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1er janvier 2014 : hausse de la TVA ! et malheureusement pas du Smic !

Alors que toute la crise est due aux trop bas salaires, c’est une erreur monumentale ! Les banquiers attisent les spéculations sur les crédits, les actionnaires augmentent leurs marges, les grands patrons se goinfrent mais les salaires de ceux qui produisent pourtant les richesses sont bloqués ! Le budget 2014 est d’une austérité sans précédent, il resserre la vis partout, il va aggraver la récession qui augmentera la dette… qui aggravera le chômage, ils attaqueront les indemnités chômage, après avoir baissé les pensions de retraite, la consommation reculera encore en une spirale infernale. On va dans le mur.

A la gauche socialiste, nous disons : « stop » : la gauche doit faire une politique de gauche. Une réforme fiscale de gauche ! Une hausse massive des salaires, une redistribution des richesses pour la relance de toute l’économie de façon durable!

Un nouveau bouquet de lois sur le travail en janvier 2014 : 10 sujets d’inquiétudes

Entre l’ANI du 11 janvier devenu loi le 14 juin, et la loi contre les retraites du 18 décembre, le bilan social 2013 laisse de lourds doutes. Mais on voit se dessiner un ensemble de nouvelles lois sur le travail en début d’année 2014. On dirait que personne n’a encore pris la mesure de ce qui se trame. Pourtant les sujets s‘accumulent et quand on les recense, cela pourrait être autant de sujets de mécontentements – inquiétants :

La nécessaire relance par les salaires, vote motion 3, le 11 octobre

La baisse de la part salariale est à l’origine de la crise de 2007-2008. Il ne suffit pas de diminuer le coût du travail, il faut aussi vendre. Et pour vendre, on peut certes, augmenter la part des produits de luxe (voir l’excellente santé de LVMH) et l’augmentation virtuelle des cours boursiers (qui poussent leurs détenteurs à s’endetter avec leurs titres comme garantie) jusqu’au jour où les spéculateurs s’aperçoivent que ce n’était que virtuel et que les cours s’effondrent (le marchés boursiers des nouvelles technologies en 2000, l’ensemble des bourses dans le monde en 2007-2008). Il faut même, en fin de compte, essayer de prêter aux catégories qui ne pourront pas rembourser et on se retrouve devant la crise des « subprime ».

Nous sommes exactement dans le même cas de figure et toute diminution de la part des salaires nous amènerait dans une crise bien pire que celle de 2007-2008. La relance salariale est une nécessité sociale et économique.

Maintenant la gauche le social au cœur motion 3 résumé

L’union de toute la gauche est difficile mais nécessaire pour éviter l’éclatement entre un « pôle de radicalité » contestataire et un « un pôle de centre gauche » hégémonique, mais confiné dans la gestion.

Nous proposons de créer un comité permanent des partis de gauche avec des intergroupes parlementaires permanents.

Soyons, nous militants socialistes, des acteurs du changement, engagés dans la mobilisation du peuple de gauche.

Nous déposerons une motion sur les questions sociales au débat du congrès du PS, on y parlera des salaires et des salariés

Le 2 septembre nous sommes à J – 9.

Une semaine pour régler les questions soulevées ici.

Nous nous adressons à tous les militants socialistes pour qu’ils s’engagent aussi dans cette bataille et nous aident. Nous sommes connus pour notre sérieux militant, notre loyauté aussi, on fait ce qu’on dit, on dit ce qu’on fait, nous souhaitons avoir des réponses, vite, nous souhaitons unifier le meilleur de chaque contribution, et faire une excellente motion de combat, de fond, « le social au cœur ».

« Nuages de mots-clefs » : Salaires, salariés, travail

Il ne reste donc à réaliser un accord politique pour rédiger dans de bonnes conditions collectives, tous ensemble une motion efficace, concrète, mobilisatrice : dans les mois et années qui viennent, de très grands événements vont survenir. Finance, dette, euro, luttes sociales. Soit on s’appuie sur les salariés pour faire face, soit on cède aux énormes pressions dominantes. Salaires, salariés, travail, voilà les mots-clefs.

signez maintenant la contribution : « Pour réussir le changement, redistribuer les richesses ».

Comme l’a si bien dit François Hollande, le 6 mai à la Bastille : « Ce sont des années, des années de blessures, de brûlures qu’il faut réparer ».
Tandis que l’Europe tout entière est menacée d’explosion par la crise de la « dette » et par la politique néolibérale d’Angela Merkel, notre pays lui-même est tenaillé par de terribles urgences sociales après dix ans de politique de droite.

Chronique Humanité Dimanche n°90 : augmenter le coût du travail !

Dites-le partout qu’il faut augmenter le « coût du travail », pas le baisser. Qu’il faut davantage de dépenses publiques, pas moins. En 1945, on avait 290 points de dette par rapport au PIB, on a dépensé plus, fait la Sécu, la retraite, des CE…

Pour une véritable et forte hausse du SMIC

l ne faut pas attendre la relance pour augmenter les salaires, mais il faut les augmenter pour permettre la relance.

Une grande « conférence sur les salaires » implique une vraie négociation. Pas seulement un « dialogue social ». Ça, « le dialogue » Sarkozy savait faire, il recevait, n’écoutait pas et imposait sa volonté. Une « négociation » est soumise à des règles ou ceux qui sont autour de la table, font s’entendent et font des pas les uns vers les autres.

La revendication de la CGT est de 1700 euros brut, celle de FO est de « 80 % du salaire médian », ce qui ferait un salaire minimum net de 1 340 euros, au lieu des quelque 1 100 euros actuels. D’autres organisations syndicales (FSU, SUD, UNSA) ne fixent pas précisément, mais exigent une hausse substantielle. Seule la direction de la CFDT semble « approuver » cette faible hausse gouvernementale (mais ses adhérents ? )

« We want sex equality » vendredi 17 février à Orléans

C’est une véritable révolution des consciences qui doit encore être menée. Je crois même que la cause des femmes a reculé depuis quelques temps et l’absence de jeunes femmes dans la salle n’est pas de nature à me réconforter pour l’avenir. Je quittai les lieux un peu désemparé par ce que je venais de voir et surtout d’entendre. Il y a du pain sur la planche !