27 des pires déclarations d’Emmanuel Macron

1. « Si j’étais chômeur, je n’attendrais pas tout de l’autre, j’essaierais de me battre d’abord. »

2. « Il faut des jeunes Français qui aient envie de devenir milliardaires. »

3. « Bien souvent, la vie d’un entrepreneur est bien plus dure que celle d’un salarié, il ne faut pas l’oublier. Il peut tout perdre, lui, et il a moins de garanties. »

4. « Il y a dans cette société (Doux) une majorité de femmes. Il y en a qui sont, pour beaucoup, illettrées. »

5. « Le libéralisme est une valeur de gauche »

6. « Les salariés français sont trop payés » « Les salariés doivent pouvoir travailler plus, sans être payés plus si les syndicats majoritaires sont d’accord. »

7. « Le FN est, toutes choses égales par ailleurs, une forme de Syriza à la française, d’extrême-droite. »

8. « Je n’aime pas ce terme de modèle social. »

9. « Être élu est un cursus d’un ancien temps. »

10. « Vous n’allez pas me faire peur avec votre t-shirt, la meilleure façon de se payer un costard c’est de travailler. »

11 « Les britanniques ont la chance d’avoir eu Margaret Thatcher »

12 Je dis aux jeunes : « ne cherchez plus un patron cherchez des clients »

13 « La France est en deuil d’un roi »

14 « Je suis pour une société sans statuts »

15 « Je ne suis pas là pour défendre les jobs existants »

16 « Le chômage de masse en France c’est parce que les travailleurs sont trop protégés »

17 : Il qualifie ceux qui, au sein du PS, s’opposent à sa loi (308 articles réactionnaires dont le travail le dimanche, de nuit, ou la privatisation du don du sang) de « foyer infectieux » ou de « fainéants ». « Je pense qu’il y a une politique de fainéants et il y a la politique des artisans. »

18 : « Chaque candidat qui sera investi signera, avec moi, le contrat avec la Nation. Il s’engage à voter à mes côtés les grands projets, à soutenir notre projet. » « Pas de frondeurs » ( l’article 27 de la loi fondamentale dispose que  »tout mandat impératif est nul. Le droit de vote des membres du Parlement est personnel »)

19 : Finie la protection sociale basée sur le salaire. Macron propose ainsi un transfert géant de 450 milliards de cotisations sociales du salaire brut payé par le capital (eux) sur celui de l’état payé par l’impôt (nous).

20 : « Je vais faire un CICE durable »

21 : « Je ne vais pas interdire Uber et les VTC, ce serait les renvoyer vendre de la drogue à Stains »

22 : « Je compte sur vous pour engager plus d’apprentis. C’est désormais gratuit quand ils sont mineurs »

23 : « Il n’y a pas de culture française »

24 : « Vu la situation économique, ne plus payer les heures supplémentaires c’est une nécessité » (à Davos !)

25 : « La gauche classique est une étoile morte. L’idéologie de gauche classique ne permet pas de penser le réel tel qu’il est »

26 : « C’est une erreur de penser que le programme est le cœur » d’une campagne électorale » « la politique, c’est mystique »

27 : « 35 h pour un jeune, ce n’est pas assez »

 

 

 

 

 

55 Commentaires

  1. Charles
    Posted 7 février 2017 at 16:19 | Permalien

    22. « Le consensus politique, économique et social qui s’est fondé en 1945 et complété en 1958 est caduc! »
    (France Info « questions politique » 4 sept 2016)
    Bref, la sécu, c’est plus ça, on doit s’en débarasser et laisser le privé se faire des thunes sur ce système!

  2. Michel - Pierre
    Posted 7 février 2017 at 16:48 | Permalien

    Bon, ce ne sont là que des citations.
    Et les citations, par définition, concernent le PASSÉ.
    Or ce qui nous préoccupe aujourd’hui, c’est l’élection du printemps prochain (donc l’ AVENIR) … et cela conduit certains à se mettre à la recherche d’une personne … NEUVE.
    Alors qu’en est-il, de ce point de vue, de l’auteur des propos répertoriés ci-dessus ? Que peut-on attendre de ce … Macron à dix semaines du premier tour ?
    « Macron ??? Qui c’est celui-là ? », comme aurait pu demander Pierre Vassiliu ?
    Certains assurent que c’est un candidat qui termine ses meetings en poussant des cris d’eunuque assis sur une plaque chauffante* …
    MAUVAISES  LANGUES !
     
    Reconnaissons quand même que c’est un garçon qui ne manque pas d’atouts, Macron :
    Il est « djeun’ », « mignonnet », porte des costumes sur mesure et choisit généralement bien ses cravates.
    Tout ça, il faut bien le dire, compte quand même dans une élection présidentielle au suffrage universel.
    Surtout quand on est l’un des chouchous de la « GRANDE » presse des milliardaires et gratifié, en conséquence, d’innombrables UNES.
    Alors, me demanderez-vous, quand « l’effet soufflé » qui résulte évidemment de tout ce qui précède sera retombé, que restera -t-il de l’homme politique concerné ?
    Cette question permettant un retour à une considération un peu plus sérieuse des choses, disons qu’il restera un petit candidat « de type MODEM-bis ».
    Un succédané de MODEM, en quelque sorte.
    Ce qui nous invite à regarder d’abord l’histoire de l’apparition du MODEM puis des candidatures MODEM « pur jus ».
    Le MODEM, mouvement créé par Bayrou en 2007, est, comme chacun sait , un mouvement qui se veut « ni de droite ni de gauche » et s’efforce de subsister entre ces deux orientations.
    Alors, bien sûr, la génération spontanée n’existant pas, il y a eu une « ère pré-MODEM ».
    On peut considérer que les principaux représentants en ont été Lecanuet (15,5 % à la Présidentielle de 1965) puis, en 1969 (Giscard d’Estaing étant devenu, avec son ralliement à Pompidou, un politicien « de 2ème droite »), Poher (23 %) et pour terminer, en 2002, Bayrou (6,8 %).
    Pour ce qui est du MODEM proprement dit, on a vu ensuite Bayrou, d’une Présidentielle à l’autre, monter jusqu’à 18,5 % en 2007 puis retomber à 9 % en 2012.
    Mais les candidats « de type MODEM-bis », me demanderez-vous ?
    Eh bien on n’en a vu qu’un seul exemple jusqu’ici. C’était en 1969 et on peut donc même parler d’un candidat « de type pré-MODEM-bis ».
    Gaston Defferre en effet, avant le congrès fondateur d Épinay, a voulu explorer une « troisième voie », entre droite et union de la gauche. Il a obtenu 5,01 % des voix.
    Encore faut-il préciser que c’était avant la naissance du « parti Le Pen » (0,75 % en 1974 …).
    De jolies perspectives donc pour celles et ceux qui, à l’instar d’un certain Maire de Lyon, croient habile d’abandonner la stratégie (et politique  -  !) d’union de la gauche pour courir derrière « le petit marcheur ».
    Mais au fait, (question pour ceux qui n’ont pas la même conception, le même « vécu » de la notion de TRAVAIL que la proche famille de l’actuel candidat de la DROITE …) comment s’appelait-il, ce collaborateur de Hollande et Valls qui, il y a quelque mois, s’attaquait au CODE s’y rapportant ?

  3. Posted 7 février 2017 at 17:38 | Permalien

    t’oublies Jean Jecanuet, Raymond Barre, Balladur, Bernard Tapie

  4. Michel - Pierre
    Posted 7 février 2017 at 19:43 | Permalien

    @ Gérard
    Non, non, pas d’oubli pour Lecanuet (il est tout en haut de la « liste »).
    Pour Tapie, bon, c’est vrai, on l’imagine bien faisant équipe avec le Macron, même s’il n’a jamais, pour sa part, été candidat à une Présidentielle.
    Quant aux deux autres … tu as parfaitement raison et je complète donc le tableau: Barre, en 88, c’était 16,5 % et Balladur, en 95, 18,66.

  5. Gilbert Duroux
    Posted 8 février 2017 at 0:13 | Permalien

    Je remarque qu Gérard Collomb, qui soutient ouvertement Macron, est depuis un bon moment, n’est toujours pas viré du parti dit socialiste. Ça a du bon, l’appartenance déclarative. Ça permet tout. Absolument tout. Même le soutien à la droite la plus néolibérale.

  6. Posted 8 février 2017 at 0:35 | Permalien

    ca y est c’est fait

  7. Gilbert Duroux
    Posted 8 février 2017 at 7:11 | Permalien

    GF : « Je n’ai pas vu passer l’info au sujet de Collob. Tout ce que j’ai vu, c’est une vague menace de Cambadélis concernant des « parrainages », pas concernant les soutiens.
    Toujours dans l’ambiguïté, ce repris de justesse.

  8. Posted 8 février 2017 at 7:24 | Permalien

    Après une attitude plutôt attentiste, Jean-Christophe Cambadélis et Christophe Borgel ont haussé le ton contre les parlementaires PS tentés par l’ex-ministre de l’Économie.
    Vont-ils enfin franchir le pas? Jusqu’ici, Solferino jouait la montre, répétant qu’il y aurait des sanctions contre les socialistes soutiens d’Emmanuel Macron, tout en laissant leur sort en suspens. Après l’investiture de Benoît Hamon, la situation devient intenable, et des incidents commencent à émailler les relations entre socialistes et macronistes, notamment au Parlement. En janvier, Christophe Castaner, député des Alpes de Haute Provence et soutien d’Emmanuel Macron, s’était exprimé à l’Assemblée nationale au nom du groupe socialiste, suscitant l’ire de certains de ses collègues comme le vallsiste Malek Boutih. La direction du Parti socialiste semble désormais prête à sanctionner ces macronistes, qui par définition ne soutiennent pas Benoît Hamon. A minima dans les mots.
    «Ceux qui parrainent Macron seront exclus du PS», a déclaré Jean-Christophe Cambadélis, mardi matin, sur RMC/BFMTV, ajoutant que ce serait le cas par exemple du sénateur et maire de Lyon Gérard Collomb, l’un des principaux soutiens d’Emmanuel Macron. Une menace similaire avait été proférée à l’égard des frondeurs signataires de la motion de censure contre le gouvernement, en mai dernier. Christophe Borgel, l’un des organisateurs de la primaire de la Belle alliance populaire, a annoncé la même chose, au micro de LCP, surtout concernant les parlementaires candidats à leur réelection qui ont demandé l’investiture socialiste. «Eux-mêmes considèrent qu’ils ont besoin de cette investiture socialiste. Pour eux, comme pour les autres, la ligne rouge c’est le parrainage», a affirmé le député.
    «Si je devais craindre les menaces de Cambadélis, je ne ferais pas de politique»

    «Ils ont été candidats en novembre devant les militants socialistes de leur circonscription. J’entends certains dire “ce n’est pas le parti, ce sont les militants”, mais tout cela forme un tout. L’investiture qu’ils ont revendiquée est l’investiture socialiste. C’est à eux de dénouer cette contradiction, soit en s’en tenant à une règle simple: on ne parraine pas un autre candidat, soit en allant au bout de leur logique, en parrainant un autre candidat que le candidat socialiste», a ajouté Borgel. Interrogé sur le cas précis de Richard Ferrand, secrétaire général du mouvement En marche! et candidat aux législatives dans le Finistère, le cadre socialiste a cependant botté en touche. «On verra où on en sera à la mi-mars», arguant des surprises de cette élection présidentielle… La date limite du dépôt des parrainages par les élus est effectivement fixée au 17 mars.
    L’un des soutiens d’Emmanuel Macron n’a pas tardé à répondre aux menaces de Solferino. «Je vais certainement parrainer Macron, si je devais craindre les menaces de Cambadélis, je ne ferais pas de politique», a répondu le député Christophe Castaner. Cette situation concernerait environ quinze parlementaires. En les sanctionnant, le PS risque de les faire apparaître comme des victimes, mais aussi de se couper d’une partie non négligeable de ses élus après les élections de 2017, qui risque déjà de réduire le groupe à la portion congrue.
    Mardi soir, le président du groupe PS au Sénat, Didier Guillaume s’est dit opposé à l’exclusion du parti des élus PS. «Aujourd’hui, à force d’exclusion avant que les choses se passent, je pense que ça n’est pas une bonne chose. Attendons de voir comment les choses évoluent», a déclaré l’ancien directeur de campagne de Manuel Valls. «Je n’aime pas exclure virer les gens», a-t-il ajouté, reconnaissant être «entièrement d’accord avec Emmanuel Macron» sur nombre de sujets, même s’il s’interroge sur son «ni droite ni gauche» et sa volonté de «supprimer tout ou partie» de l’Impôt sur la fortune.

  9. Gilbert Duroux
    Posted 8 février 2017 at 7:28 | Permalien

    L’article que tu copies ne dit en aucun cas que Collomb a été viré. Au contraire, il confirme que « la ligne rouge c’est le parrainage », ce qui n’est pas clair.
    De toutes façons, ce n’est pas le plus important. Le plus important, c’est que Hamon a choisi son camp :
    http://www.bfmtv.com/politique/des-proches-de-valls-dans-l-equipe-de-campagne-de-hamon-1097934.html
    Le titre de cet article :
    « Pour composer son équipe de campagne, Hamon ira chercher dans le camp Valls »

    Je crois que la messe est dite, Hamon ne veut pas d’alliance avec Mélenchon et Jadot, il préfère se tourner vers Valls.

  10. Carlos Hermo
    Posted 8 février 2017 at 8:33 | Permalien

    @9-GD:

    Il n’y aura aucune sanction avant le 19 mars… Autrement dit, il restera moins de temps encore pour qu’Hamon et Melenchon puisse se mettre d’accord et se preparer serieusement… Trop peu de temps.

    Toute discussion menée avant cette date sera frappée de caducité si par la plus grande « bizarrerie », les « Quinzes » décidaient de rentrer à la niche « Vallsiste » plutot que de suivre Macron… En effet, comment ne pas croire que Valls & Co feront tout d’ici l’échéance pour « courber » le programme d’Hamon dans le sens qui est le leur (dixit Vallaud-Belkacem et son « non, la loi El Khomri ne sera pas abrogée »)… Si ceux-là reviennent, ce sera un signe de plus que le mal aura été fait à coup sûr.

    Le pouvoir de nuisance des « réformistes » est déjà à l’oeuvre aujourd’hui… La méfiance et le rejet totalement légitime qu’ils suscitent aux yeux des sympathisants de gauche (voir d’une grande partie de la population si j’en crois les mobilisations contre la loi El Khomri entre autre) ne profitera pas au parti socialiste malgré ce que peuvent dire tous les chantres de l’unité du PS.

    Le temps qui passe joue pour eux… Pas en faveur d’Hamon et son camp!

  11. Posted 8 février 2017 at 8:43 | Permalien

    la je m’en fou en faveur de qui ça joue…
    pas d’unité c’est NOUS tous qui perdons
    les pauvres sectaires ne le comprennent pas

  12. Anonyme
    Posted 8 février 2017 at 10:47 | Permalien

    Comment les éditocrates ont traité la victoire de Benoît Hamon à la primaire ? Un très bon article de Julien Salingue et Henri Maler :
    http://www.acrimed.org/Benoit-Hamon-le-reveur-un-cauchemar-pour-les

    Les médias dominants, c’est la 2ème peau du système. Pourquoi les partis de gauche ne s’occupent pas de la question du pluralisme des médias (Bloche, pour le PS, a été lamentable sur le sujet) ?

  13. carlos hermo
    Posted 8 février 2017 at 12:36 | Permalien

    @11-GF:

    « pas d’unité c’est NOUS tous qui perdons »

    => unité avec les Vallsistes? ou unité avec la gauche? Parce que les Vallsistes ne sont pas de gauche… faudrait être complètement torché à la Vodka pour croire que ceux qui ont démonté le droit du travail et défoncés les droits des travailleurs sont de bonne foi en disant qu’ils incarnent « UNE » gauche…

    « les pauvres sectaires ne le comprennent pas »

    => d’un côté les sectaires de la FI, de l’autre les schizophrènes du PS… tous les ingrédients pour former une nouvelle « belle alliance populaire » pour la présidentielle. Si y’avait pas de quoi se marrer, ce serait à pleurer…

    Le préalable à n’importe quel rassemblement, au-delà des points communs, c’est la confiance! Mais c’est franchement pas difficile de comprendre que le compte n’y est pas! Et plus le temps passe sans qu’Hamon appelle Mélenchon pour mettre les choses au clair, plus le bateau prend l’eau…

    Même Jadot, après avoir rencontré Hamon pour déjeuner, n’a pas été convaincu (sans doute un coup pour rien) et réserve son appui alors que tout le monde sait qu’il n’a pas Mélenchon en odeur de sainteté… C’est dire à quel point le rassemblement partirait de loin!

    ET PLUS LE TEMPS PASSE SANS QUE LE « RASSEMBLEUR », HAMON, PARLE AUX AUTRES (MELENCHON, JADOT) ET PLUS LA DISCUSSION SERA COURTE… CAR L’ECHEANCE APPROCHE!!!!!!

    Causer avec Laurent uniquement pour la répartition des postes aux législatives n’empêchera pas une débâcle du PS à la présidentielle…

  14. Posted 8 février 2017 at 12:47 | Permalien

    etes vous capables de comprendre qu’on est en campagne électorale maintenant

    et qu’il nous faut 20 % et puis 50 %

    qu’on dirige et qu’on doit rassembler au maximum

    mais je suis d’accord on dirige, et sur le fond on doit donner notre tempo notre marque

    hier soir BH était avec les carreleurs du M° des Halles châtelet avant-hier a forbach dans une boite de 2000 salariés ou il a propose « le droit de veto »

  15. carlos hermo
    Posted 8 février 2017 at 13:04 | Permalien

    @14-GF:

    « on dirige et qu’on doit rassembler au maximum »

    => P. Laurent à beau être en négociation pour les législatives avec Hamon (sous la pression de Chassaigne), il sent lui qu’il faut faire vite POUR RASSEMBLER A GAUCHE…

    Puisqu’Hamon ne veut pas appeler Mélenchon (sous prétexte de perdre les 40% de voix « Vallsistes » sur lesquels il lorgne manifestement), la discussion publique entre lui et Mélenchon qu’appelle de leurs voeux certains communistes pourrait peut-être lui convenir ? Ou c’est encore trop tôt? Soit la campagne électorale se fait à gauche, et c’est cette dernière qui imprimera son tempo à tous les autres candidats, soit on regardera passer les trains en avril et mai… ça aussi c’est pas difficile à comprendre!

    http://www.lesechos.fr/elections/jean-luc-melenchon/0211779121541-les-communistes-veulent-une-discussion-publique-entre-hamon-et-melenchon-2062993.php

  16. socrate
    Posted 8 février 2017 at 13:12 | Permalien

    je ne mets pas en cause Hamon
    je suis pour l’unité
    mais une unité claire et nette
    sans embrouille , sans non dit
    il faut faire vite si cela doit se faire….

  17. Posted 8 février 2017 at 14:39 | Permalien

    oui, j’avais dit a pierre laurent en mars 2016 que le temps nous filait entre les doigts

  18. CRAYENCOUR
    Posted 8 février 2017 at 18:16 | Permalien

    Hamon retrouve les vieux réflexes ; il achète le PC avec quelques sièges comme d’habitude, mais ça ne servira à rien; le PC ne représente plus rien depuis longtemps. Comment Mélenchon pourrait il faire confiance à Hamon alors que celui ci veut avant tout s’entendre avec Valls? Hamon ne fait que développer une stratégie visant à siphonner les électeurs de la FI; il attend, un oeil sur les sondages…
    Avec les difficultés de la droite, il y avait pourtant un « boulevard » mais, faute d’ avoir une ligne claire, Hamon va nous le faire rater…

  19. carlos hermo
    Posted 8 février 2017 at 19:09 | Permalien

    @17-GF: C’est à Hamon qu’il faudra le dire… et pas plus tard que maintenant!

    …Bon en fait… je sais plus trop pourquoi j’insiste… Nous savons tous qu’Hamon n’est que dans la posture et que le parti socialiste voit la présidentielle comme un moyen de réussir sa propre reconstruction plutôt que comme une opportunité de changer la vie de millions de gens. Plus grand monde n’est dupe d’ailleurs…

    Allez mes excuses, mais pour moi, le sablier est arrivé au bout… Dernière petite chose, la France Insoumise ne considère pas l’électorat du PS comme une réserve de voix mais elle cherche à convaincre ceux qui ne votent plus de venir reprendre le pouvoir.

    C’est audacieux et très certainement voué à l’échec, mais il est là le vrai enjeu de l’échéance à venir : Rappeler aux citoyens qui s’ignorent que la seule limite à la dictature de la misère, c’est eux!

    Sur ce, bon courage pour ton combat Gérard pour sauver le Parti socialiste.
    Pour ma part, j’en ai un autre à mener.

  20. Bobby
    Posted 8 février 2017 at 21:13 | Permalien

    « j’avais dit a pierre laurent en mars 2016 que le temps nous filait entre les doigts »

    Et aujourd’hui on peut lui dire que le temps file parce que Hamon attend de voir si les sondages lui donnent l’avantage.
    La vérité c’est ça.

    PS : tu peux encore me censurer si ça te gêne, l’important c’est que toi tu le lise…

  21. 1956
    Posted 8 février 2017 at 23:24 | Permalien

    La meilleure déclaration de CAMBADELIS:

    Après la présidentielle, il restera une bonne soupe pour Gérard COLLOMB à la table socialiste.

    C’est éclairant pour l’avenir.
    Mais ayez confiance, ayez confiance, … GF se bat.

  22. Posted 8 février 2017 at 23:49 | Permalien

    Hamon alors que celui ci veut avant tout s’entendre avec Valls?

    vous etes sur quelle planète ? ou vous etes un provocateur ?

  23. Posted 8 février 2017 at 23:51 | Permalien

    « la France Insoumise ne considère pas l’électorat du PS comme une réserve de voix »

    drôle de phrase
    en fait elle est tellement baroque que ça me jette un doute sur votre santé mentale

    en fait vous vous en foutez qu’on gagne ou qu’on perde hein ?

    facho ? infiltré de quoi ?

  24. Posted 8 février 2017 at 23:54 | Permalien

    j’ai une tapée de malades ici

  25. Posted 8 février 2017 at 23:57 | Permalien

    en effet, on se bat,

    y compris contre ceux qui devraient se battre pour leur camp et ne me font pas, qui le divisent et le ravagent

    on verra, notre philosophie a D&S c’est qu’il faut faire tout ce qu’on peut, ne pas se reprocher rien,

  26. socrate
    Posted 9 février 2017 at 0:15 | Permalien

    ce soir sondage elabe bfm
    Melenchon 13
    Hamon 15.5
    les deux sont au coude a coude
    il faut s unir sinon personne a gauche ne passe
    Quand Hamon appelle Melenchon ?

  27. Posted 9 février 2017 at 0:33 | Permalien

    quand melenchon décrochera
    et que les injures seront remplacées par un bon accueil

  28. Bobby
    Posted 9 février 2017 at 1:01 | Permalien

    « Quand Hamon appelle Melenchon ? »

    Il ne veut pas le dire.
    10 fois que je pose la question, pas de réponse.
    À part ça il faut l’unité il paraît.

  29. andré
    Posted 9 février 2017 at 9:35 | Permalien

    avant de decrocher, il faut être appelé, logique non?

  30. sintes
    Posted 9 février 2017 at 12:07 | Permalien

    Une investiture incongrue.
    Globalement dans une France devenue de droite plus ou moins social démocrate, l’élection de Hamon est incongrue, car elle ne reflète pas la sensibilité du PS devenu social démocrate et dont les députés historiques socialistes de « gauche » sont minoritaires, environ 12 %. Il n’y a là pas de quoi être assuré d’avoir des troupes qui se serreront derrière le programme défendu par Hamon qui ne leur convient pas, se sentant plus proche à 74 % du programme social libéral défendu par Valls.
    Un piège.
    Dans ces conditions le maintien de Hamon se transforme en piège pour la gauche, car son échec assuré renforcera l’élection des députés dit social libéraux du PS et marginalisera les chances de succès aussi minime soit-elle de la gauche dite anti libérale que représente Mélenchon. Chacun peut comprendre que la victoire de Hamon si elle doit emporter l’élection d’une majorité de députés PS de gauche libérale opposée à son programme, la fronde changerait de camp et serait plus efficace que celle que menait Hamon et Montebourg contre Hollande. Hamon n’a donc aucune chance de porter à exécution son programme, son maintien ruine les quelques espoirs d’une gauche en rupture avec le système représenté par les propositions des insoumis et son succès signerait son impuissance à disposer d’un groupe cohérent en sa faveur à l’assemblée nationale. Les socialistes historiques du PS sont devant cette équation. Cambadélis a beau appeler du pied Mélenchon et essayer de renverser la responsabilité d’un échec du PS annoncé sur les insoumis, Mélenchon n’appellera pas en faveur d’un vote de Hamon dont il connait la faiblesse politique et les chances d’être arnaqué si celui-ci était élu.
    Ddacoudre sur Agoravox.

  31. socrate
    Posted 9 février 2017 at 12:48 | Permalien

     » quand melenchon décrochera
    et que les injures seront remplacées par un bon accueil »

    Melenchon a été suffisamment insulté ici et ailleurs pour que cet argument ne tienne pas si le PS cherchait vraiment un accord
    Il est ou le Hamon qui devait appeler le lendemain de sa victoire Melenchon?
    première trahison ca commence bien

  32. Posted 9 février 2017 at 13:23 | Permalien

    ah parce que mêlenchon ne nous a pas insulté peut etre ? `

    allez, unite !

  33. Posted 9 février 2017 at 13:24 | Permalien

    mais Je suis social democrate … et depuis lenine, qui était la majorité social demcorate russe !

    la seule chance est un gouvernement Hamon, Jadot, Laurent, Mélenchon

  34. Bobby
    Posted 9 février 2017 at 13:42 | Permalien

    « ah parce que mêlenchon ne nous a pas insulté peut etre ? »

    Encore une esquive mais toujours pas de réponse à la question pourtant simple à laquelle il y a besoin de savoir si on veut agir pour l’unité comme tu dis.
    Mais comment le faire si on ne sait pas ?
    C’est pas une pétition qui foirera encore qui va y changer quelque chose.
    Alors oui ou non Hamon à t-il contacté Melenchon ?
    Faut il faire une pétition sur Change.Org pour que l’on ait une réponse à cette question afin de savoir enfin la vérité ?

  35. Posted 9 février 2017 at 13:44 | Permalien

    j’ai contribue a la lancer depuis le 30 janvier, elle progresse cette pétition à 70 000 signataires a ce que je sais

  36. Bobby
    Posted 9 février 2017 at 15:04 | Permalien

    Oui mais moi je m’en fout des pétitions qui ne donne jamais rien, c’est du vent ce genre de machine, mais ça ne répond toujours pas à la question.
    C’est très inquiétant, serait-ce un gros mensonge cette volonté de contacter Melenchon ?
    Je ne vois pas d’autre explication.
    En tous cas je ne vois pas ce que les bonnes volontés pour une union comme moi peuvent faire puisque l’on ne sait même pas si Hamon la veut vraiment.
    Donc on va attendre.

  37. Gilbert Duroux
    Posted 9 février 2017 at 16:52 | Permalien

    Bobby : « Et aujourd’hui on peut lui dire que le temps file parce que Hamon attend de voir si les sondages lui donnent l’avantage.
    La vérité c’est ça ».

    Non, la vérité oblige à dire que les deux, Hamon et Mélenchon sont dans le même état d’esprit, selon le principe bien connu : « il vaut mieux négocier en étant en position de force ».
    Il y a une question de légitimité entre les deux. J’ai tendance à penser qu’Hamon sera légitime quand il sera au clair avec son parti. Si Hamon continue de vouloir faire une synthèse à la Hollande entre les frondeurs et les Vallsistes, ça ne pourra pas marcher.
    Qu’il laisse les libéraux rejoindre Macron, au lieu de leur donner des gages et de les inclure dans son dispositif de campagne, ce sera plus honnête.

  38. Bobby
    Posted 9 février 2017 at 16:55 | Permalien

    Melenchon à 18%, Hamon à 8 %.

    http://www.entreprendre.fr/melenchon-sondage

  39. socrate
    Posted 9 février 2017 at 17:12 | Permalien

    une union ne peut se faire que sur dez points de concordance forts et des dèsaccords mineurs.
    Sinon c’est un faux accord qui fait plus de mal que de bien.
    Questions : que faire face a l ‘europe , face au Medef ? Comment creer des listes communes pour les députés sachant qu on ne peut faire alliance qu entre gens de gauche.
    Les socialistes de droite doivent etre exclus de toute fonction officielle .
    si un accord se fait sur ces points alors l unité a une chance

  40. Annef
    Posted 10 février 2017 at 11:21 | Permalien

    Bonjour, il manque toujours celle où il dit que présenter une femme comme candidate, c’est prendre un risque. Voir le tweet de Caroline de Haas https://twitter.com/carolinedehaas/status/828160794504359936

  41. BECKER
    Posted 12 février 2017 at 18:02 | Permalien

    Bonjour Monsieur FILOCHE.
    Pourriez-vous préciser la source de la citation 11:
    « Les britanniques ont la chance d’avoir eu Margaret Thatcher »?
    Merci

  42. Posted 12 février 2017 at 18:55 | Permalien

    c’était dans un itv a la GB ou moi même j’etais interviewe

    Le ministre de l’Économie est intervenu dans une émission de la BBC consacrée à la France. Entre trois éloges des « réformes » et deux aphorismes édifiants, il a confié ses regrets que notre pays n’ait pas pris le train des années Thatcher.

    PS, Emmanuel Macron
    Emmanuel Macron est fascinant, tant il incarne, aussi bien dans son discours que dans les politiques qu’il met en œuvre, l’achèvement du virage libéral du Parti socialiste. En toute quiétude, en toute certitude et en toute bonne conscience, ce qui lui permet de réciter le bréviaire du libéralisme sans ciller ni percevoir de quels renoncements il se fait l’agent (lire aussi « Macron, portrait du liquidateur »).

    Les réformes, les réformes, les réformes !
    Cette fois, c’est dans le cadre d’une émission de la BBC consacrée à la France, Quelle Catastrophe ! France with Robert Peston (Robert Peston est un journaliste économique) qu’il a exprimé ses convictions habituelles, probablement confiant dans leur bonne réception par le pays porte-drapeau du libéralisme en Europe. Cela explique peut-être qu’il n’a pas pris beaucoup de précautions pour exprimer son admiration envers les politiques menées dans les années 80 par le gouvernement de Margaret Thatcher :

    « Quand on compare [la France] avec le Royaume-Uni dans les années 80, la grande différence est que nous n’avons pas assuré [les réformes] à l’époque. Les Français se rendent compte que les autres ont décidé de changer et que nous sommes les seuls à ne pas réformer notre propre système. »

    C’est dit. Peu importent la brutalité avec laquelle la dame de fer a appliqué sa politique, les ravages sociaux qu’elle a provoqués et ses conséquences politiques. La nécessité-des-réformes est aussi naturelle que l’air ou l’eau, elle n’est pas discutable. Macron pense certainement que « les réformes » ne sont ni de droite, ni de gauche. Elles sont. C’est le sens de ses références constantes à la réalité réelle, à cet ordre de la nécessité indiscutable et de l’absence d’alternative, le sens de ces redondances dont il a encore livré quelques échantillons à la BBC :

    « Je pense que les gens pensent que nous avons besoin de réformes. Nous voulons faire des réformes, alors nous allons faire des réformes. »

    Force d’auto-conviction
    Sa force de conviction confine à la méthode Coué, et elle trahit aussi l’effacement de la gauche critique et de ses valeurs, tout en proposant une analyse politique elle-même dans le déni :

    « Les Français sont totalement en ligne avec notre volonté de réformer le pays. Et quand ils ne sont pas contents, c’est parce que nous ne le réformons pas assez. »

    Gérard Filoche, également interrogé au cours de l’enquête, appréciera. Nul doute qu’il interprétera aussi, ce mécréant, la déclaration suivante comme une manière d’annoncer la liquidation du « modèle social » qu’elle évoque :

    « Les Français sont extrêmement attachés à leur modèle social. Si nous voulons qu’il soit durable dans cette mondialisation, nous devons gagner, nous devons nous réadapter. »

    Il faut réformer, parce qu’il n’y pas d’alternative, parce que « la mondialisation est une opportunité » bien que les Français aient décidément du mal à le comprendre. Voyez-vous, « un des grands principes du populisme, c’est de promouvoir des idées idiotes ». Hélas, les sachants ont mal expliqué la mondialisation heureuse :

    « Si vous réformez, si vous expliquez, si vous êtes décidé, si vous êtes leader, il n’y a pas de place pour le Front national. Notre erreur est de ne pas avoir assez expliqué que la mondialisation peut être une opportunité si elle est bien gérée. »

    Emmanuel Macron est un leader : c’est probablement la raison pour laquelle il parle toujours comme un évangéliste, un motivateur de formation « force de vente » ou un auteur du rayon « développement personnel » de la Fnac. Laissons-lui ce (foudroyant) mot de la fin, que l’on ajoute à notre collection de Macron Philosophie, mise à jour dans le portfolio ci-après :

    « On ne commence jamais un match de football en pensant qu’on va perdre. »

  43. BECKER
    Posted 12 février 2017 at 20:09 | Permalien

    je vous demandais ça car c’est une citation que j’ai diffusée sur un forum et dont on me demandai la source…
    Ce n’est pas exactement ce qu’il a dit mais la citation (en gras) en dit tout aussi long…
    Merci pour votre réponse.

  44. Pigase
    Posted 13 février 2017 at 11:08 | Permalien

    Vous parliez d’une citation concernant Thatcher, avec guillemets et on ne la retrouve pas dans l’interview de cette émission.
    Macron ne parle ni de chance ni de Thatcher.

    Macron n’a pas prononcé la phrase que vous mettez dans la liste.
    C’est embêtant lorsqu’on parle de citation.
    Non?

  45. Posted 13 février 2017 at 12:04 | Permalien

    cela a été remué par un journal de cette façon, question de traduction sans doute,
    mais si vous voyez un écart entre ce qui est dit et la phrase en question, mettez des lunettes de cerveau

  46. Pigase
    Posted 13 février 2017 at 12:31 | Permalien

    Oui il y a pas mal d’écart.

    1/Ce n’est pas une citation mais un résumé, or vous listez la phrase avec des guillemets parmi d’autres citations qui elles sont exactes.
    Du coup il devient aisé de décrédibiliser toute la liste

    Puisqu’une citation n’est pas vraie, quid des autres?
    C’est gênant.

    2/ Macron ne parle ni de chance ni ne cite le nom de Thatcher.
    Disons que le résumé n’est pas très fidèle.

  47. Pro-Filoche
    Posted 17 février 2017 at 21:39 | Permalien

    On peut ajouter une 26è : « 35 heures pour un jeune, ce n’est pas assez ».

    Ce Monsieur « Révolution » ne sait pas que les gains de productivité permettraient dès maintenant une baisse du temps de travail, pour tous. Et c’est urgent.

  48. hali
    Posted 18 février 2017 at 17:06 | Permalien

    http://fr.blastingnews.com/opinions/2017/02/emmanuel-macron-vu-comme-le-premier-politicien-francais-courageux-001478453.html

  49. Posted 18 février 2017 at 21:48 | Permalien

    le predicateur courageux ? d’ou vient l’argent, on finira par le savoir et ça fera pschiiiitttt

  50. Posted 14 mai 2017 at 22:30 | Permalien

    Au boulot n° 341

    20 des pires phrases anti travail de Macron

    1 : « Si j’étais chômeur, je n’attendrais pas tout de l’autre, j’essaierais de me battre d’abord. »
    2 : « Il faut des jeunes Français qui aient envie de devenir milliardaires. »
    3 : « Bien souvent, la vie d’un entrepreneur est bien plus dure que celle d’un salarié, il ne faut pas l’oublier. Il peut tout perdre, lui, et il a moins de garanties. »
    4 : « Il y a dans cette société (Doux) une majorité de femmes. Il y en a qui sont, pour beaucoup, illettrées. »
    5 : « Les salariés français sont trop payés » « Les salariés doivent pouvoir travailler plus, sans être payés plus si les syndicats majoritaires sont d’accord. »
    6 : « Je n’aime pas ce terme de modèle social. »
    7 : « Être élu est un cursus d’un ancien temps. »
    8 : « Vous n’allez pas me faire peur avec votre t-shirt, la meilleure façon de se payer un costard c’est de travailler. »
    9 : « Les britanniques ont la chance d’avoir eu Margaret Thatcher. »
    10 : Je dis aux jeunes : « ne cherchez plus un patron cherchez des clients. »
    11: « Je suis pour une société sans statuts. »
    12 : « Je ne suis pas là pour défendre les jobs existants. »
    13 : « Le chômage de masse en France c’est parce que les travailleurs sont trop protégés. »
    14 : Finie la protection sociale basée sur le salaire. Macron propose ainsi un transfert géant de 450 milliards de cotisations sociales du salaire brut payé par le capital (eux) sur celui de l’état payé par l’impôt (nous).
    15 : « Je vais faire un CICE durable ».
    16 : « Je ne vais pas interdire Uber et les VTC, ce serait les renvoyer vendre de la drogue à Stains ».
    17 : « Je compte sur vous pour engager plus d’apprentis. C’est désormais gratuit quand ils sont mineurs ».
    18 : « Vu la situation économique, ne plus payer les heures supplémentaires c’est une nécessité ».
    19 : « 35 h pour un jeune, ce n’est pas assez ».
    20 : « une start-up nation est une nation ou chacun peut se dire qu’il pourra créer une start-up. Je veux que la France en soit une ».

    « Faire réussir la France derrière Macron » disent certains ? Pourtant on est déjà pleinement certains que le programme affiché de Macron va nuire au salariat. Faisons tout pour l’empêcher d’avoir une majorité sur ses 10 premiers objectifs nuisibles au travail :

    1°) Empêcher Macron de casser le code du travail, les IRP et faciliter les licenciements.
    2°) Empêcher Macron de moduler la durée du travail par l’âge, retour aux 35 h vers 32 h.
    3°) Empêcher Macron de briser le salaire brut, de supprimer l’obligation par le capital de payer le protection sociale, afin de la faire payer par nous mêmes à travers nos impôts.
    4°) Empêcher Macron de supprimer l’ISF et hausser la TVA.
    5°) Empêcher Macron d’imposer un service obligatoire pour les jeunes, ils veulent des CDI.
    6°) Empêcher Macron de supprimer 120 000 fonctionnaires et de fabriquer plus de chômage.
    7°) Empêcher Macron de redonner 41 milliards au Medef, un CICE « durable ».
    8°) Empêcher Macron d’imposer trois ans de blocage de salaires, mais hausse massive du Smic.
    9°) Empêcher Macron d’imposer la hausse de la CSG qui va frapper les retraités.
    10°) Empêcher Macron d’imposer un système de retraite par points, pas de capitalisation, mais défense de la répartition

    Gérard Filoche

  51. Posted 15 mai 2017 at 8:06 | Permalien

    Portrait type d’un Macroniste… peut etre le Premier d’ailleurs…. « Quand on se penche sur la carrière de Richard Ferrand, bras droit d’Emmanuel MACRON, on est pris de vertiges:
    - journaliste à la « Dépêche du Midi », « Le Monde », « Auto Moto »
    - directeur associé d’une agence de graphisme de presse
    - fondateur d’un cabinet en communication
    - Directeur des Mutuelles de Bretagne (grâce à Kofi Yamgnane)
    - 2001: échec aux Municipales de Carhaix
    - 2007: échec aux législatives
    - 2008: échec aux Municipales de Carhaix
    - 2010: devient Conseiller Général sur la liste de M. Lebranchu avec comme Président J.Y.Le Drian
    - 2012: enfin élu dans la 6è circo du Finistère
    - 2015: Rapporteur de la Loi Macron, désigné par B. Le Roux
    - 2016: démissionne du PS et suit le fils spirituel de F. Hollande
    après avoir soutenu Emmanuelli en 1995, Hollande en 2007, Aubry en 2012, et frondeur.
    Après avoir été proche de Christian Paul, est devenu Macroniste par ambition personnelle; il suffit de voir son parcours.
    Il n’a pas de ligne idéologique. C’est un ambitieux qui est capable de partir de la gauche du PS, de cousiner avec « les frondeurs » et de se jeter dans les bras du libéralisme allègrement, et sans vergogne, ça promet ! » FB

  52. Posted 15 mai 2017 at 8:52 | Permalien

    je n’ai fait aucune « sortie malheureuse » a propos du PDG de Total, lisez ce qu’en disait Bernard Marris, heureusement qu’il y a eu une voix discordante d’un socialiste, dans l’hypocrite concert de louanges à propos de l’un des oligarques les plus connus pour AZF, Erica, la corruption en Afrique ou en Iran, l’optimisation fiscale et la pollution. C’est Martin Bouygues lui même ce matin là à 9 h du matin du 20 octobre 2014, devant témoins, depuis le CCE de son entreprise réuni à La Défense, qui avait appelé la rédaction de TF1 pour essayer de déchaîner les foudres de la rédaction contre moi, depuis quand Politis relaie t elle en la banalisant un montage de presse comme celui là ?

  53. Posted 2 juin 2019 at 15:57 | Permalien

    je vous trouve gonflé d’avoir repris mon travail de recensement que j’avais publié sur Facebook et sur Twitter sans même me citer.
    Vous avez même gardé ma numérotation, mon ordre…
    Bref, un vulgaire copier-coller !
    C’est très décevant de votre part

  54. Posted 2 juin 2019 at 16:42 | Permalien

    de qui vous parlez ? qui etes vous ?

  55. Posted 2 juin 2019 at 16:47 | Permalien

    Le 1er décembre 1944, des dizaines de soldats africains appelés « tirailleurs » sont exécutés par l’armée française dans le camp de Thiaroye, au Sénégal. Ces hommes, qui ont combattu pour la France lors de la guerre et anciens prisonniers des nazis, réclamaient le paiement de leur solde. Selon la version officielle, la répression fait suite à une mutinerie. Une thèse réfutée par l’historienne Armelle Mabon, maître de conférences à l’Université Bretagne Sud. Elle dénonce un mensonge d’Etat et un crime de masse prémédité. Invitée du « Monde Afrique », elle revient sur ce massacre camouflé pendant plus de soixante-dix ans.
    Emile Costard et Charlotte Kan

One Trackback

  1. Par L'espoir Macron - Politicoboy le 14 mai 2017 à 17:37

    [...] peut retrouver ces citations sur Youtube, ou simplement se référer à cette compilation de Gérard [...]

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