sur le point.fr ce soir après le 3° débat de la primaire

Gérard Filoche a partagé la live video de Le Point.

-25:53

6 824 vues
Le Point était en direct.

1 h · 

Primaire de la gauche : c’est la fin du débat. Place au débrief avec Gérard Filoche ! À vos questions http://bit.ly/2k89aNF #PrimaireLeDebat

 

59 Commentaires

  1. Gilbert Duroux
    Posted 20 janvier 2017 at 6:42 | Permalien

    Ça marche pas terrible la lecture de ta vidéo.

  2. Charles
    Posted 20 janvier 2017 at 9:23 | Permalien

    Salut,
    Il y a un bug sur la vidéo, elle n’est pas en ligne en fait, on ne peut pas l’activer…Il faudrait peut-être la recharger…

  3. carlos hermo
    Posted 20 janvier 2017 at 10:54 | Permalien

    Bien… maintenant on a une idée du nombre de participants à la primaire… ça tournera très probablement autours de 1.500.000 votants.
    Est-ce suffisant pour peser?

  4. Posted 20 janvier 2017 at 13:16 | Permalien

    qu’est ce t’en sais
    je l’en fou des pronostics
    on agit pas en fonction de pronostics, mais d’une ligne politique, d’une orientation
    jusqu’à dimanche je me bats
    D&S se bat pour qu’il y en ait le maximum
    toi tu spécules,
    nous nous agissons

  5. Posted 20 janvier 2017 at 13:17 | Permalien

    ici ce n’est q’une image
    allez sur FB sur mon mur
    ou sur tweeter sur ma liste vous la retrouverez
    ou sur le point

  6. Posted 20 janvier 2017 at 13:18 | Permalien

    rien ne marche jamais décidément avec toi
    ici ce n’est qu’une image
    allez sur FB sur mon mur
    ou sur tweeter sur ma liste
    vous la retrouverez
    ou sur le point

  7. Gilbert Duroux
    Posted 20 janvier 2017 at 14:33 | Permalien

    J’ai essayé sur Facebook, ça ne marche pas. Au bout de quelque minutes, il y a un « rafraichissement » et la vidéo s’arrête. C’est pas grave.

  8. thomine
    Posted 20 janvier 2017 at 15:46 | Permalien

    ici ce n’est q’une image
    allez sur FB sur mon mur
    ou sur tweeter sur ma liste vous la retrouverez
    ou sur le point

    encore faudrait-il ne pas être bloqué et comme vous avez bloqué énormément de monde…
    Vous pouvez ne pas être d’accord avec ce que les autres écrivent sans pour autant les bloquer

  9. carlos hermo
    Posted 20 janvier 2017 at 16:02 | Permalien

    @1 et @2 : normalement la video passe bien… en tous cas via le lien:

    https://www.youtube.com/watch?v=s0M3HiHGcIU

    @4: « Spéculer » c’est essayer d’en tirer un bénéfice… franchement je crois que personne ici ne va rien gagner compte tenue de la situation désastreuse à laquelle ont mené 5 ans de « Hollandisme »… Maintenant, je crois que clairement, compte tenues des audiences des débats de la primaire, il va falloir mettre un coup de collier pour convaincre un maximum de gens de l’intérêt pour eux d’aller voter à la primaire de la belle alliance. Parce qu’il est clair que pour l’instant:
    - soient les arguments les laissent froid.
    - soient les tribunes choisies ne touchent pas assez de gens.

    Sur la ligne politique et l’orientation, je pense que c’est là ou c’est le plus difficile d’appuyer pour arguer de « cohérence »… C’est quand même Montebourg qui disait avant de se faire débarquer sur le crédit d’impôt compétitivité emploi (Cice) : « Un crédit d’impôt, c’est beaucoup mieux qu’une baisse d’impôt, parce que, même quand vous ne payez pas d’impôts, vous pouvez en bénéficier ! La mesure est de droit, sans conditionnalité et à usage uniforme… » Mais, précise-t-il un peu plus tard, ces 20 milliards d’euros ne sont « pas du tout un cadeau au patronat », mais juste « un secours nécessaire aux entreprises ».

    source : http://www.humanite.fr/social-eco/arnaud-montebourg-fait-de-l-oeil-au-medef-552227

    On oublie et on lui fait un chèque en blanc?
    Va falloir être persuasif…

  10. Posted 20 janvier 2017 at 18:18 | Permalien

    su mon mur

  11. Posted 20 janvier 2017 at 18:20 | Permalien

    il faut bloquer les insultes, les spams, les trolls, les sans intérêt harceleurs,

  12. Posted 20 janvier 2017 at 18:55 | Permalien

    En gestion d’équipe on prend parfois l’image du village gaulois pour définir les rôles. C’est la métaphore du professeur Yves Enrègle, spécialiste de la sociologie des organisations.

    Pour cette primaire socialiste ce serait plutôt l’image des 7 nains, la France étant dans le rôle de Blanche Neige.

    Les rôles pourraient être comme suit :

    Grincheux : Valls
    Prof : Peillon
    Dormeur : Hamon
    Simplet : Bennahmias
    Atchoum : de Rugy
    Timide : Pinel
    Joyeux : Montebourg

  13. Posted 20 janvier 2017 at 20:50 | Permalien

    1) Hier conférence de presse du PCF Le Premier fédéral déclare : « Cette Primaire nous interesse, les idées de Valls doit être battu.
    Pourquoi pas ensuite un candidat de rassemblement?
    « Nous soutenons Mélenchon qui peut être celui-là, mais ça peut aussi ne pas être lui »
    Car au PCF, on confesse que certaines propositions de Montebourg sont compatibles ….

    2) Aujourd’hui,Martine Croquette, une dirigeante locale du PCF, conseillère municipale et candidate aux législatives, sous le titre »Le PCF appelle à voter à la primaire …contre Valls » publie un communiqué où elle appelle à voter à la primaire pour battre Manuel Valls .Elle précise: dans ce débat, la politique sociale-libérale incarnée par Manuel Valls doit être battue. Le peuple de gauche peut se reconnaître dans une candidature qui propose d’abroger la loi travail, de lutter contre l’austérité, qui souhaite une sixième république, qui refuse les 3% imposés par Bruxelles, qui propose également de taxer les banques, renfloués avec de l’argent public . Elle appelle à la gauche de se retrouver à condition que nous soyons d’accord sur un pacte politique s’attaquant aux politiques d’austérité et à une nouvelle répartition des richesses

  14. socrate
    Posted 20 janvier 2017 at 22:29 | Permalien

    il est évident qu il y a un déficit de confiance de beaucoup de français de gauche envers la classe politique de gauche
    et c’est bien normal
    on oublie pas facilement les trahisons…
    est ce que suffisamment de français se déplaceront dimanche?
    en dessous de 2 millions ça sera insuffisant

  15. socrate
    Posted 20 janvier 2017 at 22:33 | Permalien

    Bruno Cautrès est chercheur au Cevipof (Centre de recherches politiques de Sciences Po) et responsable du baromètre de la confiance politique.

    Vous venez de publier l’édition 2017 du baromètre de la confiance politique. Les Français sont apparemment toujours aussi fâchés avec leur système politique…

    En effet. Nous ne sommes pourtant qu’à cent jours de l’élection présidentielle et celle-ci intéresse les gens. La primaire de la droite a été un succès et certains candidats attirent beaucoup de monde dans leurs meetings. Cependant, nous constatons une très forte défiance des Français vis-à-vis de leur système politique. Le message qu’ils adressent à leurs représentants, c’est « on ne vous aime pas ».

    Par exemple, 89 % des personnes interrogées dans le baromètre estiment que les élus ne se préoccupent pas de ce qu’elles pensent. Sept sur dix considèrent qu’ils parlent des problèmes de manière trop abstraite ; 67 % qu’ils ne se soucient que des riches et des puissants. Quand on leur demande ce qu’ils éprouvent quand on parle de politique, 40 % des Français interrogés répondent « méfiance », 28 % « dégoût »… Un sur cinq (18 %) seulement pense que les responsables politiques essaient de tenir leurs promesses.

    Bref, on observe un désenchantement. Les gens ont le sentiment que les élus passent, mais que les problèmes restent. Ils leur demandent donc de moins parler et de prendre des mesures adéquates. Il y a une demande d’efficacité et, dans le même temps, de proximité, d’empathie, de dialogue.

    Comment expliquer ce désaveu persistant ?

    Il peut s’expliquer par plusieurs tendances de fond. L’intégration européenne et la globalisation économique ont conduit les citoyens à considérer que leurs gouvernants n’ont plus les commandes. Ils se sentent abandonnés.

    Par ailleurs, on observe un déclin de l’autorité verticale. Les gens veulent participer à la construction des décisions, que celles-ci soient motivées. Ils veulent de l’horizontalité, ce qui met le discours politique en porte-à-faux, tout en souhaitant que le pouvoir soit fort.

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr

  16. Wilemo
    Posted 21 janvier 2017 at 0:54 | Permalien

    bonjour,
    Je viens de voir votre post sur FB, concernant la très mauvaise et pour le moins indélicate com’ de la FI au sujet du PS.
    Par contre, on ne traite pas les gens de fachos inconsidérément. Comment vous expliquez que c’est un discours de colère qui appelle la colère ? Ca ne devrait pas être du ressort d’un responsable politique.
    Alors évidemment vous dîtes bien ce que vous voulez, mais pour ma part, tandis que j’hésitais à voter aux primaires et que vous étiez en qq sorte ma dernière caution au PS, je vous abandonne. C’est pas grand chose, ce n’est que moi, mais peut être qu’à plusieurs on pourra vous faire comprendre (vous : le BN) qu’effectivement, comme vous le dites, on ne fait rien tout seul.
    Restez donc avec votre haine ; vous porterez, le cas échéant, la responsabilité de ma toute insignifiante non-participation aux primaires.
    Accessoirement, ça libèrera de l’espace constructif entre consvaincus sur votre blog.
    Bonne continuation.

  17. Michel - Pierre
    Posted 21 janvier 2017 at 11:35 | Permalien

    Très bien, le PCF !
    Alors:
    PAS D’AVENIR « à la TRUMP » EN FRANCE

    ENRAYONS LA DÉRIVE DU PAYS
    DE LA DÉCEPTION HOLLANDE-VALLS-MACRON
    VERS UNE CATASTROPHE FILLON-LE PEN

    AVEC GÉRARD FILOCHE
    FAISONS DU VOTE DU 22 JANVIER
    UNE GRANDE « MANIF » CITOYENNE GAGNANTE

    NOUS LE POUVONS !

    VOTONS TOUS AU PREMIER TOUR
    POUR HAMON OU POUR MONTEBOURG

  18. Posted 21 janvier 2017 at 12:35 | Permalien

    bien sur ces affiches sont type Gringoire, vous avez vu les caricatures ?
    ce sont des affiches contre un vote démocratique
    ce sont des affiches fabriquées et diffusées par des ennemis de la gauche socialiste qui veulent aider valls a gagner pour mieux être certains que toute la gauche perde ensuite : ce genre de calcul tortueux est indéfendable

  19. Pro-Filoche
    Posted 21 janvier 2017 at 17:26 | Permalien

    Dimanche, priorité n°1 : éliminer Valls.

  20. Posted 21 janvier 2017 at 20:16 | Permalien

    et virer les « fans »genre « désirs d’avenir » et « insoumis » semi apolitiques délirants, ni respect, fans sans culture ni nuances mais agressifs

  21. Pascal
    Posted 21 janvier 2017 at 20:56 | Permalien

    tweet de G. Filoche le 16/04/2014:

    « Le gouvernement Valls/Montebourg/hamon, le pire gouvernementde l’histoire de la Gauche depuis100 ans: 50 milliards pris aux pauvres. »

  22. Posted 22 janvier 2017 at 6:34 | Permalien

    oui c’était tout a fait vrai !
    d’ailleurs le clash est arrive ensuite : Valls a viré Hamon et Montebourg parce qu’ils resistaient a ça
    et Montebourg et hamon se présentent contre valls a la primaire
    merci de refaire vivre cette véritable histoire, mes tweets sont un riche lieu d’archivage, vous en avez d’autres ? parce que j’en ai fait 150 000 tout au long du quinquennat

  23. Posted 22 janvier 2017 at 9:41 | Permalien

    “Tout pas fait en avant, toute progression réelle importe plus qu’une douzaine de programmes. Si donc on se trouvait dans l’impossibilité de dépasser le programme d’Eisenach, – et les circonstances ne le permettaient pas, – on devait se borner à conclure un accord pour l’action contre l’ennemi commun.” (K. Marx, lettre à Wilhelm Bracke – 5 mai 1875)

  24. socrate
    Posted 22 janvier 2017 at 18:58 | Permalien

    pour le moment ca mobilise pas énormémént
    1 million a 17 h pour 70% des bureaux
    ca parait moins que 2012

  25. Posted 22 janvier 2017 at 20:06 | Permalien

    entre 1,5 et 1,8

  26. socrate
    Posted 22 janvier 2017 at 21:42 | Permalien

    Hamon suivi de Valls
    voila ce qui apparait devoir etre au second tour
    Montebourg n’a pas réussi a mobiliser ; dommage

  27. Gilbert Duroux
    Posted 23 janvier 2017 at 1:54 | Permalien

    On a entendu les éléments de langage de tous les « socialistes » le soir du premier tour de la primaire du PS. En substance : « nous avons la légitimité des électeurs, donc Macron (pour les supporters de Valls) et Mélenchon (pour les supporters d’Hamon) devront se rallier ».
    On est bien barrés !!!

  28. Posted 23 janvier 2017 at 2:11 | Permalien

    non ce soir sur LCI, Itélé, ou BfM et demain chez Bourdin, je ne parle que d’unité pas d’hégémonie,

    la bonne santé de ces primaires citoyennes ouvertes ne menace personne d’hégemonie, elles appellent à l’unité de tous à gauche avec Hamon Jadot Mélenchon

    additionnons les voix, je ne cesse de le dire et de le redire

    sinon ce serait un vote inutile, battu d’avance, sans alliance impossible de gagner

    Il y a TOUT a gagner pour TOUS à gauche dans cette primaire, refaire gauche, refaire unité, augmenter nos chances collectives de gagner en avril mai juin !

    La faute de 2012 à 2017 sera Hollande, si on perd la faute de 2017 a 2022 sera aux diviseurs

    Une forte participation ce n’est pas pour légitimer le PS, c’est bon pour toute la gauche, pour qu’elle s’unisse et gagne les 23 avril et le 7 mai

    personne ne ralliera personne, personne ne se soumettra a personne, unité !

  29. Hasta la victoria
    Posted 23 janvier 2017 at 4:19 | Permalien

    Gérard,

    On peut bien tant qu’on veut décréter l’unité ; ça ne fait pas le compte.

    Ce qui serait vraiment bon pour la gauche, c’est d’en finir avec ces bidouillages d’appareils et de partir de choses concrètes.

    Quelques éléments d’interrogation fraîchement tangibles :

    1) Je cite M.Jadot, la veille. « C’est lui qui devrait me rejoindre. Benoît Hamon, il n’a pas gagné la primaire. »
    Venant de quelqu’un qui cautionne ce système de ‘primaires’ fort peu républicaines, que doit-on en penser ?

    2) Une lamentable bataille de chiffres sur la participation, qui n’est objectivement pas au rdv du PS. Le Parisien annonce 1,25M de bulletins dépouillés à 1h. Si ce n’est pas de la délégitimation, qu’est-ce que c’est ?

    3) Quid du pseudo ‘revenu universel’ de M.Hamon ? On fait comme si de rien n’était ?
    Ce n’est pas comme si c’était une mesurette portant sur une assiette de plusieurs centaines de milliards d’euros.

  30. Gilbert Duroux
    Posted 23 janvier 2017 at 5:35 | Permalien

    Tu peux dire ce que tu veux, les éléments de langage des « socialistes », sur tous les plateaux de télévision, c’est qu’il faut se rallier au PS au nom du grand succès populaire de la primaire du PS et de ses supplétifs (1/3 de moins que la dernière fois, tu parles d’un succès !)
    Alors c’est mal barré pour l’unité.

  31. carlos hermo
    Posted 23 janvier 2017 at 9:50 | Permalien

    Je crois qu’après avoir essayé de vous alerter à maintes reprises sur le fait que votre stratégie n’était pas la bonne… en dernier lieu en vous prévenant que cette primaire ne toucherait très probablement qu’1,5 Millions de personnes (post#3 du 20/01), vous avez choisi d’ignorer ceux qui vous accordait encore un peu de crédit d’une manière « irratrapable »:

    « Gérard Filoche
    Posted 21 janvier 2017 at 20:16 | Permalien

    et virer les « fans »genre « désirs d’avenir » et « insoumis » semi apolitiques délirants, ni respect, fans sans culture ni nuances mais agressifs ».

    D’ores et déjà, je peux vous assurer qu’il est devenu inutile d’appeler à l’unité en précisant que « personne ne ralliera personne, personne ne se soumettra a personne… », car c’est très exactement ce qui se passera: PERSONNE NE RALLIERA PERSONNE! J’espère que chacun votera en conscience, sans suivre les consignes de partis dont il est clair qu’ils n’ont pas rempli le rôle qui devait être le leur auprès des citoyens de ce pays.

    Oh, et histoire d’avoir une idée « vague » (mais proche) sur la participation au second tour le 29 janvier, prenez l’audience télévisuelle du débat prévu entre les 2 anciens inistres de Hollande le 25 janvier et divisée là par 2…

  32. Posted 23 janvier 2017 at 10:47 | Permalien

    Même si c’est 1,5 million, c’est pas si mal, aucune aucune aucune autre force de gauche ne peut à ce jour, dans ce contexte de division, atteindre cela, et les appels stupides caricaturaux, excessifs sinon scandaleux au « boycott » ne sont pas dans l’intérêt de l’unité de la gauche et de sa victoire

    La bonne santé même relative de ces primaires citoyennes ouvertes ne menace personne d’hégémonie, elles appellent à l’unité de tous à gauche avec Hamon Jadot Mélenchon

  33. Posted 23 janvier 2017 at 10:49 | Permalien

    L’unité de la gauche est nécessaire, il faut un candidat unique, Hamon est seul « compatible » pour y parvenir, c’est le seul espoir pour gagner le 23 avril et le 7 mai sinon désastre – on a tous besoin que le PS vive et penche a gauche pour faire l’unité et gagner en avril mai

    Mais ce ne sera ni tout le programme de la FI ni tout le programme de Hamon, on doit trouver ce qui unit pas ce qui divise

  34. Posted 23 janvier 2017 at 10:51 | Permalien

    Mais ce ne sera ni tout le programme de la FI ni tout le programme de Hamon, on doit trouver ce qui unit pas ce qui divise

    Aucun parti de gauche en l’état à ce jour ne peut faire mieux, mais si on avait fait une grande primaire, il y aurait eu plusieurs millions d’électeurs hélas, cela a été refusé à tort à mes yeux

    Aucun parti de gauche en l’état à ce jour ne peut faire mieux, mais si on avait fait une grande primaire, il y aurait eu plusieurs millions d’électeurs hélas, cela a été refusé à tort à mes yeux

    La bonne santé même relative de ces primaires citoyennes ouvertes ne menace personne d’hégémonie, elles appellent à l’unité de tous à gauche avec Hamon Jadot Mélenchon

    le Ps vit et on a tous besoin de lui pour gagner en avril mai maintenant qu’il repenche a gauche

  35. socrate
    Posted 23 janvier 2017 at 11:08 | Permalien

    1,5 millions de votants sur 45 millions d’électeurs c’est peu meme si aucun parti de gauche ne peut en faire autant.
    La gauche est minoritaire en France
    apres les municipales ; régionales c’est clair

  36. Posted 23 janvier 2017 at 14:12 | Permalien

    la gauche est largement majoritaire en france, et cela se verra si elle s’unit

  37. Inkey
    Posted 23 janvier 2017 at 14:26 | Permalien

    « Mais ce ne sera ni tout le programme de la FI ni tout le programme de Hamon, on doit trouver ce qui unit pas ce qui divise »

    Ce n’est pas une solution monsieur Filoche, on ne peut pas simplement prendre un programme avec seulement les trucs consensuel et oublier toute question de cohérence.

    Si vous voulez rassemblez la gauche débrouiller vous pour faire avancer la question de la sortie des traités européen au PS et à EELV.

    La gauche radicale à une très forte inquiétude de la trahison à la Tsipras et ce n’est pas les discours euro-béats d’un Hamon et d’un Jadot qui sont apte à nous rassurer.

    À quoi sert l’union de la gauche, s’il ont décide de se résigner à accepter les traités européen qui empêche toute politique progressiste pour des raisons purement idéaliste (ah l’europe quel belle idée) et pas du tout pragmatique.

    La position de EELV et de Hamon sur cette question est cruciale, elle n’est a ce jour pas acceptable pour une partie non négligeable de l’ électorat de gauche. Qu’est-il plus important ? Mener une politique de gauche ou conserver a tout prix l’ UE ?

  38. Posted 23 janvier 2017 at 15:20 | Permalien

    si on peut prendre ce qui fait accord et écarter ce qui fait désaccord : portugal

  39. Inkey
    Posted 23 janvier 2017 at 16:21 | Permalien

    «si on peut prendre ce qui fait accord et écarter ce qui fait désaccord : portugal»

    Je me suis renseigner pour voir, mais l’exemple est inexact.

    C’est parce que le parti Socialiste à cédé a 3 conditions du bloc de gauche que le gouvernement a été possible, ce n’est pas en cachant sous le tapis des divergences.

  40. Posted 23 janvier 2017 at 16:37 | Permalien

    nous aussi on est renseignés

    Financial Times 2 janvier 2017 12h04
    Costa déconcerte la critique parce que l’économie portugaise conserve son élan
    Peter Wise à Lisbonne
    Des inquiétudes demeurent, mais anti-austérité premier socialiste a dépassé les attentes
    © EPA
    Quand António Costa a prêté serment en tant que Premier ministre du Portugal en Novembre 2015, ses adversaires présentèrent le leader socialiste comme un aventurier téméraire qui avait gagné le pouvoir au moyen d’un pacte diabolique avec les communistes et la gauche radicale.
    « J’espère ne pas être convoqué de nouveau pour une maison en flammes », a déclaré Pedro Passos Coelho, le Premier ministre de centre droit sortant qui avait conduit le Portugal au travers d’un plan de sauvetage très austère [initialisé] par l’UE et le Fonds monétaire international.
    Pour l’instant, il n’y a pas eu de feu. Un an plus tard, M. Costa bénéficie de sondages d’opinion, dont d’autres dirigeants de centre-gauche de l’Europe ne peuvent que rêver. Son alliance anti-austérité a tenu ferme et, de l’avis de Pedro Nuno Santos, un fonctionnaire du gouvernement, le Portugal est devenu «un îlot de stabilité » dans un monde troublé.
    « Nous avons montré qu’une alternative [à l'austérité] est possible», a dit le Premier ministre. Les partis anti-élite tels que Podemos en Espagne voit le gouvernement de M. Costa comme un modèle à imiter, tandis que Jeremy Corbyn, le chef du parti travailliste, dans l’opposition en la Grande-Bretagne, l’a salué comme le début d’une «coalition anti-austérité à travers l’Europe ».
    Les opposants ne sont pas convaincus. M. Passos Coelho, aujourd’hui leader de l’opposition, a dit lors d’une conférence le mois dernier qu’il était « presque certain qu’il y aura une autre crise de la dette» en Europe, ajoutant que le Portugal devrait se préparer à une telle éventualité.
    Les créanciers internationaux, les marchés financiers et les agences de notation sont également sceptiques. Ils craignent que la croissance économique modeste du Portugal – prévue par la Banque du Portugal à 1,2 pour cent pour 2016 – est trop faible pour soutenir une dette publique de plus de 130 pour cent du produit intérieur brut. Les préoccupations relatives à un secteur bancaire fragile en proie à des prêts à problèmes poussent également les coûts d’emprunt du gouvernement.
    Les rendements des obligations d’Etat à 10 ans de référence du Portugal approchait de 4 pour cent le mois dernier lorsque la Banque centrale européenne a déclaré qu’elle diminuerait le montant des obligations du gouvernement qu’elle achète. Les critiques soutiennent que la dette, la croissance maigre et la faiblesse des banques rendent le pays très vulnérable. Un économiste de Lisbonne dit: « tout choc – banques italiennes, élections françaises – pourrait précipiter une crise. »
    Quelles que soient ces doutes, M. Costa a incontestablement dépassé les prévisions initiales faites pour son gouvernement socialiste minoritaire, qui dépend des votes parlementaires du Bloc de gauche et du parti communiste pur et dur. Bien que les probabilités étaient élevées de voir ce partenariat improbable échouer, le premier ministre a déjà défié la plupart des critiques simplement en survivant avec une deuxième année au pouvoir.
    En chemin , il est passé vu à travers deux budgets approuvés par Bruxelles, et a évité la menace de sanctions de l’ UE pour les déficits budgétaires excessifs. Le FMI prévoit que le déficit de 2016 tombera confortablement en dessous de 3 pour cent du PIB, en baisse par rapport à 4,4 pour cent en 2015, le « niveau le plus bas en 42 ans de démocratie», comme M. Costa décrit, « et l’ un des meilleurs résultats en Europe du Sud ».
    Durant son gouvernement le chômage a baissé de 12,6 pour cent à environ 10 pour cent et plus de 90.000 emplois ont été créés, selon les estimations du gouvernement. Une administration soutenue par des partis de la gauche dure qui font pression pour une restructuration de la dette et des lois plus sévères travail n’a pas non plus effrayé les grandes entreprises étrangères, y compris Volkswagen , Continental et Bosch, qui ont augmenté l’ investissement au Portugal, ou ont dit qu’ils envisagent de le faire, depuis que M. Costa a pris ses fonctions.

    «Le fait que le déficit budgétaire est maintenant sous contrôle, et que les exportations vers la zone euro ont été très dynamique, montrent que le scepticisme au sujet du nouveau gouvernement a été largement exagérée», dit Ricardo Paes Mamede, un professeur d’économie de Lisbonne.
    M. Costa a bénéficié d’un changement d’attitude au sujet de la sévérité de la discipline budgétaire. « Compte tenu des incertitudes politiques dans de nombreux pays, l’Europe a choisi de mettre moins l’accent sur l’austérité qu’auparavant», explique Holger Schmieding, économiste en chef chez Berenberg.
    Le Premier ministre accuse les politiques d’austérité d’avoir les «maintenu les économies déprimées et les sociétés divisées» et insiste sur le fait que sa stratégie de croissance est compatible avec les règles budgétaires de la zone euro.
    Son succès dans les sondages et la hausse de la consommation privée doit beaucoup au recul des mesures d’austérité introduites au cours du programme d’ajustement 2011-2014. Il a agi rapidement pour rétablir les salaires du secteur public, le nombre d’heures de travail, les vacances et les pensions de l’État aux niveaux pré renflouement. Les réformes du marché du travail ont également été inversés.
    M. Schmieding met en garde: « Malheureusement, cela est exactement la mauvaise façon pour attirer suffisamment les investissements étrangers pour se rapprocher, par exemple, des taux espagnols de la croissance du PIB. »
    Selon l’UE et le FMI, M. Costa atteint les objectifs budgétaires en gelant la consommation publique intermédiaire dans des domaines tels que la santé et en restreignant les investissements publics. Les critiques craignent que cela joue sur le problème beaucoup plus important de la dette publique. « Il est comme une famille qui dirait qu’elle n’a dépensé plus que € 1000 qu’elle a gagné, pendant que sa dette bancaire augmenterait de € 5000, » a dit un universitaire.
    Pourtant, les premiers succès de M. Costa, dit M. Paes Mamede, suggèrent que «même dans les conditions strictes de l’union monétaire européenne, il y a plus d’une façon de diriger un pays. »
    Cette histoire a été modifiée depuis la publication de préciser que M. Passos Coelho a évoqué la possibilité d’une autre crise de la dette en Europe, plutôt que spécifiquement au Portugal .

  41. carlos hermo
    Posted 23 janvier 2017 at 16:59 | Permalien

    La vraie difficulté pour le PS consiste à trouver dans un premier temps une ligne « commune » entre les électeurs d’Hamon et ceux de Valls…
    Parce que concrètement, si à l’issue de ce 1er tour, on a 55% du côté du « pro-traité européaniste » Hamon et 45 du côté du  » droitier contrarié » Valls, qui pourraient donc s’entendre sur ce sujet, la ligne de rupture, portée par le camp des vallsistes et acquis au « /social/ou/populo-libéralisme » a été pour le moins consommée pendant ces 5 années…

    Hamon va devoir faire attention car Valls va tenter de lui appliquer la stratégie d’attaque que ce premier réserve à Jean-Luc Mélenchon: à savoir qu’il va annoncer « lui tendre la main » avant le second tour pour prendre la position du « responsable politique réfléchi et raisonné », affichant la carrure du « rassembleur sérieux », digne des aspirations « électorales » de la Gauche et capable d’assumer la plus haute charge de l’Etat…

    Il est probable que notamment Valls cherche à communiquer par surprise sur le terrain le moins évident! Par exemple, sur le revenu universel d’Hamon, totalement irréaliste pour Valls et son « pseudo » revenu minimum décent:
    - En avançant l’idée que les français pourraient choisir eux-mêmes quelles « allocations » seront « refondus » (Il y aura toujours plus faible que soit à brimer) dans le revenu minimum décent, à l’image de ce qu’indique Benoît Hamon, idée suffisamment « populiste » pour plaire à Valls et constituer le « pas visible » fait par le candidat de la « droiche » (la droite de la gauche) vers les « frondeurs irresponsables du PS » représentés par Hamon.

    Valls, cet arriviste populo-libéral va tout faire pour passer devant Hamon… Mais s’il n’y arrive pas, le petit caudillo va faire en sorte de « colorer » au maximum le programme du parti socialiste (car c’est bien celui-là que devra porter Benoît Hamon pour être adoubé par le Bureau National du PS) avec les idées du camp qu’il représente… au demeurant représentant aujourd’hui 31%!

    Je ne sais pas comment Hamon, qui était bien le meilleur candidat pour discuter avec Jean-Luc Mélenchon déjà avant le résultat de ce 1er tour, et ce malgré son approche « pro-traité-européen » directement opposée à l’épine dorsale de la politique européenne défendue par la France Insoumise avec un PLAN A destiné à « renégocier » tous les traités européens anti-démocratiques et anti-sociaux(et à défaut d’en sortir… PLAN B, va pouvoir trouver un terrain d’entente avec la Jean-Luc Mélenchon s’il doit défendre une partie du programme « pro-libérale » de Valls avalisée par le parti socialiste…

    A bon entendeur, Hamon a intérêt à anticiper d’ores et déjà les « manigances » de Valls et à éviter d’user des mêmes à l’encontre de Mélenchon… sinon effectivement, il est clair que les votes resteront « éclatés » entre toutes les candidats à la présidentielle « jugés » de gauche.

  42. Posted 23 janvier 2017 at 17:33 | Permalien

    non il n’y aura pas de programme du parti socialiste, JCC y avait renoncé

  43. carlos hermo
    Posted 23 janvier 2017 at 18:04 | Permalien

    @42: il va falloir rappeler à Cambadélis sa promesse alors :

    http://cahiersdelapresidentielle.parti-socialiste.fr/

  44. carlos hermo
    Posted 23 janvier 2017 at 18:19 | Permalien

    Extrait des cahiers de la présidentielle du parti socialiste censé esquisser le programme (qui n’existe pas) et qui débute par un discours de Cambadélis du 29 novembre (seul le prononcé fait foi! lol) :

    « Voilà les valeurs et les actions que le parti socialiste veut défendre et incarner.
    Voilà ce que notre prochain candidat devra porter s’il veut l’emporter »

    http://www.calameo.com/read/0046493126fa454746d38

    => je vous engage à lire les propositions… certains socialistes risquent d’être surpris de ce que devra porter leur candidat pour 2017.

  45. Posted 23 janvier 2017 at 18:35 | Permalien

    pipeau

  46. carlos hermo
    Posted 23 janvier 2017 at 18:43 | Permalien

    Sur le Portugal, effectivement la coalition de gauche est un exemple… maintenant, si vous vous êtes renseigné, vous savez que le PCP entend bien commencer à discuter des sujets qui fâchent à partir de mars 2017! Donc, compte tenu de ce qui s’annonce, il vaut mieux chercher un autre exemple car cette coalition risque d’afficher sa « fragilité » dans très peu de temps… ET EN PLEIN MILIEU DE LA PRESIDENTIELLE FRANCAISE!

    Quitte à essayer de forger quelque chose de plus solide pour obtenir une « convergence » des votes à gauche… mais pour ça, il va falloir que le PS abandonne l’idée qu’il peut continuer à fonctionner comme il le faisait avant…

    JLM et cet arriviste de Macron ont bien compris que le salut pour 2017 ne viendrait pas des « partis », mais dans la propension à créer une dynamique citoyenne (ce qui ne les empêche pas de « négocier » en sous-main avec tel ou tel): d’où leur identité officielle de candidats « sans étiquettes »!

    D’un côté on a le candidat d’ »En marche » des « banques », des « puissants » et des « gens responsables », de l’autre, le candidat de la « France Insoumise » des « sans cultures », des « irrespectueux » et des « agressifs » (pour faire court).. Le PCF a compris qu’il n’y avait pas d’autre choix (sous la contrainte des militants de base) que d’appuyer sans conditions (du moins « officiellement ») le candidat à la présidentielle qui avait le plus de chance d’arriver à garantir un avenir moins sombre aux plus démunis…

    Quelles conditions posera le candidat du parti socialiste aux autres pour leur apporter son soutien… ou bien, fort des résultats de sa primaire (bien faible au demeurant, en arrivera t’il à adopter la position consistant à oser demander à tous les autres de le soutenir pour faire « barrage » dès le premier tour à un éventuel second tour entre le front national et Les républicains?

  47. carlos hermo
    Posted 23 janvier 2017 at 18:44 | Permalien

    @45 : pipeau ? pipeau de Cambadélis? (je m’offusque mollement)…

    … Alors à quel moment il pipeaute celui-là?
    Quand il dit qu’il n’y aura pas de programme pour la présidentielle ou bien quand il le présente ?

  48. carlos hermo
    Posted 23 janvier 2017 at 19:10 | Permalien

    « Un projet qui sera celui du PS, les candidats auront le leur. « Il y aura une synthèse » avec celui du vainqueur de la primaire, assure Jean-Christophe Cambadélis. »

    ainsi s’exprimait JCC le 29 novembre :
    http://www.lejdd.fr/Politique/Primaire-et-maintenant-la-gauche-828592

    Du coup, je doute que le programme d’Hamon reste en l’état si celui-ci parvient à battre Valls au second tour…
    Disons que Cambadélis, non seulement l’a joué roublard avec ceux qui comme vous, souhaitaient se présenter à la primaire, mais en plus il a bien préparé son coup pour ceux qui auraient passer le filtre!

  49. Gilbert Duroux
    Posted 23 janvier 2017 at 21:07 | Permalien

    GF : « si on avait fait une grande primaire, il y aurait eu plusieurs millions d’électeurs hélas, cela a été refusé à tort à mes yeux ».

    Quand on voit les magouilles pour truquer les chiffres du niveau de participation, ceux qui n’ont pas voulu de cette primaire du P »S » et de ses supplétifs ont bien fait de se barrer en courant.

  50. Gilbert Duroux
    Posted 23 janvier 2017 at 21:56 | Permalien

    @ Carlos Hermo
    Je remarque au passage qu’il n’y a rien dans le programme des socialistes contre la concentration des médias au mains d’une poignée de milliardaires dont certains vivent de commandes publiques. On ne mord pas la main qui vous nourrit…

  51. Posted 23 janvier 2017 at 23:02 | Permalien

    mais dans une grande primaire les problèmes auraient été évidemment moindres et le contrôle plus massif, de la part de toutes les composantes engagées

    je fais quand meme observer
    que nul ne conteste les résultats réels, le classement de chaque candidat ni son pourcentage global

  52. Posted 23 janvier 2017 at 23:10 | Permalien

    je répète avec fermeté que cambadelis a bien explique qu’il n’y aurait pas de projet du PS
    et hamon gardera la min
    il faut preparer les discussions avec Mélenchon et jadot

  53. Posted 23 janvier 2017 at 23:12 | Permalien

    c’est nous qui déciderons si nous gagnons dimanche

  54. Carlos hermo
    Posted 24 janvier 2017 at 9:05 | Permalien

    @52 et @53: Cambadélis est un escroc à peine voilé… Il fait ce qui l’arrange. Lorsqu’il a cédé sur la primaire, le camp progressiste à cru que c’était gagné… Et monsieur en a fermé l’accès au plus progressistes !
    Aujourd’hui, c’est le décompte des voix qu’il veut expédié rapidement sous couvert d’une pseudo haute autorite…

    Ne sous-estimez pas cet intrigant, il a préparé son coup et vous attend au tournant !

  55. Posted 24 janvier 2017 at 14:01 | Permalien

    Si vous « gagnez », vous ne représenterez qu’une infime minorité de la Gauche, celle des frondeurs. Il n’y a pas de quoi être fier de voter le représentant-type du politique qui multiplie les promesses irréalisables pour se faire élire et qui décevra une fois de plus les électeurs de gauche. Vous ouvrea un boulevard à Macron !

  56. Hasta la victoria
    Posted 24 janvier 2017 at 23:37 | Permalien

    @51

    Gérard,

    « mais dans une grande primaire les problèmes auraient été évidemment moindres et le contrôle plus massif, de la part de toutes les composantes engagées »

    En cordialité, je constate que tes nombreux « et si, et si » qui aboutissent toujours à une conclusion irréelle ne relèvent certainement pas du matérialisme historique.

    « je fais quand meme observer
    que nul ne conteste les résultats réels, le classement de chaque candidat ni son pourcentage global »

    Je ne le dirai qu’une fois : je considère que c’est vraiment une bonne nouvelle que M.Hamon soit en tête. Soit dit en passant, sa probable nomination ne constitue pas une absolution pour autant, foi d’universitaire.

    J’aurais cependant espérer que tu ne légitimes pas une telle mise en scène en guise d’élection. A minima, l’organisation est pleinement défaillante. Au pire, c’est un congrès du Parti et ses arrangements/maquillages Permanents.
    Quels « résultats réels » ? Quel « pourcentage global » ? On a rien, aucun élément de vérification. & a contrario plusieurs éléments à charge. Ce n’est pas comme si on n’avait pas eu le temps de s’organiser et d’anticiper ces problématiques.

  57. Posted 25 janvier 2017 at 16:14 | Permalien

    Il y a d’abord du la volonté de Cambadélis (dénoncée par Borgel lui-même) de jouer les Matamore en annonçant une participation de près de 2 millions à la primaire, relayé par Thomas Clay qui a montré, de nouveau, qu’il n’avait aucune autonomie par rapport à Cambadélis. Il y a eu, ensuite, beaucoup d’amateurisme. Le fait que les résultats aient été les mêmes, au centième près, avec 400 000 votants de plus, avait à peu près autant de probabilité de survenir que de voir un singe, placé devant un clavier d’ordinateur, taper « Le bateau ivre » sans une seule erreur.

    L’objectif de JLM est de minimiser, de ridiculiser la candidature du PS car c’est son principal obstacle dans sa volonté de recomposer la gauche comme il l’entend. Son obstination à la dénoncer indique, en même temps, à quel point cette candidature le gène et qu’il y a donc bien la possibilité d’une bataille pour une candidature unique de la gauche dès le 1er tour de la présidentielle, une fois Valls écarté.

    Mais il y a pire que ces « cafouillages » : le refus de Valls de dire qu’il soutiendra la candidature de Benoît Hamon à la présidentielle si ce dernier emporte la primaire. Si Valls refusait de soutenir la candidature de Benoît Hamon à la présidentielle, cette candidature de Hamon ne serait plus que la candidature de l’aile gauche du PS et cela faciliterait le rejet par JLM de la main qui lu tendrait Hamon.

    Ce refus de Valls donne à réfléchir sur le processus en cours. Une primaire n’a de sens que si les candidats qui participent à cette primaire s’engagent à voter pour le vainqueur. Manuel Valls s’était d’ailleurs engagé, au 1er tour de la primaire, à voter pour le vainqueur : il était sûr de gagner. Le fait qu’il revienne sur ce principe de base d’une primaire (que même Sarkozy a été obligé de respecter) en dit long sur sa volonté de garder le PS comme « parti unitaire de la gauche ».

    Si Benoît Hamon gagne, une partie des députés de la droite du PS risque fort de rejoindre aussitôt Macron et l’appareil du PS, derrière Cambadélis, sera placé devant la tentation d’une scission immédiate ou d’attendre la défaite de Hamon à la présidentielle pour, de façon encore plus bureaucratique que d’habitude, garder les murs et le logo de la vieille maison.

    La seule solution, dans une telle situation, est, à tous points de vue, une candidature unique de la gauche mais elle s’annonce difficile. L’appel à JLM, Jadot et Hamon est donc vital.
    JJ Chavigne

  58. Posted 25 janvier 2017 at 16:18 | Permalien

    macron le predicator US fera pschiiiiit

  59. Gilbert Duroux
    Posted 25 janvier 2017 at 19:53 | Permalien

    JJ Chavigné : « La seule solution, dans une telle situation, est, à tous points de vue, une candidature unique de la gauche mais elle s’annonce difficile. L’appel à JLM, Jadot et Hamon est donc vital ».

    Oui, mais ce n’est pas une condition suffisante. Imaginons que les 3 arrivent à se mettre d’accord et à se répartir les rôles. Si c’est Mélenchon le candidat à la présidentielle (ce qui serait logique), l’appareil du PS n’acceptera pas qu’il n’y ait pas de candidat PS à la présidentielle et il y aura scission, avec une partie (à mon avis importante) du PS qui soutiendra Macron.

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