Archives par tags : banques

Lejaby : dans notre pays les banques sont plus fortes que la République et tuent nos emplois

Près de Lyon «Les Atelières», ex-ouvrières Lejaby, mettent la clé sous la porte AFP 3 mars 2014 à 20:12 (Mis à jour : 3 mars 2014 à 20:13) Une employée de la Maison Lejaby, le 10 janvier 2013 à Rilleux-La-Pape, dans le Rhône (Photo Jeff Pachoud. AFP) «Les Atelières», association composée d’ex-ouvrières du fabricant de [...]

Le patronat inflige un camouflet au président de la République

Les patrons dominés par la finance n’ont aucun intérêt à l’emploi : ils utiliseront les « aides » reçues dans l’économie casino exactement comme les banques l’ont fait depuis 2009.

Note : « où sont les milliards » ? le problème n’est pas « trop de dépenses publiques » mais « pas assez de recettes »

les 80 milliards de fraude fiscale c’est le chiffre officiel repris par le ministre du budget lui même les 330 milliards c’est le chiffre de l’enquête annuelle de Challenges(elle existe depuis 1994..) attention il s’agit de leur fortune globale, ils ont gagné 59 milliards de plus entre juillet 2012 et juillet 2013 soit + 25 [...]

Jeunesse à crédit : Sarkozy propose de livrer les jeunes aux banques et à leurs subprimes

a proposition de Nicolas Sarkozy, sous prétexte de refuser l’ « assistanat » consiste à livrer la jeunesse aux banques.

Un mensonge de plus de Sarkozy : la Grèce n’est pas “sauvée”

A peine signé, le traité Merkozy ne peut déjà plus s’appliquer

C’est donc pour sauver leurs créances de près de 3 000 milliards d’euros et leur propre peau (une crise bancaire aurait immédiatement suivi ce défaut grec), que les banques et les assurances européennes ont accepté de « perdre » 106 milliards d’euros.

Le pillage de la Gréce par la politique criminelle de Sarkozy/UE

Chaque minute, sur chaque flash « d’information », les « journalistes » malhonnêtes, enfumeurs, osent nous parler de « sauvetage de la Grèce », de « plan d’aide » à la Grèce »

… alors que pas un sou des 130 milliards d’euros ne vont au peuple grec, ils vont aux banques manipulatrices et spéculatrices auxquelles la troika UE/BCE/FMI et le duumvirat Sarkozy Merkel distribuent ces trésors volés au Grecs…

L’entretien télévisé de Nicolas Sarkozy « Je suis maître de moi comme de l’univers »

Avec des mots qui cherchaient à masquer ses réelles intentions, Nicolas Sarkozy a avancé quelques bribes de son futur programme électoral.

Les plans de rigueur allaient continuer même s’il convenait de leur donner des noms plus doux ; l’âge légal de départ en retraite et le nombre d’annuités de cotisation allaient encore augmenter pour satisfaire les agences de notation ; les taux de la TVA augmenteraient, eux-aussi, car si Sarkozy disait s’opposer à une augmentation « généralisée » de la TVA, il s’était surtout empressé de ne pas se prononcer sur une augmentation des taux de TVA entre 5,5 % et 19,6 %.

Un déni de réalité

Sarkozy n’est pas président de la Vème République depuis 4 ans, la droite n’est pas au pouvoir depuis 2002, Sarkozy n’a jamais été ministre de l’Intérieur ou de l’Economie, des Finances et de l’Industrie de Chirac. Il ne porte aucune responsabilité dans la crise financière, économique, sociale et politique actuelle.

En réponse à la lettre ouverte d’Arnaud Montebourg

Je viens de découvrir ta lettre ouverte à Martine Aubry et à François Hollande.

Je ne résiste pas à te répondre en direct, à mon niveau militant. Après tout, c’est cette démocratie que tu souhaites, à juste raison.

Lancer de steaks à la mer pour tenter d’éloigner les requins de la finance

Les médias ne sont pas en manque d’images pour illustrer le dernier sommet européen : « digue contre la marée des dettes publiques », « barrage contre la finance », « rempart contre la spéculation » …

Ces images sont pourtant totalement fausses. Le dernier sommet européen n’a élevé aucun barrage contre la finance, au contraire. Cette idée est d’ailleurs profondément contradictoire avec une autre idée avancée par les mêmes médias : « rassurer les marchés financiers », appellation politiquement correcte des spéculateurs. Il faut choisir, soit on élève un barrage contre la spéculation, soit on « rassure » les spéculateurs. Les deux sont incompatibles. Ce qu’a essayé de faire le dernier sommet de l’euro, c’est de « rassurer » les spéculateurs, pas de dresser un quelconque barrage contre eux.