Sarkozy est le licencieur en chef comme il s’en vante avec 100 000 postes publics supprimés.

« Sortir de la crise quand le chômage baissera » ? Avec 2000 chômeurs par jour, Sarkozy est le licencieur en chef comme il l’avoue avec 100 000 postes publics supprimés.

Sarkozy fait privatiser la Poste en niant que ce soit le cas tout comme il avait solennellement juré de ne pas privatiser EDF. Menteur, menteur, menteur.

Sarkozy tout ce qu’il a fait en matière de bonus, c’est étaler le versement d’un milliard en un an au lieu de six mois… esbroufe.

Sarkozy, ça ne l’étouffe pas le maintien du bouclier fiscal et la fiscalisation des indemnités accidents du travail, la hausse du forfait hospitalier…

Le fauteur de crise, l’intégriste capitaliste, de a à z, c’est Sarkozy qui pille les pauvres, les taxe, et protège les riches, les traders. Il préfère « taxer la pollution que le capital qui s’en irait ». C’est-à-dire taxer les ménages plutôt que Total. Il cède au chantage des 3000 voleurs si peu patriotes qui ont placé 3 milliards d’euros de nos impôts en Suisse et qu’il ne poursuit pas…

En France, non seulement le service rendu par les banques n’est pas meilleur que la moyenne, mais il est aussi l’un des plus chers, avec un coût annuel moyen de 154 euros. Les services des banques françaises figurent parmi les plus onéreux du classement européen. Le gouvernement ne joue pas le jeu, ni les banqueroutiers qui continuent, opaques, coûteux, incontrôlés. Sarkozy pérore en G vain.

Baisse de la consommation des ménages. Normal. La crise commence ! Les effets placebo de la politique tout en image de Sarkozy sont épuisés, la montée en puissance du chômage est devant nous.

Sarkozy est contre retirer sa plainte dans l’affaire Clearstream, mais a organisé le silence sur l’affaire des rétro-commissions non reversées et qui ont provoqué 11 mort français à Karachi !

Sarkozy qui a construit une base militaire à 220 km des côtes iraniennes, joue, contre Obama, les matamores, fiers-à-bras, donne des leçons de démocratie, lui, qui a pourtant dangereusement allié la France aux barbares des Emirats arabes unis.

Gérard Filoche, mercredi 23 septembre à 20 h 45

14 Commentaires

  1. trickyboy
    Posted 23 septembre 2009 at 22:33 | Permalien

    Bravo Gérard!:!!
    Mais Ségolène Royal a déjà dit tout ça plusieurs fois et depuis longtemps!!!
    Et même tout récemment à Montpellier, à la Fête de la Fraternité!
    Te voilà sur la même longueur d’onde que la camarade Royal!!!

  2. trickyboy
    Posted 23 septembre 2009 at 22:37 | Permalien

    « Moi, ce qui me préoccupe ce n’est pas mon sort personnel, c’est le sentiment de solitude et même d’abandon que ressentent des millions de français. Qu’entendons-nous ? Les questions de vie quotidienne sont là, de plus en plus pressantes : « qu’est-ce qui va se passer si la grippe arrive dans l’école de mon enfant ? Si je perds mon boulot ? Que va devenir ma vie, ma famille, si mon entreprise est menacée, si je tombe malade, si je ne peux pas rembourser mon emprunt, si je n’arrive pas à payer d’études à mon fils ou ma fille, s’ils ne trouvent pas de travail ? »

    Le pouvoir nous abandonne et nous laisse seuls dans l’adversité. Tout un peuple abandonné en quelque sorte par ses dirigeants, voilà la vraie, la dure solitude à laquelle les télés devraient s’intéresser. La fragilité croissante n’épargne personne. On se méfie des gens de pouvoir, perçus comme incapables d’arranger le désordre. « Même quand ils agissent, pas de résultats concrets » entend-on. Alors oui, il faut d’urgence des résultats, ici et maintenant. Tout le reste, c’est du temps perdu et de l’embrouille.

    Les politiques sont perçus comme des marchands de mots. « Taxes » : voilà le mot le plus rejeté, car même habillée en vert c’est une contrainte de plus. « Pourquoi ajouter des contraintes aux contraintes alors que la vie devient plus dure. On a l’impression d’avoir de moins de moins de liberté dans la vie quotidienne, même plus de liberté de la pensée. »

    Combien de témoignages disant : « Je l’avoue : je me replie de plus en plus sur mon pré carré : ma famille, mes proches, les miens quoi. Je suis de gauche et je m’aperçois avec stupéfaction que j’ai du mal avec certains mots, je ne les comprends plus « collectifs », « soutien aux plus défavorisés » ou même « solidarité ».

    Mots qui ébranlent nos certitudes et nos propres mots, usés à force d’être ressassés.

    Osons le dire.

    Solidarité ? Mais solidarité avec qui, quand on reçoit si peu ? On culpabilise les gens, on les traite comme des privilégiés parce qu’ils ont un CDI, comme si c’était un luxe ; on leur dit qu’ils sont de mauvais citoyens parce qu’ils utilisent leur voiture pour aller à un pique nique en famille le dimanche, comme si c’était un crime de lèse planète en vérité le coup d’une taxe. Et pendant ce temps, les vrais privilégiés prospèrent. La connivence, les réseaux de relations les protègent. C’est insupportable. De la même façon que l’on risque de rendre l’écologie difficile en créant des taxes nouvelles, on risque de galvauder ce beau mot de « solidarité », à force de l’invoquer sans mettre à bas les rentes des vrais privilégiés.

    Alors, c’est pour tous et pour toutes que nous devons nous sentir fort de notre force, libre de notre liberté, sereins de notre sérénité.

    Parce que nous avançons ensemble, parce que nous innovons ensemble, parce que nous entreprenons ensemble, parce que nous nous respectons mutuellement, parce que nous rêvons aussi un monde meilleur et que nous mettons, n’en déplaise à certains, toute notre énergie, toute notre force, toute notre créativité au service des autres et au service de la France. »
    Ségolène Royal, Montpellier, 19/09/09

  3. trickyboy
    Posted 23 septembre 2009 at 22:40 | Permalien

    « Dans un monde frappé par une crise morale sans précédent, un pessimisme latent, un « aquabonisme » quotidien, tant la vie est difficile, tant l’horizon semble bouché, dans les rapports familiaux, sociaux , se dégradent, dans un monde au cœur glacé, ou l’individualisme est la seule réponse que l’on peut trouver pour se protéger des coups qui pleuvent, lié à une politique injuste qui accorde tout à ceux qui ont tout et n’accorde rien à ceux qui n’ont déjà pas grand-chose. Liés aussi à une dégradation du lien républicain… dans ce monde qui ressemble de plus en plus à une jungle, où la loi du plus fort remplace peu à peu le progrès social, oui dans ce monde qui s’empoisonne, la fraternité doit agir comme un puissant contre poison.

    Nous sommes meurtris par les suicides à France Télécom. Ils disent une souffrance, personnelle mais aussi peut être sociale, du à un changement brutal de culture de cette entreprise, à ces murs de silence derrière lesquels on s’enferme quand la pression devient trop forte.

    Je n’irai pas plus loin mais je ressens ces vies écourtées par le chagrin comme une alerte, qui doit tous nous rappeler que la fraternité, c’est justement combattre la société de défiance. Fraterniser, c’est établir de nouveau rapport dans l’entreprise, un nouveau dialogue social.

    Nous sommes aussi meurtris par la souffrance des salariés des usines qui ferment, Molex, Continental… Ouvriers humiliés, bafoués… Chez Fabris, on menaçait de faire brûler l’usine et je les comprenais parce qu’à leurs côtés je voyais l’humiliation, la désespérance, être traités moins bien que les machines, liquidés avec la mémoire ouvrière que l’on écrase sans un geste, sans un mot, sans la moindre contrepartie alors que l’argent continue de couler à flots sur des banquiers véreux.

    Il y a 150 ans naissait Jean Jaurès. Jaurès engagé comme un lion dans la lutte pour la justice sociale, Jaurès qui, avec une écriture magistrale, décrit avec tant de force la souffrance ouvrière de la fin du 19ème siècle, évoque « un système de métal qui traite les hommes comme des marchandises ! « Un siècle plus tard, rien de vraiment différent. Toujours un système dont les mâchoires d’acier broie les plus faibles.

    Ce combat de la dignité, c’est notre combat, à nous les socialistes, à nous les progressistes, a nous la gauche ! Le combat pour le respect humain, de la justice sociale. Le courage, écrivait-il, c’est de chercher la vérité et de la dire. Même si elle dérange, même si elle réveille toutes les oppositions les plus violentes.
    Vous, moi, nous sommes les héritiers de ces idées là. Nous sommes les gardiens de la devise de la France « liberté, égalité, fraternité. »

    La France de la Fraternité peut elle accepter cela sans réagir à cette offense faites aux salariés ? La politique est une affaire de décision, d’échelle de valeur et je ne crois pas, moi, que la politique soit impuissante devant l’économique. Je crois au pouvoir du dialogue social, et fraternel. »
    Ségolène Royal, Montpellier, 19/09/09

  4. trickyboy
    Posted 23 septembre 2009 at 22:43 | Permalien

    « Nous voici à la croisée des chemins.

    Dans quelques jours, le G20 se réunira à nouveau. Nous savons déjà que l’hyper communication et que les images qui vont déferler matin midi et soir vont nous démontrer par A +B que ce sommet est un succès , que les dirigeants, mains dans la mains, sont parvenus à moraliser le capital . Mais ou est la morale quand les banques recommencent à verser des bonus indécents ?

    Ou est la décence quand le système redémarre comme si de rien n’était ?

    Ou est la fraternité, l’humanisme, le respect du peuple quand les financiers recommencent à s’engraisser, alors que les PME n’arrive même pas à accéder à un crédit pour pouvoir tenir, que dis je pour pouvoir survivre ?

    Ou est le succès quand tout semble recommencer comme avant, comme si de rien n’était ?

    Nous n’acceptons pas ce « comme si de rien n’était … Dans ce paysage de champ de bataille dévasté par la crise, il est plus que jamais indispensable de s’en remettre à des valeurs et des règles simples, claires, discutées par tous et en premier lieu par les contribuables. Les tenir à distance du débat sur l’avenir du capitalisme, alors même qu’ils ont été les premières victimes de la crise, paraît inconcevable.

    Les règles que je propose sont frappées au coin du bon sens.

    1) Première règle : encadrer strictement les bonus, voire si possible les interdire, car ils sont le signe extérieur d’une société qui se délite et qui, au fond, perd son âme, car ils nous interrogent sur la France, l’Europe et le monde dans lequel nous voulons vivre. Et je vous pose la question : est-ce qu’un trader est plus utile à la société qu’un médecin, qu’un instituteur ou qu’un postier ? Et là encore, il est question de fraternité. Ceux qui veulent défendre le système actuel, sont les mêmes qui raillent l’idée de fraternité. Ils se croient des réalistes, ils se croient des gens sérieux. Mais oublier la fraternité, c’est l’irréalisme même, autrement dit, comme le dit Régis Debray, les phraseurs, ce sont eux. Ce sont eux les têtes en l’air, ceux qui n’ont plus les pieds sur terre, sur la terre des hommes et des femmes sans bonus ni parachute doré.

    2) Deuxième règle : mettre fin aux intolérables collusions, conflits d’intérêts, négligences tacitement acceptées entre ceux qui soi-disant régulent et les banques dont ils sont censés assurer la surveillance. Dans l’ombre, des lobbys puissants s’affairent. Les puissances bancaires ont leurs entrées dans les cercles du pouvoir. Elles demandent l’aide de la puissance publique mais refusent que l’Etat rentre à leur capital ; elles font mine d’accepter des contraintes sur les rémunérations et les bonus, mais ces contraintes n’en sont pas. Le discours s’est brouillé. Les leurres prolifèrent. Tout le monde est pour la régulation. Tout le monde est pour l’Etat. Tout le monde est pour le contrôle. Un savant jeu de rôles est organisé. Le gouvernement doit montrer qu’il agit. Les mots sont durs, les banques sont convoquées, on pousse des cris d’orfraie, c’est la place financière de Paris qu’on assassine. La menace est jugée médiatiquement crédible, le pouvoir est satisfait ; les banques se rassurent, les acteurs ont été bons, le pire est évité. Ces connivences existent en France, mais aussi en Allemagne, au Royaume-Uni ou aux Etats-Unis. Voilà pourquoi l’agenda du G20 est finalement si mince.

    3) Troisième règle enfin : recentrer les banques sur leur véritable métier, la collecte d’épargne et le prêt aux entreprises et aux familles. Ça veut dire interdire aux établissements financiers de proposer autre chose que des produits solides, robustes, bien identifiés et tracés. La simplicité et la robustesse ont ici deux vertus : éviter l’accident intégral que nous avons frôlé l’année dernière ; rendre possible la régulation financière. Aujourd’hui, les banques gèrent les économies de millions de familles et spéculent sur les marchés financiers. Aujourd’hui, les banques françaises, allemandes, britanniques et bien souvent américaines gèrent nos dépôts et jouent avec sur les marchés financiers. Hé bien je vous le dis, c’est avec cette confusion des genres malsaine et dangereuse qu’il faut rompre. On ne devrait pas être à la fois une banque de dépôt pour les familles et les PME et une banque s’occupant d’opérations de marchés. Ce sont deux métiers différents. Il faut donc les séparer. Aux premières la légitimité de l’intervention de l’Etat pour sauver l’épargne des ménages et le financement de l’économie. Aux secondes, celles qui spéculent, la responsabilité entière de leurs actes.

    Voilà mes 3 propositions. Elles sont très simples. Il suffit de le vouloir. Je crois à la force de la politique, je crois à la force de la décision. Je mets donc au défi Nicolas Sarkozy d’accorder enfin un peu ses violons, ses actes à ses paroles, ses belles déclarations d’intention à ses décisions politiques. On ne peut pas théoriser le bien être à Pittsburg et provoquer le mal être à Gandrange, à Fabris, à Molex et Continental. On ne peut pas ouvrir à gauche et gouverner à droite, on ne peut pas moraliser le capitalisme au G20 et protéger les niches et le bouclier fiscal à l’assemblée. Ca n’est tout simplement plus POSSIBLE ! »
    Ségolène Royal, Montpellier, 19/09/09

  5. Sprlmvitch
    Posted 23 septembre 2009 at 22:46 | Permalien

    Merci pour cet article qui me rappelle que le premier employeur c’est l’état !

    Souvenirs! souvenirs! En 1995 François BAYROU était ministre de l’éducation nationale…Septembre 1996: sur 40 000 M.A 28000 ne se voyaient attribuer aucun poste pendant que les titulaires effectuaient
    800000 heures supplémentaires par semaines ( eq. 20000 postes )

    C’est ça l’allié de Ségolène-Valls-…etc…

  6. Sprlmvitch
    Posted 23 septembre 2009 at 22:49 | Permalien

    J’écris trop vite…800 000 heures = 40 000 postes…excusez-moi.

  7. Sprlmvitch
    Posted 23 septembre 2009 at 22:57 | Permalien

    Si TRISTIBOBO mets 1 km de réponse il squatte le blog et biaise le débat.
    Par ailleurs il me parait malsain de transférer DZIR D AVEU NIAIS sur FILOCHE BLOG…Il suffirait de mettre un lien et ceux qui ont encore des illusions sur la GOGOLENE s’y vautreraient, ce qui ne me dérangerait pas!!!

  8. Sprlmvitch
    Posted 24 septembre 2009 at 3:18 | Permalien

    BOF ! C’est un peu épuisant de réfuter 1 à 1 toutes ces arguties…

    PAR EXEMPLE : si l’on est pour le socialisme on ne se bat pas pour engraisser les patrons des PME ( sauf ceux qui travaillent seuls et n’exploitent donc personne ) sans exiger un partage du capital avec les salariés ( minimum 40% = minorité de blocage )- Ségolène accrédite l’idée selon laquelle les entreprises créent des emplois alors que, depuis 1973, le nombre d’emploi productifs ne cesse de diminuer au profit d’emplois de parasites ( 60% des activités tertiaires sont « perverses »).

    Je sais que je m’exprime trop brutalement et que 80% des lecteurs vont avoir du mal à comprendre…Mais la crise qui ne fait que commencer va donner quelques bonnes leçons d’économie politique aux ballourds qui croient que les PME peuvent résoudre la crise générale du mode de production capitaliste .

  9. Posted 24 septembre 2009 at 8:43 | Permalien

    je ne sais même pas comment en lisant le discours de Ségolene Royal, on peut dire que c’est un discours ancré à gauche qui ressemble au notre, il est vague, général, sans aucune mesure concrète, c’est fait exprès, rien sur 35, 60, 1600, 20, rien sur le droit du travail, rien sur la fiscalité, rien sur les services publics, rien sur les entreprises en lutte (certes elles sont citées, citées, citées, mais…pour rien : quel controle sur les licenciements, quelle sanction contre les faux plans sociaux ? ).

    Rien sur France télécom : elle en parle avec des trémolos fort sympathiques mais faut il virer le patron qui a parlé de « mode de suicide », arrêter les restructurations, embaucher, renationaliser ? pour moi oui à ces 4 questions, qu’est ce qu’elle dit, rien, rien, rien.

    Rien sur RFF et le fret en concret, rien sur les postes des enseignants, rien sur les 140 000 emplois supprimés dans la FP. Faut il les rétablir, oui ou non ? Rien sur le droit du travail. Rien contre le chomage partiel massif. Rien sur la réduction du temps de travail. Rien sur la hausse des salaires. Rien sur les retraites qu’un décret le 5 octobre va passer à… 65 ans dans la fonction publique.

    C’est l’art d’évoquer les sujets sans les traiter. Ca donne l’impression d’être concerné, mais ca ne donne pas de réponses, elle a fait cela dans tout’ sa campagne, les gens ne sont pas idiots, alors il lui a manqué 2 millions de voix qu’elle aurait eu en disant 35, 60, 1500, 20…

  10. F
    Posted 24 septembre 2009 at 21:33 | Permalien

    Salauds de pauvres ! Ils ne peuvent donc pas donc pas être rIches comme tout le monde ?

  11. Sprlmvitch
    Posted 25 septembre 2009 at 0:58 | Permalien

    En me relisant je réalise que certains techniciens de FRANCE TELECOM que la brutalité abjecte de notre société veut transformer en « commerciaux »
    ( BEURK ! ) partagent mon point de vue…Plus profond et plus grave que le mien puisqu’un certain nbr d’entre eux ont choisi le suicide…

    Certain(e)s politicien(e)s —DROITE + GAUCHE CAVIAR— chantent les louanges de la VALEUR TRAVAIL et des ENTREPRISES CAPITALISTES PATRIARCHALES ( P.M.E )…
    Ces gens-là me dégoûtent !!!

  12. F
    Posted 25 septembre 2009 at 7:10 | Permalien

    Pas de problème Sprlmvitch. Tous avec nous à la CNT ! BZANCENIAIS-BENETCENOT y compris sera prêt à t’y suivre, et je suis sur qu’il n’y sera pas aussi crétin que tu voudrais qu’il soit !.

  13. marcelo
    Posted 25 septembre 2009 at 23:44 | Permalien

    Si on revenait à Filoche. Lui au moins, il parle vrai. Dommage qu’il n’est pas invité dans des débats à la télé. Cela ferait réflehir un peu les umpistes.

  14. F
    Posted 26 septembre 2009 at 14:55 | Permalien

    les umpistes ne nous intéréssent pas. Virons les d’abord !

One Trackback

  1. Par Twitted by monolecte le 24 septembre 2009 à 11:19

    [...] This post was Twitted by monolecte [...]

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