Maintenant la gauche le social au cœur motion 3 résumé

La Motion 3 est présentée par Emmanuel Maurel, Gérard Filoche,

Nicolas Pagnier, Gaël Brustier, Marie-Noëlle Lienemann et 3000 signataires

Depuis notre victoire des 6 mai et 17 juin, il existe une majorité de gauche sans précédent dans l’histoire de notre pays. Nos concitoyens, les salariés de ce pays, touchés de plein fouet par la crise après 10 ans de politique de droite, attendent beaucoup de nous.

Nous soutenons le gouvernement de François Hollande et nous voulons qu’il réussisse. C’est pourquoi notre motion, soumise au vote de tous les socialistes, est une motion de soutien et certainement pas une motion de censure.

Elle n’est pourtant pas une motion indifférente à l’orientation de la politique de notre gouvernement. En effet, ce sont les mesures politiques que nous prenons et que nous prendrons, qui maintiendront la confiance et la mobilisation du peuple de gauche ou qui le décevront et le pousseront vers l’abstention.

Nous ne voulons pas revivre les défaites de 1986, 1993 et 2002 lorsque, après cinq années de gouvernement de gauche, nos électeurs étaient insatisfaits des demi mesures que nous avions tentées et des demi reculs que nous avions accepté de faire. Il n’y a pas de fatalité qui nous conduise à répéter les mêmes erreurs.

Ce n’est pas sur les mesures sociétales et institutionnelles, généralement bien prises (abolition de la peine de mort, décentralisation, accueil des étrangers, parité, pacs…), que nos électeurs nous ont jugés par trois fois. C’est en raison de l’insuffisance des mesures sociales prises que nous avons été sanctionnés, insuffisance que les bonnes mesures sociétales ne parvenaient pas à faire oublier.

C’est pourquoi nous donnons la priorité aux réponses que notre gouvernement doit apporter aux questions sociales : emploi, salaires, droit du travail, fiscalité, services publics. En gagnant sur le social, nous construirons la confiance, encouragerons la mobilisation, restaurerons le rapport de forces et gagnerons sur les autres questions.

Nous devons enrayer la perte de confiance qui se manifeste dans l’opinion.

Nos propositions :  pour sortir de la crise imposée par la finance

• Sortir de la crise sociale : 9 points de PIB, de plus qu’en 1982, sont prélevés chaque année par les profits aux dépens des salaires, soit 180 milliards d’euros sur 2 000 milliards de PIB, qu’il faut redonner aux salaires, 5 millions de chômeurs, 8 millions de pauvres, 50 % des salariés gagnent moins de 1 560 € par mois, 50 % des ménages gagnent moins de 2 300 €/mois. Les niches fiscales coûtent 110 milliards d’euros par an à l’Etat. Le coût des profits est trop lourd, l’écart des revenus doit être ramené de 1 à 20 (au lieu de 1 à 600 !), dans le secteur privé comme dans le secteur public. Ce n’est pas le coût du travail qui crée le chômage, ce sont les horaires trop lourds et le démantèlement du Code du travail. Dans les pays scandinaves, les salaires sont plus élevés qu’en France et le chômage plus bas. En Espagne, les salaires sont plus faibles alors que le chômage est beaucoup plus haut et encore aggravé par l’austérité. Augmentons les salaires !

• Sortir de la crise économique : le déficit qui doit être d’abord résorbé est celui de la balance commerciale, des emplois industriels, des capacités productives. En revanche, l’objectif de réduction des déficits publics à 3 % du PIB dès 2013 n’est pas prioritaire dans un contexte de quasi récession. Les services publics doivent garantir les droits et satisfaire les besoins sociaux prioritaires, notamment l’école et la santé. L’Etat doit en donner les moyens par une fiscalité progressive qui, en outre, réduira d’autant les déficits publics (au dessus du revenu moyen, la fiscalité est actuellement dégressive et, rien que par la TVA, tous les salariés paient en impôt 2 mois et demi de leur salaire annuel).

• Faire le choix de la démocratie pour construire l’Europe : nous refusons le « pacte budgétaire européen » (le TSCG de Merkozy), qui ne respecte pas la souveraineté des peuples et impose son dogme du déficit zéro, porteur d’austérité pour les salariés, de sanctions pour les pays en difficulté et de récession généralisée.

• Renégocier d’urgence les traités européens (contrôle des capitaux, harmonisation fiscale, financement direct des Etats par la Banque centrale européenne (BCE), renégociation des dettes indignes, convergence vers le haut des normes sociales, politiques tarifaires aux frontières…)

• Construire une autre mondialisation qui impose des normes sociales et environnementales pour en finir avec le libre-échange généralisé, qui édicte de nouvelles règles internationales (taxation de tous les flux financiers, soumission de la finance à l’économie réelle) et qui garantisse la souveraineté alimentaire de tous les peuples du monde.

. Pour redistribuer les richesses

Afin de renforcer la confiance des électeurs de gauche, nous devons nous attaquer sans délai à la question du chômage et des inégalités.

Répondre à l’urgence sociale :

• il ne faut pas attendre la relance, promise à partir de 2014, pour augmenter les salaires, mais il faut les augmenter pour permettre la relance ;

• il faut garantir l’égalité salariale entre femmes et hommes ;

• statuer sur tous les salaires : retraites dont les droits et prestations devront être redéfinis  en négociation avec les syndicats ; minima sociaux garantis ; allocation autonomie universelle et individualisée pour les jeunes en formation ; retraite à 60 ans sans décote

• poursuivre la réduction de la durée réelle de travail au plus près de la durée légale des 35 heures pour résorber le chômage ;

• reconstruire le code du travail, réécrit unilatéralement par la droite.

Engager la révolution fiscale promise : la crise ne pèse pas sur les 10 % les plus riches qui possèdent 50 % du patrimoine.

• Impôt sur le revenu : Il est temps d’élargir l’assiette,  de réduire le nombre et le coût des niches fiscales, de renforcer sa progressivité.

• Patrimoine, fortune : il faut imposer les revenus du capital et de la rente au même niveau que le travail.

• Intégration européenne fiscale : stopper la concurrence fiscale et sociale (taux plafond de TVA ; taux plancher d’imposition des sociétés ; lutte renforcée contre l’évasion et la fraude fiscale).

. Pour imposer des normes écologiques

La transition énergétique est un impératif parce que le pillage des ressources naturelles, la destruction des écosystèmes et de la biodiversité mettent l’humanité en péril.

La préservation de nos biens communs passe notamment par la création d’un pôle public de l’énergie ; la sortie progressive du nucléaire sans mise en péril de notre indépendance énergétique doit être réaffirmée.

. Pour un Etat stratège

La stratégie industrielle  offensive  présentée pendant la campagne présidentielle doit être mise en œuvre sans retard, mais il ne faut rien s’interdire : réintroduction du capital public pour protéger les secteurs d’activité essentiels, droit de préférence accordé aux salariés pour reprendre les entreprises…

L’arrêt de la RGPP reste à réaliser et une nouvelle politique de gestion des services publics est à instaurer.

Au-delà des priorités accordées à l’école, la police et la justice, les services publics doivent être étendus, leur universalité et leur laïcité respectées car de nombreux droits sociaux restent en grande partie virtuels : logement, petite enfance, dépendance, santé…

. Pour en finir avec les dérives de la Ve République

Le fonctionnement de la Ve République heurte les consciences de gauche. La concentration des pouvoirs gangrène la démocratie avec l’abaissement du Parlement et une personnalisation croissante de la vie politique.

Notre majorité à l’Assemblée et au Sénat nous donne les moyens du rééquilibrage des pouvoirs (adoption d’un mode de scrutin mixte, majoritaire et proportionnel, conciliant stabilité et représentativité ; application stricte et urgente du non-cumul des mandats…).

. Pour rassembler la gauche et rénover notre parti

L’union de toute la gauche est difficile mais nécessaire pour éviter l’éclatement entre un « pôle de radicalité » contestataire et un « un pôle de centre gauche »  hégémonique, mais confiné dans la gestion.

Nous proposons de créer un comité permanent des partis de gauche avec des intergroupes parlementaires permanents.

Soyons, nous militants socialistes, des acteurs du changement, engagés dans la mobilisation du peuple de gauche.

Chères et chers camarades, le jeudi 11 octobre choisissez

« Maintenant la gauche, le social au cœur »

une motion réaliste proposant des mesures indispensables :

qui se distingue de la motion 4 par des propositions réalisables dans les 5 ans,

qui se distingue de la motion 2 en parlant du parti mais surtout du gouvernement,

qui se distingue des motions 1 & 5 en mettant le social au cœur de notre politique.

Signataires de la Motion 3 dans les Pyrénées-Atlantiques :

Chérif Amrouche, M-Christine Aragon (CG), Robert Baradat, Michelle Bauce (AM), J-Claude Benoît (SS), Michel Bernadicou (SS), Anne Bernard (CR), Christian Beyrière, Gérard Boudet, Bertrand Bousseau, Pierre Camgrand, J-Michel Cazalet, Michel Chantre (VP-CG), Francis Chauvelier, Thomas Chavigné, Tunjaï Cilgi, Ottavio Cilluffo, Aurélie Couret, Françoise Darrieumerlou, Adeline Deshayes, Claude Donatoni-Elissalde, Georges Dougnac (SS), Elisabeth Dubois-Frère, J-Jack Dufay, Nadine Dulau, Guy Dupuy, Joëlle Dupuy (SS), Alain Elissalde, J-Michel Esterle, Micheline Fornaciari, Natalie Francq (VP-CG), Eric Frasca, Bruno Giacalone, Georges Girin, J-Claude Gracia, Georges Hubert, Arnaud Jacottin (SS), Gérard Jaminion, Martine Jaminion, J- Louis Labatut, Catherine Lalanne (AM), Fadila Lalanne, J-Yves Lalanne (maire, VP-CA), Nicolas Lescaut, Bertrand Loudet, Christine Marlat-Bernadicou, Elisabeth Médard (maire), Michel Minvielle (VP-CC), J-François Montaut, J-Philippe Nassieu, Arnaud Ondars, France Ostrowiecki, Henri Pépin, Christian Petchot-Bacqué (VP-CG, P-CC), J-Louis Plaisance, Robert Pocino-Venin, Danielle Poinson, Cristel Pordoy, Annie Poydessus, Carlos Ramalho, Hervé Rambaut, Franck Rémazeilles, Vincent Revel, André Ricarrère, Josette Ricarrère, Caroline Rigal, Laurent Roux, Pierre Ruscassie, Laurence Saint-Martin, Corinne Sarraillé, Marion Sauvanier, Gilles Tesson, Jacques Tinchon, David Valère, Marilys Van Daele (AM), Dominique Vénéra, Thierry Venin, Francis Vieira, Michèle Vignot, Stéphane Virto (maire).

27 Commentaires

  1. Gilbert RATS
    Posted 28 septembre 2012 at 15:44 | Permalien

    Houlà !

    Citation :
    « Nous soutenons le gouvernement de François Hollande et nous voulons qu’il réussisse »

    Ça, en premier lieu, je ne l’ai pas dépassé dans la lecture de l’article.

    Le gouvernement a beau être socialiste, la méthode ayant beau être différente de Sarkoland, Holland ne fera pas beaucoup différent et le Kapital continuera à imposer sa loi sans écouter le citoyen de base qui continuera a banquer aux banksters et connexes.

    Tant que le financier dictera ce qu’il faut faire au politique, tout ira mal !

    Tant que le politique se fichera de l’avis du citoyen, tout ira mal !

    Tant que le citoyen préfèrera attendre le gros lot de l’Euro Million plutôt que dire que l’Union Européenne n’est qu’une entente capitalistique et financière (Ahem ! Les Marchés…) au lieu d’une fédération de peuples pour les peuples, tout ira mal !

    C’est terminé, je n’ai plus confiance en personne, surtout financier, politique et citoyen de base.

  2. lionel mutzenberg
    Posted 29 septembre 2012 at 16:35 | Permalien

    Attention mon camarade; a se retrouver avec l’UMP, Fillon et Copé en tête, pour appeler à voter un traité dont le premier ministre vient de reconnaître qu’il n’avait pas été renégocier, et que donc, ce que ne cesse de répéter la clique de Sarkozy, à savoir, c’est leur traité, pourrait avoir de fâcheuses conséquences.
    Si jamais tes explications , celles du Front de Gauche, celles de nombreux économistes, arrivent à passer dans l’opinion publique, cela ne sera plus fâcheux, mais catastrophique, pour la gauche de gouvernement.
    Cinq années avec une opinion publique négative, cela ne s’est jamais vu. Si, en plus, l’économique et le sociale continue de s’écrouler, vous ouvrez, vous le parti socialiste, la porte à des réactions de rejets d’une extrème gravité, ce qu’attend el FN, et une pati de la droite, avec gourmandise.

  3. Posted 30 septembre 2012 at 12:42 | Permalien

    Excusez-moi si je n’ai pas compris, il y a longtemps que je n’étais pas venu sur ce blog.
    La motion est destinée à un congrès qui aura lieu fin octobre… Entre-temps le parlement aura voté pour ou contre le TSCG. Ce sera « pour » évidemment, à moins d’un miracle (qui viendrait de la rue.. de Paris aujourd’hui 30 septembre).
    Et donc cette motion n’aura plus aucun sens. Le gouvernement, même s’il en avait l’intention, ne pourra pas mener une politique de gauche. Je me trompe?

  4. Posted 30 septembre 2012 at 14:47 | Permalien

    viens plus souvent, tu suivras mieux,
    accepte qu’on ait pensé à cela avant toi, et que notre motion ne soit pas centrée sur le TSCG, (bien qu’elle dise ce qu’il faut à son sujet) mais sur les questions sociales, salaires, droit du travail redistribution des richesses, fiscalité… et conter le chantage a la dette

  5. Posted 30 septembre 2012 at 14:49 | Permalien

    cinq années avec une opinion publique négative cela ne s’est jamais vu, tu as raison, je le dis tous les soirs
    on m’a dit, dans le cher « on donnera les bonbons plus tard, en ce moment on les fabrique » j’ai répondu en gros qu’il valait mieux distribuer d’abord ceux qui existent puis les autres au fur et a mesure de leur fabrication

  6. André
    Posted 30 septembre 2012 at 18:53 | Permalien

    Mais comme derrière ce traité européen, il y a une régression sociale sans précédent, les questions sociales salariales seront impaquetées par ce traité. Alors cette motion toujours du grand foutage de gueule.
    En plus elle ne sera appuyée que par une petite minorité au PS.
    Il fait bien continuer à amuser la galerie et faire croire que le PS va changer.

  7. AF30
    Posted 30 septembre 2012 at 19:56 | Permalien

    ‘ il existe une majorité de gauche sans précédent dans l’histoire de notre pays ‘.
    Quand j’ai lu ça j’ai arrêté La lecture de ton billet
    Je te dis pas en plus comme le moral est dans les chaussettes.

  8. Posted 30 septembre 2012 at 20:44 | Permalien

    J’avais donc compris, hélas !

  9. Posted 1 octobre 2012 at 8:22 | Permalien

    fallait continuer a lire au lieu de s’arreter sans reflechir, un brin de paresse ?

  10. Posted 1 octobre 2012 at 8:24 | Permalien

    oui, bien sur, les congres, la démocratie, la gauche, ça ne vous parle pas… seulement votre boutique et le bout de vos chaussures mais pas l’unité, hein ?

  11. GM19
    Posted 1 octobre 2012 at 10:22 | Permalien

    L’unité, elle était dans la rue hier (60 organisations de gauche appelaient, une paille !)

    L’unité, Gérard en parle beaucoup…
    Croyant mais pas pratiquant ?

  12. Madeleine du FdG Vaulx
    Posted 1 octobre 2012 at 17:07 | Permalien

    Pour les signataires de la motion 3, le TSCG est un « détail »…

  13. Lyonnais
    Posted 2 octobre 2012 at 8:03 | Permalien

    Il faudrait nous expliquer comment on peut tenir des chroniques très engagées et passionnantes dans Siné-Hebdo et l’Humanité Dimanche et siégé dans le même parti que DSK, Lamy, Valls, Cahuzac, Mosconi, Lang etc..etc…

  14. Posted 2 octobre 2012 at 20:11 | Permalien

    « Nous ne voulons pas revivre les défaites de 1986, 1993 et 2002 lorsque, après cinq années de gouvernement de gauche, nos électeurs étaient insatisfaits des demi mesures que nous avions tentées et des demi reculs que nous avions accepté de faire. »

    En l’occurence, c’est désormais bien plus grave puisqu’il s’agit de respecter le déficit 3% donc de mener une politique d’austérité intégrale dès le début…
    Il faut ouvrir les yeux Gérard et rejoindre la mobilisation plutôt que de répéter que tu veux « aider » Hollande,
    le mot « aider » que tu emploie régulièrement n’a aucun sens dans le contexte de lutte contre l’austérité – combat dans lequel Hollande s’est malheureusement rangé du mauvais côté puisqu’il a lui même relayé le chantage d’une exclusion de la Grèce de la zone euro s’il votait pour Syriza…

  15. Posted 3 octobre 2012 at 0:00 | Permalien

    lis notre motion, la motion 3

  16. Posted 3 octobre 2012 at 0:00 | Permalien

    n’importe quoi

  17. Posted 3 octobre 2012 at 9:39 | Permalien

    dans le meme parti que 100 000 adheretns, 3 millions de sympathisants et 20 millions d’electeurs de gauche, oui

  18. Posted 3 octobre 2012 at 9:40 | Permalien

    l’unité c’est celle de toute la gauche, pas d’une partie

  19. Posted 3 octobre 2012 at 9:41 | Permalien

    ah iui, il n’y a pas une majorité de gauche sans précédent, et qui dispose des pleins pouvoirs ? ce n’est pas vrai ?

  20. Posted 3 octobre 2012 at 10:26 | Permalien

    @gerard,
    je ne vois pas de réponse à mon commentaire

  21. Posted 3 octobre 2012 at 11:15 | Permalien

    Jeudi 20 septembre : Epinal, LDH, réunion sur la « dette indigne » + socialiste motion 3
    Jeudi 22 septembre : Chateau Thierry, fête de la rose
    Mercredi 26 septembre : AG fédérale congrès PS à Bourges (18)
    Jeudi 27 septembre : AG fédérale congrès PS à Toulouse (31)
    Vendredi 28 : AG fédérale à Lons le Saunier Jura (39)
    Samedi 29 septembre : AG fédérale congrès PS Finistère à Landerneau (29)
    Lundi 1er octobre : AG fédérale congrès PS à Barbaira Aude (11)
    Mercredi 3 octobre : AG fédérale congrès PS à Annonay (07)
    Jeudi 4 octobre : Réunion droit du travail, mairie, puis avec socialistes motion 3 St Chamond (42)
    Vendredi 5 octobre : AG fédérale congres PS à Valence (26)
    Samedi 6 octobre : AG fédérale congres PS à Nevers (58)
    Lundi 8 octobre : AG fédérale congrès PS à Avignon (84)
    Mardi 9 octobre : AG fédérale congrès PS à Rodez (12)
    Mercredi 10 octobre : AG fédérale congrès PS à Pont Audemer (27)
    
 Jeudi 11 octobre : vote des militants socialistes pour le congrès
    
Jeudi 18 octobre : vote pour le 1er secrétaire du PS
    
Vendredi 26 à dimanche 28 octobre : Congrès du Parti socialiste Toulouse
    Vendredi 23 novembre : réunion avec Gérard Filoche AEFTI Montreuil
    Mardi 27 novembre : réunion Gérard Filoche droit du travail Orléans 45
    Mercredi et jeudi 5 et 6 novembre : Colloque université d’Evry
    Samedi et dimanche 8 décembre : colloque + fête à Paris 200e numéro de D&S

    PS : il a des milliers de réunions de sections et une centaine d’AG fédérales, nous les couvrons toutes, la liste ci dessus est celle ou je participe directement

  22. Posted 3 octobre 2012 at 11:17 | Permalien

    rien n’est joué encore, ce gouvernement est sur une ligne de crête (voir éditorial de D&S 197 sept) entre pressions de la finance et pressions du salariat
    il y a des signes contradictoires, et pas univoques. Les 3 % c’est trés mauvais mais ça peut encore sauter dans les faits.
    oui, ce gouvernement est NOTRE gouvernement, a tous, issu des 6 mai et 17 juin, on veut qu’il reussisse car si ce n’est pas le cas, il n’y a pas d’alternative, c’est l’UMP et le FN qui reviennent (pas vous, vous serez laminés en même temps que nous tous)
    débats et luttes commencent
    on le mesure tous les soirs dans un lieu privilégié, les AG fédérales du parti, ça bouge,
    nous ne sommes plus « isolés » mais assurés d’un score à deux chiffres

  23. Posted 3 octobre 2012 at 13:59 | Permalien

    c’est 3% pour 2013 et 0% dès 2016 – là dessus le gouvernement fait du zelle par rapport au traité lui même et à Merkel.

    dans de quelle condition pourquoi continuer à prendre les vessies pour des lanternes,

    « pas vous, vous serez laminés en même temps que nous tous »

    et alors pourquoi faire sombrer toute la gauche avec l’austérité que veut mener Hollande???

  24. El boudebooz
    Posted 4 octobre 2012 at 10:56 | Permalien

    c’est sarko qui doit bien se marrer … filloche, entre ce que tu écris ici et ce que font tes potes tu ne te sens pas un peu schizo?

  25. Drieux la cagne sur mer
    Posted 5 octobre 2012 at 9:26 | Permalien

    40 milliards donnés aux patrons et piqués dans la poche des salariés ! bravo la gauche !

    méluche avait raison !

  26. DEMOCRATIE
    Posted 19 novembre 2012 at 11:38 | Permalien

    Bonjour,

    Je souhaite rentrer en contact avec les représentants de la motion 3 sur Bordeaux et la CUB. Merci de me répondre.

    A bientôt.

  27. Posted 19 novembre 2012 at 12:21 | Permalien

    avec plaisir envoyez un mel avec vos coordonnées a gerard.filoche@gmail.com

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