8 candidats à gauche 7 de trop

 

Les 8 candidats de gauche sont pour un SMIC net à 1400 euros et brut à 1800 euros mais il n’y aura pas de smic ni a 1400 ni à 1800 euros car il y a 8 candidats.

Les 8 candidats de gauche sont pour une grande sécu, unique et universelle, basée sur les cotisations sociales salariales, et gérée démocratiquement, mais Macron va fiscaliser la Sécu, supprimer les cotisations sociales, réduire la protection sociale car il y a 8 candidats.

Les 8 candidats de gauche sont soit pour le départ a la retraite à 60 ans ou a 62 ans (et s’il y avait consultation entre eux, les 60 ans à taux plein l’emporteraient bien évidemment) mais il va y avoir la retraite à 64 ou 65 ans parce qu’il y a 8 candidats.

Les 8 candidats de gauche sont pour la réduction du temps de travail, la semaine de 4 jours, et certains fixent à 32 h, mais dans cette voie, un accord est possible, ce ne sera pas le cas et Macron annonce la remise en cause des 35 h légales.

Les 8 candidats de gauche sont pour un salaire maxima, et ils le fixent à 20 fois le Smic, mais il n’y a aura pas de salaires maxima car les 8 candidats vont perdre devant Macron.

En Allemagne, CDU et SPD avaient signé pour qu’il n’y ait pas plus de 2,5 % de précaires non cdi dans les entreprises de plus de 300 salariés, mais en France on ne le verra pas parce qu’il y a 8 candidats de gauche qui ne s’entendent pas.

Les 8 candidats de gauche sont contre l’ubérisation mais Uber sera protégé par Macron.

Les 8 candidats de gauche sont contre le CICE, mais il perdurera quand leur division les aura fait perdre.

Les 8 candidats de gauche se sont prononcés contre les lois El Khomri et Pénicaud, mais elles ne seront pas remises en cause parce qu’à se disputer à 8 ils vont faire livrer le salariat à la droite

Les 8 candidats de gauche se prononcent plus ou moins pour des allocations d’autonomie et d’études à la jeunesse mais il n’y en aura pas car Macron est farouchement contre.

Les 8 candidats de gauche défendent l’école publique, alors que Macron est pour l’école privée.

Les 8 candidats de gauche défendent 100 % d’énergies renouvelables et leurs désaccords sur le nucléaire pourrait être arbitré (comme c’était le cas en 2012 et 2017) par débats et referendum. Mais il y aura au moins 6 centrales EPR de plus car Macron en a décidé ainsi.

Les 8 candidats de gauche sont pour les services publics,  mais avec la droite et l’extrême droite ce sera la course aux privatisations et la chasse aux fonctionnaires, « à la hache » comme dit Pécresse.

Les 8 candidats de gauche ont dénoncé les violences policières et les lois d’exception, les états d’urgence à répétition, mais avec Macron autoritarisme et répression seront au maximum.

Les 8 candidats de gauche se sont exprimés pour la santé et la recherche publiques, tandis que Macron a fermé des milliers de lits publics et donné des dizaines de milliards à la recherche privée, et continue de le justifier malgré son bilan désastreux face al pandémie.

Les 8 candidats de gauche se disent écologistes, féministes, en face il y a au moins deux candidats qui remettraient en cause le droit à l’IVG, l’égalité femmes hommes, les lois antiracistes,  les deux mêmes candidats d’extrême droite qui continueront a progresser si Macron l’emporte .

 

Certes il y a des différences à gauche, mais moins qu’entre la droite et la gauche.

 

GDS a méticuleusement comparé les programmes à gauche et on a constate qu’il y a plus de 80 % d’accord ; la division entre 8 candidats est incompréhensible et s’il y avait eu une table ronde de toute la gauche,  une tentative un tant soit peu volontariste d’écrire une plateforme commune de gouvernement, ils y seraient arrivés !

La dispersion de la gauche pluraliste a malgré tout un avantage : c’est qu’il n’y a plus de parti hégémonique capable de dicter aux autres des abandons de programme.
Le cœur d’une réunion de gauche aurait été a gauche, c’est Hidalgo avec ses 2 % qui aurait été obligée d’accepter les 60 ans a taux plein défendus par  la majorité de la gauche depuis trente ans.

Jamais l’occasion n’a été aussi propice pour qu’un bon accord de gauche soit vraiment de gauche.

Et tout pousse à l’unité vitale de la gauche, car en face, la bande des quatre, Macron, Pécresse, Zemmour, Le Pen se laisse aller à proclamer sans frein et sur tous les tons qu’il faut travailler plus, exploiter plus, payer moins, serrer les ceintures, fabriquer et traquer les pauvres, les chômeurs les immigrés, proclamer l’austérité, « rapprocher le salaire brut du net ».

Même le plus « mou » des candidats de gauche est quasiment et formellement révolutionnaire face aux exigences de la droite et de l’extrême droite.

Même des écologistes feignent de croire qu’ils gagneront seuls alors que de toute évidence, il n’y a pas d’écologie sans social, ni de social sans écologie. Les capitalistes dépensent chaque année 2000 milliards d’armes pour détruire la planète, comment sauver l’environnement, la bio diversité et le climat, sans renverser ce système et donc sans rassembler, unifier les forces sociales qui le permettent ?

Alors c’est incompréhensible pour des millions de salariés, électeurs de gauche, qu’il y ait une telle tension, une telle fracture, une guerre de classes au sein de notre camp, de notre classe.

Une guerre interne à notre classe qui prend le pas sur la guerre entre classe dominante et classe dominée.

 

Les « chefs à plumes » de la gauche s’excluent d’eux-mêmes.

 

Les chefs de la gauche se font des préalables entre eux plutôt que de se concentrer contre LREM, LR et RN. Ils ne discutent même pas. Ils ne se rencontrent pas. Ils se traitent entre eux de « lilliputiens » et de « nains ». En fait il y a 8 « nains » : le plus grand l’avoue, il ne propose pas de frayer une belle route commune, mais de « passer pas un trou de souris ».

Chaque chapelle, chaque appareil avance ses raisons, soit c’est « parce que l’autre ne veut pas » soit c’est « parce que l’autre est à droite » ou bien « un traitre », soit il n’est « pas républicain » », soit c’est parce que les divergences sont irrémédiables, soit c’est la faute à l’histoire, à ce qui s’est passé il y a cinq ans, ou le contraire, c’est qu’il est « trop tard ».

Il y en a même comme le PCF, qui fait l’impasse sur le résultat de 2002, affirmant que l’important est de développer ses idées et renforcer le parti. Pour d’autres, tous les chats sont gris, pas d’enjeu, NPA et LO se refusent à remplacer des « bourgeois de droite par des bourgeois de gauche », d’autres vont même jusqu’à appeler au boycott de l’élection, peu importe la violence des menaces de Macron, Pécresse, Le Pen ou de Zemmour et l’impérieuse nécessité d’y résister.

 

Certes une élection ne fait pas tout, ce n’est qu’un des terrains de la lutte de classes, il ne faut pas fétichiser le bulletin de vote, une insurrection sociale pèserait davantage qu’une improbable insurrection civique, mais quand même : nous, salariés, ne serons pas dans la même situation pour résister, lutter et gagner si Macron est ré élu ou ne l’est pas, si c’est la droite qui passe ou si c’est la gauche qui passe. Il est manifestement plus décisif de faire gagner le salariat que de renforcer un de ses appareils.

Le résultat en ce mois de février 2022, c’est que le 1er des 8 candidats de la gauche est à 10 % des voix et 4° derrière 2 candidats de droite et 2 d’extrême droite. Dans notre pays, historiquement si combatif et si social, c’est inouï. À croire que c’est une course à qui va être premier dans le cimetière. Comme si un vent de folie, de désespoir, un aveuglement frappait les 8 sensibilités politiques de gauche en présence qu’elles soient petites ou grandes.

Il y a comme une négation effrénée des expériences passées, rien n’ayant jamais été obtenu depuis cent ans, sans un front unique de gauche. Chacun sait que la gauche est issue du salariat et qu’il est forcément pluraliste entre la CGT, FSU, FO, la CFDT et Sud.

 

Il n’est toujours pas trop tard : ça bouge toujours

 

81 % des électeurs de gauche se prononcent dans les sondages pour l’unité de la gauche, il sont plus réalistes, plus avisés, plus motivés que les 8 candidats qui aspirent à les représenter.

C’est pourquoi, le 30 janvier, lors de la consultation restée connue sous le nom public de  » primaire populaire » il y a eu 467 000 inscrits, et392 728 votes exprimés ont été le signe profond de l’aspiration massive de l’électorat des gauches sociales et écologistes à l’unité. Ce n’était pas une « primaire » comme en 2017, (où il y avait eu 2,4 millions de votants pour balayer Valls) mais ce fut quand même un grand encouragement pour l’unité.

L’objet de la consultation, était  d’obtenir une candidature commune à la présidentielle,  pas  de rajouter une investiture de plus. Christiane Taubira, suivie par Yannick Jadot et Jean-Luc Mélenchon (en dépit de leur appel à ne pas voter pour eux mêmes)  est arrivée en tête parce que c’était elle la plus connue comme combattante de l’unité.

 

Taubira unité oui mais 9° candidate non

 

C’était à Christiane Taubira à partir de là d’exercer une responsabilité particulière pour initier des rencontres de toute la gauche. Il fallait être humble et ne pas faire de sa candidature un préalable, proposant de se retirer pour un accord. Mais hélas, c’est ce qu’elle n’a pas fait, elle a cru à sa candidature et elle a « convoqué » » les autres, lesquels ont dés lors refusé. Redevenue une 9° candidate, elle a vite perdu dans l’opinion, pas tellement à cause de ce qu’elle disait mais à cause de ce qu’elle ne faisait plus. Quand bien même aurait-elle eu un bon programme,  ce qui n’a pas sauté aux yeux,  elle n’avait plus aucune chance.

Ramenée à 2 et 4 % elle avait moins d’autorité 15 jours après pour peser.

Alors, forcément des pourparlers se sont engagés  semi publics, semi secrets pour un accord entre Yannick Jadot et Christiane Taubira  avec des répercussions dans la direction du PS en perdition.

 

Dans le PS une triple bataille fait rage :

La direction future de l’appareil est un enjeu : les « aubrystes », seuls, sont pour Anne Hidalgo et celle-ci sent bien  que sa campagne est en train d’échouer. C’est pour cela qu’elle a fait un pas unitaire vers ce qui était encore appelé « primaire populaire », avant de se rétracter. La direction autour d’Olivier Faure qui n’était pas pour une candidature socialiste, mais se l’est vue imposer, au congrès de Villeurbanne, en octobre 2021, a appelé à voter le 30 janvier 2022, espérant pouvoir prendre prétexte du vote pour se désengager. Les « Hollandais » qui ne désespèrent pas de voir leur ex président re-présider, mènent une bataille interne féroce contre la direction Faure (Michel Noblecourt dans Le Monde du 25 janvier révélait qu’Olivier Faure n’avait pas hésité à dénoncer la « trahison » d’Hollande incriminant la déchéance de nationalité, le CICE et la loi El Khomri). Ils ont, début février, trouver un compromis provisoire pour diriger la campagne avec Bernard Cazeneuve, rappelant même des gens comme Patrick Menucci, sous l’œil de Laurent Joffrin et de Serge Moatti.

 

Roussellement et après…

 

Dans le PCF, Roussel croit à sa campagne, vieille manière, visant à dépasser 5 %, afin d’être devant le PS, et de négocier des places ensuite aux législatives. Stimulés en interne par la logique de leur apparent progrès, ils ne songent plus à se retirer dans l’intérêt général.

 

Un accord Jadot Taubira et … Hidalgo ?

 

Dans EELV les Verts, la même logique d’autosatisfaction et de combat pour le leadership de la gauche, les pousse à continuer, même donnés dans les sondages à 6 ou 7 % des voix .

A l’heure ou nous écrivons, on ne peut exclure un accord Jadot-Taubira,  ni même un accord Jadot, Taubira et Hidalgo. Ca répondrait à la poussée actuelle d’en-bas : et cela modifierait la donne : une forme partielle d’unité serait attirante, mais du coup cela porterait le candidat EELV-PRG-PS à hauteur de JL Mélenchon, et la question ne serait pas résolue pour autant ! Avec 8  candidats de la gauche tu ne passes assurément pas au 2° tour mais même avec 2 candidats de la gauche tu perds encore dés le 1er tour.

 

« Vote utile » et « nains de gauche »

 

LFI nous assure que Melenchon n’est plus qu’à 3 points du second tour mais outre que ce n’est pas glorieux, car ça compte sur la division de nos ennemis plus que sur l’unité de notre classe, rien n’est moins sur : les niveaux changeront entre Pécresse, Zemmour et Le Pen, et l’un d’entre eux peut se retrouver pré sélectionné, ce qui porterait à nouveau le « ticket d’entrée » au 2° tour à hauteur de 20 à 23 %.

 

Mélenchon rejette violemment tout espoir unitaire, et il a cherché à déstabiliser par tous moyens la « primaire populaire » et ses responsables accusés de tous les maux. La logique est toujours « la force ira à la force » et l’argument principal est devenu le « vote utile », puisque Melenchon est apparemment en tête, il faut que les « nains de gauche » se retirent et que toute la gauche se « rallie ».

Evidemment, vu que Mélenchon est pour la hausse du smic et des salaires, pour la retraite à 60 ans, pour les 32 h, pour un salaire maxima à 20 smic,  pour une transition écologique, et une 6° République et qu’il tient le langage apparemment le plus anticapitaliste,  les électeurs acculés, cherchent la voie la plus désespérée pour porter la gauche au 2° tour, et, donc, le « vote utile » peut aller en sa faveur à gauche !

C’est devenu le pari quasi unique de tous ses supporters.

Mais sans unité, cela veut dire moins d’acquiescement, moins d’élan, moins de dynamisme, moins de chances de passer le seuil fatidique du 2° tour. Le 23 avril 2017, où le « vote utile » a eu largement lieu, ce ne fut pas suffisant, le refus d’un accord politique entre Mélenchon et Hamon empêcha le transfert des 6 % restant des voix Hamon sur le nom de Mélenchon.

Sentant la difficulté,  Mélenchon propose par avance l’unité le soir du 1er tour. Mais ce sera trop tard. C’est un peu comme aux régionales, lorsque Autain, Bayou, Pulvar ont passé un accord le soir du 1ertour, il était trop tard, ils ont perdu – alors qu’un accord, quelques mois plus tôt, aurait pu les faire gagner. Cependant lorsque Melenchon dit vouloir appeler à l’unité le 10 avril 2022, ça prouve qu’il reconnaît que l’unité est donc possible et qu’elle est nécessaire pour gagner. Il convient de lui répondre : « - Alors faisons la maintenant car le 2° tour se joue AVANT le 1er tour.

Il serait de toutes façons impossible en cas de victoire de gouverner sans les uns et les autres. Un gouvernement rouge rose est sur le chemin pour toute transition à gauche.

 

4 fois 577 candidats aux législatives ?

EELV propose 577 candidats dont 70 pour Générations, avec cet exemple que Benjamin Lucas serait candidat devant Ugo Bernalicis, et Karima Delli face à Adrien Quatennens. Genre annonciation d’une épreuve de force – avant négociation ou pas négociation du tout.

Dans ce cas le PCF présentera 577 candidats, le PS 577 candidats, et LFI 577 candidats. À 4, 5 où 6 candidats de gauche par circonscription, il se peut que pour la 1° fois de l’histoire il n’y ait aucun députe de gauche au Parlement.

Les législatives seront une réplique des présidentielles peut être en pire, car des millions d’électeurs en voudront à la gauche si elle prétend faire un accord les 12 et 19 juin alors qu’elle l’aurait refusée le 10 avril.

De toute façon des accords aux législatives, ça commence mal sur le terrain : alors que des assemblées unitaires  se tiennent localement pour tenter de designer un candidat commun, les militants de LFI se sont vus rappeler a l’ordre : « c’est une question d’accord national, pas local ».  Donc la guerre des appareils a déjà commencée pour juin !

 

Nous ne sommes pas de ceux qui se découragent :

 

La sinistre situation que nous vivons, nous ne nous y résignons pas. Tant qu’il y a de la vie à gauche, il y a de l’espoir à gauche. Ce sont des unitaires qui reconstruiront, pas les diviseurs. Ce seront ceux qui auront bien vu et bien agi qui auront semé les graines.

Un jour prochain, il faudra bien reconstruire une grande maison de gauche commune, pluraliste, démocratique :un congrès comme celui que Jaurès dirigea pour réunir les gauche et refonder le socialisme en avril 1905, le « congrès du Globe », à Paris.

Jusqu’au bout, nous appelons à tout faire jusqu’au bout pour le sursaut et pour que  Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot, Christiane Taubira, Anne Hidalgo, Fabien Roussel, toute la gauche se rencontrent et parlent !

Le dépôt des candidatures a lieu le 10 mars, ce n’est  le moment ni de renoncer à l’unité ni d’accepter de fait  8 candidatures.

Dans chaque parti, il y a des unitaires, dans EELV, LFI, PCF, PS, des courants lucides qui peuvent encore agir et contraindre au moins à une rencontre nationale, à un sursaut, à un essai volontaire de concrétiser une plateforme commune.

Avec eux, GDS appelle jusqu’au bout, à amplifier les actions, prises de position, comités, collectifs, rassemblement  pour une candidature commune et une plateforme commune.

 

Gérard Filoche, le 12 février 2022

 

 

 

 

 

 

2 Commentaires

  1. Posted 2 mars 2022 at 21:30 | Permalien

    la gauche c’est mort pour cette élection ! le rassemblement de la gauche niet ! à droite ils ne sont pas mieux ultras divisé ! macron risque de repasser dans un fzuteuil ! il pourra continuer sa casse sociale et s’acharner sur les plus faibles !

  2. Posted 3 mars 2022 at 12:16 | Permalien

    Compte-rendu du secrétariat national de la GDS

    Mercredi 2 mars

    Présent.e.s : Gérard, Emmeline, Marlène, Thomas, Jean-Yves. Excusée : Anne.

    Fonctionnement des instances SN, BN, EAN :

    Le secrétariat se réunira chaque mercredi de 18h30 à 19h30. Il abordera les points de fonctionnement, d’organisation, de calendrier et sollicitera directement les membres de l’EAN pour diverses actions.

    Le secrétariat propose de réunir l’EAN alternativement tous les 15 jours de 19h00 à 20h30. Nous confirmons le choix de ne pas réunir le BN et d’étendre l’instance de direction bi mensuelle à l’EAN.

    Rencontre avec l’UP, jeudi 3mars de 9h00 à 10h00

    Délégation de la GDS : Gérard, Emmeline, Marlène, Claude et Jean-Yves.

    Nous attendrons leurs propositions. Nous veillerons à aborder la question de l’UP, de l’unité nécessaire pour que la gauche soit au second tour, le pacte de législature, les législatives.

    Un compte rendu suivra.

    Comité de liaison

    Réunion de la coalition samedi 19 mars à Paris, bourse du travail. Objectif une centaine dont une délégation d’une vingtaine de la GDS.

    Présentation du programme et des discussions pour des candidatures communes aux législatives. Pour le moment il est possible d’avoir 100 à 150 candidatures dont une vingtaine de GDS dans le cadre d’une coalition « Rassemblement des gauches sociales et écologistes ». Ce regroupement a vocation de rencontrer PS, PCF, EELV et UP … et aussi autres regroupements tel que GRS, groupe Montebourg, MRC.

    Ukraine

    Continuer le débat collectif en étant attentif à l’évolution de la situation

    Le SN propose que nous organisions une visioconférence sur l’Ukraine, membre de l’EAN voire aux adhérents. A discuter à la prochaine EAN.

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