Signez la pétition contre la privatisation d’ADP !

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Contre la privatisation d’ADP, mobilisation générale !
10/05/2019 | la rédaction
Le Conseil constitutionnel a validé la proposition de référendum sur la privatisation d’Aéroport de Paris (ADP). Une grande mobilisation populaire pour recueillir les 4,7 millions de signatures de citoyen.ne.s. doit maintenant s’engager. Nous pouvons mettre en échec le gouvernement Macron-Philippe !
Macron veut privatiser Aéroport de Paris, la Française des jeux, Engie et les barrages hydrauliques… Il est possible de l’en empêcher. Il est possible d’organiser une grande campagne dans tout le pays sur la question des biens publics et de leur gestion. La scandaleuse privatisation des autoroutes a été un jackpot pour les groupes privés. Ça suffit !
Contre la privatisation de la Poste, en 2009, un large rassemblement s’était constitué afin d’organiser une votation citoyenne, qui avait rencontré un succès en nombre de participants. Il faut reprendre le même chemin.
Dans les localités, les départements, les régions et au plan national, constituons des comités unitaires contre les privatisations avec pour tâche d’amener des millions de citoyens à se prononcer en faveur d’un referendum contre la privatisation d’ADP.
Associations, syndicats et formations politiques de gauche peuvent converger avec un seul et unique but : organiser et développer la mobilisation pour gagner !
Les militant.e.s du réseau de la Gauche démocratique et sociale (GDS) sont engagés des la premiere heure pour cette bataille unitaire, afin de mettre un coup d’arrêt à la politique néo-libérale de bradage des biens publics aux intérêts privés.

 

29 Commentaires

  1. Sophie MASUCCI
    Posted 24 mai 2019 at 1:10 | Permalien

    Je signe la pétition contre la privatisation de Aéroport de Paris, la Française des jeux, Engie et les barrages hydrauliques…

    Merci Monsieur Filoche

  2. Sophie MASUCCI
    Posted 24 mai 2019 at 1:11 | Permalien

    Je signe la pétition contre Aéroport de Paris, la Française des jeux, Engie et les barrages hydrauliques…

    Merci Monsieur Filoche

  3. Garus
    Posted 24 mai 2019 at 9:40 | Permalien

    Invraisemblable, ce désir de vendre toutes ces pépites qui nous rapportent !!!!!

  4. Bousquet
    Posted 24 mai 2019 at 9:58 | Permalien

    Contre la braderie de nos fleurons. Après les autoroutes Alstom etc etc… ça suffit STOP

  5. Posted 24 mai 2019 at 10:46 | Permalien

    Bonjour

    1. Sur le site de GDS, vous trouverez l’appel à soutenir la grève mondiale pour le climat du 24 mai, dont la Gauche démocratique et social est signataire.
    http://www.gds-ds.org/greve-mondiale-pour-le-climat-du-24-mai-77-organisations-appellent-a-se-mobiliser/

    2. Sur le site, un autre article à diffuser sans modération, la tribune « Gauche : un sursaut nécessaire ».
    http://www.gds-ds.org/gauche-un-sursaut-necessaire/
    Nous sommes parmi les initiateurs de cet appel qui a l’avantage d’être paru avant le 26 mai. Dores et déjà, d’autres appels sont en préparation (parutions prévues la semaine prochaine). Nous allons travailler à des initiatives convergentes de ces différents appels en juin.
    3. Dimanche soir, un communiqué GDS sera disponible aux alentours de 20h30, ainsi qu’une vidéo de commentaire des résultats.

    A gauche, dimanche soir ce sera ou l’abattement ou la colère : à nous de faire en sorte que l’aspiration à l’unité se renforce.

    Amicalement

    Eric Th

  6. Michel-Patrick Lutz
    Posted 24 mai 2019 at 17:33 | Permalien

    Je signe la pétition contre Aéroport de Paris, la Française des jeux, Engie et les barrages hydrauliques…

    Merci Monsieur Filoche

  7. Hervé
    Posted 26 mai 2019 at 4:09 | Permalien

    Je ne vois pas la pétition contre le hold-up macroniste des biens communs français – notamment l’aéroport de Paris, la Française des jeux ou les barrages hydrauliques stratégiques ; autant de propriétés publiques que le président Macron veut nous voler pour les donner à ses amis milliardaires.

    Où se trouve t-elle cette pétition dont on entend partout parler mais que l’on ne voit jamais nulle part ?

    Y’a t-il concomitamment une pétition à signer contre la corruption de certaines de nos dites « élites  » ?

  8. Posted 26 mai 2019 at 10:08 | Permalien

    nous accumulons les signatures avant de trouver le texte en commun

  9. Posted 1 juin 2019 at 14:41 | Permalien

    je signe la pétition…

  10. PHILIPPE
    Posted 19 juin 2019 at 10:48 | Permalien

    Bonjour,

    je viens de tenter de signer mon opposition à la privatisation d’ADP sur le site officiel du gouvernement.
    Impossible !!! Le site bugue de façon incohérente. Foutage de gueule ou informaticiens nuls, au choix ! Tout est correctement rempli et bien que votant dans le 94 le site me demande de remplir obligatoirement le lieu de vote en outre-mer (!?).
    Régime autoritaire qui se met en place. Depuis quand en France doit-on signer une pétition sur un site officiel du gouvernement ?
    Amicalement
    Patrice PHILIPPE

  11. JOUANCHICOT Catherine
    Posted 19 juin 2019 at 22:20 | Permalien

    je ne veux pas qu’ADP soit privatisé

  12. emma
    Posted 20 juin 2019 at 16:59 | Permalien

    je ne suis pas d accort si cet pour comme les autoroute encore pour les riche non non et non

  13. Éric Delmas
    Posted 21 juin 2019 at 12:47 | Permalien

    Chères,chers citoyennes,citoyens,(j’ai pas osé le <>)
    Le <>’c’est pour l’électorat qui a élu un tas de cellules non pas humaines mais plutôt immondes et virales.
    La conscience du bien commun,du collectif,du collaboratif,du partage,du devenir sociétal,de l’épanouissement de tout un peuple,de toute une nation,de tout le genre humain n’est à la connaissance,n’est pas l’occupation,la préoccupation de ces amalgames biologiques:
    Ces immondes prédateurs élus avec 22% de voix,nous fourvoyent vers le système rétrograde et malsain anglo-saxon.
    Nous devons donc être 78%de l’électorat à voter contre tout dessein de leur part.
    Ne rien lâcher !!!!!!!!!!!!

  14. Dutilleul
    Posted 22 juin 2019 at 18:32 | Permalien

    je ne veux pas que l’aéroport de Paris soit privatisé

  15. Marc Loiseau
    Posted 23 juin 2019 at 20:47 | Permalien

    Vendre ADP c’est comme avec les autoroutes et EDF (qui ont été financé avec nos impôts )l’état récupère de l’argent s’empresse de le dilapidé et nous nous payons de plus en plus cher et les investisseurs se gavent

  16. Posted 24 juin 2019 at 9:09 | Permalien

    Bonsoir Gérard,

    J’ai dû m’éclipser hier soir, j’avais un train à prendre, merci de m’excuser de n’avoir pu te saluer, ni Pilou.

    Nous vous avons rejoint parce que la ligne que vous défendez, que nous avons surtout apprise à partir de tes campagnes, nous semblait la plus raisonnable. Je suis assez nouveau dans vos rangs, je ne perçois sans doute pas tous les enjeux.

    La réunion de hier m’a paru féconde car elle me semble porteuse des 2 axes que je crois nécessaires, le débat pour l’unité et l’action de terrain. La lutte contre la privatisation d’AdP permet cela.

    Cette situation où la gauche est enkystée dans ses composantes et les filets de ses débats, et où un énorme mouvement de masse est désemparé faute d’intervention en son sein, doit être dépassée. Bref, je veux continuer à prendre part à vos activités.

    J’ai lu ton livre sur 68. Il m’a apporté ce que j’y cherchais.

    Peut-être faut-il que je te parle en 2 mots de mon activité au sein de la LMR. Je l’ai rejointe en 1970, venant d’un groupe maoïsant qui avait réussi à Genève la scission du parti communiste (la LMR l’avait réussie à Lausanne). Ils avaient une solide base ouvrière mais ne satisfaisaient pas ce qui me paraissait prioritaire.

    Le régime intérieur de la LMR était différent de celui de la LC. Sans doute est-ce lié à l’histoire de sa direction. Mais plus encore à des caractéristiques suisses. Pays de petits pays (les cantons), ses sections intervenaient dans des contextes particuliers. Cela exigeait, dans le respect du centralisme démocratique, de l’autonomie. En Suisse, sans perspective de luttes décisives de la classe ouvrière, notre stratégie était moins portée sur l’intervention dans une telle crise que sur l’implantation au sein de la classe ouvrière suisse (suisse et immigrée, il existait deux marchés du travail).

    Le parti socialiste était le parti majoritaire, il dirigeait la principale centrale syndicale du pays (l’USS, une petite confédération chrétienne jouait un rôle marginal dans des cantons catholiques largement ruraux). Sa caractérisation de parti ouvrier bourgeois nous suffisait pour travailler à construire le notre et à chercher l’unité d’action sur les terrains que nous choisissions, à travailler au sein des syndicats. Nos premières campagnes centrales furent une campagne pour les 40h par le lancement d’une « initiative » (référendum) et une campagne avec le parti communiste contre les « caisses de pension ».

    La Suisse est un des pays les plus impérialistes, l’internationalisme était un élément central de notre activité.

    La possibilité existait de développer des activités dans le cadre de la ligne générale quand bien même elles n’entraient pas dans les priorités de la direction… pour autant qu’on évite le débat sur les priorités de celle-ci. Les débats politiques ne menaient pas à la constitution de tendances.

    Ainsi, de 1977 à 1985 j’ai animé un Comité de solidarité socialiste avec les opposants des pays de l’Est (CSSOPE) cherchant à regrouper des militantEs de toous les courants du mouvement ouvrier et interpellant toutes ses directions. Nous avions un solide ancrage dans le parti socialiste. Partis de Genève nous avons développé un courant national. Nous avons publié en 1982 la première brochure en français de Zbigniew Kowalewski, je crois. De fortes oppositions campistes ou anti-PS existaient contre cette activité, mais le camarade du SU lui apportait son soutien.

    Et puis, de 1985 jusqu’à mon départ de Suisse en 2015, j’ai développé un courant de lutte contre le racisme, SOS Racisme devenu Association COntre le Racisme SOS Racisme (question centrale en Suisse). Évidemment, je cherchais à travailler avec toutes les composantes de la gauche dans un cadre large, évidemment avec le PS. Évidemment, la LMR devenue PSO traînait les pieds. Nous avions pris contact avec SOS Racisme dès 1985, très vite participé à la coordination européenne mise sur pied. Nous collaborions surtout avec Eric, Harlem et Juju.

    En Suisse romande nous étions suffisamment solides pour nous développer malgré ce boulet. La direction nationale nous a fermé la porter de la Suisse allemande (SOS Racisme c’est sioniste, gnagnagna…).

    Lourde responsabilité, aucune véritable organisation de lutte contre le racisme n’a pu s’y développer. Plus tard nous devions en tenir lieu depuis la région francophone, malgré de trop faibles moyens et sans pouvoir établir le rapport de forces qui était nécessaire.

    Tu m’as entendu intervenir sur ce point hier. J’aimerais bien revenir là-dessus. Je pense que ce poison circule à l’excès dans les veines de la société française. Je sais bien qu’on ne le combat pas en moralisant, en anathématisant. Mais il faut en être conscient.

    Deux débats me préoccupent: d’une part la manipulation impérialiste et colonialiste du débat contre l’antisémitisme par toutes les composantes du pouvoir gouvernemental (le gouvernement actuel ou le précédent), et son avatar pervers, la sous estimation de l’antisémitisme par de larges rangs de la gauche (et notamment de l’antisémitisme dans la jeunesse et dans la population immigrée – j’ai le cuir épais, et je fais pas la chochotte, mais c’est grave!).

    D’autre part une insensibilité au climat islamophobe.

    Je suis affolé par le fait que malgré la présence d’une forte population algérienne en France, les combats symétriques de part et d’autre de la Méditerranée ne suscitent pas d’activité politique publique en France.

    Quelqu’un, hier, était-ce Laura? rappelait l’absence de la banlieue dans les luttes de gilets jaunes. Sur les ronds points que je connais, peu de personnes issues de cette immigration, et souvent elles participent au complotisme antisémite qui s’y fait dit. Comprends-moi bien, aussi longtemps que les fachos ne s’implantent pas, cette sensibilité ne m’effraie pas. Elle est assez compréhensible de la part d’une classe ouvrière qui a tout perdu, mines et usines, et service public, et espoirs dans le gouvernement, et qui cherche la cause de cet effondrement, et qui la voit dans la trahison plutôt que dans la violence capitaliste.

    Raison de plus pour y intervenir. Nous avons commencé de nous réunir aujourd’hui pour amorcer un comité local contre la privatisation d’AdP. Nous aurons besoin de matériel, et pas seulement sur AdP, mais sur toutes les privatisations, sur les boîtes du CAC 40, sur la politique du gouvernement… Cette bataille centrale permet une propagande plus large sur ces questions. Des meetings. Tu me vois venir.

    Bon j’espère ne pas t’avoir cassé les pieds avec mon babil.

    A très bientôt.

    Karl

  17. Posted 24 juin 2019 at 18:11 | Permalien

    idn.france.association@gmail.com

  18. Posted 24 juin 2019 at 18:12 | Permalien

    Le Comité contre la répression et pour les Libertés Publiques s’élève contre l’acharnement à l’encontre des syndicalistes !

    Le Comité contre la répression et pour les Libertés Publiques et contre la répression composé de plus de 40 organisations syndicales, associatives et politiques dénonce l’acharnement contre les militantes et militants syndicalistes.

    Elles et ils sont en première ligne face à une volonté du gouvernement de faire taire toutes les contestations. Macron veut en effet créer une société où nous serions contraints de courber l’échine, à l’image du traitement infligé aux lycéens de Mantes-La-Jolie, pour ouvrir la voie à la remise en cause de l’ensemble de nos conquis sociaux.

    Nous appelons à la solidarité la plus large pour défendre l’ensemble des syndicalistes réprimés, visés par des procédures disciplinaires ou pénales.

    Nous appelons notamment à la mobilisation la plus large :

    - pour exiger la réintégration de Jean-Michel Dieudonné, cheminot de Nancy radié au terme d’une procédure unique en raison de son affiliation à la CGT : Rassemblement le 24 juin à partir de 13h45 devant la Cité Judiciaire de Nancy

    - en défense de Linda Zerdhy, syndicaliste SUD-Rail, et d’Eric Bezou, cheminot SUD-Rail de Mantes-La-Jolie, dont le licenciement va être mis au vote du CSE de son établissement le 26 juin prochain pour s’être agenouillé devant ses supérieurs pour justement dénoncer la répression

    - à participer aux rassemblements vendredi 28 juin 18h30 devant la Préfecture de Police de Paris et les Préfectures partout en France en soutien Gaël Quirante (SUD Poste 92) et aux postières et postiers grévistes des Hauts-de-Seine, visés par de multiples procédures disciplinaires et judiciaires : au bout de 15 mois de grève, La Poste doit cesser de réprimer, elle doit négocier !

    Paris, le 23 juin 2019

  19. Posted 25 juin 2019 at 10:18 | Permalien

    comment hollande a trahi la gauche de 2012 à 2017 (link: https://youtu.be/nuk4MPhoAEs) youtu.be/nuk4MPhoAEs via
    @YouTube

  20. GIANNI Jean-Francois
    Posted 26 juin 2019 at 8:10 | Permalien

    Je signe la pétition contre Aéroport de Paris, la Française des jeux, Engie et les barrages hydrauliques…

    Merci Monsieur Filoche

  21. GIANNI Josette
    Posted 26 juin 2019 at 8:11 | Permalien

    Je signe la pétition contre Aéroport de Paris, la Française des jeux, Engie et les barrages hydrauliques…

    Merci Monsieur Filoche

  22. Dominique VARNIER
    Posted 27 juin 2019 at 19:29 | Permalien

    Je signe la pétition contre Aéroport de Paris, la Française des jeux, Engie et les barrages hydrauliques. Marre de donner aux riches de l’ISF les fleurons Français publics

  23. Posted 27 juin 2019 at 19:51 | Permalien

    Bonjour,

    Un petit mail pour souhaiter bon courage à ceux-celles qui iront négocier un accord politique national vu les déclarations récentes avec

    LFI

    Mélenchon qui parle de la vieille gauche officielle, mondaine, qui précise que LFI n’est pas un parti, et qui propose une fedération où c’ets lui qui dirige

    EELV

    Extrait du discours de D Cormand (22-23 juin)

    Nos alliés d’hier sont en miettes. Nous devons en tirer toutes les leçons. Apprendre de leur échec. Avec humilité et réalisme. Une page se tourne. Un cycle historique s’épuise. Pour la période qui vient, notre ligne ce n’est pas le ni droite ni gauche. Nous ne sommes ni ambigus ni ambidextre.

    Notre ligne c’est l’écologie affranchie. Affranchie des complexes. Affranchie des étiquettes. Affranchie des vieilles cosmogonies. Nous savons qui nous sommes. Les millions de personnes qui nous ont fait confiance le savent aussi.

    Alors nous ne répondrons à aucune sommation de nous définir par autre chose que parce qui nous réunit : l’écologie. Nous n’avons pas vocation à refonder qui que ce soit. Notre rôle est de faire jaillir une énergie nouvelle pour transformer le champs politique par une offre inédite. Nous sommes l’écologie affranchie. C’est-à-dire l’écologie tranquillement radicale, l’écologie vigilante, l’écologie qui ne s’excuse plus de porter une autre vision du monde que les productivistes qui l’ont détruit avec un bel acharnement.

    Nous sommes l’alternative. Nous avons vocation à assumer le leadership des idées et de la vision politique autour desquelles un rassemblement majoritaire peut se construire demain. L’écologie est la force propulsive de l’alternative. Nous devons donc construire le mouvement capable de porter une alliance large. C’est notre responsabilité historique. Nous n’avons pas le droit de nous dérober. Ni par sectarisme, ni par manque d’ambition.

    PS

    Le PS n’exclut pas les maires sortants PS soutenus par LREM, donc Macron compatible ….

    Sincèrement bon courage !!!!

    Didier

  24. OLIVIER POULAIN
    Posted 4 juillet 2019 at 21:10 | Permalien

    Bonsoir,

    Il est très difficile de signer la pétition officielle..je n’ai toujours pas réussi.
    D’autre part il y a 3 ou 4 petitions sur change.org…tout cela est très improductif…..

    olivier

  25. Posted 5 juillet 2019 at 8:40 | Permalien

    Ce mercredi 3 juillet vers midi, une jeune intérimaire domiciliée en Sarthe a été retrouvée morte sur le site de traitement de déchets verts La Rouvelière à Allonnes, en agglomération du Mans.

    Une jeune Sarthoise âgée de 19 ans a trouvé la mort sur son lieu de travail, le mercredi 3 juillet. C’est son père qui a découvert son corps, sous un monticule de déchets verts, alors qu’il la cherchait à l’heure du midi.
    Celui-ci travaille également sur ce site de traitement des déchets verts, zone de la Rouvelière à Allonnes, tout près du Mans. Extrêmement choqué, le papa a été transporté à l’hôpital. Le conducteur d’un des énormes engins qui circulent sur le site a été également été hospitalisé avant d’être entendu par les policiers. En vue de connaître les causes exactes de la mort.
    Une enquête en cours

    La victime est une étudiante qui effectuait ce travail d’appoint depuis avril. Elle y travaillait quelques heures par semaine.
    Selon les premiers éléments de l’enquête, elle portait son casque ainsi que son gilet réfléchissant lorsqu’elle a été retrouvée. Elle était chargée de trier les déchets dits indésirables sur ce terrain appartenant à Le Mans Métropole et exploité par Veolia. Non ouvert au public, la Rouvelière centralise des déchets venant d’autres déchetteries.
    Une enquête de l’inspection du travail est également en cours.
    Sarthe. Une jeune femme de 19 ans décède dans une déchetterie

  26. Posted 30 septembre 2019 at 18:56 | Permalien

    ce blog a été interrompu du 6 juillet 2019 au 30 septembre 2019
    installé en février 2009, le nom http://www.filoche.net était tombé dans le domaine public en juillet 2019
    faut de vigilance de notre part, nous l’ignorions
    nous avons cherché à le restaurer pendant l’été
    mais il a été racheté pour un escroc du Delaware, qui nous a demandé 3500 dollars pour nous rendre le nom
    alors nous l’avons ré installé sour un nouveau nom
    http://www.gerard-filoche.fr
    peu à peu nous allons le faire revivre avec tout ce qu’il contenait et en l’actualisant

  27. Posted 30 septembre 2019 at 20:06 | Permalien

    lubrizol

    La réglementation des installations classées a fait l’objet de nombreux assouplissements ces dernières années qui pourraient ne pas être étrangers à l’accident survenu dans l’usine de Lubrizol de Rouen le 26 septembre.
    En juin 2018, le gouvernement a publié un décret qui réduit le périmètre des projets soumis à évaluation environnementale. Parmi les installations concernées figurent les installations Seveso, qui constituent les installations les plus dangereuses au sein de l’Union européenne, du fait de la quantité de produits dangereux qu’elles mettent en œuvre. Malgré cela, l’exécutif a décidé de soustraire les modifications de ces établissements à une évaluation environnementale systématique pour les soumettre à une procédure d’examen au cas par cas.
    Jusqu’à la loi Essoc d’août 2018, cet examen relevait dans tous les cas d’une autorité environnementale indépendante. Mais cette loi de simplification a donné cette compétence au préfet lorsque le projet consiste en une modification des installations, et non une création. Une compétence que le gouvernement aimerait étendre, via la loi énergie-climat en attente de promulgation, à l’ensemble des examens au cas par cas.
    Deux demandes successives d’augmentation
    L’établissement Lubrizol de Rouen a bénéficié de ces assouplissements. L’exploitant a présenté deux demandes successives d’augmentation des quantités de substances dangereuses le 15 janvier et le 19 juin 2019. Conformément à la loi Essoc, c’est donc le préfet qui s’est prononcé sur les demandes et non l’autorité environnementale indépendante. Dans les deux cas, il a considéré qu’il n’y avait pas lieu à évaluation environnementale.
    Comme le rappelle le CGDD dans son tout récent guide de lecture de la nomenclature des études d’impact, « si la modification est soumise à évaluation environnementale (…), elle nécessitera en conséquence une nouvelle autorisation ». A contrario, les modifications non soumises à évaluation n’en nécessitent pas. Or, l’absence de nouvelle autorisation signifie aussi l’absence d’étude de dangers systématique, même si le préfet est toujours en mesure d’en exiger une. Contactée par Actu-Environnement, la préfecture n’est pas en mesure d’indiquer si une telle étude, destinée à prendre en compte les nouveaux risques liés à ces augmentations de capacité, avait été ou non réalisée par l’exploitant.
    Utilisation de bacs en multi-produits pour l’atelier mélange
    Sur quoi portaient les deux demandes de Lubrizol ? La première portait sur une augmentation des quantités de substances stockées sur le site : 1.598 tonnes supplémentaires au titre de la rubrique 1436 (Substances inflammables) de la nomenclature des ICPE, 36 tonnes au titre de la rubrique 4140 (Toxicité aiguë), respectivement 984 et 1305 tonnes au titre des rubriques 4510 et 4511 (Dangereux pour l’environnement aquatique). La modification prévoyait « l’utilisation de bacs en multi-produits pour l’atelier mélange », ainsi que la possibilité de « stocker dans les bâtiments et zones de stockage existantes du site de nouveaux produits ». L’analyse du formulaire de demande faite par l’exploitant montre qu’il s’agit en fait d’une demande de régularisation d’une augmentation de capacité déjà réalisée. Pourtant, la réglementation exige que toute modification notable de l’installation fasse l’objet d’une demande préalable à la préfecture qui doit donner son feu vert avant sa réalisation.
    La deuxième demande portait sur le stockage de 240 « ISO Containers », récipients de stockage destinés à être manutentionnés d’une capacité totale de 4.800 tonnes, dont 600 tonnes de produits classés sous trois rubriques (1436, 4510 et 4511) communes avec celles ayant fait l’objet de la première augmentation. L’installation prévoyait également la mise en œuvre de 24 postes de réchauffage destinés à modifier la viscosité des produits. Contrairement à la première demande consistant en une régularisation, cette deuxième prévoyait une phase de travaux incluant notamment la démolition d’un bâtiment amianté et plombé. La motivation de Lubrizol était de réduire les coûts liés au stockage des containers jusque-là réalisé sur le port du Havre puis dans une entreprise de stockage. Là aussi, la préfecture n’est pas en mesure de dire si ces travaux avaient déjà été mis en œuvre par l’exploitant avant l’accident.
    Chacune des deux décisions préfectorales prend soin de préciser que l’établissement relève déjà du seuil haut de la directive Seveso et que les augmentations de capacités ne conduisent pas à de nouveaux franchissements de seuils de la directive, qui auraient donné lieu à une nouvelle autorisation. Pourtant, si l’on cumule les capacités des deux augmentations successives, on parvient à des quantités supérieures au seuil haut des deux rubriques contribuant au classement Seveso : 1034 tonnes pour la rubrique 4510 (seuil haut à 200 t), 1605 tonnes pour la rubrique 4511 (seuil haut à 500 tonnes). Si le préfet n’a pas exigé une nouvelle procédure d’autorisation de la part de l’exploitant, il a pris un arrêté le 24 juillet dernier pour « mettre à niveau les dispositions applicables (…) en matière de prévention des risques technologiques » avec le nouveau stockage de produits classés en ISO containers.
    On sait que l’incendie est parti d’une zone de stockage, alors que les augmentations de capacités portaient également sur une telle zone. La préfecture se retranche toutefois derrière l’enquête judiciaire pour refuser de répondre sur un probable lien entre ces deux éléments.
    Grand chantier de simplification
    « C’est une belle illustration de la régression constante du droit. On exempte d’étude d’impact et d’étude de dangers des installations Seveso seuil haut en agglomération en by-passant l’autorité environnementale », dénonce Gabriel Ullmann, docteur en droit.
    Le Premier ministre, Edouard Philippe, a annoncé le 29 septembre une transparence totale sur l’accident. Quant au ministre de l’économie Bruno Le Maire, il a jugé utile de revoir les règles d’implantation des usines sensibles.
    Les dernières annonces du gouvernement n’allaient toutefois pas dans ce sens. Le 16 septembre, Matignon annonçait un élargissement du régime d’enregistrement pour des entrepôts allant jusqu’à 900.000 m3. Ce qui signifie la fin des études d’impact et des études de dangers pour ces installations. Le 23 septembre, trois jours avant l’accident de Lubrizol, Edouard Philippe annonçait également un grand chantier de simplification pour accélérer les projets industriels dans les territoires. Parmi les propositions ? Autoriser le démarrage d’une partie des travaux sans attendre… l’autorisation environnementale.

    Laurent Radisson, journaliste
    Rédacteur en Chef délégué aux marchés HSE

  28. Posted 1 octobre 2019 at 5:45 | Permalien

    « plan épargne retraite » sic ? ne vous laissez pas avoir, n’égarez pas vos sous, ne leur donnez rien, vous perdrez tout, car la retraite n’est pas une épargne, elle vous est versée en direct en temps réel par ceux qui travaillent à ceux qui ne peuvent plus travailler

  29. Posted 4 octobre 2019 at 14:18 | Permalien

    Macron amène le Pen et ne lui fera plus barrage ! Donc il faut le vaincre avant et pour cela il faut une issue politique et ce ne peut être que l’unité de la gauche

    Oui, pardi 550 morts au travail, 700 suicides liés au travail 4500 handicapes du travail, 650 000 accidents du travail avec arrêt, des dizaines de milliers de maladies professionnelles, et 6,6 millions de chômeurs… salaire médian de 1700 euros !

    Macron Rodez : un « comité indépendant fixera la valeur du point » ? Comme celui qui existe et veut bloquer ou baisser le smic ? Comme la BCE qui décide sans aucun controle démocratique ? pic.twitter.com/YXOEoHOUUw

    ‪Macron-Seux : diviser pour régner en cassant les retraites. laisser les acquis en place to day, les briser menu to morrow ! Etre abscons au maximum pour voler 25 % des retraites progressivement de demain à après demain – En fait tout le monde est visé, résistons ensemble !‬

    La gauche est une mosaïque de 18 partis EELV, Ensemble, FI, PG, PCF, PS, Générations GDS, GRS, MRC, NPA, LO, ND, RS, AL, POI /D, PRG. Il faut s’unir en  » comite de liaison permanent », et s’accorder sur la meilleure plate-forme possible et créer un nouveau grand parti pluraliste démocratique

    la biologie du corps humain est la même pour toutes et tous, vers 55 ans, le travail devient dur. Les plus belles années de la renaitre c’est entre 60 et 65 ans. Les plus dures années au travail c’est entre 60 et 65 ans. L’EVBS diminue actuellement de 64 à 63 ans.

    le travail est indissociable de pénibilité mentale ou physique, le travail est souffrance et tue : 550 accidents mortels, 700 suicides lois au travail, 4500 handicapés du travail par an, 650 000 AT avec arrêt, des dizaines de milliers de maladies professionnelles sous estimées

    Le capitalisme c’est la « compétitivité » donc le nationalisme et la guerre, il dépense d’ailleurs 2000 milliards d’armement par an ! L’économie de solidarité et de partage que nous voulons c’est le contraire, il ne peut y avoir de socialisme dans un seul pays.

    Macron en octobre 2017 devant préfets gendarmes et flics, a claironne que la directive européenne temps de travail, il ne l’appliquerait pas, ce qui est un délit : elle prévoit un repos quotidien obligatoire de 11 h

    FranceIfoTV : selon Macron En 2020, un retraité qui perçoit plus de 2 000 euros brut par mois verra sa pension revalorisée de 0,3%. En parallèle, l’inflation devrait grimper à 1,2%. Seules les pensions inférieures à 2 000 euros brut par mois seront donc revalorisées normalement

    FranceIfoTV : « Les pensions de retraite augmentent moins que les prix et ce devrait être toujours le cas en 2020, pour ceux qui touchent plus de 2 000 euros net par mois. En 2020, un retraité qui perçoit plus de 2 000 euros brut par mois verra sa pension revalorisée de 0,3%. En parallèle, l’inflation devrait grimper à 1,2%. Seules les pensions inférieures à 2 000 euros brut par mois seront donc revalorisées normalement. »

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