Merci aux 11 8000 adhérents (13,67 %) qui ont voté motion 3 « Maintenant la gauche, le social au coeur », le 11 octobre et aux 21 000 adhérents (29 %) du Parti socialiste qui ont reporté leurs voix sur le candidat émanant de la motion 3, Emmanuel Maurel. Ces deux votes interpellent tout le parti : ce congrès a permis d’exprimer l’attente d’un parti plus démocratique, plus collectif, plus libre et vivant et surtout d’une gauche plus offensive sur les salaires, l’emploi, la redistribution des richesses, le droit du travail… Cette secousse, ce message au sein même du Parti socialiste c’est bon pour les salariés, bon pour la gauche, bon pour le gouvernement, bon pour le pays.
Unité de toute la gauche et des syndicats :
- pour une hausse substantielle du Smic, des salaires
- pour une loi sur le contrôle des licenciements et le maintien des entreprises en dépit des diktats de la finance
- pour investir contre le chômage de masse, pas pour rembourser les banquiers et autres usuriers.
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Comment résister aux lois Macron, El Khomri et Cie ?
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« Vive l’entreprise ? » LE CODE DU TRAVAIL EN DANGER
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Comment résister à la démolition du Code du travail
Comment résister à la démolition du Code du travail
(G. Filoche, en collaboration avec Richard Abauzit.)
Préface de Thierry Le Paon
Aux Éditions Le Vent se lève, collection Ô Rages ! Nouveauté 116 p. 10 euros -
Une vraie retraite à 60 ans
Une vraie retraite à 60 ans c‘est possible
(G. Filoche, J.J. Chavigné)
Jean-Jacques Chavigné et Gérard Filoche ont publié en 2010 « Une vraie retraite à 60 ans c’est possible » (éditions Jean Claude Gawsewitch). Ils publient courant septembre un nouveau livre intégrant la réforme des retraites de 2010, la crise économique et celle de l’Union européenne, l’arrivée au pouvoir d’un Président et d’un gouvernement de gauche…
Lire la suite -
Le choc
Le choc, après Cahuzac
128 p, 9,90 € Éd. Gawsewitch – en librairie le 13 juin (G. Filoche, C. Gispert, JF Claudon)
Le « choc Cahuzac » du 2 avril 2013 a ébranlé toute la France. Ce jour-là, des millions de citoyens ont découvert, abasourdis, une insupportable vérité.
Le chef du Budget fraudait le Budget.
Le ministre chargé de lutter contre la fraude fiscale trichait.
Le ministre de la rigueur l’appliquait aux autres mais pas à lui. Le défenseur intransigeant de la « règle d’or » planquait son or. L’homme qui jouait le « père la morale » n’avait aucune morale.
Lire la suite -
« La dette indigne »
La dette indigne
10 questions, 10 réponses
Par Jean-Jacques Chavigné et Gérard Filoche.Éditions Jean-Claude Gawsewitch, 240 p., 14,90 euros
En 10 questions, 10 réponses, les deux auteurs avancent leurs propositions après un passage en revue détaillé de toutes les solutions présentées : de la restructuration des dettes publiques aux plans d’austérité en passant par la « règle d’or », la sortie de la zone euro, les euro-obligations ou la monétisation des dettes publiques.
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« Au boulot ! », ma chronique dans Siné Hebdo et maintenant dans l’Humanité
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Méta
16 Commentaires
Dire que tant d’ex-UMA ont suivi une stratégie de ralliement, d’abandons d’idées, la peur au ventre pour des questions de postes, et dire que la motion 3 a plus de postes que prévu…
Leçon 1 : défendre ses idées ça peut être payant.
Leçon 2 : ne pas être dépendant du parti pour vivre.
Leçon 3 : chercher à avoir des postes mais pour défendre ses idées, pas subordonner ses idées au but de gagner des postes !
Leçon 4 : les bonnes idées ne sont pas conçues pour des intérêts dans l’appareil mais pour les besoins des salariés
oi ce qui m’interpelle c’est que le ps fais dans sa culotte dès que trois pigeons s’agitent sur internet … ou qu’un ministre de l’industrie pose en tenu de bain à la une pour vendre français ..
que l’ISF soit aussi bas que sou sarko, qu’on ne taxe pas les oeuvres d’art … moi ça m’interpelle, pas toi ?
tiens un autre pseudo
oui, il y a 2 ou 3 choses qui m’interpellent… merci de m’en citer 1 ou 2… et alors ?
Oui au débat à condition qu’il se fasse dans l’unité et la solidarité!
Quand Martine Aubry fut battue à la primaire, le soir meme, elle soutenait déja Francois Hollande, unité et solidarité!
Quand Martine Aubry ne fut pas nommée premier ministre, le jour meme elle apporta un soutien sans faille à Jean-Marc Ayrault et mis tout son savoir faire dans le parti pour que le gouvernement et le président disposent d’un puissant relais dans la classe politique, ceci malgré les divergences vraisemblables et les réserves et jugements sur les éventuelles erreurs, unité et solidarité!
Lors du vote sur les motions, les premières paroles de Jean-Marc Ayrault ne furent pas de regretter que sa motion n’obtienne pas la quasi-totalité des voix, mais de se féliciter en ajoutant que son parti ne serait jamais un parti godillot, unité et solidarité!
Lorsqu’au deuxième tour le 18 Octobre Emmanuell Maurel arriva second, dans son discours, par deux fois, il souhaita bonne chance à notre premier secrétaire et déclara qu’il était disponible pour l’aider, à l’unisson le vaincoeur félicita son concurrent pour son travail pendant la campagne et lui proposa spontanément à lui et à ses amis de partager la direction du ps, unité et solidarité, j’ai applaudi les discours de Maurel et Désir et pas seulement pour la forme! Unité et solidarité!
Ce que j’attends de ce congrès, c’est que cela soit poursuivi, il y a fort à parier que la presse y compris celle de gauche, celle qui devrait nous soutenir, continuera à se servir de prétexte des différences exprimées par les uns et les autres pour participer au ps-bashing. j’attend de nos délégués aux congrès fédéraux et au congrès national qu’ils suivent ces magnifiques exemples et qu’ils ne cèdent pas à la mode du moment qui consiste à participer au bashing de notre camp au grand plaisir de nos adversaires de droites et d’extrème-droite qui n’attendent que celà!
Non à l’unanimisme mais Unité et solidarité!
Très bon résultat d’Emmanuel Maurel. Fasse que le temps ne le transforme pas en un notable socialiste, comme ses camarades figures de proue de l’aile gauche qui, une fois au gouvernement, ont oubliés ce qu’ils étaient hier, ou ce qu’ils prétendaient être, ce qui seraient encore plus grave.
Mais bon, ça bouge au parti socialiste, et c’est tant mieux pour la gauche.
Bravo, quand même, car, vu l’état d’esprit des « camarades » qui t’entoure ce n’était pas gagné d’avance.
Attention tout de même, je remarque chez nos compatriotes beaucoup d’interrogation au sujet de notre Président, et de son gouvernement, attisé, bien évidemment, par les femmes et les hommes de droite qui en profitent.
Je m’étonne aussi que, dans nos médias publics, le droit légitime à l’information, soit devenue le droit au mensonge, et à l’enfumage . Cela ressemble étrangement à de la manipulation, tu ne pense pas ?
On jase, on suppute, sur le prochain départ du premier ministre, sur les dissensions au sein du gouvernement, sur les divisions au parlement à l’intérieur de la majorité, pourquoi pas sur de prochaines élections anticipées, ce n’est pas encore le cas , mais si on laisse faire cela viendra!
Mais on ne voit jamais, on ne lit jamais ceux qui soutiennent l’expérience en cours meme s’ils le font sans forcément tout approuver, c’est le règne de la pensée unique qui se poursuit, c’est le tribunal permanent ou les responsables sont sommés de se justifier face au tribunal dont les juges sont les journalistes, il ne s’agit pas de débat mais de bashing au quel participe sans doute par manque de courage et volonté de ne surtout pas contrarier « les clients » nombre de ceux qui devraient nous soutenir!
Contrairement à eux, je n’ai soutenu le candidat Hollande qu’au deuxième tour, mais jamais je ne particperai à ce linchage inadmissible.
Lechage lachage, linchage voila la devise de ces tristes sirs qui mériteraient une bonne fois pour toute de voir leurs places remises en cause parce qu’ils n’ont aucune déontologie!
Nous sommes d’accord, je ne suis pas, moi non plus, un fan du Hollandisme, mais je dois reconnaître que François Hollande n’est pas Nicolas Sarkozy.
L’on ne peut demander que soit résolu en cinq mois, la casse, la démolition, organisés par les Présidents de droite, et leurs, gouvernements, assemblée nationale, sénat, de l’UMP et des centristes de droite, pendant dix années. La présidente du Médef, Laurence Parisot les en a, publiquement, remercié pendant la campagne électorale.
Ce que je reproche c’est le flou, toutes les « réformes » négatives de la clique sarkozyste, condamnées en son temps par les socialistes, que vont elles devenir ? On les maintient, tout simplement ?
Obnubilé par la dette, quelle soit légitime ou, non; par les déficits, qu’ils faudraient à toute fins faire rentrer dans les critères de Maastricht, en un peu plus d’une année, les problèmes réelles de chaque jour des français, sont laissés de côté, quelques réformettes, sans plus.Quelle est la différence avec la politique qu’aurait appliqué Nicolas Sarkozy ?
Quand à changer de premier ministre, pourquoi pas, cela ne me chagrinerait aucunement, mais, pour désigner qui ? Pas plus Strauss-Kahnien, tout de même ?
François Hollade voudra-t-il nommer une femme, ou un homme, marqué plus à gauche ? Je ne parle pas de Martine Aubry, vous l’aurez, je pense, compris.
On croit rêver : le parti dit socialiste est là à avoir des discussions byzantines – attention je ne dis pas que la théorique ou les débats programmatiques sont secondaires – mais bon au jour d’aujourd’hui ce parti a, en France, un pouvoir comme peu d’autres partis ont eu ( exécutif, assemblée nationale, sénat, presque la totalité des régions, la majorité des départements, des grandes villes et donc des agglos ) et on constate qu’après s’être mutuellement congratulés les gagnants et les seconds promettent un programme pour le futur dont bien évidemment le président ou le candidat à la présidence ne tiendra aucunement compte.
Il est vrai que certains ministres ne croient pas à la lutte des classes comme s’il s’agissait d’une question qui relève de la foi ou bien comme si les classes sociales n’existaient pas.
Et maintenant que reste-t-l de votre motion 3 ? NADA! Le Ps s’est assis dessus et si elle peut vous donner bonne conscience, cela parait un peu trop facile. Désolé mais vous jouez à Tartuffe. Apparemment le pire n’est jamais decevant chez les socialistes…Un pas en avant ,deux pas en arrière (voir le l’affaire du pacte budgétaire qui devait s’il était voté vous détourner à vie de tous ceux qui l’ont approuvé, qu’en est il????
Heuuuuuuuuuu! Mais pourquoi rester au PS? Vous espérez le changer? Ou bien c’est vous qui changerez. Non je ne pense pas que vous puissiez changer mais quelle belle énergie perdue face à à un partie complètement enkysté. Moi j’ai dégagé il y a 20 ans. Et qu’est ce que l’on respire bien après! Vous êtes en train de devenir la bonne conscience du parti, celui dont on peut dire « Voyez nous sommes à gauche, Vous avez entendu Filoche? ». Mais je vous aime quand même.
ce qui m’interpelle ce sont l’absence de Hamon et Emmanuelli pour porter le combat contre l’austérité.
ils sont allés à la soupe???
en fait a l’époque un Smic à 1500 euros c’était officiellement dans le programme du PS et donc de Ségoléne Royal…
on peut dire cela, mais les militants ne les ont pas suivi…
vous n’etes pas militant, vous hein ? vous ne savez pas comment avancent les idées ? ni comment les faire avancer ?
vivent les 35 h elles freinent un peu le chômage de masse, car hélas, la durée réelle est déjà de 41 h et il faudrait la ramener à 35 h réelles, il existe un milliard d’heures supp’ pas déclarées, pas majorées, pas payées, équivalent de 600 000 emplois ! ce qui n’est pas tabou c’est de discuter des 32 h hebdomadaires sans perte de salaire..
Dire que tant d’ex-UMA ont suivi une stratégie de ralliement, d’abandons d’idées, la peur au ventre pour des questions de postes, et dire que la motion 3 a plus de postes que prévu…
Leçon 1 : défendre ses idées ça peut être payant.
Leçon 2 : ne pas être dépendant du parti pour vivre.
Leçon 3 : chercher à avoir des postes mais pour défendre ses idées, pas subordonner ses idées au but de gagner des postes !
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