagesse et le respect des nombreux millions d’électeurs de LA GAUCHE ne consisteraient-ils pas, pour Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon, à prendre publiquement acte en ce 17 mars, date limite de réception des parrainages et à 37 jours du premier tour de l’ Élection Présidentielle, des incontournables faits suivants :
     
    1) Une dégradation sans précédent de la situation politique et morale dans notre pays a profondément perturbé l’opinion publique ;

    2) il en résulte que le prolongement d’une compétition entre deux candidats DE GAUCHE défendant des programmes très voisins condamnerait immanquablement celle-ci à être absente du second tour … avec les conséquences dramatiques et durables qui ne manqueraient pas d’en résulter pour l’immense majorité des citoyens de notre pays.
     
    Ne devraient-ils pas en conséquence annoncer conjointement une triple décision de FUSION de leurs programmes, de SÉLECTION pour demeurer candidat à la Présidence de la République de l’un ou de l’autre (sur la base d’une moyenne des derniers sondages ou d’un simple tirage au sort) et de CONDUITE en PARTENARIAT de la fin de la campagne correspondante afin d’ouvrir la voie aux élections législatives qui suivront dans le même esprit ?
     
    Ils rendraient alors un service inestimable à l’ IMMENSE MAJORITÉ à laquelle les médias n’offrent à présent que la perspective totalement faussée d’une inévitable AGGRAVATION, sous une Présidence de DROITE ou d’ EXTRÊME DROITE, de l’insupportable INJUSTICE SOCIALE qu’elle subit à présent … tout au long des cinq prochaines années !  

  110. Médusa
    Posted 17 mars 2017 at 11:24 | Permalien

    @GF101 « tu radotes et tu retardes : le PS convoque une nouvelle convention nationale après la présidentielle pour décider des investitures
    ça t’avais echappé ? »

    C’est après la victoire de Hamon qu’il fallait annoncer la couleur si vous vouliez un programme commun avec Mélenchon. Pas « tu te retires d’abord et on voit après ». Le simple fait que les investitures étaient décidées avant même de connaître la ligne qui sortirait gagnante de la primaire prouve qu’il y avait volonté de continuité.

  111. Dutour Lucien
    Posted 17 mars 2017 at 11:51 | Permalien

    David Habib député de ma circonscription fait partie de cette liste.IL est candidat socialiste à sa réélection et sera certainement réélu et ce ne sera pas pour une politique de gauche telle que vous et moi l’entendons.Dans la presse locale il se targue de ne pas avoir signé l’appel des parlementaires socialistes en soutien à Macron ,c’était reculer pour mieux sauter,il se retrouvera dans la même équipe que Bayrou après l’épisode des municipales Paloises,ça manque pas de saveur..Alors non je ne voterais pas pour le candidat socialiste ,ni au premier,ni au second tour des législatives.

  112. Posted 17 mars 2017 at 14:51 | Permalien

    personne ici n’a demande a personne de se retirer ni de se soumettre,
    cf plus haut : un accord global
    ensuite nous aurons les clefs du parti (et de la majorité) si nous gagnons, nous serons probablement chassés si nous perdons
    les valssistes se tâtent , mais travaillent sur un « groupe parlementaire socialiste » macronien compatible pour participer au gvt avec lui et a la majorité avec lui
    d’ou sa « sortie » puis sa volte face attentiste quand macron leur dit « je ne suis pas une maisons d’hôte, et je ne sers passe couvert et le boire a tout le monde »
    nous, nous travaillerons dans ce cas la a un groupe d’opposition;
    mais on préfère gagner les 23 avril et 7 mai plutôt que d’entrer dans de telles noires hypothèses

  113. Posted 17 mars 2017 at 14:53 | Permalien

    en effet
    c’est ce que nous avons dit ce matin devant la presse devant le conseil constitutionnel

  114. Posted 17 mars 2017 at 15:12 | Permalien

    émission collective des jeunes Socialistes de Seine-Saint-Denis : se libérer des partis pour être les acteurs de la gauche de demain.
    Nous, Jeunes Socialistes de Seine-Saint-Denis et signataires de cet appel, avons pris la décision de démissionner collectivement du MJS 93 et donc du PS. Cet appel est le point de rupture avec notre organisation mais c’est aussi le point de départ d’un travail libre au cœur d’une gauche cohérente et sincère.
    Le quinquennat de François Hollande a débuté par une première trahison sur le TSCG. La « gauche » représentée au gouvernement, n’a alors pas vu, ou voulu voir, que les réformes économiques et sociales à venir se feraient contre elle. Et pourtant trop peu d’élu-e-s se sont opposé-e-s à ces mesures, pourtant contraires aux valeurs qu’ils portaient, à l’instar de l’ANI, du CICE ou du Pacte de responsabilité. En votant la confiance aux gouvernements successifs, puis en s’enfermant dans un mutisme abstentionniste, la forte opposition attendue s’est transformée en soutien tacite. Ainsi, les derniers budgets, qui présentaient pourtant une réduction nette des dépenses publiques, ont été approuvés. Ceux que l’on appelait « les frondeurs » ont mené une fronde timide, en refusant de créer les conditions pour renverser les gouvernements de Jean-Marc Ayrault, de Manuel Valls et plus récemment de Bernard Cazeneuve.
    Toutes ces contradictions, ces critiques fortes mais sans rupture, ont mené à une impasse stratégique et politique de l’aile gauche socialiste. Largement minoritaire au dernier congrès du PS et toujours alliée aux libéraux pour les législatives de 2017, c’est presque avec la même majorité parlementaire que seront votées les lois de ce pays en cas de victoire. Quelle peut alors être la crédibilité du projet présidentiel, annoncé comme en rupture avec le quinquennat, si ce sont les mêmes personnes qui sont investies pour voter les lois ?
    Notre organisation de jeunesse, le Mouvement des Jeunes Socialistes, porte sa part de responsabilité dans ces événements. Son autonomie aurait du nous amener à une véritable rupture, tant la distance entre nos idées et les actions portées par le gouvernement et le groupe parlementaire issus de nos rangs était grande. Malgré quelques signes d’opposition salutaires, le constat reste le même pour les frondeurs : nous n’avons pas eu un mouvement de combat mais un mouvement complaisant. Des appels internes à la démobilisation subis par nos camarades qui manifestaient contre la Loi Travail est le meilleur exemple de cette logique d’agrément envers le gouvernement. Nous savons pourtant qu’en perdant le combat de la rue, on perd ensuite le combat dans les urnes.
    Frondeurs et Jeunes Socialistes, ce fut un temps notre cas, nous avons été touchés par la pression des partis qui amène à privilégier les négociations internes, souvent les postes, plutôt qu’au nécessaire sursaut politique, même lorsque les choses vont trop loin. C’est par ce mécanisme que les appareils partisans sont devenus synonymes pour les citoyens d’opacité et d’accords mesquins. Dépassés dans leur forme et incapables de se renouveler, nous faisons le constat d’une fin de cycle des partis actuels de la gauche. 2016 aurait pourtant pu être une belle année de réveil et de clarification politique.
    Nous avons attendu une rupture avec le groupe socialiste à l’Assemblée Nationale et donc avec le PS. Une dizaine de frondeurs avaient la possibilité de créer un groupe parlementaire d’union, rouge, rose, vert. Le gouvernement, sans groupe majoritaire, aurait alors dû trouver des compromis pour mener son action ou multiplier le recours à l’article 49-3 de la Constitution, accélérant ainsi sa chute. Cette séparation aurait été la simple traduction politique d’un clivage très ancré au sein des partis de gauche le séparant en deux camps : les tenants du libéralisme économique d’un côté, composant une forte partie du PS et les anti-libéraux progressistes, plus présents dans les autres partis de gauche. Sur cette base anti-libérale de progrès, la gauche unie aurait pu présenter un programme commun pour 2017, loin des sectarismes qui empoisonnent l’ambiance actuelle. Le programme commun aurait réuni communistes, écologistes et socialistes dans un objectif politique amenant notamment à restructurer la gauche autour de ce qui l’a toujours fait gagner : l’unité. Au lieu de cela, nous sommes divisés alors que les convergences programmatiques sont nombreuses. Voilà où nous a mené la stratégie qui privilégie les postes aux idées et à la défense de notre camp social. L’extrême droite est aux portes du pouvoir et nous gaspillons notre énergie dans un combat fratricide.
    Nous actons donc d’une responsabilité collective et formulons notre désir de nous recentrer sur un militantisme de transformation sociale. Nous sommes des militants, engagés dans la continuité de notre action de terrain et nous le resterons. Localement, nous soutiendrons des candidats divers mais en rupture avec le quinquennat qui se termine et qui expriment la volonté de rassembler la gauche sans les libéraux. Nous souhaitons construire, à notre niveau, un espace sain qui promeut la convergence des forces de gauche et qui accélère donc sa recomposition. Pour l’heure, nous n’avons pas prévu de rejoindre un parti politique. Nous garderons notre liberté jusqu’au moment où la gauche aura réussi à produire une organisation politique cohérente et dynamique. C’est donc déterminés et enthousiastes, résolument socialistes et sans sectarisme, que nous nous engageons dans cette aventure. A bientôt camarades, le moment venu, les forces de bonne volonté se retrouvent toujours.
    Signataires :
    Sophie Autissier, présidente des Jeunes Socialistes de Seine-Saint-Denis, Aubervilliers
    Nicolas Lescaut, secrétaire général des Jeunes Socialistes de Seine-Saint-Denis, Bagnolet
    Guillaume Bancourt, trésorier des Jeunes Socialistes de Seine-Saint-Denis, Montfermeil
    Raphaël Perrin, ancien animateur fédéral des Jeunes Socialistes de Seine-Saint-Denis, Aubervilliers
    Thierry Aronica, Saint-Denis
    Médérick Bastart, Neuilly-sur-Marne
    Thomas Charron, Stains
    Antoine Chicha, Villetaneuse
    Souleymane Diallo, La Courneuve
    Julie Février, Les Lilas
    Lina-Estelle Lou, Aubervilliers
    Ken Iwasaki, Epinay-sur-Seine
    Adrien Jion, Aubervilliers
    Camille Meza, Rosny-sous-Bois
    Charlène Mercier, Aulnay-sous-Bois
    Amazigh Mehdi Adjal, Aubervilliers
    Bilel Mir, Saint-Denis
    Anthony Plond, Sevran
    Johan Richer, Saint-Denis
    Zahoua Sahia, Neuilly-Plaisance
    Geneviève Seide, Saint-Denis
    Franck Sembin Apou, Noisy-le-Sec
    Karim Senouri, Aubervilliers
    Kaoutar Tiri, Sevran
    Abdoulay Thiam, La Courneuve
    Sarah Woribi, Tremblay-en-France

  115. Posted 17 mars 2017 at 15:23 | Permalien

    L’exigence de se rassembler
    ANDRE CHASSAIGNE·VENDREDI 17 MARS 2017
    Je souhaite, par ce message, apporter mon soutien à l’initiative commune de ce 17 mars 2017, devant le Conseil Constitutionnel, visant à porter l’exigence d’un rassemblement des gauches sociales et écologistes. Retenu en circonscription, je ne peux m’associer physiquement à cette conférence de presse, dont je partage pourtant la nécessité et l’urgence. Je fais en effet le constat, comme beaucoup à gauche, que nous ne sommes collectivement pas à la hauteur de l’enjeu qui se dresse devant nous lors de cette échéance présidentielle.
    La colère des Français est telle, le spectacle entretenu sur tous les écrans par les médias et les forces dominantes si affligeant, qu’il semble aujourd’hui quasiment impossible d’éclairer et de faire grandir les consciences. Beaucoup des forces en présence ont intérêt à exploiter encore et encore les rebondissements personnels et les affaires. Nous savons à quoi cela mène : un encouragement permanent à l’abstention, un vote par défaut ou un vote de repli aux conséquences très lourdes.
    Loin de permettre aux citoyens de se saisir du contenu politique défendu par nos sensibilités respectives pour changer leur vie, la division actuelle entretient le renoncement à construire une gauche porteuse de progrès social et écologique. Acter l’impossibilité de rassemblement, c’est éloigner un peu plus de la construction de leur avenir une majorité de Françaises et de Français. C’est aussi les jeter dans les bras de choix politiques délégataires, perçus comme seule alternative, mais contraires à l’intérêt du plus grand nombre, voire mettant en danger l’avenir même de notre socle républicain. Alors qu’il est plus que jamais nécessaire de travailler d’arrache-pied à l’élargissement de l’implication sociale et citoyenne dans les choix politiques du pays, ne refusons pas aux Françaises et aux Français la possibilité d’entrouvrir une perspective politique de gauche.
    Comme le souligne le texte d’invitation à cette initiative, « jamais les convergences et les attentes n’ont été aussi fortes dans la jeunesse, le syndicalisme, les mouvements citoyens, chez les intellectuels et le monde de la culture. L’annonce d’un rapprochement créerait une dynamique politique dans le pays et ainsi permettrait à une candidature de gauche d’être au deuxième tour pour gagner ensuite. »
    Je peux en témoigner comme Président du groupe de la gauche démocrate et républicaine, au sein duquel les député-e-s Front de gauche ont œuvré depuis 5 ans sans relâche, à l’appui du mouvement social, pour créer des passerelles à l’Assemblée nationale avec d’autres député-e-s progressistes : jamais les positions de nos sensibilités politiques respectives n’ont été aussi proches. Indéniablement, tous les ingrédients sont à notre disposition pour relever un espoir populaire, indissociable d’un premier acte de convergence à gauche. Les circonstances politiques, l’état du pays, de l’Europe, du monde, l’exigent.
    Dans ce moment politique particulièrement pénible pour tant de nos compatriotes qui partagent l’essentiel de nos valeurs communes, il nous faut amplifier notre cri de conscience collectif pour ouvrir enfin l’ère du commun. Car, qui peut croire sincèrement que nous pourrions commencer à nous extraire des politiques libérales et d’austérité sur le fondement d’une division électorale assumée le 23 avril prochain ?
    A cet instant, nous comptons beaucoup d’appels au rassemblement et à l’intelligence collective. J’ai apporté mon soutien à certaines de ces initiatives publiques, dont le dernier appel « Rassemblement à gauche : urgence – Pour une candidature commune à l’élection présidentielle et un pacte de majorité » qui me semble complémentaire avec beaucoup d’autres démarches unitaires.
    Il n’est jamais temps de renoncer. Et je citerai encore une fois pour conclure la célèbre citation de Bertolt Brecht : « Celui qui combat peut perdre, mais celui qui ne combat pas a déjà perdu ».
    André CHASSAIGNE, Député du Puy-de-Dôme

  116. Gilbert Duroux
    Posted 17 mars 2017 at 15:31 | Permalien

    « Toutes ces contradictions, ces critiques fortes mais sans rupture, ont mené à une impasse stratégique et politique de l’aile gauche socialiste. Largement minoritaire au dernier congrès du PS et toujours alliée aux libéraux pour les législatives de 2017, c’est presque avec la même majorité parlementaire que seront votées les lois de ce pays en cas de victoire. Quelle peut alors être la crédibilité du projet présidentiel, annoncé comme en rupture avec le quinquennat, si ce sont les mêmes personnes qui sont investies pour voter les lois ? »

    C’est marrant, je ne disais pas autre chose quand tu me censurais à tour de bras. Quand ça vient des jeunes socialistes démissionnaires, tu ne peux plus cacher la poussière sous le tapis.
    Un autre revirement de ta part, c’est quand tu dis que les investitures pour les législatives pourraient être revues. Quand je disais que c’était un préalable pour l’unité, tu beuglais « pas de préalables ! »

  117. Posted 17 mars 2017 at 16:06 | Permalien

    bien sur mille fois j’ai dit « pas de préalable », mille fois « un accord global » mille fois « personne ne se rallie a personne ne se soumet a personne » accord global programme casting majorité
    mais ce que tu dis est faux faux !
    rien ne se passera comme ça
    soit on gagne le 23 avril et le 7 mai et on décidera donc de toutes les investitures labellisées en soutien au gvt (mais c’est exclu sans unité)
    soit on perd des le 23 avril et les droitiers du PS reprennent en force le controle et font ce qu’ils veulent, notamment un groupe parlementaire inféodé à macron vainqueur
    dans ce cas on avisera a propos de notre futur désirable qui deviendra incompatible avec ce choix macronisé

  118. socrate
    Posted 17 mars 2017 at 16:24 | Permalien

    je rejoins les propos de Gilbert Duroux 116
    tu finis par accepter ce que nous avions vu il y a deja plusieurs semaines voir mois…
    mieux vaut tard que jamais
    ce matin Hamon a dit qu il n’avait jamais eu l’intention de ceder sa place a Melenchon
    ce dernier non plus
    alors tu vois bien qu il n y aura pas d’unité…
    mais il faut voter pour celui qui a le programme le plus abouti celui de JL Melenchon

  119. Posted 17 mars 2017 at 16:30 | Permalien

    le programme n’a plus dans ce cas là aucune importance, ils sont voisins, et il ne sert a rien, a jeter a la poubelle le 23 avril à 20 h
    les gens voteront désesperément pour celui pour lesquels ils pensent qu’il y a un peu plus de chances

  120. Posted 17 mars 2017 at 16:50 | Permalien

    251 élus PS sur 16577 soutiennent Macron unité à gauche et… majorité !

  121. Posted 17 mars 2017 at 16:50 | Permalien

    251 élus PS sur 16577 élus PS soutiennent Macron

  122. Gilbert Duroux
    Posted 17 mars 2017 at 19:03 | Permalien

    GF : « soit on perd des le 23 avril et les droitiers du PS reprennent en force le controle et font ce qu’ils veulent, notamment un groupe parlementaire inféodé à macron vainqueur
    dans ce cas on avisera a propos de notre futur désirable qui deviendra incompatible avec ce choix macronisé ».

    C’est marrant que tu appelles ça « futur désirable ». Parce que tu crois que Hamon va rester avec vous ? Hamon va aller où y-aura de quoi faire du gras. On connait son parcours.

  123. Posted 17 mars 2017 at 19:24 | Permalien

    Et alors, pourquoi s’offusquer ? Il y a des raisons, non ? On n’est pas en République ? Au lieu de les dénoncer en faisant des listes à la Mc Caerthy ou en faisant la chasse aux sorcières, pourquoi ne cherchez vous pas les raisons possibles ? Macron n’st pas Marine Le Pen…

  124. Posted 17 mars 2017 at 20:34 | Permalien

    contre les droits sociaux Macron est pire que Le Pen et Fillon

  125. CRAYENCOUR
    Posted 18 mars 2017 at 9:50 | Permalien

    Voila pas mal de temps que des intervenants sur ce blog disent que Valls et ses amis ne sont pas de gauche; tu les incendies régulièrement, les traitant de diviseurs sectaires, au nom de ta spécieuse théorie de l’appartenance déclarative à la gauche; Valls serait de gauche, quoiqu’il fasse car il prétend être de gauche. Il me semble que cette désertion massive de Valls et ses amis prouve la fausseté de cette théorie, puisque, étant selon elle de gauche, ils vont tout de même soutenir un candidat que tu dis être de droite, au lieu de soutenir Hamon.
    On en reviens aux fondamentaux; ce n’est pas ce que l’on dit, mais ce que l’on fait qui prouve ce que l’on est.

  126. Posted 18 mars 2017 at 10:22 | Permalien

    « Celui qui combat peut perdre, mais celui qui ne combat pas a déjà perdu »
    C’est bizarre, c’est exactement ce qui m’est venu à l’esprit quand les « frondeurs » ont refusé de déposer leur motion de censure. Mais je vous taquine, c’est mal.
    « 251 élus PS sur 16577 élus PS soutiennent Macron »
    Et une procédure d’exclusion a été lancée comme prévue ? Ou vous allez encore avaler cette couleuvre là aussi ?
    « les gens voteront désesperément pour celui pour lesquels ils pensent qu’il y a un peu plus de chances ». Je pense que c’est là votre erreur fondamentale d’analyse.
    Les gens voteront pour celui qui, à leur avis, fera en sorte d’améliorer un minimum leurs conditions d’existence. Pour beaucoup, c’est hélas MLP qui représente la solution. Et, hélas pour vous, après 5 ans de Hollande, les gens ne font plus confiance à quelqu’un du PS pour faire ce qu’il annonce. C’est peut-être basique comme raisonnement, mais les électeurs vont souvent au plus simple quand ils sont devant les piles de bulletins.
    Si vous aviez dépensé autant d’énergie à convaincre les abstentionnistes ou les macronistes qu’à vous battre contre les mélenchonistes, vous auriez peut-être eu quelques chances.

    Remarquez quand même que, même si je suis un peu ironique, je ne manie pas l’insulte. Merci de ne pas en retour me traiter de FN ou LR ou EM. Si vous laissez les commentaires ouverts (moyennant modération quand même), ce n’est pas je suppose pour ne recevoir que des louanges.

  127. Michel PAVIEAU
    Posted 18 mars 2017 at 11:37 | Permalien

    « le programme n’a plus dans ce cas là aucune importance, ils sont voisins, et il ne sert a rien, a jeter a la poubelle le 23 avril à 20 h
    les gens voteront désesperément pour celui pour lesquels ils pensent qu’il y a un peu plus de chances »

    Tu as une vision minable de la politique. Il n’y a pas d’autres mots pour qualifier tes propos.

  128. Posted 18 mars 2017 at 11:51 | Permalien

    mais les radoteurs ne font pas pour autant la justesse de la théorie,
    un parti a une nature de classe,
    tous ses membres sont d’abord marqués par cela,
    ensuite individuellement l’appartenance a la gauche et a l’un de ses partis est déclarative
    nul n’a le pouvoir d’exclure ou de juger. (heureusement, staline est mort…)

  129. Posted 18 mars 2017 at 11:56 | Permalien

    non, c’est une grande et belle vision de l’action politique basée sur l’analyse concrète d’une situation concrète

  130. Posted 18 mars 2017 at 12:11 | Permalien

    Dans la politique anti sociale, Macron est plus à droite que Le Pen : il propose un hold up massif, géant de toutes les cotisations sociales, des salaires bruts, jusque là payés par le capital, les actionnaires, et de les faire payer par les salariés eux-mêmes à travers l’impôt.

  131. Posted 18 mars 2017 at 12:43 | Permalien

    Si Macron est pire que Le Pen, on se demande pourquoi autant de socialistes veulent voter pour Macron, autant les inciter à voter pour Le Pen. Ce raisonnement est stupide. Il est certain que les socialistes ouvrent un boulevard à Marine Le Pen, mais ils ne se sont jamais demandé pourquoi après autant d’expériences socialistes…

  132. Posted 18 mars 2017 at 12:53 | Permalien

    Macron est pire que le Pen contre la sécurité sociale : il propose un hold up massif, géant de 450 milliards de toutes les cotisations sociales, des salaires bruts, jusque là payés par le capital, les actionnaires, et de les faire payer par les salariés eux-mêmes à travers l’impôt. 72 ans de notre histoire sociale en seraient brisé.
    Mais ce n’est pas un fasciste raciste xénophobe comme Le Pen c’est un libertarien, un « facho Cro-Magnon » ultralibéral fanatique aile droite illuminée des républicains US
    cro-magnon, car il va briser toutes solidarités sociales, toute civilisation émancipatrice, et facho, parce que pour y arriver il faudra qu’il nous brise, sans doute il ne saura pas le faire, ne pourra pas s’en charger, donc Le Pen poussée par lui, le fera
    toutes les politiques libérales par leurs effets anti sociaux désastreux poussent à Le Pen… ou a la révolution si nous pouvons : socialisme ou barbarie
    ceux des socialistes (ex socialistes) qui vont vers lui rompent tristement avec le socialisme leur histoire, meme Cambadelis dit qu’ils vont à l’UDF…
    c’est Macron qui ouvre un boulevard à le Pen car c’est sa politique appliquée depuis 5 ans qui a mis le Pen là ou elle est et ça va s’aggraver forcément
    Macron appliquant sa politique, c’est le plus sur hélas des marches-pieds pour le Pen

  133. Gilbert Duroux
    Posted 18 mars 2017 at 13:34 | Permalien

    GF : « c’est Macron qui ouvre un boulevard à le Pen car c’est sa politique appliquée depuis 5 ans qui a mis le Pen là ou elle est et ça va s’aggraver forcément
    Macron appliquant sa politique, c’est le plus sur hélas des marches-pieds pour le Pen ».

    C’est faux. C’est le PS et ses dérives libérales qui, depuis des années, a ouvert un boulevard à Le Pen. Macron ne fait qu’écrire l’épilogue.
    Faut-il rappeler comment Mitterrand a contribué à faire émerger le FN pour des raisons bassement électoralistes ?

  134. Posted 18 mars 2017 at 13:53 | Permalien

    commentaires de journalistes de bazar,
    le FN n’est pas le produit « électoraliste  » ni de mitterrand, ni de hollande, mais de la politique qui fait du chomage et de la misère sans espoir
    macron va accroitre le chômage et la misère et donc accroitre le FN
    pour faire reculer le FN il faut de l’emploi, du salaire, de la redistribution des richesses

  135. Posted 18 mars 2017 at 15:13 | Permalien

    la gauche socialiste (dans le temps melenchon y etait avec nous) a gagne le 29 janvier à 60 % contre la droite socialiste ça change tout, unité pour gagner

  136. Posted 18 mars 2017 at 16:05 | Permalien

    Hamon ou Mélenchon? A gauche, certains croient encore à une candidature commune
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    Hamon ou Mélenchon? A gauche, certains croient encore à une candidature commune
    Combinaison réalisée le 16 février 2017 des portraits d’Emmanuel Macron, Jean-Luc Melenchon et de Benoit Hamon

    ©ERIC PIERMONT, JOEL SAGET, AFP
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    AFP, publié le vendredi 17 mars 2017 à 17h04
    Présidentielle: à gauche certains ne perdent pas espoir d’une union avant le premier tour, même si Hamon et Mélenchon continuent de l’exclure

    « Il est encore temps »: au sein de la gauche qui se revendique « sociale et écologiste », certains ne perdent pas espoir d’une union avant le premier tour, même si Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon continuent officiellement de l’exclure.

    Les deux hommes mettent toutes leurs forces dans la bataille ce week-end avec leurs plus gros rassemblements de campagne – 15.000 personnes attendues à Bercy pour M. Hamon, plus de 100.000 par M. Mélenchon place de la République. Et ils comptent également sur le premier débat télévisé lundi pour relancer la dynamique autour de leur candidature.

    La semaine prochaine s’annonce décisive, alors que les deux candidats sont poussés par des mouvements citoyens, le parti communiste, les écologistes mais aussi au sein de leur propre camp, à s’unir autour d’un « contrat de gouvernement » pour éviter que la gauche perde dès le premier tour.

    Quand ils ont dîné ensemble le 24 février, les deux hommes ont conclu un pacte de non-agression. Si M. Mélenchon ne se prive pas de critiquer la rue de Solférino, il ne dénigre jamais celui qu’il a connu au parti socialiste, voire prend sa défense devant le « sectarisme épouvantable » de Manuel Valls.

    M. Hamon fait de même, affirmant à l’envi qu’il n’a « pas d’adversaire à gauche ». « On n’est pas dans le rapport de force avec Jean-Luc Mélenchon », complète son directeur de campagne, Jean-Marc Germain.

    « Nous portons un regard indulgent sur Benoît Hamon, ce n’est pas un pourri, il croit en ce qu’il dit », explique Sophia Chikirou, directrice de la communication de M. Mélenchon.

    Jeudi, Arnaud Montebourg a demandé au député européen d’ »abandonner » sa candidature devant « le mur de l’histoire », en appelant à l’ »intelligence » du co-fondateur du parti de gauche.

    Mais ce dernier lui oppose sa légitimité depuis 13 mois qu’il est entré en campagne, la constitution de La France insoumise, qui compte près de 300.000 adhérents (gratuit) et la rédaction d’un programme très complet, l’Avenir en commun.

    - « Clause de revoyure » -

    « L’argument qu’(ils) donne(nt), c’est un argument de sondage, alors pourquoi pas l’avis d’une grenouille dans un bocal? » a-t-il ironisé vendredi. Son équipe estime en effet qu’il est sous-évalué dans les sondages d’intention de vote, préférant renvoyer sur son dynamisme sur les réseaux sociaux, les 150.000 euros de dons enregistrés juste après L’Émission politique sur France 2 ou l’affluence, jamais démentie, à ses meetings.

    A l’inverse, le camp Hamon n’imagine pas d’autre solution qu’un Mélenchon se rangeant derrière son champion, qui a gagné sa légitimité, lui, dans une primaire où quelque 2 millions de personnes se sont prononcées. « Pas un électeur de Jean-Luc Mélenchon ne pense qu’il sera président de la République », ajoute un proche de M. Hamon.

    « Ils attendent tous les deux de se détacher, chez Mélenchon on dit qu’il est en réalité à 20%, chez Hamon, on dit qu’il va descendre à 7% », estime le socialiste Gérard Filoche, agacé que ça fasse « trois semaines qu’on entend ça mais (que) rien ne se passe: ils sont toujours à égalité ».

    « Il y a une +clause de revoyure+ entre eux avant le premier tour, si les dynamiques ont bougé, ça peut donner quelque chose, sinon, ça ne sert à rien », observe un membre d’EELV qui « parle avec tout le monde ». Cette source ajoute que M. Mélenchon lui-même commence à réfléchir à une union.

    « Je pense qu’ils se sont mis d’accord avec Benoît Hamon pour attendre », renchérit Vincent Bony, très rare militant de La France insoumise ouvertement favorable à une candidature commune. Quand il s’est présenté au QG de campagne de M. Mélenchon pour annoncer qu’il commençait à diffuser un tract LFI « pour l’union », il s’est entendu répondre que « ça allait être très difficile de faire avaler qu’on rejoint le candidat socialiste après leur avoir tapé dessus ».

    Pour l’instant, commente Mme Chikirou, les départs vers Emmanuel Macron s’égrènent jour après jour. « Si Benoît Hamon perd l’aile droite du PS, vous imaginez la pression qu’il va avoir? On ne va pas le lâcher pour qu’il vienne avec nous. »

  137. Posted 18 mars 2017 at 16:24 | Permalien

    Les socialistes n’ont jamais créé de richesses, ni de salaires. Ils les font fuir !

  138. Posted 18 mars 2017 at 19:04 | Permalien

    en réponse à personne :

    je n’ai pas vu le moindre post de deux députés français de l’étranger socialistes, et re-investis pour leur circonscription par le PS, sur la présidentielle.
    Philip Cordery et Pierre-Yves Le Borgn’ soutiennent-ils Benoît Hamon ?

    Rappelons que la RTBF avait cité le souhait de Cordery, fin janvier, d’un ralliement à Macron, que Le Borgn’, le soir de la primaire, annonçait se mettre « en retrait » de la campagne de Hamon.
    Rappelons que le député vert Coronado s’est vu maintenir une candidature PS contre lui, après l’accord PS-EELV, alors qu’il annonçait vouloir voter Mélenchon, sous le prétexte que « Hamon et le PS ont bien le droit de s’assurer que les députés soutiendront en cas de victoire son programme ».

    Si ces deux députés sortants ne soutiennent pas Hamon, mais préfèrent un candidat de droite, pourquoi ne subissent ils pas le même sort que Sergio Coronado, qui lui reste sur un vote à gauche, de la part du PS?

  139. Posted 18 mars 2017 at 19:06 | Permalien

    ceux qui créent des richesses ce sont les salariés, 93 % des actifs, et ils n’en reçoivent pas la part qu’il méritent puisque 50 % d’entre elles sont détournées par l’oligarchie pillarde

  140. Emiliano Puerto
    Posted 18 mars 2017 at 23:02 | Permalien

    Pourquoi ne pourrait-on pas avoir Mélenchon président et Hamon premier ministre? Ici, on nous répondait que si Hamon retirait sa candidature, Valls le remplacerait immédiatement.

    Mais depuis hier, les candidatures ont été déposées et les 11 candidats sont connus. Valls n’y figure pas et ne pourra y figurer en aucun cas. Ni personne d’autre.

    Donc pourquoi ne serait-il pas préférable que l’union se fasse avec Mélenchon président s’engageant à prendre Hamon comme premier ministre?

  141. sansressources
    Posted 18 mars 2017 at 23:55 | Permalien

    duhamel 137
    dans un sens tu as raison, mais le patronat n’a pas créer de salaire et la richesse est uniquement pour sa pomme, ce sont les luttes des salariés qui ont arraché de meilleurs salaires et un début de partage, c’est par la lutte que la justice sociale existe et puis tu me fais bien rire sur la fuite de la richesse, pour les salariés peut être surement pas pour les actionnaires et les patrons, je rappelle que la France est championne du monde des dividendes, bien entendu les actionnaires s’empressent de les planquer dans des paradis, c’est ça la fuite de la richesse, mais sous la droite aussi, toutes ces bonnes âmes ne cherchaient qu’à fuir leurs responsabilités sociales, TPMG est leur seule motivation, et tu es bien injuste car le PS les a bien aidé

  142. Dominique Babouot
    Posted 19 mars 2017 at 0:19 | Permalien

    Il y avait des milliers de militants communistes aujourd’hui a Paris pour la sixieme republique et appuyer la candidature de Jean-luc Melenchon!
    Que l’apparechnik stalinien Chassaigne respecte le vote majoritaire des adherents de son parti!
    A l’heure qu’il est Benoit Hamon n’aaucune chance d’acceder au second tout qu’il soit seul ou pas a concourir a gauche, les electeurs ne sont pas des machines a qui on impose des choix, voila la verite!
    Alors si vous voulez rellement une candidature unique vous et les cadres communistes qui marchandent les candidatures avec le ps, persuadez Bh de retirer sa candidature comme l’a fait Jalot!
    Et puis meme si le ps avait decide de presenter une autre candidature, cela n ‘aurait fait que de prendre des voix a Macron, pas a la gauche!

  143. Posted 19 mars 2017 at 0:20 | Permalien

    dites le a melenchon ok ?
    dites lui que vous etes pour l’unité, dites le lui…
    avant que les deux n’échouent entre 11 et 13 % des voix hein ?

  144. Posted 19 mars 2017 at 0:21 | Permalien

    blabla…
    unite !

  145. Gilbert Duroux
    Posted 19 mars 2017 at 2:28 | Permalien

    J’entends Christophe Castaner, le porte-parole de Macron, ce soir chez Ruquier. Envie de gerber. Ils en ont quand même produit en quantité industrielle au PS des fumiers de cette espèce.

  146. valentin
    Posted 19 mars 2017 at 2:44 | Permalien

    @Gérard, voici plus de la moitié des 250 000 clics à Paris… tu sais les personnes virtuelles dont tu as parlé à plusieurs occasion…

    Il n’y a pas de dynamique aussi forte au PS, On peut raisonnablement se dire que mélenchon président et Hamont 1er ministre c’est une sacrée bonne idée… :) :)

    Humour mis de côté, je le constate dans la rue, les femmes et hommes de gauche se reconnaissent dans le programme, les idées et les valeurs qui sont portés. Il y’a comme tu le dis une base commune avec ce que veut défendre Hamon mais il ne va pas assez loin, reste trop dans les orientations qui ne vont pas suffisamment contre les puissants.

    Ce programme est bon, indéniablement. Il pose les valeurs clairement quitte à se faire des opposants, mais le jeu est clair, les cartes sur table.

    Donc UNITE, qu’on fasse valser ceux qui se disent de gauche alors qu’ils portent le libéralisme dans cette société qui n’en peut plus.

    Salutations Géérard, mon camarade, mon ami

  147. Michel - Pierre
    Posted 19 mars 2017 at 11:31 | Permalien

    « Simple sympathisant des partis de la gauche (entre autres, donc, le PS), je fais partie des 1 200 000 électeurs qui ont désigné Benoît Hamon lors de la primaire citoyenne.
    Je pense que nous devrions être 2 000 000 à signer cette pétition pour souligner combien il est malhonnête, à quelques semaines du premier tour, de prendre des positions visant à transformer le PS en parti de droite.
    Voilà pourquoi, pour ma part, JE SIGNE. »
    Ces trois phrases énoncent les raisons que je viens d’ajouter à ma signature de la pétition de Gino Glaco
    (https://www.change.org/p/parti-socialiste-pour-le-respect-du-résultat-des-primaires-par-les-élus-et-cadres-du-ps? ).
    Signons-la TOUS !

  148. socrate
    Posted 19 mars 2017 at 12:03 | Permalien

    dommage qu il n’existe pas un site permettant de choisir entre Hamon et Melenchon d’un simple clic
    nul doute que s il existait Melenchon serait devant Hamon car beaucoup de personnes de gauche ne veulent plus de candidats socialistes comme ceux qui les ont trahi en 2012

  149. Dominique Babouot
    Posted 19 mars 2017 at 12:47 | Permalien

    Finalement Gérard, on constate que tu consacres olus d’effort à dissuader tout le monde de voter pour Mélenchon plutot que d’essayer de convaincre de voter Hamon.
    Ton seul argument c’est unité! Unité pour quoi faire tu n’en parles pas!

    Finalement je préfère l’attitude de Benoit Hamon qui accepte qu’il puisse ne pas etre le seul à gauche dans cette élection présidentielle.
    Ce n’est pas parce que tu décides de mettre tesidées dans ta poche à chaque élection, ce n’est pas parce que tu dis le contraire chaque fois avant une élection que ce que tu dis lors des congrès qu’on est obligé d’en faire autant!
    De toute facon, tu nous serine avec ton obcession de l’unité, tu es le seul à gauche à le faire, mais je pense que c’est contre-productif, plus on insiste au pret des gens pour les contrarier plus ils persistent, c’est mon cas en effet!

  150. Posted 19 mars 2017 at 12:51 | Permalien

    ici c’est la cour,
    la face c’est quand meme le blog

  151. Posted 19 mars 2017 at 12:52 | Permalien

    bof g
    tu verras bientôt les vrais électeurs

  152. Gilbert Duroux
    Posted 19 mars 2017 at 13:30 | Permalien

    @ Valentin : « Gérard, voici plus de la moitié des 250 000 clics à Paris… tu sais les personnes virtuelles dont tu as parlé à plusieurs occasion…
    Il n’y a pas de dynamique aussi forte au PS ».

    Homme de peu de foi. Benoît Hamon va, bien sûr, faire rentrer plus de 130 000 personnes à Bercy, dans une salle qui en contient 15 000.

  153. Dominique Babouot
    Posted 19 mars 2017 at 16:04 | Permalien

    Entre nous soit dit, on peut toujours par jalousie ou par sectarisme parler de l’égo sur-dimensionné de Jean-Luc Mélenchon. Mais hier à la République le slogan le plus freéquemment crié était « RESISTANCE » et non pas « Mélenchon président » comme c’est le cas dans beaucoup de meetings de candidats à la présidence!

    Alors qui dit mieux?

    Vive la VI eme république!

    Vive la fin de la monarchie présidentielle!

    C’était d’ailleurs le petit panneau que j’avais décidé de porter, il y en avait bien d’autres!

    Cela ne vous fait pas envie?

    Franchement qu’est que je me suis rongé les ongles il y a cinq ans quand je n’avais pu aller à la Bastille!

    Et je n’étais pas le seul, je me souviens dans la grande salle de la fede socialiste de Toulouse, cette militante en réunion dans notre Ag « Un monde d’avance » qui avait avoué devant tout le monde avoir pleuré d’émotion le soir de la réunion à la Bastille!

    Hier contrairement aux meettings frileux du ps, le candidat Mélenchon a invité a chanter l’Internationale après la Marseillaise!

    Et c’est une décision de dernière minute de sa part, cela n’était pas improvisé, cela se voyait clairement, certains dans l’assistance avait tenté d’entrainer les autres sans succès!

    J’ai eu l’impression que le candidat Mélenchon en était meme gené de l’engouement qu’il suscitait de cette foule, et il disait humblement « Vous m’avez choisi comme porte-parole! »

    Alors l’invitation a chanter l’internationale c’est le cadeau magnifique à tous ces militants qui étaient là et qui refusent qu’on enterre le socialisme pour une soit disant unité qui n’aboutirait qu’à nous pièger dans le piège fatal de la disparition de notre idéal!

    Alors ne me parlez plus jamais d’ego à propos de Mélenchon, mon opinion est faite!

    On aurait pu aussi parler d’égo à propos de Lénine ou de Trostsky comme de toutes les figures de notre grande révolution francaise!

  154. Dominique Babouot
    Posted 19 mars 2017 at 16:13 | Permalien

    Franchement je ne suis ni sectaire, ni jaloux, je souhaite ardemment que ce soir à Bercy, le candidat Hamon fasse aussi bien, pour que à la place d’une unité de compromission sans principe on puisse appliquer le slogan qui fut longtemps celui du monde ouvrier:

    « MARCHER SEPAREMENT MAIS FRAPPER ENSEMBLE »

  155. Dominique Babouot
    Posted 19 mars 2017 at 17:56 | Permalien

    Eh oui la disparition de l’idéal pour le quel nous nous sommes battus toute notre vie: le socialisme!

    Tel est le compromis diabolique qu’on nous propose sous prétexte d’unité!

    Tellle est la véritable divergence qui oppose ceux qui composent la majorité du parti socialiste et la masse des citoyens qui la refusent fièrement, Camarade Gérard Filoche et celà Jean-Luc Mélenchon le refuse catégoriquement et nous poursuivrons ce refus avec lui jusqu’au bout!

    Vous ne nous entrainerez pas dans la compromission funeste qui n’aboutirait qu’à la disparition de nos valeurs!

    Le fait que dans aucune réunion animées par les militants du ps le chant des fusillés du mur des fédérés est à la fois un symbole et une honte qui dit bien combien la compromission avec nos ennemis de classe est avancée!

    Debout, les damnés de la terre
    Debout, les forçats de la faim
    La raison tonne en son cratère,
    C’est l’éruption de la faim.
    Du passé faisons table rase,
    Foule esclave, debout, debout
    Le monde va changer de base,
    Nous ne sommes rien, soyons tout.

    Refrain (répété deux fois)
    C’est la lutte finale ;
    Groupons nous et demain
    L’Internationale
    Sera le genre humain.

    Il n’est pas de sauveurs suprêmes
    Ni Dieu, ni César, ni Tribun,
    Producteurs, sauvons-nous nous-mêmes
    Décrétons le salut commun.
    Pour que le voleur rende gorge,
    Pour tirer l’esprit du cachot,
    Soufflons nous-mêmes notre forge,
    Battons le fer tant qu’il est chaud.

    L’État comprime et la Loi triche,
    L’impôt saigne le malheureux ;
    Nul devoir ne s’impose au riche ;
    Le droit du pauvre est un mot creux
    C’est assez languir en tutelle,
    L’Égalité veut d’autres lois ;
    « Pas de droits sans devoirs, dit-elle
    Égaux pas de devoirs sans droits. »

    Hideux dans leur apothéose,
    Les rois de la mine et du rail
    Ont-ils jamais fait autre chose
    Que dévaliser le travail ?
    Dans les coffres-forts de la banque
    Ce qu’il a crée s’est fondu,
    En décrétant qu’on le lui rende,
    Le peuple ne veut que son dû.

    Les rois nous saoulaient de fumée,
    Paix entre nous, guerre aux Tyrans
    Appliquons la grève aux armées,
    Crosse en l’air et rompons les rangs !
    S’ils s’obstinent ces cannibales
    A faire de nous des héros,
    Ils sauront bientôt que nos balles
    Sont pour nos propres généraux.

    Ouvriers, paysans, nous sommes
    Le grand parti des travailleurs,
    La terre n’appartient qu’aux hommes,
    L’oisif ira loger ailleurs.
    Combien de nos chairs se repaissent !
    Mais si les corbeaux, les vautours,
    Un de ces matins disparaissent,
    Le soleil brillera toujours.

    Quel plaisir de la chanter hier place de la république le poing levé comme un défi à ceux qui veulent nous enchainer et aussi aux plus sournois ceux qui cherchent à nou corrompre pour y renoncer!

  156. Dominique Babouot
    Posted 19 mars 2017 at 18:10 | Permalien

    Ce soir vous serez tous réunis à Bercy venus en cars de toutes la France!

    Qui d’entre vous aura le courage de chanter le chant de la Commune de Paris, les paris sont ouverts, je crains fort que ceux qui auront parié que certains de vous autres soit disant les défenseurs de l’idéal de cette lutte des martyrs de notre combat, le feront perdront!

    vous n’aurez pas ce courage, car ils ne faut déplaire à personne au nom de l’unité qui pousse à accepter n’importe quoi!

  157. Posted 19 mars 2017 at 21:27 | Permalien

    « non, c’est une grande et belle vision de l’action politique basée sur l’analyse concrète d’une situation concrète »

    Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais le monde a un peu changé ces dernières décennies. Aujourd’hui la sensibilité électorale change en fonction de ce qui circule sur BFM ou les réseaux sociaux, beaucoup moins ne fonction des tracts sur les marchés.
    On peu le déplorer, mais surtout les partis traditionnels devraient en tenir compte dans leur mode d’action.
    EM a parfaitement assimilé la chose, JLM un peu moins, MLP un petit peu, mais le PS et LR sont complètement à côté de la plaque.

    La grande et belle vision de l’action politique, aujourd’hui elle se passe sur Touiteur ou FesseBouc.

  158. Gilbert Duroux
    Posted 19 mars 2017 at 21:35 | Permalien

    Je sais ce que va répondre Gérard : « il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis ». Mais ça fait quand même drôle de voir derrière Benoît Hamon à Bercy David Assouline. Assouline qui aurait soutenu Hollande s’il s’était présenté à la primaire, qui était pour la loi travail, contre les frondeurs, qui est viscéralement pour le gouvernement israélien. Bref, moi j’appelle plutôt ça un calculateur et un opportuniste.
    Quand je pense que j’ai milité avec ce type contre la loi Devaquet. À l’époque, il faisait partie d’un groupuscule trotskyste, la LOR.
    Le PS, c’est vraiment une belle entreprise de recyclage de militants révolutionnaires. Combien d’anciens trotskystes dans les instances du PS ?

  159. Posted 20 mars 2017 at 0:07 | Permalien

    la tu as mille fois raison
    mais il n’a rien de trotskiste, les trotskistes sont ceux qui refusent la corruption et qui ne bouffent pas par le parti et sur le dos du parti, la dignité humaine c’est justement de défendre ses idées de façon incorruptible, pas de passer la main dans le dos de la femme du chef du moment

  160. Posted 20 mars 2017 at 0:07 | Permalien

    ca ne change rien, le niveau monte, la culture se partage, l’émancipation contamine,

  161. Posted 20 mars 2017 at 0:14 | Permalien

    vous vous trompez tout le temps,
    forcement extérieurs,
    sans but,
    toujours déçus d’avance, vous ne sentez pas le mouvement des masses
    les premiers applaudissements géants l’ont été pour les Communards et contre les Versaillais

  162. Posted 20 mars 2017 at 0:16 | Permalien

    quel plaisir d’entendre jaures, la commune, blum, mai 68, simone de beauvoir, la république sociale et le président de la feuille de paie
    un meeting de masse très a gauche
    y’a plus de différence entre melenchon à 90 % ils sont d’accord

  163. Posted 20 mars 2017 at 0:19 | Permalien

    non 20 000 + 5000
    la presse reconnait cela
    et ça vaut les 130 000 de la place république qui ne peut en contenir que 60000
    un succès pour les deux, pourquoi se disputer,
    deux très bons orateurs de gauche,
    qui sont a 13 % tous les deux
    et ont 90 % de points d ‘accord,
    « deux candidats redondants » ils disent sur BFM maintenant

  164. Posted 20 mars 2017 at 0:54 | Permalien

    Un accord Mélenchon-Hamon? Chez les militants des deux camps, plus personne n’y croit
    POL-FICTION 20 Minutes a interrogé les militants pro-Mélenchon à Bastille et les pro-Hamon à Bercy…

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    Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon.
    Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon. – Revelli-Beaumont/KONRAD K./SIPA
    O.P-V. et T.L.G.
    Publié le 19.03.2017 à 19:52
    Mis à jour le 19.03.2017 à 20:00
    C’est l’arlésienne de cette campagne. L’alliance Mélenchon-Hamon, celle que certains évoquent depuis plusieurs mois maintenant, mais qui n’arrive jamais. Jeudi, Arnaud Montebourg a tenté de relancer l’affaire en proposant, sans conviction, au leader de la France insoumise d’« abandonner » sa candidature. Réponse de l’intéressé le lendemain : « L’argument qu’(ils) donne (nt), c’est un argument de sondage, alors pourquoi pas l’avis d’une grenouille dans un bocal ? »
    Ce week-end, les deux candidats étaient de sortie. 20 Minutes en a donc profité pour demander aux soutiens de Mélenchon (samedi lors de la marche Bastille-République) et aux militants pro- Hamon (dimanche à Bercy) s’ils croyaient encore à cette union.
    «Qu’on n’en parle plus», souhaitent les pro-Mélenchon

    Samedi, le ciel était maussade pour la grande marche de Mélenchon. C’était aussi l’humeur de ses partisans interrogés sur l’alliance avec le candidat socialiste. Delphine, ancienne prof à la retraite : « Si on dit ok à Hamon, on fait quoi ? On remet Cambadélis, on reprend Valls ? Comment on change ? Je ne voterai plus jamais PS, et Mélenchon non plus, alors qu’on n’en parle plus ».
    Un peu plus loin, Dany, 25 ans, en remet une couche. « Hamon ce n’est pas un mauvais gars, je n’ai rien contre lui, mais derrière lui, il y a le social-libéralisme du PS. Et puis il faut arrêter de croire que les deux électorats s’additionnent. Mes amis PS ne veulent pas voter pour Mélenchon parce qu’ils ne l’aiment pas, ils le trouvent trop à gauche (rires), et moi je ne voterai pas PS parce qu’on ne me la fait pas deux fois, on n’a pas oublié le discours du Bourget de Hollande ».

    Charlotte, infirmière de 32 ans invite son adversaire à les rejoindre. : « Moi je ne regrette pas de ne pas avoir voté à la primaire du PS, les perdants renient tous leurs paroles, c’est une machine à trahison ce parti. Mais si Hamon veut nous rejoindre, c’est quand il veut, il a l’air sincère, pas pourri comme les autres ». Se ranger derrière le PS pour des sondages ? Non, répond Antonin, 20 ans. « Ils ne vont pas décider à ma place pour qui voter. Le vote utile c’est stupide, surtout que le mouvement est plus fort pour Mélenchon. Il sera devant Hamon au premier tour ».
    Chez les soutiens de Hamon, «des regrets» face à «l’ego de Mélenchon»
    Pas vraiment plus d’enthousiasme à Bercy, dimanche, avec les soutiens de Hamon. Quand on leur pose la question d’une alliance avec Mélenchon, ils préfèrent en sourire. Rémy, 33 ans : « Je n’y crois plus du tout. Les deux sont déjà bien lancés dans la campagne. L’affaire Fillon n’a rien arrangé car Hamon et Mélenchon espèrent lui passer devant et que Macron s’écroule dans les dernières semaines », avance l’intermittent du spectacle. « Quand on lit les deux programmes, c’est vrai qu’on peut avoir des regrets. C’est dommage, ce problème d’ego ».
    >> Lire aussi : Ça donne quoi le meeting de Bercy de Benoit Hamon sur l’échelle du «discours du Bourget»?
    « Les deux candidats n’ont pas la même idéologie », nuance même Lionel, 35 ans. « Il n’y a qu’à voir l’hommage rendu par Jean-Luc Mélenchon à Fidel Castro sous la statue de Bolivar pour le comprendre. Non, il y a vraiment trop de différences, l’idéologie communiste est belle à entendre, mais c’est une utopie ».
    Hugo, 22 ans, met l’échec des négociations sur le dos du candidat de la France insoumise. « Les deux incarnent de vraies valeurs de gauche, mais Mélenchon a un ego trop développé. Il devrait réfléchir aux conséquences, car il s’agit de la victoire de la gauche au final. Je veux toujours y croire, mais j’ai peur que ce soit trop tard », reconnaît l’étudiant en histoire.

    Marie-Hélène s’agace. «Mélenchon est trop solitaire. Un homme seul ne peut pas gagner. On peut avoir du respect pour son parcours, mais il est temps de changer de génération». La militante lève les yeux au ciel. «Je suis catastrophée que l’alliance ait échoué. Mais qui sait ? Le dernier mois peut nous livrer une divine surprise».

  165. Dominique Babouot
    Posted 20 mars 2017 at 8:47 | Permalien

    Mon cher Gérard, tu as raison, la place de la République était bien trop petite, il y avait des masses de manifestants arretés sur les boulevards adjacents sur les trottoirs!

    En suite à l’arrivée du cortège sur la place les militants du service d’ordre avaient du mal à convaincre la foule d’aller plus loin, il leur fallait toute une persuasion et un langage insistant pour se faire entendre « Avancez, avancez, vous bloquez le cortège, il reste des places et des écrans sur la place plus loin!

    Et pendant le discours ces chaines importantes de personnes qui tentaient de changer de place, sans doute parce que malgré les efforts des organisateurs, elles ne voyaient pas l’orateur!

    Alors oui samedi la place de la République était trop petite pour contenir les participants, Bercy aussi…

    La seule différence, c’était que on ne pouvait pas trouver une place plus grande à Paris et puis le choix du symbole, c’est important comme de chanter l’internationale en duo avec notre hymne national ou de ne pas laisser le drapeau tricolore à la droite et à l’extrème-droite, mais aussi ne pas oublier le drapeau rouge!

    Les révoltés du Moyen-Âge
    L’ont arboré sur maints beffrois.
    Emblème éclatant du courage,
    Toujours il fit pâlir les rois.

    Refrain
    Le voilà !, Le voilà ! Regardez !
    Il flotte et fièrement il bouge,
    Ses longs plis au combat préparés,
    Osez, osez le défier !
    Notre superbe drapeau rouge !
    Rouge du sang de l’ouvrier ! (bis)
    Il apparut dans le désordre
    Parmi les cadavres épars,
    Contre nous, le parti de l’Ordre
    Le brandissait au Champ de Mars

    Puis planté sur les barricades,
    Par le peuple de février
    Il devint pour les camarades,
    Le drapeau du peuple ouvrier.

    Quand la deuxième République
    Condamna ses fils à la faim,
    Il fut de la lutte tragique,
    Le drapeau rouge de juin !

    Sous la Commune il flotte encore
    À la tête des bataillons
    Et chaque barricade arbore
    Ses longs plis taillés en haillons !

    Variante :
    Sous la Commune il flotte encore
    À la tête des bataillons
    L’infâme drapeau tricolore
    En fit de glorieux haillons !

    Noble étendard du prolétaire,
    Des opprimés sois l’éclaireur.
    À tous les peuples de la terre
    Porte la paix et le bonheur !

    Les braves marins de Russie,
    Contre le tsarisme en fureur,
    Ont fait flotter jusqu’en Asie
    Notre drapeau libérateur !

    Un jour sa flamme triomphale
    Luira sur un monde meilleur,
    Déjà l’Internationale
    Acclame sa rouge couleur !

  166. Michel PAVIEAU
    Posted 20 mars 2017 at 10:04 | Permalien

    « et ça vaut les 130 000 de la place république qui ne peut en contenir que 60000″

    Ouai bien sûr, Hamon remplit une simple salle alors que Mélenchon doit faire meeting dans la rue car même le stade de France n’accueillerait pas tout le monde. Mais tu mets les deux meetings sur le même plan, logique quand tu nous tiens…

    Tous les observateurs politiques sont d’accord pour dire que la manifestation de la France Insoumise est pour le moment le plus grand rassemblement de la campagne, mais à toi tout seul tu contredis tout le monde en disant que les deux se valent !

  167. Posted 20 mars 2017 at 10:10 | Permalien

    Bonjour les amis,

    Je reviens du discours de Mélenchon.

    Je peux vous dire que la place de la République était à moitié vide et encore, le fond de l’assistance était assez clairsemée.

    La place de la République peut contenir 110 000 personnes en en comptant quatre au mètre carré, selon les organisateurs. S’il y avait 50 000 personnes, c’est bien la fin du monde. Mais j’en doute fortement.

    Rien à voir avec la place de la Bastille où Mélenchon avait réuni 120 000 personnes, toujours d’après les organisateurs. En tout cas, une chose est sûre, en 2012 (j’étais présent), on pouvait difficilement accéder à la place, elle était pleine à craquer.

    Clairement la dynamique n’est pas là.

    Melenchon peut toujours déclamer ses discours enflammés, mais ils sentent le réchauffé. Beaucoup d’emphase mais finalement peu d’arguments politiques adaptés à la situation actuelle. Du peuple plein la bouche pour faire oublier l’absence de stratégie. Alors évidemment, il ne lui reste plus qu’à entonner son dernier slogan : qu’ils dégagent tous !

    Bref, une gauche qui se construit sur le rejet plutôt que dans l’unité, la générosité et l’ouverture. On reste sur un sentiment de malaise diffus surtout quand il clôture son discours avec la Marseillaise. Ils étaient nombreux à chanter l’Internationale au même moment, ou simplement à refuser de chanter. Vraiment ça ne passe pas.

    Le réveil des insoumis va être dur, ainsi que celui de la gauche, sans un changement de cap. J’espère qu’après aussi peu de mobilisation, Mélenchon et son entourage vont commencer à réfléchir. Il paraît qu’Alexis Corbière avait la mine des mauvais jours.

    Amitiés
    FL

  168. socrate
    Posted 20 mars 2017 at 11:10 | Permalien

    Hamon et Melenchon au coude a coude a 12 %
    Hamon décroche de 4 points
    alors elle est ou la dynamique ?

  169. valentin
    Posted 20 mars 2017 at 11:58 | Permalien

    @FL, Troll mon ami?…

    C’est marrant parceque depuis quelques jours il y’a une certaine accélération des « soutiens » (allez on va dire, mots plutôt gentils! …sic!) de… certains membres du FN à l’égard de Hamon…

    J’ai l’impression que le FN qui a une base militante de terrain sent qu’il y’a un vrai danger de la France insoumise. Il va attaquer de plus en plus Mélenchon du coup. Que ce soit par la division ou d’autres moyens…

    Pour revenir sur l’article de @FL avec des « il parait que », on va aller loin dis donc…

    Sur les chiffres, voici quelques précisions. C’est une réussite incontestablement pour Mélenchon et Hamon après les proportions ne sont pas du tout identiques…

    Pour éclairer @Gérard, la place de la république fait 300 sur 140 soit 42 000 mètre carré. Si on compte 3 personnes au m2 ca donne 126 000… On enlève des aménagements présents su la place, les espaces plutôt délaissés d’autres plus concentrés, les rues voisines occupées en partie… 130 000 c’est un chiffrage qui me semble pas mal

    Pour Bercy, en capacité maximal la salle peut accueillir 20.300 personnes.

    Donc une très grande mobilisation de la France insoumise malgré le temps pas très clément à Paris et ceci en plus de l’ensemble des meetings dans les différentes régions.

    Et là est la différence avec Hamon. On ne peut pas jauger d’une dynamique sur un meeting même si celui ci compte bien sur. Il y’a une véritable mobilisation, engouement à gauche avec la France insoumise. Elle est là, forte.

    Donc unité, Mélenchon président (pour porter le changement et le programme) et Hamon président (pour consolider le choix des femmes et hommes de gauches sur un renouveau en rupture avec le parti et le programme de la France insoumise)

  170. Dominique Babouot
    Posted 20 mars 2017 at 12:06 | Permalien

    « La place de la république était à moitié vide »

    C’est ca! Continue à colporter les mensonges des libéraux et des traitres qui servent leur soupe!

    Saches une chose, si par malheur il arrive quelquechose à Mélenchon, un autre prendra immédiatement sa place!

    FIN DE LA MONARCHIE PRESIDENTIELLE
    Tel était le slogan et la raison d’etre de cette journée à la quelle si vous n’aviez pas l’esprit étriqué vous auriez du participer!

    Jean-Luc mélenchon l’avait proposé à Hamon ajoutant qu’il n’était pas obligé de rester à la fin pour écouter son discours!

    Et qu’est ce qui empechait de faire de cet instant un meeting commun de promotion des deux candidats dans la plus simple égalité!

    C’était possible, sur la place de la république pas un seul cri « Mélenchon Président »

    mais

    « RESISTANCE! »

    Mais Hamon n’as pas voulu, vous n’avez pas voulu parceque dans ce cas, vos petits copains qui haissent Mélenchon comme ils haissent tous ceux qui clament haut et fort le maintien de l’idéal des communards fusillés sur le mur des fédérés n’auraient pas voulu venir!

    C’est vous qui etes les obstacles à l’unité depuis le début!

    Casser le lien avec la bourgeoisie et tout ira mieux!

  171. Dominique Babouot
    Posted 20 mars 2017 at 12:15 | Permalien

    Tiens Quand je pense que je suis resté dix ans dans cette machine à trahir!

    Je me demande comment j’ai pu faire pour supporter celà!

    Je me demande comment cela a été possible d’écouter tous ces discours anti-sociaux sans perdre patience!

    RESISTANCE!!!!!

  172. Dominique Babouot
    Posted 20 mars 2017 at 12:23 | Permalien

    POLITIQUE FICTION QUI POURRAIT TRES BIEN ARRIVE

    Dimanche 23 Avril 20 Heures

    Rien à voir avec 2012, le candidat socialiste était arrivé en tete avec pret de30 pour cent des voix, là il est éliminé au premier tour avec un score inférieur à dix pour cent!

    Voilà ce qui vous attend, si vous continuez à ne pas choisir et à vous tromper d’adversaire!

  173. valentin
    Posted 20 mars 2017 at 12:42 | Permalien

    Bon, on ne peut pas avoir 2 présidents…

    Donc Mélenchon(pour porter le changement et le programme) et Hamon 1er ministre(pour consolider le choix des femmes et hommes de gauche sur un renouveau en rupture avec le parti et le programme de la France insoumise)

    Voilà, ca m’a l’air pas mal… :)

  174. Posted 20 mars 2017 at 15:09 | Permalien

    ce n’est pas ce qui « nous  » attend
    c’est ce qui attend malheureusement des millions de nos freres et soeurs salariés, de gauche qui paieront cher ce desastre

  175. Gilbert Duroux
    Posted 21 mars 2017 at 5:15 | Permalien

    Il faut arrêter maintenant de parler de candidature unitaire. Il est trop tard et les conditions politiques n’y sont toujours pas. Et après le débat sur TF1, qui a vu Mélenchon marquer des points (toute la presse le reconnait), ce n’est pas la peine d’imaginer qu’il pourrait se retirer pour être le n° 2 de Benoît Hamon.
    Au passage, le programme défendu par Mélenchon me semble bien plus proche des propositions de D&S que celui de Hamon.

  176. Posted 21 mars 2017 at 11:02 | Permalien

    il n’est pas trop tard, il y a des breches tous les jours

  177. Posted 21 mars 2017 at 11:14 | Permalien

    Bonjour

    Nouvelles de Lyon :

    Relevé rapide de notre réunion d’hier soir : 12 présente-e-s dont une 10 qui ont tenu à s’ excuser.La quasi totalité militant sur la démarche de L Appel des 100 depuis un an.
    Ian sera peut-être présent à votre réunion ce matin.

    1/- Sur la bataille pour L unité sur des contenus à la Présidentielle :
    Nous avons discuté la proposition de J Baptiste qui propose que soit lancée une pétition internet pour un référendum sur 1 J ou 1 semaine :  » quel est le candidat que vous souhaitez – B Hamon ou JLM – sur un socle partagé- celui synthétisé dans le tract national  » Alerte » + Europe ( vu débat Genereux-Picketty) .
    Notre échange montre un grand scepticisme pour certains car cela risque de prendre le sens d’un  » ralliement  » de l’ un à l’ autre par-dessus ceux et celles qui les ont légitimés et au final créer un mauvais climat.
    Par contre tous D’ accord pour continuer à demander un débat national entre les 2 car le débat public sera le seul à faire pression pour qu’ils trouvent un accord non perçu comme un ralliement .D accord aussi pour que cette proposition doit discutée nationalement ce jour car elle relève D une décision nationale.
    Peut être que la proposition « pétition Avaaz » peut L intégrer .

    2/- sur L enchaînement des étapes de notre bataille unitaire sur des contenus: nous pensons qu il faut préparer des à présent la suite :unité aux législatives et horizon de rassemblement de la gauche de transformation au -delà de la séquence électorale ( C est la démarche de fond de L Appel des 100) .
    Et éviter une démoralisation et un abstentionnisme fort à gauche si la bataille unitaire Présidentielles ne réussit pas, ce qui est une option malheureusement réaliste .
    Les questions de salles étant un réel problème à Lyon comme vous avez pu le remarquer … L
    Option de notre reunion publique le 8/4 tombe .

    Aussi nous avons décidé de préparer une réunion publique sous forme « Café-débat / bilan D étape  » mercredi 19 avril .
    Elle sera préparée sur 3 semaines et 2 temps forts à partir tract national et verso local:
    -temps d échange avec la population sur 3 le maximum de marchés que nous pourrons couvrir
    marchés ( le we des 1/2 avril)
    - temps D une apparition publique massive sur une place .

    Nous avons eu un échange sur l’opportunité de la date à 3 J du 1er tourvapéro-débat le mercredi 19/04 Au final il nous a semblé qu’il fallait se préparer à encaisser le choc – si nous ne parvenons pas à enrayer la division aux Presidentielles tout en menant la bataille unitaire jusqu au bout- et essayer de rebondir pour gagner cette bataille pour des candidatures communes dans la phase Législatives.
    Il nous a semblé que C n était pas un pb de date mais de continuité et D opiniâtreté de démarche unitaire porteuse de sens et D horizon.

    Amicalement
    A

  178. Jean-Louis Cayla
    Posted 10 avril 2017 at 10:13 | Permalien

    Et Manuel Valls, vous l’ oubliez? J’ espère que M. Cambadélis leur enlèvera l’ étiquette PS? Ensuite qu’ au dernier moment, M. Hamon se désistera pour Mélenchon, (comme le PS s’ est désisté pour la droite aux dernières élections), afin de rafler sa place au jeune illusionniste et permettre aux authentiques socialistes de gouverner avec la vraie gauche!

  179. Posted 10 avril 2017 at 12:27 | Permalien

    1°) on n’est pas face a la droite, là, vous devez faire erreur
    mais entre deux candidats de gauche « voisins »
    il n’existe pas de « vraie » gauche, mais une seule gauche pour un seul salariat
    pourquoi se désister alors qu’un accord aboutirait a de biens meilleurs résultats et dynamiques ?

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