La superbe revue mensuelle D&S décembre 2018 n°260 (26° année) vient de paraître, la meilleure des revues, théorique, politique pratique, unitaire, de gauche, achetez la abonnez vous, 24 p magnifiques pic.twitter.com/Y0LaIx9RDr

5 Commentaires

  1. maxe alain
    Posted 18 décembre 2018 at 14:47 | Permalien

    Bjr
    Macron est lié aux RICHES US + aux banques + au MEDEF leur donnant ce qu’ils souhaitent (immigrés) car le FRIC (actuellement) dirige le monde ! C’est un FM satanique, tout est dit ! Il finira très mal …. et le regrettera TROP tard. simple non ??

  2. GREG
    Posted 18 décembre 2018 at 21:26 | Permalien

    Après l’arrêt de la cour de cassation du 28 novembre 2018 reconnaissant un lien de subordination entre la plateforme de livraison Take Eat Easy et ses livreurs à vélo, ouvrant ainsi la possibilité d’une requalification de ces livreurs au statut du salariat, les ordonnances anti-travail de Macron ont du plomb dans l’aile. Petit à petit le monde de Macron s’effrite…

    Ci-dessous, un article de BFM sur les ordonnances :

    Le plafonnement des indemnités prud’homales remis en cause?

    Le conseil de prud’hommes de Troyes a accordé des indemnités à des salariés licenciés abusivement sans tenir compte des plafonds fixés par les ordonnances réformant le code du travail. Il juge ces barèmes contraires à la convention de l’organisation internationale du travail.
    Cette décision fera-t-elle jurisprudence?

    La bataille juridique s’engagera-t-elle sur le plafonnement des indemnités prud’homales instauré par les ordonnances de 2017 sur la réforme du code du Travail? On peut le penser au vu du jugement rendu par le Conseil des prud’hommes de Troyes (Aube). Par cinq décisions rendues le 13 décembre, il a jugé que « les barèmes prévus à l’article L 1235-3 du Code du travail sont en contrariété avec la Charte sociale européenne et la convention n° 158 de l’organisation internationale du travail prévoyant le versement d’une indemnité adéquate. »

    S’appuyant sur cet argumentaire juridique, dans un litige opposant un salarié licencié « sans cause réelle ni sérieuse », à son employeur, le conseil des prud’hommes a octroyé une indemnité de neuf mois de salaire à un cadre à l’ancienneté un peu inférieure à trois ans, alors que l’indemnité prévue ne dépassait pas un demi-mois (cas d’une entreprise de moins de 11 salariés). L’employeur ainsi condamné peut, bien entendu, faire appel de la décision.

    Le barème « sécurise plus les fautifs que les victimes »

    Dans son jugement, les prud’hommes troyens estiment que « l’article L1235-3 du Code du travail, en introduisant un plafonnement limitatif des indemnités prud’homales, ne permet pas aux juges d’apprécier les situations individuelles des salariés injustement licenciés dans leur globalité et de réparer de manière juste le préjudice subi. » Puis ils ajoutent: « ces barèmes ne permettent pas d’être dissuasifs pour les employeurs qui souhaiteraient licencier sans cause réelle et sérieuse un salarié. Ils sécurisent davantage les fautifs que les victimes et sont donc inéquitables. »

    La décision du Conseil de Troyes a été saluée par le syndicat des avocats de France (SAF). « C’est la première série de décisions (des prud’hommes) écartant le barème », a commenté Judith Krivine, responsable de la commission sociale du SAF.

    Le Conseil prud’homal du Mans a validé le plafonnement
    « Le Conseil constitutionnel avait validé le barème, mais cela n’empêche pas le juge français ensuite de considérer que la loi n’est pas conforme à des textes conventionnels, c’est-à-dire des textes d’accords ou de traités sur lesquels elle (la France) s’est engagée », a ajouté l’avocate membre de l’ASF.

    Cependant, si la décision du Conseil de Troyes est la première du genre à contester le plafonnement des indemnités prud’homales, d’autres, comme celui du Mans (Sarthe), en ont décidé tout autrement. Pour ce conseil de prud’hommes du Mans, dans une décision rendue cet automne à propos d’une salariée licenciée, les indemnités prévues au barème ont vocation à réparer le préjudice résultant de la seule perte injustifiée de l’emploi.

    La réforme par ordonnances du code du travail de 2017 plafonne les dommages et intérêts versés au salarié en cas de licenciement abusif. Ces plafonds d’indemnisation varient en fonction de l’ancienneté, entre 1 et 20 mois de salaire (entreprises de plus de 11 salariés) et entre un demi-mois et 2,5 mois (10 ans d’ancienneté et au-delà) pour les TPE de moins de 11 salariés. Cet encadrement était une proposition du programme d’Emmanuel Macron lors de sa campagne présidentielle de 2017.
    https://www.bfmtv.com/economie/le-plafonnement-des-indemnites-prud-homales-remis-en-cause-1590947.html

  3. Posted 19 décembre 2018 at 5:01 | Permalien

    L’usine à gaz (mal) montée par Macron pour faire verser par la Caisse d’allocations familiales (sic) 100 euros de « prime » c’est un trucage anti marché pour aider des employeurs d’entreprises bancales qui ne parviennent pas à bien payer ceux qu’elles exploitent ? En fait c’est comme les ex « emplois aidés » mais auprès d’employeurs au lieu de l’être auprès du public ?
    Ils sont curieux dans leurs incohérences Macron et ces gens-là … ils viennent de supprimer les emplois aidés, ils font payer du salaire par les allocations familiales, ils veulent « simplifier » et ils complexifient sans aucun principe, ni au nom du marché, ni du libéralisme, ni du social, ils veulent « libérer le marché » et l’administrent, ils veulent que le travail paie et ils le paient à la place de patrons carrents, ils combattent l’assistanat et se font assistants du patronat, tout cela étant indépendant de la « compétitivité » de la nature, de la qualification, de la branche du travail effectué, puisque soumis à des critères familiaux et non pas professionnels, et sans sens puisque aussi bien des grandes entreprises que des petits ayant des smicards sont impactées !

  4. Posted 19 décembre 2018 at 5:29 | Permalien

    pas mal celui la :

    Sur un certain Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement
    10 DÉC. 2018 PAR JUAN BRANCO BLOG : DITS ET ÉCRITS DE JUAN BRANCO
    L’explosion des rémunérations des cabinet ministériels du gouvernement Philippe ne fait que reproduire un système mis en oeuvre par les aînés du gouvernement, à commencer par Emmanuel Macron.

    Benjamin Griveaux, lorsqu’il était conseiller ministériel, touchait plus de 10 000 euros par mois au cabinet de la « socialiste » Marisol Touraine pour du « conseil politique ». Cela ne suffisant pas, il partît vendre son « influence » à Unibail (« influence », terme que l’élite utilise pour « corruption ») pour 17 000 euros par mois. Sa mission? « S’assurer que personne au ministère des finances ne propose d’abolir une niche fiscale favorable à l’entreprise. » Ses moyens ? Les réseaux que l’Etat lui avait confié.

    Nous étions en 2014.

    Entre temps, il octroyait à son ami Attal, Gabriel, 23 ans, aucune expérience professionnelle ni diplôme du supérieur au compteur, un salaire de 6 000 euros par mois dans le même cabinet, où il le chargeait de recruter chargés de missions – et parlementaires socialistes qui serviraient à faire en sous-main la campagne de Macron.

    Attal était, théoriquement, rémunéré pour servir l’Etat, par le ministère de la santé et des affaires sociales. Il avait pour cela voitures de fonction, secrétaires et chefs cuisiniers à disposition. Il mettrait ces moyens au service de son ambition.

    Au même moment, le cabinet Macron explosait les limites imposées par François Hollande en termes de conseillers. Il n’en comptait pas moins de… six en communication. Stéphane Séjourné, compagnon de Gabriel Attal à qui il avait été présenté par Benjamin Griveaux avant que ce dernier ne le fasse recruter chez Macron, et Ismael Emelien, ancien d’Havas dont la femme y travaillait et qui attribuerait des contrats sans appel d’offre à la multinationale pour des montants supérieurs à 300 000 euros sur les fonds de communication du ministère, y organisaient des événements pléthoriques avec les moyens de l’État pour préparer la campagne d’Emmanuel Macron, séduisaient les parlementaires, bref, préparaient eux aussi au détriment du bien commun l’ascension de leur chef.

    Gabriel Attal, 29 ans, est devenu député, porte-parole du parti puis ministre grâce au soutien de Stéphane Séjourné, qui dirigeait effectivement le comité d’investitures d’En Marche et s’occupait des nominations du groupe LREM à l’Assemblée. Séjourné – qui a masqué sa relation et les renvois d’ascenseur qu’il mettait en place avec Attal sous le prétexte commode de l’impossible outing, alors qu’ils étaient pacsés – a été nommé à l’Elysée comme conseiller politique, tandis qu’Ismaël Emelien – qui y a recruté Ludovic Chaker, lui-même en charge du recrutement d’Alexandre Benalla, en charge de la mise en place d’une « garde prétorienne » que les menus excès de ce dernier ont fait tomber – était nommé conseiller spécial. Toujours rémunérés aux frais de l’Etat.

    Griveaux est lui devenu ministre et porte-parole du gouvernement, avant de faire exploser ses dépenses en cabinet. Tous ont trahi leurs familles politiques d’origine, mais aussi leurs fonctions et cet Etat qui les a rémunérés et propulsés aux plus hautes responsabilités. Alors faut-il vraiment se montrer surpris que le système qui les a propulsés se remette en place maintenant qu’ils sont au pouvoir, qu’ils octroient des salaires délirants à leurs propres conseillers après s’être eux-mêmes servis?

    Faut-il s’étonner que Attal et Griveaux, aux poches bien remplies, soient devenus respectivement le plus jeune ministre de la Ve République et (croit-il), le futur Maire de Paris, le tout sans n’avoir rien démontré ni fait de leur vie, en faisant appel aux services de Mimi Marchand via Ramzy Khiroun, dirigeant de facto de Lagardère Active (et donc patron de facto de Paris Match) pour leur peopolisation ? Faut-il s’étonner qu’ils l’aient fait après que leur « boss », Emmanuel Macron, ait recruté la « papesse du people » sur recommandation de Xavier Niel, son « ami », qui avait lui-même rencontré et utilisé Mimi Marchand alors qu’ils sortaient tous deux de prison, et qui depuis sert et dessert ses amis et ennemis, effaçant les informations qui pourraient les gêner, propulsant les politiques qui pourraient l’aider ? Ce même Xavier Niel dont la fortune dépends de la régulation de l’Etat, qui, en lui retirant des licences, pourrait le réduire à néant comme il l’a rendu milliardaire ? Ce même Xavier Niel qui a investi dans tous les médias parisiens non détenus par des oligarques jusqu’alors, de Mediapart à Le Monde en passant par l’Obs, pour « qu’on ne le fasse pas chier », et pour, avec l’aide de son homme de main Louis Dreyfus, s’assurer que les « bons » journalistes seraient recrutés et virés. Ce même Xavier Niel qui, en janvier 2014, lors d’un déjeuner, m’annonçait l’élection de Macron. Macron qui n’était alors que secrétaire général adjoint de l’Elysée, que personne ne connaissait, et qui ferait bientôt les couvertures de tous les médias de Niel, comme il le ferait de tous ceux de Lagardère.

    Faut-il s’étonner de la série d’articles publiés au coeur de l’été par Paris Match qui dressaient l’hagiographie d’Attal avant sa nomination au gouvernement ? (https://www.parismatch.com/Actu/Politique/Gabriel-Attal-J-ai-monte-le-fan-club-d-Orelsan-a-l-Assemblee-1567267 ; https://www.parismatch.com/Actu/Politique/La-jeune-garde-macroniste-se-ressource-en-Bretagne-et-croise-Jospin-1568893 ; https://www.parismatch.com/Actu/Politique/Gabriel-Attal-Le-jour-ou-je-rencontre-Ingrid-Betancourt-1569221)

    Que Bruno Jeudy, valet de tous les pouvoirs, ait ainsi répondu aux commandes de Khiroun et Marchand ?

    Que Lagardère, qui fut client de Macron chez Rotschild avant de devenir son « ami », là-aussi, propriétaire de Paris Match, l’ait autorisé ?

    Tous ces gens remettent en place à leur échelle le système créé par leur aîné, qui consiste à piller les poches de l’Etat après avoir prétendu se mettre à son service. Rappelons que Macron cumulait les millions à Rotschild à à peine trente ans en y vendant réseaux et connaissances de l’ENA, l’IGF et la commission Attali. Réseaux et connaissances censés lui avoir été attribués pour servir l’État, et non pas se servir soi.

    Tous ces gens, par l’élection, pensent avoir été sanctifiés, et par la complaisance que le petit Paris – qui est au courant de toutes ces manoeuvres, les voit et les couvre en direct – leur a octroyé, légitimes pour à leur tour créer leurs réseaux d’affidés.

    Voilà comme se constituent en France les « miracles » que la presse va bêtement relayer. Voilà comment l’on se retrouve dirigés par des gommeux sans talents, exploitant et pillant les ressources d’Etat au service de leur intérêt.

    Voilà comment un pays s’effondre dans la médiocrité. Spectateurs des mouvements des grands, finançant leurs ascensions et subissant leurs coups et petits mots lorsqu’ils ont besoin de se défouler, il ne nous reste plus qu’à, ébahis par leur maîtrise, les féliciter.

    Ces êtres ne sont pas corrompus. Ils sont la corruption.

    13 novembre 2018

    https://www.lexpress.fr/actualite/politique/cabinet-ministeriel-quand-les-remunerations-s-envolent_2047865.html

  5. Posted 19 décembre 2018 at 6:38 | Permalien

    Bonjour Monsieur Gérard Filoche

    Que faire, les GJ ont raison sur le fond seulement ça part un peu dans tous les sens.
    Aucun intellectuel, philosophe, psychologue, ne nous aides aucune déclaration en ce sens…
    Nous sommes de simple citoyens en colère et la colère n’est pas une bonne conseillère.
    Il faut venir avec une réelle liste de revendication juste et raisonner.
    Trop de douleurs, trop de passion…

    Voilà ma petite liste qui n’est qu’une ébauche probablement un peu naïve.

    Si le cœur vous en dit j’ai besoin de vous pour faire une vrai liste intelligente que je ferais passé dans les groupes de réseaux sociaux, avec ou sans votre nom comme vous le désirer.

    1/ Développer un vrai transport en commun.
    2/ Le salaire Minimum à 1500 € net avec indexation + participation à l’entreprise.
    3/ La pension Minimum à 1300 € Net avec indexation, retraite à 60 ans.
    4/ Les personnes sans emplois 1300 € Net. avec indexation.
    5/ Rétablissement de l’ISF.
    6/ Empêcher l’évasion fiscale. Mais comment ?
    7/ Manger de la nourriture saine et non toxique.
    8/ Interdiction de la publicité (manipulation pour Surconsommer)
    9/ Empêcher l’évasion fiscal, une entreprise sur le sol d’un pays doit payez les taxes dans ce pays.
    10/ Activer des plans pour sauver notre planète, notre humanité de la pollution galopante.
    11/Maîtriser la Surconsommation en consommation modérée. Le seul vrai moyen d’après de sauver notre humanité.

    Quelque soit votre réponse monsieur, je sais que de votre coté vous menez votre combat aussi, courage à vous.
    Bien à vous, belle journée.
    Vincent Dupont

Déposer un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera jamais transmise.

*