Jusqu’au bout se battre pour l’unité Hamon Jadot Laurent Mélenchon

9 Commentaires

  1. Celina
    Posted 26 mars 2017 at 11:44 | Permalien

    Mille mercis à vous d’essayer,ne nous laissons pas décourager par ceux qui disent « tant pis peu importe le désastre », car il n’y aura jamais d’autre moyen pour la gauche de gagner que de s’unir. Il y aura toujours des divergences, c’est une vue de l’esprit de penser qu’un seul courant peut l’emporter démocratiquement. Que ceux qui aiment voire désirent la défaite, s’ils n’en ont rien à faire de ce que vont subir leurs concitoyens ,soient au moins un tout petit peu « stratégiques ». Pensent-ils vraiment que la gauche aura plus de chances à l’avenir après avoir refusé toute possibilité de victoire? Ne craignent-ils pas que beaucoup se détournent et considèrent qu’il n’y a rien à faire de ce côté? Qu’il vaut mieux aller vers d’autres horizons, s’adapter à d’autres conceptions etc? Ne voient-ils pas qu’ils risquent d’installer durablement l’idée fausse qu’un programme de
    gauche ne serait qu’une utopie?

    MERCI donc à vous, encore, de tenter l’unité jusqu’au bout

  2. Posted 26 mars 2017 at 14:22 | Permalien

    et meme si nous perdions le 23 avril, la question de l’unité restera centrale pour reconstruire la gauche
    mieux vaut l’unité pour gagner que l’unité apres avoir perdu

  3. Posted 26 mars 2017 at 14:23 | Permalien

    Une tribune à l’initiative des Jeunes socialistes du Finistère dénonce les ralliements de Jean-Yves Le Drian, Bernard Poignant et Richard Ferrand au candidat d’En marche, qualifiant ce choix d’insulte aux centaines de milliers de citoyens qui se sont déplacés lors des primaires de la gauche.

    Soutiens à Emmanuel Macron, vous n’êtes plus socialistes

    Vous avez fait le choix de soutenir Emmanuel Macron. Cette décision foule aux pieds nos valeurs, notre engagement. Elle insulte les centaines de milliers de citoyens qui se sont déplacés lors de la primaire de la gauche et ont exprimé leur désir d’une gauche vivante.

    Pour nous, être de gauche, c’est porter en étendard des valeurs d’égalité, de justice sociale. C’est porter une volonté de respiration démocratique et écologique dans toutes les sphères de la société. C’est également combattre les déterminismes sociaux afin que chaque citoyen puisse avoir les moyens de son émancipation. Etre de gauche, c’est œuvrer pour que chacun puisse se réaliser, en dehors de la sphère marchande et d’une société régie par l’unique principe de compétition. Notre vision de l’engagement, c’est le renouvellement des idées, du personnel politique, pour adapter notre logiciel au présent, comprendre le réel avec justesse, et ainsi aller vers l’idéal en le transformant.

    Elus depuis quarante ans, ces idées vous semblent certainement abstraites. Vous avez abandonné vos convictions, vous vous êtes focalisés sur la gestion de court terme et le maintien de vos positions acquises. Soutenir Emmanuel Macron, c’est probablement l’ultime reniement d’une vieille caste que vous incarnez, face aux citoyens, aux militants qui vous ont portés. Dont acte.

    Nous avons fait campagne pour chacun d’entre vous, sans relâche, car nous pensions naïvement qu’en dépit de désaccords ponctuels, nous avions des valeurs communes et faisions partie de la même famille. Vous avez aujourd’hui fait le choix de quitter la famille socialiste et sociale-démocrate, de vous tourner vers les solutions du passé. La gauche vivante préfère les éoliennes aux girouettes, ne comptez pas sur nous.

    Vous n’êtes plus socialistes. Pas uniquement par déloyauté aux statuts d’un parti, la politique ce ne sont pas des règles, mais ce sont des principes. Non, vous n’êtes plus socialistes car au lieu de défendre les services publics qui sont le seul patrimoine de ceux qui en sont dépourvus, vous soutenez la suppression de 120 000 postes de fonctionnaires. Vous n’êtes plus socialistes car au lieu de vouloir un Etat qui protège ceux qui sont frappés par la mondialisation, vous proposez de réduire son périmètre et de couper 60 milliards dans son budget. Vous n’êtes plus socialistes car vous préférez la suppression de l’ISF à une réforme visant plus de justice fiscale. Vous n’êtes plus, non plus, sociaux-démocrates, puisque la démocratie vous est étrangère, que vous êtes prêts à bafouer les résultats des urnes lorsque ceux-ci ne vous conviennent pas. Comme si les mêmes causes n’allaient pas produire les mêmes effets !

    En soutenant Emmanuel Macron, vous renforcez l’image déplorable que les Français se font de notre personnel politique. Par ricochet, c’est l’engagement que vous insultez car ce sont les militants de terrain, comme nous, qui chaque jour payons vos reniements. Vous semblez oublier, bien au chaud dans vos bureaux, que vous devez votre élection à des centaines de personnes qui, durant les campagnes et en dehors, sur le terrain, s’évertuent à convaincre les citoyens.

    L’argument du vote utile face au Front national tient au mieux du manque d’honnêteté intellectuelle, au pire d’un aveuglement mortifère. Vous en êtes les marchepieds. En reniant votre parole, vous alimentez le «tous pourris». En ralliant En marche et les ministres de droite qui en font partie, vous incarnez l’«UMPS». En prétendant éviter la «catastrophe», vous la préparez avec opportunisme et cynisme. Militants de la gauche vivante, nous continuerons d’inventer la gauche de demain, à innover dans nos territoires, avec les militants de l’écologie, les militants associatifs, les forces vives qui, elles, ne sont pas résignées. Nous n’avons pas besoin de vous. Partout en France, des initiatives fleurissent, elles essaiment et montrent qu’il existe un autre chemin, que les mêmes causes ne doivent pas fatalement produire les mêmes effets.Cette gauche se fera sans vous. Contrairement à vous, elle est droite dans ses convictions et n’a aucune place, aucun poste à défendre.

    Nos convictions, c’est qu’il n’y a pas de fatalité, qu’il n’y a pas de raison de voter par dépit, par déprime. Nous, nous militons pour un projet. Nous, nous militons pour des solutions nouvelles qui permettent de préparer la France de demain. Nous militons pour plus de justice, plus d’écologie, plus de fraternité. Nous sommes engagés pour un futur désirable, auquel vous n’êtes pas indispensables.

    Signataires : Ewen Huet, animateur fédéral des Jeunes Socialistes du Finistère ; Alain Coquillon ; Alexandre Billon, coordinateur des Jeunes socialistes de Quimper ; Alexandre Questel, militant PS ; André Dumont, militant PS ; André Fitamant, responsable associatif ; André Perros, ancien directeur de la CAF du Finistère ; Anne Diraison, citoyenne engagée ; Anne Gereec, militante PS ; Anne-Marie Caradec Roul, militante PS, ancienne élue ; Anne Primault, psychologue ; Annie Loaëc, militante PS ; Beatrice Coste, militante PS ; Benoît Le Sellin, étudiant ; Bernard Martin ; Bruno Gonidou, conseiller en insertion sociale et professionnelle ; Catherine Huon, militante PS ; Catherine Le Moign ; Catherine Le Roux ; Catherine Poullelaouen ; Catherine Tréanton, militante PS ; Chantal Mazzoni ; Christophe Le Gall, retraité ; Claude Hallegot, responsable associatif ; Corinne Lamas ; Daniel Chipaux, secrétaire de section du PS Vesoul-Noroy ; Danielle Lartigue, militante PS ; Danielle Le Pann, assistante sociale Education nationale ; David Afonso, militant PS ; David Rioualen, militant PS ; Dominique Juloux, retraitée ; Dominique Roger ; Elodie Kerneis, étudiante ; Eloge Benjary, militant PS ; Eric Lagadec ; Etienne Nguene, militant PS ; Fabienne Quere, militante PS ; Francine Bogaerts, militante PS ; Francois Dessons, cadre bancaire ; François Tardivot ; Françoise Cloarec, retraitée ; Françoise Euzen, sympathisante PS ; Françoise Plassart Bachelier, militante féministe ; Frédéric Pellé, militant PS ; Frédéric Tuffiere ; Gabriel Steffe, trésorier fédéral du PS Finistère, élu associatif ; Gael Foulon ; Gael Malgorn, militant PS ; Géraldine Lacroix, militante PS ; Gilbert Duliscouet, militant PS ; Gilles Jan, trésorier section PS Iroise ; Glenn Le Saout, responsable FIDL Bretagne ; Henri Le Guen, retraité ; Henri Lépine ; Hervé Bellec, enseignant, écrivain…

  4. françois 70
    Posted 26 mars 2017 at 20:00 | Permalien

    Le Drian, Poignant et Ferrand optent logiquement pour le candidat néolibéral Macron qui incarne la poursuite de la politique antisociale du gouvernement PS depuis 2012.
    Seule solution d’avenir pour les signataires de cet appel: lâcher le corbillard solférinien et appeler à voter JLM.
    Tu t’es planté en restant au PS quand Mélenchon l’a quitté en 2008.
    Errare humanum est…
    sed perseverare diabolicum!

  5. Posted 26 mars 2017 at 22:34 | Permalien

    voila 9 post révélateurs de trolls ordinaires
    les hypocrites qui parlent d’unité et se démasquent aussitôt
    mais ce n’est pas vous qui comptez heureusement, vos réactions violentes et vulgaires font seulement de vous quelqu’un de méprisable, ou bien seulement de borné,

    mais l’unité va se faire, elle doit se faire, sinon on perd tous
    et éviter le desastre est un besoin qui dépasse tout

  6. MALLET
    Posted 31 mars 2017 at 16:49 | Permalien

    Le problème principal c’est encore et toujours le rassemblement derrière le candidat PS, et bien cette fois, NON ! C’est au tour du PS de prendre le train qui est en mouvement, mais ça, êtes vous assez humble pour l’accepter ? La dynamique n’est plus portée par le PS, la dynamique elle est ailleurs, acceptez le ! Vous combattez l’aile droitière du PS depuis de nombreuses années, mais vous savez bien que le mariage entre la carpe et le lapin qu’il y a au sein du PS allait au clash , et bien c’est fait, aujourd’hui en 2017. Je suis désolé mais vous courrez à côté du train et le train va accélérer sans vous !!!

  7. Posted 31 mars 2017 at 17:56 | Permalien

    la méthode coué ne vous donnera pas raison, JLM ne peut gagner et il n’y a aura pas d’elu FI
    votre train est fantôme ou plutôt c’est un hologramme, le 23 avril à 20 h la lumière s’éteint

    il faut un grand parti de la gauche unie avec tendances ou une gauche unitaire, le salariat est pluraliste il doit en etre ainsi de son ou de ses partis
    sans passé on n’a pas d’avenir surtout en politique
    sans organisation on n’est rien, et un click ne vaut pas

  8. Bellini--
    Posted 31 mars 2017 at 19:28 | Permalien

    les accords par le haut sont terminés—c’est le peuple qui décide—et il a raison , vous raterez aussi ce train—- JLM est crédible et bien accompagné ,le peuple sait reconnaître la qualité humaine dont il a besoin !

  9. Posted 31 mars 2017 at 21:31 | Permalien

    rigolo « le peuple » qui decide ? vous est maos, vous ?

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