Au boulot n°251
Un de nos bons voisins de vacances de Sainte Marie la Mer plage, Alain, 70 ans, nous a quitté le 12 juin, emporté par un cancer foudroyant. Nous avons été ravagés par la nouvelle alors que débutaient nos vacances de juillet. Alain était un homme bien, adorable, il avait travaille 35 ans à la Mairie comme mécanicien, agent polyvalent au service de la collectivité. Bon vivant, bon ami, serviable, nous nous réjouissions chaque année depuis plus de 20 ans, dans ce petit village, de se faire fête ensemble.
Sa femme Andrée, 68 ans, mariée avec lui depuis 1988, inconsolable, en plein dans son deuil, vient de découvrir amèrement ce que c’est qu’une « pension de réversion ».
Depuis 2005, Alain touchait 1300 euros de retraite, soit 68,66 % de son salaire après 141 annuités de cotisations plus 128 euros de la Carsat. Andrée, elle, n’a cotisé que 7 ans, son pécule n’est que de 238 euros et le RSI ne lui verse que 2,05 euros par mois. Hé oui, toutes les femmes ne travaillent pas, et y’a pas de boulot en Roussillon. La lointaine CNRACL, rue du Vergne depuis Bordeaux, vient de lui signifier qu’elle recevra a partir du 1 juillet 2015 une pension de reversion égale a 28,93 % de 50 % des1300 euros d’Alain… si elle reste seule. Soit autour de 250 euros. Au total moins de 500 euros.
Moins encore dans ce cas que les 664 euros de retraite moyenne en Grèce. Car c’est ca les petites retraites de tant de femmes en France ce que Gattaz, Valls, Macron et Cie ignorent chaque jour. Ils ont le culot de dire qu’il n’y a pas d’austérité. Sur 14 millions de retraites, 50 % touchent moins de 1000 euros ! Pas de boulot, boulot de misère, puis retraite de misère.
Gérard Filoche (chronique humanité dimanche n°251)
18 Commentaires
Est-il vrai qu’une député PS , maire d’une grande ville a déclaré que les retraités pouvaient payer car ils avaient de l’argent ?
Peut être a t’elle le droit à certaines aides ?
http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F16871.xhtml
Monsieur
J’aime bien vous lire dans le cadre de vos chroniques sur l’huma dim mais sur votre dernière je me pose des questions.
Pourquoi 28,93% de 50% des 1300€ d’Alain et non les 50% prévus par la législation.
Il y a probablement une perte génèré par une autre situation (ex épouse qui doit partager la retraite de réversion au prorata temporis de ses années de mariage avec Alain)
La dramatique situation des pensions de retraite de notre pays est une triste réalité mais qui doit être taitée de manière exemplaire.
Cordialement
Bonjour,
merci pour cette chronique mais je m’interroge: est ce que le fait d’avoir droit à une pension de reversion invalide le fait de toucher le minimum vieillesse (900 euros par mois).
De ce que j’ai compris, le minimum vieillesse (ou l’allocation de solidarité) consiste à compléter les sommes déjà versées jusqu’à arriver à 900 euros pr une personne seule et 1200 pour un couple. Mais ça fait plusieurs fois que j’entends des gens dirent qu’ils n’ont que 600 euros de retraites.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Allocation_de_solidarité_aux_personnes_âgées
Dans le cas de cette femme, est-ce qu’elle va toucher un complément de revenu via l’ASPA ou bien rester à 500 euros ?
Cordialement,
Djamé
Bonjour,
Bon, dans ce cas précis je pense que cette personne subi la loi de la répartition aux différentes épouses.
Autre chose: le Monde est notre avenir (lointain certes), mais voilà, actuellement, si je ne me trompe pas, le PIB moyen par habitant en euros de parité de pouvoir d’achat se situe aux environs de 767 € mensuels, allez expliquer qu’il serait bon de se diriger vers une juste répartition afin que chaque homme puisse espérer une égalité de vie (survie ?) entre tous les frangins de cette terre, il y a du boulot !
Plus chez nous: la société, on contribue à son développement par notre travail, normal peut-être que chacun soit payé par elle en fonction de ce qu’il lui apporte (déjà, il faut repartir de l’ère du troc et réanalyser les erreurs d’évolution qui nous ont amenés à ce que ce ne soit pas le cas), ensuite, lors de l’arrivée de la retraite (on n’apporte généralement plus de plus-value comme on dit), la société n’a comme devoir que permettre à chacun de vivre décemment, donc une retraite unique et que ceux que ça défrise d’avoir la même voiture pourrie que le voisin prévoient un capital complémentaire (oh, le vilain mot) dans lequel ils pourraient puiser à loisir.
Là je termine: revoir la notion d’héritage, pas question de naître avec une cuiller en or dans la bouche, où est le mérite?
Bravo pour le blog, je me régale.
Je ne connais pas bien ce genre de dossiers mais c’est habituel ce pourcentage quand le conjoint décède ? En effet, la somme est ridicule.
oui ex epouse, donc 28,5 % et 21, 5 %
Bonjour,
Je me permets de vous relayer le constat d’une forte référence à Malthus et à son idéologie, sans aucune critique l’accompagnant, dans les programmes d’Histoire-
Géographie de seconde.
Je voudrais ajouter que les programmes de seconde, au lycée, en Histoire Géographie, sont fortement marqués par la problématique démographique, et par
l’évocation, à de nombreuses reprises de Malthus, sans qu’une critique immédiate en soit faite, à de rares nuances près. Je vous renvoi, en géographie, par
exemple, aux pages 26 à 29 du livre de Géographie de Hatier. A la page 27 se trouve la métaphore du banquet restituée, dans son intégralité, sans qu’aucune
critique ne l’accompagne. La seule question accompagnant le document est: « Doc 4 et 6. Quelles relations Malthus établissait-il entre la croissance
démographique et les choix sociaux et politiques? ».En sachant que le document 6, de la métaphore du banquet est donc ainsi relié, au document 4, qui est une
carte de la sous-alimentation dans le monde. Ce qui invite, tout de même, sans l’expliciter, fortement les esprits à relier sous-alimentation, dans le monde, à
surpopulation et aux thèses de Malthus, qui sont celle de l’invitation à la mort, pour ses personnes sous-alimentés, qui n’ont pas leur place, selon lui, dans la
nature.
Le cours a la page 27 est intitulé « Trop d’hommes sur la planète? ». La page 29 comprend un nouveau document à étudier sur Malthus intitulé « le
malthusianisme ». Il en est de même, en Histoire, puisque le bouquin d’Histoire de Nathan, seconde, nouveau programme, comprend également une
référence documentaire au malthusianisme, dès le début du programme, encore une fois, avec un document intitulé « le malthusianisme » à la page 21, qui là
encore ne s’accompagne d’aucune critique. Deux questions suivent seulement, qui amène à s’interroger sur la problématique soulevée par Malthus, aux
solutions qu’ils préconisaient et à se demander si sa théorie a été vérifiée, et invite à une recherche sur celui-ci. Personnellement, je trouve que cela fait
beaucoup, et qu’il y a une forme de biais idéologique à présenter ainsi des documents sur Malthus, en nombre, dès le début de l’année, lorsque les esprits sont
attentifs, et cela sans critique des thèses de ce monsieur, qui m’apparaissent, pourtant, plus que contestables.
Merci de votre lecture.
Cordialement.
RC
« Le thème 2 interroge la façon dont les sociétés peuvent gérer les ressources terrestres (alimentation, eau, énergie). Pour chaque ressource, on évalue les besoins à prendre en compte, à l’échelle de l’étude de cas et à l’échelle planétaire lors de la mise en perspective. On envisage les modes de gestion susceptibles de ménager et de partager la ressource. Il ne s’agit pas de s’en tenir à des approches néomalthusiennes qui consistent à considérer que les ressources sont strictement limitées et que les besoins ne pourront donc être satisfaits. On souligne au contraire que des perspectives de développement existent, qu’elles se situent dans la recherche d’équilibres entre exigences économiques, sociales et environnementales »
http://cache.media.eduscol.education.fr/file/lycee/73/9/LyceeGT_Ressources_HGEC_2_Geo_01_DvptDur_FilConducteur_148739.pdf
A la lecture de ses recommandations, le ministère semble plus nuancé, que la présentation des éditeurs, qui apparaît, elle, inopportune et biaisé idéologiquement.
Du coup, il est difficile de savoir quelle part de l’initiative revient purement à l’éditeur, et quelle part revient possiblement aux instructions éventuelles du ministère, envers les éditeurs.
Ceci est la dernière précision que je vous envoie, mais que je souhaitais faire, suite à une recherche plus poussée, afin de ne pas induire en erreur.
Je vous remercie de votre lecture.
Cordialement.
RC
Bonjour Monsieur Filoche,
Je vous écris en espérant que vous pourrez me répondre.
Je travaille dans une entreprise qui met en place des PSE. Par ailleurs, elle est signataire d’un accord sur le Handicap qui contient un volet sur le maintien en emploi.
J’ai pour mission de garantir que les dispositions de cet accord sont appliquées.
Or l’employeur m’a opposé en 2014 que l’accord d’entreprise et tout particulièrement son budget ne serait pas mobilisable pour un salarié handicapé au motif que
sa situation doit être gérée dans le cadre du PSE et uniquement dans ce cadre. Tant pis pour lui si aucune disposition spécifique n’a été négociée dans l’accord PSE.
Il sera traité comme tout à chacun et d’autant plus que l’employeur ne veut pas courir le risque juridique de déroger aux mesures du PSE.
Tous les arguments concernant le droit européen, le droit français, le rétablissement de l’égalité des chances, la RSE n’ont eu aucun effet.
Les avocats qui conseillent l’entreprise et auxquels je n’ai pas accès semblent peu sensibles à cette partie du droit.
Un syndicaliste m’a expliqué que l’ANI de 2013 sur les PSE créaient une « bulle » de droit qui était imperméable à toutes les autres dispositions réglementaires.
Bref, je suis un peu circonspecte sur ce sujet, je recherche des personnes qui pourraient me donner des arguments juridiques en faveur des personnes en situation de handicap et de PSE.
Le défenseur des droits m’a donné une synthèse du temps de la Halde sur l’accès à l’emploi privé. Mais rien qui ne m’aide véritablement à faire valoir l’obligation pour l’entreprise de maintenir
l’égalité des chances.
J’ai bien conscience que le droit du travail ne protège pas autant qu’avant les travailleurs mais j’ai un peu de mal à penser que les personnes en situation de handicap soient complètement
oubliées.
Bien entendu je vous remercie pour votre discrétion et par avance pour vos conseils ou orientations.
Je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur Filoche, mes salutations distinguées.
Isabelle
Bonjour monsieur,
Je me permet de vous envoyer ce mail, pour que vous apportiez des réponses à mes interrogations. Je lis et écoute vos interventions régulièrement, et je les trouvent innovantes et concrètes reflétant la réalité que nombre de nos politiciens ont oubliés. De ce fait je me demande comment vous pouvez encore être au parti socialiste. Je sais que vous devez être lassé d’entendre cette question, mais je ne comprend pas comment vous pouvez supporter être sous la même bannière d’un parti libéral. Je vous ai entendu dire vouloir changer le PS de l’intérieur , malgré certain de vos camarades qui vous suivent, l’organe même du PS est gangrené. Votre lutte serait elle pas plus riche avec d’autre partenaire de gauche ? Même si votre philosophie n’est pas d’abandonner un bateau à la dérive, vos revendications passeraient plus facilement si vous coupiez le cordon avec ce parti. Vous êtes un moteur idéologique et politique pour la gauche française , il est donc dommage que votre bataille interne occulte vos idées auprès des français. Même si les citoyens lisent et adhérents à vos thèses; vous voyant associer au PS qui est à la tête du pays, vos idées deviennent plus abstraite à leurs yeux. Ceci n’est pas une remarque tiré d’une simple réflexion personnelle, mais elle est issus de nombreuses conversations avec des citoyens de gauche de droite ou non encarté, sur vos idées. Dans l’espoir d’une réponse , je vous souhaite des luttes fructueuse. Bonne journée à vous
Envoyé de mon iPhone
Décisions
05 août 2015 – Décision n° 2015-715 DC
Loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques
- SUR CERTAINES DISPOSITIONS DE L’ARTICLE 266 :
148. Considérant que l’article 266 est relatif à l’encadrement du montant de l’indemnité prononcée par le conseil de prud’hommes en cas de licenciement sans cause réelle et sérieuse ;
149. Considérant que le 1° du paragraphe I de l’article 266 modifie l’article L. 1235-3 du code du travail pour encadrer l’indemnité octroyée par le juge au salarié licencié sans cause réelle et sérieuse en réparation de la seule absence de cause réelle et sérieuse ; qu’il prévoit des minima et maxima d’indemnisation, exprimés en mois de salaires, qui varient en fonction, d’une part, de l’ancienneté du salarié dans l’entreprise et, d’autre part, des effectifs de l’entreprise ; qu’à cet égard, le législateur a distingué entre les entreprises selon qu’elles emploient moins de vingt salariés, de vingt à deux cent quatre-vingt-dix-neuf salariés, ou trois cents salariés et plus ;
150. Considérant que les députés requérants soutiennent que ces dispositions instituent, en méconnaissance du principe d’égalité devant la loi, une différence de traitement injustifiée entre les salariés licenciés sans cause réelle et sérieuse en fonction de la taille de l’entreprise ;
151. Considérant qu’en prévoyant que les montants minimal et maximal de l’indemnité accordée par le juge en cas de licenciement sans cause réelle et sérieuse sont fonction croissante des effectifs de l’entreprise, le législateur a entendu, en aménageant les conditions dans lesquelles la responsabilité de l’employeur peut être engagée, assurer une plus grande sécurité juridique et favoriser l’emploi en levant les freins à l’embauche ; qu’il a ainsi poursuivi des buts d’intérêt général ;
152. Considérant toutefois, que, si le législateur pouvait, à ces fins, plafonner l’indemnité due au salarié licencié sans cause réelle et sérieuse, il devait retenir des critères présentant un lien avec le préjudice subi par le salarié ; que, si le critère de l’ancienneté dans l’entreprise est ainsi en adéquation avec l’objet de la loi, tel n’est pas le cas du critère des effectifs de l’entreprise ; que, par suite, la différence de traitement instituée par les dispositions contestées méconnaît le principe d’égalité devant la loi ;
153. Considérant que l’article L. 1253-3 du code du travail, dans sa rédaction résultant du 1° du paragraphe I de l’article 266, est contraire à la Constitution ; que, par voie de conséquence, il en va de même des autres dispositions de l’article 266, qui en sont inséparables ;
quand on fera le bilan, CICE 40 milliard par an depuis le 1 janvier 2013 cadeau aux entreprises sans contre partie (bilan pour ma commune moins 100000 euros 5 postes en moins )tafta qui a ete vote par le parlement europeen (qu’on fait les deputes socialiste la plupart on vote pour je presume) restrictions des libertes publiques privatisations diminution des prerogatives des syndicats loi macron ani la droite aurait fait pire? la droite fera pire c’est sur apres le boulevard que les socialistes auront ouvert pendant 5 ans 30 ans de glissements a droite du ps il est temps de rebatir quelque chose qui donne du sens et parle aux ouvriers/ employe (amelioration des remboursement de la secu plutot que mutuelle obligatoire (kresler est content )retraite par repartition sans decote renationalisation des autoroutes etc vrai debat sur l’europe et son modele debile anti democratique ou sont les promesses de hollande ?et apres on s’etonne que le front national continu a grimper !!! je pense que l’aile gauche du ps a une utilite faire croire aux francais que celui ci est encore a gauche nul doute que pour les elections ils vous ressortiront du placard amicalement c
Bonjour Monsieur Filoche..
Au delà de la médiatisation de votre combat j’ai eu l’occasion de vous écouter lors de votre conférence sur l’ANI à Gardanne en 2013 si je me souviens bien.
Je précise que je fais parti des bénévoles militants de la Cimade à Marseille et je viens vers vous car j’aimerais bien trouver le meilleur interlocuteur possible localement pour défendre le droit d’un étranger mauricien et sa famille sans titre de séjour et donc sans autorisation de travail.
Brève présentation de sa situation
Véga est arrivé en France avec sa famille (sa femme + 2 adolescents scolarisés) en décembre 2011 et la seule raison de sa venue est de pouvoir mieux soigner son épouse atteinte d’une grave maladie récidivante. Je précise que dans son pays d’origine ce monsieur avait une très bonne situation économique dans le secteur du tourisme.
Actuellement et à son nom propre Véga n’a aucun titre de séjour régulier ni même de récépissé de dépôt d’une quelconque demande de régularisation.
Comme tout étranger présent depuis plus de 3 mois il bénéficie toujours du régime de l’Aide Médicale d’Etat (AME)…le seul qui actuellement prend encore en charge les soins de son épouse sachant que par ailleurs elle a déposé le 18 décembre 2014 une demande de régularisation au titre de la maladie…demande toujours pas satisfaite malgré la réponse de l’Agence Régionale de la Santé (ARS) en février 2014.
Bien sûr, n’ayant pas de carte vitale, il ne peut pas solliciter une mutuelle complémentaire pour payer les médicaments non pris en charge par l’AME
Pour faire vivre sa famille Véga a trouvé d’abord un CDD de 4 mois et 13 jours (18 mai-30 septembre 2012) comme valet de chambre dans un hôtel 3* d’une petite commune proche de Marseille.
A l’issu de ce 1er CDD et après avoir respecté une interruption légale le même employeur souhaitant ne pas perdre ce bon élément a fait un autre CDD de 5 mois (1er novembre 2012- 30 mars 2013) comme veilleur de nuit.
De la même manière et pour les mêmes raisons il lui a enfin proposé un 3ème CDD ( du 14 mai au 31 octobre 2013) toujours comme veilleur de nuit lequel CDD a finalement fait l’objet d’un avenant un mois avant la fin pour se transformer en CDI.
Ce CDI est toujours en cours à ce jour.
Mais un si gentil patron n’a pas que des qualités…
Il a aussi son intérêt à faire travailler au SMIC un employé modèle sur-qualifié parlant 4 langues et habitué à la clientèle haut de gamme de son établissement…comme veilleur de nuit…tout en lui demandant de faire le jardin pendant ses nuits…alors qu’il a les capacité suffisantes pour faire marcher seul tout l’hôtel.
Il a aussi tout intérêt à conserver un salarié qui ne pose pas trop de question sur les différences entre heures travaillées et payées, sur les congés payés décomptés alors qu’il ne les a pas pris, sur le travail les jours fériés etc….je vous laisse imaginer la suite.
Depuis 2012 Véga a déjà eu trois numéros de sécurité sociale différents ce qui lui a valu d’être contacté par courrier par la CARSAT qui ne sait pas comment affecter les cotisations de retraire issues des TDS. Lors d’un accompagnement à cet organisme j’ai pu parlé avec un responsable du service qui exploite les données des TDS Monsieur Alain BELLAÏD 04 88 56 73 28 qui confirme ces anomalies tout en nous précisant qu’un autre salarié de la même société se trouve aussi en anomalie d’exploitation des données de la TDS. Serait-ce un autre étranger sans autorisation de travail …la question reste posée ?
Véga, conscient de sa situation irrégulière sur le territoire français accepte donc toutes les demandes..même celles qui dépassent ses attributions de veilleur de nuit parce qu’il a vraiment besoin de ce travail pour faire vivre sa famille et payer les soins pour sa femme.
Après tout ce temps il prends contact en juin 2015 avec la Cimade qui lui propose de faire une demande d’Admission Exceptionnelle au Séjour par le Travail (AEST)
il retire le dossier à compléter auprès de la Préfecture des Bouches du Rhône le 25 juin 2015.
Depuis, Véga apprend à connaître la vraie nature de son employeur qui, après avoir promis qu’il ferait toutes les démarches et paierait la taxe OFII de 55%, prétexte que le comptable lui aurait dit que c’était impossible, et fini par l’éviter dans les couloirs de l’hôtel pour ne pas avoir à répondre aux sollicitations d’un salarié soumis.
J’ai personnellement téléphoné hier, sans donner les détails d’état civil et le nom de l’entreprise, au service des étrangers de la DIRECCTE 04 91 57 96 00 pour voir si il serait possible qu’ils interviennent officiellement auprès de l’employeur pour l’obliger à signer ces documents sous peine d’être signalé au procureur.
il m’a été répondu que cette question ne les concerne pas et que je devais m’adresser plutôt à l’Inspecteur du Travail compétent pour les entreprises de moins de 50 salariés (mais plus de 10 salariés) dans ce secteur géographique Monsieur VERGUET actuellement en congés, remplacé par Monsieur MIGLIORE 04 91 57 96 77.
Je n’ai pas encore appelé car je crains de tomber sur la mauvaise personne sachant que j’ai le sentiment que le patron de cet hôtel se sent un peu au dessus des lois comme « protégé ».
J’ai aussi proposé à Véga d’envoyer une lettre officielle en recommandé avec A/R (dont copie en pièce jointe) à sa société avec un délai court pour répondre.
A sa lecture vous pourrez en confirmer ou modifier les termes et me dire si c’est la bonne stratégie ?
Mais Végà hésite à l’envoyer.
D’un côté il aimerait beaucoup sortir par le haut en obtenant sa régularisation et serait donc prêt à faire pression sur son employeur.
De l’autre il vit encore plus que d’habitude dans la peur que cette pression ne se retourne contre lui si l’employeur décidait de le licencier en représailles.
La santé de Véga commence a pâtir de cette situation ainsi que son équilibre nerveux déjà très affecté par le fait du travail du nuit très perturbant pour le cycle naturel.
Ce que je lui ai indiqué c’est que actuellement si il tombe malade au point de ne plus pouvoir se rendre à son travail il n’aura aucune indemnité journalière de SS.
Je lui ai aussi indiqué que en aucun cas il ne dois démissionner de son CDI…mais que si il était licencié il aurait probablement droit à des indemnités pour perte d’emploi puisqu’il a travaillé plus de 3 ans presque sans discontinuer. Mais y aura t il droit même si il ne peut pas présenter un récépissé de demande de régularisation à la préfecture ?
Voilà ce que je peux dire sur son cas …et j’espère bien que, malgré le fait que je vous contacte pendant vos vacances, vous aurez à cœur de pourvoir nous aider en nous mettant en relation avec les bonnes personnes.
Je vous en remercie par avance…
Cordialement
serge NAVARRO
0950 717 720
0667 674 339
sergenav@gmail.com
Bonjour Monsieur,
J’apprécie votre travail depuis plusieurs années.
Je réalise une enquete personnelle sur le secteur des ascensoristes,
et je trouve l’article suivant
http://www.filoche.net/2010/09/29/terrible-suicide-chez-schindler
et surtout un témoingnage anonyme sur cet article.
Je suis en train de le remettre en forme, de l’interpréter et de tenter de vérifier les affirmations.
mr g vous pouviez rien nous faire nous schindler on est puissant le fils schindler habite a elysse altmeyer aussi pdg schindler a cote des ministre et en plus on est riche vs vs alliez etes ruines je vs le promets
« Monsieur G., vous ne pouvez rien contre nous, l’entreprise Schindler a de puissants appuis : le fils de la famille Schindler habite à l’Elysée ( ?), Altmeyer le PDG de Schindler [Emmanuel ALTMAYER, DG Schindler France de 1999 à 2005, puis CEO Schindler AP de 2005 à 2008
https://www.linkedin.com/pub/emmanuel-altmayer/30/32a/b2/fr compte de nombreux ministres parmi ses amis( ?)[Nous retrouvons le nom de « Emmanuel Altmayer » (mais est-ce bien le même ?) aux côtés de Roger Fauroux (PDG de Saint-Gobain de 1980 à 1986), Jean‐Louis Beffa (PDG de St-Gobain de 1986 à 2007), et Xavier de Villepin (ancien PDG de Saint-Gobain Vitrage, père de Dominique de Villepin) en comité de soutien à l’association « Association Fraternité Universelle en Haïti »
http://www.haiti-afu.org/pdf/RAPPORT_2012-2013.pdf, et nous sommes riches. Vous, vous allez vous retrouver ruiné, je vous le promets ! »
Don XXI
Voici le témoignage d’un technicien, écrit dans un style difficilement lisible, en réaction à un article sur le blog de Gérard Filoche [« Terrible suicide chez Schindler »
http://www.filoche.net/2010/09/29/terrible-suicide-chez-schindler/, l’inspecteur du travail qu’on ne présente plus.
Notons que ce témoignage est suivi par un commentaire imbécile : « Et si on faisait moins de fautes d’orthographe ??? »
Le lecteur peut mettre en doute l’authenticité d’un témoignage anonyme recueilli sur internet. Nous pouvons supposer que Gérard Filoche filtre les posts sur son blog. Nous pouvons supposer que le style même de ce post authentifie son auteur : un technicien d’origine étrangère qui écrit en phonétique, ne prononce pas les « R », et maitrise peu la langue française. Qui perdrait son temps à écrire un post à charge pour la société Schindler dans un tel charabia ? Un syndicaliste ? Nous avons tenté de reconstituer la chronologie et recoupé les noms de personnes et d’entreprises.
Acceptons le doute qui persiste sur cette question, et intéressons-nous au contenu. C’est en soi un véritable exercice de style, parce qu’il faut souvent interpréter le texte. Ce qui est relaté est tout-à-fait plausible et témoigne de pratiques que nous connaissons dans le milieu des affaires : les promesses non tenues, la manipulation psychique (manœuvres d’intimidation, brimades, mises à l’écart…), et les appels d’offre faussés.
Il nous a paru important de prendre soin de ce témoignage, en le réécrivant pour le rendre lisible, pour le rendre accessible, car ce tout petit bout de texte vient ruiner les centaines de pages de propagande d’entreprise de la société Schindler et de la mafieuse « Fédération des Ascenseurs ».
G.S
Posted 5 janvier 2011 at 16:10
« Moi aussi j’ai subi des pressions, j’ai fait une TS [Tentative de Suicide] et suis resté quatre jours dans le coma. Un exemple de pression :
« Monsieur G., vous ne pouvez rien contre nous, l’entreprise Schindler a de puissants appuis : le fils de la famille Schindler habite à l’Elysée ( ?), Altmeyer le PDG de Schindler [Emmanuel ALTMAYER, DG Schindler France de 1999 à 2005, puis CEO Schindler AP de 2005 à 2008.
Nous ne trouvons pas de trace d’un Schindler présent au Cabinet du Président de la République. Le siège social de l’entreprise se trouve à Vélizy-Villacoublay. Ces éléments repris à la fin du témoignage semblent plus métaphoriques que réels.
https://www.linkedin.com/pub/emmanuel-altmayer/30/32a/b2/fr compte de nombreux ministres parmi ses amis( ?)[Nous retrouvons le nom de « Emmanuel Altmayer » (mais est-ce bien le même ?) aux côtés de Roger Fauroux (PDG de Saint-Gobain de 1980 à 1986), Jean‐Louis Beffa (PDG de St-Gobain de 1986 à 2007), et Xavier de Villepin (ancien PDG de Saint-Gobain Vitrage, père de Dominique de Villepin) en comité de soutien à l’association « Association Fraternité Universelle en Haïti »
http://www.haiti-afu.org/pdf/RAPPORT_2012-2013.pdf, et nous sommes riches. Vous, vous allez vous retrouver ruiné, je vous le promets ! »
En 2008, Philippe Bossa, Directeur chez Schindler, recrute chez Techni-Lift, filiale du groupe Schindler [Nous trouvons la trace d’un Philippe BOSSARD, Directeur d’Agence des Hauts de Seine chez Schindler de 2005 à 2009, qui devient Directeur Général de « Techni-Lift et Allamand » de 2009 à 2012. Nous en déduisons que l’auteur ne prononce par les R ; il est sans doute d’origine maghrébine ou africaine. Nous en déduisons également que Philippe BOSSARD recrute dans la filiale Techni-Lift en 2008 avant de prendre la direction de cette filiale en 2009. Techni-Lift est enregistrée au RCS de Lyon n°340 558 360.
http://www.viadeo.com/fr/profile/philippe.bossard?language=fr. A l’époque, je travaillais comme sous-traitant pour Techni-Lift ; les chefs d’équipe voulaient absolument me recruter ; j’ai cédé et me suis fait embaucher.
En réalité, j’ai découvert que le chef de service venait de quitter l’entreprise, suite à un contentieux portant sur son affectation, et avait décidé de créer son entreprise, en emmenant avec lui tous les techniciens qualifiés.
Je me suis retrouvé seul au milieu de débutants. Je l’ai pris comme un défi. Je formais les techniciens, je ne comptais plus mes heures supplémentaires. Mon équipe a atteint ses objectifs. J’étais apprécié. J’étais souvent appelé pour faire les mises en service, surtout lorsqu’elles étaient problématiques.
En maintenance, on perdait tous les appels d’offre. L’ancien chef de service avait récupéré de nombreux contrats.
Un jour, le PDG m’appelle et me convoque dans son bureau : « Monsieur G., j’ai reçu un appel de la régie qui gère votre logement : ils souhaitent vous reloger, vous êtes le dernier a occuper les lieux et vous refusez. » Je lui réponds que je ne veux pas habiter dans une tour au 15ème étage, alors que ma femme va bientôt accoucher et que nous avons déjà deux enfants en bas âge. J’ajoute que c’est ma vie privée, que cela ne le regarde pas, et qu’il n’a pas à intervenir ainsi.
Je retourne sur mon chantier et reçoit un peu plus tard un deuxième appel téléphonique du PDG : « Retrouve-moi au siège de la régie, c’est un ordre ! »
Une fois sur place, il me dit : « Si le logement qu’ils te proposent ne te plait pas, Techni-Lift te relogera ». J’ai compris qu’il s’agissait d’un arrangement : Techni-Lift cherchait à gagner un appel d’offre pour un contrat de maintenance de 108 ascenseurs auprès de cette régie, en échange de ma signature, voire plus.
[Nous trouvons trace d’un projet de rénovation de 108 ascenseurs par l’OPAC de Rouen, plan qui comprend également des démolitions de logements. Nous n’avons pas trouvé de marché passé avec la société Techni-Lift dans le BOAMP pour cette période.
https://www.rouen.fr/sites/default/files/cm/20060203/15-1ann01.pdf
Je ne voulais pas signer mais j’étais obligé. Ça les arrangeait bien : 108 ascenseurs pour Techni-Lift, et la régie pouvait commencer la démolition de l’immeuble.
J’avais une promesse de relogement des deux parties. Mon logement était froid et humide ; j’avais peur pour le bébé. Ma fille nait quatre mois plus tard, en septembre 2009. Juste après arrive un nouveau PDG issu de Schindler, Monsieur Philippe Bossa. Deux mois plus tard et ma fille tombe malade : une bronchite pulmonaire. Déjà à la naissance, ma fille avait était placée sous respiration artificielle, et dans ce logement froid et humide, sa situation empirait.
J’étais tellement inquiet que je n’en dormais pratiquement plus. Vers le mois de janvier, j’étais obligé de l’emmener tous les jours chez le kiné.
Ma femme me pousse à aller voir mon boss : « Il va te reloger comme prévu ! ». En mars, je vais le voir : « Voilà, Monsieur le Directeur, j’ai un souci : ma fille est atteinte d’une bronchite pulmonaire et ne guérit pas dans notre logement actuel. » Je lui en avais déjà parlé de cette histoire sans me plaindre. Ma fille n’était pas encore née lorsqu’il est arrivé. « Allez voir l’ancien Directeur, il vous confirmera sa promesse. »
Quel malheur pour moi de lui en avoir parlé : j’ai commencé à subir d’énormes pressions. Je devais débarrasser tous les chantiers des autres, ce qui ne me posait pas de problème, sauf que pour mes chantiers, je me retrouvais seul. Si vous connaissez un technicien qui doit porter un treuil seul, dites-le moi. C’est grave. J’ai dis au chef d’équipe que s’il avait besoin de moi, c’était entre 8h et 17h, et qu’après : basta ! On ne me fournissait plus le matériel dont j’avais besoin, je devenais de plus en plus dépressif, j’étais sous calmants. Je subissais une pression totale de la part des chefs d’équipe. Ils manipulaient pour garder leur place, ils se déchargeaient sur les salariés, en n’hésitant pas à leur faire porter leurs erreurs. C’était insupportable.
Un nouveau PDG, un ancien de chez Sacamas [Nous notons un départ de la société SACAMAS le 12 novembre 2008, Monsieur E. J., et nous notons la présence d’un E.J. chez Techni-Lift du 23 janvier 2007 au 2 décembre 2008 : difficile de faire le lien.
http://www.societe.com/societe/sacamas-642044655.html
http://www.societe.com/societe/techni-lift-340558360.html, nous a dit à son arrivé chez Techni-Lift : « Je ne veux pas de mort, et j’espère que tout se passera bien ».
Aujourd’hui, ma fille est toujours malade. J’ai été voir le boss, énervé, sous le coup de la fatigue, du stress, et de la pression : personne n’a essayé d’apaiser les tensions ou de m’écouter ; j’ai été viré comme un chien.
Le bilan, c’est que j’ai parlé au PDG du contrat de maintenance des 108 ascenseurs obtenu illégalement ; la régie a débuté son projet de démolition, et moi j’ai été viré pour avoir parlé.
Les « tacos », ça s’obtient par le travail, mais vous n’en avez pas les compétences. Pas de technicien de maintenance compétents, pas de contrats ! La moitié des techniciens ne sont pas qualifiés, et l’autre moitié est débordée, stressée : ils tournent comme des fous. Là où on intervenait dans le cadre des décrets réglementaires, on se faisait incendier par les locataires. « Monsieur, ça fait plaisir de voir un technicien ! » « Oui, quel est le problème ? » « Des pannes intermittentes depuis un an et demi, une porte automatique qui tape. »
J’aime mon métier et pourtant là, je me suis fait incendier, savez-vous pourquoi ? Parce qu’on avait perdu le contrat, je ne l’ai su qu’après la réparation. Mais je l’aurais faite quand même. Il pensait que les concurrents n’arriveraient pas à réparer, et qu’il récupérerait des techniciens (?) virés et sur les nerfs. Je lui ai répondu que si les autres boites étaient compétentes et organisées, elles n’auraient pas attendu un an et demi pour régler ce problème. Ils l’auraient fait tout de suite et ça aurait marché tout de suite. Et c’est la vérité.
Refus de signer un protocole de mise en service : oui, pourquoi ai-je refusé ? Parce que d’habitude, c’est le chef qui signe. Sur cet appareil, je n’ai changé que l’armoire et j’ai gardé l’ancienne filerie qui a quarante ans au moins. Les fils s’effritaient tous seuls et tombaient à la masse sur toutes les sécurités cabine. Le client refusait de changer la filerie et moi je refusais de remettre en service. Normal, toutes mes sécurités coupaient. J’appelle mon chef d’équipe qui me dit : « mets-le en route ! » « Moi je refuse, mets le toi-même » Il remet le jus. Je recoupe et lui dit : « Attends, je vais recâbler la sécurité cabine. » Rien ne coupe. Je change quelques fileries : le parachute, le stop fin de course. Les sécurité coupent. Ok. Je prends les câbles changés, je touche à peine et toute la longueur s’effrite ! En cas d’accident, qui est le responsable : le signataire du protocole ou la boite ? Il me dit : « C’est le signataire qui contrôle. » Moi je lui réponds : « Eh bien signe et mets le en marche ! » Cela m’a valu un motif de licenciement ! Ils vont tout chercher : même les fautes des autres, on vous les colle. Chez Schindler, ils veulent que tu sois un fayot. Ils s’en foutent du travail. C’est le fric qui compte. Tu fais des heures supp. et tu aides les autres après tes horaires de travail, même à 22 heure, ça m’est arrivé une fois. Alors ceux de la maintenance, je t’explique pas quand on leur fout toutes les pannes des débutants, et c’est toujours la même chose, jusqu’à ce qu’ils craquent. S’il répond, il est viré. Alors il ferme sa gueule et accumule, accumule, accumule, et un jour ça pète dans la tête et tu vas te tuer, te suicider, t’es mort, t’es tranquille, c’est ce que tu penses, mais tu te rates, tu restes choqué. Je rends hommage à toutes les familles des défunts. Voilà la vérité : t’es une merde. Schindler est protégé : ils connaissent tous les ministres, ils sont voisins à ce qu’il parait aux Champs-Elysées, et toi, on t’oubliera vite, tu seras dans l’ombre. Les gens ne se suicident pas tout seuls. Pourquoi le faire si tout va bien ? Par contre le stress, la fatigue, la pression, on te fais exploser. Le PDG dit au chef d’équipe : « Laisse-le, lui donne rien. » Va au café, reste pas à l’agence. Le PDG veut pas te donner du job. Dit plutôt : « T’es viré » et va boire un café pour leur donner le motif de licenciement !
Bonjour,
Je me permets de vous envoyer ce mail juste pour vous dire que je suis
admiratif. Je regarde plusieurs de vos débats depuis quelques jours et
suis impressionné par votre énergie, vos analyses et votre
combativité.
Votre ironie, votre franc parler et le ton sur lequel vous intervenez
sont, plus que des piques lancées au gouvernement « socialiste », des
arguments justes, qui font mouche à chaque fois.
Continuez votre combat, vous êtes impressionnant. Je suis Mathieu, 22
ans, belge et candidat aux élections fédérales en Belgique.
B’avez vous jamais pensé à passer dans un parti alternatif, comme le
Parti Pirate ? Les politiques pirates rejoignent vos idéologies …
Au plaisir de vous lire,
Cordialement,
Darkknow aka Van Hede Mathieu;
+32 (0)471/60.93.05
http://darkkn0w.be
Merci d’accuser la bonne réception de ce mail.
Cher Monsieur,
J’ai découvert récemment un extrait d’interview dans lequel vous dénoncez les grandes entreprises multinationales comme les fraudeurs, vous dites, les voleurs.
Auteur dramatique (je serai créé prochainement par le centre dramatique national de Poitiers), je suis occupé à écrire une pièce sur Marius Jacob (que vous connaissez certainement). Je veux servir son discours pour interroger la société d’aujourd’hui et je suis frappé par la proximité de langage entre ses mots (ce sont eux les voleurs, pas moi) et le vôtre.
Afin de me permettre de bien saisir l’actualité de mon sujet (dénonciation de la destruction sociétale opérée par le grand capital), j’aimerais réaliser la lecture de deux ou trois ouvrages de références contemporains. (avec cette remarque,je ne suis pas philosophe et je m’adresse au grand public).
Accepteriez-vous de me recommander l’un ou l’autre ouvrage ?
Je peux si nécessaire vous donner quelques informations complémentaires sur mon projet et ma (courte) carrière.
JF VIOT
http://www.viotart.eu
Monsieur Filoche;
Je vous « connais » part des amis agents des douanes (CGT FO) toute vos actions sont nuisibles et contre productives. La France est en capilotade du fait de la liberté de nuisance qui a été accordée à « des gens comme vous ».
Un seul petit exemple;
LES FICHES DE PAYE « françaises » !!!
En Angleterre aux US c’est 3 LIGNES
BRUT RETENUES NET !
En France ils faut un logiciel spécifique et lires chaque mois les fiches de mise à jour; sinon « un connard de votre espèce » peut venir faire « un carton ».
Alors je suis discourtois, voire insultant, mais vous avez passé votre existence à détruire l’emploi, à décourager les artisans commerçant entre^reneurs; ceux là même qui créent le plus d’emploi.
Si j’ai décidé (aujourd’hui retraité mais actif)de vous « dire ce que je pense de vous » c’est après en avoir discuté avec des « gars de la CGT (Douanes) qui ont la même opinion que moi sur vos « exploits » passés. Vous vous vantiez auprès d’eux parait il.
Votre « cinéma sur Cahuzac » était pathétique « mon gouvernement disiez vous » !!!!! Honte à vous. Ce gouvernement était et reste LAMENTABLE Le socialisme est la punition des gogos qui ont voté « la mitte en 81″ Hélas les autres ont payé pour que les nuisibles comme vous se gobergent d’argent public
vous etes fou ? le code du travail c’est 675 p aux USA c’est 36 000 pages,
le droit du travail protege l’emploi,
moins il y a de droit du travail plus il y a de chomage et de précaires