Archives par tags : sommet social

Mon intervention au BN du PS du mardi 1er juillet – « sommet social » 6 et 7 juillet ? Que faire face à la malignité patronale ? Leur céder tout ?

C’est bon qu’on en vienne à ce Bureau national à discuter concret des points de la négociation sociale en cours à la veille du « sommet prévu » les 6 et 7 juillet. Le rapport de François Kalfon soulève de nombreuses questions loin d’être résolues cependant. Car le fond de tout problème est que le Medef ne [...]

Sommet social : une messe sans foi…. et puis un joli petit jardin vert… et 6 cts d’euros sur un ticket de métro

  Ah le joli petit jardin vert… pour le découvrir en partant de Tunel, il faut prendre le petit tram qui remonte Istiqlal et arriver à la station sur la place Taksim, la place du partage et des rencontres…J’aime le petit jardin vert, le parc Gezi  il a suffi qu’il soit menacé d’être détruit par [...]

CFDT en danger, ne signez pas ce que le Medef vous propose, respectez la démocratie, unité !

CFDT, svp, pliez vous à la démocratie, pour qu’un accord soit valable il faut 50 % des voix parmi les salariés, vous ne les avez pas, ne signez pas de façon désespérée et minoritaire !

Communiqué du SAF (Syndicat des Avocats de France) : le MEDEF revendique l’immunité judiciaire pour les entreprises !

La véritable sécurité pour le salarié, c’est celle de conserver son emploi, ou d’en retrouver un, pérenne et digne, dans des délais très brefs, et non celle consistant à obtenir des droits sociaux maintenus en cas de perte d’emploi en contrepartie de la possibilité de perdre plus facilement celui-ci. Il paraît illusoire d’obtenir des droits nouveaux potentiels pour les salariés les plus précaires si cela se fait en contrepartie d’une précarisation générale de l’ensemble des salariés.

Forcing au « sommet social » : le Medef exige de pouvoir licencier SANS MOTIF. Il veut des salariés kleenex

S’il n’y a pas d’accord, dans ces conditions, ce qui est plus que souhaitable, le gouvernement s’est engagé à légiférer : mais cela ne saurait être pour accorder au patronat ce qu’il souhaite, car là, il y aurait plus que rupture des « 60 propositions de François Hollande », il y aurait reprise de ce qui avait été engagé sous Sarkozy avec la loi Warsmann : en quelque sorte ce serait ses décrets d’application et cela serait intolérable. Le résultat serait d’ailleurs que pouvant licencier sans motif, sans plans sociaux, le patronat augmenterait le chômage de masse. Ce serait pour Mme Parisot le meilleur moyen de battre la gouvernement de gauche, et de faire revenir les amis de son chéri, celui qui, selon elle, avait fait un « bon job », Sarkozy.

Chronique n°98 lisez dans l’Humanité dimanche : Ali le livreur

Il n’aura jamais de formation Ali, jamais de promotion, ça ne se fait pas pour des « livreurs ». Le jour où Ali ne pourra plus, les reins brisés, son patron le licenciera et il en prendra un autre, plus jeune, plus fort, plus rapide. Afin de rester « compétitif » dans la zone de livraison. Le Pôle emploi ne retrouvera rien à Ali, lorsqu’il aura plus de 50 ans. Il n’aura même pas ses annuités retraite. C’est de ça dont on parle au « sommet social » ?