Le 22 janvier, voter pour Arnaud Montebourg, pour battre Manuel Valls, son 49 3, son CICE, sa loi El Khomri, ses 1,3 million de chômeurs de plus

Dans 8 jours aura lieu le premier tour de la primaire. J’appelle à une participation massive pour signifier à Manuel Valls le rejet de ses politiques, le rejet de son bilan –partagé avec Macron.

J’ai été empêché de participation. J’aurai défendu les petits salaires et les petites retraites. 1800,  60, 32, 20, .. J’aurais appelé à l’abrogation de la loi El Khomri et à mettre le social au cœur. J’aurais appelé au rassemblement de toute la gauche pour battre Fillon et Le Pen.

Toutes ces exigences, je les maintiens. Je continuerai à les défendre.

Dans 8 jours, deux candidats peuvent être en situation de battre Manuel Valls et d’engager la construction d’un socle commun à gauche. Il faut qu’un des deux soit présent au second tour pour l’emporter.

J’ai avec Benoit Hamon et Arnaud Montebourg de nombreux points d’accord. Je leur ai dit et écrit. L’un et l’autre peuvent se compléter. Ils doivent se désister réciproquement l’un pour l’autre.

Mais il faut choisir. Dimanche 22 janvier j’ai choisi le vote utile. Ce sera Arnaud Montebourg. Ce ne sera pas un vote contre Benoit Hamon, je souhaite le rassemblement ! Ce ne sera pas non plus un vote d’adhésion à l’ensemble des propositions d’Arnaud Montebourg car je maintiens mes propositions. Je les crois utiles pour discuter ensuite d’une plateforme commune de toute la gauche.

Arnaud Montebourg veut abroger la loi El Khomri. Il est partisan de l’union de la gauche. Il a précisé – et c’est très important à mes yeux – que ce serait sans Macron ! Il veut être le candidat de la feuille de paye, c’est un marqueur qui compte pour moi qui suis pour un salaire pour toutes et tous !  Il se prononce aussi pour une VI ème république.

Nous nous sommes rencontrés et poursuivons les échanges.

Dans cette campagne je suis résolument pour augmenter le smic, les salaires, les minimas sociaux, pour un revenu d’autonomie pour la jeunesse dès 18 ans et une allocation dépendance . Je suis pour mettre le social au cœur. Je veux une gauche rassemblée pour répondre aux urgences sociales, écologiques, démocratiques. Il faut refuser de se laisser imposer des règles qui ont conduit à une triple catastrophe : économique, sociale et financière. Il faut au contraire une Europe sociale et démocratique.

Avec toutes celles et tous ceux qui m’ont soutenu, nous tiendrons une conférence nationale le 4 février à Paris pour tracer des perspectives pour une gauche démocratique et sociale.

 

107 Commentaires

  1. socrate
    Posted 17 janvier 2017 at 1:30 | Permalien

    en fait c’était assez évident quand on suivait ce blog que tu appellerais a voter Montebourg plus que Hamon.
    j’espère que lui ne nous décevra pas comme l’a fait Hollande.
    Je pense qu il faut battre Valls dans un premier temps et rassembler apres

  2. Pierre LERMIGEAUX
    Posted 17 janvier 2017 at 8:38 | Permalien

    contrairement à Socrate,en m ‘excusant, je ne voyais pas évident en vous lisant que votre soutien irait Vers Montebourg.
    vous nuancez , argumentez et vous avez raison.
    le comportement des candidats durant « l ‘entre deux tours » aura aussi une grande importance.

  3. Hasta la victoria
    Posted 17 janvier 2017 at 9:14 | Permalien

    La pratique de la censure est édifiante… & dire que je fais partie de vos fameux « soutiens ».

    Gérard,

    On ne peut pas dire qu’on ne l’avait pas vu venir, mais cela ne m’empêche pas d’être triste pour toi. Tout ça pour ça.

    François (Ruffin) t’avait proposé une belle aventure pour nos luttes prochaines. Tu as fait ton choix.

    @ Socrate & Gérard :
    « Insanity is repeating the same mistakes and expecting different results. »

    Si seulement vos ‘espoirs’ n’étaient pas nocifs, on supporterait plus facilement.

  4. sansressources
    Posted 17 janvier 2017 at 9:55 | Permalien

    montebourg contre belle connerie, mais il me semble que nous ne l’avons pas beaucoup vu dans la rue avec nous, contre belle connerie, peut être mais tout contre alors

  5. Maximilien R
    Posted 17 janvier 2017 at 10:09 | Permalien

    Filoche un social traitre comme les autres !

  6. Maximilien R
    Posted 17 janvier 2017 at 10:37 | Permalien

    Un entourloupe sauce PS ,! en plus tu oses afficher un cliché avec Danielle,Simmonet de la France insoumise . Je l’ai alerté de la manipulation et je pense que tu auras très prochainement de ses nouvelles .
    Que chacun sache que d’aucune manière la France insoumise ne soutient de près ou de loin la primaire interne au PS et nous appelons l’ensemble de nos groupes d’appui et sympathisants sur le territoire national à ne pas participer
    à cette primaire des anciens ministres de Hollande !
    Y a pas’ d’arrangements !

  7. Richard Letawe
    Posted 17 janvier 2017 at 10:43 | Permalien

    Gérard, comment ça se fait que tu mets une photo où on voit surtout Danielle Simonnet en bas de ce post?
    Tu as du mal à en trouver une du bel Arnaud avec toi, bras dessus bras dessous en train de défiler contre la loi travaille?

  8. Maximilien R
    Posted 17 janvier 2017 at 10:54 | Permalien

    Voilà le genre de personnage que soutient Le révolutionnaire de salon Filoche
    https://legrandsoir.info/montebourg-the-young-leader.html

  9. Lyonnais
    Posted 17 janvier 2017 at 12:17 | Permalien

    Gérard Filoche soutenant un youhg leader, j’avoue que cela ne manque pas de sel !
    Pour ceux qui ignoreraient qui sont les Young Leaders :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/French-American_Foundation

  10. Posted 17 janvier 2017 at 12:26 | Permalien

    mais pas de problème, danielle simonnet s’est mêlée aussi comme moi des taxis et VTC depuis plus de deux ans, pourquoi veux tu que je coupe la photo ce n’est pas du tout mon genre de faire ce type de censure

    et des photos avec montebourg, ton persiflage n’a pas de sens, question d’agenda je reviens avec lui de chez mac do en soutien aux 13 13 13
    et nous allons refaire cela pour Uber… qui viendront parler aussi au meeting salle jean jaunes mercredi soir 19 h

  11. Posted 17 janvier 2017 at 12:29 | Permalien

    mais pas de problème, danielle simonnet s’est mêlée aussi comme moi des taxis et VTC depuis plus de deux ans, pourquoi veux tu que je coupe la photo (la seule que j’avais) ce n’est pas du tout mon genre de faire ce type de censure

    tu appels dis tu a faire le jeu de valls, c’est tres bete et tres sectaire,
    vous pretendez combattre le bilan de Hollande et vous faites son jeu ?

    dans quel desastre voulez vous entrainer la gauche le 23 avril ?

  12. Posted 17 janvier 2017 at 12:30 | Permalien

    venir ici nous insulter quatre fois de suite, c’est ça votre conception de la gauche, de l’unité du combat pour convaincre ?

  13. Posted 17 janvier 2017 at 12:32 | Permalien

    moi j’ai fait 160 meetings, 1000 articles, 200 medias, Un livre, 10 revues D&S contre la loi el khomri

    vous en avez fait autant pour venir nous donner des leçons ?

    je vais vous dire on a bien bossé, et on a convaincu pas mal de monde

    et on se réjouit que montebourg soit devenu pour l’abrogation totale de la loi el khomri c’est clair et net

    Hamon aussi,
    et ile st possible que l’un ou ‘autre gagne

    et ce sera une grande et belle nouvelle pour toute la gauche

    et on y sera nous D&S pour quelque chose

    vous etes qui a venir ici insulter, cracher, mal écrire ?

  14. Posted 17 janvier 2017 at 12:35 | Permalien

    quelle censure c’est le seul site ou vous pouvez parler (29 687 éléments sur 1485 pages)

    on ne coupe que ce qui est vraiment trop insultant, spam repetitif, intolérable agressif, vain… venant des memes gens ( des trolls et spams, les memes sous des IP différents et des pseudos qui masquent ce type de forfaiture)

    allez donc parler a JLM vous verrez

    on a choisi a D&S a travers de nombreuses discussions depuis le 10 décembre,

    on ne peut mettre qu’un seul bulletin de vote le 22 octobre pour battre Valls

  15. Maximilien R
    Posted 17 janvier 2017 at 12:56 | Permalien

    Filoche tu finiras par soutenir Macron si ton parti le décide , tu viens de perdre toute ta crédibilité déjà bien entamé,.
    Il faudrait voter pour un « socialiste » pour faire barrage à un autre « socialiste »
    Tu nous prend franchement pour des cons !

  16. Posted 17 janvier 2017 at 13:01 | Permalien

    va te faire foutre connard …
    disparais d’ici toi et tes insultes et infâmes accusations…

  17. Posted 17 janvier 2017 at 13:27 | Permalien

    Il est un fait que tous les candidats à la primaire ont confirmé qu’ils soutiendraient le vainqueur. cela était d’ailleurs dans le deal de la primaire.

    Arnaud Montebourg, Manuel Valls, Vincent Peillon, Benoît Hamon, Sylvia Pinel, François de Rugy et Jean-Luc Bennahmias ont en effet répondu « oui » à l’unanimité à la question : « Soutiendrez-vous le vainqueur de la primaire à gauche ? »

    Si c’est Valls qui gagne la primaire, il faudra se cotiser pour offrir de la vaseline à un grand nombre.

    http://www.planet.fr/videos-a-la-une-soutien-au-vainqueur-de-la-primaire-a-gauche-les-candidats-se-sont-dits-oui.1285770.12214.html

  18. Posted 17 janvier 2017 at 13:34 | Permalien

    Gérard Filoche au meeting d’Arnaud Montebourg

    Gérard Filoche était présent hier au rassemblement parisien des VTC en lutte contre Uber. Aujourd’hui en compagnie d’Arnaud Montebourg, il a rencontré des salariés de Mac Donald.

    A l’invitation d’Arnaud Montebourg, Gérard Filoche prendra la parole au grand meeting qu’Arnaud Montebourg tient au gymnase Jean Jaurès à Paris le 18 janvier.

    A cette occasion, Gérard Filoche insistera sur la nécessité de mettre le social au cœur de cette campagne présidentielle. Si les dividendes versés aux actionnaires n’ont jamais été aussi importants, c’est que la France n’a jamais été aussi riche et les richesses aussi mal partagées. La question des salaires et la réduction du temps de travail pour que chacun ait un salaire sont essentielles.

    Gérard Filoche lancera un nouvel appel aux électrices et électeurs de gauche pour qu’ils participent nombreux à la primaire citoyenne afin de tourner enfin la page de ce quinquennat et en finir avec l’austérité.

    Meeting Gymnase Jean-Jaurès à Paris (ouvertures des portes à 19h) Rendez-vous 87 avenue Jean Jaurès (métro Laumière).

  19. Michel - Pierre
    Posted 17 janvier 2017 at 14:00 | Permalien

    Très bien, ce texte pour  » LE 22 JANVIER !
    Lire aussi l’intéressante interview de GF que vient de publier LE POINT sur son site (http://www.lepoint.fr/presidentielle/filoche-valls-a-la-machoire-crispee-16-01-2017-2097442_3121.php ).
    Ce qu’il y a de très positif dans la semaine qui s’ouvre est bien sûr le regain de présence médiatique de D&S et de son fondateur.
    Il est important, à mon avis qu’il s’accompagne (DANS l’ L’IMMÉDIAT !) d’un réinvestissement « des 15 000 » dans l’indispensable MOBILISATION CITOYENNE pour GAGNER la Primaire à GAUCHE.
    CAFÉ « PHILOche » en ce sens ce soir à Rouen (sous-sol de la Brasserie Paul à 19 h).
    Qu’en est-il dans les autres départements ?

  20. J. Nesta
    Posted 17 janvier 2017 at 15:15 | Permalien

    C’est bien dommage que vous souteniez Montebourg je trouve.
    J’ai toujours aimé votre franc parler et votre façon de voir les choses et cela m’attriste que vous continuiez à rouler pour le PS avec tout les affronts qu’ils vous on fait. J’étais triste de ne pas vous voir au primaire du PS et je pensais que cela vous tenait à cœur. Surtout qu’ils ont accepté des rigolos mais pas vous !!!
    Moi, tant que le PS ne montrera pas de respect envers ses propres partisans je ne veux pas en entendre parler.
    J’aurai aimé vous voir au coté de Danielle Simonnet et de Jean-Luc Mélenchon, cela aurait été beau et un fort symbole pour la France et cette élection. Sachant que de mon point de vue vous ressemblez pas mal à un insoumis si je peux me permettre.
    C’est en tout cas bien dommage,
    Bonne chance à vous et M. Montebourg tout de même !

  21. Charles
    Posted 17 janvier 2017 at 15:38 | Permalien

    Euh, Gérard, je t’apprécie, malgré certains désaccords, essentiellement de stratégie, mais en 16, tu joues son jeu et lui donne ce qu’il te demande.. Ne t’abaisse pas aux insultes,qui ne sont jamais autre chose que la preuve que l’on est tombé dans un piège grossier.. Tu vaux bien mieux que ça!
    Sinon, force est de reconnaître que c’est plutôt curieux comme choix de photo pour un fil annonçant… ton appel à voter Montebourg…

  22. Posted 17 janvier 2017 at 16:32 | Permalien

    je reponds comme il convient a ceux qui m’insultent ici sur mon forum de mon blog, je milite depuis 53 ans, ces gens là te jugent tous les 1/4 d’heures, ils t’attaquent dans ta dignité, j’effacerais mais je veux qu’il voie te que tout le monde voit

    Le pire c’est ceux qui se disent « deçus » et te disent « adieu  » tous les quatre matins, faisant semblant que la décision est que tu as prises est la dernière des dernières…

    pour ces imbéciles dont on ne sait pas ce qu’ils font ni proposent, tu trahis tous les jours.. mais ils en te lisent même pas (rarement ils citent les articles de ce blog !) , n’étudies pas, n’apportent rien

    expres, nous avons sur ma proposition choisi, plutôt que de faire une ordinaire conférence de presse, d’aller sur le terrain soutenir les mac di en greve pour leurs salaires : 13 13 13
    dans la lignée fight for fifteen

    nous avons beaucoup de photos et un film video qui arrive !!!!!!

  23. Posted 17 janvier 2017 at 16:34 | Permalien

    c’est montebourg ou hamon,de toute façon
    il faut battre valls
    on a un seul bulletin de vote
    hamon c’est le revenu universel
    montebourg la feuille de paie,
    notre choix est simple et politique
    vous préférez Hamon ? cela aurait pu se faire, et ce sera peut être le cas dimanche soir;..

  24. Posted 17 janvier 2017 at 16:34 | Permalien

    il y en a partout ou c’est possible

  25. Posted 17 janvier 2017 at 16:35 | Permalien

    oui et alors ?
    quel est le sujet ?
    Valls va perdre, il va donc soutenir Montebourg ou Hamon n’est ce pas ? quelle inquiétude avez vous ?

  26. Posted 17 janvier 2017 at 16:40 | Permalien

    Bonjour!

    Tout d’abord, je voulais vous dire que j’apprécie vôtre soutien à Arnaud Montebourg.

    Pourriez vous demander à ce candidat à la Présidentielle, quelle est sa position sur les compteurs Linky de ERDF et leur nuisance qu’ils occasionnent pour la santé et la protection de la vie privé?

    Beaucoup considèrent que l’on prépare là un marché libéral sur le dos des contribuables et que cela est contraire à nos institutions.

    La position de stopper ces installations et de faire déposer ces compteurs serait un engagement fort du candidat et une position très forte en terme de souveraineté face à l’autoritarisme Européen.

    Un as sorti de la manche dans le dernier débat il me semble!

    Cordialement.

  27. socrate
    Posted 17 janvier 2017 at 17:04 | Permalien

    Gérard Filoche

    c’est montebourg ou hamon,de toute façon
    il faut battre valls
    on a un seul bulletin de vote
    hamon c’est le revenu universel
    montebourg la feuille de paie,
    notre choix est simple et politique
    vous préférez Hamon ? cela aurait pu se faire, et ce sera peut être le cas dimanche soir;..

    je partage cette analyse
    j’aurais préféré voter Filoche mais puisque cest pas possible je vote Montebourg meme si je suis pas d’accord a 100% avec tout son programme
    pour ceux qui donnent des leçons et appellent a voter Melenchon c’est difficile de voter pour un prédicateur de la 6em république et se conduit en Napoléon.
    Rien que sont auto proclamation de candidature peut soulever des questions…
    il est vrai que les partisans de Melenchon semblent se satisfaire de ce diktat…

  28. thomine
    Posted 17 janvier 2017 at 17:04 | Permalien

    De combien de signatures valides disposiez-vous pour chacune des catégories requises?
    Combien d’élus, députés, sénateurs, maires vous ont-ils soutenu ?
    Combien de députés frondeurs vous ont-ils soutenu ?

  29. thomine
    Posted 17 janvier 2017 at 17:06 | Permalien

    Vous soutenez Montebourg qui a suivi un cursus INSEAD ? qui a eu des responsabilités de haut niveau chez HABITAT ?

  30. Posted 17 janvier 2017 at 17:07 | Permalien

    élections-primaire-présidentielle-France2017-partis-PS-social
    Montebourg et Filoche main dans la main aux côtés des salariés de McDonald’s

    Paris, 17 jan 2017 (AFP) – Arnaud Montebourg et Gérard Filoche ont affiché mardi matin leur proximité, en se rendant auprès des salariés d’un restaurant McDonald’s de Paris pour leur apporter leur soutien dans leur lutte pour des conditions de travail et des salaires améliorés.
    « Je voudrais vous apporter mon soutien dans votre lutte, qui est mondiale mais qui doit avoir ici des applications concrètes », a déclaré le candidat à la primaire du PS et de ses alliés, après avoir écouté Gilles Bombard, le secrétaire général CGT McDonald’s Paris et Ile-de-France, et Nicholas Allen, porte-parole de la campagne « Fight for 15″ qui milite aux Etats-Unis pour le passage à 15 dollars de l’heure du salaire minimum.

    En écho aux revendications énumérées par M. Bombard, M. Montebourg a rappelé son souhait de voir les salaires augmenter grâce à une baisse de la CSG financée par un prélèvement de dix milliards d’euros sur le Crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE).

    Il a protesté, à l’unisson du syndicaliste, contre la délocalisation dans les paradis fiscaux des bénéfices des « grands groupes transnationaux », qui prive les salariés de leur part des « bénéfices et de la richesse créée ». Il a souhaité que le parquet accompagne la plainte pour blanchiment de fraude fiscale déposée par les salariés de McDonald’s.

    Il a enfin lancé un « appel à McDonald’s: vous devez ouvrir les négociations salariales avec vos salariés ».

    M. Filoche, qui a annoncé lundi son soutien à M. Montebourg, l’a réaffirmé devant la presse en saluant « le candidat de la fiche de paye ».

    L’ancien inspecteur du travail, dont la candidature à la primaire a été rejetée faute de parrainages suffisants, a précisé que son mouvement, Démocratie et socialisme, avait renoncé soutenir Benoît Hamon car il ne se reconnaît pas dans sa proposition de Revenu universel, ni dans son souhait de discuter avec Emmanuel Macron en cas de victoire à la primaire.

    M. Montebourg veut ouvrir des discussions avec Jean-Luc Mélenchon et Yannick Jadot, mais pas nécessairement avec M. Macron qu’il qualifie de « Monsieur X ».

    M. Filoche a réaffirmé son voeu de voir le Smic augmenter en France –Arnaud Montebourg souhaite pour sa part qu’il « suive la courbe de croissance », et plaide pour une « stratégie européenne concertée et progressive » d’augmentation des salaires.

    Les deux hommes ont également rappelé leur volonté d’abroger la loi El Khomri.

    sl/chr/kp

    MCDONALD’S

    2017/01/17 12:55:08 GMT+01:00

  31. thomine
    Posted 17 janvier 2017 at 17:19 | Permalien

    McDonald’s devrait avoir créé 2.500 emplois en 2016, en majorité à temps partiel, avec l’ouverture de 45 nouveaux restaurants en France, a indiqué vendredi la chaîne de restauration rapide. « D’ici la fin de l’année 2016, McDonald’s aura créé en France 2.500 nouveaux emplois, en CDI (80% en temps partiel, ndlr) grâce aux 200 millions d’euros investis en France, à l’ouverture de 45 nouveaux restaurants et à la performance de l’enseigne », écrit la chaîne de restauration rapide dans un communiqué.

    La chaîne, qui compte 73.000 employés et 1.384 établissements dans l’Hexagone, précise cependant qu’il reste encore « 22 restaurants à ouvrir d’ici la fin de l’année, soit l’embauche de 1.100 personnes ».

    Des perspectives de carrière

    McDonald’s, qui se présente comme le « premier recruteur de jeunes en France », assure « proposer des perspectives de carrière en donnant accès, à l’ensemble de ses salariés et dès la signature du contrat de travail, aux programmes McDonald’s de formation professionnelle continue ». En 2015, « 90% des managers et directeurs adjoints de nos établissements ont démarré leur carrière chez McDonald’s en tant qu’équipier », affirme la chaîne présente en France depuis 37 ans.

    « Nous recrutons chacun de nos salariés en ayant à l’esprit qu’ils ont le potentiel pour devenir, demain, un directeur de nos restaurants. Aujourd’hui, chaque emploi en CDI donne accès à tout l’accompagnement McDonald’s de développement des compétences: la formation continue, le certificat de qualification professionnelle et la validation des acquis et de l’expérience », explique Claire Silva, vice-présidente ressources humaines de McDonald’s France, cité dans ce communiqué.

    Présent « dans plus de 1.000 communes françaises », McDonald’s affirme être « l’une des entreprises qui contribuent de façon significative à la création d’emplois » et « recruter au plus près de ses établissements pour contribuer activement au développement économique et social local et à l’aménagement du territoire ». Chaque année, l’enseigne dit recevoir « plus de 500.000 CV de candidats ».

  32. Posted 17 janvier 2017 at 19:05 | Permalien

    oui, ça ne change rien rien rien
    figth for fifteen
    13 13

  33. Posted 17 janvier 2017 at 19:05 | Permalien

    en effet j’appelle a voter pour lui pour battre Valls des le 22 janvier

  34. Posted 17 janvier 2017 at 19:08 | Permalien

    on l’a déjà écrit mille fois
    31 signatures déposées
    on en avait 17 au Cn mais 7 titulaires 7 suppléants et 3 dans les commissions, ils ont dit que ce n’était que les titulaires qui comptaient
    et ils ont ouvert les bras a ceux qui n’avaient pas de parrainages du tout : de rugy, pinel, bennahmias, et wild card pour… macron
    et permis a peillon d’avoir les signatures en 4 jours

  35. Gilbert Duroux
    Posted 17 janvier 2017 at 21:06 | Permalien

    La vieille politique du vieux parti sclérosé est en marche. Si ça se trouve il n’attendra même pas le deuxième tour de la primaire pour explser comme une pastèque trop mure :
    http://www.francetvinfo.fr/politique/ps/primaire-a-gauche/je-n-aurai-pas-d-etat-d-ame-a-soutenir-macron-chez-les-deputes-ps-une-tentation-de-moins-en-moins-taboue_2021356.html

    Cambadéris va bientôt s’apercevoir qu’il a fait une grave erreur en éliminant Filoche de la primaire. Si Macron et Mélenchon prennent son parti en tenaille, c’est bien parce que le PS n’a pas su faire vivre la démocratie des idées en son sein. Filoche, par sa présence parmi les candidats, aurait pu donner un peu de légitimité au vainqueur de la primaire.
    Le soutien à Montebourg ne remplace rien car on connait la nature profonde de Montebourg. ON sait de quoi il est et n’est pas capable. Il nous l’a déjà montré.

  36. ErikleRouge
    Posted 18 janvier 2017 at 0:35 | Permalien

    Pour beaucoup de nous vieux militants, tu es devenu une énigme – mais comment toi un vrai militant qui fut de tous les combats, peux-tu vouloir nous faire croire aujourd’hui que ceux qui hier ont renié allègrement leur parole et leurs engagements politiques par des actes précis (CICE, budget austérité, etc…) devraient aujourd’hui miraculeusement devenir de blanche colombe d’une sincérité sans faille ?????? – enfin comment peux-tu croire une seconde que Montebourg a changé ! on le connait bien le lascar, comme Hamon il fut de toutes les magouilles des congrès PS depuis tant d’années …

  37. Posted 18 janvier 2017 at 9:29 | Permalien

    clairement il faut battre Valls dimanche et qui ne le fait pas sciemment est complice de la défaite éventuelle de la gauche

    C’est simple si on ne bat pas Valls le 22 ou le 29 janvier, l’unité est impossible ensuite a gauche et donc il y aura Valls et Mélenchon en course le 23 avril, Valls sera derrière JLM mais avec assez de voix pour nuire et pas assez de voix pour gagner : on perd donc tous et toutes c’est le désastre complet le 23 à 20 h et on n’a plus que le choix entre Fillon et FN

    JL. Mélenchon appelle à « ne pas aller à la primaire du PS ». J.L. Mélenchon protège Manuel Valls après avoir appelé Hollande à se présenter, et avec l’espoir de voir Macaron rafler la mise pour se partager les dépouilles, achevant ainsi le sale travail du gouvernement Hollande-Valls.
    Si J.L. Mélenchon voulait gagner contre Fillon, Le Pen et Macron, il appellerait à battre Valls à la primaire du PS et proposerait l’unité au vainqueur. Que toutes celles et ceux qui envisagent de voter J.L. Mélenchon au premier tour de la présidentielle parce que, eux, ils veulent réellement gagner contre le capital, la droite et le patronat, désobéissent à toutes les injonctions des tenants de l’ordre établi et aillent voter à la primaire du PS, pour l’abrogation de la loi El Khomri et le dernier règlement de comptes avec M. Valls. Insoumis, c’est le moment de montrer que vous l’êtes réellement : comportez-vous enfin en insoumis et affrontez l’ordre établi !

  38. Posted 18 janvier 2017 at 9:34 | Permalien

    he oui, le PS de Valls et cie est en crise totale
    normal
    on a beaucoup combattu contre cette ligne politique
    et Hamon et Montebourg sont dans la gauche socialiste, motion B qu’on a rassemblé avec beaucoup d’efforts et de succès, 30 % et 25 000 voix
    et ce type de rassemblement (dont nous D&S ne faisons hélas qu’un tiers mais c’est pas mal et surtout à la base et avec les syndicalistes et associations) est le ferment du changement du PS (corbyn…) et de toute la gauche
    la défaite de valls serait un événement politique extraordinaire dans le PSE, dans le PS, dans la gauche, et bien au dela de la personne de ceux qui le battront

  39. Posted 18 janvier 2017 at 9:37 | Permalien

    certains ont interpellé parce que catherine lemorton est porte parole de AM

    oui cela veut dire qu’elle a evolué sur la loi el khomir puisque ‘elle appelle à l’abroger forcement

    quand meme pour rappel voila un ITV de février (c’est loin déjà) de Mme lemorton

    En février, elle était sur une autre base !
    Politique
    Catherine Lemorton (PS) : « Je ne vois pas comment cette réforme du code du travail peut créer des emplois »
    Présidente de la commission des Affaires sociales à l’Assemblée nationale, la députée de Toulouse ouvrira l’examen du projet de réforme du code travail fin mars. Non sans crainte.
    Publié le : 25/02/2016 à 07:20

    Catherine Lemorton, députée de Haute-Garonne, est présidente de la commission des Affaires sociales à l’Assemblée nationale. (Photo : JP Baron)
    Porté par la ministre de l’Emploi Myriam El Khomri, le projet de loi sur la réforme du code du travail suscite de plus en plus la critique, jusque dans les travées de la majorité gouvernementale à l’Assemblée nationale. Parmi les parlementaires inquiets face à ce projet voulant lutter contre le chômage, la députée de Haute-Garonne Catherine Lemorton n’est pas la dernière.
    Connue pour aboyer sans ménagement lorsque passe une caravane législative n’empruntant pas le chemin du bons sens, la pharmacienne toulousaine préfère la piqûre de rappel aux valeurs de la gauche plutôt que le somnifère des courtisans. Et dans le débat sur la réforme du code du travail, sa parole porte d’autant plus fort qu’elle jouera un rôle de premier ordre en sa qualité de présidente de la commission des Affaires sociales qui recevra le projet de loi pour examen à partir de fin mars 2016. Interview.
    Côté Toulouse : À gauche, la lecture du projet de loi de réforme du code de travail a ou surpris, ou choqué ou enchanté. Où vous situez-vous ?
    Catherine Lemorton : Je suis surprise, forcément, et d’abord par le temps politique que le gouvernement choisit pour porter ce texte. Si réellement ce projet est de nature à créer des emplois, si comme le disent ceux qui sont totalement convaincus par les bienfaits qu’elle porte, cette réforme va lancer le modèle social que réclame la guerre contre le chômage, pourquoi arrive-t-elle en fin du mandat présidentiel ? Ce texte ne sera pas adopté avant juin et n’entrera pas en vigueur avant septembre… Pour quels bénéfices avant l’élection présidentielle d’avril 2017 ? Pourquoi n’a t-il pas été lancé en septembre 2012 ?
    C.T : Avez-vous la réponse à cette question ?
    C.L : Non ! Et je dis que ce calendrier est idiot car le risque pour la majorité gouvernementale est d’aller se fracasser contre ce texte de loi à quelques mois des prochaines échéances électorales… Les communistes ne voteront pas le texte, les écologistes sans doute pas et les parlementaires socialistes vont se diviser. D’autant que l’opposition à tout intérêt à jouer là-dessus… Si l’on quitte le raisonnement politique lequel, à vrai dire, importe peu aux Français qui sont en attente de solutions, je ne vois pas comment cette réforme du code du travail peut créer des emplois.
    Je ne suis pas pour l’immobilisme, réformer me paraît essentiel. J’attends l’étude d’impact de chaque article de ce projet pour me rassurer. Mais j’ai vraiment une grande crainte vis-à-vis de ce texte.
    Le projet prévoit par exemple de plafonner les indemnités prud’homales. Si ce n’est faciliter les licenciements, je ne vois pas à quoi cette mesure sert. Surtout pas à créer de l’emploi !
    C.T : Prendre moins de risque financier dans une condamnation aux Prud’hommes pour un employeur, ne peut-il pas néanmoins lever un éventuel frein à l’embauche ?
    C.L : Lorsqu’un employeur se sépare d’un collaborateur pour raison économique, il ne va pas embaucher quelqu’un d’autre derrière… Et un employeur se sépare bien plus souvent d’un salarié pour raison économique que par gaieté de cœur. Lorsqu’il y a séparation entre l’employeur et l’employé pour d’autres raisons, parce qu’on ne s’entend plus par exemple, c’est la rupture conventionnelle qui prime.
    Et je suis très étonnée de voir que ce procédé ne reçoit pas l’attention de cette réforme pour sa partie concernant le déficit de l’Unedic. On connait aujourd’hui une explosion des ruptures conventionnelles. Et dans bien des cas, il s’agit d’un détournement de la démission, à l’avantage du salarié.
    C.T : Le projet de loi prévoit de donner une plus large place aux accords d’entreprise qu’aux accords de branche d’activité, en matière d’assouplissement du temps de travail par exemple. Jugez-vous ce principe mauvais ?
    C.L : Je pense aux PME et aux petites entreprises ne comptant la plupart du temps qu’un délégué du personnel, mais aucune force syndicale. Comment organiser de telles discussions sans contrepoids syndical ? Cela me paraît compliqué.
    C.T : Comme l’a dit le Premier ministre, le travail législatif amendera de toute façon le texte. De quoi soigner votre pessimisme ?
    C.L : Tant que je n’ai pas vu les amendements, je ne saurai le dire. Il paraît certain que comme lors de la discussion sur la déchéance de nationalité, on va partir de très haut et, je le crains, atterrir à côté de la piste.
    C.T : D’aucuns accusent le gouvernement d’avoir copieusement emprunté au Medef pour formuler ce projet de loi. Est-ce-à dire qu’il y a un manque de créativité chez les socialistes en matière de lutte contre le chômage ?
    C.L : Oui, on a manifestement écouté le Medef. Il faut savoir le faire car il a son mot à dire pour réformer notre modèle. Or, cela ne doit pas induire que nous devons suivre aveuglément toutes ses préconisations.
    C.T : Que faire ?
    C.L : Un employeur a besoin d’un marché. Il faut travailler en ce sens. Un employeur a également besoin d’un bon collaborateur. Je me mets à la place d’un artisan. Son souci n’est pas de savoir s’il aura des soucis avec les Prud’hommes s’il embauche un salarié, son obsession n’est pas de licencier, mais de trouver un bon collaborateur, bien formé, faisant du bon boulot.
    Le gouvernement doit se pencher sur la formation de qualité à destination des secteurs d’activités en tension. En arrivant au pouvoir, la gauche a fait une erreur en fragilisant l’apprentissage. Désormais, on rame pour le réhabiliter, comme l’ensemble des filières techniques que l’on dénigre depuis des années, d’ailleurs. Elles débouchent pourtant sur d’excellents emplois et de belles perspectives de carrières.
    C.T : Redoutez vous une réaction populaire plus forte que d’habitude ?
    C.L : La société descend moins dans la rue. La contrepartie de ce silence est un vote plus fort en direction du FN. On entend d’ailleurs pas Marine Le Pen. Elle l’avait annoncé : elle tient elle aussi le silence. Le risque est que ces deux silences sortent ensemble en avril 2017 au moment de l’élection présidentielle.
    C.T : Une élection présidentielle qui s’annonce pour l’instant mal pour la gauche. Non ?
    C.L : François Hollande a réalisé de grandes choses dans bien des domaines. On les évoque peu mais je pourrais parler durant des heures des apports considérables, des avancées sociales réelles que nous avons su générer. Ce que nous avons fait de bien, nous devrons le dire et le montrer. Nous devrons aussi reconnaître nos erreurs et les admettre.
    Sur le chômage, notre mandat est pour l’instant un échec. Nous avons eu la volonté sincère de nous bagarrer pour l’emploi, nous avons fait des lois et des choix, comme les emplois aidés ou le crédit d’impôt compétitivité-emploi (CICE), mais au moment où je parle, cela n’a pas porté ses fruits. Il faut l’assumer.
    Nous devons continuer de faire des propositions à nos concitoyens et trouver des clés pour l’avenir. Pour 2017, nos arguments devront être réels et ne masquer aucune réalité. Il ne s’agira pas de convaincre l’électeur en lui disant que voter pour nous évitera le « pan-pan cul-cul » du FN de s’abattre sur la France.
    C.T: Un nouveau gouvernement est entré en action et intègre de nouvelles têtes dans un esprit de rassemblement à gauche. Vous séduit-il ?
    C.L : Ce gouvernement dénote de la vilenie que recèle parfois la nature humaine. Je pense surtout à l’écologiste Emmanuelle Cosse, qui préfère une place au gouvernement plutôt que de respecter ses valeurs et engagements politiques… Je peux comprendre la colère des militants écologistes.
    Pascal Pallas Editeur / Rédacteur en chef Suivre

    sans aucun doute la députée avait déjà des problemes avec la loi qu’elle était censée présenter, elle a d’ailleurs été remplacée dans ce job, par C Sirurgue

  40. Posted 18 janvier 2017 at 9:39 | Permalien

    En plus, Jlm intronise Macron comme candidat « sérieux » et qu’il respecte (ipse dixit) opposé à lui l’auto-proclamé candidat et représentant des « insoumis », sans souligner ce qu’il y a de ridiculement personnaliste dans la candidature de ce blanc-bec dont le seul véritable mérite c’est de n’avoir jamais rien fait et, fort de cette vacuité, de cracher son mépris dégueulasse sur les couches populaires. Un tel positionnement montre assez combien Jlm est surtout préoccupé par la promotion de sa petite personne et qu’il se préoccupe peu de diviser la gauche et de faire gagner la droite. Son radicalisme qui s’affadit de plus en plus au fur et à mesure où l’échéance approche, est un leurre, un trompe-l’oeil!

    Absolument : il s’agit de placer sur les dépouilles du PS, ancien parti ouvrier-bourgeois parlementaire gangrené par la V° République et la haute finance, deux non-partis fondés sur le culte du chef et extérieurs au mouvement ouvrier : la France insoumise en En marche.

    Voter Montebourg
    Evidemment (ou Hamon pour les plus compliqués). Et ça c’est de la vraie insoumission : aucun chèque en blanc à personne mais jusqu’au bout on fait tout pour réunir les conditions de gagner ou de limiter les dégâts. Mélenchon, sinon, est le dernier rempart de Valls.‬ et le promoteur du désastre le 23 avril à 20 h

    On n’a qu’un seul bulletin de vote dimanche 22 pour battre Valls (le 49 3 la loi el khomri, le CICE, etc..) et tout ce qu’il représente. Il faut bien choisir ! Si tu ne votes pas Montebourg come D&S et moi, t’as aussi le droit de voter Hamon. Mais si tu aides Valls, en ne votant pas, garde tes leçons, passe ton chemin c’est tout.

    VP

  41. J. Nesta
    Posted 18 janvier 2017 at 9:48 | Permalien

    Je ne comprend pas la stratégie du PS concernant votre participation à la primaire. Je ne peux m’empêcher de penser qu’ils ont voulu vous faire taire ou bien avaient-ils peur que vous preniez trop de votes aux autres participants.
    Quand on voit, comme vous le dites, que De Rugy et d’autres étaient là et pas vous, c’est clairement une stratégie politique.

    Je voudrai aussi dire à tout ceux qui prenne Mélenchon pour un dictateur, sa candidature ne s’est pas faite de son propre fait, il ne comptait même pas se présenter à cette élection, il avait formé son « poulain » qui est malheureusement décédé. Ne partez pas dans les extrêmes, la 6eme république et le programme de JLM sont soutenu par de nombreux érudits et doctorants en droit constitutionnel par exemple. Puis il faut dire aussi que sa candidature est acclamée par un nombre considérable de gens et par le PG et est donc tout à fait justifiée. Quitte à parler de dictature, regardez le PS qui empêche un candidat comme M. Filoche de se présenter au primaire alors qu’il avait ses chances, contrairement à d’autres, nous sommes d’accord là-dessus je pense.

    Respectons-nous, avec nos avis divergents. Je voterai JLM, d’autres voterons Hamon et d’autres Montebourg. Quel mal à ça ? Moi je n’en trouve aucun et je déplore les personnes faisant preuve de véhémence dans les commentaires de ce post, qu’ils soient pour JLM où d’autres.

  42. Posted 18 janvier 2017 at 9:59 | Permalien

    « sa candidature ne s’est pas faite de son propre fait, il ne comptait même pas se présenter à cette élection, »

    mais c’est totalement faux ! j’étais la avec toute la gauche le 21 janvier 2016 à paris dans une réunion historique de toute la gauche (laurent buffet parny, duflot bayou, melenchon coquerel syndicaliste, autain npa etc.. des syndicalistes de haut niveau… ) , ou nous tentions de proposer une plateforme commune et un candidat commun

    melenchon a fait capoter la réunion en disant « la plate-forme c’est la mienne d’il y a 4 ans, elle est bonne, et le candidat c’est moi, je suis expérimenté.. »

  43. J. Nesta
    Posted 18 janvier 2017 at 10:15 | Permalien

    M. FIloche, je comprend votre point de vue, mais il faut bien se dire quelque chose, si Mélenchon est haut dans les sondages, c’est qu’il y a une raison. Sachez que ce n’est pas l’homme qui rassemble dans la France Insoumise, c’est le programme.
    J’ai 21 ans et je ne m’étais jamais intéressé à la politique, jusqu’à ce que je découvre FI et je l’ai découvert dans mon quartier grâce à des militants qui on su me convaincre. Je ne savais même pas que Mélenchon était leur candidat à l’époque ! Quand ils me l’on dit, j’ai hésiter fortement, j’avais une image de JLM comme à la télé. Mais j’ai pris le temps de me renseigner et j’ai découvert la politique. Aujourd’hui j’ai lu le livre de Macron, celui de Fillon et celui de JLM et j’ai choisi mon candidat. Je me suis renseigner sur Hamon et Montebourg mais ils n’ont pas su me convaincre, je me suis renseigner sur vous et me suis dis que j’irai peut-être vous donner ma voix aux primaires, vous n’y êtes pas.

    Vous parlez dans un commentaire précédent que JLM se préoccupe de sa petite personne uniquement. Mais regardez le fond, il se préoccupe de son mouvement la France Insoumise, comme le PS s’occupe du PS et LR de LR. La preuve en est d’ailleurs que Cambadélis à choisi les participants à la primaire PS afin d’arranger son petit plan de bataille.
    Je ne peux d’ailleurs vous laissez dire sans protester que la France Insoumise est comparable à En Marche.
    FI est une initiative populaire lancé par JLM et le PG qui arrive à mener campagne sans financement autres que le don (et on a pas les amis millionnaire de Macron) jusqu’à présent et arrive à être visible tout de même. Je tiens à le redire et tout militant FI vous le dira, nous ne sommes pas là pour Mélenchon ! Nous sommes là pour l’avenir en Commun, pour un programme. JLM n’est que le porte parole de ce mouvement.
    Vous ne pouvez d’ailleurs pas reproché à JLM l’éclatement de la gauche, le PS en est responsable. Si le PS meurt à petit feu c’est qu’il n’est plus le parti ouvrier/bourgeois que vous décrivez et qu’il ne rassemble plus comme avant.

    Chacun fait sa campagne et chaque candidat peut-être un candidat sérieux (et oui même Macron), c’est au peuple d’en décider, c’est lui le seul juge.

  44. J. Nesta
    Posted 18 janvier 2017 at 10:30 | Permalien

    Mais peut-etre que le candidat commun n’est pas le bon choix aussi.
    Je ne me serai par exemple pas déplacer pour un programme en demi-teinte par exemple.
    Les partis politiques repousse les gens malheureusement et je suis heureux que Mélenchon soit candidat pour la France Insoumise. Avec un candidat commun, nous n’aurions jamais eu l’Avenir en Commun et je n’aurai donc eu aucun programme pour lequel voter.
    L’élection présidentielle ne doit pas, pour moi, rassembler les candidats mais plutôt les faire s’affronter afin de voir les limites des programmes. Désolé de vous le dire mais un candidat commun pour beaucoup de personne ça fait magouille pour gagner.
    On a l’impression que pour gagner tout le monde serait prêt à oublier ses convictions.
    Pour palier à cela, le choix que le PS a fait, c’est les primaires, on désigne un gagnant et problème régler mais pas vraiment car si Valls gagne tout le monde se rangera derrière lui afin de… gagner, même si cela ne correspond pas à ses conviction.
    Mais l’autre choix était de repartir de zéro, sans parti, sans compromis pour gagner. Et croyez moi c’est aussi un gros facteur de rassemblement. JLM aurait pu être aux primaires et les gagner mais il a choisi de ne pas le faire car cela entrait en contradiction avec la France Insoumise qui ne pouvait décemment pas appelé a voter Valls au cas où il gagnerait.
    Chacun sa méthode et ses avis après.

  45. sansressources
    Posted 18 janvier 2017 at 11:01 | Permalien

    GF 34
    ceux qui ne votent pas contre Valls complices du désastre
    tu me fait penser aux généraux d’il y a cent ans, ceux qui considéraient, du fond de leur château leur servant de QG que ceux qui ne voulaient pas monter à l’assaut de positions imprenables où des dizaines de milliers d’entre eux séchaient dans les barbelés, comme complices de la défaite
    comme toi, comme ceux du PS, jamais une remise en cause, toujours la faute des autres, c’est un peu lassant, et contre productif

  46. Lilly54
    Posted 18 janvier 2017 at 11:25 | Permalien

    Et pourquoi cette photo avec Danielle Simonnet dans un article de soutien à Montebourg ? C’est quand même hallucinant ! Un procédé indigne !

  47. andré
    Posted 18 janvier 2017 at 11:48 | Permalien

    Voter Hamon ou Montebourg, la vraie insoumission. On verra cala quand ils soutiendront Valls le 29 janvier!

  48. Posted 18 janvier 2017 at 12:08 | Permalien

    kesaco ? qu est c que vous faites vous les 22 et 29 ?

    le 30 on voit selon les résultats,

    tiens voila les premiers prémices d’un accord possible ;

    Montebourg, Martinez, Généreux : « Redonnons la priorité à l’industrie »

    La France a perdu près d’un million d’emplois industriels depuis 2001. Plusieurs responsables politiques et syndicaux appellent à réorienter l’économie.
    LE MONDE | 18.01.2017 à 06h44 • Mis à jour le 18.01.2017 à 10h37
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    Ce chiffre-là glace d’effroi. Et même en pleine campagne électorale, où les discours doivent donner de l’élan, il faut bien le citer. Peut-être même le crier : depuis 2001, l’industrie française a perdu chaque jour, en moyenne, 165 emplois. Une ville comme Lourdes ou Fontainebleau « rayée » chaque trimestre, et cela pendant quinze ans. Au total, près d’un million d’emplois directs perdus. Ça suffit ! Si enclin à fustiger de « démagogue » tout discours à rebours de ses idées austéritaires, le patron des patrons, Pierre Gattaz, promettait effrontément de créer « un million d’emplois » si le coût du travail baissait suffisamment.
    Selon la même magie de l’appauvrissement, François Fillon, assure lui de diviser par deux le taux de chômage. Ils trompent les Français ! Pour retrouver le sentier du développement et de l’emploi, le pays ne doit pas jouer les Pères Fouettards du salariat mais s’appuyer sur la mère de toutes les batailles productives : l’industrie. Même à l’heure du numérique et de la robotique, l’industrie entraîne avec elle toute l’activité, la recherche, l’investissement et, au final, l’emploi.
    Réorientons les activités industrielles et productives. Dans une dynamique nouvelle de développement, les activités industrielles devront être vigoureusement stimulées et réorientées de manière à répondre aux besoins fondamentaux tels qu’une alimentation saine, respectueuse de la rareté des ressources naturelles (terre, eau, air), une santé protégée et des logements économes en énergie… Cette réorientation s’inscrit pleinement dans la perspective de la nécessaire transition écologique et ne pourra être opérée qu’avec des travailleurs mieux formés.
    Changeons la place du travail et favorisons un nouvel entrepreneuriat dans l’économie et la société. La place du travail dans notre société et dans notre économie est fortement questionnée aujourd’hui. Le chômage et le mal emploi se répandent, les compétences sont globalement mal valorisées. Or l’innovation n’est pas le fruit spontané des nouvelles technologies mais bien le résultat des interactions humaines.
    Le développement industriel a besoin de salariés innovants, aux compétences reconnues, bien rémunérés, occupant des emplois stables et prenant une part active aux décisions. Seuls des salariés compétents et impliqués sont, en effet, en mesure de donner aux entreprises les capacités d’innover. Ici réside le compromis fondamental entre le capital et le travail sans lequel aucun développement n’est possible.
    Remettons la finance à sa place
    De concert avec une organisation du travail fortement rénovée, de nouvelles formes de travail et d’entrepreneuriat devront être stimulées. L’innovation ouverte, l’externalisation ouverte, les tiers lieux, les « fab lab », les très jeunes entreprises devront être soutenus. L’économie sociale et solidaire devra être encouragée et l’économie collaborative promue et protégée afin de ne pas devenir un avatar « ubérisé » du capitalisme financiarisé.
    Remettons la finance à sa place. La finance continue d’étouffer l’industrie. Le temps des marchés financiers et celui des publications de résultat trimestriel ne sont pas ceux de l’entreprise et des projets industriels. Sans parler des exigences excessives de rendement des capitaux propres qui privent les entreprises de nombreuses opportunités industrielles et commerciales. Le principe même de cette finance folle est profondément inégalitaire puisqu’il rémunère les « facteurs » selon leur propension à la mobilité.
    Ancrons également les activités dans les territoires. C’est un autre enjeu essentiel de la nouvelle dynamique de développement. Un tel ancrage repose sur les différentes dimensions de la proximité territoriale : compétences, ressources et valeurs. Si le renforcement des différentes dimensions de la proximité trouve naturellement sa place dans une dynamique nouvelle de développement, il en va de même de l’économie circulaire ou encore de l’économie de la fonctionnalité.
    L’économie circulaire élimine la notion de « déchet » en considérant, dès la conception des produits, leur recyclage et leur réparabilité dans une perspective opposée à l’obsolescence admise, voire programmée. L’économie de la fonctionnalité met, elle, l’accent sur une utilisation raisonnée et le plus souvent partagée des services que peuvent rendre les biens, plutôt que leur propriété individuelle.
    Nous ne croyons pas que la politique d’austérité suivie depuis des années soit de nature à donner à la France la perspective et le dynamisme dont elle a besoin. Les coupes claires budgétaires ne peuvent que provoquer la récession et la contraction des débouchés des entreprises. Seul un développement des activités productives soutenu par une politique publique de relance et des dispositifs financiers tournés vers l’investissement dans l’industrie – et non au versement de dividendes accrus – permettra de retrouver le chemin de la prospérité. Il s’agit d’un enjeu collectif qui engage tous les Français, et qui doit être au cœur des débats qui vont animer les campagnes électorales à venir.

    Signataires : Jean-Baptiste Barfety, fondateur de la Conférence Gambetta ; Gabriel Colletis, professeur de sciences économiques (Toulouse 1-Capitole) ; Eric Coquerel, Parti de gauche ; Franck Dedieu, délégué général République moderne ; Jacques Généreux, Parti de gauche ; Gaëtan Gorce, sénateur PS ; Pierre Laurent, secrétaire national PCF ; Arnaud Montebourg, candidat à la primaire de la gauche ; Jean-Claude Mailly, secrétaire national du syndicat FO ; Philippe Martinez, secrétaire national du syndicat CGT ; Bernard Thibault, ancien secrétaire national de la CGT.

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2017/01/18/redonnons-la-priorite-a-l-industrie_5064389_3232.html#kbF5vLdLzsYlhKzW.99

  49. Posted 18 janvier 2017 at 12:09 | Permalien

    en quoi ? on était ensemble coude a coude a defendre les VTC contre Uber, on a parle a la meme tribune, t’as un problème ?

  50. Posted 18 janvier 2017 at 12:09 | Permalien

    tiens lis un texte PG CGT Montebourg

    Montebourg, Martinez, Généreux : « Redonnons la priorité à l’industrie »
    La France a perdu près d’un million d’emplois industriels depuis 2001. Plusieurs responsables politiques et syndicaux appellent à réorienter l’économie.
    LE MONDE | 18.01.2017 à 06h44 • Mis à jour le 18.01.2017 à 10h37
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    Ce chiffre-là glace d’effroi. Et même en pleine campagne électorale, où les discours doivent donner de l’élan, il faut bien le citer. Peut-être même le crier : depuis 2001, l’industrie française a perdu chaque jour, en moyenne, 165 emplois. Une ville comme Lourdes ou Fontainebleau « rayée » chaque trimestre, et cela pendant quinze ans. Au total, près d’un million d’emplois directs perdus. Ça suffit ! Si enclin à fustiger de « démagogue » tout discours à rebours de ses idées austéritaires, le patron des patrons, Pierre Gattaz, promettait effrontément de créer « un million d’emplois » si le coût du travail baissait suffisamment.
    Selon la même magie de l’appauvrissement, François Fillon, assure lui de diviser par deux le taux de chômage. Ils trompent les Français ! Pour retrouver le sentier du développement et de l’emploi, le pays ne doit pas jouer les Pères Fouettards du salariat mais s’appuyer sur la mère de toutes les batailles productives : l’industrie. Même à l’heure du numérique et de la robotique, l’industrie entraîne avec elle toute l’activité, la recherche, l’investissement et, au final, l’emploi.
    Réorientons les activités industrielles et productives. Dans une dynamique nouvelle de développement, les activités industrielles devront être vigoureusement stimulées et réorientées de manière à répondre aux besoins fondamentaux tels qu’une alimentation saine, respectueuse de la rareté des ressources naturelles (terre, eau, air), une santé protégée et des logements économes en énergie… Cette réorientation s’inscrit pleinement dans la perspective de la nécessaire transition écologique et ne pourra être opérée qu’avec des travailleurs mieux formés.
    Changeons la place du travail et favorisons un nouvel entrepreneuriat dans l’économie et la société. La place du travail dans notre société et dans notre économie est fortement questionnée aujourd’hui. Le chômage et le mal emploi se répandent, les compétences sont globalement mal valorisées. Or l’innovation n’est pas le fruit spontané des nouvelles technologies mais bien le résultat des interactions humaines.
    Le développement industriel a besoin de salariés innovants, aux compétences reconnues, bien rémunérés, occupant des emplois stables et prenant une part active aux décisions. Seuls des salariés compétents et impliqués sont, en effet, en mesure de donner aux entreprises les capacités d’innover. Ici réside le compromis fondamental entre le capital et le travail sans lequel aucun développement n’est possible.
    Remettons la finance à sa place
    De concert avec une organisation du travail fortement rénovée, de nouvelles formes de travail et d’entrepreneuriat devront être stimulées. L’innovation ouverte, l’externalisation ouverte, les tiers lieux, les « fab lab », les très jeunes entreprises devront être soutenus. L’économie sociale et solidaire devra être encouragée et l’économie collaborative promue et protégée afin de ne pas devenir un avatar « ubérisé » du capitalisme financiarisé.
    Remettons la finance à sa place. La finance continue d’étouffer l’industrie. Le temps des marchés financiers et celui des publications de résultat trimestriel ne sont pas ceux de l’entreprise et des projets industriels. Sans parler des exigences excessives de rendement des capitaux propres qui privent les entreprises de nombreuses opportunités industrielles et commerciales. Le principe même de cette finance folle est profondément inégalitaire puisqu’il rémunère les « facteurs » selon leur propension à la mobilité.
    Ancrons également les activités dans les territoires. C’est un autre enjeu essentiel de la nouvelle dynamique de développement. Un tel ancrage repose sur les différentes dimensions de la proximité territoriale : compétences, ressources et valeurs. Si le renforcement des différentes dimensions de la proximité trouve naturellement sa place dans une dynamique nouvelle de développement, il en va de même de l’économie circulaire ou encore de l’économie de la fonctionnalité.
    L’économie circulaire élimine la notion de « déchet » en considérant, dès la conception des produits, leur recyclage et leur réparabilité dans une perspective opposée à l’obsolescence admise, voire programmée. L’économie de la fonctionnalité met, elle, l’accent sur une utilisation raisonnée et le plus souvent partagée des services que peuvent rendre les biens, plutôt que leur propriété individuelle.
    Nous ne croyons pas que la politique d’austérité suivie depuis des années soit de nature à donner à la France la perspective et le dynamisme dont elle a besoin. Les coupes claires budgétaires ne peuvent que provoquer la récession et la contraction des débouchés des entreprises. Seul un développement des activités productives soutenu par une politique publique de relance et des dispositifs financiers tournés vers l’investissement dans l’industrie – et non au versement de dividendes accrus – permettra de retrouver le chemin de la prospérité. Il s’agit d’un enjeu collectif qui engage tous les Français, et qui doit être au cœur des débats qui vont animer les campagnes électorales à venir.

    Signataires : Jean-Baptiste Barfety, fondateur de la Conférence Gambetta ; Gabriel Colletis, professeur de sciences économiques (Toulouse 1-Capitole) ; Eric Coquerel, Parti de gauche ; Franck Dedieu, délégué général République moderne ; Jacques Généreux, Parti de gauche ; Gaëtan Gorce, sénateur PS ; Pierre Laurent, secrétaire national PCF ; Arnaud Montebourg, candidat à la primaire de la gauche ; Jean-Claude Mailly, secrétaire national du syndicat FO ; Philippe Martinez, secrétaire national du syndicat CGT ; Bernard Thibault, ancien secrétaire national de la CGT.

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2017/01/18/redonnons-la-priorite-a-l-industrie_5064389_3232.html#kbF5vLdLzsYlhKzW.99

  51. Posted 18 janvier 2017 at 12:10 | Permalien

    quel raisonnement de fuite, de division, de mythologie

    pour gagner il faut ADDITIONNER LES VOIX DE GAUCHE, pas les écarter !!

  52. inkey
    Posted 18 janvier 2017 at 12:15 | Permalien

    « En plus, Jlm intronise Macron comme candidat « sérieux » et qu’il respecte (ipse dixit) opposé à lui l’auto-proclamé candidat et représentant des « insoumis », sans souligner ce qu’il y a de ridiculement personnaliste dans la candidature de ce blanc-bec dont le seul véritable mérite c’est de n’avoir jamais rien fait et, fort de cette vacuité, de cracher son mépris dégueulasse sur les couches populaires. Un tel positionnement montre assez combien Jlm est surtout préoccupé par la promotion de sa petite personne et qu’il se préoccupe peu de diviser la gauche et de faire gagner la droite. Son radicalisme qui s’affadit de plus en plus au fur et à mesure où l’échéance approche, est un leurre, un trompe-l’oeil! »

    Monsieur Filoche, je comprend vos désaccord stratégique avec Monsieur Mélenchon, mais je n’accepte pas la caricature que vous vous permettez de faire du candidat et de la ligne politique que j’ai soutenu en 2012 et que je continue de soutenir.

    Le PS se droitise depuis un bon moment, il va dans le mur.

    JLM est l’un des rare à proposer une alternative qui fait sens. Alors vous pouvez balancer votre haine de ce personnage en le faisant passer pour ce qu’il n’est pas, mais ça ne fera que de briser la sympathie des camarades « insoumis » à votre égard.

    Ce n’est pas JLM qui est « personnaliste », qui divise ce que vous appelez gauche, c’est nous, c’est nous, électeurs, sympathisants, militants de gauche qui appuyons la stratégie des «insoumis».
    Vous pouvez ne pas être d’accord, mais ne faite pas de cela une position d’égo personnel.

    La position de rupture avec le PS est depuis longtemps présente dans la stratégie du PG et elle nous semble tout simplement inéluctable si vous voulons voir un jour la gauche au pouvoir dans ce pays (le plus vite sera le mieux).

    Avec vos raisonnement, vous ne rassemblerais de toute façon jamais la gauche, car vous nous méprisez au plus haut point.

    Je ne suis pas un militant, je suis juste un sympathisant du PG, je vous appréciais bien jusqu’alors bien que je n’était pas du tout d’accord avec votre position, mais vos propos injurieux envers ce que nous somme me choque profondément.

  53. Posted 18 janvier 2017 at 12:22 | Permalien

    votre truc la France insoumise kesaco ? pas un parti, pas de liens avec le mouvement ouvrier, les syndicats ?

    heureusement que le parti de gauche signe avec mail martinez mailly thibault genres coqueret, non ?

    Montebourg, Martinez, Généreux : « Redonnons la priorité à l’industrie »
    La France a perdu près d’un million d’emplois industriels depuis 2001. Plusieurs responsables politiques et syndicaux appellent à réorienter l’économie.
    LE MONDE | 18.01.2017 à 06h44 • Mis à jour le 18.01.2017 à 10h37
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    Ce chiffre-là glace d’effroi. Et même en pleine campagne électorale, où les discours doivent donner de l’élan, il faut bien le citer. Peut-être même le crier : depuis 2001, l’industrie française a perdu chaque jour, en moyenne, 165 emplois. Une ville comme Lourdes ou Fontainebleau « rayée » chaque trimestre, et cela pendant quinze ans. Au total, près d’un million d’emplois directs perdus. Ça suffit ! Si enclin à fustiger de « démagogue » tout discours à rebours de ses idées austéritaires, le patron des patrons, Pierre Gattaz, promettait effrontément de créer « un million d’emplois » si le coût du travail baissait suffisamment.
    Selon la même magie de l’appauvrissement, François Fillon, assure lui de diviser par deux le taux de chômage. Ils trompent les Français ! Pour retrouver le sentier du développement et de l’emploi, le pays ne doit pas jouer les Pères Fouettards du salariat mais s’appuyer sur la mère de toutes les batailles productives : l’industrie. Même à l’heure du numérique et de la robotique, l’industrie entraîne avec elle toute l’activité, la recherche, l’investissement et, au final, l’emploi.
    Réorientons les activités industrielles et productives. Dans une dynamique nouvelle de développement, les activités industrielles devront être vigoureusement stimulées et réorientées de manière à répondre aux besoins fondamentaux tels qu’une alimentation saine, respectueuse de la rareté des ressources naturelles (terre, eau, air), une santé protégée et des logements économes en énergie… Cette réorientation s’inscrit pleinement dans la perspective de la nécessaire transition écologique et ne pourra être opérée qu’avec des travailleurs mieux formés.
    Changeons la place du travail et favorisons un nouvel entrepreneuriat dans l’économie et la société. La place du travail dans notre société et dans notre économie est fortement questionnée aujourd’hui. Le chômage et le mal emploi se répandent, les compétences sont globalement mal valorisées. Or l’innovation n’est pas le fruit spontané des nouvelles technologies mais bien le résultat des interactions humaines.
    Le développement industriel a besoin de salariés innovants, aux compétences reconnues, bien rémunérés, occupant des emplois stables et prenant une part active aux décisions. Seuls des salariés compétents et impliqués sont, en effet, en mesure de donner aux entreprises les capacités d’innover. Ici réside le compromis fondamental entre le capital et le travail sans lequel aucun développement n’est possible.
    Remettons la finance à sa place
    De concert avec une organisation du travail fortement rénovée, de nouvelles formes de travail et d’entrepreneuriat devront être stimulées. L’innovation ouverte, l’externalisation ouverte, les tiers lieux, les « fab lab », les très jeunes entreprises devront être soutenus. L’économie sociale et solidaire devra être encouragée et l’économie collaborative promue et protégée afin de ne pas devenir un avatar « ubérisé » du capitalisme financiarisé.
    Remettons la finance à sa place. La finance continue d’étouffer l’industrie. Le temps des marchés financiers et celui des publications de résultat trimestriel ne sont pas ceux de l’entreprise et des projets industriels. Sans parler des exigences excessives de rendement des capitaux propres qui privent les entreprises de nombreuses opportunités industrielles et commerciales. Le principe même de cette finance folle est profondément inégalitaire puisqu’il rémunère les « facteurs » selon leur propension à la mobilité.
    Ancrons également les activités dans les territoires. C’est un autre enjeu essentiel de la nouvelle dynamique de développement. Un tel ancrage repose sur les différentes dimensions de la proximité territoriale : compétences, ressources et valeurs. Si le renforcement des différentes dimensions de la proximité trouve naturellement sa place dans une dynamique nouvelle de développement, il en va de même de l’économie circulaire ou encore de l’économie de la fonctionnalité.
    L’économie circulaire élimine la notion de « déchet » en considérant, dès la conception des produits, leur recyclage et leur réparabilité dans une perspective opposée à l’obsolescence admise, voire programmée. L’économie de la fonctionnalité met, elle, l’accent sur une utilisation raisonnée et le plus souvent partagée des services que peuvent rendre les biens, plutôt que leur propriété individuelle.
    Nous ne croyons pas que la politique d’austérité suivie depuis des années soit de nature à donner à la France la perspective et le dynamisme dont elle a besoin. Les coupes claires budgétaires ne peuvent que provoquer la récession et la contraction des débouchés des entreprises. Seul un développement des activités productives soutenu par une politique publique de relance et des dispositifs financiers tournés vers l’investissement dans l’industrie – et non au versement de dividendes accrus – permettra de retrouver le chemin de la prospérité. Il s’agit d’un enjeu collectif qui engage tous les Français, et qui doit être au cœur des débats qui vont animer les campagnes électorales à venir.

    Signataires : Jean-Baptiste Barfety, fondateur de la Conférence Gambetta ; Gabriel Colletis, professeur de sciences économiques (Toulouse 1-Capitole) ; Eric Coquerel, Parti de gauche ; Franck Dedieu, délégué général République moderne ; Jacques Généreux, Parti de gauche ; Gaëtan Gorce, sénateur PS ; Pierre Laurent, secrétaire national PCF ; Arnaud Montebourg, candidat à la primaire de la gauche ; Jean-Claude Mailly, secrétaire national du syndicat FO ; Philippe Martinez, secrétaire national du syndicat CGT ; Bernard Thibault, ancien secrétaire national de la CGT.

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2017/01/18/redonnons-la-priorite-a-l-industrie_5064389_3232.html#kbF5vLdLzsYlhKzW.99

  54. Posted 18 janvier 2017 at 12:25 | Permalien

    Bonjour,

    L’article du Monde du 17/01/2017 « Comment Benoît Hamon a raboté son « revenu universel » ne manque pas d’intérêt.

    L’article indique les trois moments de ce « rabotage » :

    1ère version : 750 € mensuels pour tous

    Le 16 novembre 2016, un premier tract publié sur le site de campagne de Benoît Hamon fige la promesse de fixer un revenu universel de 750 euros par mois pour toute personne majeure :

    La
    proposition de Benoît Hamon concernant le revenu universel
    d’existence dans un tract du 16 novembre 2016.
    Deuxième version : 750 euros mensuels pour tous… « à terme »

    C’est la proposition qu’on trouvait encore sur le site de Benoît Hamon le 8 janvier :

    La
    proposition de Benoît Hamon concernant le revenu universel
    d’existence sur son site au 8 janvier 2017.

    Troisième version : plus question de 750 euros mensuels pour tous

    Mardi 17 janvier, on ne trouve plus trace de la version de sa proposition sur le revenu universel, qui était encore visible le 8 janvier. A la place, on trouve cette nouvelle formulation :

    La
    proposition de Benoît Hamon concernant le revenu universel
    d’existence sur son site au 17 janvier 2017.
    Si l’on regarde avec un peu d’attention cette nouvelle formulation, il n’est pas difficile, non plus, de constater que, le montant du « revenu d’existence » versée à tous les jeunes n’est pas précisé.

    Contrairement à ce qu’écrit l’article du Monde, le projet de Benoît Hamon, dans sa dernière version, n’est cependant pas l’équivalent du « revenu décent » de Manuel Valls. Il a un point commun avec ce dernier : il ne s’agit plus d’un « revenu universel » puisqu’il propose seulement l’augmentation du RSA, qui est une allocation versé sous conditions de ressources. Mais le projet de Hamon est différent sur deux points de celui de Valls : à la différence du projet de Manuel Valls qui se contente de regrouper les minima sociaux et les aides existantes, le projet de Benoît Hamon propose une augmentation de 10 % le RSA pour atteindre 600 € par mois. Il propose la création d’un « revenu d’existence » pour tous les jeunes de 18 à 25 ans, même si le montant n’en est pas précisé.

    La création d’un « revenu universel » est renvoyée à une « grande conférence citoyenne » qui permettra d’en « fixer le périmètre ».

    Le but de mon mail n’est pas d’alimenter une quelconque campagne publique contre Benoît Hamon. Il est simplement, entre nous, de constater que son projet de « revenu universel » ne tenait pas la route : déplacer de 350 milliards à 480 milliards d’euros annuels la répartition de la richesse en France n’est guère concevable dans le rapport de forces actuel, au-delà même de la discussion sur les avantages et les inconvénients d’un projet de « revenu universel ».

    Benoît Hamon, me semble-t-il, a adopté ce projet dans le but de convaincre une partie de la jeunesse de voter pour lui à la primaire. Aujourd’hui, il le vide subrepticement de son contenu en espérant, ainsi, à la fois garder le vote de certains jeunes et de répondre aux critiques sur le financement de son projet. Entre temps, il a abandonné la bataille pour les 32 heures par semaine qu’il défendait en septembre 2016.

    Amicalement,

    Jean-Jacques

  55. inkey
    Posted 18 janvier 2017 at 12:29 | Permalien

    «votre truc la France insoumise kesaco ? pas un parti, pas de liens avec le mouvement ouvrier, les syndicats ?
    »

    C’est aussi un peu votre boulot de vous renseigner.
    Si vous voulez rassembler la « gauche »… il va falloir le faire.

  56. sansressources
    Posted 18 janvier 2017 at 12:32 | Permalien

    GF 51
    d’accord avec toi, additionnons, tous derrière Méluche

  57. Posted 18 janvier 2017 at 12:35 | Permalien

    rigolo

  58. Posted 18 janvier 2017 at 12:35 | Permalien

    en plus faut se renseigner sur votre truc ?

  59. inkey
    Posted 18 janvier 2017 at 12:38 | Permalien

    «en plus faut se renseigner sur votre truc ?»

    Ça va être bien compliqué de faire l’union de la gauche si tu ne sait même pas à qui tu t’adresse.

    Tu peut nous reprocher d’avoir une vision caricaturale du PS, mais en attendant, tu ne sait même pas ce que nous somme.

  60. Posted 18 janvier 2017 at 12:49 | Permalien

    quels statuts ? quelles liens avec les syndicats ?

  61. Lilly54
    Posted 18 janvier 2017 at 13:17 | Permalien

    Quel rapport entre le combat contre Uber de Danielle Simonnet et votre soutien à Montebourg ? Si cet enfumage n’est pas volontaire, vous vous êtes trompé d’illustration d’un article.

  62. socrate
    Posted 18 janvier 2017 at 13:35 | Permalien

    lire que Melenchon ne voulait pas se présenter est d’une drolerie….
    quand on connait le melon du personnage…
    Melenchon a été ministre socialiste ; il n’était donc pas un homme opposé aux appareils comme il le prétend aujourdhui.
    il veut juste etre calife a la place du calife.
    Mais JLM n’est pas l’homme qui rassemblera la gauche.
    ses propos et son attitude aggressifs ne permettent pas d’obtenir une majorité derriere lui.
    Le rassemblement doit etre fait derriere quelqu un de la gauche sociale et Montebourg peut etre ce catalyseur.

  63. Dominique Babouot
    Posted 18 janvier 2017 at 13:46 | Permalien

    Ce qui est clair c’est que FI n’est pas un parti politique, ca dérange les vieux ringards qui pensent que seul le militantisme dans les partis peut aboutir à quelque chose, c’était peut etre vrai en 1905, plus maintenant.

    A cette époque l’idée de la création d’un parti des ouvriers était révolutionnaire, pourquoi, pare qu’elle était nouvelle et qu’elle était capable d’enthousiasmer les foules!

    Pourquoi plus maintenant, tout simplement parce que de l’au a coulé sous les ponts et que de plus en plus malheureusement les résultats ne sont pas là, alors oui ils n’enthousiasment plus, ils ne sont plus capables de mobiliser et on vote pour eux par défaut sans conciction, sans enthousiasme parce qu’on ne sait rien faire d’autre!

    A Fi, pas de carte, pas d’adhésion, pas de discipline de vote, on vient quand on veut, quand on n’en a envie, quand on est d’accord, quelle différence, quelle liberté!

    JLM parle mais il sait très bien que s’il décoit, aucun secrétaire de section, aucun maire ou conseiller municipal ne pourra « menacer » le militant insoumis récalcitrant pour le faire rentrer dans le rang!

    Contrairement à ceux qui vont participer à cette primaire, nous les insoumis on a un énorme avantage, on sait déja et de longue date pour quel programme on va voter et milité au printemps prochain.

    Les participants à la primaire eux attendent les résultats de dimanche prochain et du dimanche suivant, pour savoir si ils défendront grosso-modo le quinquennat ou s’ils proposeront autre chose!
    Pire pour certains ils expliqueront qu’ils sont contre mais qu’il faut quand meme voté pour parce que les autres sont pires!

    DE quoi mobiliser, beaucoup de monde en effet!

  64. thomine
    Posted 18 janvier 2017 at 14:15 | Permalien

    22 septembre 2016, 22:13

    tweet de Gérard Filoche : « vous voulez ma franche opinion ? Montebourg est souvent à droite de Hollande « . Fermez le ban.

    Que Montebourg vous a t’il promis ? en vérité, il avait besoin d’une voix d’ultra gauche car Hamon a attiré l’ex syndicaliste arcelor.

    Et comment expliquez-vous rejoindre quelqu’un dont vous disiez çà il ya 4 mois seulement ?

  65. thomine
    Posted 18 janvier 2017 at 14:21 | Permalien

    taxer les robots ? pendant qu’on y est il faudra aussi taxer Excel, access, les CRM, les ‘business objects’, tous les soft, les imprimantes 3D qui permettent de créer des macros, des algorythmes, qui permetttent des gains de productivité et d’automatiser beaucoup de tâches.

  66. Dominique Babouot
    Posted 18 janvier 2017 at 15:32 | Permalien

    Le ps et la CGT quel lien?

    A part de conspuer le ps dans la rue à propos de la loi El Khomery je n’en vois pas d’autres!

    Va parler du parti socialiste avec des militants de la CGT!

    Tu vas bien te faire recevoir!

    Et quand on dit qu’on n’est pas d’accord avec ce qui se dit!

    La réponse est toujours la meme condescendante!

    Comment peux-tu militer avec une organisation qui va contre tes convictions?

    Le lien entre syndicats et les partis socio-démocrates européens n’existe plus depuis belle lurette, on es gentiil a la cgt avec le militant du ps mais on attend avec impatience qu’il en sorte parce qu’on ne comprend pas qu’il soit!

  67. Posted 18 janvier 2017 at 15:36 | Permalien

    mais ça fait trois ans que je m’intéresse aux taxis et Uber, alors que Danielle y est venue aussi,
    lisez sur ce blog depuis longtemps,dans mon livre et je parle du nombre de medias ou de meetings ou j’aborde ce sujet

    donc, là, on s’est retrouvé là naturellement avec Danielle Simonnet ensemble, on a parlé a la tribune, unitairement, vous avez un problème avec ça ?

    Montebourg devait d’ailleurs venir ce lundi matin là mais il a été bloqué entre France inter et Mantes, du coup on est allé a Mac Donald avec lui, et puis on ira chez UBER avec lui ces jours ci

    et ce soir au meeting de Montebourg, ou je parle à 19 h dans le 19° M° Laumiére, le copain VTC anti Uber y parlera aussi comme le syndicaliste de Mac Do

    ce qui est extraordinaire c’est que vous osiez vous indigner de quoi que ce soit : et parler « d’enfumage » (sic),

    quand il y a l’unité, ça devrait vous réjouir si vous étiez normalement constituée

  68. Lilly54
    Posted 18 janvier 2017 at 15:59 | Permalien

    La dame vous demande : quel rapport entre cet article de soutien à Montebourg et la photo de Danielle Simonnet. Qui vous parle des taxis et d’Uber ?

  69. Posted 18 janvier 2017 at 16:16 | Permalien

    mais enfin en 2012 la majorité de la CGT votait Ps et parmi les syndiqués PS la majorité sont à la CGT

    et moi qui suis a la CGT depuis 54 ans et au PS depuis 22ans, je multiplie les formations et réunions CGT, je defends les positions de mon syndicat partout et je suis bien reçu

    aucun syndicat n’est lié a un parti depuis la charte d’Amiens, non ?

  70. Posted 18 janvier 2017 at 16:22 | Permalien

    je suis contre taxer les robots
    je suis pour taxer davantage le capital

  71. Posted 18 janvier 2017 at 16:27 | Permalien

    zut
    la photo a été prise au meeting d’Uber lundi matin ou je serre la main du responsable d’Uber, Danielle Simonnet se trouve fortuitement sur la photo,
    ou y a t il un problème encore une fois ?

  72. thomine
    Posted 18 janvier 2017 at 18:26 | Permalien

    22 septembre 2016, 22:13

    tweet de Gérard Filoche : « vous voulez ma franche opinion ? Montebourg est souvent à droite de Hollande « . Fermez le ban.

    Que Montebourg vous a t’il promis ? en vérité, il avait besoin d’une voix d’ultra gauche car Hamon a attiré l’ex syndicaliste arcelor.

    Et comment expliquez-vous rejoindre quelqu’un dont vous disiez çà il ya 4 mois seulement ?

  73. Lilly54
    Posted 18 janvier 2017 at 18:34 | Permalien

    Je pense que vous faites exprès de ne pas comprendre. Cette photo n’a pas de rapport avec l’article qui explique votre soutien à Montebourg. Point final. Et si vous pouviez rester poli, ce ne serait pas plus mal. Faut se calmer Monsieur Filoche.

  74. Posted 18 janvier 2017 at 18:37 | Permalien

    mais c’est inouï, on met les photos qu’on a et qu’on veut, et avec montebourg on est d’accord sur uber il devait venir il y viendra, et un uber parle au meeting

  75. Posted 18 janvier 2017 at 18:40 | Permalien

    mais il y a 4 mois j’etais très en colère contre lui, il nous évitait, n’avait pris part a rien, refusait d’abroger la loi el khomri, et a la rochelle j’ai fais un bilan serré de ses positions,
    il y a 4 mois j’aurais choisi benoit hamon,
    Montebourg a change ses positions et sa pratique a notre égard en bien, donc ça va et nous avons fait ce choix

    c’et sans problème pour qui n’est pas malhonnete

  76. Dominique Babouot
    Posted 18 janvier 2017 at 19:33 | Permalien

    Evidemment qu’il reste à la CGT des militants du ps, ils ne sont pas tous partis, bien que la réalité soit tout autre qu’en 1936 ou lors de la réunification CGT-CGTU, les membres de la CGT étaient majoritairement membres du ps.
    Mais est-ce que cela prouve d’autant un lien entre le parti socialiste et le syndicat CGT, pas plus d’ailleurs qu’il n’y a de lien entre la FSU et le PS ou entre la CFDT et le PS bien que le gouvernement Valls ait instrumentalisé la CFDT pour faire passer sa loi travail.
    Alors on pourra remarquer qu’il y a aussi des adhérents CGT qui sont membres du PCF ou du parti de gauche. La CGT et le PC ont longtemps été liés c’est une évidence, il fut un temps pas si lointain ou le secrétaire général de la CGT était automatiquement membre du CC et du bureau politique du PCF!
    De meme il y a fort à parier qu’il y a des militants CGT non encartés dans les partis politiques qui appuient la démarche de FI et qui soutiennent la candidature de JLM.
    Alors on pourrait dire qu’il y a un lien entre le syndicat CGT et FI!
    C’est stupide!
    Il n’y a pas plus de lien entre FI et la CGT qu’il y en a le PS et les syndicats!

    Alors poser cette question à propos du mouvement FI est tout aussi ridicule!

    Ce n’est plus le lien avec les syndicats qui caractèrise la nature de gauche d’un mouvement politique, cela a été, cela ne l’est plus!

    700000 adhérents à la CGT!

    Combien au ps au pc au pg chez les verts?

  77. Posted 18 janvier 2017 at 19:58 | Permalien

    Après la gifle d’hier, manuel Valls en essuie une autre ce matin, verbale cette fois, à l’occasion d’une invitation à s’exprimer sur France Inter. Un auditeur, un dénommé Guillaume de Grenoble l’interpelle :
    “Salut Manu (…) moi je pense que la claque, on était 66 millions à vouloir te la mettre. C’était juste trop bon. Il a été parfait, le bonhomme”

    On ne peut pas fustiger la violence, lorsque soit même en tant que 1er ministre, on a violé la démocratie avec le 49.3 et piétiné les droits des citoyens à être entendus !!!

    Ce jeune homme a été interpellé pour le chef de  » violence envers une personne dépositaire de l’autorité publique ! »

    Manuel Valls ayant démissionné de son poste de 1er ministre, il n’est plus dépositaire de l’autorité publique ! Il est juste redevenu un citoyen lambda comme les autres !

    Par conséquent ce chef d’accusation est une grave erreur d’appréciation qui démontre que des droits particuliers sont accordés à ceux qui se considèrent comme appartenant à une élite, très au dessus des citoyens, ce qui dans une démocratie est inacceptable !

  78. J. Nesta
    Posted 18 janvier 2017 at 20:11 | Permalien

    SAuf que ça fait malhonnète malheureusement pour M. Montebourg et vous.
    Pour tous ceux ayant participé aux manifestations contre la loi travail, Montebourg est presque un traitre ! Pendant que nous nous étions dans la rue à affronter contre notre gré les lacrymos et les CRS de Valls, lui et Hamon n’agissait pas ! Ni dans la rue aux cotés des militants, ni en votant la motion de censure de la droite.
    Pour beaucoup de gens, c’est un retournement de veste magistral ! Qui comme de par hasard intervient en vue de leur candidature à la présidentielle !
    Hamon et Montebourg ne pourrons pas décrocher cette étiquette avant la présidentielle, je doute alors qu’ils puissent rassembler autant que vous le penser.

    Concernant la candidature de Mélenchon que vous estimée abusive et décidée par son unique fait : http://melenchon.fr/2016/10/25/melenchon-parti-seul-a-presidentielle-de-lamnesie-collective/

  79. thomine
    Posted 18 janvier 2017 at 20:35 | Permalien

    http://www.lepoint.fr/societe/montebourg-fait-sa-rentree-des-classes-a-l-insead-03-11-2014-1878323_23.php

  80. Bobby
    Posted 18 janvier 2017 at 21:35 | Permalien

    « Montebourg a change ses positions et sa pratique ».

    On disait cela aussi d’Hollande en 2012, on a vu le changement…
    Ceci dit avec toi tout est simple, c’est comme l’appartenance à la gauche, c’est selon toi déclaratif.
    Son changement de position et sa pratique, pareil, ça doit être déclaratif aussi, peu importe le passé.
    Malheureusement pour les « déclaratifs » le passé éclaire toujours le futur, on l’a encore vu depuis 5 ans, de Montebourg compris.
    Mais bon,

  81. inkey
    Posted 18 janvier 2017 at 21:38 | Permalien

    «mais il y a 4 mois j’etais très en colère contre lui, il nous évitait, n’avait pris part a rien, refusait d’abroger la loi el khomri, et a la rochelle j’ai fais un bilan serré de ses positions, c’est fine c’est sur internet ça se vérifie rien a changer a l’époque mais
    depuis les campagnes ça sert a ça
    il y a 4 mois j’aurais choisi benoit hamon,
    Montebourg a change ses positions et sa pratique a notre égard en bien, donc ça va mieux et bien et nous avons fait ce choix assumé

    il faut voter pour battre valls

    c’et sans problème pour qui n’est pas malhonnete»

    Comprenez que ce 2 poids 2 mesures dans votre traitement entre candidats PS opportuniste auquel vous vous ralliez et le candidat de gauche qui défend une position analogue a la votre de façon bien plus constante et que vous vous permettez d’insulter … est tout bonnement incompréhensible pour beaucoup.

    L’union ne fait pas tout, sans une assez forte garantie de ne pas rejouer le même jeu pourri qu’en 2012, l’union de la gauche n’a pas grand intérêt et ne se fera pas.

    A vous de démontrer que le PS peut donner cette garantie, pour ma part, je n’y crois plus.

  82. Posted 19 janvier 2017 at 11:15 | Permalien

    mais si votre truc c’est de ne pas voter, c’est bête a nos yeux,
    ne venez pas critiquer on avait le choix entre arnaud et benoit, on a choisi celui qui nous convenait le mieux sans les opposer,
    si benoit gagne nous voterons benoit
    mais aujourd’hui nous préférons arnaud

  83. Posted 19 janvier 2017 at 11:15 | Permalien

    oui, et alors, tu restes sous ta couette pour toujours ?
    montebourg s’est opposé a Hollande et aux puissants, aujourd’hui ça nous va

  84. Posted 19 janvier 2017 at 11:17 | Permalien

    oui et alors, ça a a voir avec el khomri, 49 3, la feuille de paie, et le programme commun de gouvernement ?
    on vote pour arnaud le 22 janvier c’est clair net et c’est tout

  85. Posted 19 janvier 2017 at 11:19 | Permalien

    mais alors, il s’agit du vote du 22 janvier pas d’un blanc seing sur la vie
    il faut voter pour battre Valls et nous avons un seul bulletin,
    il fallait choisir entre benoit et arnaud on l’a fait

    tous vos autres trucs sont hors sujet

  86. Val
    Posted 19 janvier 2017 at 13:11 | Permalien

    « Il fallait choisir entre benoit et arnaud »

    Pourquoi vous sentiez vous obligé ? Mélenchon défend des positions beaucoup plus claires et proche que les vôtres mais vous l’ignorez. Vos combines politiciennes sont nulles… Vous pouviez aussi le soutenir, dans la vie tout est possible. Parce que la logique de la primaire est la suivante : même si Montebourg gagne, Valls le soutiendra. Je ne peux concevoir qu’on puisse voter pour un quelconque candidat soutenu par Valls. Peu importe le gagnant de la primaire PS, il sera mort-né.

  87. jean-jacques
    Posted 19 janvier 2017 at 13:54 | Permalien

    Gérard , j’irais voter à la primaire pour te soutenir dans ton combat mais je déplore Ayrault et Cie qui ne se rallieront pas à l’élu de la primaire . C’est trahir tous les électeurs qui les ont fait . Et Camba la boucle …..

  88. socrate
    Posted 19 janvier 2017 at 14:10 | Permalien

    Melenchon revendique les voix de 2012 pour se représenter en 2017
    Il expose les problèmes avec le PCF pour faire cavalier seul.
    Mais s il suffisait d’avoir fait des voix a une élection pour se déclarer 5 ans apres Hollande se serait représenté…
    donc ça ne tient pas
    et les problèmes entre le FDG et le PCF ne justifie pas non plus une autoproclamation de candidature.
    J’ajoute que lorsque j’ai essayé ce point de vue sur le blog de JLM jamais il a été publié …
    Montebourg ne représente pâs pour moi le candidat idéal du PS mais c’est le moins pire.
    Il a essayé d’infléchir la politique de Hollande comme ministe et il a échoué mais il a essayé.
    On ne peut pas en vouloir a quelqu’un qui essaie.

  89. Hasta la victoria
    Posted 19 janvier 2017 at 16:02 | Permalien

    Gérard,

    D’un militant à un autre et pour résumer, étant établi que le programme du PS n’existe pas, la ligne de conduite est-elle la suivante ?

    1) Au premier tour de la primaire (sic), on vote contre Valls.
    2) Au second tour de la primaire, on vote contre Peillon (ou Valls).
    3) Au premier tour de la présidentielle, on vote contre Macron / Fillon.
    4) Au second tour de la présidentielle, on vote contre Fillon.

  90. Anastasia
    Posted 19 janvier 2017 at 16:22 | Permalien

    Vous n’avez pas trouvé de photos avec Montebourg pour appuyer sa campagne, normal celui qui « est à droite de Hollande » et que vous avez souvent critiqué à raison lorsqu’il était ministre de Hollande pour ses prises de position ( Alstom, 35h,… ) n’a jamais mis les pieds dans une manif contre la loi travail et pour cause, il n’était sûrement pas vraiment contre ( un code du travail différent selon la taille des entreprises )… Décevant très décevant Gérard Filoche…

  91. Anastasia
    Posted 19 janvier 2017 at 16:38 | Permalien

    Au fait, merci de faire la campagne de Jean-Luc Mélenchon avec la photo de Danielle Simonnet. Il me semblait étrange que vous puissiez faire campagne avec celui surnommé « la girouette » et pour cause… Tscg, ANI, reformette bancaire, CICE, pro-nucléaire…en retournant ainsi votre veste après l’avoir si souvent critiqué.
    « J’ai changé » qui pourrait croire encore à de telles inepties après tous ces revirements…

  92. Anastasia
    Posted 19 janvier 2017 at 16:46 | Permalien

    Voilà, voilà, je pose ça là :  » Pour ce politologue, une victoire d’Hamon ou de Montebourg « risque, paradoxalement, d’accélérer la décomposition du PS ». Explication : « Même si certains caciques comme Anne Hidalgo ou Jean-Marc Germain sont assez proches des frondeurs, plusieurs sources internes m’ont assuré que, jamais, la base des notables du parti n’acceptera de soutenir Hamon ou Montebourg, quoi que fasse ou dise Cambadélis. Il faudra donc s’attendre à un basculement spectaculaire du PS vers Emmanuel Macron. »  » Rémi Lefebvre politologue et spécialiste du PS.

  93. Posted 19 janvier 2017 at 18:10 | Permalien

    mais t’es a cote de tes comptes

    il faut choisir entre arnaud et benoit les 22 et 29 janvier

    ou as tu vu que melenchon était candidat

    il a refusé depuis le 21 janvier dernier toute unité, ce qui va tuer la gauche, et… le tuer lui melenchon avec

    y’a rien de politicien a vouloir battre valls, au contraire ce qui l’est c’est de refuser le bulletin de vote qui permet de sanctionner le bilan du quinquennat, el khomri, le 49 3 etc

    vous est des sacrés magouilleurs bien maladroits et sans principe, en ne votant pas d’aider valls pour promouvoir melenchon qui … coulera a cause de ça le 23 avril à 20 h

    C’est simple si on ne bat pas Valls le 22 ou le 29 janvier, l’unité est impossible ensuite a gauche et donc il y aura Valls et Mélenchon en course le 23 avril, Valls sera derrière JLM mais avec assez de voix pour nuire et pas assez de voix pour gagner : on perd donc tous et toutes c’est le désastre complet le 23 à 20 h et on n’a plus que le choix entre Fillon et FN

    JL. Mélenchon appelle à « ne pas aller à la primaire du PS ». J.L. Mélenchon protège Manuel Valls après avoir appelé Hollande à se présenter, et avec l’espoir de voir Macaron rafler la mise pour se partager les dépouilles, achevant ainsi le sale travail du gouvernement Hollande-Valls.
    Si J.L. Mélenchon voulait gagner contre Fillon, Le Pen et Macron, il appellerait à battre Valls à la primaire du PS et proposerait l’unité au vainqueur. Que toutes celles et ceux qui envisagent de voter J.L. Mélenchon au premier tour de la présidentielle parce que, eux, ils veulent réellement gagner contre le capital, la droite et le patronat, désobéissent à toutes les injonctions des tenants de l’ordre établi et aillent voter à la primaire du PS, pour l’abrogation de la loi El Khomri et le dernier règlement de comptes avec M. Valls. Insoumis, c’est le moment de montrer que vous l’êtes réellement : comportez-vous enfin en insoumis et affrontez l’ordre établi !

    En plus, Jlm intronise Macron comme candidat « sérieux » et qu’il respecte (ipse dixit) opposé à lui l’auto-proclamé candidat et représentant des « insoumis », sans souligner ce qu’il y a de ridiculement personnaliste dans la candidature de ce blanc-bec dont le seul véritable mérite c’est de n’avoir jamais rien fait et, fort de cette vacuité, de cracher son mépris dégueulasse sur les couches populaires. Un tel positionnement montre assez combien Jlm est surtout préoccupé par la promotion de sa petite personne et qu’il se préoccupe peu de diviser la gauche et de faire gagner la droite. Son radicalisme qui s’affadit de plus en plus au fur et à mesure où l’échéance approche, est un leurre, un trompe-l’oeil!

  94. Posted 19 janvier 2017 at 18:14 | Permalien

    1°) on vote contre valls pour montebourg (ou hamon)
    2°) Valls éliminé c’est soit montebourg soit hamon
    3°) alors on peut négocier un programme commun de gouvernement avec Mélenchon et jadot
    4°) on négocie le casting qui est président et premier ministre vu qu’on est tous pour la 6° république
    5°) on rediscute toute les candidatures aux législatives : pour un seule par circonscription avec le label « programme commun de gvt de la gauche unie » (soit pas consensus soit par primaires locales)

  95. Posted 19 janvier 2017 at 18:16 | Permalien

    Montebourg est aujourd’hui pour l’abrogation totale de la loi EL Khomri, un code du travail universel
    il est pour la feuille de paie et un salaire pour tous (pas un RU)
    il est pour un accord de gvt avec Mélenchon et jadot

    nul ne vote pour sa biographie mais parce qu’il y a un bulletin de vote pour battre valls le 22 ou et le 29 et c’est l’essentiel

  96. Posted 19 janvier 2017 at 18:18 | Permalien

    si voyez les photos avec montebourg avec moi mardi pour soutenir les jeunes de mac do pour 13 euros de l’heure et leur 13° mois
    et on ira soutenir les VTC contre Uber
    et simmonet c’est bien qu’elle s’occupe de ça aussi, pas de souci

  97. Posted 19 janvier 2017 at 18:19 | Permalien

    peut etre..

    on verra

    si on peut prendre l’appareil suite à la victoire de BH ou de AM ça sera bien aussi

  98. Anastasia
    Posted 19 janvier 2017 at 19:17 | Permalien

    Pari risqué que cette primaire, inefficace et peut-être même nuisible, en somme une mascarade avec Micron le bankster en guet-apens. « Prendre l’appareil », voici écrit noir sur blanc, votre véritable motivation.
    Le NPA n’a pas tort, logique opportuniste, décevant.

    « Pour ce politologue, une victoire d’Hamon ou de Montebourg « risque, paradoxalement, d’accélérer la décomposition du PS ». Explication : « Même si certains caciques comme Anne Hidalgo ou Jean-Marc Germain sont assez proches des frondeurs, plusieurs sources internes m’ont assuré que, jamais, la base des notables du parti n’acceptera de soutenir Hamon ou Montebourg, quoi que fasse ou dise Cambadélis. Il faudra donc s’attendre à un basculement spectaculaire du PS vers Emmanuel Macron. » » Rémi Lefebvre politologue et spécialiste du PS.

    De plus, aucune confiance ni en Montebourg, ni en Hamon, les deux anciens ministres du PS, ce à quoi vous m’aviez répondu, il y a quelques mois, que j’avais bien raison. Logique opportuniste, en effet, de votre part. Terriblement décevant.
    Le PS m’a convaincu de voter Mélenchon, c’est ce je ferai et nous sommes très nombreux dans ce cas. À vous de vous rallier à lui, après la primaire, si vous voulez réellement faire gagner la gauche. Basta les logiques d’appareil.

  99. Hasta la victoria
    Posted 19 janvier 2017 at 19:21 | Permalien

    Gérard,

    Je suis content que l’on arrive à discuter sur quelque chose, je prolonge donc la numérotation.

    1) Ce 4ème filtre pour ne pas voter pour des idées, mais contre une personne ? Admets-tu l’idée que l’on ne risque pas de convaincre/mobiliser des consciences politiques sur la durée avec ça.

    2) Je ne me risquerai pas à ce corolaire. On en rediscute sans faute le 29.

    3) ??
    - Il faudrait déjà que l’on ait un programme « socialiste », non ?
    - Les insoumis-es considèrent (à raison m’est avis) que toute compromission avec le PS détruira tout ce pourquoi ils ont péniblement lutté, leur crédibilité avec.
    - Accessoirement, l’élection présidentielle arrive 3mois après. Tu fais campagne quand et comment en attendant ?

    Ce programme « commun » est matériellement dépourvu de toute rationalité. En l’état, c’est une pensée magique.

    4) Ce n’est pas un casting ! & beaucoup ne veulent certainement pas de la pseudo-VIe République de Montebourg, mais d’une Constituante populaire.

  100. Posted 19 janvier 2017 at 19:29 | Permalien

    3) le programme commun c’est le plus faible a faire s’il y aune volonté, deux ou trois jours suffisent
    on l’a déjà avec l’appel des cent et 50 mesure roses rouges vertes

    mais sans alliance avec les socialistes, vous perdrez toujours, toute votre vie

    Podemos eclate la dessus, parce qu’ils n’ont pas voulu s’allier avec le PSOE, et la droite dirige alors qu’elle était en minorité, c’est terrifiant

    tandis qu’au Portugal, la gauche PCP PSP BdG gouverne !!! a lisbonne il y a un gouvernement montebourg melenchon laurent jadot

    Financial Times 2 janvier 2017 12h04
    Costa déconcerte la critique parce que l’économie portugaise conserve son élan
    Peter Wise à Lisbonne
    Des inquiétudes demeurent, mais anti-austérité premier socialiste a dépassé les attentes
    © EPA
    Quand António Costa a prêté serment en tant que Premier ministre du Portugal en Novembre 2015, ses adversaires présentèrent le leader socialiste comme un aventurier téméraire qui avait gagné le pouvoir au moyen d’un pacte diabolique avec les communistes et la gauche radicale.
    « J’espère ne pas être convoqué de nouveau pour une maison en flammes », a déclaré Pedro Passos Coelho, le Premier ministre de centre droit sortant qui avait conduit le Portugal au travers d’un plan de sauvetage très austère [initialisé] par l’UE et le Fonds monétaire international.
    Pour l’instant, il n’y a pas eu de feu. Un an plus tard, M. Costa bénéficie de sondages d’opinion, dont d’autres dirigeants de centre-gauche de l’Europe ne peuvent que rêver. Son alliance anti-austérité a tenu ferme et, de l’avis de Pedro Nuno Santos, un fonctionnaire du gouvernement, le Portugal est devenu «un îlot de stabilité » dans un monde troublé.
    « Nous avons montré qu’une alternative [à l'austérité] est possible», a dit le Premier ministre. Les partis anti-élite tels que Podemos en Espagne voit le gouvernement de M. Costa comme un modèle à imiter, tandis que Jeremy Corbyn, le chef du parti travailliste, dans l’opposition en la Grande-Bretagne, l’a salué comme le début d’une «coalition anti-austérité à travers l’Europe ».
    Les opposants ne sont pas convaincus. M. Passos Coelho, aujourd’hui leader de l’opposition, a dit lors d’une conférence le mois dernier qu’il était « presque certain qu’il y aura une autre crise de la dette» en Europe, ajoutant que le Portugal devrait se préparer à une telle éventualité.
    Les créanciers internationaux, les marchés financiers et les agences de notation sont également sceptiques. Ils craignent que la croissance économique modeste du Portugal – prévue par la Banque du Portugal à 1,2 pour cent pour 2016 – est trop faible pour soutenir une dette publique de plus de 130 pour cent du produit intérieur brut. Les préoccupations relatives à un secteur bancaire fragile en proie à des prêts à problèmes poussent également les coûts d’emprunt du gouvernement.
    Les rendements des obligations d’Etat à 10 ans de référence du Portugal approchait de 4 pour cent le mois dernier lorsque la Banque centrale européenne a déclaré qu’elle diminuerait le montant des obligations du gouvernement qu’elle achète. Les critiques soutiennent que la dette, la croissance maigre et la faiblesse des banques rendent le pays très vulnérable. Un économiste de Lisbonne dit: « tout choc – banques italiennes, élections françaises – pourrait précipiter une crise. »
    Quelles que soient ces doutes, M. Costa a incontestablement dépassé les prévisions initiales faites pour son gouvernement socialiste minoritaire, qui dépend des votes parlementaires du Bloc de gauche et du parti communiste pur et dur. Bien que les probabilités étaient élevées de voir ce partenariat improbable échouer, le premier ministre a déjà défié la plupart des critiques simplement en survivant avec une deuxième année au pouvoir.
    En chemin , il est passé vu à travers deux budgets approuvés par Bruxelles, et a évité la menace de sanctions de l’ UE pour les déficits budgétaires excessifs. Le FMI prévoit que le déficit de 2016 tombera confortablement en dessous de 3 pour cent du PIB, en baisse par rapport à 4,4 pour cent en 2015, le « niveau le plus bas en 42 ans de démocratie», comme M. Costa décrit, « et l’ un des meilleurs résultats en Europe du Sud ».
    Durant son gouvernement le chômage a baissé de 12,6 pour cent à environ 10 pour cent et plus de 90.000 emplois ont été créés, selon les estimations du gouvernement. Une administration soutenue par des partis de la gauche dure qui font pression pour une restructuration de la dette et des lois plus sévères travail n’a pas non plus effrayé les grandes entreprises étrangères, y compris Volkswagen , Continental et Bosch, qui ont augmenté l’ investissement au Portugal, ou ont dit qu’ils envisagent de le faire, depuis que M. Costa a pris ses fonctions.

    «Le fait que le déficit budgétaire est maintenant sous contrôle, et que les exportations vers la zone euro ont été très dynamique, montrent que le scepticisme au sujet du nouveau gouvernement a été largement exagérée», dit Ricardo Paes Mamede, un professeur d’économie de Lisbonne.
    M. Costa a bénéficié d’un changement d’attitude au sujet de la sévérité de la discipline budgétaire. « Compte tenu des incertitudes politiques dans de nombreux pays, l’Europe a choisi de mettre moins l’accent sur l’austérité qu’auparavant», explique Holger Schmieding, économiste en chef chez Berenberg.
    Le Premier ministre accuse les politiques d’austérité d’avoir les «maintenu les économies déprimées et les sociétés divisées» et insiste sur le fait que sa stratégie de croissance est compatible avec les règles budgétaires de la zone euro.
    Son succès dans les sondages et la hausse de la consommation privée doit beaucoup au recul des mesures d’austérité introduites au cours du programme d’ajustement 2011-2014. Il a agi rapidement pour rétablir les salaires du secteur public, le nombre d’heures de travail, les vacances et les pensions de l’État aux niveaux pré renflouement. Les réformes du marché du travail ont également été inversés.
    M. Schmieding met en garde: « Malheureusement, cela est exactement la mauvaise façon pour attirer suffisamment les investissements étrangers pour se rapprocher, par exemple, des taux espagnols de la croissance du PIB. »
    Selon l’UE et le FMI, M. Costa atteint les objectifs budgétaires en gelant la consommation publique intermédiaire dans des domaines tels que la santé et en restreignant les investissements publics. Les critiques craignent que cela joue sur le problème beaucoup plus important de la dette publique. « Il est comme une famille qui dirait qu’elle n’a dépensé plus que € 1000 qu’elle a gagné, pendant que sa dette bancaire augmenterait de € 5000, » a dit un universitaire.
    Pourtant, les premiers succès de M. Costa, dit M. Paes Mamede, suggèrent que «même dans les conditions strictes de l’union monétaire européenne, il y a plus d’une façon de diriger un pays. »

  101. Posted 19 janvier 2017 at 19:31 | Permalien

    oui vous aviez bien raison mais en meme temps il faut battre valls
    et des que je ne suis plus candidat il faut choisir
    on a un seul bulletin on a choisi montebourg

  102. CRAYENCOUR
    Posted 19 janvier 2017 at 19:52 | Permalien

    Tu négliges un paramètre; les tenants de l’aile droite commencent déjà à laisser entendre qu’ils préfèreront Macron à Montebourg ou Hamon si l’un des deux était choisi!!! Quand à soutenir une candidature commune avec Mélenchon; n’en parlons même pas. Cambédélis en a rajouté une couche en disant que quelque soit l’élu de la primaire, il était hors de question qu’il s’efface derrière un autre candidat de gauche!
    Par ailleurs, les poids lourds et figures de la gauche du PS (Aubry, Emmanuelli, etc…) sont bien silencieux!
    Enfin, Hidalgo, réputée à gauche au PS soutient Peillon; c’est dire ce que signifie le mot gauche au PS!!!

  103. Dominique Babouot
    Posted 19 janvier 2017 at 21:03 | Permalien

    « Podemos eclate la dessus, parce qu’ils n’ont pas voulu s’allier avec le PSOE, et la droite dirige alors qu’elle était en minorité, c’est terrifiant »*

    Gérard tu peux penser et diore ce que tu veux de la politique francaise, mais je t’en prie, vas en espagne avant de porter des jugements à l’emporte- pièce!

    Les élections espagnoles aussi bien celles de décembre 2015 que celles de juin 2016 ont placé le PP en tete, (encore plus largement la deuxième fois!

    AUCUNE MAJORITE N’ETAIT POSSIBLE SANS L’ABSTENTION MINIMUM DU PP QUI BIEN SUR DISAIT QUE C ETAIT A LUI DE GOUVERNER.

    La gauche espagnole était incapable de’avoir une majorité meme si elle s’alliait avec les indépendantistes basques et catalans!

    Il faut savoir d’ailleurs que aussi bien au pays basque qu’en Catalogne, les indépendantistes sont des libéraux pour moitié.

    En suite je ne peux pas te laisser dire que PODEMOS a refusé un gouvernement avec le PSOE, c’est les barons socio-libéraux du PSOE, notamment la présidente d’Andalousie qui n’en voulaient pas, ce sont eux qui ont imposé à Sanchez l’abstention à l’investiture de Rajoy parce qu’ils ne voulaient pas de nouvelles élections ou ils risquaient de perdre encore et de sefaire doubler par PODEMOS!

    C’est cette éventualité quand elle se produira qui permettra de débloquer la situation comme en Grèce!

    La situation en Espagne n’est pas du tout la meme qu’au Portugal!

    Seul une scission du PSOE permettra de débloquer la situation à gauche, d’ailleurs les socialistes catalans se sont rangés à gauche, ils ont voté contre l’investiture de Rajoy!

  104. Posted 19 janvier 2017 at 21:12 | Permalien

    oui tout ça travaille au corps dans le mauvais sens c’est vrai
    mais nous aussi on travaille, dans le bon sens

  105. Dominique Babouot
    Posted 20 janvier 2017 at 12:08 | Permalien

    Ca va on a compris!
    Gerard Filoche et ses amis ont etabli comme postulat depuis 1994 que c’est en passant par le ps qu’on changera les choses en France !
    Ils n’en demordent pas!
    C’est un principe theorique un postulat sur le quel ils regusent de discuter!
    C’est comme lorsqu’on discute de religion, l’observation d’un dogme quoi sûil advienne!
    Les conditions peuvent changer, rien n’y fait!
    L’effacement du ps est en cours, quelqiesoot le vote de demain et de Dimanche prochain!
    D’apres les sondages, non seulement, le vainqueur de cette consultation n’arrivera pas au second tour mais il ne sera meme pas troisieme et depasse par un candidat de gauche hors ps!
    Mais rien n’y faitt, s’il reste un dernier carre, ils en seront quoi qu’il arrive!
    J’ai quitte autrefois le pc a cause
    De cela, je ne milite pas avec des organisations groupusculaires!
    Le pc j’etais grosso modo d’accord avec la ligne polotique, alors le ps raison de plus pour ne pas y rester!
    Cette fois, je m’eloigne et c’est pour de bon!
    Dix ans tout de meme a me
    Bercer de chimeres!
    Les citoyens de
    Ce pays ont acheve de me convaincre!
    Quitter le ps c’est maintenant!
    Bon vote pour demain!
    Je n’en serai pas!

  106. Posted 20 janvier 2017 at 13:15 | Permalien

    mais meme pas ! on a aucun attachement a ce PS
    aucun
    on sera peut etre hors du PS le 4 février
    ou bien on sera a sa direction
    on suit une ligne politique, nous D&S
    on defend invariablement cette ligne la ou on est
    ce n’est pas l’appartenance au PS qui nous guide,
    c’est la ligne politique que nous croyons juste et nous la défendons partout ou on peut, out on doit, on il le faut
    ce qui est curieux que tu fais partie des gens qui raisonnent appareil, pas nous
    nous on défend la meme ligne, les memes analyses, ce sont elles qui nous guident,
    l’appartenance a un parti est subordonnée a cet objectif
    pas l’inverse

  107. Posted 22 janvier 2017 at 8:16 | Permalien

    c’est vraiment dément comme niveau de raisonnement, vraiment

One Trackback

  1. [...] que lui a joué la Rue de Solferino, fidèle à son habitude depuis 1994 et son entrée au PS, Filoche a fini par rentrer dans le rang… et annoncé son soutien à Montebourg. Que l’inspecteur du Travail anti-licenciements finisse par appuyer la candidature de celui qui a [...]

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