Invité dans Bourdin Direct ce mardi, Gérard Filoche, membre du bureau national du Parti socialiste, estime que la reconstruction doit se faire, entre autres, avec Jean-Luc Mélenchon.
Après le quinquennat Hollande, la gauche a subi, dimanche, la plus lourde défaite de son histoire aux élections législatives. Créditée de moins de 10% des voix, le Parti socialiste est au bord de l’implosion et pourrait voir son nombre de sièges à l’Assemblée divisé par 10. Invité dans Bourdin Direct, Gérard Filoche, membre du bureau national du parti, pose un bilan très dur de la politique de François Hollande pour expliquer l’échec aux élections.
« Le coupable, c’est la politique suivie. On a dit qu’on allait s’attaquer à la finance et on a fait le lit de la finance. On a dit qu’on allait contrôler les licenciements et on a facilité les licenciements. On a dit qu’on allait lutter contre le chômage et il y a 1,3 million de chômeurs en plus. On a dit qu’on allait renforcer le code du travail et il a été cassé par la loi El Khomri. C’est le contraire d’une politique de gauche qu’on a mené, mais une politique de droite. C’est ce que j’appelle aller dans le mur. C’est pour ça qu’on perd
Gérard Filoche affirme, qu’en plus de ses mises en garde sur le danger de disparition du parti, il a tout fait pour que Benoit Hamon et Jean-Luc Mélenchon s’unissent avant la présidentielle. « On a essayé de sauver le Parti socialiste. On s’est battu pendant 18 mois pour qu’il y ait un accord entre Jean-Luc Mélenchon et Benoit Hamon. Je suis sûr que s’il y avait eu un accord, on serait au pouvoir aujourd’hui. Mais les deux n’ont pas voulu. Je les aime bien mais ce sont les deux dirigeants de gauche les plus bêtes du monde. S’ils s’étaient entendus, on n’aurait pas Macron. Les gens n’ont pas bien compris que Macron ce n’était pas le centre, c’est Thatcher. En matière économique et sociale, il va faire de l’extrême droite. Non seulement il va casser le code du travail mais en plus, il va casser le salaire brut. Les salariés vont payer à la place du capital ».
Gérard Filoche explique ensuite sa vision d’un nouveau Parti socialiste, et appelle à soutenir Jean-Luc Mélenchon à Marseille.
« Il y a un nouveau besoin de gauche et il faut la reconstruire. Il faut la reconstruire avec Mélenchon, avec les Verts et avec le Parti communiste. Je suis pour le désistement réciproque dimanche prochain. J’appelle à voter Mélenchon à Marseille si j’ai un quelconque pouvoir, et j’appelle à voter François Ruffin. Je suis aussi pour que tous les militants socialistes qui sont de gauche, et qui se sont battus contre le gouvernement Hollande, soient réélus. Par contre j’ai une ambiguïté avec madame El Khomri. La gauche doit être contre Macron, elle ne peut pas être ambiguë. Si Cambadélis abandonne le nom du Parti socialiste, je le reprends, pour en faire une idée neuve. Il faut le reprendre de façon saine avec ses fondamentaux ».
48 Commentaires
EH! les insoumis vous comprenez bien ce que macron veut du devenir de la
france, vous comprenez aussi que votre ni droite ni gauche c’est le droite
et gauche d’en marche, vous compenez toujours qu’en vous estropiant de la
gauche du ps vous aurez du mal à rattraper le macron.
vous pariez pour dans cinq ans, vous étes joueurs et inconscients, tender
la main à Gérard c’est plus résonnable, le peuple ou plûtot les
travailleurs vous en seront grés de ne plus étre les seuls perdants.
Hmm Hmm
sérieusement… ?
Faut sérieusement s’essuyer les pieds sur l’histoire pour ne pas voir que la France Insoumise a à voir avec le CNR, le Front Populaire, les communard.e.S
et que chez les socialistes les notables ont pris le contrôle de l’appareil,
depuis 1983, nous explique Ruffin…
Le tournant de la rigueur
L’allégeance au capitalisme… sous une mandature
socialiste !
Les riches n’allaient pas gentiment se laisser
dépouiller !
Deux ans plus tard,
,en 1985, Jean François Trans
(François Hollande et 4 autres condisciples)
publiait « La gauche bouge »
un vibrant appal
à changer de cap…
et à rejoindre sans coup férir
le capitalisme mondial
(Reagan et Tatcher en maîtres du monde… à l’époque)
La France Insoumise est une force émancipatrice
le PS un astre mort
qui s’éteint depuis le revirement de 1983
Celleux qui l’ont compris ont quitté le PS… et s’essayent depuis de retrouver les jours heureux
Et Gérard appelle à voter Ruffin, Mélenchon
La France insoumise vise
simplement
le retour des jours heureux
https://www.youtube.com/watch?v=_FRIpuZi4-A
L’appel du comité central de la Garde nationale, le 25 mars 1871 à l’Hôtel-de-Ville
« CITOYENS
Notre mission est terminée: nous allons céder la place dans votre Hôtel-de -Ville à vos nouveaux élus, à vos mandataires réguliers. Aidés par votre patriotisme et votre dévouement, nous avons pu mener à bonne fin l’œuvre difficile entreprise en votre nom. Merci de votre concours persévérant ; la solidarité n’est plus un vain mot : le salut de la République est assuré. Si nos conseils peuvent avoir quelque poids dans vos résolutions, permettez à vos plus zélés serviteurs de vous faire connaître, avant le scrutin, ce qu’ils attendent du vote aujourd’hui.
CITOYENS * Ne perdez pas de vue que les hommes qui vous serviront le mieux sont ceux que vous choisirez parmi vous, vivant votre propre vie, souffrant des mêmes maux. * Défiez-vous autant des ambitieux que des parvenus ; les uns comme les autres ne considèrent que leurs propres intérêts et finissent toujours par se considérer comme indispensables. * Défiez-vous également des parleurs, incapables de passer à l’action ; ils sacrifieront tout à un discours, à un effet oratoire ou à un mot spirituel. * Évitez également ceux que la fortune a trop favorisés, car trop rarement celui qui possède la fortune est disposé à regarder le travailleur comme un frère. * Enfin, cherchez des hommes aux convictions sincères, des hommes du Peuple, résolus, actifs, ayant un sens droit et une honnêteté reconnue. * Portez vos préférences sur ceux qui ne brigueront pas vos suffrages ; le véritable mérite est modeste, et c’est aux électeurs à choisir leurs hommes, et non à ceux-ci de se présenter. * Nous sommes convaincus que, si vous tenez compte de ces observations, vous aurez enfin inauguré la véritable représentation populaire, vous aurez trouvé des mandataires qui ne se considèreront jamais comme vos maîtres. »
FI n’incarne aucune rigueur programmatique a nos yeux, ce n’est ni CNR, ni programme de transition
D&S, nous défendons un programme de transition » le social au coeur », a nos yeux infiniment plus recherché, plus expérimenté, plus performant
Jamais nous ne « rejoindrons » FI, ce n’est pas notre truc, notre praxis, notre projet,
nous voulons l’unité d’action avec, sur les points communs, surtout pas nous fondre ni « rejoindre »,
Nous n’avons aucun examen à passer, aucune leçon à recevoir, rien à faire « oublier », nous sommes des socialistes fiers (gauche socialiste D&S) fiers de l’être qui nous sommes battus pied a pied contre Hollande des l’ANI, la loi Sapin, la loi Ayrault, la loi Macron, la loi El Khomri,
Nous ne supportons pas la grossièreté les injures, les mépris, la suffisance de beaucoup trop de membres FI sur les réseaux sociaux, cela nous semble relever d’un sectarisme triomphaliste, comme on en a connu dans les années 70 avec les maoïstes,
ça ne durera pas à cause de cela ça finira en mille morceaux – malgré ou plutôt à cause de l’autoritarisme qui y règne.
Dommage d’ailleurs car ce sera du gâchis.
Nous sommes pour un grand parti de toute la gauche uni et pluraliste, démocratique avec droit de tendance, tout ce que n’est pas « FI »
On est pas « peuple » on est lutte de classes,
On n’est pas « insoumis » on est syndiqués
On est pour l’Europe d’Hugo et de Trotski, pour une Europe sociale et démocratique, pour une Europe des peuples, pas pour une Europe des banques, donc pas pour l’UE, mais pas pour le nationalisme, ni pour le souverainisme
Nous ne sommes pas nationalistes mais internationalistes, on chante l’internationale et pas seulement la Marseillaise
une de vos candidates dans le Pas de Calais fait campagne « insoumise et patriote », ça on ne le fera jamais
on ne parle pas « aux gens » mais aux camarades, aux amis, aux citoyens,
on préfère un ouvrier allemand qui mange du hareng qu’un patron français qui nous bouffe tout cru
Notre mouvement est enraciné dans l’histoire du mouvement ouvrier, on n’est pas et on ne veut pas être « neufs » : sans passé pas d’avenir ! Sans bilan du stalinisme et de la social démocratie, pas de programme révolutionnaire
La social démocratie en crise partout n’est pas morte, et l’unité de la gauche rose rouge verte est indispensable hier, et demain pour gagner
il n’y aura jamais « d’insurrection civique » sans insurrection sociale,
la gauche ce n’est pas seulement les estrades et les harangues, c’est d’abord et surtout un maillage de partis, de syndicats, d’associations, d’élus, qu’il faut rassembler dans les entreprises, les bureaux, les quartiers, les territoires, pour cela il faut passer des accord, tricoter des collectifs, faire la part belle au respect des différences et des convergences, tout ce que Mélenchon a refusé de faire depuis 18 mois, nous imposant la défaite la déroute, le malheur,
Oui, on pouvait faire accord, à 80 % un texte commun entre Mélenchon et Hamon, c’était possible en le travaillant, je l’ai écris, transmis, JLM a refusé tout accord avec Hamon quand on pouvait encore gagner ensemble,
Le désastre du 23 avril à 20 h est en majeure partie imputable à Mélenchon : c’est une tragédie qu’il a imposé au salariat, a nos frères et soeurs, à notre pays… des millions de gens non nantis non protégés vont être victimes de sa politique, de la déroute
Je me moque du charisme, ni dieu ni césar, ni tribun, on en a tout autant..
nous sommes contre un parti plébiscitaire vertical, centraliste bonapartiste, nous sommes je le répète pour un parti pluraliste, démocratique unitaire avec droit de tendance
Mais malgré toutes ces différences, oui, nous proposons l’unité pour des actions, pour des campagnes communes, pour un désistement réciproque lors des élections contre les ordonnances macron ,pour défendre le droit du travail, pour nos salaires bruts et nets etc…
unité à gauche, rêve toujours, parce que tu crois que Menucci va appeler à voter Mélenchon??????
sa suppléante l’a fait hier matin et lui hier soir
le figaro
Au PS, Filoche se lâche
Gérard Filoche, connu pour avoir le verbe haut, n’a pas ménagé ses critiques en arrivant au siège du Parti socialiste pour le bureau national, tout à l’heure. «Ça fait 5 ans que je dis que l’on va droit dans le mur, a tonné l’ancien inspecteur du travail. Alors quand on va dans le mur, ça fait mal. Ils pouvait changer à tout moment. On pouvait changer après les municipales, on pouvait après les régionales modifier des choses, on pouvait ne pas faire la loi el-Khomri, on pouvait ne pas faire le CICE, on pouvait ne pas s’engluer dans l’histoire de la déchéance de nationalité.»
Oui Unité de la gauche
mais encore faut il faire l’effort de clarifier
la gauche de Filoche a Melenchon d’accord
mais pas celle de Valls a El Khomri
donc IL FAUT que le PS vide l’abcés pour qu une reconstruction de la gauche se fasse et puisse enfin etre un espoir pour la population qui en aura vite besoin
Bonjour,
Suite à l’article de mon blog (http://ericthouzeau.eu/lactualite-du-desistement-a-gauche/), ci-joint un petit écho dans l’un des deux quotidiens de Loire-Atlantique.
Dans cet article, j’explique pourquoi je voterai FI dans ma circonscription et pourquoi je ne « comprenais » pas l’absence d’expression de la fédération du PS44 (sauf pour soutenir le seul candidat socialiste en lice face à un candidat En Marche).
Je l’ai fait à titre personnel, car appeler à voter FI est dur pour tout un certain nombre de camarades de la gauche du PS tant les rapports avec FI sont dégradés.
Amicalement
Eric Th
Internes en médecine déprimés : « Ils peuvent travailler 36 heures d’affilées »
modifié à 10h59, le 14 juin 2017
Pour Leslie Grichy, vice présidente de l’ISNI, l’intersyndicale des internes, les étudiants en médecine souffrent d’un manque d’encadrement et de cadences infernales.
« Il y a des internes qui nous appellent et nous disent qu’ils travaillent plus de 100 heures par semaine ». Mercredi sur Europe 1, Leslie Grichy, vice présidente de l’ISNI, l’intersyndicale des internes, a réagi aux résultats d’une grande étude publiée mardi par plusieurs syndicats de jeunes médecins. Selon cette étude, les deux tiers des étudiants en médecine et jeunes médecins souffriraient d’anxiété. Près de 28% seraient dépressifs et 23% d’entre eux, c’est-à-dire près d’un sur quatre, auraient ou ont déjà eu des idées suicidaires. C’est 3 % de plus que dans la population générale du même âge.
« Plus de repos de sécurité ». Pour la jeune femme, ces résultats s’expliquent par le manque d’encadrement, les violences psychologiques et surtout les cadences infernales subies par ces jeunes étudiants. « Ils nous disent qu’ils n’ont plus de repos de sécurité, qu’ils peuvent travailler 36 heures d’affilées, que quand ils ne travaillent pas ils dorment toute la journée », souligne la syndicaliste. « Ils nous disent, soit je change de métier, soit je me suicide », ajoute-t-elle.
Une cellule d’écoute. C’est la raison pour laquelle dix cellules d’écoute « SOS internes » ont été créés ces dernières années. Pour améliorer la santé mentale des jeunes soignants, les syndicats proposent aussi de rendre obligatoire la visite médicale d’aptitude. Car actuellement 60% des jeunes médecins n’ont jamais vu un médecin du travail.
je viens d’entendre El Khomri investie par le PS soutenue par Cazeneuve qui a dressé un portrait flatteur de la candidate également soutenue par En Marche
tant que toute cette politique nauséabonde subsistera , il y aura un rejet massif du corps électoral
Le PS doit clarifier , couper les branches pourries ou sèches
il y a urgence
en effet c’est nauséabond je l’ai dit hier sur LCI et Bourdin
Le 13 juin 2017 à 15:16, frederic a écrit :
Bonjour Monsieur,
J’écoute tous les matins Bourdin.
Je vous ai écouté ce matin, mon poil s’est hérissé en entendant vos propos.
Vous avez et vous aviez, parmi votre électorat, des artisans, des commerçants, des gérants de TPE dont je fais parti.
93 % des actifs sont salariés, 7 % des actifs sont dans votre catégorie
J’ai voté pour la 1ère fois pour l’élection présidentielle de 1988.
Je fais parti d’une longue lignée de communiste et de socialiste donc mon vote depuis cette élection se porte sur le PS.
Mes 2 frères sont fonctionnaires d’Etat dont 1 est inspecteur du travail.
Cette année, j’ai voté pour Macron car ce pays a besoin que l’on aide les catégories que j’ai cité plus haut et de modernité.
macron, c’est le pire, c’’est la droite thatcherienne,
vous etes abusé ou aveugle ou complice,
il s’agit d’une hyperconcentration de la dictature financiere des banques du medef, du CAC ce sera une triste page de l’histoire de France anti sociale anti salariale
Vos discours précédents et celui de ce matin m’a conforté dans mon choix et je ne suis plus le seul parmi les artisans, commerçants, etc…
les deputes macron sont arrivistes, lobbyistes, suivistes, startupeurs, privés, pas publics CSS+++ ils ne reflètent pas le pays encore moins le travail
Les frondeurs m’ont fait vomir!!!!!!
ils ont essaye tardivement et pas assez de defendre le socialisme et la gauche conte la trahison de hollande
Le PS a besoin de progrès, de modernité mais certainement pas des politiques comme vous, comme les frondeurs, comme Madame Aubry qui restent sur des idées de 1936 et non pas de 2017!!!!!!
le ps en effet a besoin de revenir aux fondamentaux, a jaures et pas de revenir a guizot ni de passer au libéralisme ultra financier
A la gauche du PS, il y a Mélenchon la girouette, l’opportuniste et ses soumis!!!!!
ça vaut mieux que les sociaux libéraux traitres a la valls et cie
Que les frondeurs et tous leurs alliés rejoignent la France Insoumise et laissez le PS aux personnes qui veulent le réformer pour être dans l’ère du temps!!!
le PS est à nous d’ailleurs, les macronistes s’en vont ou vont partir tant mieux
on ne peut pas etre macroniens et socialistes a la fois
Le PS, en l’état, n’aura plus ma voix.
macron la droite ultra l’a déjà eu semble t il
Ce pays en a fait assez pour les salariés. Il n’y a pas que des « patrons cons ou salauds », il en existe aussi beaucoup chez les salariés !!!!
il existe 18 millions des salaries et 1,2 million patrons je sers la majorité
Si le PS en est là ou il en est, ne mettez pas tout sur le dos de Hollande ou de Valls! Balayez devant votre porte, vous et vos amis.
le quinquennat maudit de Hollande a tout fait perdre aux socialistes tout, on reconstruire la gauche et le socialisme contre ça
Le PS est mort et vive les progressistes.
le socialisme est une idée neuve et vivra
Bien Cordialement,
Frédéric ORTEGA.
Envoyé depuis Mail Orange pour Windows
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le coup de gueule de Filoche contre Hollande
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Hollande nous a tout fait perdre!
Le Matin Online – 12 juin 2017
Hollande nous a tout fait perdre! Membre du Parti socialiste, Gérard Filoche a laissé éclater sa colère, devant les caméras de BFMTV, au lendemain d’un 1er tour désastreux pour sa formation politique. 12.06.2017. 0 …
#LÉGISLATIVES2017 Filoche accuse Hollande d’avoir liquidé le Parti socialiste
Publié le 12/06/17 à 21:25
Cette défaite du Parti socialiste au premier tour des élections législatives, c’est de la faute à qui ? « A Hollande », répond du tac au tac Gérard Filoche au journaliste de Quotidien qui lui pose la question.
Membre du bureau national du parti, cette figure de l’aile gauche du PS poursuit, amer : « C’est la politique du quinquennat pendant cinq ans qui a été battue ». Frondeur revendiqué, il assure que lui et les autres frondeurs du PS ont « essayé de défendre le Parti socialiste contre ceux qui l’ont liquidé, contre Hollande qui est l’entier responsable de cette politique ». « C’était sauver la gauche, que de lutter contre Hollande ! », s’emporte-t-il enfin.
Bonjour, M. Filoche.
J’aimerais vous soumettre ici un texte que j’ai découvert sur mon fil facebook et qui m’a particulièrement irrité.
Il parle de la SNCF et son auteur dit souhaiter une privatisation à la suite d’un problème qu’il aurait rencontré.
Le voici :
________________________________________
Bonjour la SNCF,
Titulaire d’un abonnement TGVMAX que je paye 79 euros par mois, j’aimerai vous faire part du fond de ma pensée.
Ayant la possibilité de réserver mon train seulement 1 mois à l’avance , et ayant constaté que aucun train n’est disponible depuis que j’ai eu la chance d’acquérir la carte j’ai décidé de changer de fusil d’épaule.
Stratégie bien pensée, je me connecte aujourd’hui à 00h00 pour avoir accès au week end du 14 Juillet et espérer être présent à l’anniversaire de ma mère ( en fils exemplaire ).
00h02 : je sélectionne le train de 14h37 ! Une chance, vais-je enfin pouvoir profiter de ma carte ? Je confirme, fière d’y être enfin arrivé !
Finalement le message suivant apparaît : « Oups ( J’adore ) la réservation n’a pas fonctionné ! il n’y a plus assez de places à ce prix pour faire voyager tous les passagers ! ( Ah bon ! après seulement deux minutes ! )
Vous me devez un ordinateur, comme vous pouvez vous en doutez celui-ci aurait pu être votre tête et par conséquent n’en est pas sorti indemne.
De plus, vous vous en doutez vous avez rendu très triste maman, et ceci n’a pas de valeur financière vous en conviendrez.
Pour finir j’espère ( Nous espérons puisqu’il semblerait que je ne sois pas le seul ) une ouverture prochaine à la concurrence, qui nous permettra d’obtenir un service de bien meilleur qualité que le votre qui bénéficie depuis des années d’une réputation catastrophique.
Jouer sur un monopole c’est une chose, prendre les gens pour des cons en est une autre, votre stratégie de petites personnes pourries ne fonctionnera pas ad vitam aeternam.
Je vomis sur vos services d’une qualité proche du néant.
Bonne soirée,
____________________________________________
Qu’en pensez-vous ?
L’auteur se fait des illusions si il s’imagine qu’une ouverture à la concurrence arrangera les choses. N’a-t-elle pas déjà lieu, entre la SNCF et RSF ?
Salutations socialistes.
Depuis 5 ans la gauche socialiste et D&S (democratie-socialisme.org la revue mensuelle de la gauche socialiste) on a lutté pied a pied lucidement courageusement, modestement, fermement et pédagogiquement pour éviter cette catastrophe du PS et Hollande a refuse de nous entendre et a coule tout le PS et toute la gauche. Jamais on n’avait vu un bilan aussi maudit d’un quinquennat et pareil désastre. Or on ne s’était pas contenté de critiquer, ni de suggérer, on pouvait faire autrement et nous avions dit pas à pas de façon précise et concrète et en détail, patiemment, sur chaque sujet de façon constructive comment faire autrement ! (relisez mes interventions au BN du PS chaque semaine depuis 5 ans sur mon blog http://www.filoche.net)
la sncf service public est la meilleure voie ferrée du monde admirée partout
mais en vue de la privatisation ils la cassent en tant que service public
Merci pour la réponse rapide.
La prise de conscience ne sera pas simple dans certains esprits.
Fil d’Ariane
Accueil Politique Julien Dray : « Il ne faut pas commencer à paniquer » face à la déroute du PS
POLITIQUE
Julien Dray : « Il ne faut pas commencer à paniquer » face à la déroute du PS
Par Benjamin Rieth / Mardi 13 juin 2017 à 09:04
Julien Dray, conseiller régional d’Île-de-France, était l’invité mardi de Territoires d’Infos sur Public Sénat et Sud Radio. Il est largement revenu sur la situation du Parti socialiste après ses sévères défaites aux élections présidentielles et législatives.
Non, le Parti socialiste n’est pas mort pour Julien Dray. Invité mardi de Territoires d’Infos sur Public Sénat et Sud Radio, le conseiller régional d’Île-de-France a plaidé pour maintenir en vie son parti après les échecs cuisants aux élections présidentielles et législatives. « Dans ces moments là, il ne faut pas commencer à paniquer. J’ai connu des hauts et des bas, j’ai connu des défaites sévères. Je sais que le parti socialiste a traversé des crises, et on en a une à gérer devant nous. Mais ça ne veut pas dire qu’il disparaît », a défendu l’ancien fondateur de SOS Racisme.
François Hollande en partie responsable de la déroute socialiste
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L’ami proche de François Hollande s’en est pris aux députés qui n’ont pas hésité à mettre en cause l’ex-président de la République dans cette déroute historique. « C’est trop facile de dire : ‘c’est la faute aux autres’. Surtout quand ces députés socialistes ont beaucoup œuvré à changer de circonscription pour avoir les meilleurs circonscriptions », a taclé sévèrement Julien Dray. Il a également réagi aux propos de Gérard Filoche, très critique vis-à-vis de François Hollande. « Je pense que Gérard Filoche est un homme excessif. Il a des qualités mais il est excessif. Quand on appartient à une famille politique, on a le soucis de défendre sa famille, pas de la critiquer », a-t-il estimé.
Néanmoins, le conseiller régional admet que François Hollande n’est pas totalement étranger à la crise que traverse le PS. « D’un certain point de vue, il en a tiré lui même les conclusions. Il s’est lui-même mis à l’écart de cette élection. Il savait bien qu’il n’était plus porteur », a-t-il assuré tout en rapportant que l’ancien chef de l’État « considère que son devoir de militant est de réfléchir à la manière d’aider son parti ».
« Il y a un besoin de positif »
Pour l’ancien fondateur de SOS Racisme, le positionnement du Parti socialiste entre Jean-Luc Mélenchon et Emmanuel Macron ne pose pas de réels problèmes. Julien Dray en a d’ailleurs profité pour distribuer les coups. D’abord contre le leader de la France insoumise capable de « belles opérations politiques » mais accusé « d’écraser les autres » et les « mépriser » sans réussir à construire derrière. Ensuite contre le nouveau président de la République et sa politique : « La gauche, c’est défendre un certain modèle de relations sociales à l’intérieur de l’entreprise qui font que le salarié n’est pas un salarié kleenex. La gauche c’est de refuser qu’on augmente la CSG sur les petites retraites alors qu’on baisse l’ISF. La gauche c’est refuser des lois d’exceptions dans des moments difficiles ».
Néanmoins, Julien Dray n’écarte pas le besoin du PS de « se moderniser » avec des « formes de décisions à l’intérieur » qui « doivent bouger » tout en rappelant qu’un parti politique « ce n’est pas des techniques, c’est d’abord une identité, un profil politique ». Ainsi pour le conseiller régional, il va notamment falloir travailler sur l’idée du revenu universel proposée par Benoît Hamon « parce qu’elle a marqué un élément nouveau ».
Interrogé sur le renouveau apporté par Emmanuel Macron, Julien Dray a salué le « besoin de positif » que cette élection a créé. Mais l’abstention aux élections législatives montre également qu’il y a un « doute » selon l’ancien fondateur de SOS Racisme. « Je ne sens pas une fureur se mettre en place partout mais j’entends beaucoup de gens dire ‘il faut lui donner sa chance, il faut que ça marche’. Pour l’instant la côté de popularité d’Emmanuel Macron est indexée sur cette envie », a analysé le conseiller régional avant d’ajouter : « Il faut travailler à ce que cette envie se concrétise. Il va falloir prendre des mesures qui montrent que la cohésion du pays est maintenue, que la place des jeunes est maintenue ».
Gauche, Qui reste en lice au second tour, Quels sont les « éligibles » ?
PCF
* en tête au 1er tour 4
Buffet (93), Dharréville (13), Roussel (59), Chassaigne(63), Lecoq (76)
* second tour :13 candidats
* éligibles 12 candidats éligibles d’après le journal de Autain
Faucillon 92/1
Dufrègne 03/1
Dharéville 13/13
Sansu 18/2
Brunel 59/16
Roussel 59/20 contre le FN
Chassaigne 63/5
Wulfranc 76/3
Jumel 76/6
Lecoq 76/8
Peu 93/1
Buffet 93/4
Sur ces 12, 3 ont de très bonnes chances : Buffet, Chassaigne et celui du Nord contre le FN
FI
*en tête au 1er tour: 2
Mélenchon(13) et Clémentine Autin(93),
Second tour : 63 candidats + 2 français de l’étranger
· éligibles : 11 d’après le journal de Clémentine Autain
Larivé : 09/2
Mélenchon : 4/13
Réssiguier : 34/2
Fiat 54/6 contre le FN
Bunaclis 59/2
Kemoune 75/15
Ruffin 80/1
Amrani contre Valls 91/1
Corbières 93/7
Rubin 93/9
Clem Autain 93/11
A part Clémentine Autain aucun autre candidat n’est sûr de l’emporter
PS
*en tête au 1er tour: 9
2 avec un Macron en face :D Pottier 54/5 et Garot 53/1
7 sans Macron en face
François André 35/3, Marisol Touraine 37/3, Pueyo 61/1 Le Foll 72/4Pau Langevin 75/15 Bouillon 76/5Puponi 95/
· au second tour : 60 candidats en Métropole +2 FR étranger +1 Guadeloupe + 1 réunion +1 Guyanne, +1 Mayotte
· éligibles : 11
Bricourt 02/3 contre FN
Vainqueur Guadeloupe (pas de Macron au 1er tour)
Bareigts Réunion (pas de Macron au 1er tour)
François André 35/3 (pas de Macron au 1er tour)
Marisol Touraine 37/3 (pas de Macron au 1er tour)
Pueyo 61/1 (pas de Macron au 1er tour)
Le Foll 72/ (pas de Macron au 1er tour)
Bouillon 76/5 (pas de Macron au 1er tour)
Puponi 95/ (pas de Macron au 1er tour)
Garot 53/1
D.Pottier 54/5
· ont une petite chance : 13
Saulignac 7/1
Dussopt 7/2
Christine Pires 63/2
Cécile Untermaier 71/4
Karemandi 72/2
G Pau Langevin 75/15
Olivier Faure 77/11
Delphine Batho 79/2
Luc Carvouas 94/9
Et ?
Laurence Dumont 14
Yann Gallut 18
Régis Juanico 42
Christian Paul 58
EELV
1 en tête :Eric Alauzet sans Macron ni PS
Il est le seul éligible
Coronado est le seul présent au 2ème tour Français de l’étranger
PRG
5présents au 2ème tour ,dont 2 en tête sans Macron ni PS
Eligibles 3
Harold Huwart 28/3
Sylvia Pinel 82/2
Annick Girardin Saint Pierre et Miquelon
Le PRG est en soutien total a Macron
Présent ici parce que les statistiques placent le PRG dans le même bloc que PS/EELV/DVG
Divers Gauche (très divers)
En Métropole
5 présents au second tour
3 peuvent gagner
Ollivier Fallorni 17/1
Christian Huttin 59/13 , chevènementiste
Manuel Valls 91/1
Dans les DOM TOM : 12 au second tour, 9 éligibles
En Guadeloupe 3 présents au second tour
2 éligibles
En Martinique 4 présents au second tour
Eligibles : 4 dont 1 du MIM
A la Réunion 3 au second tour
1 éligible :Huguette Bello a siégé dans le groupe PCF
A Wallis :
Napole Polutele éligible
Nouvelle Calédonie :
1 FLNKS éligible
Bonjour M. Filoche,
je crois comprendre que vous envisagez une « recomposition » de la gauche (la gauche de la gauche s’entend) autour ou à côté de JLM.
Totalement persuadé du contraire: Mélenchon n’a eu de cesse que de vouloir faire table rase du PC. Mission « réussie », malheureusement.
Les rancoeurs entre communistes et Fi sont telles que sauf à se faire violence je vois mal un militant du PC ou un sympathisant de ce parti voter Fi dimanche prochain.
La mort et le néant, n’est pas une expression surmontable. Elle fait suite à de très nombreuses diatribes depuis 2014 de Mélenchon envers le Pc et le FdG que JlM a enterré vivant.
Tant qu’à faire table rase, allons y entièrement et évitons de faire élire Mélenchon dont l’objectif est (dixit M soi même) de pourrir la vie de l’AN.
Ce ne pourrait être qu’une formule, mais trop de formules finissent par être totalement nuisibles.
Il n’est pas acceptable de distiller la haine (la mort et le néant pour les cocos … des pauvres types qui n’ont jamais rien fait, ça c’est pour les gens du PS)
Imagine t-on un groupe au sein duquel se trouverait à la fois André Chassaigne et JL Mélenchon ? impensable pour ma part.
Je ne comprends toujours pas la « naïveté » des députés PC qui ont parrainé Mélenchon sachant (depuis le 30 novembre 2016) que la FI allait présenter des candidats PARTOUT. Et donc s’il y a quelqu’un de bien cohérent c’est André Chassaigne qui n’a pas parrainé Mélenchon.
J’ai vécu dans ma circonscription l’éparpillement des voix de gauche PC/FI/EELV/Hamonistes, éparpillement que je mets sur le compte de la FI tant son intransigeance était outrancière.
Alors je ne crois pas aux rabibochages de façade. Si on conserve l’idée d’un nouveau Front De Gauche avec Mélenchon il ne se passera rien de mieux que ce à quoi nous assistons aujourd’hui.
SEPT millions de voix gaspillées pour une dizaine de députés, c’est pitoyable.
Prenons du recul pour envisager un regroupement des forces de gauche SANS … qui vous savez.
Salutations
@4 Risible d’entendre un PS critiquer le manque de rigueur dogmatique du programme de la FI; où est la rigueur programmatique du programme du PS? Nulle part puisque le PS n’a pas de programme; c’est bien là la preuve de l’échec bien tardif de cette stratégie de création d’un grand parti attrape tout; et si je comprends bien; tu veux refaire la même chose! Pourquoi? L’union de la gauche doit pouvoir se passer d’un parti hégémonique qui agrège des sensibilités tellement différentes qu’il est condamné à trahir les unes ou les autres; ce qu’à fait le PS à chaque fois qu’il s’est retrouvé aux affaires. Le problème, c’est que les trahis sont toujours les mêmes. Un parti socialiste; bien sûr, mais avec des tendances socialistes; tu as voulu croire que Valls et Mélenchon pouvaient s’entendre sur un projet commun; c’était une erreur et il serait peut-être bon de le reconnaître pour pouvoir avancer. Si vous n’êtes pas prêts à la clarté, j’espère que nulle autre force de gauche n’acceptera de s’entendre avec vous.
inouï
ici tu parles a D&S
et on a plutôt formé le programme de FI que l’inverse
oui l’union de la gauche doit se passer d’un parti hégémonique, (surtout pas FI) je suis pour une coalition fédération etc et un parti pluraliste democratique avec droit de tendance al proportionnelle
il faut prendre la gauche telle qu’elle est 19 partis 30 orientations en son sein et 8 syndicats et l’unifier en son coeur
Impossible de s’allier avec un chef auto proclamé qui veut être maître juste après dieu sur « sa » gauche : des sectaires, qui haïssent tous, comme lui tout ce qui est de gauche. La preuve ? le but de leur chef est de détruire tout ce qui n’est pas lui.
je hais la dictature par dessus tout. J’aime ma liberté et la démocratie.
encore faudrait-il expliquer à ces gens ce qu’est une démocratie, car ils n’arrivent pas à comprendre que Hamon n’a pas les mêmes pouvoirs que leur chef dans un parti démocratique. Ils ont été biberonné à l’obéissance du chef suprême qui décide de tout SEUL. Aucun bureau, aucun sous chef, aucun contrôle dans ce mouvement, uniquement des soumis à leur chef.
des chefs comme ça on en a connu dans l’Histoire ils ont été de gauche puis le jour où cette gauche ne leur a plus obéi ou n’a pas servie leurs intérêts ils sont passé (… à vous de remplir les blancs) : Doriot, Mussolini, Laval en sont les exemples les plus connus.
RT France : Voyez-vous le score du parti d’Emmanuel Macron aux élections législatives comme un succès ?
Jacques Nikonoff (J. N.) : En termes de nombre de sièges de députés obtenu, si la tendance du premier tour de l’élection se confirme au second, la majorité absolue serait un indéniable succès. Mais en termes de voix, les candidats soutenus par Monsieur Macron ont fait beaucoup moins que ce dernier. Alors que monsieur Macron avait obtenu 8,6 millions de voix au premier tour de la présidentielle et 20,7 millions au second, ses candidats n’ont obtenu que 6,4 millions de voix.
Par ailleurs, les 24,4 millions de citoyens qui se sont abstenus (51,29%, record historique), n’ont jamais souhaité soutenir Macron. Celui-ci, probablement ultra-majoritaire à l’Assemblée nationale, sera très minoritaire dans la société. Cette assemblée manquera de légitimité. Les forces politiques mal représentées au Parlement du fait d’une loi électorale injuste devront s’appuyer sur les mobilisations sociales pour empêcher la politique ultralibérale qui se prépare. Car monsieur Macron est un agent du système de la mondialisation néolibérale, soutenu activement par les milieux dirigeants américains, la chancelière Merkel et l’Union européenne.
RT France : Pensez-vous que ces législatives signent la fin des Républicains et du PS ?
J. N. : On ne sait pas comment les choses vont tourner pour ces deux partis. Qu’ils survivent ou qu’ils disparaissent n’a finalement que peu d’importance, car sur le fond ils partagent les mêmes conceptions socio-économiques, institutionnelles et de politique étrangère. Ils sont néolibéraux (politique qui favorise le capital au détriment du travail), européistes et atlantistes. C’est exactement la ligne stratégique de monsieur Macron. En fait, les résidus qui demeurent des Républicains et du Parti socialiste ne comprennent pour l’essentiel que les membres de différentes factions de l’oligarchie qui n’ont pas été recyclés dans la grande lessiveuse qu’est le mouvement En Marche !
RT France : La nouvelle majorité absolue, composée de personnalités de gauche et de droite, saura-t-elle être cohérente pour gouverner ?
J. N. : Cette nouvelle majorité est composée de trois catégories de personnes. Il y a d’abord les traîtres, des gens qui ont quitté leur ancien parti (Les Républicains et le Parti socialiste) pour celui de monsieur Macron car la gamelle était plus attrayante. Il y a ensuite des membres des classes moyennes supérieures qui sont entrés en politique pour s’amuser, sans avoir la moindre conscience des responsabilités qui seront les leurs s’ils sont élus. Il y a enfin une cohorte de lobbyistes entrés chez monsieur Macron pour défendre dans l’État des intérêts privés qu’ils représentent, ceux de très grandes entreprises. Le sens de l’intérêt général, du dévouement au bien public est totalement absent de l’esprit et de la culture de ces individus. Ils nous préparent une très grave crise politique.
D’après les sondages ou plutôt des analyses socio-économiques :
la majorité des votants càd bien peu de gens, vu que l’immense majorité des Citoyens a préféré s’abstenir, aurait un revenu mensuel au-dessus de 3000 € = une nouvelle formule de vote censitaire.
autre remarque : les ex-votants FI qui avaient l’air tellement motivé se sont abstenus. Peu à peu ils comprennent que leur chef et son mouvement n’est pas ce en quoi ils avaient cru (et j’emploie bien le verbe « CROIRE »)
Éliminé dimanche (12,43 %), le député PS sortant Patrick Mennucci a attendu la réunion avec les militants socialistes de la 4e circonscription, mardi soir, pour donner sa position officielle pour le second tour qui verra s’affronter Jean-Luc Mélenchon (FI) et Corinne Versini (LREM). « Une tendance majoritaire vient de se dégager. Puisque Jean-Luc Mélenchon a demandé le soutien des socialistes, nous lui demandons dans cet entre-deux tours de dépasser l’enfermement dans lequel il s’est lui-même circonscrit et qui a caractérisé sa position depuis de nombreux mois. Il lui appartient désormais d’abattre les murs qu’il a lui-même érigés et qui le conduisent à faire le tri entre les socialistes », précise le texte amendé par les militants PS.
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Bouches-du-Rhône – 4e circo : un duel Mélenchon-Versini à l’ombre de l’abstention
Le député socialiste tend ainsi la main au leader des Insoumis : « Il doit, pour avoir notre soutien, soutenir les candidats socialistes fidèles au PS et à Benoît Hamon. Je l’appelle particulièrement à soutenir clairement Najat Vallaud-Belkacem. » Quant à la candidate de La République en marche, « nous avons examiné les programmes politiques de Mme Versini et si elle veut convaincre quelques-uns de nos électeurs, nous lui conseillons de se prononcer clairement contre la hausse de la CSG et les ordonnances sur le Code du travail ». Un renoncement qui semble peu probable…
Pour le reste, Patrick Mennucci a annoncé mardi à La Provence qu’il renonçait à toute ambition nationale ou municipale. « Je ne serai plus jamais candidat à la députation, affirme-t-il. Et à la Ville de Marseille, je ferai en sorte de mettre les socialistes en bonne position, mais je ne serai plus tête de liste. »
Benoit Hamon a eu subir des trahisons en paquet, le PS aussi par la même occasion, qui grâce à des ralliements à Macron d’un paquet d’élus ont affaibli le PS proche de l’apoplexie. Ces ralliés n’ont pas été condamnés clairement par Cambadélis notre représentant national : ça aussi a affaibli le PS.
J’ai un profond regret que des élus .
je n’ai aucune motivation pour voter au 2ème tour.
et pour finir sur l’optimisme :
le PSOE a vécu une descente similaire, Podemos a cru pouvoir prendre la place, mal lui en a pris le PSOE remonte et Podemos stagne.
Jeremy Corbyn a remonté le parti travailliste en redevenant de gauche. En particulier la jeunesse le suit et a repris confiance en l’avenir.
C’est donc par nos propositions renouvelées sortant du libéralisme que le PS a une opportunité de redevenir un parti « de gauche ».
Mélenchon avait pour ambition affichée de « remplacer le PS ».
Ca aurait été bin qu’il essaye plutôt de « remplacer » le FN, LR ou EM…
D’accord Gérard avec une grande partie de ta réponse.
Mais où sont Ruffin, Friot, Xavier Mathieu, …. avec FI. Je ne vois pas le verticalisme et l’autoritarisme dont tu parles MAIS je ne connais pas les partis politiques comme tu les connais. Je n’ai aucune leçon à donner et pas plus à recevoir… oui ni Dieu Ni maître et pour l’Internationalisme le débat entre besancenot et lordon est passionant.
Le même lordon qui à là-bas si j’y suis appelait à voter Mélenchon.
Les droitistes de l’appareil ont piteusement soutenu E.M.. alors que c’était Hamon qui avait gagné la primaire !
Quand aux partisans « de gauche »… bah celleux que je connais qui votaient généralement PS ont carrément voté E.M dès le premier tour.
Alors qu’ils auraient du soutenir le candidat qui avait été choisi aux primaires.
Tu préfères l’Internationale à la Marseillaise…
moi aussi
Tu préfères l’ouvrier allemand au patron français
moi aussi
tu penses que la sociale peut advenir avec le parti socialiste…. je ne le crois pas, François Ruffin Non plus, les Pinçon Charlot Non plus, Siné mensuel non plus (réécouter siné à ce propos); Bernard Friot non plus… bref ils sont plusieurs à ne pas partager cette position.
Pour la verticalité j’ai plusieurs exemples de petit maires locaux, étiquetés PS, qui se sont comportés comme de bon gros bourgeois, notables bien installés,
faisant vivre un enfer aux employé.E.s de mairies, de bibliothèques, de l’hospital…
et pas du tout les dirigeant.e.s du parti, les « éléphans »… non, non, des maires de villes et communes qui n’ont aucunement l’humanisme que tu défends… et qui est le tien.
Alors pour l’acceptation des divers courants au sein de l’appareil… excise-moi, mais je ne le vois pas. Par contre les ami.E.s qui subisseny les décicions des petits potentats locaux çà je le vois… et ces maires là émane… de LR comme du PS.
La loi El Khomry, B Caseneuve qui rejoint en marche, les défections au sein du parti pour E.M…j’y vois là de nombreux coups portés à notre classe.
porte toi bien
salutation amicale
Bonjour,
à lire (il s’agit en quelque sorte d’une « thèse » sur la FI):
Le blog de Vincent Présumey : » Quelques réflexions sur la France insoumise »
Salutations
Melucci pratique le ni ni. c’est bien pa position du PS. Naviguer entre les deux
non il appelle a voter avec ses mots c’est l’essentiel
Un message de soutien du député PS Pascal Cherki…merci pour ses paroles claires
« Dimanche 18 juin, Le second tour de l’élection législative opposera dans la 7eme circonscription de Seine-Saint-Denis, Alexis Corbiere à une candidate de la République en marche. Je soutiens sans réserve la candidature d’Alexis. Je soutiens Alexis pour des raisons politiques. Alexis est le seul candidat d’une formation de gauche présente au second tour dans la circonscription. Étant partisan du rassemblement des forces de gauche sans exclusive, c’est donc tout logiquement que je soutiens la candidature d’Alexis.
Dans une assemblée qui sera dominée par la République en marche, Il est important d’essayer d’y envoyer des députés de gauche pour porter la voix des jeunes, des salariés et des retraités modestes. Il est important d’avoir des députés qui défendent le droit du travail, le partage des richesses, l’écologie et les libertés publiques. Je fais confiance à Alexis pour mener ces combats.
Je soutiens enfin Alexis parce que je connais et je respecte son parcours. Alexis est un militante courageux et un homme de convictions.
Bon courage Alexis. »
Législatives en Gironde : Noël Mamère choisit la France Insoumise
Par Pierre-Marie Gros, France Bleu Gironde et France Bleu
Lundi 12 juin 2017 à 16:44
Noël Mamère aura été pendant 20 ans le député de la 3ème circonscription de Gironde © Maxppp -
Après l’élimination de la socialiste Naïma Charaï, dont il était le suppléant, Noël Mamère a fait son choix entre les deux candidats encore en lice dans la troisième circonscription de Gironde : il votera au second tour pour le candidat de la France Insoumise.
Deux candidats restent en lice pour le second tour des élections législatives dans la troisième circonscription de Gironde , celle de Bordeaux-Sud-Bégles-Talence Villenave d’Ornon : Marik Fetouh, adjoint au maire d’Alain Juppé à Bordeaux, et candidat de la République en Marche, et Loïc Prudhomme, de la France Insoumise. Le premier a recueilli un peu plus de 33% des suffrages, contre 19% au candidat mélenchoniste. Naïma Charaï, la candidate socialiste , arrivée troisième avec 17,5% des voix, est éliminée.
Noël Mamère, le député sortant de la circonscription; qui était le suppléant de Naïma Charaï pour ce scrutin , a fait son choix : il soutient officiellement le candidat de la France Insoumise.
« Avec ma majorité, nous n’avons pas d’état d’âme : nous pensons que le candidat de la République en Marche ne correspond pas à nos valeurs, et nous souhaitons que les valeurs de gauche soient représentés à l’Assemblée Nationale » – Nöel Mamère, maire de Bègles
Ce soutien intervient alors que les socialistes de la circonscription se déchirent sur la position à adopter pour le second tour. Naïma Charaï a appelé elle aussi à voter pour Loïc Prudhomme, considérant que « les valeurs et les projets portés par la République en marche représentent une menace pour le pays ». Mais dans le même temps, Isabelle Boudineau, première adjoint au maire de Nöel Mamère à Bègles, annonce son ralliement à Marik Fetouh
« Ce n’est pas dans mon rôle d’arbitrer ce qui se passe au sein du Parti Socialiste, mais cette différence est la preuve que ce parti est en grand état de délabrement. Isabelle Boudineau a choisi son camp, elle est en train de s’isoler au sein de la majorité municipale.
Noël Mamère estime que tout cela « ne sera bientôt plus son affaire », puisqu’il va laisser fin juin le fauteuil de maire qu’il occupait depuis 28 ans. Il a déjà désigné son successeur : Clément Rossignol, écologiste, qui est actuellement l’un de ses adjoints.
Philippe Marlière
11 juin, 23:47 ·
Emmanuel Macron est en train de réussir son pari : recomposer le champ politique en deux temps. 1) présidentielle : faire imploser le PS en lui prenant les élu.e.s, cadres et électeur.rice.s compatibles avec une orientation “sociale-libérale” ; 2) législatives : affaiblir durablement Les Républicains, en lui prenant un nombre important de voix et de sièges. Ce double pari est en passe d’être réussi : dans une semaine, il disposera à l’Assemblée de plus de 400 député.e.s (sur 577 au total), soit entre 70% et 80% des sièges (la plus grande majorité pour un seul parti depuis 1958 !). Macron et son parti sont devenus en quelques semaines les acteurs hégémoniques du jeu partisan et institutionnel. Contrairement à ce qu’à prétendu Jean-Luc Mélenchon ce soir, il existe bien une majorité écrasante à la chambre “pour détruire le code du travail, pour cajoler les riches et toute chose du programme du president”. Autant regarder la réalité en face, plutôt que de se bercer d’illusions ou de croire en des sornettes. En sauvant un groupe parlementaire d’une centaine de député.e.s, la droite se donne le temps de se refonder sur une ligne conservatrice qui se démarque de Macron et du FN. La situation à gauche est autrement plus catastrophique. Le PS est mort. Son score (entre 12 et 14% et entre 15 et 40 sièges) qui mélange “frondeur.se.s” et partisan.e.s de Hollande-Valls est sans signification puisque ces deux tendances ne pourront pas siéger ensemble tant leurs divergences sont grandes. En outre, une majorité des électeur.rice.s socialistes ont confirmé leur vote de la présidentielle pour Macron. Des candidat.e.s de droite (Cambadélis) et de gauche (Hamon) ont été battu.e.s. au premier tour, ce qui montre que c’est bien l’étiquette PS qui pose problème, pas l’orientation personnelle de ce/cette candidat.e. La gauche est donc, pour le moment, orpheline d’une force sociale-démocrate de gauche. Elle se créera… avec ou sans le reste de la gauche. Mélenchon a perdu une grande partie des voix de la présidentielle, ce qui confirme que ses 19,6% étaient en partie un vote tactique pour qualifier la gauche au deuxième tour. Il n’a rien fait pour les retenir d’ailleurs en exigeant des forces de gauche qu’elles intègrent la FI. Cette exigence était inacceptable (notamment pour le PCF), et elle a conduit à la désunion et à l’échec de la gauche non-socialiste (13-14% et 10-25 sièges). On peut mesurer l’étendue de l’échec de la stratégie mélenchoniste de la terre brûlée : la gauche est quasiment rayée de la carte parlementaire, et ses quelques élu.e.s ne pourront rien contre la chambre macroniste. Les mouvements sociaux, les luttes syndicales et salariées seront plus utiles que les discours de dirigeants de gauche entêtés sur leurs strategies perdantes. La gauche doit se doter de toute urgence d’une force/movement/parti social.e, écologique, féministe et plurielle qui n’existe pas pour le moment. C’est la condition sine qua non pour le renouveau d’une gauche en lambeaux.
afp
« Du jamais vu », lance Gérard Filoche en guise d’introduction. Figure de l’aile gauche du Parti socialiste, le membre du Bureau politique du PS s’est fendu d’un texte publié par le site d’informations Huffington Post. Il y défend le salaire brut, mis à mal selon lui par le nouveau gouvernement. « En plus des ordonnances pour la casse d’un siècle de droit du travail, Macron, confirmant sa majorité, prépare la plus terrible attaque contre nos salaires de toute l’histoire de notre pays. Du jamais vu. Il va supprimer le salaire brut. Ce n’est pas une politique « du centre » c’est une politique à la Margaret Thatcher qui menace », dénonce Gérard Filoche.
Et l’ancien inspecteur du travail d’énumérer les avantages du salaire brut, opposé au salaire net : « Le salaire net c’est pour payer la force de travail. Le salaire brut c’est pour payer la reproduction de la force de travail. Le salaire net on vit avec au mois le mois. Le salaire brut on vit avec tout au long de la vie. » Lundi, le frondeur s’en était pris au prédécesseur d’Emmanuel Macron, accusant François Hofllande et sa politique menée pendant cinq ans d’être directement responsables de la déroute des socialistes aux législatives. « Hollande nous a tout fait perdre », avait-il déclaré.
Dans sa tribune, Gérard Filoche réclame l’union des socialistes, des communistes des Verts et de la France Insoumise pour le second tour des élections législatives. « Pour avoir un groupe parlementaire rose rouge vert indépendant capable de combattre Macron-Thatcher, j’appelle au désistement systématique et réciproque pour FI, EELV, PCF, et le PS anti Macron. J’appelle encore et toujours à l’unité à gauche décisive qui a fait si cruellement défaut. Mais que ce soit clair: pas une voix de gauche pour celles et ceux qui ont soutenu Macron où se sont réclamés de sa « majorité présidentielle »", conclut Gérard Filoche.
1°) défendre ses droits sert aussi à défendre ses intérêts 2°) on peut aussi défendre des droits même si cela ne concerne pas nos intérêts 3°) si les droits sont universels il n’y a pas de conflits d’intérêt 4°) il y a aussi le cas Ferrand qui défend ses intérêts dans les zones de non droits
1°) défendre ses droits sert aussi à défendre ses intérêts (code du travail) 2°) on peut aussi défendre des droits même si cela ne concerne pas nos intérêts (droit du travail) 3°) si les droits sont universels il n’y a pas de conflits d’intérêt (droit du travail) 4°) il y a aussi le cas Ghosn qui trahit les droits pour défendre ses intérêts (contre le droit du travail)
Bonjour,
suite à votre post #21, Eric Alauzet s’affiche Majorité présidentielle. Il soutiendra donc LREM une fois élu.
Section de Ramonville, ambiance dans la région Toulousaine.
Dimanche dernier presque partout la république en marche était en tete la FI derrière mais un peu loing, le ps rétamé partout, en troisième, en quatrième, voir en cinquième position!
apparemment les militants socialistes, au lieu de tirer les lecons du scutin et d’appeler à voter pour les Fi au second tour, préfèrent faire la mauvaise tete et ne digèrent pas que le remplacement annoncé par Jean-Luc mélenchon et s’orientent vers le vote révolutionnaire de droite ou en marche, ce qui est la meme chose, pas étonnant, on s’en soutait un peu, cette fois ils sont démasqués!
Hier soir il y avait une AG de la section de Ramonville pour prendre une décision pour le second tour, j’ai refusé d’y participer car je maintiens ma position démissionaire d’avant la primaire, je ne regrette rien voici le compte-rendu qui m’a été communiqué pour cet AG, jugez plutot de la subtilité et de l’attitude de tartuffe tout à fait digne d’un membre de la secte solférinienne:
Bonjour,
Nous nous sommes réunis hier soir et nous avons débattu pour définir une position officielle de la section sur le vote du second tour des législatives. Nous avons tout d’abord décider de ne pas faire de déclaration spontanée. La section n’en a pas l’habitude et étant donné les faibles résultats du parti nous pensons que rester discret est la meilleure attitude vis-à-vis de nos électeurs qui sont pour la plupart allé voter pour d’autres candidats que le nôtre. Nous devons pour autant être capables de nous positionner formellement si la question nous est posée. Voici donc la position de la section suite à ce que nous avons décidé.
Il ressort très majoritairement que nous ne voulons pas voter pour la candidate d’ « En marche ». Il ressort également un vrai malaise pour cette majorité d’entre nous lorsqu’il s’agit de se positionner pour le candidat de la France Insoumise et une faible minorité s’est positionné en faveur de ce candidat. La plupart d’entre nous se sont exprimés en faveur d’un vote blanc. Il n’en reste pas moins que nous pensons qu’il est important de montrer que la politique de gauche faite à Ramonville est celle que nous voulons porter et qu’elle combat celle prôner par le gouvernement en place. Voici donc la position officielle, si on vous la demande, de la section de Ramonville :
« La section PS de Ramonville souligne que les orientations politiques proposées par le gouvernement actuel vont à l’encontre de celles qu’elle défend au niveau de la commune, notre position locale est basée sur des valeurs de gauche, de solidarité, de justice sociale et de développement durable. Elle appelle donc dans ce contexte national et local chaque électeur de gauche à voter en conscience dans le respect de ces valeurs »
Nous avons également échangé sur la tenue des bureaux de vote et nous proposerons une liste de personnes volontaires afin de soutenir les présidents pour la majorité issus de la section.
Amicalement,
Laurent.
Comme à l’habitude la section ne se réunit que pour décider qui va tenir les bureaux de votes ou pour le tractage en période électorale, jamais pour élaborer la ligne du parti!
Gageons qu’à partir de dimanche soir ca va etre mort cérébrale jusqu’aux municipales!
bah ce n’est pas plus mal, les multiples rappels pour etre présent ici et là commencaient à me gonfler un petit peu, j’hésitais à prier le secrétaire de section de me retirer de la liste de diffusion …
Peu importe quand il s’agira de renouveler la cotisation, je m’abstiendrai de financer, ce grand parti unitaire démocratique avec droit de tendance (sic) et tout s’arretera…
Précision complémentaire:
Le député sortant sorti au premier tour est Cristophe Borgel, ce grand démocrate qui en 2012 chargé d’arbitrer sur un conflit pour la candidature dans la circonscription s’y est imposé, alors qu’elle était réservée Femme, la candidate leader du courant un monde d’avance en midi-pyrennees en a fait les frais alors que lors du vote militant, elle était arrivée en tete partout sauf à Portet sur Garonne ou il y avait eu fraude!
J’espère que M.Nikonoff a profité de l’interview qu’il a accordé à RT, organe de propagande complotiste financé par le Kremlin pour en véhiculer les éléments de propagande, pour rappeler le classement de la Russie en matière de liberté de la presse.
@GF35 : https://fr.news.yahoo.com/l%C3%A9gislatives-m%C3%A9lenchon-mennucci-ne-donnera-aucune-consigne-vote-151602138.html
Mennucci refuse d’appeler à voter Mélenchon puisque ce dernier a refusé, à raison, d’appeler à voter pour les Belkacem et consorts qui ont tout approuvé du mandat Hollande.
un « désistement » ou » appel a voter » c’est normalement inconditionnel
Chers camarades ,
Voici l’état d’esprit dans lequel je suis après ce premier tour des législatives
Je pense à Pascal Cherki, député élinimné à Paris comme à Patrick Menucci à Marseille
D’autres devraient ne pas être renouvelés ou élus
Les fossoyeurs du Parti socialiste, ces hérauts d’armes d’Emmanuel Macron, ne feront pas main basse sur le prochain congrès !
Pascal Cherki, et tous nos camarades mis en échec, doivent compter sur toutes les vraies forces socialistes qui les entourent tant au niveau local que national.
Quant à celles et ceux qui ont fait un autre choix électoral, ils peuvent adhérer définitivement sans espoir de retour à ce type de nouveau parti politique dont la victoire imprévisible il y a peu se révèle dramatique pour la Gauche. Usons de cette formule : ils sont partis, qu’ils y restent !
Les fossoyeurs du PS, à l’instar de Ségolène R et d’autres élus, devraient s’y sentir mieux (pour Ségolène R, sa position, déclarée sans état d’âme par voix de presse, est beaucoup plus grave en soi car elle fut l’ancienne candidate soutenue par le PS et battue à la Présidentielle.)
Nous le disions avec courtoisie, nous laissions dire alors que deux gauches n’étaient pas réconciliables, c’était la formule journalistique consacrée. Au fond de nous, nous ne reconnaissions cependant pas que le hollandisme et le vallsisme appartenaient à l’héritage de la 2eme Gauche, celle de Rocard. Nous comprenions à contrario qu’ils n’incarnaient en rien la 2eme Gauche sur laquelle ils n’avaient fait qu’une OPA. Ils sont de Droite, cette droite insidieuse. Il ne faut avoir peur de le dire : le PS n’était donc déjà pas leur parti ainsi qu’ils nous l’ont plus ou moins clairement fait savoir. ( On se souvient que Martine Aubry a menacé M. Valls d’exclusion du PS en son temps.)
C’est bel et bien le congrès du PS qui se prépare et je propose en conséquence que l’on continue à travailler dès à présent sans relâche sur plusieurs contributions qui créeront l’unité autour de notre future motion de rassemblement de la Gauche pour réaffirmer notre présence sur l’échiquier national comme dans nos circonscriptions locales arrachées à la volée. Et demain dans nos municipalités.
Dans cette perspective d’un congrès de clarification ce que l’on appelait autrefois la 2eme gauche, devenue hélas la droite du PS incarnée par les Valls et consorts, ne tuera pas Mitterrand une seconde fois.
C’est faux de dire que c’est l’affrontement de la 2eme gauche contre la 1ere Gauche (1ere autrefois incarnée par Mitterrand, Mermaz )
Car, chers camarades, il n’y a plus de 2eme gauche depuis longtemps, sinon celle réinventée par les contempteurs des valeurs morales du parti socialiste qui affichent leurs positions ultra libérales dans lesquelles, du reste, il faut le rappeler, ne se reconnaissait pas Michel Rocard lui-même.
Il ne manquerait plus que celles et ceux qui ont tourné le dos au Parti socialiste, ces hérauts d’armes d’Emmanuel Macron, fassent main basse sur le prochain congrès !
Retrouver les fondamentaux du PS est pourtant un cheminement plus simple que de tenter l’aventure du libéralisme de Gauche qui va droit dans le mur. La plupart des économistes l’ont écrit, Benoît Hamon le disait clairement avec eux, et, malgré la formidable espérance que son programme apportait aux citoyens et aux nouvelles générations, ce sont hélas ces vieux modèles qui s’imposent aujourd’hui pour prendre racine dans la configuration politique du jour.
Ressaisissons-nous à l’intérieur de notre parti et mobilisons les véritables forces de gauche, celles du progrès social, celle de l’économie pour la redistribution !
Jusque dans la rue où nous jetteraient les lois les plus liberticides ?
Dimanche soir, je reverrai en pensée, non sans émotion, Emmanuelli piquer une grosse colère !
Amitiés socialistes
patrick ducome,
militant PS 14° P. Beregovoy
membre bureau national PS-CNE
Je ne suis pas sûr de comprendre le post 46; tu reproche à Mélenchon de ne pas appeler à se soutenir Vallaud Belkacem? C’est pourtant simple; aucun soutien aux libéraux qui ont participé au gouvernement Hollande. Je suis pour une union de la gauche, mais ne demandez pas n’importe quoi.