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Appel de Bellerive sur Allier adopté à l’unanimité des présents le dimanche 22 juin

Nous socialistes réunis les 20-21-22 juin à Bellerive sur Allier, nous sommes venus de 65 départements à l’appel de différentes sensibilités du Parti socialiste. Indignés et mobilisés contre la politique du gouvernement, contre l’austérité, contre le chômage de masse, nous demandons l’application des engagements du discours du Bourget qui ont fait la victoire de mai-juin [...]

« L’histoire des lunettes » ou « l’histoire des porteurs de lunettes » – débat à gauche suite

Pourquoi je dialogue avec toi sur ton blog ? Ben, parce que tu es socialiste, tu le dis toi-même. C’est simple, non ?

Quelques sujets de débats : astre mort, parti de masse, deux gauches ou unité de la gauche, programmes incompatibles et front unique

enfin, à côté des arguments susdits, la question du « ton » de Mélenchon est tout à fait secondaire, il est même plutôt florissant et réjouissant, et j’ai parfois les mêmes défauts moi-même, mais ce qui compte, c’est l’unité : si le « ton » combatif de Mélenchon était pour réclamer la construction d’une authentique unité de la gauche, ça irait dans le bon sens, mais il est orienté vainement pour détruire « l’astre mort » du PS… dont il avoue qu’il peut encore envoyer de la lumière pendant longtemps.

Dans l’intérêt de l’unité le 6 mai : débattre encore PS et toute la gauche :

Ils ont droit de changer d’avis, je ne les conteste pas… Mais pas forcément de sauter de l’autre côté du cheval. Pourquoi tomber dans un excès inverse ? Car on peut vouloir adopter une autre stratégie sans tomber dans l’erreur de manquer complètement d’analyse à propos de l’ancienne au sein du PS. Croire qu’il vaut mieux agir hors du PS pour « peser » n’implique pas forcément que ce parti à changé de nature (quand, comment ?) ou qu’on s’est trompé sur la nature de ce grand parti… de gauche. Et dès lors, il vaut mieux respecter ceux qui continuent…non ?

Non, le PS ne va pas au Modem comme la rivière va à la mer…

Un candidat commun, c’est le contraire de la présidentialisation, car justement il ne s’impose pas par le haut, il n’échappe pas à son parti, aux partis de gauche, il est le produit d’un choix collectif, raisonné, mobilisé.