ce que Hamon aurait pu et aurait du répondre à la lettre de Jean-Luc Melenchon

Benoit Hamon, a peine élu, le 29 janvier 2017 a trahi sa parole. Il avait promis pour avoir nos voix d’appeler jean luc melenchon des qu’il serait élu et de lui proposer un programme commun de gouvernement, en expliquant qu’il ne faisait pas de sa candidature un « préalable » dans la discussion d’unité. Mais benoit hamon a trahi sa parole, ce qui n’incite pas a avoir confiance en lui. Il a recommence quand Melenchon lui a écrit, il devait répondre. Il devait profiter du voyage au Portugal pour en faire un exemple unitaire. Enfin, cette indispensable unité ne pouvait se solder en catimini, secrétement, dans le dos de millions d’électeurs et de militants, dans un restaurant en tete à tete, caricature du fonctionnement de la V° république. Pas la peine de faire des discours sur la VI ° république et de trahir, par ce genre de pratique,  ainsi la gauche, et de la faire perdre.

Il était possible a partir de la lettre de mélencjon d’engager a toute vitesse le dialogue et faire l’unité.

S’ils l’avaient fait, cette unité, quelque soit le candidat maintenu, ils seraient en tête aujourd’hui et on aurait l’un président et l’autre Premier ministre, mais à cause de leur bêtise partagée, de leur arrogance, ils ne sont rien, rien rien exils ont brise nos espoirs légitimes

 

PROJET ECRIT SUR LE MOMENT ET PROPOSE A BENOIT HAMON

Bonjour Jean Luc,

Tu le sais très bien, je suis le candidat qui a été désigné par plus d’1,2 million d’électeurs lors de la primaire du 29 janvier ouverte à la gauche et aux écologistes. Je l’ai été sur une orientation opposée à celle du candidat qui défendait le bilan du quinquennat sortant. Je l’ai été dans une dynamique qui englobe le parti socialiste et le dépasse. Les résultats du vote s’appliquent  à la direction du parti socialiste et je souhaite utilement qu’’elle soit impliquée dans la campagne que je dirige librement. Je suis libre et je m’adresse librement au peuple français

Bien sur, il faut fédérer et additionner des forces existantes à gauche, mais je ne veux pas être enfermé dans des logiques d’appareils.  La dynamique de rassemblement pour laquelle je milite, est la recherche d’un avenir désirable, dans un imaginaire éloigné de ce qui échoué les 5 ans passés, avec une mobilisation populaire.  J’ai été clair avec le bilan du Président Hollande et lui-même aussi puisqu’il en avait tiré la conclusion qu’il ne pouvait pas se représenter.

Et tu le sais forcément, car tu as suivi ce que j’ai développé depuis les primaires, pour répondre précisément à tes questions, j’abrogerais la loi El Khomri, je refuserais ce CICE sans contre partie, j’ai déjà voté contre la prolongation de l’état d’urgence.

La lettre que tu m’as adressée n’était donc pas, balayons une bonne fois pour toutes ce genre de choses,  destinée à un « corbillard » : soyons sérieux en ces graves moments de choix, il nous faut nous respecter si nous voulons parvenir à un accord et, pour ma part, je le veux toujours.

Les socialistes exigent le respect comme toi tu es en droit de l’exiger d’eux.

Je suis plus que jamais pour le rassemblement entre nous tous. Il s’agit de l’intérêt de la gauche toute entière pour gagner les 23 avril et le 7 mai. Victoire qui est d’autant plus à portée de la main que nous serons unis.

Et c’est toi même qui propose de « fédérer des partis de la gauche traditionnelle ».  Il n’est pas question d’un accord avec Emmanuel Macron, qui en n’étant « ni de gauche ni de gauche »… est de droite, et il suffit d’étudier ses éléments de langage pour que cela saute aux yeux tous les jours. Non, il s’agit de trouver une base commune à toute la gauche, c’est à dire entre nos positions que tu estimes « voisines » et avec celles, notamment, de nos amis EELV et PCF.

 

Si nous voulons le succès dans un processus qui nous rapproche, nul ne doit se soumettre à personne, nul ne dictera rien à personne, pas de conditions, pas de préalables, le respect est essentiel entre partenaires, nous ne pouvons y parvenir qu’avec un élan sincère et une volonté affichée et forte de réussir, en levant tous les obstacles, écartant les  préjugés, en sélectionnant ce qui nous rassemble et en écartant ce qui nous divise.

Depuis ma récente désignation, j’ai bâti ma campagne, ses thèmes, mes équipes, et, avec l’appui du Parti socialiste, elle a décollé,  elle se déploie. Ce qui fait qu’on va se croiser de plus en plus et que des millions d’électeurs, du fait de la configuration à la fois exceptionnelle et inquiétante de ce scrutin, vont se demander pourquoi nous ne sommes pas unis, toi, Yannick Jadot, Pierre Laurent et moi

 

Oui, il s’agit d’ouvrir une page nouvelle de la gauche et de l’histoire de notre grand pays.

Oui, nous voulons tourner la page de tout pouvoir personnel des hommes providentiels pour avancer vers une 6° République parlementaire, démocratique, laïque, écologique, féministe, internationaliste, pacifique. J’ai proposé que nous passions à la 6° République au cours même du quinquennat et en mettant en place des mesures qui nous en approchent, avec des députés ayant un pouvoir constituant.

Oui nous sommes d’accord pour la hausse des salaires, du smic, des minimas sociaux, le partage des richesses, un salaire maxima, et non seulement le retour aux 35 h mais la réduction de la durée du travail sur la semaine, et sur la vie, afin de réduire le chômage de masse.

Auxquels, tu le sais j’ajoute notamment, le contrôle des salariés sur les Conseils d’administration des grandes entreprises, un nouveau contrôle des licenciements, la reconstruction d’un droit du travail, avec la hiérarchie des normes, le principe de faveur, l’état de droit dans l’entreprise.

 

Et tu le sais je suis pour la mise en place d’une première étape d’un revenu universel, nouveau pilier de la sécurité sociale, qui assure l’autonomie des jeunes de 18 à 25 ans mais aussi pour une allocation dépendance qui permette de respecter dignement nos personnes âgées.

Oui, bien sur, à la transition écologique, avec une planification qui permette de sortir progressivement du nucléaire pour passer aux énergies renouvelables et durables. J’en ai déjà longuement discuté à notre ami Yannick Jadot. Car je veux aussi qu’on traite des lourdes questions des perturbateurs endocriniens, de la pollution des particules fines, des transports, d’un monde avec un environnement protégé pour nos enfants.

Je me suis déjà prononcé contre le CETA. Oui, bien sur,  nous protégerons l’indépendance énergétique, industrielle, numérique, agricole de notre pays et tous les emplois qui vont avec

Pour ce qui est de l’Union Européenne, je pense qu’avant d’envisager un plan « B » (je ne conteste pas, comme Thomas Piketty qu’il puisse en falloir un) il faut se battre pour un plan « A » : batailler avec une majorité potentielle des pays européens, contre l’austérité, pour que ce ne soit plus l’euro-groupe informel qui dirige notre monnaie, pour que ce soit un parlement ad hoc à la proportionnelle des pays, pour que la BCE prête directement aux états, et que soient ainsi remises en cause les diktats du monétarisme et du TSCG, contre lequel, je te rappelle, j’ai voté en 2012.

Je l’ai souvent dit, je ne suis pas pour nous enfermer dans ce traité qui limiterait à 3 % les déficits, il faut investir, relancer, renégocier les « dettes ». Je ne suis pas pour commencer par dénoncer les traités en préalable, ni pour risquer d’exploser dangereusement l’Union européenne mais je suis pour un réel combat en son sein pour la transformer, en faire une véritable Europe des peuples, pas des banques. Mon estimation, quand je t’écoute, est que nous n’avons pas la même méthode, la même diplomatie, mais nous pouvons avoir, quant au but le même objectif, de sauver l’Europe du désastre où les politiques libérales l’entrainent.

Encore que je suis favorable dés le début à la dénonciation unilatérale immédiate de la directive « travailleurs détachés ».

Je te le dis, quelques points clefs, comme la réforme fiscale, la réforme bancaire, la marche à la VI° République, des mesures immédiates sur la répartition des richesses, les salaires, le droit du travail, la priorité à la Sécurité sociale et à la santé, les retraites, des mesures importantes de transitions écologiques, une réorientation énergétique, une reprise en main collective de notre destin économique et industriel, tout cela nous rapproche pour gouverner ensemble.

Je ne réponds là qu’aux seuls points évoqués dans ta lettre. Tu as aussi tous les documents programmatiques sur mon site qui sont à ta disposition.

Mais je veux dire franchement et tout aussi directement que toi, qu’à partir de ces points d’accord, on peut avancer et trouver les solutions gouvernementales et la majorité parlementaire qui vont avec.

Il nous faut pour cela être assurés l’un l’autre d’une volonté commune d’y parvenir, de balayer tous les obstacles et  les diversions, et nous rencontrer de façon urgente mais dans des conditions de travail sereines et efficaces.

J’ai bien noté que tu envisageais les choses sérieusement puisque tu évoques le temps de consulter tes 250 000 personnes « followers ».

Si nous voulons y parvenir, il nous faut donc aller vite, d’autant qu’il nous faut associer respectueusement mais intégralement nos autres partenaires, d’EELV ou du PCF. C’est un très grand défi : mais là ou il y a une volonté il y a un chemin. La gauche, dans sa longue histoire à su réaliser de telles unités et quand c’est arrivé cela a provoqué d’extraordinaires dynamiques qui ont bousculé dans le bon sens la vie de notre pays, fait avancer puissamment les causes du progrès, du socialisme et de la démocratie.

Avec mes sincères salutations socialistes,

 

 

17 Commentaires

  1. phil
    Posted 24 avril 2017 at 8:04 | Permalien

    salut,
    et oui gérard, il ne reste que les regrets, l’amertume et la douleur
    de tout ce gâchis…mais jl mélenchon doit bien gonfler le torse avec
    19% et b hamont avec ces 6% doit se dégriser, et nous dans tout cela
    ce n’est plus de l’eau que l’on mettra dans notre vin mais juste de
    l’eau bien trouble.
    la droite a ces voleurs nous nos cons.

  2. arakyd
    Posted 24 avril 2017 at 9:25 | Permalien

    Oui, mais il ne l’a pas fait.

    Alors a quoi sert ce texte, maintenant ?

  3. Posted 24 avril 2017 at 9:50 | Permalien

    J.L. Mélenchon doit parler tout à l’heure. Il se trouve confronté à une difficulté politique. S’il s’était imposé, ce qu’il avait parfaitement les moyens de faire, comme le candidat unitaire de la gauche et du mouvement ouvrier il serait au second tour avec la victoire en perspective – ce que l’importance de son score prouve. Mais il a choisi autre chose, dénommé la « France insoumise » : l’union nationale au dessus des classes et des partis. Sur cette orientation, il est tout aussi difficile d’appeler à voter Macron – et déjà les représentants du FN répandent leurs éléments de langage à ce sujet : comment l’ennemi de l’oligarchie pourrait-il suivre B. Hamon et P.Laurent dans une union nationale derrière le candidat des banques ? – et tout aussi difficile de ne pas le faire, car il faudrait pour se le permettre sans apparaître comme faisant le jeu du FN, avoir une orientation alternative qui porte un nom très simple : lutte de classe, unité ouvrière, combat pour une constituante (une vraie, pas le machin tiré au sort et sans pouvoir) tout de suite, ni union nationale avec l’UE et Macron, ni union nationale contre l’UE et avec Le Pen, lutte de classe indépendante contre la V° République, l’UE, Trump et Poutine ! Bref, il faudrait au lieu de la « France insoumise » avoir une formation démocratique constituée sur des bases de classe. Le problème immédiat de J.L. Mélenchon est : comment va-t-il mettre sa rhétorique au service d’un appel à voter Macron qui ne soit pas explicite et puisse passer en même temps pour un appel à la révolte ? Le problème, beaucoup plus important, des exploités et des opprimés qui sont expropriés de ce second tour, c’est : comment aller vers cette organisation démocratique, ce parti non bureaucratique, qui ne soit ni comme les anciens partis, ni comme une ligue plébiscitaire ?
    Additif 21h 59 : ben voila, il a causé, et n’a rien dit ! Aussi fort que Macron !

  4. Posted 24 avril 2017 at 9:50 | Permalien

    a faire savoir ce qui était possible et a été proposé a temps

  5. gregory
    Posted 24 avril 2017 at 13:10 | Permalien

    Je suis électeur dans la 10eme circonscription de seine et marne, la candidate PS ( Juliette Meadel), à appelé à voté pour Macron des le 1er tour, d’ailleurs pendant les élections elle distribuait des tracts en vue de son election et ne faisait pas campagne pour Hamon.

  6. Posted 24 avril 2017 at 13:51 | Permalien

    tu m’étonnes ! évidemment c’est une archi droitiere

  7. lekri
    Posted 25 avril 2017 at 0:58 | Permalien

    Je pense, en regardant cette déroute du PS, qui ne date pas du 23 avril 2017, mais plutôt de 2012, qu’il faudrait mettre un point final à l’organisation du partie socialiste. Peu de français se retrouvent dans cette organisation politique. C’est la fin. JLM avait influé un courant dit partit de gauche avec de nouvelles idées. Il faut s’en inspirer, et pourquoi pas lui demander son aide et son appui car il ne faut pas oublié qu’il représente le premier partit de gauche de France. Au PS il faudrait aussi savoir faire sa révolution interne…

  8. Posted 25 avril 2017 at 15:31 | Permalien

    aussi longtemps que tu n’auras pas fait l’unité de la gauche personne ne gagnera

  9. Posted 26 avril 2017 at 8:10 | Permalien

    la gauche socialiste était petite du temps de JLM, nous l’avons développé au point de virer hollande et valls et de l’emporter sur la candidature
    helas, vexe, melenchon n’a pas voulu le reconnaitre
    Melenchon est à 100 % responsable de la défaite
    à 100 % il a refuse l’unité depuis 18 mois, et on savait tous que cela conduisait au désastre et seule l’unité pouvait permettre de gagner,
    le bluff des estrades ne pouvait pas le permettre, et ça sera pareil demain,
    et la haine sectaire et groupusculaire devra cesser si on veut un jour nous en sortir, vive l’unité de la gauche sans laquelle rien n’est possible
    je vais le dire, une bonne fois pour toutes : 6,5 % ou 19 % c’est pareil, c’est zéro zéro zéro c’est perdu, c’est la défaite, le désastre, c’est Le Pen Macron
    Et les deux qui ont choisi d’aboutir à cela sont responsables ET coupables, c’est leur faute de ne pas s’êtes mis d’accord et de nous avoir floué, conduit à tout perdre, et obligés à tout reconstruire.
    ils pouvaient faire gagner la gauche et l’ont condamnée en ne s’entendant pas alors que 80 % de leur programme était commun.

  10. Nicolas
    Posted 26 avril 2017 at 13:27 | Permalien

    il fallait faire le ménage dans votre taudis de partie socialiste avant de pouvoir engagé quelconque discussion, jcc et hamon sont les responsable de ce désastres. hamon confirme sa posture de candidat barrage à la france insoumise de Mélenchon.

  11. Posted 26 avril 2017 at 13:50 | Permalien

    vous nous avez jeté dans la gueule des loups Le pen Macron, et vous osez revenir donner des leçons ?
    mais cachez vous dans votre propre taudis !
    ça suffit, ce qui se passe chaque jour est desormais de VOTRE faute
    Melenchon est à 100 % responsable de la défaite comme Hamon, à 100 % il a refuse l’unité depuis 18 mois, et on savait tous tous tous que cela conduisait au désastre et seule l’unité pouvait permettre de gagner, le bluff des estrades ne pouvait pas le permettre,
    et ça sera pareil demain,
    et la haine sectaire et groupusculaire devra cesser si on veut un jour nous en sortir,
    vive l’unité de la gauche sans laquelle rien n’est possible
    et arrêtez votre stupide harcèlement contre la gauche socialiste, vous etes pourris dans votre tete
    je vais le dire, une bonne fois pour toutes : 6,5 % ou 19 % c’est pareil, c’est zéro zéro zéro c’est perdu, c’est la défaite, le désastre, c’est Le Pen Macron
    Et les deux qui ont choisi d’aboutir à cela sont responsables ET coupables,
    c’est leur faute de ne pas s’êtes mis d’accord et de nous avoir floué, conduit à tout perdre,
    et obligés à tout reconstruire.
    Et je ne dis pas cela contre leurs personnes, je m’en fou, mais contre leur choix stupéfiant : ils pouvaient faire gagner la gauche et l’ont condamnée en ne s’entendant pas alors que 80 % de leur programme était commun.

  12. Nicolas
    Posted 26 avril 2017 at 21:10 | Permalien

    Déjà je vais commencé par vous rappelez que c’est VOUS étes élus de la république.
    Je vous rappelle que c’est vous, qui etiez la majorité parlementaire sous un gouvernement de Gauche de votre propre parti.
    Et non moi le citoyen lambda comme moi.Je tiens a préciser que chez moi sa sent bon l’encens , par contre vous n’avez pas bronché une seconde vous et Hamon quand valls vous pissais dessus, vous n’avez pas su sentir que votre parti commençais à sentir l’urine. On vous avais prévenu du traitement que valls et consort allais vous réserver.

    C’est Trop tard pour se réveiller Filoche, Trop tard, arretez d’insulter a tout va !
    dire que vous êtes un élus de la république une honte.
    Vous l’avez dit vous même que c’était le bordel au PS en plus.
    Taudis ou bordel, je vois pas le différence, par contre vous m’insulter gratuitement.

  13. Posted 26 avril 2017 at 21:14 | Permalien

    je ne suis pas élu, renseigne toi avant d’écrire ici n’importe quoi

  14. Nicolas
    Posted 26 avril 2017 at 22:37 | Permalien

    Ah bah c’est une nouvelle rassurante, mea culpa , cela dit ceci n’est absolument pas une insulte contrairement à vos précédent propos je ne suis qu’un 1/30 000 000 000ieme du corps électoral
    Je ne suis en aucun cas responsable du resultat du premier tour de la présidentielle.
    Il faut savoir nuancé vos propos, vous sortez du cadre et vous vous en prenez aux mauvaises personnes.

    L’argumentation reste la meme, conseil national, bureau national du PS, bref prenez vous en aux macronistes et non à votre propre base électoral.
    Si FH ne place pas le type des 5% à la primaire PS des présidentielle de 2012, comme premier ministre, le parti n’aurai jamais été dans cette situation.
    Et le virus Macron n’existerai pas non plus.

    Moi aussi je suis en colère,mais contre Hamon au lieu de siffonner les voix de Hamon, Melechon a su rendre la raison a des millions de personne que navait que comme
    choix le vote de contestation qu’incarnait la folle sur l’échiquier.
    nopus peuple de gauche avons vu une cohérence dans son programme pour l’avenir en commun, je suis désolé que vous ayez des convergences ancienne antre melechon et le clan
    Montebourg, Hamon, Peillon.
    Montebourg en off, ayant confesser vouloir voté pour mélenchon. c’est là l’incohérence de la campagne de hamon, camabdelis aurai du etre dégommé
    au lendemain de la primaire a gauche. qu’es-ce qui c’est passé ?
    Valls a entretenu un mystère qui n’en était pas du tout un, pourquoi ?
    pourquoi n’avez vous pas contribuer a la fuite vers mélenchon, qui semblait clairement le favori de la gauche, pourquoi ne pas avoir percé l’abscès ?

  15. Posted 27 avril 2017 at 11:07 | Permalien

    mais melenchon n’avait aucune chance de gagner avec le méthode arrogante qu’il avait adoptée
    il n’y aura jamais d’insurrection civique gagnante
    et la gauche ne gagnera jamais sans s’unir
    l’arrogance et la division nous ont jété dans la gueule des loups macron et Le pen

  16. europe3332
    Posted 1 juillet 2018 at 14:10 | Permalien

    Au-delà des petites phrases qui font le buzz il y a un problème de fond à gauche.Quel est-il ? Y-a-t-il une place pour des politiques de gauche,de progrès,de défense de l’intérêt général dans le cadre des traités actuels de l’U.E. néolibérale ?Peut-on préserver les grandes sociétés nationales que sont la S.N.C.F.,E.D.F,G.D.F. ainsi qu’un enseignement public (universités,recherche)et des hôpitaux publics dignes de ce nom ?Peut-on préserver la cohésion des sociétés (contre de trop grandes inégalités)et des territoires en Europe?Peut-on mener une politique fiscale de progrès (# paradis fiscaux)et une politique favorable au développement industriel comme à l’environnement (=> transition écologique) ?La réponse est négative.Contre les traités actuels qui détruisent le consensus du Conseil National de la Résistance (# consensus de Washington)il n’y a qu’un seul levier,celui de la SOUVERAINETE NATIONALE.Le reste relève du débat tronqué,mal posé,inutile.Défendre les acquis des peuples ne revient pas à être nationaliste.Cela est injurieux,insultant,stupide (pour ne pas dire malhonnête).Le récent débat animé par J .Cotta sur le Média offre quelques repères utiles à tous ceux qui s’interrogent sur l’opportunité et la nécessité de rompre avec les traités actuels de l’U.E. qui sont,quoiqu’on en pense secrètement,le tombeau de la gauche en Europe.

  17. Posted 2 juillet 2018 at 16:30 | Permalien

    bah on est clairement pas d’accord

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