Il y a longtemps que Manuel Valls milite pour l’abandon du mot « socialiste » qu’il juge « dépassé ». Il vient de mettre ses actes en cohérence avec sa pensée. Par la même occasion, le vaincu de la primaire renie son engagement d’en soutenir le vainqueur tout comme ses gouvernements ont renié les engagements pris devant les électeurs lors de la campagne victorieuse de 2012.
Après la déchéance de nationalité, la casse d’un siècle de code du travail, le cadeau de 41 milliards de CICE au Medef, 1,3 million de chômeurs de plus, Manuel Valls annonce son soutien à Macron, lui qui promet une casse de tout le système de protection sociale, suite aggravée d’un quinquennat tragique contre la gauche.
Non seulement Manuel Valls soutient Emmanuel Macron, un des trois « candidats du fric », mais il estime qu’en cas de victoire de François Fillon « il faudrait aussi chercher à trouver des compromis avec la droite parlementaire ». Son souhait d’une coalition parlementaire avec la droite est en rupture totale avec l’histoire du socialisme depuis Epinay.
Les adieux à la gauche de Manuel Valls ne doivent pas rester sans réponse. Il ne suffit pas de se dire triste et d’en appeler au calme. Les statuts du Parti socialiste sont clairs : « les adhérents s’engagent à ne soutenir que les seuls candidats à des fonctions électives qui sont effectivement investis ou soutenus par le Parti socialiste » (article 1.2.3). Il faut prendre acte du départ de Manuel Valls (et de tous ses amis qui soutiennent Macron). L’investiture doit lui être immédiatement retirée. Ce n’est évidemment pas en soutenant la droite libérale que barrage sera fait à Le Pen, au contraire, c’est lui servir de marche pied.
Non, le chapitre de l’union de la gauche n’est pas clos. Il y a plus que jamais nécessité de reprendre et de hâter l’unité de la gauche Hamon-Jadot-Laurent-Melenchon. En 72 h un accord global peut être construit : sur un programme commun, sur le candidat et la composition d’un gouvernement d’union, sur des candidats communs aux législatives afin de déboucher sur une majorité parlementaire. Le dernier coup de théâtre de cette campagne, ce doit être la victoire de la gauche unie les 23 avril et 7 mai.
Partout des appels et des manifestations se développent et les appels pour l’unité de la gauche se multiplient pour les présidentielles comme pour les législatives. C’est ce qui motive la réunion publique unitaire à laquelle je participe ce soir à Paris à 19 h ce mercredi 29 mars salle Jean Damme, rue Léopold Bellan dans le 2° arrondissement de Paris.
Gérard Filoche
83 Commentaires
Gérard c’est plié. Hamon est faisandé complet. Il faut d’urgence rallier Jean-Luc pour tenter une reconstruction, en demandant le minimum pour sauver l’essentiel. Le Ps va être balayé et liquidé par Macron-Valls-Cambadelis-Hollande: c’est leur projet depuis 3 ans, ils vont mettre tout le monde au pas.
Si on fait pas ça on est sur le radeau de la méduse.
La clarification politique tant attendue serait-elle « en marche » …
Il y a bien en France désormais clairement 3 grandes familles politiques : gauche socialiste, droite libérale, droite nationaliste .
les deux dernières ont trouvé leur leader, reste à la première de trouver le sien !
et l’élection de 2017 bien mal commencé, sera celle de la clarté politique !
Valls ne « rejoint » pas subitement la droite: il en fait partie depuis bien longtemps,comme la majorité du PS!
S’il est de gauche, Hamon doit se retirer et lancer un appel à voter JLM.
(Sinon il finira au coude-à-coude avec Dupont-Aignan…
http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/valls-peut-voter-macron-tranquillement-il-ne-sera-pas-exclu-du-ps_1893760.html
sauf que lorsque Hamon prend la parole c’est pas pour créer un programme c’est juste pour dire je suis le candidat central rassemblez vous derrière moi…
avec ça aucune chance que ça marche
c’est peut etre fait exprès
faisandé toi même
t’es FN ?
n’importe quoi
rigolo,
il y a deux classes sociales fondamentales,
il y a deux camps
droite et gauche
il faut unir la gauche pour gagner,
non, le PS est encore et toujours le premier parti de gauche, sa nature de classe n’a pas changé…
c’est faux, l’investiture du PS va lui etre retirée, lundi
un socialiste se presentera contre lui et s’il se maintient il sera illico exclu
mais lest le candidat central évidemment,
t’as une meilleure solution ?
Tu appelais il y a un mois une union de Mélenchon à Valls… Le PS n’a plus une position centrale, quoi qu’en pense Hamon. L’unité (si il doit avoir unité) doit se construire autour de Mélenchon et non autour de Hamon.
A part le fantasme sur l’hypothétique « position centrale » de Hamon à gauche, pourquoi tu soutiens une union autour de Hamon et pas autour de Mélenchon ?
j’ai toujours appelé à l’union de toute la gauche depuis 18 mois, sans scission
une scission meme légère c’est une perte de voix meme légère
il s’agit d’une élection ou l’ on doit rassembler large il faut plus de 50 % le 7 mai
pour obtenir ces 50 % oui évidemment hamon est central, personne ne peut nier cela ..
mais il faut un accord global, personne ne doit se retirer devant personne sans accord global
Ralliez-vous à la FI, c’est tout ce qui vous reste à faire. la position centrale de Hamon, c’est en vérité qu’il est mangé sur sa droite par Macron, sur sa gauche par JLM.
Vous pouvez continuer à braire comme des ânes en appelant à l’unité autour d’Hamon, mais en pure perte !
Hamon en a appelé aux communistes pour porter la division dans la FI. Et aprés se présenter comme rassembleur ?
Les communistes soutiennent un candidat. Qui à respecté le code de non agression. On n’essaie pas de vous démarcher, ou d’inciter les autres à larguer Hamon. Alors respectez l’alliance de la FI avec les communistes.
scission, pas scission, on s’en fout, même si tu affirmes que c’est une perte de voix, ce qui n’est pas du tout prouvé (et peut être que c’est le contraire)mais même s’il y a perte, vaut mieux tenter ça ensemble, sinon chacun de son coté c’est fichu et on ne veut pas de central, on veut de la gauche, c’est pas toi qui dit que la gauche est majoritaire? et puis maintenant tu veux un accord, ce n’était pas le cas hier ou tu vitupérais sur l’accord conditionnel proposé par JLM, à trop attendre vous allez tout perdre, FI n’a rien lui, il n’a donc rien à perdre, vous si, réfléchissez y
comprends rien a ton baragoin,
FI n’a « rien à perdre » tu écris ???
c’est inouï hein ?
vous vous vivez hors sol, des millions de gens vont y perdre l’essentiel de leur vie
et vous vous n’avez « rien a perdre »
c’est terrifiant cette exterritorialité avouée vis à vis de nos freres et soeurs salariés,
vous etes des voyous en fait,
vous est tapés, littéralement tapés… mon pauvre
il faut l’unite de toute la gauche, pour GAGNER le 23 avril et le 7 mai
sinon desastre
tu sais lire le mot « desastre » ????
pauvre malade, ça suffit, on est bons ici, mais y a des limites, tu les franchis par trop
« mais il faut un accord global, personne ne doit se retirer devant personne sans accord global »
Je suis bien d’accord avec ça, sauf que à 25 jours des élections c’est impossible. Le candidat qui disparaitra sera forcément vu comme se retirant au profit de l’autre. C’est évident.
Je pense que Mélenchon peut rassembler plus large que Hamon. Pourquoi ? Parce qu’il a une cohérence et un programme très clair, ce que Hamon n’a pas. Au deuxième tour, les électeurs recherchent le candidat le plus stable et le plus cohérent avec ses idées. En somme, celui qui aura la capacité de pouvoir présider le pays.
Hamon est soutenu par d’ancien membre du gouvernement. Il s’est renié sur le revenu universel et son programme reste très vague. Il est loin de représenter la cohérence et le besoin de stabilité que recherche les français quand ils votent au second tour.
Il faut que Hamon décide de s’unir à Mélenchon, mais l’inverse serait contre-productif.
Valls le menteur, Valls le parjure, Valls le traître, Valls le déserteur. Et dire que Benoît Hamon est stupidement resté au milieu du gué pour ménager ce genre de roquet…
Amusant de voir, maintenant, les mêmes qui beuglaient sur Mélenchon parce qu’il « réclamait des têtes » … demander celle de Valls.
Quel aveuglement, quel gâchis
Hamon le candidat central avec 10% et bientôt moins que ça, alors que JLM est désormais à 15% ?
Faudrait quand même arrêter un peu la plaisanterie.
Avec un tel raisonnement inepte faut arrêter de demander l’unité, c’est une cause perdue.
Mais plus que cela, si la gauche n’est pas au second tour il est clair que le seul responsable sera Hamon cette fois, parce que la loi du rassemblement c’est le plus faible qui s’allie au plus fort.
L’acharnement insensé de vouloir rester hégémonique sera coupable.
Gérard Filoche
Posted 29 mars 2017 at 17:56 | Permalien
mais lest le candidat central évidemment,
t’as une meilleure solution ?
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Mais voyons comment peut on dire que Hamon est le candidat central aujourdhui ; au moment ou meme ceux qui ont participé a la primaire BAP quittent le navire ?
Hamon n’a pas réussi le rassemblement du PS alors non ce n’est pas lui le mieux placé pour réaliser l’unité PS FI
si Melenchon ne fait que progresser depuis des semaines c’est que c’est lui qui a la meilleure dynamique et donc c’est a lui de réunir la gauche
quelqu’un peut-il m’expliquer en quoi le gouvernement PS de hollande est de gauche ?
Il est temps de passer a autre chose, sinon on va trainer ce boulet pendant encore 40 ans. Le ps doit disparaitre parce que temps qu’il existera il empechera toute reconstruction a gauche.
Accord total avec ce nouveau texte.
Le RASSEMBLEMENT de toute la gauche est plus que jamais nécessaire et urgent après les reniements de Valls et de Rugy et les allégeances à droite que les deux compères ont clairement orchestrés.
Ce rassemblement doit de toute évidence avoir pour premier objectif la qualification pour le second tour (donc pas moins de 25 % des suffrages), ouvrant la voie à une double victoire en mai et juin.
Cet objectif est certes ambitieux, mais sera tout à fait à la portée des forces enfin réunies, considérant la dynamique que l’événement ne manquera pas d’entraîner, pour peu que la décision concernant celui des deux représentants de la gauche dont la candidature sera maintenue soit JUDICIEUSE ET QUE LA FIN DE LA CAMPAGNE SOIT COMMUNE.
Sur une telle base l’immense majorité des citoyens de gauche, libérée de la frustration actuelle, VOTERA au lieu de s’abstenir, le fera de façon positive et ces millions de suffrages iront au CANDIDAT UNITAIRE, que ce soit HAMON ou MÉLENCHON !
Je réitère donc la conclusion de mon intervention [63] relative au débat lancé le 23 mars à 15 h 22 sous le titre « Jusqu’au bout se battre pour l’unité Hamon Jadot Laurent Mélenchon »:
« Benoît Hamon a dit ceci au journaliste L Delahousse dans le cadre du JT de 20 h de France 2 (le 26 mars) : « Vous ne le dites pas mais dans tous les sondages je bats Marine Le Pen. Je la bats systématiquement au second tour » (https://www.youtube.com/watch?v=_xaWLggJ5uo ).
Comment se fait-il que les citoyens n’en sachent rien ?
Qui donc interdit à L. Delahousse, à France 2 ainsi qu’à tous les autres grands médias nationaux d’informer honnêtement les citoyens sur les résultats qu’obtiendraient aux premier et second tour les hypothèses Hamon d’une part et Mélenchon d’autre part dès lors qu’un seul des deux maintiendrait finalement sa candidature ? »
Aucune réponse n’a été apportée à ces deux questions avant-hier ni hier.
Qu’en est-il maintenant ?
C’est dommage que Benoît Hamon ait fermé la porte à une candidature unitaire en proposant un ralliement à sa candidature plutôt qu’un accord global comme le proposait Gérard Filoche.
ah si seulement aujourd’hui Hamon avait eut l’intelligence politique de proposer à JLM, d’élaborer ensemble un programme de gouvernement, au lieu d’imposer un ralliement provocateur à sa personne …
il aurait fait l’histoire !
Je comprends mal Benoit Hamon dans sa déclaration ce midi… Il propose l’unité derrière lui … au lieu de laisser la porte ouverte à la négociation sur qui doit être candidat. Je veux dire, partant de là, le refus de JLM était évident. ça donne vriament l’impression que l’objectif de Hamon, c’est de pouvoir redire haut et fort « vous voyez, c’est pas ma faute s’il y a pas unité, c’est JLM qui veut pas ».
Si l’avait vraiment voulu cette unité, il aurait marché sur des oeufs, n’aurait pas fait de sa candidature un truc non négociable.
Mélenchon refuse de se rallier à Hamon. Hamon ne veut pas se rallier à Mélenchon. L’unité de la gauche, me semble fort compromise. Et les bordées d’injures n’arrangeront rien entre partisans des deux camps.
Ce sera difficile de faire l’union avec Mélenchon qui est un égocentrique qui ne respecte même pas les communistes qui lui ont apporté leur soutien.
Melenchon n’a pas donné suite à l’appel fait en urgence par Hamon.
Cette fois, cette élection est pliée pour nous.
Il nous reste à épurer le PS, sinon la vraie gauche se fera épurer.
Bonjour,
Ce qui est sûr c’est que le PS n’existe plus sous la forme qu’il a eu pendant 30 ans.
Ce qui est sûr c’est que Benoît hamon est maintenant entrain de dévisser dans les sondages- à prendre avec des pincettes.
Ce qui est sûr c’est que JLM monte, lui, dans ces mêmes sondages- toujours à prendre avec des pincettes.
Ce qui est sûr c’est que le primaire organisée par le PS et ses affidés a volé en éclat. Ceux qui croyaient en cette primaire doivent assumer leur naïveté.
Je ne me réjouis pas de cet état de fait. Mais, avançons !
Pour une candidature unique de gauche : Mélenchon président, Hamon 1er ministre.
Il faut que cela se fasse rapidement.
Ne vous déplaise mais aujourd’hui l’homme fort de la gauche c’est MELENCHON et l’union doit se faire derrière sa candidature.
Valls à même réussit à légitimer le fait que MELENCHON n’est pas participé à la primaire.
Tous derrière la France insoumise et MELENCHON!!!
Et pis l’autre de répondre sechement que non, c’est mort, il négociera rien avec personne…
persuadé que la victoire est possible…
c’est beau d’y croire, m’enfin bon, c’est encore mieux de se donner les moyens réels de gagner.
C’est tellement énervant de voir ce gâchis .. alors même que la victoire est possible.
hamon a 10%, melenchon a 15 et hamon veut que melenchon se range derrierre lui…on reve !
oui c’est les sondages, mais vous les contestez tellement, n’est ce pas,
qu’on peut pas les croire, et ça va rechanger,
mais ca n’a aucune important car entre 10 et 15%, dans un sens ou dans un autre
on vous l’a toujours dit, c’est la catastrophe totale a l’arrivée le 23 avril a 20 h …
vous savez trop bien que les sondages ne veulent rien dire, et que meme entre 10 et 15 c’est minable puisqu’on perd tous et toutes
le PS n’a pas change sa nature de classe,
vous serez encore obligés de faire l’unité avec lui (aux prochaines élections et en 2022…) si vous voulez arrêter les dégâts de la droite et du FN
la seule chose, c’est que vous aurez deliberement de façon criminelle laisser passer LA chance de gagner que nous avons le 23 avril et el 7 mai 2017
mais si on perd le 23 avril, c’est nous qui seront epurés du PS… ils ne se priveront pas
c’est clair, on a subi ici des assauts qu’on a supporté au nommée l’unité mais à un certain stade on ne peut pas empêcher les délirants de nous faire perdre,
on sera quand meme samedi dans la rue place de la république a 14 h 30
et moi a marinade près d’agen le dimanche 2 avril
vendredi 31 mars : journée code du travail Nanterre
Dimanche 2 avril : Bordeaux Agen-Marmande
Mardi 4 avril : réunion à Grigny
Mercredi Jeudi 5 : réunion à Feurs (42)
jeudi 6 avril : réunion à Rives de Giers 42
Vendredi 7 : réunion à Châteaulin 29
Samedi 8 : réunion à Camaret et Creuzon Finistère
Mercredi 12 avril : réunion à Leers (59)
Vendredi 14 avril : réunion Lyon
Samedi 15 avril : 11h Paris 19° JOC
Dimanche 23 avril : vote premier tour
Vendredi 31 mars : réunion droit du travail à Nanterre
Dimanche 7 mai : vote 2° tour
Vendredi 12 mai : à Abbeville 80 avec F. Ruffin
Samedi 13 mai : Librairie Bouillon de culture à Caen 14
mercredi 17 mai : réunion 18 h 30 Colmar
Samedi 20 mai : Orangerie d’Eaubonne 95
Mardi 30 mai : librairie de Limay Mantes
Dimanche 11 juin : vote 1er tour législatives
Dimanche 18 juin : vote 2° tour
WE 25/26 juin ou 1-2 juillet : conférence D&S
mensonge,BH rouvrait la discussion
courageusement
il suffisait a JLM de dire : chiche faisons un accord global et discutons ensuite du candidat et ça y était
c’est vrai ça
oui
et que melenchon en a rajoute de façon symétrique
au lieu de faire pour une fois un geste minimum pour l’unité
pauvret, sectaire
le seul moyen de regler la question du PS c’est d’en reprendre le contrôle a gauche, ce qui ne risque pas d’arriver si on ne fait l’unité et si on ne gagne pas
tu retrouveras ce PS sur ta route des années encore
bein sur que BH, 1 ville sur 3, 3 dpts sur 100, 6 régions sur 13, 17 000 élus, et 6 millions de voix est plus « central » que JLM zéro élu
c’est comme ça,
mais a mon avis ça se négocie quand meme dans un accord global
et dans une nego, JLM est premier minsite, et a un groupe parlementaire,
mais il refuse meme de faire une ouverture habile, (alors que BH vient quand même et meme maladroitement de refaire une ouverture lui)
alors le PG aura zéro élu, zéro ministre, zéro succès, et qu’on perdra tous, je ne sais comment qualifier ce comportement
suicidaire n’est pas le mot, car c’est nous qui sommes suicides, victimes de ce choix indigne de diviser
mais ils valent rien tes 10 ou 15 % ça fait deux mois que vous nous démolissez les sondages, on s’en fou de QUI est devant
bein sur que BH, 1 ville sur 3, 3 dpts sur 100, 6 régions sur 13, 17 000 élus, et 6 millions de voix est plus « central » que JLM zéro élu
c’est comme ça,
mais a mon avis ça se négocie quand meme dans un accord global
sauf qu’il faut le vouloir
veuillez le
au lieu d’étre la, stupide a gober trois sondages et a dire que l’écart de deux points s’est inversé, ce qui ne sert a rien de rien
BH n’a rien cédé devant aucune menace, il est libre d’agir depuis le début, et sa campagne est a gauche
et Valls a choisi lui meme librement
a mon avis si 4 à 500 élus sur 17 000 quittent le PS c’est a cause du fait qu’on n’ait app réussi l’union et ils savent donc qu’on va perdre,
si on avait réussi l’union et qu’on avait des chances de gagner ils seraient restés pour essayer d’avoir des miettes
la ils courent apres, ailleurs
donc t’es pour la division
et pour couler la gauche le 23 avril à 20 h
tire toi de la svp
GF 16
si les gens vont tout perdre c’est à cause de 5 ans de Hollande avec le soutien actif du PS, tu n’y peux rien, c’est un fait
et si je parle de rien à perdre, c’est tout simplement que la majorité du PS n’a qu’un objectif, les bonnes places, cela se voit et se verra de plus en plus avec les ralliements à Macron, alors je les prends par les sentiments, sur le seul élément qui leur est compréhensible, leur réélection
menteur
on PEUT gagner SI on s’unit
on perdra si on est divisés
4 à 500 des 17 000 élus du PS vont vers macron, c’est l’aile droite vallsiste, moins de 5 % …
Bonsoir
100 personnes ce soir à Paris.
Ambiance très dynamique. Décision d’écriture collective d’un appel qui sera envoyé aux candidats et à la presse.
A Paris : 14h30 à République samedi.
C’est le 1er avril il pourrait y avoir des surprises.
Nous avons décidé
1. de nous mobiliser à nouveau ce samedi. Avec l’idée d’un « mariage » poisson d’avril entre JLMélenchon et BHamon
et ceci tous les samedi
2. de commander un sondage sur le score éventuel d’une candidature unitaire de BHamon + JL Mélenchon (600 euros 1 question)
3. Rédiger le communiqué ci-dessous,
Bien amicalement,
Frédéric Boccara.
Une victoire pas deux défaites
Réunis ce soir, nous, les différents appels à l’unité, après la réussite du rassemblement place de la République le 25 mars pour « #Unevictoirepasdeuxdéfaites » appelons à poursuivre la lutte pour l’unité de la gauche sociale et écologiste.
Face à la dangerosité des projets de la droite, de l’extrême-droite et d’Emmanuel Macron, nous affirmons que l’espoir est possible. Seule une alliance des deux candidats de gauche, Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon, créera une dynamique de nature à porter la gauche sociale et écologique au second tour. Nous sommes face à un enjeu décisif.
Dans cette perspective le départ de Manuel Valls vers Emmanuel Macron clarifie les choses pour nous qui étions unis contre la loi « travail ». L’appel de Pierre Laurent secrétaire National du Parti Communiste à une rencontre de toutes les forces et candidats de gauche en vue d’un front politique uni change la donne.
Peu importe celui qui sera porteur de la candidature, la campagne sera collective avec l’ensemble des représentant.e.s et forces de la gauche sociale, écologiste, féministe.
Personne à gauche ne peut accepter que Benoit Hamon et Jean Luc Mélenchon refusent de répondre à la demande d’unité portée par tant de citoyens, de collectifs, de membres du PS, d’EELV, de la France Insoumise, du PCF, d’Ensemble, de Nouvelle Donne, de République et Socialisme.
Les convergences des programmes des deux candidats permettent de construire une plate-forme commune. Elle peut répondre aux exigences sociales, écologiques, démocratiques, d’une autre Europe, avec les moyens financiers indispensables.
Puisque nous sommes tous ensemble pour une VIè République parlementaire, la future Assemblée, que nous souhaitons élue à la proportionnelle, permettra que nos différences nous enrichissent et de préciser les lois à mettre en œuvre.
La responsabilité des deux candidats est historique. Pour obtenir le rassemblement la mobilisation la plus large est nécessaire.
Nous appelons à se rassembler chaque samedi à 14h30 place de la République à Paris, à multiplier les initiatives dans un maximum de villes.
Rendez-vous ce samedi 1er avril à 14h30 place de la République (Paris) pour célébrer collectivement l’alliance Hamon-Mélenchon !
***
Collectif UneVictoirePasDeuxDéfaites qui regroupe :
L’appel des 100 ; la pétition 1maispas3 ; la pétition Vous attendez quoi ;des syndicalistes la pétition Rassemblement à gauche urgence ; des syndicalistes ; des féministes ; des membres des collectifs Les jours heureux, Utopia.
Et des membres de forces politiques de gauches et écologistes (EELV, Ensemble !, PCF, PS, Nouvelle Donne, République et Socialisme, Gauche démocratique et sociale).
Paris, le 29 mars 2017
Bonjour à tou-te-s,
Le collectif a décidé de financer la création d’un sondage Ifop sur la question de l’alliance #HamonMélenchon. Comme aucune des orgas ne s’est manifesté pour le financer, j’ai créé cette cagnotte Leechi. Si vous le pouvez, il est important que chacun y contribue :
https://www.leetchi.com/c/alliance-hamonmalenchon
Cela nous permettrait de démontrer combien nous ne sommes pas seuls, mais au contraire que des millions de personnes espèrent le rassemblement. Donc de faire grandir notre légitimité et la pression sur les candidats.
On compte sur vous.
Et faites circuler autour de vous !
Bonne journée,
Benjamin
j’ajoute que Hamon ne peut plus avoir de légitimité, il ne dirige absolument pas le PS, il n’a aucun pouvoir, il aurait du demander, et obtenir immédiatement l’exclusion des traitres et déserteurs et parjure, au besoin en mettant son retrait de la présidentielle dans la balance, ou les déserteurs sont exclus ou je me retire de la présidentielle, geste fort qui l’imposera comme homme d’état, sinon, tout le monde va comprendre qu’il est, au mieux, le jouet du PS et ne pourra lui apporter aucune confiance
commencer par ça et après on pourra parler rassemblement, mais se rassembler avec un parti qui garde Valls El Khomry le Driant, non non et non
« mensonge,BH rouvrait la discussion
courageusement »
Hamon n’a rien ouvert du tout. Il s’autoproclame plus « central » à gauche en demandant le ralliement de Mélenchon à sa candidature. Et toi tu continues à le défendre…
C’est toi le sectaire ici en invectivant tous tes contradicteurs. Tu ne te rends même pas compte que ton sectarisme te conduit à voter Hamon qui n’est même pas pour la retraite à 60 ans. Tu insultes Mélenchon alors qu’il est plus proche de tes idées !
Graves contresens sur les deux Libéralisme ( politique et économique) et leur relations avec les Socialismes.
(Toulouse, le 29 03 2017)
(Quelques lignes de théorie politique pour approfondir des termes dont le sens est rarement explicité.)
I °) La trahison de l’inspiration libérale initiale :
Le XVIII° siècle fut l’âge d’or de la pensée « libérale » dont les fondements philosophiques et politiques primaient sur leur soubassement économique. Montesquieu, Hume, Locke en furent les éclaireurs et les fondateurs. Ce qui est moins connu, c’est que le fondateur écossais de l’économie politique, Adam Smith, l’auteur de la « richesse des Nations » et le créateur du concept de la « main invisible » fut d’abord professeur de philosophie morale.
Contrairement a notre époque. Il ne serait alors venu à aucun des fondateurs de la pensée « libérale » de sacrifier les principes de Liberté à ceux d’autorité, de nationalisme ou même de sécurité !
Le paradoxe contemporain que nous faisons de l’usage du terme « libéral » depuis le tournant des années quatre-vingt du vingtième siècle, c’est que nous l’identifions au. partisans voire aux dévot de l’économie capitaliste. Or c’est une erreur historique et théorique grave qui ne fait que bénéficier aux adversaires des socialises lesquels ont vite fait de les placer tous en vrac dans le camp des « collectivistes » peu soucieux des « libertés dites formelles ».
Or ceux qui se prétendent « libéraux » surtout en France, ne le sont bien souvent qu’économiquement, au sens étroit de la formule de Quesnay.et de Turgot : « Laissez faire, laissez passer » (il s’agissait alors de grains ; il s’agit désormais de capitaux et de flux bancaires).
En fait nos prétendus « libéraux » contemporains ne sont en fait de purs « libre-échangistes » et des adorateurs des multinationales et oligopoles « multinationaux » qui se soucient comme d’une guigne de l’élévation des conditions de nos Libertés et d’amélioration matérielle et spirituelle des citoyen(ne)s. Encore moins des pauvres. La seule chose qui leur importe c’est le maintien d’un « ordre social » pour assurer la marche de leurs « affaires » qui selon le mot de Dumas fils, sont très souvent « les affaires des autres ». Les anglo-saxons ont une expression pour désigner cet étroit égoïsme des possédants : « business as usuel ».
- L’inspiration réellement « libérale philosophique et politique » trouva aussi plus tard au XIX° siècle en Italie l’un de ses meilleures expressions avec le philosophe Italien Benedetto Croce qui s’opposa dans ses écrits au fascisme et écrivit en 1929 un livre faisant l’apologie du « Libéralisme politique » qu’il désignait comme : «la religion de la Liberté.».
Désormais nous sommes tombés d’une inspiration de valeurs morales dans la bourse des valeurs !
Nous sommes désormais dans une inspiration purement mercantile ne montrant aucune sensibilité sociale aux exclus du système ou dans un Républicanisme sans dimension sociale et au cœur sec, engoncé dans une rhétorique national-jacobine autoritaire.
II °) La fragilité du « bloc progressiste » face à l’hégémonie du « Libérisme conservateur » :
Or, historiquement les socialismes sont nés avant tout de deux forts courants :
1°- La volonté de dépasser la simple égalité civile posée par la Révolution Française et par le code civil Napoléonien en allant vers une égalité plus réelle sans verser dans l’égalitarisme des conditions et des situations.
2° – d’une protestation morale contre la misère et la toute puissance économique de l’accumulation capitaliste.
Ces socialismes naissants n’étaient pourtant en aucune manière « anti-libéraux » même s’ils en dénonçaient parfois la cécité et les limites du « libéralisme politique » fermé sur lui-même et méconnaissant l’exigence de justice sociale. Ils se présentaient plutôt comme l’accomplissement « réel » et l’extension au domaine du social du libéralisme politique.
La plupart de ces socialismes et même celui de Kart Marx étaient « anti libéristes », c’est à dire opposés à la mainmise du « tout argent » et du capital sur tous les aspects de la vie de la Cité et des êtres. Ils n’étaient en aucune manière opposés au libéralisme politique ; ils voulaient en étendre l’assise. Mais c’est une notion mal élucidée tirée de la Republique Romaine antique qui ouvrit une pente glissante et bientôt un gouffre sous les pieds des épigones de Marx suite a la reprise tardive après la Commune du concept « dictature du Prolétariat ».
Elle voulait simplement dire que dans les conditions d’une contre révolution, le bloc des forces progressistes ne devait pas refuser de se défendre en usant exceptionnellement de tous les moyens « provisoires » de coercition contre ses adversaires armés.
Notons que l’emprunt et la transposition du concept de «dictature temporaire» fut bien plus du fait d’Engels que par Marx lui-même. Cet emprunt jamais vraiment débattu a a r 1914 se révéla une grave erreur politique et théorique rejetée très tôt par Rosa Luxembourg. Ses conséquences funestes, furent accrue par le cadre autoritaire de la pratique de Lénine er se transforma lors de la terrible guerre civile russe en fétichisme de parti puis fut exacerbé par le stalinisme.
* Abandonnant après le massacre de la Commune les illusions de la violence minoritaire les leaders socialistes, d’abord Jean Jaurès puis Léon Blum décidèrent de faite donner toutes ses potentialités à République en privilégiant l’action politique et le bulletin de vote.
Nombres de ces socialistes furent de parfaits « libéraux » en Politique rejetant le « laisser fairisme » en matière d’économie mais soutenant toutes les grandes causes des Libertés et de l’émancipation des citoyen(ne)s dont l’antiracisme et le féminisme.
Le grand paradoxe de la vie politique française fut que cette inspiration « libérale politique » des socialistes ne trouva jamais, à de rares exceptions près, d’assise et de soutiens politiques suffisants dans les rangs d’une droite restée longtemps monarchiste puis post monarchiste avec l’« Action Française », les «Croix de feu» parfois «bonapartiste», et plus tard « Gaulliste » avec cette figure politique nouvelle qu’arriva à forger le Général de Gaulle. Le fil conducteur des « droites Françaises » n’a rien de libéral politiquement mais s’est constitué autour des figures d’autorité voire d’ordre et de pouvoir personnel renvoyant à une nostalgie de notre passé monarchiste.
Nécessité impérative fut faite aux vrais « libéraux politiques » minoritaires pour l’emporter face à des adversaires de droite aussi considérables et tournés vers un passé national magnifié de faire alliance et de s’appuyer sur les organisations ouvrières et socialistes. C’est justement cette alliance interclassiste conduite sous la direction de la petite et moyenne bourgeoisie intellectuelle mais faisant une part importante aux classes populaires qui a en France pérennisé la notion de «Gauche» qui nous vient des débats de la Révolution Française. C’est aussi ce concept et la réalité idéologique et stratégique de cette alliance que récuse désormais la tentative Mélenchonnienne!
Or cette alliance des socialistes les plus évolués et cultivés, les moins sectaires, tels Jean Jaurès, Léon Blum, Carlo Rosselli, mais aussi Antonio Gramsci, et les austro-marxistes leur fit nécessité de passer des alliances avec les représentants les plus éclairés du vrai «libéralisme politique», tels les républicains avancés lors de l’indispensable défense morale du capitaine Dreyfus et du combat philosophique et politique mène par le jeune philosophe antifasciste, Piero Gobetti en Italie dans les années vingt puis avec les fondateurs de «Giustizia e Libertà» en Italie lors de la difficile lutte contre le fascisme, plus tard des luttes anticolonialistes menées par le PSU, véritable plaque sensible et laboratoire des gauches modernes des années 60 aux années 1980.
Aucune victoire progressiste n’a jamais été et probablement ne sera jamais possible en France sans la reconstitution de cette alliance du « bloc salariés » et des couches les plus avancées politiquement de la « bourgeoisie éclairée et libérale» au sens politique de ce terme laquelle en France fut souvent représentés par l’aile marchante du parti radical et par la plupart des courants de la SFIO mais aussi de la ligue des droits de l’homme s’appuyant sur les nouvelles couches intellectuelles formées par les enseignants et les professions intellectuelles.
Les trop rares victoires des « Gauches » en France furent chaque fois la traduction politique de cette alliance qui n’allait pas sans contradictions ni tensions, ni nécessités de dépassements vers une mutuelle définition d’objectifs. À la fois de justice sociale et d’extension des Libertés, ainsi que le montre le destin du Front Populaire de 1936 à 1938, celui de la première partie du septennat de François Mitterrand de 1981 à 1983, avant l’application de la funeste politique d’austérité /rigueur qui brisa la solidité de cette alliance.
Les socialistes d’avant 1981, nommaient cette politique de large union le « front de classe », même si la notion d’ « hégémonie culturelle » aurait été mieux appropriée.
Mais bien sûr les idéologues des classes dirigeantes ont eu l’habileté de « brouiller » et même d’ « embrouiller » la réalité des faits et des doctrines pour maintenir leur domination et la prééminence d’un système qui leur apporte tant !
C’est pour cela que le débat contemporain ne permet pas aux citoyens qui n’y consacrent pas suffisamment le temps et l’effort nécessaire de comprendre les ressorts profonds de l’action publique et de rester victime des « masques », des « mots valises » et des « postures ».
Mes chers ami(e)s, efforçons-nous de trier le bon blé de l’ivraie et la vérité des enjeux d’émancipation et de libération. Les mots ont bien une histoire et un sens que le citoyen avisé ne peut méconnaître sans se priver de boussole dans la compréhension, dans nos choix et dans l’action.
Paul Arrighi
Paul Arrighi
on reve ! vous croyez aux sondages maintenant ?
Je me demande : le vrai cauchemar d’Hamon est-ce vraiment Fillion-Lepen ? Ou plutot la FI au deuxième tour et en position de gagner ?
On peut penser ce qu’on veut de Valls, mais il est dans une certaine cohérence : rejoindre Macron dont il partage la plupart des idées et qui avec son niveau dans les sondages peut être au second tour.
Hamon pourrait avoir la même cohérence, ce qui serait un acte politique courageux.
Mais, c’est là où on voit toute la perversité des primaires :le gagnant, Hamon n’est pas libre de ses choix. Le perdant, lui l’est.
Comme le monde est parfois bien fait, sa primaire est tout aussi catastrophique pour la droite, privée de plan B. Ce qui laisse théoriquement, à NDA une place de recours.
les imbéciles qui se réjouissent de la « mort » du Ps sans se préoccuper du desastre de la gauche
ils ne savent meme pas : la mairie de paris sera sans doute perdue pour macron,
le dit 44 sera perdu sans doute pour macron et l’UDI, etc..; c’est a dire que la déroute de la gauche sera généralisée et étendue avec toutes ses conséquences anti sociales
ils regretteront le temps ou il y avait un parti socialiste et une gauche socialiste qui progressait pour le défendre et défendre toute la gauche
Une victoire pas deux défaites
Réunis ce soir, nous, les différents appels à l’unité, après la réussite du rassemblement place de la République le 25 mars pour « #Unevictoirepasdeuxdéfaites » appelons à poursuivre la lutte pour l’unité de la gauche sociale et écologiste.
Face à la dangerosité des projets de la droite, de l’extrême-droite et d’Emmanuel Macron, nous affirmons que l’espoir est possible. Seule une alliance des deux candidats de gauche, Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon, créera une dynamique de nature à porter la gauche sociale et écologique au second tour. Nous sommes face à un enjeu décisif.
Dans cette perspective le départ de Manuel Valls vers Emmanuel Macron clarifie les choses pour nous qui étions unis contre la loi « travail ». L’appel de Pierre Laurent secrétaire National du Parti Communiste à une rencontre de toutes les forces et candidats de gauche en vue d’un front politique uni change la donne.
Peu importe celui qui sera porteur de la candidature, la campagne sera collective avec l’ensemble des représentant.e.s et forces de la gauche sociale, écologiste, féministe.
Personne à gauche ne peut accepter que Benoit Hamon et Jean Luc Mélenchon refusent de répondre à la demande d’unité portée par tant de citoyens, de collectifs, de membres du PS, d’EELV, de la France Insoumise, du PCF, d’Ensemble, de Nouvelle Donne, de République et Socialisme.
Les convergences des programmes des deux candidats permettent de construire une plate-forme commune. Elle peut répondre aux exigences sociales, écologiques, démocratiques, d’une autre Europe, avec les moyens financiers indispensables.
Puisque nous sommes tous ensemble pour une VIè République parlementaire, la future Assemblée, que nous souhaitons élue à la proportionnelle, permettra que nos différences nous enrichissent et de préciser les lois à mettre en œuvre.
La responsabilité des deux candidats est historique. Pour obtenir le rassemblement la mobilisation la plus large est nécessaire.
Nous appelons à se rassembler chaque samedi à 14h30 place de la République à Paris, à multiplier les initiatives dans un maximum de villes.
Rendez-vous ce samedi 1er avril à 14h30 place de la République (Paris) pour célébrer collectivement l’alliance Hamon-Mélenchon !
***
Collectif UneVictoirePasDeuxDéfaites qui regroupe :
L’appel des 100 ; la pétition 1maispas3 ; la pétition Vous attendez quoi ;des syndicalistes la pétition Rassemblement à gauche urgence ; des syndicalistes ; des féministes ; des membres des collectifs Les jours heureux, Utopia.
Et des membres de forces politiques de gauches et écologistes (EELV, Ensemble !, PCF, PS, Nouvelle Donne, République et Socialisme, Gauche démocratique et sociale).
Paris, le 29 mars 2017
on s’en fout des sondages, ce qui compte ceux sont les mots, GF l’a lui même dit et redit, et si BH avait prononcé les mots justes : accord politique de gouvernement au lieu de provoquer JLM en exigeant un ralliement qu’il savait impossible ainsi présenté, cela se serait peut-être passer autrement – aujourd’hui la responsabilité de BH est grande… il va tous nous faire perdre !
http://www.slate.fr/story/142343/hamon-doit-renoncer#xtor=RSS-2
à méditer, Askolovitch est loin de dire des bétises !
Faut arrêter Filoche. Il est temps de passer à autre chose. Cela devient pathétique.
Il n’y aura aucune unité. C’est plié.
Et perso, je me réjouis de la mort du PS. J’avais 10 ans en 1981, 12 en 1983, lorsque le PS au pouvoir s’est mis à trahir les catégories populaires. Depuis je vomis ce parti. Je n’ai jamais voté PS. Et manifestement, ça n’arrivera jamais.
Il y a quelque cruauté à achever une personne à terre, mais la situation est suffisamment grave, l’intérêt général suffisamment menacé pour qu’on accepte un dommage collatéral. Hamon depuis le début ne peut que gêner Mélenchon, pas plus. Désormais isolé dans un parti détesté d’une immense majorité de français et pas moins dans sa partie qui souhaite le progrès social, son seul objet ne peut qu’être de sauver le Ps, alors que celui-ci demeure largement dominé par les néolibéraux. Il faut donc en finir et la réalité est celle-ci :
http://www.slate.fr/story/142343/hamon-doit-renoncer
http://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/2017/03/30/35003-20170330ARTFIG00122-barometre-figaro-magazine-jean-luc-melenchon-superstar-de-la-campagne.php
Il faut parfois savoir quand une bataille est terminé, d’autant plus quand son objet est erroné. la FI est prête à accueillir tous ceux qui partagent son projet. Nous pouvons gagner, prenez le bon wagon !
provocateur imbecile !
personne n’est a terre,
mais toute la gauche est en train de perdre,
Vivement le prochain congrès PS, pour savoir si le PS se débarrassera ou pas de son surmoi Marxiste. Car c’est à la eniemee résurgence de cette question qu’on assiste une fois de plus
pauvre type, tout comme les autres qui avec plusieurs IP chacun jouent la comédie ici
on a répondu mille fois sur ce forum
cette ânerie je l’ai entendu au moins 8 fois : pour les incultes en histoire, le PS est mort déjà en 1958, 1968, 1969, 1983, 1993, 2002, 2007, 2012, et tu seras encore oblige de voter pour lui en 2022, ajuste un peu ta tête ton histoire, ta théorie, tu gagneras en lucidité et efficacité ! Regarde les portugais, les ânes de ton genre à Lisbonne disaient que le PSP était mort avec Socrates il y a 5 ans, et la gauche unie l’a porté au pouvoir en 2015
faut que hamon fasse tout, et que JLM soit exonéré de sa morgue et de ses refus ?
dites donc le seul qui ait recouvert la porte c’est hamon
et pierre laurent a proposé une réunion à 4 à melenchon et il la refuse,
adressez vous donc a melenchon et envoyez moi la copie de vos démarches
et en voila une qui vient nous vanter la cohérence de Valls tout en dénigrant encore une fois la « perverse » (sic) primaire… tout en insultant Hamon (pas cohérent, pas courageux, pas libre, perdant..etc) (ça fait mille fois que ça a été fait depuis 18 mois sur ce blog)
des malades votre meute, vous croyez qu’on est dupes ?
sans primaire valls aurait été designe candidat cela vous aurait plu hein ?
mais vous porterez le poids du desastre, vous ne construirez rien sur des ruines dont vous serez responsables,
pendant des années il y aura de la haine a gauche a cause de cela
et a la fin il faudra faire l’unité avec le PS pour gagner
melenchon est LE sectaire, JAMAIS il n’a fait la moindre ouverture, nulle part, c’est se moquer du peuple qui va souffrir du desastre
les idées a quoi ça sert quand on va tout perdre le 23 avril à 20 h, elles seront helas jetées a la poubelle
rigolo,
on t’a déjà répondu mille fois pourquoi tu recommences ?
Bonjour,
Grave erreur de Mélenchon de penser qu’il va « rattraper Fillon » pour ensuite attraper l’ « autre » : il ne fait que répartir, partager, avec Hamon environ 25% des intentions de vote, et cette donnée est totalement pérenne depuis des mois dans tous les sondages.
A 15%, Hamon ne pèse plus que 10%, et si Mélenchon atteignait 20%, Hamon serait à 5%/7% son socle irréductible, en notant que 20% c’est pas assez pour être au 2nd tour…
Donc, siphonner les voix de Hamon pour, en tout état de cause, finir derrière Fillon ou Macron, en laissant Le Pen intouchable sur son piédestal, c’est la stratégie perdante, pour lui et aussi pour tous les électeurs de gauche : autant dire, qu’il entraîne avec son erreur le suicide collectif (des votes des) des électeurs de gauche… alors qu’il est d’accord, avec Hamon, sur l’essentiel (transition écologique, investissements massifs, réduction des inégalités), quand l’Europe n’est pas vraiment un sujet qui se prête à des « propositions » de projet présidentiel (tout au plus, on annonce des intentions, des orientations, et on espère les concrétiser une fois au pouvoir après réunions, consultations, amendements, peaufinage, échanges avec des partenaires européennes eux-mêmes mouvants, changeants, et on met ensuite des années à essayer de les mettre en œuvre… etc… etc…)…
Il est urgent de changer de logique : il est urgent que tout le monde rappelle et répète à Mélenchon ces quelques réalités !!
Merci d’avance
Cordialement
François M
M Filoche invective de plus en plus. A quoi bon permettre des commentaires ? Il ne supporte que ceux qui vont dans le même sens que lui. Si çà ce n’est pas du sectarisme!!! Et d’ailleurs M Filoche supporte tellement mal la contradiction qu’il a du bloquer la moitié des tweeters.
thomine de droite epouse les decerebres maos
oui
on bloque a tour de bras
on n’a rien a faire de la meute de suivistes,
ils deviennent dingues là,
provocateurs
«melenchon est LE sectaire, JAMAIS il n’a fait la moindre ouverture, nulle part, c’est se moquer du peuple qui va souffrir du desastre
les idées a quoi ça sert quand on va tout perdre le 23 avril à 20 h, elles seront helas jetées a la poubelle»
S’il vous plaît arrêter ce jeu idiot qui consiste à mettre la responsabilité sur un seul homme, c’est usant.
Arrêter aussi de vous prendre pour madame Irma à savoir à l’avance le résultat. Ce qui importe aujourd’hui c’est de convaincre les gens de voter a gauche après 5 ans désastreux.
Guillaume Duval Perso :
Quelques réflexions sur la présidentielle
Benoît Hamon doit convaincre les électeurs séduits par Mélenchon de le rejoindre sans pour autant perdre les électeurs socialistes vers Emmanuel Macron. Il doit apparaître suffisamment en rupture avec le quinquennat Hollande tout en étant le candidat investi par le Parti socialiste et en devant veiller à ce que celui-ci n’explose pas en vol. Pour résoudre cette quadrature du cercle, il a probablement commis des erreurs, notamment en restant trop longtemps attentiste après sa désignation, mais en tout état de cause cette tache est très difficile à mener à bien.
Si il devait échouer au bout du compte et terminer loin derrière Emmanuel Macron et derrière Jean-Luc Mélenchon, l’avenir serait probablement très sombre pour la gauche. On se trouverait en effet ramené à une situation où un bloc protestataire consistant gèlerait 15 % à 20 % des voix à la gauche du spectre politique sans aucune perspective d’accès au pouvoir ou d’alliance, pendant que ce sera constituée une force centrale, beaucoup plus libérale que sociale désormais du fait de l’affaiblissement de la gauche social-démocrate. Et cette force libérale pourra d’autant plus tranquillement mener à bien toutes les « réformes » qu’elle souhaite pour remettre en cause le modèle social français. Le mécontentement qu’elle suscitera ce faisant aura nettement plus de chances d’être récupéré par une extreme droite renforcée par les transfuges de la droite dure que par une extrême gauche durablement cornerisée.
Autrement dit, maintenant que le risque d’un second tour Fillon-Le Pen semble s’éloigner définitivement, l’enjeu principal pour tous ceux qui veulent préserver la possibilité d’une transformation sociale et écologique dans ce pays est bien de renforcer la candidature de Benoît Hamon.
sans unité melenchon sera battu , les illuminés qui font croire le contraire sont des irresponsables qui ruinent l’unité donc toute chance de victoire
s’ils croient a leurs propres sornettes ils pleureront encore plus que les autres le 23 avril à 20 h
comme ceux qui en mai 2012 pleuraient sottement a Stalingrad parce que melenchon avait 11 % au lieu de 17 % ou d’été au second tour comme il l’avait prétendu comme « gonflette »
pourtant 11 % c’était un beau score,
mais il n’y aura jamais « d’insurrection civique » ça ne peut pas exister … sans insurrection sociale préalable
question theorique
« La comédie d’un jour, la comédie de ta vie » ?
@Inkey en 71 :
Je ne traiterais pas Gérard de Madame Irma.
À l’aune des mots d’ordre actuels de Gérard, j’invite les lecteurs, toutes tendances confondues, à relire les articles/commentaires du 30 et 31/01/2017 (respectivement intitulés « le 29 janvier : un vote historique » & « Réponse aux députés PS envisageant un « droit de retrait » après la nette victoire de Hamon et voulant aller à droite avec Macron).
En espérant Gérard que simplement te citer soit ici permis et ne vaille pas censure.
Gérard, le 01/02/2017
« La victoire de Hamon à la primaire et l’attitude sectaire de JLM font perdre petit à petit son audience à ce dernier : il perd de 3,5 à 4 points depuis début janvier. Il devrait vite accepter l’unité »
Gérard, le 01/02
« mais y a rien « dégueulasse », c’est la vie et c’était prévisible sauf pour ceux qui s’illusionnaient (faute de connaissances, de culture, d’histoire, ou par sectarisme)
bien sur les sondages ne veulent rien dire
mais je te parie que hamon va monte rencore et melenchon va baisser, je ne m’en réjouis pas, je veux l’accord au plus vite
je suggère de le faire au plus vite »
Gérard, le 01/02 :
« faut faire vite : Dans le dernier sondage de Paris Match Le Pen 24% Fillion 21% Macron 20% Hamon 18% Melenchon 9%
car moi je souhaite que melenchon ne recule pas trop »
Gérard, le 02/02
« ça fait un an que melenchon aurait du se battre pour l’unité
cette erreur stratégique va le ruiner »
Gérard, le 02/02
« he oui, le niveau de vote va diminuer pour vous et vous allez mal finir si vous ne faites pas unité ! pensez en ce que vous voulez »
—
La répétition printanière de ce procès en sectarisme sur fond de « plus unitaire que moi, tu meurs », n’est que l’expression d’une divergence majeure de stratégie politique, en vue d’affronter l’urgence écologique et le capitalisme moderne. À savoir qu’au mieux Gérard rejette cette dichotomie en déclarant ne reconnaître à la stratégie de la France Insoumise aucune validité, au pire en la mettant sous le tapis.
À cette lame de fond s’ajoute un problème plus secondaire mais non moins formel. Celui des personnes… M.Mélenchon, par ses prises de position et ses déclarations – et non sa personne – apparait comme quelqu’un de clivant. Ainsi se nourrit le « tout sauf Mélenchon ».
Gérard, le 02/02
« 1) non je me fou de la personne de MONSIEUR melenchon, pour moi, aucune animosité, aucune opposition de personne »
Gérard, le 29/03
« ce mec plein de morgue et de mepris qui n’a jamais travaillé ? »
Un exemple parmi tant d’autres. Là où des insoumis-es ont pu critiquer M.Hamon sur des faits politiques, c’est la personne de M.Mélenchon qui insupporte des responsables politiques. Parce que sur le terrain de notre programme « L’Avenir en commun », personne ne vient…
bravo bel effort :
oui melenchon devrait accepter vite l’unité qu’il soit devant ou derriere dans les sondages,
mes propos étaient donc au fil du temps mesurés et pas basés sur les sondages !
oui le départ des le drian, et autres vallsistes ont plutôt fait reculer Hamon dans les sondages au lieu que ce soit mélenchon comme prévisible,
les coups durs sont venus de là, même si on les limite, (JLM s’en rejouit, lui, l’hypocrite, son but ça je l’ai toujours écris, n’est pas de gagner l’élection mais de battre le PS… et au passage meme quand le PS est forcé, un temps, et en majorité, d’être derriere un candidat de la gauche socialiste, ce qui est le plus choquant) ), nous avons pourtant eu raison de tenter de retenir tout le PS, parce que le but était de gagner + de 20 et + de 50 %
mais le non accord avec melenchon au restaurant chilien, a fait penser à Valls et cie qu’on allait perdre et ils sont allés a macron
le paradoxe est qu’un accord Hamon melenchon les aurait forcé (Valls été les autres…) a rester derriere nous
ensuite oui, melenchon m’indiffère en général, ce n’est pas du tout mon type, mais je me suis battu pour qu’il vienne a une grande primaire puis battu pour qu’il fasse l’unité, j’aurais fait campagne pour lui avec enthousiasme des lors que la perspective de gagner existait,
malgré ce que je pense ou ne pense pas de sa personne,
mais quand il est en train de tout gâcher, je me laisse aller, je laisse de cote son talent oratoire et la nature de sa culture, je pense surtout a tous les défauts insupportables de ce type, ses insuffisances théoriques, son arrogance pas toujours de classe, je le sens pas du tout de ma famille ouvrière, et j’enrage qu’on coure au désastre alors qu’on pourrait gagner, c’est a mes yeux presque enterrement sa faute,
(je sais hamon aurait du faire l’accord vite vite vite des le 29 janvier et je l’ai dit dit et poussé ce jour là, je sais aussi que si j’avais été a sa place j’aurais mené l’offensive diplomatique pour un accord global mieux, plus vite et plus efficacement mais ça n’aurait sans doute rien changé car Mélenchon est buté et préfère son truc à lui que la victoire de toute la gauche : la différence historique et théorique entre lui et moi, je l’ai dit depuis longtemps, est sur le front unique, l »insurrection sociale ou civique et le rôle du social, le matérialisme contre l’idéalisme ).
« le paradoxe est qu’un accord Hamon melenchon les aurait forcé (Valls été les autres…) a rester derriere nous»
Était-ce vraiment une bonne chose ?
évidemment !
il y en a qui dise que c’est une clarification c’est stupide car on est dans une élection il faut rassembler plus de 50 %
il faut additionner,
«évidemment !
il y en a qui dise que c’est une clarification c’est stupide car on est dans une élection il faut rassembler plus de 50 %
il faut additionner,»
Là se trouve notre divergence que je pense insoluble.
Rassemblez des choux et des carottes, des gens de gauche sincère et des Tullius Detritus comme Valls, ne me semble pas un projet viable à proposer au Français.
Convaincre les gens qui ne sont pas de gauche, soit, accepter n’importe qui pour défendre un programme de gauche, juste non.
le salariat est 93 % des actifs, c’est notre camp,
pour gagner il faut en gagner la majorité
le salariat est pluraliste, il a 19 Partis de gauche et 8 syndicats dont 30 orientations politiques,
dans chaque parti et syndicat il y a les memes débats,
un seul salariat une seule gauche
croire que ce sont des choux et des carottes est grossier et surtout désespérant
la gauche ce n’est pas des « idées » en l’air c ‘est d’abord une force sociale
«le salariat est 93 % des actifs, c’est notre camp,
pour gagner il faut en gagner la majorité
le salariat est pluraliste, il a 19 Partis de gauche et 8 syndicats dont 30 orientations politiques,
dans chaque parti et syndicat il y a les memes débats,
un seul salariat une seule gauche
croire que ce sont des choux et des carottes est grossier et surtout désespérant
la gauche ce n’est pas des « idées » en l’air c ‘est d’abord une force sociale»
Le rapport entre le salariat et Manuel Valls ?
Évidemment qu’il faut se rassembler, mais derrière JLM et vite parce que à moins de 5% pour Hamon ça va être difficile.
Melenchon 16%
Hamon 8%.
http://www.lepoint.fr/presidentielle/melenchon-peut-il-rattraper-fillon-31-03-2017-2116366_3121.php
bien sur, l’appartenance a la gauche est déclarative
et il y en au beaucoup dans l’arc en ciel de la gauche qui s’en sont réclame et l’ont trahi dans le passé, ici maintenant et partout dans le monde
valls etait membre d’un parti de gauche, et se réclamait de la gauche … alors qu’il faisait une politique droitiere
mais c’est fini le stalinisme
personne ne decide a la place de personne qui est de gauche ou non
sauf si quelqu’un qui se dit de gauche, en acte, je dis bien en acte, soutient la droite, c’et le cas de valls depuis une semaine
et ca tombe bien, c’est clair dans son cas, il veut changer le nom de socialisme, et veut l’alliance avec la droite , se situe au centre, tout ça est facile et sans contestation
grotesque j’espère que t’es pas noté par le reste de la meute pour écrire ça hein ?
allez salut va ailleurs