La guerre mondiale à laquelle provisoirement nous avons échappé à 10′ près jeudi 20 juin…menace toujours

ainsi donc, insouciants, nous avons échappé hier, sans être prevenus, au début d’une nouvelle guerre mondiale, le capitalisme et Trump, c’est la guerre, la barbarie, la mort de la planète, 2000 milliards d »armement/an, et hier Trump a joué à Dr Folamour contre l’Iran.

 

6 Commentaires

  1. Posted 21 juin 2019 at 22:04 | Permalien

    J’aimerais que cet abruti implose avant qu’il ne commette l’irréparable. On frôle l’apocalypse toutes les deux secondes avec ce dégénéré… C’est un peu comme le notre, quand il va partir ne resteront que des ruines et des gens malheureux…

  2. Posted 21 juin 2019 at 22:08 | Permalien

    mais c’est ça le capitalisme, c’est la guerre

  3. Posted 22 juin 2019 at 8:41 | Permalien

    Bonjour,
    Débat avec JMG (France Insoumise) sur démarche citoyenne (à la base) et démarche partisane (au sommet) pour les municipales.
    Jean-François Blanco et quelques personnalités connues à Pau ont pris l’initiative d’appeler à la constitution d’une liste de toute la gauche, selon une démarche citoyenne, pour les municipales à Pau. ,
    JMG défend l’idée de la constitution, autour du programme municipal proposé par France Insoumise, d’une liste qui se présente, selon une démarche citoyenne, aux municipales de Pau,
    La liste proposée par FI serait, quoi qu’il dise, une liste de gauche. Y aura-t-il à Pau deux listes de gauche ? Ceci assurerait à François Bayrou et à l’alliance LR-LREM une victoire facile.
    Amitiés,
    Pierre Ruscassie
    ———————————-

    Message de JMG :

    Les deux listes ont-elles vraiment les mêmes objectifs ? L’une veut faire l’union de la gauche, l’autre veut fédérer le peuple, les citoyens. L’une a manifestement déjà attribué les premières places de sa liste, l’autre non. L’une propose une démarche citoyenne pour la mettre au service d’un homme, d’une ambition personnelle, l’autre vise à impliquer les citoyens dans la construction et la gestion de leur avenir local. L’une propose un contrôle citoyen sur les actions menées par le Conseil municipal, l’autre ne propose rien de tel.
    […] . Et on n’est surtout pas dans une course de vitesse, mais dans la construction patiente des conditions qui permettront aux idées de LFI d’arriver au pouvoir !

    Réponse de Pierre Ruscassie :

    Ci-dessus, JMG suppose qu’il y a 2 listes. C’est peut-être son objectif, mais pour le moment il n’y en a aucune. Et j’espère qu’il y en aura une seule pour avoir une chance de gagner.
    JMG affirme que la démarche initiée, lancée par Jean-François Blanco, veut faire l’union de la gauche, en lui donnant le sens d’un accord entre des partis discrédités.
    JMG fait ici une confusion. Comme de 1972 à 1977, l’union de la gauche serait un contrat entre partis, une unité des directions des partis de la gauche, c’est-à-dire une unité au sommet, entre appareils, avec très peu d’unité à la base (pas de comités unitaires citoyens).
    Or la démarche initiée par Jean-François Blanco veut commencer par unifier la gauche, c’est-à-dire unifier le « peuple de gauche », non autour des partis de la gauche trop discrédités, mais autour de personnalités représentatives. Ce n’est que dans un second temps que devra se réaliser l’unité des partis, sous la forme du soutien à la démarche puis à la liste, qu’ils apporteront publiquement, s‘ils le veulent.
    JMG soutient une démarche qui « veut fédérer le peuple, les citoyens ». Tous les citoyens ? Même ceux de droite ? Mais ce sont les citoyens de gauche que nous devons mobiliser. Nous devons déjà convaincre ceux qui sont de gauche, mais sont abreuvés par la propagande de la droite et des carriéristes, pour éviter d’introduire nos ennemis dans notre camp.
    JMG affirme qu’une des 2 démarches « a manifestement déjà attribué les premières places de sa liste ». Mais, s’il vise la démarche initiée par Jean-François Blanco, il se trompe. Quelle est sa source puisqu’il dit que c’est manifeste ? Si une telle tentative avait été faite, nous aurions été nombreux à l’empêcher. La première place n’est même pas décidée et sera soumise à un vote. Nous sommes loin d’une ambition personnelle.
    Affirmer quand on ne sait pas, c’est croire à un ragot, c’est participer à une entreprise de dénigrement puisqu’on ne possède pas de preuves. C’est préparer la place pour une deuxième liste de gauche dont la présence assurerait la victoire de Bayrou. Faut-il vraiment marquer des points contre notre camp ?
    Quant au contrôle citoyen sur le Conseil municipal c’est un projet qui sera discuté et mis au point.
    J’attends la réponse de JMG à mes questions et à mes explications.

  4. Posted 23 juin 2019 at 10:04 | Permalien

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    Bonjour,

    J’ai fait une réponse trop rapide à votre dernier message. Je voudrais
    ici la compléter.

    J’ai adhéré pendant 25 ans au parti socialiste avec une période de 3
    ans de militant à la section de Talant , ville située à coté de Dijon.

    J’ai fini par ne plus aller à ces réunions parce que je prends rarement
    la parole en public et entendre des culs-bénis s’exprimer ne
    m’intéressait pas.

    Ce qui s’est passé en 2017 avec l’élection de Macron et l’éclatement de
    la gauche en petites particules m’a beaucoup touché. Maintenant la
    politique n’est plus qu’une bataille de personnes qui cherchent avant
    tout une bonne place bien payée.

    Tout est chamboulé par la politique de ce gouvernement et çà ne va pas
    dans le bon sens.

    J’aime beaucoup les commentaires de Gérard Filoche, homme de
    convictions, mais tant que la gauche est dispersée elle a peu de chance
    de retrouver le pouvoir.

    Je n’irai pas à la coordination de GDS à Paris le 22 juin parce que j’ai
    vieilli et que je suis affecté par différentes maladies.

    Je continuerai par contre à suivre le travail et les actions de GDS.

    Cordialement

  5. Posted 23 juin 2019 at 11:34 | Permalien

    Bonjour

    Voici une proposition de compte-rendu de la réunion. Je suis en train de travailler une 1ère version d’un texte d’appel, que nous devrons d’abord discuter dans le petit groupe de travail.

    Merci à Daniel Rallet d’avoir rassemblé toutes les adresses email. Nous allons en faire une liste de travail ad hoc.
    Aurélie (Attac)

    19 juin, réunion de discussion sur une campagne commune contre la privatisation des aéroports de Paris
    Prochaine réunion : mercredi 3 juillet 18h

    Présents : CGT, PG, Pour une écologie populaire et sociale, Femmes égalité, POID, Fakir, Fête à Macron, Union communiste libertaire, Convergences services publics, Ensemble, Diem25, Alternatiba, Solidaires, FSU, GDS, République et socialisme, Générations, NPA, PCOF, Sud PTT , SNESUP-FSU

    Objectifs proposés

    - lancement d’un collectif contre la privatisation d’AdP, et plus largement contre les privatisations, et pour la défense des services publics et des biens communs. Si on obtient les 4,7 millions de signatures, ce sera déjà une grande victoire, permettant de gripper la machine à privatiser du gouvernement

    - Pari : que la dynamique unitaire nous permette de peser davantage et d’en faire une affaire de la société, grâce à une vaste campagne d’éducation populaire. Ce qui n’empêche évidemment aucunement chaque organisation de mener sa propre mobilisation.

    - Collectif national qui rassemblerait le plus largement possible la gauche sociale et politique, mouvements sociaux, syndicaux et écologistes, partis politiques => élargir les invitations au-delà des organisations membres de l’ex-Marée Populaire, rester ouvert pour que puissent s’y retrouver des mouvements qui ne sont pas des organisations classiques

    Proposition de campagne à mener

    - Lancement de collectifs locaux sur cette base

    - Prévoir un travail de terrain dans les quartiers pour faire signer les gens sur le site officiel, avec tracts, prises de parole… => avoir des bureaux de vote « de rue » et être le plus « accessible » possible dans le matériel et la façon de faire campagne

    - Prévoir aussi des conférences-débats publiques, de l’affichage, etc.

    - Site internet avec à disposition des « modes d’emploi » pour monter des bureaux de vote de rue, avec aussi des affiches, tracts, argumentaires concis à publier (devant être discutés et adoptés collectivement) avec besoin d’avoir les secteurs professionnels qui nous fassent parvenir des argumentaires concrets

    - Prévoir un espace sur le site qui renvoie vers les différents outils construits par les membres du collectif (sauf si pose problème politique avec les autres membres du collectif) ?

    - Travailler avec des maires pour que ce vote soit facilité ?

    - Tribune unitaire pour annoncer ce lancement du collectif ?

    => d’ici la prochaine réunion, appel à rédiger pour lancer tout ça (Aurélie, Emmanuelle, Nicolas, Murielle)

    => d’ici la prochaine réunion, vérifier sur le plan juridique que les collectifs (national et locaux) puissent financer la mobilisation (qui ?)

    => d’ici la prochaine réunion, chaque organisation demande si elle a mandat pour faire partie du collectif et sur chacun des points du compte-rendu
    Argumentaire :

    - Souligner :

    o Les limites du processus même du RIP et de la façon dont sont collectées avant ça les 4,7 millions de signatures

    o l’articulation des questions écologiques et sociales, primordiale dans la défense du commun

    o le coût à court et long terme des privatisations

    o en profiter pour faire des propositions de transformation démocratique de ces grandes entreprises publiques

  6. Posted 23 juin 2019 at 18:18 | Permalien

    Bonjour à toutes à tous

    Il y a plusieurs méthodes pour vendre les bijoux de l’État, la plus hard consiste à annoncer publiquement que telle ou telle entreprise est à vendre, partiellement ou totalement (EDF, Thomson, BNP, ELF, SEITA, France-Télécom, Alsthom…..). Il y a aussi une méthode plus soft mais tout aussi violente.
    Depuis quelques temps il semble que l’ultra-libéralisme prenne de plus en plus de libertés avec les nôtres. Particulièrement avec notre patrimoine public.
    Nous avons tous en mémoire quelques exemples insidieux comme Le Palais Omnisports de Paris-Bercy qui change de nom au profit de la société ACCOR, c’est ICI. Ou encore du stade vélodrome de Marseille qui s’appelle maintenant Orange vélodrome, c’est ICI. Dernièrement c’est La gare de Paris-Nord vendue (pour 66%) à Auchan, c’est ICI. La bourse du commerce de Paris devient le musée Pinault, c’est ICI. Et que deviendra Notre Dame de Paris après le déversement de quelques dizaines de millions d’€uros de nos milliardaires français ?

    Ces opérations appelées naming ont d’abord été rattaché au sport, puis à la culture, mais pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?

    L’armée, comme par exemple Bolloré en Afrique qui a créé sa propre armée pour protéger ses « affaires », c’est ICI pourrait être appelée armée Dassault.

    Et pourquoi pas l’hôpital Robert Debré qui s’appellerait hôpital Sanofi ?
    Dernièrement dans une émission littéraire, un romancier a développé sa vision de notre futur proche. Au delà de l’intrigue il nous montre ce qui serait notre futur proche dans ce domaine comme par exemple ce que deviendraient nos villes après leurs mises en faillite.
    Les arguments développés par le romancier (Alain Damasio) valent la peine d’être écoutés, au delà de l’histoire du couple dont un enfant a disparu, il y a une explication sur ce qui devrait nous attendre bientôt. Regardez cet extrait (20 mn), c’est ICI, les furtifs
    Faut-il se préoccuper de cette dérive ?

    A vous de juger.
    JP C

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